Comment faire accuser quelqu'un de vol - démonstration pratique ! [Misaka]

Comment qualifier une telle journée ? Merdique ? Chiante ? Ouais, un peu tout ça. Toute la journée il avait devoir jouer les flics en poste au centre commercial de Seikusu. Quel boulot chiant, surtout que ce n’était même pas pour de l’intervention, juste pour de l’intimidation. Du coup, il allait devoir vadrouiller toute la journée dans cet endroit qui le débectait, voir tant de bon sentiments et de joie… lui qui n’y avait jamais eu droit il avait beaucoup de mal à l’accepter !

Mais bon, il avait du boulot : marcher… il n’avait même pas de coéquipier là-dessus, absolument personne, et il devait être vu régulièrement sous les caméras de surveillance, donc forcément, il allait devoir marcher et faire des rapports au central très régulièrement, pour faire genre il surveillait, mais bon il allait  bien trouver à s’occuper, au pire, il causerait des ennuis à quelqu’un ! Oui, ce serait amusant !

*
*  *

Il était à peu près dix heures et demie, tous les magasins ou presque étaient ouverts. C’était bien parti pour que ce soit une journée de foule. Fais chier… Au cours de sa ronde, il entra dans un magasin au hasard… un magasin de fringues. Il regarda ce qu’il y avait comme monde, pas beaucoup de personnes, deux, voir trois tout au plus. Il regarda un peu de quel genre de personnes ils s’agissait. Un couple et une jeune femme.

Il montra son badge en entrant dans le magasin, il s’agissait d’un magasin de vêtements féminins. Le couple était au rayon sexy. Il les laissa choisir un peu en paix s’intéressant à la jeune femme qui déambulait dans les rayons. Vous êtes prêts pour la première crasse ? Allez, hop ! Il prit en passant dans un rayon un string auquel il arracha discrètement l’antivol avant de remettre le sous vêtement à sa place. Il passa à côté de la jeune femme et  - exprès -  la bouscula légèrement, profitant de la bousculade pour glisser en toute discrétion l’antivol dans son sac.

"Oh, excusez moi, je vous prie de m'excuser..."

Puis il sortit du magasin, s’asseyant sur le banc devant, il avait hâte de voir ce que ça allait donner ! Il souriait en coin, pour s’amuser, il allait s’amuser.
 

Combien de fois Brooke avait-elle abimée ses vêtements dans une de ses sorties nocturne.. tellement de fois que Misaka ne les compte même plus mais, bien sûr c'est elle qui devait aller remplacer les pots casser, même si faire du shopping ne devait pas être un fardeau en soi pour une jeune fille.

Il était déjà neuf heures quart, Brooke avait prolongée sa sortie nocturne à n'en pas douter. Heureusement, aujourd'hui c'est jour de repos, le soleil au rendez-vous brillait depuis un moment déjà, tendit que les oiseaux faisait preuve de présence par leurs chants délicat, une agréable journée en prévision.

Elle devait se dépêcher, le gérant de son magasin de vêtement favoris devait fermer boutique à midi, le temps de prendre un petit-déjeuner et une douche avant de se rendre au centre commercial.

Il y avait un monde fou, les déambulaient de partout, entraient et sortaient des magasins, dire qu'il n'était que dix heures. Elle s'empressa de passer par les escaliers pour monter au deuxième étage du centre commercial, là où se trouvait le magasin de vêtements.

Étonnamment, il n'y avait pas grand monde dans le magasin, Misaka en profita pour trainer de rayons en rayons à la recherche de fringues qui lui plairaient. Au détour d'un rayon, un homme la bouscula accidentellement..

"Oh, excusez moi, je vous prie de m'excuser..."


 Surprise, elle baisa timidement la tête devant l'homme qui s'excusait puis continua à fouiller les rayons, regardant du coin de l'oeil l'homme sortir du magasin, Misaka n'aime pas être bousculée, elle a trop peur que la personne ne s'explique ou lui demande de s'excuser.. moins elle est embarrassée, mieux elle se porte.

Shopping fini pour les vêtements, elle avait achetée plus qu'il ne lui fallait, comme à son habitude. Arriver à la caisse, elle paya ses achats mais, en sortant, le détecteur d'antivol se mit à sonner..

- Mademoiselle ! Attendez !..

Paniquer, la jeune fille resta sur place avant que le gérant ne l'attrape par le bras et la tire vers lui.

- Vous avez volée quelque chose n'est-ce pas !? Vous allez attendre à l'arrière du magasin, le temps que la police arrive.

L'homme tira brutalement Misaka par le bras, il la tenait fermement par le poignet, elle essaya de s'expliquer, qu'elle n'avait rien fait mais, le vendeur ne voulait rien entendre et ils se dirigèrent vers l'arrière du magasin, dans la réserve et il y enferma la fille avant de partir chercher la sécurité.

