Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Communion avec la nature [The Thing]

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Poison Ivy

Créature

Communion avec la nature [The Thing]

dimanche 11 novembre 2012, 00:22:17

« Y serons-nous bientôt, mon amour ?
 -  Oui, Julian... C’est proche, si proche... »

On aurait pu les prendre pour un couple follement amoureux. Lui, le beau bûcheron, et elle, la belle fille de paysanne. Probablement une boulangère, ou une jeune fille qui vendait du muguet pour le compte de sa famille, afin d‘entretenir les dépenses de la masure du village. Le cadre était idéal : un décor champêtre, rustique, une grande forêt luxuriante avec des rivières, des lacs, des animaux, des montagnes, un beau soleil... Le village était petit, agréable, bien vivant, ne souffrant nullement de la récession économique, de crises quelconque... Il y faisait bon vivre, et ce couple qui s’enfonçait dans la forêt, loin des regards indiscrets, avait tout du conte de fées. Mais, bien sûr, si la vie était un conte de fées, alors les contes de fées n’existeraient pas. Et, si Terra était un monde merveilleux où les belles femmes étaient réellement douces, chastes et innocentes, et où les beaux jeunes hommes seraient des princes charmants, braves et intrépides, alors c’est que l’observateur se situait encore dans cette partie de la vie où on a pas quitté le monde de l’enfance, et où on pense que les choses sont claires et simples.

Jugez plutôt ce couple inattendu. Elle, une belle femme qui semblait issue de la forêt, une sorte de nymphe, de dryade à la chevelure de feu, qui tenait par la main cet homme. Elle l’avait aguiché il y a à peu près deux heures, alors qu’il coupait du bois pour le compte de la scierie. Les bûcherons avaient entendu parler de rumeurs dans les profondeurs de la forêt sur une créature, un monstre abominable, et évitaient de trop s’enfoncer, de rester à la lisière des bois. Julian s’était un peu plus aventuré que les autres, attiré par un enivrant parfum, et était tombé sur cette femme... Cette belle nymphe à moitié nue. Un rêve ? Une hallucination ? Il avait prié pour que ce ne soit pas le cas, ce beau jeune homme musclé et bien bâti. Il en avait eu le sexe tout dur en quelques secondes, surtout quand elle l’avait embrassé. A son insu, elle l’avait drogué avec ses puissants aphrodisiaques, lui disant qu’elle était de ces nymphes des bois dont on tissait les légendes. On les décrivait comme de jeunes femmes timides et belles, qui vivaient dans les profondeurs de la forêt, et séduisaient parfois de jeunes hommes afin de découvrir les vertus du sexe. Julian était un bon petit gars. Il travaillait dur dans la scierie. C’était un peu comme sa récompense.

Bien sûr, la femme qui le séduisait et l’attirait dans les bois en riant n’était pas une nymphe des bois. Elle en avait l’apparence, sous sa peau verdâtre, mais elle était aussi nymphe des bois qu’un Orc était un elfe. C’était une humaine, une Terrienne... Une Terrienne un peu spéciale, car elle avait dans le corps à peu près autant de litres de sang que de chlorophylle. C’était une mutante, et elle avait un curieux sens des priorités et de la morale. Si elle se trouvait là, c’est parce qu’elle avait entendu parler de ces rumeurs sur ce « monstre » de la forêt, mais ne le voyait pas du tout comme un monstre. Elle voyait en cette créature cauchemardesque, qu’elle n’avait pu que brièvement apercevoir, un être sacré. Un individu naturel, propre, qui ne se laissait pas berner par les illusions de la civilisation, de la modernité et du soi-disant progrès technique. Une créature forestière et naturelle, qui méritait en ce sens tout son respect et tout son amour. Ivy, cependant, ignorait comment approcher cette créature, et avait donc décidé de faire ce que tout le monde faisait pour appâter les puissants : un sacrifice, une offrande.

Elle commençait à sentir une odeur nauséabonde.

« Je... Mon amour, es-tu sûre que... ? s’interrogeait Julian.
 -  Mon bosquet est là-bas !
 -  Mais... Cet odeur, je...
 -  Un leurre, un subterfuge ! Nous n’aimons pas que des étranges s’approchent de notre antre, alors nous l’entourons d’odeurs néfastes afin de faire fuir les curieux.
 -  Je... »

Sentant sa proie se poser des questions, Ivy s’arrêta, et l’embrassa solidement sur les lèvres, envoyant dans sa bouche un puissant aphrodisiaque, qui acheva de le convaincre, renforçant son érection. L’odeur, il est vrai, devenait de plus en plus désagréable, signe qu’elle se rapprochait de cette créature dégageant une haleine putride. Elle s’avança un peu plus lentement, l’odeur devenant de plus en plus insupportable. Il y avait une grotte à proximité, et, d’après ce qu’elle avait compris, c’était la tanière du monstre. Pamela était fébrile, et poussa l’homme en avant, surprenant ce dernier.

« Mais... Qu’est-ce qui pue autant ? »

Ivy se recula un peu, un sourire sur les lèvres, voyant une forme sombre se rapprocher dans le dos de l’homme. Sans savoir si la créature, dissimulée par de la brume, comprenait son geste, Pamela fléchit les genoux, en signe de dévote.

« Créature, je t’offre cet homme pour te prouver ma bonne foi !
 -  Mais... ? »

L’homme commença à se retourner, et ses yeux s’écarquillèrent en voyant cette forme noirâtre, désormais bien trop proche de lui.

« Accepte mon cadeau, noble animal. »

Elle ignorait si la créature comprendrait ce qu’elle disait, mais elle espérait que le message serait justement explicite.
DC d’Alice Korvander.

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The Thing

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 1 dimanche 11 novembre 2012, 00:48:44

L'obscurité d'une caverne, il n'y avait rien de plus doux aux yeux de cette créature pour se protéger des rayons du Soleil. Même si cet astre était loin de lui poser un problème, comme cela pouvait être le cas des vampires, The Thing était toutefois un être qui préférait l'obscurité à la pleine lumière. Cette caverne était suffisament profonde et haute pour pouvoir abriter l'être massif qu'il était, et ses multiples yeux s'étaient fermés alors qu'il se perdait dans des songes que seule une créature venant de loin pouvait avoir. Des rêves, qui rendraient n'importe quel humain fou, tant ils étaient éloignés de la logique telle que les humanoïdes pouvaient la concevoir.

Mais quelque chose troubla les songes de cette créature ancienne. Même en était de sommeil, The Thing restait à l'écoute de ses environs, et même si il ne possédait pas d'oreilles en tant que tel, ses sens bien spéciaux lui permirent de détecter la présence de deux formes s'approchant en ligne droite vers sa caverne. La roche était tapissée d'une sorte de mucus violet, du à la présence prolongée du monstre, et qui dégageait une forte odeur qui était nauséabonde aux yeux des humains, mais c'était également et surtout lui qui dégageait cette odeur forte et répugnante.

