Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Luhimi le mardi 16 juin 2009, 18:39:21
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Je ne m'attendais pas du tous à cela. J'étais apparut dans les couloirs d'un bâtiment scolaire, je ne resta pas longtemps figée, ma tenue ne passait pas inaperçu, encore une chance qu'il n'y ai pas d'élèves qui se baladaient. Je regarda le plan et alla vers les vestiaires pour filles. La serrure ne me prit pas longtemps, elles étaient plus facile à crocheter que ceux de Terra.
J'ouvris les casiers et prit ce qui me convenais le mieux. J'enleva tous mes vêtement et commença par enfiler une culotte noire. Je refit le bandage en comprimant au maximum ma poitrine, la lotion était forte utile pour éviter des déformations et la douleur que cela pouvait engendrer. J'enfila une robe rouge, qui avait des fleur dorée de brodées dessus, qui cachait les bandages de la vue, mais qui mettait en valeur mes jambes fine. Je prit aussi des sandales japonais avec des lacets rouge. Je m'admira dans un miroir, la tenue entière était un peu aguicheuse, mais c'était mieux que ma tenue d'avant. Je vit l'espace d'un instant le reflet de Artemis, ce qui me mit en boule et je fracassa le miroir de mes poing. Je n'eut pas de coupure, mais le bruit devait avoir interpeler quelqu'un. Je planqua mon poignard sur ma poitrine entre la peau et les bandages moins serrés. Je rangea tous les vêtements en laissant aux victimes mes anciennes fringues. Je remit les cadenas et ouvrit la porte menant au couloir avec douceur, je regarda à droite et à gauche, personne.
Je profita qu'il n'y ai personne pour faire un tour du proprio, cette établissement était très aisé. Il y avait de quoi me maintenir en forme. Il semblait y avoir peu d'indésirables. Je regarda par le trou d'une serrure et vit que les élèves étaient en cour. Je me mit à réfléchir, ma situation n'était, à priori, pas dangereuse. Faire de faux papiers seraient facilement faisable avec les sous amassés. Il est vrais qu'une école serait le dernier endroit où me traquer.
Je me dirigea donc vers une salle de science, là où il y avait des ordinateurs, donc une connexion pour entrer dans le système du lycée. Je mis en marche le pc et il me demanda un mot de passe. Cela me contraria.
- Fais chier ! Pourquoi faut-il qu'il y ai toujours des sécurité !
Je donna un méchant coup de pied à la centrale et le résultat fus que j'avais accès au serveur. Je me balada sur les divers dossiers et me créa ma fiche dans une classe qui semblait prometteur. J'entre comme nom Amadeus et comme prénom Luhimi, je remplit la fiche, je valide et voilà.
- Et voilà ma p'tite Luhimi tu es officiellement inscrite.
Ce que je ne savais pas c'est qu'il y avais quelqu'un qui avait vue toute la manipulation et qu'il pourrait se montrer gênant.
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Je ne sais pas pourquoi, mais ce matin, encore une fois, mes ténèbres se sont réveillées à mon réveil. C'était plutôt désagréable de ne pas être celui que je suis d'habitude. Ça, ça veut toujours dire qu'il y a un truc qui est tout aussi sombre et qui a vécut des choses aussi horrible que moi. Je me suis levés. Je n'ai pas pris le temps de me formaliser pour ma pudeur, j'ai une chemise noire, un jean bleu, un boxer propre et des bas noirs, me dévêtit de ce que j'ai porté pour dormir, j'ai pris une douche, je me suis rhabillé par la suite de mes vêtements propres puis j'ai foutu les autres dans le panier à linge sale. Ça m'a fait penser que c'est mon tour de faire la lessive. J'ai déjeuné, nettoyé un peu, puis j'ai quitté la chambre, verrouillant la porte derrière moi avant d'aller à mon premier cours de la journée.
Je sors de mes pensées. Le cours vient de finir et j'en suis fort aise. Je n'avais absolument aucune envie de rester et de me faire aborder par un élève. C'est décidé, je saute ce qui reste de cours. En me promenant, j'entends un bruit de cassure, comme si on avait brisé de la vitre. Mon petit doigt me dit que c'est ce que je cherches. Je me mets à me dépêcher vers l'origine du bruit. Mais bon, je m'arrête. Il n'y a personne. Je soupire. Pas mon jour, on dirait. Je me mets à nouveau en marche. Je vois une des portes de classes ouvertes. D'habitude, si c'est le cas, c'est qu'un prof est à l'intérieur, mais là, les professeurs avaient été appelé pour une réunion. Je m'approche de la porte et ce que je vois me laisse bouche bée. J'ai bien entendu quelqu'un dire qu'elle était officiellement inscrite. Ma curiosité l'emporte, je m'approche de la demoiselle. Je sens dans mes tripes que c'est elle qui avait dégagé cette énergie qui m'avait encore une fois réveillé. Quand on dort depuis près de huit ans, on n'a pas envie de se faire réveiller aussi souvent en un laps de temps aussi court. Je m'arrête derrière elle.
-Que faites-vous?
J'attends qu'elle me regarde. Je vois bien sur l'ordinateur et j'y vois les archives de l'école. Je le sais pour avoir farfouillé et m'être inscrit de cette exacte manière. Une nouvelle étudiant clandestine? Ça ne se fait pas vraiment rare, mais ça m'étonne toujours à chaque fois. La dernière fois, ça remonte à deux mois et j'ai fini par rosser le mec parce qu'il farfouillait sur les données des autres, ce qui était tout à fait illégal. Je me fiche qu'on s'inscrive illégalement, mais fouiller dans la vie des autres, c'est un manque incroyable de respect... enfin, je crois.
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Si un jours on m'avait dit que je sursauterais, j'aurais bien rit. Je regarda cette fichue porte, je n'avais pas eus l'idée de la fermée, on ne peut pas penser à tous. Je ferma l'accès et me retourna en prenant un regard de gentille petite fille étant sur le point de pleurer. C'était la comédie que j'adorai faire. Puis je prit une petite voix.
- Je suis nouvelle et un professeur de science physique, je crois qu'il s'appelle Fermont, c'est ça Fermont, m'a permit d'avoir accès à mon dossier, car ils m'avaient inscrite en tant que interne, alors que je ne suis que demi-pensionnaire. Et comme l'administration était croulé sous la paperasse je m'était dit que je pourrait changer moi même.
Je baissa la tête pour masquer mon sourire, j'adorai me faire passer pour une fille timide, personne ne s'attendait à avoir en face d'eux une meurtrière. Je reprit mon rôle et dit avec presque les larmes aux yeux.
- Vous n'allez rien dire hein ? Je n'ai pas regarder les autre dossier, je peut le jurer !
En fait j'avais regarder les dossiers de tous les profs avant de m'inscrire, c'est pour cela que j'avais sortie le nom d'un des petit humains qui enseignait les sciences. Restait à savoir si ma mascarade allais marcher. J'estimais qu'il lui fallait deux seconde pour être sur moi et j'avais environ le même temps pour sortir mon poignard et tenter de l'égorger.
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Luhimi... Qui aurait pu croire que j'allais tomber sur elle. Ca ne me prit pas deux secondes pour la reconnaitre. Malgré son petit air innocent, j'en étais sur, ça ne pouvait être qu'elle. Elle avait rit un air suppliant pour m'amadouer. Je souris, on va jouer le jeu. Je m'approche d'elle et lui caresse doucement la joue avant de retirer à toute vitesse un poignard de son haut, que j'ai pu remarquer que très difficilement, avant qu'elle ne puisse m'écorcher avec. Je la regarde dans les yeux.
-Tu ne peux pas tromper mon regard aussi facilement, Luhimi-chan.