Il ferma les yeux en voyant la jeune femme, habillée à l’américaine, arriver à la caisse. Trois, deux, un…. Et la sonnerie antivol se mit à faire un bruit monstrueux !  Il éclata de rire d’abord intérieurement avant de commencer à ricaner doucement, particulièrement amusé par la situation, il avait bien rit, sa journée n’était pas perdue !  Il se leva et commença à s’éloigner, n’ayant rien à foutre de la suite. Il n’avait eu pour seul objectif que créer des ennuis à qui il avait envie, la minette au style ricain en l’occurrence !

Elle allait avoir de sérieux ennuis, et il aurait bien voulu voir ça ! Mais il avait une ronde à faire, enfin, il devait avoir une ronde à faire, mais il était officier des forces de l’ordre et à ce titre, l’un des employés du magasin le rattrapa en courant et le stoppa d’une main sur l’épaule. Il y avait un problème au magasin, un vol ! Il sourit encore plus franchement intérieurement à la mention de nécessité de fouille. Chouette alors, il allait pouvoir tripoter !

Il opina gravement du chef et le suivit, revenant donc qur ses pas pour entrer dans le magasin où il avait fait son coup tordu. Il demanda au vendeur s’il y avait quoique ce soit sur les caméras, il lui expliqua alors que les caméras étaient hors service depuis plusieurs jours… Gabriel exprima son regret le plus faussement possible, faisant croire à une sincérité plus que feinte…

Il  demanda la clé au personnel et quelqu’un l’accompagna pour lui ouvrir et lui indiquer la bonne salle aussi tant qu’à faire… reconnaissant le rayon  où il avait prit l’antivol il saisit le string sans antivol et le mit dans sa poche en douce. Il allait justifier le vol… oui, ça ce serait amusant, elle aurait vraiment volé quelque chose, un string bien sexy qui plus est ! Il entra dans la pièce et on lui en donna la clé quand il le demanda, précisant qu’il voulait faire cela seul, il n’y avait pas à avoir de spectacle pendant uen fouille et encore moins pendant un interrogatoire !

Première chose qu’il fit en entrant dans la pièce fut de faire mine de pas la reconnaitre, elle se tromperait forcément… puis il lui montra son badge.

« Bonjour mademoiselle… lieutenant Gabriel Valmy, je vais vous demander de poser les mains contre le mur parce que je vais devoir faire une fouille complète… »

Le jeune homme s’approcha et lui lança en montrant magnétophone.

« Bon, grâce à cette bande je vais pouvoir enregistrer la déposition, alors, dites moi votre nom, votre prénom, votre âge, le lieu où vous vivez, en bref, votre état civil ! »

Puis il fit semblant de réfléchir, en effet, il avait déjà une idée sur ce qu’il allait demander, c’était tout bête, et même logique.

« Je vais aussi vous demander de vous déshabiller, comprenez moi bien, je ne vous demande pas de vous mettre toute nue – même si ce n’était pas l’envie qui lui en manquait – juste de vous mettre en sous-vêtements, nous sommes dans un magasin de vêtements et je dois être sur, vous comprenez ? »

Cette réserve humide était assez inquiétante, il y avait une lumière mais, pas assez puissante pour éclairer toute la pièce, le froid s'ajoutant à ça.. Pendant que la jeune fille se lamentait dans un coin, quelqu'un ouvrit la porte de la réserve. Un homme entra dans la pièce, un grand blond aux yeux bleu-gris, il montra directement son badge.

« Bonjour mademoiselle… lieutenant Gabriel Valmy, je vais vous demander de poser les mains contre le mur parce que je vais devoir faire une fouille complète… »

*Une.. fouille..?! ça veut dire que je vais devoir me déshabiller..*

Rien que l'idée de se déshabiller, la jeune fille se mit à rougir, au même moment l'homme approcha et sortit un magnétophone le mettant bien en vue.

« Bon, grâce à cette bande je vais pouvoir enregistrer la déposition, alors, dites moi votre nom, votre prénom, votre âge, le lieu où vous vivez, en bref, votre état civil ! »

Misaka semblait déboussolée, Brooke avait déjà eu affaire à la police mais, elle, non. Avant même qu'elle ne réponde l'homme qui semblait dans ses pensées lança.