La créature réfléchit, discerna à l'aide de ses multiples yeux, et se redressa sur ses trois pattes avant de se diriger vers la sortie de la caverne. La femelle de ce petit groupe avait surtout captivé son attention, quand au mâle il ne s'en sortirait pas vivant, c'était là une certitude. Mais il discernait des choses étranges, qu'il n'avait pas encore vues sur cette terre. The Thing, de toute son existence, n'avait jamais été dans un monde où la vie était aussi diversifiée que sur Terra, et même si il n'en avait pas l'air, une forme de curiosité animait ses actions, bien que cette curiosité pouvait se montrer fatale pour autrui.

Il ne pouvait pas répondre, il n'avait pas de cordes vocales pour le faire. Mais aux yeux d'un être millénaire comme lui, le langage qu'utilisait cette femelle était quelque chose d'infiniment simple, et il comprit, alors que ses pas faisaient trembler le sol, et qu'il se dévoilait de toute sa hauteur et sa monstruosité. Un de ses tentacules fila à une vitesse impressionnante pour saisir le mâle au torse, il tenta de se débattre tandis qu'il était soulevé sans mal. Les puissants muscles de ce membre se serrèrent, faisant craquer les côtes de sa cage thoracique. Il hurlait de douleur, et The Thing n'y accordait aucune importance, ou peut-être que si, peut-être une sorte de plaisir malsain à sentir une faible créature sous son emprise. Une de ses bouches s'ouvrit en grand, et l'homme qui était encore vivant fût absorbé au sein de la créature qui avait là un bon repas.

Il restait alors le cas de la femelle, qui était agenouillée. De par sa proximité avec The Thing, son sort était lui aussi tout désigné, mais la grande créature était...intéressée par ce comportement. Les humanoïdes le fuyaient comme la peste, et sans nul doute à juste titre, mais celle là venait de son plein gré, car sinon elle se serait déjà enfuie.
L'odeur devait être insupportable pour l'humaine aux sens si fragiles, surtout lorsque l'un des tentacules se dirigea vers elle. Cette masse froide de chair visqueuse se posa sur une des épaules de la femelle, faisant le tour de sa nuque pour ensuite descendre jusqu'à son ventre. Ivy pouvait sentir toute la puissance que ce membre pouvait déployer, et il semblait la tâter, animé de curiosité.

Poison Ivy

Créature

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 2 dimanche 11 novembre 2012, 01:27:27

La créature était indescriptible. Elle était immense. Une espèce de montagne gluante de gueules édentées, de gros yeux globuleux, et de longs tentacules noirâtres. Elle se tenait sur trois immenses pieds, et Pamela était éberluée devant une telle chose. L’odeur était assez agressive, les gueules du monstre crachant une espèce de bave verdâtre infâme. Julian était pétrifié, et un tentacule vint s’enrouler, le décollant du sol comme un fétu de paille. Ivy, elle, était fascinée, presque en transe. La Nature était à l’œuvre. Et la Nature, contrairement à ce que des écologistes idéalistes pouvaient penser, n’était pas belle. Ce n’était pas que l’harmonie, mais aussi le chaos, la mort perpétuelle, un cycle mécanisme de chaos et de destruction. La vie avait besoin de la mort pour exister, survivre, et, au sein de la Nature, il n’y avait pas de place pour les sentiments. Le plus fort dévorait le plus faible, et il en allait ainsi. Pamela assistait tout simplement à une scène de ce genre. Ressentait-elle de la pitié pour ce brave homme ? De la culpabilité à l’idée de l’avoir emmené ainsi ? Pourquoi se serait-elle sentie coupable ? Elle ne le connaissait pas, et il n’y avait là nulle crime, nul maléfice devant lequel pousser des cris de protestation. Une créature plus puissante se nourrissait, tout simplement. C’était un spectacle glauque, morbide, mais indéniablement fascinant et magnifique. Il fascinait Ivy, oui, la transcendait. Elle entendit des craquements sinistres quand les os de l’homme se tordirent, pliant l’homme en deux. Ce devait être assez douloureux, et l’une des gueules du monstre s’ouvrit démesurément, et il avale en un seul morceau le bûcheron, refermant ses longues dents tranchantes.

Il ne restait dès lors plus qu’une muette Ivy, agenouillée, et un monstre massif. Il aurait pu la broyer en quelques secondes, mais elle sentait qu’il ne le ferait pas. L’un de ses longs tentacules visqueux s’avança vers elle. Elle frissonna en sentant ce tentacule noirâtre et glacial onduler le long de son corps, glissant sur sa nuque. Il était énorme et puant. Pour le coup, la créature dégageait vraiment une odeur des plus repoussantes. Pamela, si elle n’était pas aussi excitée, aurait probablement vomi depuis longtemps. C’était une odeur de chair putride qui s‘échappait de son corps, de ses gueules. Elle résultait probablement de la digestion des corps qu’il engloutissait. Pamela frissonnait en le sentant glisser le long de son ventre.

*Il pourrait me broyer instantanément, et il veut me le faire savoir... Je l’interroge, je l’intrigue... Les femmes qu’il attaque sont apeurées...*

Elle pouvait le sentir, car Ivy était généralement reliée à la Nature. Et la Nature communiquait des choses intéressantes. Elle avait ainsi appris que ce monstre avait un sexe qui était plutôt masculin, dans la mesure où il était territorial, ce qui était généralement caractéristique des mâles. Elle savait qu’elle ne risquait rien, et comprenait que le monstre se méfiait. Dire qu’il avait peur était très exagéré, il était juste intrigué, curieux... Pamela n’était pas qu’intriguée, mis aussi très excitée. Elle sentait la puissance de cette créature, sa capacité à façonner la Nature... Ses mains caressaient ce tentacule, et elle tourna la tête, léchant et embrassant cette peau visqueuse et gluante.

« Je suis venue m’offrir à toi, noble créature... Communier avec toi... »

Pamela parlait avec respect, mais avec une voix assez lourde. Elle n’arrivait pas à se l’expliquer, mais la vue de cette créature l’excitait. La beauté avait bien des façades, et, dans une certaine mesure, elle trouvait cette créature belle. Elle était une œuvre génétique et naturelle, un hybride exceptionnel. La scientifique en elle était fascinée par cette créature, attirée par elle. Le cœur de Pamela battait follement la chamade. Elle avait rétracté ses tissus végétaux, se présentant dans sa superbe nudité. Prends-moi, semblait-elle dire. Elle retourna embrasser et lécher le tentacule, tout en glissant ses doigts dessus, les remontant le long de sa peau.

*Je pense bien que je suis folle...*
DC d’Alice Korvander.

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The Thing

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 3 dimanche 11 novembre 2012, 10:25:20

Intéressant, voilà qui était même très intéressant. Les multiples yeux de la créature, du moins ceux qui pouvaient s'orienter en direction de la femelle, ne la lâchaient et posaient sur elle un regard inquisiteur. La réaction de cette femelle n'était ni la fuite, ni la panique, et sa démarche rappelait à la créature, et à sa mémoire millénaire, d'autres temps et lieux, ou des civilisations primitives, bien éloignées en tout point des humanoïdes, l'avaient considéré comme un dieu vivant. Les sacrifices, l'agenouillement, il était intéressant comme certaines de ces pratiques se retrouvaient malgré les distances de temps, d'espace, et de système de pensée.