Le suffixe "chan" s'appliquait surtout à cause de son sexe. Je lui souris doucement, caressant la joue là ou on pouvait voir les traces de brûlures. Il ne me suffirait que de mélanger une seule seconde mon sang au sien pour effacer ces marques. Je n'ai pas l'intention de la tuer, je la regarde donc dans les yeux.
-C'est donc toi qui m'a réveillé avec tes propres ténèbres. Je trouvais curieux d'être aussi froid en me réveillant ce matin.
Je ricane puis je retire ma main de son visage. Que de cruauté a marqué cette belle demoiselle qui a été aussi maltraitée par la vie. Celle-ci peut toujours nous réserver de belles surprises. Moi qui cherchait cette dame depuis un moment, la voilà qui me tombe sur la gueule. Je jettes le couteau plus loin pour qu'elle ne puisse pas me l'arracher des mains et aussitôt me le planter dans le corps... évidemment, me le planter dans le cœur ne suffirait pas à me tuer, à la vitesse à laquelle je régénère.
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Il s'approcha doucement, je jugea qu'il n'était pas dangereux, ce fut ma première erreur. Kamui avait fait une diversion pour me subtiliser mon poignard, ce qui découpa un partie de mes bandages qui craquèrent une à une et le bruit de cela ne passa pas inaperçu. Il semblait me connaître aussi je changea de tactique, me faire passez pour une autre personne que moi même, je poussa un petit crie de surprise et mit mes mains sur ma poitrine comme pour les protéger. Je lui cria dessus avec toujours la même voix enfantine.
- Non, mais ça va pas, on ne fais pas ça à une fille. Pervers ! Voyeur !
Mon visage prit le teint rouge qu'il fallait pour donner l'impression que j'avais honte. Puis il dit des chose assez énigmatique et jeta le poignard. Aussitôt je voulut me jeter dessus, mais kamui me barra le passage. Je lui décolla une gifle bien douloureuse, tout en ne mettant pas trop de force, il serait assez bizarre que la fille frêle, que je jouais, aurais une force assez exceptionnel. Je put récupérer mon poignard et le garda en main.
- Effectivement je m'appelle Luhimi, mais ce n'est pas une raison pour confondre avec une autre personne. Continuer de me harceler de la sorte et je dirais tous de votre comportement à l'administration. Ce poignard est un souvenir, aussi je ne vous permet pas de le prendre sans ma permission, c'est un bien privée.
Je commença à aller vers la porte, mais au moment où j'allais l'ouvrir.
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Je ne l'ai pas vue venir, le coup a été sacrément rapide et ma joue ne prit pas une seconde pour augmenter le flux de sang à cet endroit, la faisant rougir. Bon sang, j'en reçois, des claques, cette année... Après plusieurs phrases elle récupère son poignard et se dirige vers la sortie. Elle croit vraiment que je sois du genre à me confondre? Que ce soit l'odeur, le comportement, la démarche, les regards et même les mots, je peux différencier une personne d'une autre, alors pour me tromper, faut penser à revoir. Pour l'empêcher de sortir, je me dépêche de la rejoindre, l'agrippe puis l'attire contre moi, posant ma main sur sa bouche pour ne pas qu'elle lance une autre connerie qui risquerait d'ameuter des hommes et des femmes susceptibles de la reconnaître. Mes recherches à son sujet ne m'avaient apportée que de maigres réponses. Tout ce que je sais d'elle, c'est qu'il s'agit d'une ange déchue qui a tué un homme, puis que d'autres ont suppliciée et qu'elle s'est revengée, rasant à elle seule le village où elle avait été séquestrée, se faisant elle-même justice. Mon bras droit entoure sa taille et ses poignets pour éviter qu'elle ne se sert de son poignard pour me charcuter à mort, tandis que ma main droite vient cacher sa bouche. Je chuchote à son oreille, à la fois pour ne pas qu'on m'entende et aussi pour l'apaiser, lui montrer que je ne lui veux pas de mal.
-Crois-le ou non, Luhimi, je ne suis pas un ennemi.
Je nous fais reculer de la porte. Je n'ai pas particulièrement envie que quelqu'un passe devant, nous remarque et interprète mon geste comme du harcèlement. Je la relâche doucement, la fait tranquillement pivoter et je caresse sa joue à l'endroit où l'on pouvait voir ses affreuses brûlures.
-Nous nous ressemblons plus qu'il n'y parait...
Il suffisait d'ouvrir ma chemise pour voir les diverses marques des divers outils que mon père a utilisé pour me faire du mal. Des marques de ceintures ayant arrachée ma peau, des traces issus des brûlures de tisons enflammés, longues cicatrices laissées par ses traitements au couteau, tous ayant guéris à une vitesse faramineuse et qui ont marqué mon corps à vie, tout comme le sien.
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Ce petit emmerdeur commençais à mes les casser, quelque chose de bien. Il m'avais entraver mes mouvement de manière grossière, mais efficace. Mes mains ne pouvais bouger et il me ballonnais la bouche avec son autre main. Bon il me dit qu'il n'était pas mon ennemis, tous le monde disait ça, il faut être con pour dire quelque chose comme ça. Il relâcha sa prise, enfin pas totalement, il me fit pivoter et me dit que l'on se ressemblait. J'allais jouer la comédie encore une fois, faire semblant d'être humaine et de montrer une certaine compréhension envers ce petit humain.
- Je le croit aussi.
C'est à ce moment là que je donna un bon coup de genoux dans l'estomac de cette effronté. Il montrait de la faiblesse, ce que je détestais. Je le vit plier les jambe pour ne pas s'écrouler par terre, bien qu'il était assez résistant. Je décida que je passerait mes nerf sur lui.
- Primo ! Tu n'es qu'un humain, donc ne me compare pas à toi. Deusio ! Si tu sais vraiment qui je suis tu aurais du passer ton chemin au lieu de mettre ton misérable museau dans mes affaires. Tersio ! Je peux encore pardonner ta curiosité maladive, mais ne va pas trop loin, sinon tu ne seras qu'une victime en plus dans ma liste.
Ma voix c'était faite froide, inhumaine, tous ce que l'on pouvait sentir dans le ton c'était promesse de mort.
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Putain... elle m'a bien eu. Elle m'a envoyé un coup de genou dans l'estomac, cette garce. Ça m'apprendra à être doux et/ou compréhensif à ce qu'une criminelle telle qu'elle a subit. Je n'avais pas vraiment mal, mais elle m'a coupé le souffle. Ses paroles m'entrent enfin dans la tête. Non mais merde, elle croit vraiment que je ne suis qu'un humain, hein? Parfait. Je ne prends pas dix secondes pour me relever, la regardant dans les yeux. Sa voix aurait cloué sur place un humain normal, seulement, voilà, je suis loin d'être un être normal. Moi qui est un petit toutou affectueux, je lui fous une sacrée gifle du revers de la main sur sa joue, un comportement tout à fait indigne de moi, mais pourtant si libérateur.
-Non, en effet. Je ne devrai pas te comparer à moi. Je ne suis pas l'être pitoyable que tu es, Luhimi-chan.
Mon regard est glacial. Je n'ai aucune envie de me laisser insulter de cette manière par une créature qui, pour la simple raison d'avoir souffert, se retrouve incapable d'être douce ou d'accepter la douceur. Sous ses yeux, je dévoile ma vitesse loin d'être humaine, dévoilant les résultats de mes entraînements pourtant quotidiens. En un instant, je suis derrière elle. Un sourire aux lèvres, je passe mes bras autour d'elle, l'enlaçant fermement, l'immobilisant totalement. Je pose mon menton sur son épaule, évitant ainsi de recevoir un charmant coup de tête.
-Est-ce qu'un simple humain pourrait oser toucher un ange?