« Je vais aussi vous demander de vous déshabiller, comprenez moi bien, je ne vous demande pas de vous mettre toute nue, juste de vous mettre en sous-vêtements, nous sommes dans un magasin de vêtements et je dois être sur, vous comprenez ? »

*Me déshabiller ?.. je ne peux pas.. je n'ai pas mis de soutien-gorge, je ne pensais pas devoir me déshabiller devant quelqu'un.. comment je vais faire..*

- Je.. heu.. je m'appelle Ishikawa Misaka, j'ai.. - L'homme semblait prendre plaisir à la voir embarrassée, son petit sourire ne fit que rajouter une couche - j'ai.. dix-sept ans j'habite à deux rues du centre commercial..

Les joues complétement rouges, elle resta tête baissée sans rien dire devant le policier qui attendait qu'elle se déshabille.

Comme convenu, il s’était retrouvé complètement seul dans les lieux, seul, complètement seul avec la jeune femme et avec pour seule preuve d’un quelconque témoignage ce dictaphone portable si facile à détraquer. Elle semblait particulièrement gênée par la situation. Il ne connaissait pas la raison mais il aurait bien aimer la connaitre, juste pour s’amuser. Il avait de toute manière l’intention de bien palper en détail. Il devait faire une fouille complète… Il l’écouta décliner son identité… mais  le coup du « à deux pas du centre commercial », trop imprécis…

Il ne répondit pas et se contentant de remettre le dictaphone dans le manteau et le retira pour le poser sur une étagère. Il trouvait qu’il faisait chaud ici… oui, il avait le sang chaud, au sens propre comme au figuré ! Il avait laissé le magnétophone dans le manteau pour ne pas que ça le gêne et sur le trench coat, il posa son portable, en cas de besoin. Quel besoin ? Aucune idée, mais sait-on jamais !

Il soupira en la reluquant sans se gêner. Il ne dit absolument rien pour le moment, il n’avait absolument rien à dire. Il préféra donc se taire. Enfin pour le moment. Il s’approcha d’elle et lui posa la main sur l’épaule, l’air un peu navré.

« Ecoutez, c’est la procédure… je ne suis pas forcément pour qu’un homme fouille une femme, mais c’est ainsi que ça fonctionne, hélas, alors s’il vous plait, faites le ! Plus vite vous vous serez déshabillée, plus vite nous en finiront avec ça ! »

Il lui serra juste un peu l’épaule et se cala contre les étagères pour la regarder faire. Son regard insistant ne lui laissa pas le choix. Il sourit et la fixait intensément, la transperçait du regard.

« Allez, s’il vous plait… »

Elle finit par luiu tourner le dos pour s’exécuter quelle pudeur. Il observait peu à peiu la jeune femme se découvrir, si elle était bien gênée, alors lui, il n'en avait rien à foutre, et mater, c'était une seconde nature ! Et pendant ce temps, il reprit la parole.

« Voilà qui est mieux. Mais sinon, quand vous disiez à deux pas du centre commercial, vous parliez d’où ? Et y a-t-il un moyen de joindre tes parents, Misaka ? »

Il se montrait plus familir, mais, et alors ? Ce n’était pas si ça allait changer quoique ce soit à l’état de la situation…

Le policier s'approcha de Misaka, sûr de lui, il mit sa main sur l'épaule de la jeune fille et prit un air navré, comme si ça le dégoûtait lui-même.

« Ecoutez, c’est la procédure… je ne suis pas forcément pour qu’un homme fouille une femme, mais c’est ainsi que ça fonctionne, hélas, alors s’il vous plait, faites le ! Plus vite vous vous serez déshabillée, plus vite nous en finiront avec ça ! »

Sa main commençait à se resserrer sur l'épaule de la fille, voulait-il lui faire du mal ou simplement la booster ? Dans tous les cas cela a fonctionné, aussitôt, la jeune fille tourna le dos à l'homme et se mit à se déshabiller, elle retira ses chaussures et pendant qu'elle enlevait son sweat, le policer qui se trouvait contre les étagères lui demanda.

« Voilà qui est mieux. Mais sinon, quand vous disiez à deux pas du centre commercial, vous parliez d’où ? Et y a-t-il un moyen de joindre tes parents, Misaka ? »

*Mes parents.. je n'peux pas lui dire que je suis orpheline et vis seule dans un appartement..*

Misaka continua de se déshabiller, elle enleva son t-shirt, l'homme derrière elle pouvait contempler son dos nu et par la même occasion s'apercevoir qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Toujours aussi gênée, la jeune fille descendit lentement sa jupe le long de ses jambes, pour finir par se retrouver en petite culotte. Aussi rouge qu'une tomate, elle mit ses bras devant sa poitrine devenue visible et se tourna face à l'homme qui la regardait se déshabiller avec plaisir, gardant la tête baissée, attendant quelques choses comme "C'est bon, je vois que tu n'as rien volée, rhabille toi." .. vraiment naïve.