Les bouches de The Thing poussèrent un râle grotesque en réponse aux paroles de la femelle, oui The Thing comprenait et assimilait chaque mot de ce langage primitif à ses yeux. Mais cette situation en revanche attirait toute son attention, car la femelle voulait s'accoupler avec lui de façon tout à fait volontaire, et même si la créature n'éprouvait pas en soit des sentiments, pas au sens humain du terme, on pouvait là faire un parallèle avec du désir sexuel. Le tentacule qu'il avait envoyé toucher la femelle remuait sur sa peau chaude, et lorsque la femelle retira ses vêtements végétaux, se présentant dans sa plus totale nudité, The Thing envoya alors dans sa direction d'autres tentacules.

Froids et visqueux, deux s'enroulèrent autour des seins de la femelle, en faisant plusieurs fois le tour pour ensuite les bouger. The Thing les serrait fort, sa force aurait été plus que suffisante pour les arracher du corps de la femelle, ou les faire exploser sous la pression, il ressortait de ces tentacules une puissance musculaire qui pouvait briser comme une brindille le corps entier d'Ivy, mais il ne le faisait pas. Un autre tentacule s'était glissé entre les cuisses le la femme, et se frotta de façon insistante contre ses lèvres intimes. L'intérieur de ses cuisses et l'entrée de son vagin allaient se couvrir de cet espèce de substance poisseuse et à l'odeur répugnante, tandis que le tentacule bougeait de façon à se frotter. L'odeur devait devenir insupportable pour Ivy, c'est alors qu'un tentacule s'approcha par le bout de son visage, et lui projeta en plein visage un nuage de couleur mauve qui s'insinua dans ses narines et sa bouche.

Il s'agissait d'une substance chimique aphrodisiaque, mais qui ne transformait pas les femelles sous son emprise en des bêtes de sexe, cela leur permettait juste de faire en sorte qu'elles soient en un état d'excitation sexuelle suffisamment grand et permanent pour qu'elles supportent l'odeur et le goût se dégageant du monstre. L'odeur et le goût restaient hideux, rien ne pourrait changer cela toutefois, mais des réflexes comme le dégoût trop prononcés, ou l'envie de vomir ne seraient pas de la partie. Mais ce gaz avait aussi une autre fonction très importante, celui d'envoyer de fausses informations dans le métabolisme des femelles, afin de forcer une ovulation. Car The Thing ne violait pas de multiples femmes simplement pour son plaisir, même si cette réalité était aussi à prendre en considération, il agissait aussi par instinct de reproduction, et son ADN hybride et adaptatif lui permettait d'engrosser tout ce qui était à même de porter un enfant.

Un tentacule s'enroula autour du ventre d'Ivy, tandis que les autres s'écartaient, la femelle se fit soulevée sans aucun effort de la part de The Thing, et son corps s'approcha alors d'une des bouches monstrueuses de la créature. L'aphrodisiaque montrait là tout son intérêt, car à si petite distance du corps principal de la créature, l'odeur dépassait le stade de l'infect, surtout à proximité d'une de ses bouches. The Thing approcha le visage de la femelle d'une de ses bouches, il était évident que la créature, dont la perversion était aussi étrange que sans bornes, voulait que la femelle...l'embrasse.

Poison Ivy

Créature

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 4 dimanche 11 novembre 2012, 11:08:16

La créature semblait hésiter sur la procédure à suivre. Ivy pouvait le sentir, et restait pour le moment agenouillée, en position de respect. Sa vie, littéralement, ne tenait qu’à un fil, car cette bestiole aurait très simplement pu la broyer. Ce corps lui rappelait les Formiens, mais elle savait que ce n’en était pas un... Ou, du moins, pas un Formien appartenant à la Fourmilière. La Nature le lui aurait dit. De plus, les Formiens n’avaient pas, à sa connaissance, le pouvoir d’altérer ainsi la forêt. C’était comme ça que Pamela avait découvert cette créature, à travers les modifications que la bestiole apportait à l’écosystème de cette forêt. La Nature ne mentait pas, et, si elle aimait tant ce monstre, si cette chose l’excitait tant, c’était avant tout pour ça. Sa laideur cauchemardesque la rendait paradoxalement aussi repoussante qu’attirante, et elle se doutait bien que la créature devait le ressentir.

D’autres tentacules s’approchèrent lentement d’elle, et elle frissonna. Ils s’enroulèrent autour de ses seins, tels des espèces de serpents affamés. Elle poussa un soupir, et sentit d’autres tentacules se rapprocher. La chose ne savait pas parler, mais elle comprenait. Elle modifiait la Nature, et ne pouvait donc être un vulgaire monstre laid et difforme. Non, c’était impossible. C’était une créature intelligente et vicieuse. Elle sentit ce troisième tentacule filer entre ses jambes, glisser sur son intimité.

« Humm... » soupirait-elle en fermant les yeux, ses longs cheveux retombant près de son épaule.

L’odeur, toujours, était insupportable, particulièrement repoussante. Elle en tremblait, et, même si elle était volontaire et consentante, elle n’était pas habituée à une telle odeur. Elle n’arrivait pas à trouver d’équivalent pour caractériser cette puanteur. C’était un mélange troublant entre de la chair pourrie et de la merde. Elle vit alors un autre tentacule se rapprocher, et cracher contre elle un gaz qui la fit tousser. Ce dernier fila dans ses narines et dans sa bouche, et se mélangea à sa chlorophylle. Il s‘agissait probablement d’un mécanisme particulier, car elle sentit la nausée disparaître. L’odeur était toujours là, et ça ne sentait toujours pas la rose, mais bien cette insoutenable odeur... Mais elle s’y accommodait.

*C’est un cadeau qu’il me fait...*

Pamela sentit un élan de fierté la traverser, et laissa les tentacules jouer avec elle. Que pouvait-elle faire d’autre ? Elle était sa prisonnière, une prisonnière consentante et volontaire, qui lui offrait son corps pour communier. Le sexe était un langage de communication universel, naturel, et qui existait partout où il y a la vie. C’était le besoin de reproduction, de création, quelque chose d’inné. Elle sentit alors les tentacules s’écarter de son corps, la laissant excitée, et un autre vint s’enrouler sur son ventre, la soulevant du sol. Elle se laissa faire, poussant un petit gémissement de plaisir. Il l’écrasait, ce qui était assez douloureux, et elle se rappela cet homme que le monstre avait brisé en deux sans difficulté. Pamela n’était pas une femme disposant de capacités physiques exceptionnelles. Elle avait un petit corps frêle, ses pouvoirs étant surtout sa séduction naturelle et son intelligence développée.