Des ondes puissamment négatives s'échappent de mon corps. Tout deux dégageons des énergies monstrueusement noires et pourtant, je ne me sens pas mal du tout. L'autre moi-même serait déjà cloué au sol, suppliant d'être épargné, à l'heure qu'il est, mais moi, je tiens parfaitement sur mes jambes, prêt à réagir à absolument tout les coups qu'elle pourrait tenter de m'infliger. Je reste doux, pourtant, mon autre personnalité m'empêchant de la rosser comme je le voudrais. Je lui laisse quelques chances pour se calmer et parler tranquillement et surtout pour effacer cette énergie glacée.
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J'eus le droit de sentie la gifle de ce fumier, cela fit rougir ma joue et ne fit qu'accentuer mon regard énervée envers cet humains. Il dit que j'étais pitoyable, cela me fit rappeler ce que m'avais dit Artemis. Avant que mon corps n'est eut le temps de lui administrer une autre correction, je me trouva encore une fois entravée. Sa remarque me fit doucement sourire, puis j'éclata d'un rire à faire frémir les démons du coins.
- Un ange sans aile n'est plus un ange, abrutie. Je ne suis plus qu'une âmes qui s'en prend à leurs protégés. Même si tu veus paraître dure, tu n'est rien qu'un des ces humains faiblard qui ne peut pas agir car il est entravé lui même par quelque chose, moi je n'ai pas cette tare.
Je plia mon corps en avant, même si il était plus fort il ne pouvait rien faire, j'avais baissée mon centre de gravité, ce qui fit qu'il eut le plaisir de goûter au sol, enfin non, il avait préférer lâcher prise pour ne pas avoir mal et se trouva devant moi. Je fit glisser ma langue le long de la lame du poignard. L'heure était grave, cette personne n'allait pas me laisser sortir facilement, le but était de sortir et de courir vers l'infirmerie, l'administration ou encore foutre le bordel dans un cour. Une fois ça de fais il ne me collerait plus. Je voulut quand même le faire gentiment.
- Ne pourrions-nous pas laisser cette discussion pour plus tard. Cela serait gênant qu'un lycéen soit trouvé mort dans une salle d'où il y a des marques évidente qu'il a voulut entré par effraction.
J'avais une carte en main, j'avais prit soin de ne laisser aucune empreinte sur la porte, si bien qu'il n'y avait que ceux de ce bêta. Je reprenais le contrôle de la situation.
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Je ricane. Allongé de tout mon long sur le sol, je viens de me faire mettre à terre par une des femmes les plus dangereuses du monde. Je soupire et je me relève. Alors comme ça, elle croit vraiment qu'elle serait capable de me tuer, moi qui a pu éviter de mourir des millions de fois, au minimum. Je me relève, le sourire aux lèvres et je m'époussette. Cette femme est plutôt forte et semblait réellement capable de me tuer, à en juger par son regard et ses gestes qui aurait tôt fait de m'effrayer si je n'étais pas moi-même capable de telles choses. À moi de mettre en pratique ce que je sais de la psychologie. Quand on rencontre plus fou que soit, on a peur, alors, il suffit de l'être. Je m'approche d'elle et me plante à un demi-mètre de son corps. Je prends sa main armée dans la mienne, la regardant dans les yeux.
-Ah... parce que tu crois être capable de me tuer?
Mon regard devient complètement dément alors que j'enfonce de moi-même la lame dans ma poitrine, tout près du cœur (ca ne m'aurais pas tuer, mais le feeling est désagréable), sans cependant le toucher, mais si près qu'on pourrait jurer que j'avais raté ma manœuvre et que je l'avais réellement percé. Je détache ma main de la sienne avant d'attirer, le plus violemment possible, ses lèvres contre les miennes, juste pour l'énerver. Je ne fais pas entrer ma langue, trop risqué et je pourrais la perdre, si elle la mordait. Je la regarde, brisant ce baiser plus froid que la neige.
-Tu le crois toujours?
Je lui montre ce que je suis réellement, un fou dans le corps d'un serviteur, un dragon dans la peau d'un chien. Je suis loin d'être quelqu'un de doux si on cherche à se conforter à mes dépends. Je suis un malade, j'en ai conscience et je m'en fiche. Maintenant, mon sang couvre ses vêtements et son arme, croit-elle réellement qu'elle pourra s'en sortir?
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Ce qui me choqua en premier lieux fut l'absence d'une quelconque attention à sa propre vie. Intéressant. Je me mit en garde quand il approcha, prêt à le poignarder, mais ce fut lui que le fit à ma place. J'eus un moment où la peur s'empara de moi, mais j'eus la force nécessaire pour la chasser. Si ce type était un chasseur, il serait le meilleur à conditions qu'il ne chasse que les humains. Je pouvais voir clair dans son jeu. Il m'embrassa ce qui me fouta en boule. Mon aura avais vraiment quelque chose d'inhumains et était tellement présent dans la pièce, qu'un être passant à côté de la salle de science aurait un vertige et des sueurs froides. Il me demanda si j'avais encore la volonté de le tuer. Un bon coup de boule le répondit. Je cracha par terre en passant ma main sur mes lèvres pour chasser la sensation de ces lèvres.
- Petit merdeux, je vais t'étriper et exposer tes entrailles dans la cour. Tu veux jouer, d'accord, mais ne te plain pas si tu perds.
Ma voix était devenu plus glacial, si cela était encore possible. Je retira les bandages qui maintenait ma poitrine et lacera un peu la robe pour me permettre de bouger convenablement. Du coup on pouvait voir ma beauté et savoir que j'y allais pour de bon.
- Tout à l'heure tu a fais un mouvement rapide, je vais te montrer à mon tour ma rapidité.
Je disparut et à ma place on voyait un cercle de poussière se soulever. J'apparus successivement dans huit direction, comme une boussole, coupants au passage les tendons des bras et des jambes. Ma vitesse était aussi rapide que celle des vampires et les coups imparables. Je réapparus devant l'humain, à cinq mètre, contre le mur dans ue position plus d'allumeuse que de combat, et dit.
- Pourrais-je savoir le nom de ce futur cadavre.
Mon intonation ne permettait aucune perception de sentiment, le gêneur avait affaire à l'éveille, progressif de ma vrais facette, l'ange déchut qui avait rasée le village de Fihal.
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Si j'étais dans mon état normal, cette vitesse et cette douleur m'aurait complètement laissé sans voix. Cependant, je restais plutôt zen devant cette démonstration de puissance. Je sens le poignard s'enfoncer dans ma chair à de multiples endroits. Mon sang ne jaillit pourtant pas, mes blessure disparaissent avant même que la lame ne l'ai quittée, comme si on coupait une illusion. Mon pouvoir de guérison, amplifié par l'état de tuer ou d'être tué, régénère chaque blessure que je subis de sa main. Je fermes les yeux et je soupires. Doucement, je détache ma chemise et j'en fais sortir un kodachi (sabre à lame courte, pour les incultes) que je dégaines immédiatement. Elle me demande mon nom, me traitant de futur cadavre. Je la regarde et je souris.
-Kamui Meisa, pour vous servir.
Effectivement, elle était loin d'être aussi horrible que sur l'image qu'il avait vu à la ville de Nexus. Bah, peut-être que le mec qui l'a fait s'est servi de photoshop, on sait jamais. Enfin, bref, si je voulais vivre, il fallait à tout prit que je préserve mon cou de son tranchant, sinon, je risque de devoir marcher la tête sous le bras. Je retire ma chemise. Déjà qu'elle est un peu coupée, je voudrais éviter de l'endommager davantage. Je frottes mes muscles puis je regardes la demoiselle.
-Vous êtes très jolie, on ne vous l'a jamais dit?