Il sourit en la regardant, presque nue… était-ce l’absence de soutien gorge plus que superflus  qui la gênait. Il la dévisagea avant de la détailler, il l’observait, intéressé et amusé, la voir ainsi, simplement parce qu’il lui avait demandé, c’était agréable cette autorité qu’il avait ! Ah, le rôle de flic, il avait beaucoup de points négatifs, mais sur le coup, il avait des points positifs à engranger, le fait qu’il puisse apparemment lui ordonner n’importe quoi. Entre autres…

Il sourit et la regarda, elle était si gênée, c’état trop mignon… et en même temps il avait envie d’en voir davantage !  D’en avoir davantage aussi ! Il souriait tout en dent, jusqu’aux oreilles - façon de parler, évidemment ! –  Il s’approcha d’elle et posa la main sur son épaule, à nouveau, bien amusé !

« Apparemment tu n’as rien volé….j’aurai même tendance à dire que tu pourrais te rhabiller ! »
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Il regarda avec délectation la jeune femme récupérer ses vêtements pour se rhabiller avec sans doute un profond soulagement qu’elle ne dissimulerait pas trop mal mais qui serait visible et même palpable ! Le jeune homme sourit, un côté quelque peu sadique sur le visage.

« Mais…. Je dois quand même suivre la procédure !  C’est la règle, et la loi ! »

Non, pas tout à fait, c’est juste une pulsion humaine et sans doute plus précisément masculine… il s’approcha de la jeune femme et lui répéta l’une de ses premières consignes. Qu’il avait donné en entrant. De quoi sourire devant son embarras, mais pourquoi se priver en fait ? Il n’avait positivement aucune raison de le faire !

« Mets-toi dos à moi bras tendus devant toi, mais posées sur les étagères. J’en ai marre de devoir me répéter, alors fait le ! »

Il avait légèrement haussé le ton, il en avait marre… il attendit qu’elle obtempère pour commencer à faire une fouille des plus professionnelles pour commencer… il avait une intention complètement différente vis-à-vis d’elle…

Il palpa ses bras jusqu’aux aisselles avant de progressivement  descendre de part et d’autre de son corps.

« Tu n’as pas répondu à ma question ! »


Il lui envoya une légère dose de courant électrique, vous savez, le genre qui vous rend tout chose sans vous blesser !Mais qui vous émoustille bien malgré vous...

Il faisait froid dans cette pièce, la jeune fille était presque nue et le policier en face d'elle en profitait pour la regarder, il n'était pas difficile de savoir que ça lui plaisait mais, sans doutes que cela aurait plus à n'importe quel homme.

Il s'approcha d'elle, le sourire aux lèvres et une nouvelle fois mit sa main sur l'épaule de Misaka.

« Apparemment tu n’as rien volé….j’aurai même tendance à dire que tu pourrais te rhabiller ! »

*Je.. j'avais raison finalement, après tout, il fait juste son boulot.*

À la nouvelle, soulagée, elle s'empressa de ramasser ses vêtements éparpiller au sol pour se rhabiller mais, l'homme en avait déjà décidé autrement.

« Mais…. Je dois quand même suivre la procédure !  C’est la règle, et la loi ! »

« Mets-toi dos à moi bras tendus devant toi, mais posées sur les étagères. J’en ai marre de devoir me répéter, alors fait le ! »

Misaka ne s'attendait pas à un tel revirement de la part du policier, il semblait plus sérieux, plus agressif. Elle devait sans doutes coopérer pour terminer au plus vite, ce qu'elle fait après une légère hésitation. Elle se mit devant le mur, les bras dressés en appui contre le mur. L'homme se mit à palper son corps, comme si elle pouvait encore cacher quelque chose au-dessus de la ceinture alors qu'elle est nue à ce niveau-là. Il continuait de palper descendant de plus en plus bas, presque en la caressant.

« Tu n’as pas répondu à ma question ! »

Lorsqu'il eut fini sa phrase, une chaleur intense passa dans tout le corps de la jeune fille, une sensation d'excitation qu'elle laissa apercevoir par ses mouvements et les grimaces sur son visage. Cette sensation agréable prenant peu à peu de l'envergure, comme si elle contrôlait son corps, il faut dire qu'elle n'avait jamais de la véritable excitation, Misaka répondit, se pinçant les lèvres et cachant tant bien que mal sa façon de se déhancher lascivement.

- Je.. vis seule.. je n'ai pas de parents.. maintenant s'il vous plait.. laissez-moi partir..

Elle devenait encore plus rouge, pas par son embarras mais, par la chaleur qui prenait place dans son corps, elle guidait littéralement son corps, son visage légèrement humide et sa respiration plus rapide..