Elle vit son corps se rapprocher de l’une des gueules du monstre,  cette créature qui ne pouvait pas être née sur Terra, mais devait forcément venir d’ailleurs. Autre planète, autre dimension, tout était possible. Ivy aurait sans doute pu craindre que la Chose ne cherche à la dévorer, mais il n’en était rien. Le tentacule ne serrait pas trop fort, et la gueule du monstre, loin de s’agrandir, était plutôt en train de se rétracter, sa bave verdâtre coulant lentement de ses lèvres noirâtres. Elle se retrouva pour ainsi dire collée contre ce monstre. Avant d’envoyer ses lèvres, elle posa ses mains nues sur cette peau visqueuse et gélatineuse. Beurk ! aurait-on dit dans un film. L’image n’était pas loin. Sa peau était gluante, boursouflée, laide, loin d’être uniforme. Elle sentit d’autres tentacules s’enrouler autour de ses jambes, et trembla de plaisir. La Chose était impatiente. Pamela se mordilla les lèvres, et caressa du bout des doigts sa lèvre inférieure. Cette bouche était immense. Lorsqu’elle s’ouvrait, Ivy pouvait voir un gouffre noirâtre et puant, avec deux rangées de longues dents pointues. Elle déglutit faiblement, et sentit son corps se faire plaquer contre cette peau, sa tête se rapprochant de cette bouche, dont les lèvres se refermèrent à nouveau pour un baiser.

Pamela ferma les yeux, et alla donc l’embrasser. Ses doigts s’enfonçaient dans la chair gluante et visqueuse de la Chose, se recouvrant d’une espèce de curieux liquide puant que la créature secrétait, et que les pores de sa peau absorbaient. Elle embrassa la lèvre inférieur, caressant cette peau avec sa petite langue, gémissant lentement. Elle retira ensuite ses lèvres, et, dans un excès de perversion, se rapprocha de la bave verdâtre du monstre. Elle passa sa langue dessus, et l’avala, remontant vers sa bouche, avant de baiser à nouveau sa peau. Poison Ivy faisait confiance à son corps particulier pour ne pas tomber malade. Elle mordilla la lèvre du monstre, remuant lentement son propre corps, écrasée contre cet abdomen indescriptible.
DC d’Alice Korvander.

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The Thing

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 5 dimanche 11 novembre 2012, 13:08:12

Quelle curiosité. Il était rare pour un être ayant vécu autant de temps que The Thing, de voir des choses inédites, de vivre de l'inédit. Mais cette femelle en était indéniablement. Sa petite bouche, du moins en comparaison de celle de la créature, Ivy l'utilisa pour lui complaire en l'embrassant, sa peau d'humaine entrait en contact avec celle de l'alien dans un spectacle à la fois érotique et dégoûtant. L'union de ces deux êtres semblait contre-nature, mais il n'en était rien en réalité, The Thing au contraire ne faisait aucune distinction de race, d'idéologie, ou de quoi que ce soit d'autre. C'était une créature qui ne s’embarrassait pas de concepts abstraits tels que la morale, le savoir vivre, tout cela n'étant que le résultat d'une civilisation qui elle était contre-nature.

The Thing ressentait du désir, à sa manière, entre autres par le fait qu'il ne broyait pas la femme entre ses tentacules, et veillait même à ce qu'elle ne soit pas dans une position trop inconfortable. Si cette créature se montrait impitoyable face à ce qu'il considérait comme de la nourriture, les femelles avaient droit à un traitement bien moins létal, même si un accouplement avec une telle chose laissait des traces. Pourquoi ce traitement de faveur ? Pourquoi relâchait-il ses femelles une fois leur utilité réalisée ? Lui seul pouvait le savoir, mais il n'était pas du genre à parler philosophie.

Toute l'attention de The Thing était concentrée sur cette frêle femelle qu'il tenait sous son emprise, et qui était tout à fait consentante pour l'être. Elle l'embrassait, à sa manière, car cela était difficilement réalisable au vu de leurs différences de métabolisme et de taille. Les bouches de la créature poussaient des espèces de râles, tandis qu'elle se mettait à nouveau en mouvement, pour rentrer à l'intérieur de sa caverne, à l'abri du Soleil. La roche semblait avoir disparue sous une couche de matière organique, comme une espèce de mur vivant qui aurait adapté l'environnement au bon vouloir de The Thing, Ivy se trouvait dans son antre, et y serait l'invitée pour au moins plusieurs jours.

La bouche que la femelle embrassait s'ouvrit plus largement, envoyant vers Ivy un souffle chaud et fétide, avant qu'une langue n'apparaisse du fond de ce gouffre noir. Elle était longue et épaisse, mais de consistance assez normale pour une langue, malgré la salive verdâtre qui s'y trouvait. La créature passa alors sa langue sur le visage de la femelle, couvrant sa peau de sa bave dégoulinante, la langue semblait goûter cette peau et prendre plaisir à la couvrir de saleté. Tandis que des tentacules écartaient les jambes d'Ivy, une autre bouche de la créature elle se trouvait juste à hauteur de son entrejambe. Son souffle fétide arrivait sur son intimité car la bouche était proche, et une langue en sortit également. Longue, elle n'eût aucun mal à couvrir une surface allant du bas ventre de la femelle jusqu'à sa descente de rein dans son dos, en se glissant naturellement entre les cuisses et la raie de ses fesses. La langue bougeait, offrant une caresse bien particulière aux orifices intimes de la femelle, une caresse gluante.

Quand à l'autre langue elle, son extrémité s'attaqua aux lèvres d'Ivy, avec la ferme intention de pénétrer dans cette bouche, ce que The Thing fît sans véritable difficulté. Il enfonça sa langue baveuse dans la bouche de la belle plante, et remua dedans dans une parodie de baiser.

Poison Ivy

Créature

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 6 dimanche 11 novembre 2012, 18:20:53

Embrasser cette chose était une expérience hors-normes, en tout point de vue. Pamela était aussi horrifiée qu’excitée, aussi attirée que repoussée. Cette puanteur malsaine qui se dégageait du corps de la Chose, ce corps gluant et visqueux... Oui, Pamela était aussi excitée que craintive. Elle savait que cette chose ne lui ferait aucun mal, elle le sentait. Partant de là, elle pouvait laisser libre cours à son plaisir, mais elle restait malgré tout fondamentalement une humaine. Une Terrienne qui était en partie formatée par le moule dans lequel elle vivait. Cette expérience était enrichissante, dans la mesure où elle éprouvait du désir pour une chose que des normes sociétales réprouvaient. Pamela embrassait la lèvre de la créature sans se sentir forcée. Elle était plaquée contre le corps de ce monstre, mais ce n’était pas pour autant qu’elle était ici contre son gré.

Les frissons qui traversaient son délicieux corps n’étaient pas des frissons de peur. C’était une excitation perverse à l’idée de coucher avec cette chose, cette puissante créature. Elle voyait au-delà de cette laideur apparente. Elle voyait une créature puissante et dominatrice, qui méritait tout son respect. Ivy continuait à l’embrasser, lorsqu’elle sentit la gueule du monstre s’ouvrir. Elle avait déjà pu noter le plaisir que la Chose ressentait, dans la manière dont ses bouches semblaient gémir. Elle vit une longue langue noirâtre sortir de sa gueule, de ce trou noirâtre, et sentit un nouveau frisson traverser son corps. La grosse langue lécha sa tête, ses joues, remuant sur sa peau, déposant sa bave, la faisant soupirer de plaisir. Ses seins pointaient fièrement, et elle mouillait. C’était tout simplement plus fort qu’elle. Ce qu’elle ressentait était magnifique. Il n’y avait pas d’autres mots pour décrire cette scène.