Je lèves mon sabre et je l'attend. Le seul désagrément de ce corps, c'était ces foutues cicatrices qui sont si douloureuses quand on les étire sans préparation, mais bon, j'en ai sur tout le corps, alors, autant ne pas me plaindre et me préparer pour le coup de la demoiselle. Je suis moins rapide qu'elle, mais plus fort. Je suis un peu moins agile qu'elle ne l'est mais j'anticipe les coups. Nous sommes plus ou moins à égalité.... mais c'est très instable.
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Je constata que ces blessures c'étaient vite soignées. Il serait un régénérateur, un de ces humains ayant la faculté de s soigner rapidement. Sur mon visage on ne pouvait voir sue un haussement de mon sourcil droit, ainsi qu'un sourire carnassier .il sortit un kodachi, l'imbécile, j'avais l'avantage du cercle de vie (la limite dans le quel tout contre-attaque peut être dangereux, dans ce cas là, le kodachi à un grand cercle comparé au poignard de Luhimi, ce qui veux dire que Kamui sera plus vulnérable aux contre attaque si Luhimi arrive à parer le coup et à avancer vers son adversaire.) et j'ai de meilleur connaissance en combat que lui, tous ce qu'il peut compter c'est la chance du débutant. Il me complimenta sur ma beauté et je lui répondit avec le même ton neutre et pleine de mort.
- La mort ce doit d'être belle pour emporter ces âmes.
En étant toujours aussi inexpressive je commença mon attaque, j'avais baissée ma vitesse exprès, juste pour évaluer ces réflexes et comment il s comportais face à une personne ayant une vitesse égale. J'amorçai par une attaque sur sa gauche, il voulut me parer, mais je disparut et me retrouva sur sa droite en finissant mon geste, il n'avais pas eut le temps de le parer, mais je voyais bien qu'il avait anticipé le coup et c'est pour cela qu'il avais un peu bougé pour que mon poignard ne le blesse pas de trop, je me déplaça en face de lui et remarqua que les endroits où j'étais apparut laissaient un volupte de poussière.
- Hé bien ! Hé bien ! On dirait que j'ai affaire à un observateur.
Mon aura monta encore d'un cran. Mon instinct de tueuse commençais à se montrer. Je refit quelque petit assaut sans vouloir vraiment le blesser, juste le tester encore un peu. J'arrêta mon cirque et réapparut devant Kamui, mon corps commençais à transpirer.
- Bon finit l'échauffement. Si l'on commençais vraiment la partie. Je te donne le droit de me donner un coup d'avance, cela compensera le fait que je me soit un peu chauffé les muscle sur toi.
Ma voix était toujours celui d'un esprit de la mort. Froide, insondable et dont on ne pouvait pas se débarrasser en bouchant ces oreilles.
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Mais quelle vitesse et puissante phénoménale! Et elle n'est même pas à son complet. Je respire difficilement. Je ne pouvais pas miser sur ma vitesse pour parer ses coups, il fallait que je me sers de tactiques. Je tournes mon sabre à l'envers et j'en brise la lame sur un des bureaux, laissant sur le sol de petits éclats d'acier, rétrécissant la lame. Je vais me concentrer sur l'attaque et la contre-attaque, je récupèrerai donc un peu plus d'efficacité contre elle. Cette garce me donnait vraiment des sueurs froides. Je respires difficilement, mais je reprends un rythme plus normal. Elle m'avait fait peur avec son dernier coup, je ne m'y attendais pas vraiment. Je la regarde.
-Fini de jouer.
Hors de moi, je laisse s'échapper d'immenses ondes meurtrières dignes d'un démon. On ne se fout pas de ma gueule comme ça. Je vais les lui mettre où je penses, ses putains d'échauffement à la con. Mon regard devient si froid qu'il était étonnant que le sol ne se transformait pas en glaçons. Effectivement, quiconque enterait en se moment dans cette salle fuirait, après s'être échappé dans son pantalon. Je m'approche d'elle puis je m'élance, précipitant ma lame vers son flanc gauche. Je sais très bien que je vais la rater, ce coup va être très facile à parer, mais j'arrive très bien à la frapper à la hanche d'un coup de genou, anticipant un déplacement. Elle ne pouvait parer mon premier coup sans se servir de ses deux mains contre mon arme et elle en avait conscience, j'ai donc misé la-dessus. Je sais bien que mes yeux ne me serviront à rien pour ce combat. Elle pourrait se volatiliser à l'instant sans que je puisses faire quoi que ce soit, il faut juste gagner un peu de temps. Je n'aurai probablement pas le temps de me préparer à sa réplique, je me prépare donc à encaisser une nouvelle fois sa lame dans une partie de mon anatomie.
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Kamui s'élança vers moi, il montrait qu'il allait me toucher sur la gauche. Il était vraiment naïf, je prit la lame du kodachi dans ma mains gauche, les lames japonaise coupe moins si on les prends de cette manière, cela me fit une entaille, mais de ma main libre je para le coup de genou. Je lâcha mes prise et lui décocha un coup de pied vertical, sous le menton, qui le renvoya dans ces but.
- Ne pense pas quand tu combat, sinon tu y passeras. Si tu croit pouvoir me battre donne toi à fond au lieu d'utiliser des feintes. Ceux que j'ai tuée ont toujours eut la volonté de m'arrêter et avaient une lueur de courage et de détermination que je ne voit pas dans les tient.
Il m'avait porté le coup promit et le combat pouvait vraiment débuter. Il eut à peine le temps de se lever, que je le prit par la gorge et le balança contre le mur en l'accompagnant d'une méchant coup de coude au niveau du cœur. Ma manière de faire n'avait rien de dangereux il allait au pire cracher un peu de sang. Il se releva et je jeta mon arme au sol, pour un guerrier cela serait une insulte, mais il ne méritait même pas que je salisse plus mon poignard sur lui.
- Que vas-tu faire maintenant ? Combattre comme tu l'as fait est un insulte envers ton adversaire, alors ? Je te laisse le choix, soit tu te bas avec tous ce que tu possèdes, soit tu continue tes gamineries et je te promet que ta mort sera aussi douce que les flammes de l'Enfer.
J'étendis mes bras, ce qui fit que cette position n'avait aucune défense. Je voulais voir si cet humain serais capable de me porter un coup convenable. J'avais toujours laissée une chance à mes adversaire de vivre, même si elle était souvent très faible. Mon regard, quand à lui, était tout aussi figé dans le temps.
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Quelle démone... est-elle plus ou autant cinglé que je ne le suis? Je sens encore le traitement de son coude sur ma poitrine. Je me relèves et je souris. Elle est sacrément forte, je n'en attendais pas moins d'une femme de son calibre. Je l'aurais cru du genre folle et sans raison, mais elle avait malheureusement cette dernière. Je soupire, assez démoralisé. Définitivement, une arme ne fonctionnera pas contre elle, je laisse donc tomber mon sabre sur le sol et je la regarde. Je lèves mes mains, une devant mon visage et l'autre près de mon plexus. Je canalises mon énergie sur mes jambes pour en améliorer le mouvement. Je m'élance une nouvelle fois.
-Allons-y.
Ma voix était calme, presque fatiguée, comme si je savais exactement ce qui allait se passer. Je frappes du poing son ventre, mais je ne m'arrête pas là, j'enchaine d'un coup de talon sur son tibia, la décollant du sol puis j'achève par un coup de genou l'estomac et un coup de coude sur le torse. Je n'ai que très rarement combattu au corps à corps, mais je suis quand même satisfait d'avoir pu la faire reculer, ne serait-ce qu'un peu.
-Tu es très forte. Je suis admiratif, sincèrement.
Je lui souris de toutes mes dents.