Il n’aperçut en rien les grimaces de la jeune femme, étant donné la position, mais ses déhanchés lascifs, ça par contre, il le voyait très bien ! Il ne put pas d’ailleurs s’empêcher de se rapprocher d’elle, presque pour se coller contre son corps. Elle ne semblait pas insensible étant donné la situation, c’était compréhensible ! Il lui avait envoyé une dose de plaisir en jus, enfin façon de parler. Il lui avait offert une sensibilisation au plaisir corporel par une induction nerveuse tout ce qu’il y avait de plus banale et de plus inoffensive !

Elle n’avait pas de parents et vivait seule… c’était un peu illégal, non ? Et bien si, complètement illégal…  c’était le genre de situation qu’il appréciait car ça le comblait d’envie retorses et d’idées tout ce qu’il y avait de plus libidineuses… oui, mais là, ça aurait causé un sacré chahut si ça se savait… mieux valait que cela rester bien enfoui au fond de son crâne, qu’il n’en parle pas !

« Tu sais, Misaka que c’est illégal de vivre seule à ton âge ?  Tu devrais être en orphelinat… Tu as un tuteur ? »

Une des mains se posa sur la hanche de la jeune femme, il entama de réelles caresses cette fois, envoyant une deuxième dose dans le corps de la jeune fille. Il trouvait cela follement amusant. Elle qui était déjà rougeaude, qui était déjà  bien lancée, elle allait faire encore mieux, il en était sur !

Non content de cette nouvelle décharge, il glissa une main pour saisir l’un des seins de la jeune femme, pôur le malaxer fermement, peut être un peu trop durement aussi, puis il pinça le bouton de chair sans réelle douceur.

« Parce que si tu n’en as pas c’est là que tu dois et que tu vas aller ! »

Il lâcha le sein de la jeune femme, pour le peu qu’il pouvait saisir étant donné la petitesse de ses protubérances mammaires. Non pas qu’il aimait la grosse paire de loches bien lourde, mais les petits, c’étaient bien aussi hein !  Au moins on prenait l’intégralité en main et pas la peine d’offrir des soutifs sexy car il aurait fallu du rembourrage ce qui aurait gâché le côté sexy !

Il lui donna une petite fessée…

« Et si on enlevait ça que tu me montres que tu ne caches rien dedans…. Tu en penses quoi ? »

Le policier effectua quelques pas pour se rapprocher de la jeune fille, il était presque collé à son dos, elle pouvait sentir dans son cou le souffle en saccade de l'homme. Il devait s'amuser, commencer à s'exciter.

« Tu sais, Misaka que c’est illégal de vivre seule à ton âge ?  Tu devrais être en orphelinat… Tu as un tuteur ? »

Le flic posa une de ses mains sur la hanche de la fille, sa main baladeuse entama de langoureuses caresses sur la peau de la petite Misaka. Au final, ce type n'était là que pour ça, il devait avoir cette idée derrière la tête depuis un moment déjà, les hommes sont tous les mêmes..

La jeune fille était piégée que pouvait-elle faire face à lui, qui allait-on croire ? Le policer, suivit sans doutes du gérant ou la petite orpheline de dix-sept ans, même pas en règles aux yeux de la loi. Elle ne pouvait qu'attendre, voir ce qui allait se passer.

Une deuxième vague de cette intense chaleur de tout à l'heure parcourra de nouveau le corps de Misaka. Cette sensation euphorique la fit frémir d'excitation, le policier ne s'en trouvait que plus amuser. Sans prévenir, il saisit de sa main l'un des seins de la jeune fille pour se mettre à le malaxer fermement avant de brutalement coincer entre ses doigts le bouton de chair, ce qui fit gémir la jeune fille, un petit cri qu'elle tenta d'étouffer de ses mains et l'homme continua de plus belles..

« Parce que si tu n’en as pas c’est là que tu dois et que tu vas aller ! »

Comme s'il s'inquiétait vraiment.. Il continuait de faire le bon flic alors qu'il était en train d'abuser d'elle. L'homme lâcha le sein de Misaka avant de lui donner une petite fessée qui la fit légèrement sursauter de surprise.

« Et si on enlevait ça que tu me montres que tu ne caches rien dedans…. Tu en penses quoi ? »

Il voulait la voir entièrement nue, la jeune fille ne voulait pas, non pas qu'elle ne s'était jamais dévêtue devant quelqu'un mais, jamais devant un homme et encore moins dans ces conditions. Misaka ne s'imaginait que trop bien les intentions de l'homme, il n'allait pas se contenter de la reluquer ou de la toucher, tremblante de peur et d'excitation elle baissa timidement sa petite culotte pour se retrouver totalement nue. La jeune fille se mit à genoux dos contre le mur tête baissée, cachant tant bien que mal de ses bras, sa nudité. Elle ne voulait plus parler, pas par envie mais, plutôt par peur.