Elle réalisa accessoirement qu’ils étaient désormais dans son antre. La luminosité était bien moins marquée, et l’endroit était très sombre. Elle sentit d’autres interactions de la créature. Ses tentacules écartèrent à nouveau ses jambes, la faisant soupirer, et l’autre gueule se trouvant à hauteur de son entre-jambes s’ouvrit également, livrant passage à une langue qui vint jouer avec ses parties intimes. Ceci confirmait l’intelligence de la Chose, car elle savait où se trouver les endroits de plaisir d’une femme. Pamela se mit à gémir faiblement sous les caresses buccales très particulières de cette langue, allant jusque dans son cul, remuant au milieu de ses fesses. Ses doigts s’enfonçaient un peu plus fermement dans la peau gluante et visqueuse de la Chose. Elle s’offrait à lui sans la moindre retenue : tout son corps, toute son âme. Le désir explosait encore en elle, et elle ouvrit la bouche, lorsque le bout de la langue de la créature s’enfonça en elle.

*Hun, c’est si bon...*, songeait-elle.

La langue écartait ses lèvres encore plus efficacement que si on lui avait fourré un sexe à l’intérieur. Ivy remuait lentement les jambes, fermant les yeux, et aventura sa petite langue sur cette surface gluante, ce muscle baveux qui crachait en elle sa salive verdâtre. Elle sentait la langue remuer, s’enfoncer dans sa gorge, dans les tréfonds de sa bouche, la faisant gémir. Le corps si particulier d’Ivy lui permettait de supporter ça sans avoir de sensations de haut-le-cœur, ce qui était, en l’occurrence, bien pratique. Elle laissait le monstre se faire plaisir en elle, continuant à l’exciter, à la titiller, ses énormes tentacules continuant à la pétrir et à la serrer. Pamela adorait tout simplement ça ! C’était exquis et magnifique.
DC d’Alice Korvander.

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The Thing

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 7 dimanche 11 novembre 2012, 19:43:31

Oui, The Thing jouait avec cette femelle et en éprouvait un plaisir certain. Malgré toutes les différences qu'il y avait entre lui et l'humanité, elles avaient en commun le désir sexuel, plus ou moins. Il était de toutes manières difficile de décrire ce que cette créature pouvait "ressentir", mais ces quelques similitudes permettait de faire des rapprochements pas si hasardeux que ça. En outre, dans le cas présent, The Thing voyait le côté pervers de son imagination se mettre en place, en visualisant tout ce qu'il pourrait faire subit à cette femelle consentante, ce qui était une chose des plus rares.

De par ses sens ultra développés, The Thing pouvait sentir les effets de ses monstrueuses caresses sur le corps d'Ivy, elle adorait cela. Sa chaleur corporelle augmentait sensiblement, de même que le rythme de sa respiration, et bien d'autres signes provenant de son corps l'indiquaient, comme ce liquide qui coulait du vagin de la femelle, et que The Thing récupérait sur sa large langue. Les tentacules de la créature la maintenaient au niveau de ses jambes et de son ventre, et ces derniers bougeaient régulièrement sur la peau chaude de cette femelle, comme pour s'abreuver ce cette chaleur corporelle.

Au bout d'un long moment, au cours duquel The Thing avait exploré toutes les facettes de la bouche d'Ivy avec sa langue, il retira cette dernière, mais celle qui était entre les cuisses de la femme elle continuait bien entendu son affaire. C'est alors que deux gros tentacules s'approchèrent d'Ivy, leurs extrémités pointant vers elle. Il semblait alors que quelques chose remuait en leur intérieur, et Ivy saurait vite quoi, car les extrémités de ces tentacules éclatèrent en quatre parties, ouvrant ainsi leur intérieur qui abritait des espèces de bouches dépourvues de dents, mais dont les lèvres ne cessaient de se mouvoir de façon incontrôlée.
Ces tentacules, ils se collèrent alors aux seins de la femelle, les deux bouches qu'il abritaient se saisirent chacune du têton sur lequel elle étaient posées, et se mirent à sucer avec une véritable frénésie. Sur chaque tentacules, les quatre morceaux qui s'étaient séparés en implosant presque s'étaient régénérés, et formaient ainsi quatre tentacules bien distincts, avec des ventouses, et il s'accrochèrent aux seins d'Ivy pour accentuer encore cette emprise sur sa poitrine. Ses seins furent alors bien malmenés, remués en permanence et sucés par des bouches avides.

La langue baveuse de The Thing qui s'occupait de ses orifices intimes quand à elle, ne demeurait pas en reste. La créature n'hésitait pas à la coller le plus possible et à la remuer, frottant ainsi avec insistance ses orifices les plus intimes, il semblait se régaler notamment de la cyprine de la femelle qui coulait à flots.
Un nouveau tentacule s'approcha d'Ivy, et son extrémité éclata de la même façon que les deux précédents. Mais cette fois-ci, le cadeau qu'il réservait était une sorte de parodie monstrueuse d'un sexe masculin, pas très large, mais très long, qui se rapprochait des lèvres de la femelle. Ce membre dégoulinait d'une substance poisseuse, et se présenta face aux lèvres d'Ivy, sans toutefois chercher à y pénétrer pour le moment. Il fallait croire que la créature souhaitait profiter du fait qu'elle avait à sa disposition une femelle consentante...

Poison Ivy

Créature

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 8 dimanche 11 novembre 2012, 21:06:34

Ce baiser dura assez longtemps, pour le plus grand plaisir de Poison Ivy, qui se sentait lentement basculer dans un univers de perversion absolu. C’était la seule et unique manière valable de décrire ce qu’elle ressentait. Ivy était une folle, c’était indéniable, et ça se confirmait maintenant. Il fallait être fou, de toute manière, pour se livrer volontairement à ce monstre. Dans sa folie, elle ne voyait aucune raison d’être repoussée par ce monstre, et elle avait même tendance à le privilégier à la compagnie de simples humains. Au moins, lui ne mentait pas, n’était pas hypocrite, et faisait preuve d’une infaillible honnêteté. Leur baiser fut assez long, la langue de la bestiole remuant dans sa bouche, avant de finalement se retirer. Pamela avait une bouche assez pâteuse, et sentait bien que la scène ne faisait que commencer. La Chose s’occupait d’elle comme il s’occuperait d’une amante, en veillant à ce qu’elle soit bien excitée avant de lui faire l’amour. Dans cette grotte sombre, Ivy était toute seule, piégée, mais désespérément heureuse. Son cœur bondissait follement dans sa poitrine sous l’effet d’une excitation fébrile rarement ressentie auparavant. Elle allait coucher avec une créature fantastique, bien plus parfaite et bien plus accomplie que les plus belles de ses créations. Cette créature était formidable. Lui offrir des repas à dévorer était bien la moindre des choses qu’elle pouvait lui offrir afin de lui prouver son amour. Dans un sens, Ivy trouvait cette bestiole plus attachante qu’un humain classique. Il fallait être dans la tête de Poison Ivy pour comprendre ce raisonnement biaisé.