-En d'autres circonstances, j'aurais bien aimé pouvoir me faire une amie telle que toi.
Je ne baisses pas ma garde. Je suis à nouveau l'autre Kamui, celui qui est fait à quatre-vingt dix pour cent de douceur et dix pour cent de douleur. Ce Kamui-là est tout à fait imprévisible et peut réagir à milles et une techniques sans même se faire toucher. Il ne mise ni sur la vitesse ni sur son anticipation, seulement sur sa logique et son agilité.
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l sembla enfin décidé à se battre. Je voyais bien qu'il allais me porter une succession de coup, c'était toujours comme ça que l'on montrait sa force. Je reçu le premier dans le ventre, j'accompagna le geste, puis il voulut me faucher, je ne résista pas. Seule le coup à l'estomac et le coup au torse touchèrent mon corps. Je me releva et sentit ma poitrine me faire mal, décidément qu'est-ce qu'avait les mecs à frapper toujours ici. C'est à croire qu'il y à marquez point faible dessus. Il me sourit en me disant qu'il aurait bien voulut de moi. Pff ! Pathétique !
- Bon au moins tu as le mérite d'avoir un peu de force. Par contre je t'arrête tous de suite, moi je t'aurais buter. Les amis ne servent à rien, ce ne sont que des raisons, pour vous humains, de se justifier quand vous ne vous battez pas ou quand vous vous sacrifiez. Ton aura à aussi changé, tu es redevenu quelqu'un de calme, voyons si tu mérite plus ma miséricorde.
Je fit des assauts fort rapide, environ 40 % de ma vitesse maximal, pour tester encore une fois. Le résultat fut qu'il avait paré tous mes coups. Il était devenu plus agile et visualisait plus facilement mes attaques très précise. Je réapparut devant lui.
- On dirait que je vais avoir quelque difficulté, mais rien de bien grave. Whouaa!!
On m'avait toujours dit que j'avais un bâillement assez spéciale. Ce n'était pas de la fatigue mais de l'ennui. Oui je m'emmerdais grave, à l'heure actuel je serais dans les toilette en train de foutre les boule au fillette qui passerais et de m'amuser avec les quelque pleurnicheuse. Décidément c'était la journée porte poisse.
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-Je suis bien aise à te poser quelques difficultés.
J'avais dit ces mots avec le plus innocent des sourires. Sincèrement, je ne pus m'empêcher de me dire que, bien que assez déplaisantes, ces marques de brûlures lui donnaient un charme de survivante, ce qui me plaisait bien, à moi. Mais... putain, je divagues ou quoi? C'est pas le moment de penser à ces trucs. Lorsque je la vis bailler, je "baissa" ma garde pour la regarder, essayant de cerner ce qu'elle était mentalement. Elle ne semblait pas folle, mais pas très calme non plus de l'intérieur.
-J'ai une petite question. Pourquoi n'as-tu plus foi en les autres? Est-ce parce qu'on t'a fait souffrir? Ou simplement parce que tu es complètement cinglée?
Je sentais qu’en sa présence, un truc en moi clochait, j’avais l’impression d’être dysfonctionnel, qu’un truc avait déréglé dans mon corps… ou dans mon âme, une sorte d’anomalie qui m’empêchait de raisonner clairement par moment. C’était peut-être parce que mes deux facettes étaient toute deux excitée par ce nouvel adversaire.
-Personnellement, je pencherais pour la première option. Si c’est le cas…
Je lui fais le plus beau des sourires avant de me déplacer à très grande vitesse vers elle et de lui envoyer une droite en plein plexus. Ce coup n’était pas porté par la haine ni par la colère. Aucune motivation pour faire du mal à une personne qui a déjà assez souffert ne m’habitait lorsque mon coup ait atteint son objectif, ce qui aurait eu tôt fait de provoquer un arrêt temporaire de la respiration ou, si elle l’avait bloqué, une simple riposte qui pourrait s’avérer fatale si je ne l’avais pas déjà prévue .Si elle l’avait parée, mon bras libre était déjà prêt à bloquer voir à recevoir le coup de poignard.
-Je comprend parfaitement que tu veuilles te venger des mortels.
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Pourquoi est-ce que l'on voulait toujours savoir la raison de mon attitude. Parce qu'ils sont trop con pour comprendre. Il voulut m'envoyer un coup vers mon plexus, je para avec ma main gauche, lui envoya le plat de ma main droite vers le seule endroit du cou où il aurait de grave séquelle, par réflexe, il le bloqua, mais il ne vit pas mon pied droit arriver, encore une fois sous son menton. Il fut projeté à deux mètre. Je me redressa et lui dit avec toujours la même froideur.
- Si je devais vraiment t'expliquer j'en aurais pour trois heures. Pour faire simple, on m'a tuée et je suis encore en vie malgré tous. Vous les mortels vous ne savez pas ce que c'est pour un ange de se faire arracher les ailes. Normalement on devrais se tuer après ça, mais moi, je suis devenue une âme vengeresse.
Je me mit en position, il restait encore peu de temps avant que je devienne vraiment l'ange terrifiant, Luhimi la Princesse du Sang. Je continua mon exposée.
- Ne croit pas que j'en veuille totalement aux humains, ce n'est que le début d'un engrenage trop complexe pour toi. Mon but ultime c'est de tuer les dieux eux même de réorganiser ce monde avec ceux qui m'auront prêtée allégeance et d'éradiquer l'époque des anges.
J'éclata de rire, sans raison apparente, puis me calme, mon aura se libéra complètement et le temps se figea. Tous semblait être imprégné de ténèbres et d'effluve démoniaque. Mon regard se fit plus transperçant, mon sourire plus monstrueux tout en restant doux et humain.
- Tu as de la chance, il est rare que je monter cette puissance à un mortel, comme je ne suis pas une méchante fille je te laisserais trois possibilité au lieux de deux. La première est de me laisser partir bien gentiment. La seconde est de me résister et je me verrais dans l'obligation de te faire connaître la peur de la mort pour calmer tes ardeurs. La dernière est de me porter allégeance et de me montrer de quoi tu es capable dans le domaine du plaisir. Sachant que si tu prend la dernière ton destin sera incertain.
Kamui avait intérêt à se dépêcher, ma puissance allait bientôt s'abattre sur lui et l'écrabouiller au sol.
-
Après un bon petit cou de pied sous le menton, me voilà au sol, la lèvre inférieur légèrement fendue, mais elle se referme à peine l'ai-je constaté. Un humain normal se serait avoué vaincu pour éviter la mort. Deux fois, je me fais défoncé la gueule par des entité. La première, par Xatiav, l'alchimiste fou, et par elle, l'ange déchue complètement ravagé par sa vengeance. Elle me regarda avec un sourire.. plutôt étrange. Je m'assieds.
-Ton offre... je crois que je vais te prêter allégeance. D'un coté, je ne peux pas te laisser m'échapper et de l'autre, je n'ai sincèrement pas envie de crever... du moins, pas maintenant.
La mort ne m'effraye pas. Je sais bien que s'il y a vraiment un paradis, je ne suis pas prêt d'y aller, après tous les hommes que j'ai tué sur Terra pour pouvoir capturer mes cibles, c'est l'enfer qui m'attend. Je souris doucement à celle qui m'a passée une nouvelle laisse autour du cou. Cependant, cette laisse est moins importante pour moi que celle que Yume m'a passée. D'un coté, il y a la totale soumission (ce qui va être coupé par Xatiav qui veut que j'enseigne des trucs à sa divinité artificielle) et de l'autre, l'amour, duquel je devrai me séparer pour exécuter certaines tâches. Je m'agenouille devant Luhimi.
-Je te prêtes mon allégeance pour le moment qui m'est permis de te servir.