Son léger cri étouffé, tout comme son sursaut quand il lui mit une légère fessée, mais bon, qu’importe qu’elle chiale ou qu’elle proteste, ce serait du pareil au même ! Il allait prendre son pied et elle se démerderait pour la suite… il la laisserait là souillée et sans doute endolorie au niveau des reins, mais ça, encore une fois, il s’en foutait ! Une seule chose était sure, vu la situation, elle n’allait pas protester, il suffisait voir comment la situation avait évoluée…

Il la regarda enlever sa culotte… elle avait de jolies fesses bien fermes, un peu petites, mais c’était la moindre des choses vu son gabarit général, n’étant pas bien grande, il n’avait pas à s’étonner de la situation… Il la regarda s’installer sur le sol, à genoux, dos contre le mur… pas bien vaillante la jeune femme… mais bon, parfois de la timidité et du lacher prise il appréciait aussi, ce ne serait pas une chevauchée fantastique, mais ce serait déjà pas mal !

Il s’approcha de la jeune femme en défaisant sa ceinture et ôté le bouton de son futal sous son nez avant de commencer à reculer pour aller vers son manteau. Il sourit et prit son téléphone et un stylo, un marqueur fin qu’il gardait dans a veste, un outil parfois pratique pour noter quelque chose, notamment sur les sacs de pièces à conviction, mais là, il avait une bien meilleure idée. Il se rapprocha d’elle avant de déboucher le marqueur.

« Ecarte tes bras de là… ma jolie… »

Et comme si cela ne suffisait pas à affirmer sa volonté, d’un geste sec, il lui écarta les bras d’abord, puis les genoux pour exposer la nudité de la jeune femme à ses yeux…

« Tu n’as pas à te cacher. De quoique ce soit ! Tu es très bien toute nue ! Mais… »

Il lui remit une petite gifle.

« Je te rappelle que tu n’as pas répondu à ma question ! Dépêche toi ou je te forvce à te promener toute nue dans tout le centre commercial ! »

Il sourit tout en dents avant de commencer à jouer du marqueur sur son corps, indélébile elle devrait frotter très fort et ce serait très douloureux sans doute… mais c’était ce qui était drôle… il commença par entourer les mamelons d’un cercle noir et marquer au dessus « pincez-moi ! ». Puis il le rangea, ce n’était u’un essai, juste comme ça, pour s’amuser, pour le reste, il verrait !

Puis il sortit l’attribut de masculinité qu’il possédait pour l’approcher de la jeune femme.

« Tu as besoin d’explications ou tu sais ce que je veux que tu fasses ? Sachant que si tu ne le fais pas tu auras de très, très gros ennuis… à commencer par ça – il sortit le string de sa poche -  que tout le monde est dur que tu as volé… alors c’est simple, tu obéis où tu as de gros ennuis… »

L'homme continuait de s'approcher de Misaka, dans sa marche il ôta sa ceinture et le bouton de son pantalon, il n'y avait plus de doutes sur les intentions du policier, il n'était pas là pour faire respecter la loi mais, plutôt l'enfreindre. À la vue de la scène, la jeune fille tenta de reculer un peu plus mais, elle était déjà dos au mur, sa vue donnait droit sur l'endroit qu'elle espérait tant ne pas voir. Amuser le flic se mit à reculer vers son manteau pour y saisir un téléphone et ce qui semblait être un marqueur noir, quel genre d'idée tordue ce type pouvait bien avoir derrière la tête, avait-il l'intention de l'humilier ? Pour la petite Misaka, sa nudité était déjà amplement suffisante. L'homme retourna auprès de la femme toujours dans la même démarche, à l'aise, comme si rien ne pouvait le déranger. Il déboucha le marqueur.

« Ecarte tes bras de là… ma jolie… »

Sans même avoir le temps d'agir, le policer par la force écarta les bras de Misaka puis, ses genoux, elle se retrouvait totalement visible aux yeux de l'homme.

« Tu n’as pas à te cacher. De quoique ce soit ! Tu es très bien toute nue ! Mais… »

Le flic remit une gifle à la jeune fille déjà sous le choc.

« Je te rappelle que tu n’as pas répondu à ma question ! Dépêche toi ou je te forvce à te promener toute nue dans tout le centre commercial ! »

Tout en regardant le policer, Misaka agita de droite à gauche sa tête pour signifier que ce n'était pas nécessaire, elle détourna le regard avant de lui répondre brièvement sur un ton larmoyant, de petites larmes coulaient le long de ses joues.

- Je vis seule.. je n'ai personne, pas de tuteur, ça vous va !? maintenant s'il vous plait.. laissez-moi partir..