De nouveaux tentacules s’approchèrent. Deux gros tentacules qu’elle discerna dans la noirceur de la grotte. Ses yeux s’habituaient à cette obscurité ambiante. La Chose devait probablement venir d’une planète éloignée de son étoile, ou avait passé des millénaires dans l’espace. Elle préférait les endroits sombres, reposants, aux zones lumineuses. La vision d’Ivy s’adaptait progressivement, et elle pouvait mieux voir dans la nuit. Les deux gros tentacules se rapprochaient d’elle, et elle continuait à mouiller, prisonnière du monstre, dont les langues pendaient. Pamela ferma lentement les yeux, puis les rouvrit, afin de ne rien rater de ce spectacle. Elle vit chacun des tentacules s’ouvrir, laissant quatre petits tentacules pointer dans les airs, tels de petits serpents. Lentement, ces derniers se rapprochaient de ses seins, et elle vit que l’intérieur poisseux des tentacules se composait de multiples langues triangulaires le long du pourtour.

*Seigneur...*

Les tentacules se posèrent sur ses seins, et elle gémit, continuant à mouiller, remuant lentement son corps d’avant en arrière, glissant sur la langue gélatineuse du monstre. Les quatre tentacules allèrent se refermer sur chacun de ses seins, maintenant solidement ces derniers dans les tentacules de la Chose, et elle poussa un long gémissement, presque un cri de plaisir, en sentant ces langues visqueuses glisser sur ses seins. Sa peau absorbait presque automatiquement la bave verdâtre qui s’échappait des tentacules, mais il en restait encore beaucoup qui glissait le long de son corps. Elle ferma les yeux, renversant sa nuque en arrière, profitant de ce moment. Ses mains serraient toujours la peau de la Chose, ses doigts s’enfonçant aussi loin que possible, dessinant des cercles, des tracés le long de ses ongles. Elle adorait ça, sentir ses seins se faire comprimer...

La Chose ne la ménageait pas, remuant également son bassin grâce à sa langue, faisant taper ses jambes et son corps contre celui du monstre. Elle pouvait parfois sentir cette langue insister, frotter rapidement sur son corps, la faisant vibrer. Ses joues se teintaient d’une rougeur prononcée au fur et à mesure qu’ils continuaient leurs ébats, et elle vit alors un nouveau tentacule se rapprocher de son visage. Il était moins gros que les deux autres, mais assez long. L’extrémité représentait clairement une verge, et elle le vit se rapprocher de ses lèvres. Elle comprit ce que le monstre avait à l’esprit, mais, fort curieusement, il ne s’enfonça pas dans ses lèvres, ce tentacule restant à quelques centimètres de son visage. Une espèce de substance baveuse dégoulinait de son tentacule, et elle regarda ce membre lentement, passant sa langue sur ses lèvres.

*Il veut voir comment je vais agir... Il est excité, peut-être même heureux, à sa manière, que je m’offre volontairement à lui... Il est bien plus humain qu’il aime le faire croire...*

Elle comprit ce que la Chose souhaitait assez rapidement, et tendit ses mains vers le tentacule. Ses bras n’étant pas entravés, elle put lentement promener ses doigts sur ce tentacule gluant, sentant la bave s’imprégner sur ses mains, glisser le long de ses bras, alors qu’elle se mit tout simplement à le caresser, approchant ensuite ses lèvres pour embrasser les rebords du tentacule. Elle frottait son nez dessus, puis continuait à poser ses lèvres, à embrasser cette peau gluante et visqueuse. Elle absorba un peu de ce truc gluant, et frotta ses lèvres, posant sa langue, mordillant sa peau.

Supposant que la créature le comprenait, Ivy se mit à lui parler, en approchant sa bouche du bout de son tentacule, léchant l’extrémité, le suçant très légèrement, tout en continuant à le caresser avec ses doigts.

« Je suis venue à toi pour te montrer le respect et l’amour que je ressens pour toi... Je t’offre mon corps, tout mon corps, pour communier avec toi... Car le sexe est le meilleur moyen qui nous est offert pour célébrer la vie, la perpétuer, et l’honorer... Prends-moi sans hésitation, je suis une femme forte, à même de satisfaire tous tes envies, tous tes désirs... Je veux te montrer le bonheur qu’il y a, quand la femme est consentante... Prends-moi. »
DC d’Alice Korvander.

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The Thing

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 9 lundi 12 novembre 2012, 11:10:09

Fascinant, le comportement de cette femelle était tout bonnement fascinant, et The Thing en parvint à la conclusion qu'elle devait être atteinte d'une forme de démence pour aller ainsi à l'encontre de ce que son instinct de survie lui préconiserait. Mais la créature n'était pas psy, ni même ne s'intéressait au psyché de la femelle, il voulait juste la faire sienne, l'engrosser et la conserver jusqu'à ce qu'elle mette au monde le fruit de cette union surnaturelle.
Mais qu'Ivy se montre aussi consentante semblait indéniablement plaire à The Thing, qui ne perdait ainsi pas de temps ou d'énergie à restreindre la femelle, et pouvait donc même se permettre de d'avantage chercher à l'exciter, car il prenait un plaisir malsain à voir cette poupée prisonnière laisser libre court à ces pulsions basiques que sont l'envie de copuler. La femelle avait réagi comme The Thing s'attendait à ce qu'elle le fasse, sa bouche et ses lèvres s'étaient posées sans contrainte sur ce membre qu'il avait présenté face à son visage, et ses délicates mains caressaient ce long membre avec un doigté trahissant une envie qui n'était pas feinte.

The Thing répondit par des espèces de râles aux paroles de la femelle, oui il comprenait. Peut-être ne se rendait-elle pas compte de ce que cela impliquait, mais The Thing allait copuler avec elle en laissant pleinement cour à la perversion de son esprit. Le tentacule se glissa entre les lèvres de la femelle, cherchant tout d'abord à rentrer dans sa bouche. Une fois que ce fût chose faite, The Thing envoya d'un coup sec son tentacule s'enfoncer au plus profond de la gorge d'Ivy, et faire une succession de va et viens brutaux. Il se retira momentanément de la gorge au bout d'une bonne vingtaine de mouvements, en restant toutefois dans la bouche pour permettre à la femelle de reprendre son souffle, il s'enfonça contre l'intérieur de ses joues, se posa sur la langue de la belle, avant d'à nouveau retourner s'enfoncer dans sa gorge sans aucune douceur.
Ses tentacules qui s'étaient accrochés aux seins de la femelle n'en finissaient pas de les tirer, et de les sucer, la poitrine d'Ivy se trouvait ainsi remuée dans tous les sens. D'autres tentacules virent s'enrouler autour des bras d'Ivy, tels des serpents dont la tête avait toutefois là une apparence de verge, qui se glissait dans les paumes des deux mains de la femelle pour réclamer des caresses.

Enfin, la langue qui depuis tout ce temps était occupée à lécher les antres intimes de la femelle se retira, lui laissant l'intérieur de ses cuisses couvert d'une bave nauséabonde et collante. Ivy fût ainsi éloignée du corps principal de la créature, et positionnée de façon à ce que l'un des yeux de The Thing soit juste en face de ses jambes écartées. Voyeur sans aucun doute, tandis qu'il besognait toujours la gorge de la femelle et ses seins, The Thing constata surtout par un certain nombre de signes que Ivy était presque prête à enfanter. Un nouveau tentacule se mit alors en mouvement, et s'approcha des cuisses écartées d'Ivy. Celui-ci était en revanche...massif, un peu plus épais qu'une canette de soda à titre de comparaison, et dont la forme rappellait encore une fois celle d'une verge probablement afin de donner un sentiment de déjà vu à la femelle.
Le tentacule se mit à se frotter de tout son long sur l'entrée intime de la femelle, comme pour lui faire sentir à quel point ce qui allait entrer en elle serait gros et long.