Par contre, le seul hic, c'est ce qu'elle pourrait me demander. Je ne suis pas du genre à massacrer des villages... c'est l'autre qui peut faire ça, sans en avoir trop sur la conscience. Je regarde Luhimi. C'est vrai qu'elle était mignonne... enfin, quand elle n'a pas envie de massacrer quelqu'un, elle l'est. Bientôt, je devrai partir et même elle ne pourra pas me retrouver, là ou je serai, mais bon, elle peut bien faire de moi ce qu'elle veut, ca ne me dérange plus depuis longtemps.
-
La réponse qu'il me donna me plaisait. Je fit disparaitre mon aura et redevint la Luhimi calme et innocente. Je prit mon poignard et fit une petite petite entaille sur le bras de Kamui, je passa ma langue sur la plaie qui se referma presque immédiatement. Je me fit une plaie et le pointa sous le nez de mon futur vassal.
- Pour me prêter allégeance, bois ce sang que je t'offre. Dès l'instant où tes lèvres le toucheront mon sang tu seras sous mes ordres. Quand le moment viendra je t'appellerais, libre à toi de me servir ou non, mais si tu me trahis alors tu en subira les conséquences qui seront nécessaire. Quand j'arriverais à prendre un trône d'un dieux, je t'y placerais. Ton allégeance ne te coûte rien hormis la fidélité. Tu es libre d'aimer qui tu veux, de faire ce que bon te semble, mais essai de m'évincer et tu perdra ce qui t'es précieux.
J'attendis la réaction de Kamui, sans pour autant oublier qu'il doit me montrer comment il est doué en plaisir.
-
Ce qui m'est précieux... elle a touché la corde sensible de mon esprit. Sans hésiter une minute de plus, je prends délicatement sa main dans la mienne et je rapproche la plaie de mes lèvres. Je n'agis que pour le bien de Yume, qui se suit du mien. Doucement, je lèche la plaie puis je la regarde se refermer à cause des gènes contenu dans ma salive. Une autre facette de ce pouvoir que je n'ai pas explorée encore et que j'ai bien l'intention de me souvenir.
-Voilà. Je vous appartiens de corps, maîtresse.
De corps, car mon âme et mon cœur appartiennent à une autre, pour la sureté de laquelle je viens de sacrifier ma liberté... ou alors, c'était aussi pour mon orgueil, c'est difficile pour un homme de savoir s'il mélangeait son orgueil ou une bonne intention... Je venais de m'engager à servir l'une des criminelles les plus recherchées de la Terre et de Terra. Mais peu m'importe, je sais qu'elle pourra trouver Yume où qu'elle soit et je ne me risquerai pas à la provoquer. Je la regarde dans les yeux. Le dernier mot que j'ai prononcé, "maîtresse", est lié à un très mauvais souvenir... bah, finalement, ce n'est pas si changeant que ça, toutes deux sont cinglées et désireuses de soumettre tout être à sa volonté.
-Vos ordres?
-
Je remarqua que ma dernière phrase avait touché de plein fouet l'esprit de Kamui. J'eus un sourire quand il signa le pacte. Il était rare de voir et de connaître l'existence d'un pacte comme celui-ci, car même si je n'était plus un ange d'un point de vue social, j'en avais toujours l'odeur et le corps. Ce serment sera bien sur révélé aux ange d'en haut, mais ils ne pouvaient rien y faire. J'avoue que l'on m'appelle maîtresse me plaisais fort bien. Kamui attendait des ordres, j'allais lui en donner.
- Si tu as un vœux à faire ou une requête je t'écoute. Tu as l'autorisation de dire ce qu'il te passe par la tête, je ne te punirais pas si tu pense que je suis une démone ou autre chose. Je me dois de garder mes subalternes en vie et en bonne santé. Il y a une chose par contre que je n'accepterais pas, c'est que tu ne me pique une de mes proies, mais je doute que tu sois un chasseur. Il y a bien quelque chose que tu vas faire maintenant.
Je fis glisser la robe laissant voir ma poitrine et la culotte noire. Je prit le menton de Kamui et lui murmura à l'oreille.
- Fais moi voir comment tu te débrouilles pour donner du plaisir à une femme.
-
Elle s'était débarrassée de sa robe, se dénudant. La seule partie de son corps qui restait voilée, c'était son intimité. Le problème, avec moi, c'est que prendre l'initiative, c'est pas mon plus grand point fort et d'ailleurs, comment on fait pour satisfaire une femme cinglée réputée pour avoir violer des gens avant de les tuer? J'hésite un moment puis je pose mes lèvres sur les siennes, me redressant lentement. Ce baiser me dégoûte, mais je n'ai pas le choix et je laisse ma langue rejoindre la sienne, de plus, je n'aime pas être obligé de faire un truc, même si d'autres à ma place ne se seraient jamais plaint de pouvoir ainsi embrasser une demoiselle sans le moindre tendre sentiment. Pour ma part, je trouvais cela un peu cruel de sa part, puisque, grâce à ma dernière réaction, elle sait que je tiens quelqu'un. Dans mon esprit, je me dis que je n'ai pas à aller loin, je dois juste lui donner du plaisir. Oui, c'est mieux comme ça, le baiser me semble moins chargé de culpabilité et je peux même le rendre doux. Tant qu'elle ne m'y obligera pas, je n'aurai pas à entrer en elle et je ne serai pas obligé de tromper Yume. Mon regard reste cependant froid et l'aura que je dégages ne montre aucune passion, seulement de la soumission. Comme l'a dit mon père, lorsqu'il m'avait attaché pendant qu'il violait une des servantes, c'est qu'un bon serviteur se soumettait à chaque volonté de son maître. Je me rappelle très bien qu'il avait même obligé la servante à pousser des cris de "plaisir" malgré que l'expérience qu'il lui faisait subir était loin d'être agréable. Ce souvenir, bien que très désagréable, s'appliquait à sa situation, puisque, comme la servante, il faisait quelque chose de normalement plaisant mais qui était loin de l'être. Cependant, mon baiser en restait expert et très appréciable, même si les sentiments n'y étaient pas.
Le baiser fut long, mais je ne chercha pas à le briser trop rapidement, ce qui aurait trahi mon déplaisir et comme je ne connais pas encore très bien ma maîtresse, je n'ai pas envie de voir sa réaction à ce dégout invisible. Mes mains étaient posées sur ses flancs, les caressant de haut en bas pour aller s'arrêter à ses hanches. Ses marques de brûlures ne me gênaient pas le moins du monde. Les sentir sous mes mains ne faisait qu'attirer ma compassion, et donc, une grande douceur, comme si mon corps ne voulait surtout pas que je lui fasse de mal. Un coté de moi trouve que ce supplice qui lui a été infligé était démesuré et injuste, mais d'un autre coté, je ne pouvais rien faire pour l'aider. Je doutes pouvoir l'aider à renverser l'ordre de ce monde, puisque je ne peux pas la battre elle, alors encore moins un archange. Encore moins si il s'agit d'une femme, puisque je ne serai que tout simplement incapable de la tuer. Il va falloir que je lui parles de mon code d'éthique, sinon, on risque de rencontrer un problème lors de son insurrection contre les force divines.
Je ne pouvais pas nier que cette femme était attirante. Elle avait beaucoup de caractère, bien qu'impolie. Elle était belle, elle semblait aussi avoir une tête sur les épaules, même si ce que je m'attends à sortir de sa bouche, c'est plutôt des injures contre les êtres célestes. Mais elle n'avait pas peur, ce qui, pour ma partie sombre, était une grande source d'attirance, mais je crois que la peur peut aussi me permettre de mieux cerner ses goûts. Bah, comme quoi je vais surtout lui servir d'esclave, je n'ai pas vraiment besoin de me préoccuper de ces choses... enfin, je crois. Ce dont elle a besoin, je ne risque pas de tarder à le découvrir.