L'homme ne répondit pas, il se mit à hauteur de sa jeune victime et commença à jouer avec son marqueur sur la peau de la petite Misaka, qui poussait, bien malgré elle, de petits gémissements, sa peau était devenue si sensible. Le flic se mit à entourer d'un cercle noir les tétons de la jeune fille avec écrit au-dessus « pincez-moi ! », vraiment ignoble son humour. Il rangea son marqueur puis se remit debout, il baissa un peu son pantalon histoire de laisser sortir son membre qui n'attendait que ça.

« Tu as besoin d’explications ou tu sais ce que je veux que tu fasses ? Sachant que si tu ne le fais pas tu auras de très, très gros ennuis… à commencer par ça – il sortit le string de sa poche -  que tout le monde est dur que tu as volé… alors c’est simple, tu obéis où tu as de gros ennuis… »

 La jeune fille tourna la tête devant l'attribut de l'homme, l'air dégouté mais, elle comprit très vite que cet homme ne serait pas tendre avec elle si elle refusait et de "gros ennuis" elle voulait les éviter à tout prix.

*C'est horrible.. comment je suis censée faire ? je n'ai jamais fais ça.. j'ai appris au cours de science comme le pénis pouvait s'exciter, je suppose que c'est ce qu'il veut.. ce type me dégoûte.. mais plus vite j'en aurais fini plus vite je pourrais rentrer.*

Misaka saisit de sa main droite le sexe du policier et se mit à le masturber, faisant de lents va-et-vient du poignet. La fille était dégoutée, on pouvait le lire sur son visage, elle ouvrait à peine les yeux pendant son action mais, son ne mentait pas lui, même dans un moment comme celui-ci, il suffisait de constater le nectar qui s'écoulait du sexe de la jeune fille, peu mais, bien assez pour savoir qu'elle n'était pas insensible au fond.

Donc elle n’avait vraiment personne ? Oh putain !  Il venait d’avoir une idée des plus salopes, mais il  la tut, il ne préférait pas en parler pour le moment, il préférait se concentrer sur ce petit plaisir tout simple qu’était un moment comme celui-ci, le plaisir de voir qu’elle n’oserait rien  contre lui,  ça c’était unique et surtout immanquable ! Il sourit en voyant ses larmes, il les essuya doucement de ses gros doigts.

Puis il la regarda prendre en main le membre viril. Elle faisait une moue des plus dégoutées, de quoi dégouter un régiment !  Elle allait le rendre momentanément impuissant à tirer cette trogne… heureusement, il avait une solution sans doute… oui, elle ne lui plairait pas, mais depuis quand se souciait-il de son avis et de ce qu’elle voulait ?Heu…. jamais ? Bonne réponse !

« Arrête de faire cette tête !  Tu arriverais à me rendre impuissant avec cette tête dégoutée ! »

Il chassa la main qui s’occupait de son phallus et s’approchant davantage d’elle. Il glissa son pied entre les jambes de la jeune femme  pour aller frotter l’avant de sa chaussure contre son intimité, elle était mouillée, elle commençait donc à être excitée… amusant ! Il se dit que ces court-jus avaient eu un avantage…

« La preuve que tu n’es pas si dégoutée que ça, ton corps en voudrait bien plus ! »

Il prit un peu d’élan avec sa main, la chargeant d’électricité pour jouer avec les induction nerveuses et lui mit une nouvelle gifle, juste pour le plaisir, mais cette fois ci, les conséquences électriques étaient bien plus impressionnante, les conséquences se résumaient en un mot :  orgasme…

Il venait de lui offrir un orgasme au travers d’une baffe, ça pouvait paraitre con, mais rien de mieux pour finir de la déstabiliser ! Sentir son propre corps agir contre sa volonté, il n’y avait rien de pire sans doute ! Et elle venait de le subir. Il s’approcha encore une fois de la jeune femme pour venir frotter contre le visage de la jeune femme son phallus…

« Tu vas la lécher comme une glace, allez ! »

Bien qu'elle se força, ce qu'elle tenait en main la dégoûtait, mais c'est surtout cet homme qui la dégoûtait, un individu aussi répugnant qui exerce le métier de "force de l'ordre".. il avait enfreint plusieurs lois qu'il avait juré de faire respecter et de respecter lui-même.

« Arrête de faire cette tête !  Tu arriverais à me rendre impuissant avec cette tête dégoutée ! »

Il dégagea la main de sa jeune fille qui s'occupait de son phallus, sans se soucier de lui faire mal ou non, et s'approcha un peu plus d'elle pour venir glisser son pied entre les jambes légèrement écartée de Misaka, il frotta l'intimité imberbe de la jeune fille de l'avant de sa chaussure, elle était déjà excitée, non pas par là situation, mais plutôt par la chaleur intense qu'elle avait ressentie précédemment.