Poison Ivy

Créature

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 10 lundi 12 novembre 2012, 12:50:38

Depuis sa position, Pamela se sentait tout simplement bien. Elle ne ressentait aucune peur, simplement une violente et perverse excitation. Très perverse, même. La puanteur qu’elle ressentait avait l’effet inverse que ce qu’elle devrait normalement susciter : l’attirance, au lieu du rejet. Elle formait une espèce de cocon chaud et dégueulasse qui attirait Pamela, sans qu’elle ne puisse vraiment se l’expliquer. Sa fascination pour ce monstre dépassait la simple logique humaine, mais, ce qui était sûr, c’est qu’elle ne regrettait aucunement d’être là. Cette scène lui rappelait une sorte de remix glauque et sexuel de ces contes pour enfants sur les belles Princesses et les monstres. Elle continuait à caresser ce long tentacule, à l’exciter, entendant les râles de la bête.

*Elle comprend, et elle est heureuse... Les monstres sont parfois bien plus intelligents que ce qu’on pense...*

Elle sentit alors le tentacule s’enfoncer en elle. Pamela poussa un gémissement étouffé, sentant ce long tentacule s’enfoncer dans sa bouche, glissant dans sa gorge. Sa tête partit légèrement en arrière, et elle conserva ses mains crispées sur le tentacule, le griffant lentement, avant de progressivement se mettre à le caresser, gémissant en sentant le tentacule remuer en elle. Il s’était enfoncé bien loin, répandant sa bave visqueuse dans sa bouche. Elle pouvait la sentir, et remuait lentement son corps, continuant à mouiller abondamment. C’était tellement bon. Il n’y avait pas d’autres mots pour décrire ça, et elle plissa les yeux, avant de sentir le tentacule se retirer lentement, pour se placer dans sa bouche. Elle avança sa langue, la sentant s’enfoncer dans ce tentacule mou et dur, visqueux et gluant.

Parallèlement, elle sentit des tentacules s’enrouler autour de ses bras, remonter le long de ses derniers, les écartant l’une de l’autre. Elle était encore plus emprisonnée, et sentit les extrémités de ces petits tentacules sur ses paumes, entre ses doigts. Comprenant l’invitation, Pamela commença à remuer ses doigts, à les faire glisser sur cette texture visqueuse. Ses doigts remuaient plutôt bien dessus, glissant volontiers. Elle savait qu’elle donnait à la créature du plaisir, et c’était là une source de fierté et de réjouissance pour elle. Entre-temps, les tentacules autour de ses seins continuaient à les malmener. Il y avait tout un ensemble de choses qui la rendait aussi excitée qu’une pucelle effarouchée lors de sa première nuitée.

La langue se retira de son vagin, laissant une substance gluante, comme une espèce de seconde couche, sur son corps. Elle sentait la bave du monstre dans son intimité, et gémissait, ayant très chaud. Terriblement chaud, même. Son corps se déplaça alors, et elle comprit que la créature voulait l’observer. En remuant un peu la tête, et en baissant les yeux, au milieu des tentacules, elle vit l’un des énormes yeux globuleux de la Chose observer son corps, semblant se fixer sur son intimité.

*Il ne veut pas que me baiser... songeait-elle. Contrairement aux humains, il ne voit pas le sexe comme une finalité en soi, mais comme un moyen. Il veut me féconder...*

Voilà à quoi rimait toute cette préparation ! Il voulait exciter sa partenaire pour pouvoir plus facilement la mettre en cloque ! Cette perspective excita Pamela, qui n’avait absolument aucune objection contre le fait d’être enceinte par cette bestiole. Elle espérait juste que l’enfant ne chercherait pas à la dévorer... Quand bien même elle trouverait cela naturel, mourir serait regrettable. Il était néanmoins trop tard pour faire marche arrière, et Pamela était bien trop excitée pour être réfrénée par ça. Elle sentit le tentacule du monstre retourner dans sa gorge, malmenant sa bouche. Il était brutal, violent, comme un mâle affamé qui se jetait sur sa partenaire pour la baiser sauvagement, en se repaissant de ses hurlements. Elle avait de toute manière déjà noté ce trait de sa personnalité quand il avait massacré le bûcheron. Il ne supportait pas la compétition.

Ivy sentit alors un énorme tentacule glisser entre ses cuisses, titillant ses lèvres intimes, et elle eut un frisson. C’en fut trop pour elle, et, en fermant les yeux, elle eut un orgasme. Elle cracha sa mouille sur ce tentacule, poussant de silencieux gémissements étouffés. Son corps était bien trop malmené et excité pour qu’elle parvienne à se retenir plus longtemps, et elle mordit férocement le tentacule de la Chose en jouissant. La bestiole le serrait douloureusement, malmenant son corps, mais tout était si bon... Ses doigts remuaient frénétiquement sur les tentacules de la bête, et elle eut un superbe orgasme. La bave qui était sur ses cuisses n’avait été qu’un autre élément contribuant à la faire jouir.

« Hum !! » soupira-t-elle.
DC d’Alice Korvander.

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The Thing

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 11 mercredi 14 novembre 2012, 10:16:46

The Thing approchait de ce qu'il cherchait à obtenir. Même si il lui était presque impossible de le montrer, le fait que la femelle jouisse ainsi lui procurait quelque chose qui pouvait s'apparenter à de la satisfaction. Toute cette cyprine chaude glissait sur son tentacule, qu'il n'arrêta pas pour autant de faire remuer, de frotter contre les lèvres intimes de la femelle. Il devinait qu'elle allait commencer à vouloir qu'il la pénètre, que ces simples frottements ne suffiraient plus très prochainement, mau auparavant il y avait quelque chose qu'il souhaitait faire.

The Thing n'envoyait pas ainsi des tentacules à l'encontre de la femelle simplement pour lui faire plaisir, mais aussi parce que la créature ellemême en tirait un plaisir physique. Son corps était froid, comme l'espace dont il venait, mais cette femme, son corps, était d'une chaleur délicieuse et ses caresses étaient un régal pour The Thing. Les tentacules dont s'occuppaient Ivy se mirent donc à jouir, peu de temps après qu'elle même aie contracté son premier orgasme. Celui qui était dans sa bouche, ou plus exactement dans sa gorge, libéra de longs filets d'une substance blanche, qui ressemblait à s'y méprendre à du sperme, et c'était bien de ça dont il s'agissait. De longues giclées que la créature cracha directement dans la gorge de sa femelle, avant de retirer légèrement le tentacule pour jouir dans sa bouche, le tout en continuant de remuer de façon frénétique à l'intérieur.