-
Il commença par poser ces lèvres sur les miennes, il n'était pas motivé et froid, je le sentais, malgré que ce baiser soit doux, il se forçait et cela m'agaça un peu, mais l'on ne pouvait pas tout avoir. Puis il sembla au bout d'un long moment devenir plus doux comme si le fait qu'il touche et effleure mes marques apaise un peu son esprit. Je brisa moi même le baiser et enlaça sa taille avec mes bras, j'avais prit soin de ne pas forcer, de donner la sensation que ce sont mes ailes perdues qui l'enlaçaient à la place de mes bras. Je posa mon front sur le sien.
-Je ne te force à rien, tu ne sembles pas encore prêt pour m'accepter en tant que femme. Tu as une âme sœur, cela se voit dans ton comportement et tu es libre de tes actes, tu n'es pas une esclave dont je tiendrais la chaine.
Je posa avec douceur mes lèvres sur les siennes, je voulais lui montrer que mon ancienne partie angélique pouvait de tant à autres ressurgir. Je laissa Kamui se détendre et je sépara mes lèvres des siennes.
-Si je peut être utiles pour un service je le rendrais volontiers, ce serment ne met à égale par rapport à moi, donc ne te retient pas si tu veus quelque chose de moi.
J'appliquais une méthode peu connut, le patient croyait avoir le choix, mais ces réponses étaient orientées de manière sournoise. Cela m'avait souvent servit pour divers information ou action.
-
Je lui souris doucement avant de l'embrasser. Yume... Je sais que je l'aime mais... quelque chose en moi me dit que je devrai partir dans pas longtemps et que je participerai à des évènements contre les dieux pour les ôter du chemin des hommes. Je savais aussi que j'allais être impliqué dans des choses pas nettes et que je devrai me détacher de Yume, pour la sauver et pour ne pas me troubler. Doucement, je caresse la joue de ma maitresse, décollant mes lèvres des siennes.
-Maîtresse... de grand bouleversements se produiront bientôt. Je devrai me détacher d'elle, parce qu'elle est une simple humain, elle ne résisterai pas si des créatures se servent d'elle, alors, ce que je fais ce soir n'est ni bien ni mal. Le seul service que je vous demandes, c'est de ne pas intervenir dans mon destin et je ferai ce que je peux pour être un bon serviteur.
Tendrement, je l'embrassai dans le cou, passant ses bras autour du mien. J'allais montrer, pour une seule nuit, quel sorte d'amant je suis. Je plongeai un regard tendre et tout simplement amoureux dans les yeux de ma maîtresse avant de la faire doucement reculer contre le mur, l'y adossant doucement. Je portai alors sa main à mes lèvres et embrassai ses doigts fins avec amour. Je la regardai dans les yeux et je décidai de la traiter en véritable amante. Je pris la parole, à mi-voix, rapprochant nos lèvres.
-Luhimi-sama...
Et je l'embrassai, dégageant la passion, la tendresse, l'amour et la douceur qu'une amante rêve d'avoir pour elle seule. En cette nuit, même elle ne pouvait voir la différence entre moi et un véritable amant, totalement amoureux et fou d'elle.
-
Le baiser de Kamui fut plus savoureux que les précédente tentatives, je pouvais sentir sa main douce toucher ma joue, c'était grisant de posséder un tendresse comme celle-ci sans avoir du utiliser mes méthodes habituelles. J'écoute sa demande et sourit, je n'avais de toute façon aucune envie de gérer sa vie, cela aurait dit qu'il était incompétent pour gouverner un jour sur ce monde.
Je soupira d'aise quand je put sentir ces lèvres embrasser mon cou, mes bras enlacèrent son cou et le laissa guider mon corps au grès de ces envies. Je sentit le mur derrière moi, il n'était pas froid et reçu un baiser pour chaque doigts, c'était délicieux, mais moins que son baiser.
Je me détendis et posa mes mains sur sa poitrine et les fit glisser avec douceur, jusqu'à ces hanche, puis je les replaça autour de son cou en rompant avec sensualité le baiser et je lui murmura à l'oreille.
- Ne t'inquiète pas je te laisserais libre comme l'air, mais il se peu que à notre prochaine rencontre j'ai changée, aussi fait moi frissonner de plaisir, montre moi ce qu'est l'extase.
Bien sur que je savait ce que c'était, mais avec lui j'étais sur d'en découvrir un plus intense, plus excitant. Je retira sa veste avec douceur et regardant toujours Kamui dans les yeux, avec un regard très séduisant et qui ne demandait que à être comblé. Je l'embrassa encore un fois, mais cette fois je plaqua complètement ma poitrine sur la sienne. Je voulais qu'il profite de moi ici et maintenant avec toutes la fougue qu'il avait.
-
Elle semblait avoir apprécier ma nouvelle douceur et sincérité dans mon envie de m'avancer sur le terrain des jeux de la passion et était parfaitement consentente, ce qui me rassura grandement. Je ne pouvais prendre le risque de la mettre en colère, là ou nous en sommes, collés l'un cotre l'autre, moi-même cherchant à garder à l'esprit qu'elle était ma déesse, même si ce n'est que cette nuit, je devais lui accorder tout mon attention et ne pas me laisser distraire par quoi que ce soit. Elle retira ma veste et je me collai à elle une nouvelle fois, unissant nos lèvres d'un baiser. Elle voulait avoir des frissons? Je vais lui en donner, quitte à y passer un long moment. Doucement, je plaçai mes mains à coté de chaque flanc, laissant ses bras libres de mouvement et j'amorcai une descente vers sa ferme poitrine, embrassa sa chair avec sensualité.
Suivant mon mouvement, mes mains vinrent se poser sur ses hanches alors que ma bouche se dirigeait vers son sein gauche, laissant quelques petits suçons derrière moi avant d'atteindre mon objectif. La petite pointe de chair brunâtre de son mamelon était légèrement dressée, mais pas assez à mon goût. Tout doucement, je passai ma langue sur l'auréole de ma future amante, caressant la peau sans toucher le mamelon. Celui-ci ne resta pas sans caresse bien longtemps, puisque j'allai le léchouiller doucement avant de le prendre en bouche. Je me demandais comment ma maîtresse allait apprécier cette nouvelle caresse. Les petites tortures qu'étaient les préliminaires étaient également ma partie préférée, puisque je pouvais voir les frissons et entendre les gémissements de plaisir de mon amante sans touche encore au coït, preuve que j'étais capable de leur faire du bien. Je poursuivis les caresses de mes lèvres et langue sur son mamelon avec le renforts de suçottements et mordillements sur la pointe qui commencait à pointer. Ma main gauche remonta la peau du flanc de Luhimi en l'effleurant doucement avant de la poser sur son sein droit et commencer un doux massage sur celui-ci.
-
Je pouvais ressentir la douceur du Kamui que j'avais en face de moi. Il semblait être content, sans doute avait-il peur de ma réaction, je sourit à cette idée, il est vrais que l'on ne s'attend pas de voir une meurtrière prendre du bon temps avec une personne.
Il commença les préliminaire en voulant s'occuper de ma poitrine en laissant sur son passage de tendre baiser, je plaça ma main droite sur mon cou, d'une part pour montrer que cela me plaisait et ensuite car j'avais cette manie quand je commençais à vraiment m'amuser. je commença à gémir de bien être quand sa langue se mit à raffermir et durcir mon sein gauche, ces douce morsure et aspiration donna une dose de plaisir plus importante et le doux massage de mon sein droite m'excita encore plus. Je mit main droite sur celle de Kamui qui me massait, joignant mes doigts entre les sienne et le guidant pour lui montrer qu'il y avait plus doux et tout aussi délicieux. Ma main gauche quitta mon cou pour ce placer à l'arrière du crâne de mon compagnon et l'amener un peu plus sur ma poitrine.