« La preuve que tu n’es pas si dégoutée que ça, ton corps en voudrait bien plus ! »

Misaka était confuse, elle ne pouvait pas être excitée par la situation.. le flic ne lui laissa pas le temps de réfléchir, qu'il lui remit une baffe des plus violente. Cette gifle dégagea chez la jeune fille une sensation agréable, d'extase, au niveau du clitoris, chose qu'elle n'avait jamais vécue auparavant, elle se posa encore plus de questions "Est-ce la situation qui me met dans cet état ?", "Était-ce la gifle qui m'a fait du bien ?".. C'était la confusion la plus totale dans son esprit, elle remettait en doutes ses propres  penchants sexuelles mais, n'était-ce pas le désir du policier.. ce dernier approcha son phallus du visage de la jeune fille qui se trouvait à ses pieds, occuper à se crisper à son intimité, il frotta de son membre, les joues de Misaka.

« Tu vas la lécher comme une glace, allez ! »

*Il veut que je lèche ça ?! C'est.. dégoutant.*

Le policer, pour lui faire comprendre, approchait son pénis des lèvres de la jeune fille, qu'elle s'empressa de serrer, mais elle devait le faire, sinon, la justice allait être sur son dos pour un crime qu'elle n'a pas commis et bien plus. Misaka fit une moue écoeurer, avant de desserrer les lèvres pour se mettre timidement, sans-enthousiasme, à lécher du bout de sa petite langue l'extrémité du membre viril du policer, elle le lécha par la suite de part en part tout en caressant de ses mains mains les testicules de l'homme. Misaka faisait de son mieux pour lui faire plaisir, peut être que par la suite il serait plus clément.

- Ça.. ça vous fait plaisir.. ?

Demanda-t-elle, affreusement embarrassée. Il ne lui restait plus qu'à être "gentille" avec Môssieur le policier pour espérer ne pas avoir de problèmes plus grave encore..

Vous savez ce qui est bien avec ce genre de miss ? C’est qu’elles obéissent sans discuter, un peu comme une esclave ou une machine qui fait ce qu’on lui dit de faire sans discuter, ni pinailler… Une parfaite esclave… et malgré le fait que l’esclavage de sa personne soit une idée infâme,  il ne voyait pas d’un mauvais œil la soumission à sa volonté, bien au contraire !

Il regarda la langue rose de la demoiselle sortir de ses lèvres pour venir effleurer sa masculinité, hum, des plus agréables, surtout qu’elle prenait l’initiative de lui masser les valseuses en même temps… bien,  brave fifille… elle continua à jouer  de la lange sur son phallus, sans sourire, bien évidemment… dommage, enfin, on ne pouvait pas obtenir le beurre, l’argent du beurre et le string de la crémière… en fait… si !

Il continuait de frotter sa chaussure contre l’intimité de sa victime alors qu’elle léchait…. Elle ne s’arrêta que pour lui demander si ça lui faisait plaisir !  Question stupide !  Il ne lui répondit pas immédiatement… il préférait observer son embarras et cela ne lui donnait que plus envie d’elle… il restait silencieux… avant de lui donner un léger coup de pied dans l’intimité, juste assez pour faire mal en fait…

« Tais toi et applique toi ! Tu vois, quand tu obéis bien sagement, sans rien dire ni rien demander, je ne te fais aucun mal, quand en fais trop, tu es punie… je n’y suis pour rien, je n’aime pas te punir – il mentait sans vergogne, il adorait cela - mais tu ne me laisse pas le choix… Surtout que maintenant, je veux que tu me taille une vraie pipe…. Je vais même t’y aider ! »

Il sourit et lui saisit les cheveux pour la caler contre son sexe bien durci par la situation… il fit glisser son gland jusqu’à ses lèvres et commença à caresser celles-ci du bout… il lui pinça le nez jusqu’à ce qu’elle soit forcée de respirer par la bouche et y engouffra son chibre sans la moindre hésitation…

« Tais toi et suce, voilà ce à quoi tu sers… un simple objet de plaisir… c’est tout… »

Il laissa sa main descendre jusqu’à la poitrine de la jeune femme qu’il pinça en envoyant à nouveau un courant assez fort pour lui procurer un orgasme… il la ferait jouir en chaine jusqu’à ce qu’elle supplie, il ne lui laiserait pas le temps de surmonter les effet d’un orgasme avant que le suivant n’arrive…

« Qui est la petite chienne à Gabriel ? C’est Misa… »

Une manière de l’humilier qui le ravissait d’autannt plus qu’avec ce qu’elle avait dans la bouche, elle pouvait difficilement protester, et en plus avec les orgasmes en chaine…