- Que dirais-tu d'aller plus loin dans nos ébats ?
Ma voix étati douce et fut accompagné d'une regard demandant plus de plaisir.
-
Aller plus loin dans nos ébats... mais quelle charmante et aguicheuse idée qu'avait eu la demoiselle. Je levai un moment un regard innocent vers le sien, comme si je ne savais pas quoi faire, mais il me prit une seconde ou deux pour changer de regard et m'emparer de ses lèvres, geste signifiant "si tel est votre désir" je la soulevai un moment, comme si elle ne pesait pas plus qu'une plume, fit un pas de coté et la déposa sur une table collée au mur, lui permettant d'être assise pour mon prochain traitement, qui risquait de bien lui plaire... ainsi qu'à moi-même. Suivant les mouvements qu'elle réclamait de ma main gauche, je continuais mon massage sur sa ferme poitrine. Je la regardai un moment dans les yeux, le front collé au sien, puis je l'embrassai une dernière fois, cette fois, mes caresses se feront bien plus bas que la poitrine.
Je posai mes mains sur les cuisses de la demoiselle, effleurant ses lèvres d'un autre baiser, mais je m'en ravisai avant de briser la tension sensuelle qui grandissait. j'embrassai son menton, sa gorge, son torse, son ventre, posant mes lèvres sur chaque parcelle de peau qui s'offrait à moi. J'arrivai enfin à la culotte noire qui avait attiré mon attention depuis un moment déjà. J'écartai doucement les jambes de la demoiselle et je me mis à lécher son intimité, toujours couverte du tissu. Cette caresse, si elle voulait qu'elle ait un contact plus directe, devra être influencé par le déplacement volontaire de la barrière de tissu, signe final du consentement de ma maîtresse.
-
J'étais avide de savoir ce que Kamui allait bien pouvoir faire. Il me mit sur la table qui était juste à côté de moi et il se mit à me déposer ces lèvre sur tous mon corps pour arriver à mon intimité. Je laissa mon compagnon se mettre en place et ecarter mes jambes, je souriait rien qu'à l'idée de la suite. Elle ne fut pas trop longue à attendre, il se mit à passer sa langue le long de ma fente, et malgré le tissus je sentait bien ce traitement, le seul ennui c'est que j'en voulait encore plus. je voulais sentir directement sa langue humide s'amuser avec mon intimité.
- Amusons nous un peu plus veux-tu ?
A ces mot je posa ma main droite sur le front de mon partenaire pour le forcer, en douceur, à reculer sa tête. Je retira ma culotte tout en prenant un certains temps, histoire d'exciter un peu plus Kamui, puis j'écarta gentiment les jambes offrant mon intimité, qui commençait à mouiller, au grès des idées de Kamui, mon regard n'avait pas perdu de son intensité et demandais sa dose de plaisr.
-
Cette femme savait ce qu'elle voulait. À peine ai-je commencé mon traitement qu'elle me fit reculer, retirant lentement sa culotte, me faisant bouillir d'envie sur place. Lorsqu'elle l'eut enfin envoyé plus loin, je revins à l'assault, lui écartant à nouveau les jambes et j'embrassai son intimité avec une grande fougue. Je disais bien "embrasser" car je posais mes lèvres sur celles, intimes, de mon amante et j'enfoncais ma langue dans son organe reproducteur avec fougue. La cyprine était plutôt affluante, pour mon plus grand bonheur. Ma maîtresse avait un gout parfaitement irresistible et elle était bizarrement... sucrée. J'aimais son goût, vraiment. Elle goûtait très bon, comme si son corps avait la capacité de se conformer aux goûts de celui qui goutait ses fluides. Son sang également n'était pas dégueulasse, il avait aussi un goût sucré et agréable.
J'attendais maintenant le prochain ordre de mon amante et maîtresse. Mon corps brûlait de plus en plus et mon sexe, se durcissant peu à peu, commençait à être pas mal incorfortable dans ce tissu qui l'empêchait de s'échapper et de prendre plus d'expension. À Luhimi de voir si elle a envie de libérer ce sexe excité de sa prison de tissu.
-
Il ne fut pas longtemps pour que Kamui se décide à réagir. Il me procura un ben fou, il savait s'y prendre cela se sentait. Je mit ma main gauche sur ma bouche pour étouffer mes gémissement. Il devait vraiment adorer mon fluide, il est vrais que celui des anges ont un goût exquis. il sembla se calmer et attendre un autre ordre, je remarqua que son sexe était presque prêt, je le déshabilla.
- Je vais t'aider à t'alleger un peu. (petit rire)
Je prit prit son sexe et le mit en bouche, je fit des va-et vient en utilisant ma langue pour enlacer le sexe et donner de meilleur sensation durant la masturbation. Je le faisait comme une reine, c'était un de mes pratique favorites. Cela permettait de se faire plaisir et dans beaucoup de cas de l'argent.
j'arrêta un moment histoire de voir comment se comportait Kamui à ma stimulation, avec un regard qui se traduisait par "Je continue ?".
-
Après un petit moment à m'occuper de son ô combien savoureux jardin secret, le léchant avec gourmandise et avidité, Luhimi me repoussa une seconde fois et me retira mon pantalon et mon slip, me mettant à nu devant elle. Tout doucement, elle descendit vers mon sexe et se mit à une fellation très experte. Sa langue caressait mon gland comme aucune autre avant elle, elle le faisait tout simplement à la perfection, c'était le seul mot qui allait à cette caresse.
Ses yeux me demandaient si cette caresse était bonne, si j'aimais et si je voulais continuer. Rétorquer non serait un horrible mensonge alors, tout doucement, sans me montrer un tant soit peu dominant, j'allai poser ma main derrière la nuque de mon amante et je mis en place un doux rythme d'accompagnement, sans exécuter la moindre pression, juste pour lui dire que sa caresse était une grande réussite. Des soupires de plaisir échappèrent mes lèvres tant la fellation faisait effet. Mon sexe se collait maintenant à son palais et je commencais déjà à retenir ma jouissance.
-
Je vit l'horloge et au vue de l'heure nous n'aurions pas le temps de faire grand chose, autant finir ce que j'entreprenais et le laisser continuer pour une prochaine fois.
Je mit ma mains droite sur mes lèvre pour augmenter la sensation de ma fellation, je m'arrangeais pour donner un rythme très doux, pour qu'il est une très grande dose de plaisir sur un délai très long. Je l'entendais s retenir, tous les signe de l'approche d'une éjaculation étaient présente. Je ralentit encore le rythme pour rallonger le temps avant qu'il ne lâche son sperme.
Quand je put sentir qu'il n'allait plus pouvoir se retenir, j'enlace mes mains sur ces hanche et enfonça son sexe le plus profondément dans ma gorge, je bu tous le liquide qui s'échappa, puis aspira le reste. Le goût était succulent, le meilleur sperme d(homme que j'ai goûtée jusque là
- Je crois qu'il va falloir attendre une prochaine fois pour faire la suite.
Comme pour confirmer mes dire, la cloche sonna le début des prochains cours. Je me rhabilla, en pensant à reprendre mon poignard, refaire mes bandages et ouvrit la porte.
- Merci pour ce repas, il était délicieux, à une prochaine fois.
Puis je partie ne courant, histoire qu'il ne me suive pas. J'avais l'impression que quand je le reverrais il aurait changé. J'eus un doux rire, si moi aussi j'avais changée entre temps, cela aurait été amusant.