Les deux tentacules, qui chacun se trouvaient dans les mains d'Ivy, se mirent eux aussi à tressauter et à cracher la semence de la créature. Les paumes de ses mains se trouvèrent mâculées de sperme chaud, jusqu'à ce que les tentacules ne se déplacent de façon à viser plus directement le corps de la femelle, plusieurs filets de sperme allèrent s'écraser sur ses flancs et ses hanches. Lorsqu'il s'arrêta, The Thing retira alors ces tentacules de la bouche et des mains de sa femelle, et la bougea de façon à ce qu'elle se trouve suspendue la tête vers le bas. Ses longs cheveux roux tombaient en cascade, mais The Thing la maintenait solidement et ne pouvait donc pas tomber. Ses tentacules écartèrent encore d'avantage les jambes d'Ivy, tandis que celui qui se frottait contre l'entrée de son vagin cessa ce mouvement, et changea de position de façon à présenter son extrémité face à l'entrée de cette antre chaude.

Il se passa quelques secondes où le temps sembla figé, où la créature resta ainsi sans bouger, même les tentacules qui n'avaient jamais cessé de remuer les seins d'Ivy avaient fait une pause. Une dernière façon de "teaser" sa proie, avant de s'enfoncer d'un seul coup dans son vagin fertile.
Le tentacule était énorme, un peu plus épais qu'une canette de soda, mais glissa sans trop de difficulté à l'intérieur. En revanche, il était certain que la femelle aurait l'impression d'être remplie par ce tentacule, car il s'enfonça aussi profondément qu'il était possible de le faire sans occasionner de sérieux dégâts internes. Le tentacule en forme de verge se mit donc à la baiser, ni plus ni moins, il n'y avait pas d'autres terme pour qualifier la violence avec laquelle The Thing était en train de féconder cette femelle. Le corps d'Ivy se balottait, et il était heureux que son vagin soit ainsi lubrifié car The Thing ne faisait pas preuve de la moindre once de douceur.

Poison Ivy

Créature

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 12 mercredi 14 novembre 2012, 10:57:49

Ainsi accrochée à la bête, Pamela ne pouvait que subir. Elle s’y était attendue. Comment aurait-il pu en être autrement ? Ce monstre tentaculaire imposait son rythme, et il fallait suivre. Or, il était bien plus gourmand que le plus vorace des amants humanoïdes. Ses nombreux tentacules puants qui grouillaient autour du corps d’Ivy lui faisaient perdre la raison. Elle avait joui sans aucune difficulté, et cet orgasme ne serait que le premier d’une longue série. Elle ne saurait dire en quoi cette créature fantasmagorique, cauchemardesque, était si excitante à ses yeux, mais le fait est qu’elle y voyait une sorte d’harmonie et de beauté qui l’attirait inexorablement. Elle sentit la créature tressauter, remuer... Son instinct lui disait qu’elle était heureuse, et elle ne tarda pas à avoir satisfaction en la sentant jouir... Oui, elle jouissait ! Et cette substance blanche et gluante qui se déversa sur ses mains lui évoquait clairement du sperme.

Les doigts de Pamela avaient en effet plutôt bien excité les tentacules, caressant frénétiquement le bout de ces tiges gluantes, remuant dessus, jusqu’à ce que la Chose atteigne le point de plaisir suprême. Elle jouit entre ses mains, mais aussi dans sa gorge, et Pamela se mit à gémir, sentant ce sperme fondre rapidement en elle, l’étouffant à moitié. Elle en eut une espèce de hoquet, devant ces giclements violents, et ferma les yeux, sentant, sur le coup, quelques larmes couler. Elle secoua lentement la tête pour se reprendre, sentant les giclées de sperme continuer à venir. La bête était gourmande, et jouissait visiblement de manière assez particulière, puisqu’elle se retira des doigts de Pamela, jouissant sans que personne n’ait à exciter son membre. De grosses quantités de sperme éclatèrent sur le corps de Pamela, qui en frémit de plaisir. La Chose la salissait, mais cette laideur subite était la bienvenue, s’harmonisant à merveille avec son corps parfait. La Chose continua à jouir sur elle pendant un certain temps, crachant de nombreuses giclées de sperme, jusqu’à sembler apaiser.

*Elle ne réagit pas uniquement comme un animal... Une simple bête m’aurait déjà enfanté, mais elle... Elle a voulu se faire plaisir, ce qui, dans un sens, est très humain...*

Ni humain, ni simple animal, la Chose était atypique, tout simplement. Pamela se sentit alors retournée par la créature, qui avait retiré beaucoup de ses tentacules. Il en restait sur ses jambes, les écartant, sur ses seins, et autour de son ventre. Elle se retrouva la tête en bas, ses cheveux au vent, et regarda autour d’elle, un peu surprise par cette position. Elle était pour la moins inhabituelle, mais, à bien y réfléchir, tout était ici relativement inhabituel. Elle sentit alors le membre tendu de l’homme, ce gros tentacule qui l’avait fait jouir, glisser contre ses cuisses, se rapprochant de son vagin. Elle comprit alors qu’il l’avait mis ainsi pour faciliter sa pénétration, et réalisa tout simplement qu’il allait sauvagement la baiser.

Les tentacules sur ses seins avaient cessé de remuer, probablement pour la faire patienter. Elle regardait lentement autour d’elle, tentant de relever la tête, mais, dans cette opaque obscurité, elle ne voyait pas grand-chose. A dire vrai, la seule chose qu’elle voyait distinctement était l’un des gros yeux globuleux du monstre, ainsi que l’une de ses énormes bouches difformes. Un gros œil qui se plissait lentement, avant de s’écarquiller en la regardant, la détaillant. Pamela tendit l’une de ses mains pour tenter de caresser ce corps qui l’attirait tant... Avant de pousser un cri en sentant le membre s’enfoncer en elle, l’écartelant.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!! »

Elle poussait un véritable cri, mélange de souffrance et de plaisir, en sentant ce membre s’enfoncer assez loin dans son vagin, aussi loin qu’il était humainement possible de le concevoir. Elle en ferma les yeux, et ses craintes d’avoir un mal de tête à force d’être dans cette position s’envolèrent rapidement, remplacées par une douleur totale et intense. Elle se tortillait lentement, remuant les jambes, mais sans pouvoir trop s’avancer, et se mit à pousser de nouveaux cris. Le tentacule remuait voracement en elle, la baisant sauvagement. On y était, c’était l’heure ! Elle allait être fécondée par cette créature ! Car, en définitive, c’était bien l’objectif recherché par la Chose. Les animaux faisaient l’amour pour se reproduire, et l’intérêt majeur du sexe, outre la sensation de plaisir qu’il procurait, était surtout de se reproduire. Le plaisir, dans le fond, n’était qu’une forme de bonus offert par Mère nature afin de montrer à ses enfants la marche à suivre.

Pamela se laissait donc faire, sentant ce gros membre la pilonner, se tortillant, ses cheveux frôlant parfois le sol. Elle se forçait à regarder la bouche du monstre, son œil, mais elle devait parfois, sous la douleur, fermer les yeux. Le plaisir était là, oui, mais ce sexe était tellement gros, tellement épais, tellement dur, et tellement enfoncé, que la douleur était indispensable... Et elle l’était d’autant que la Chose la baisait sans la moindre retenue, sans la moindre forme de gentillesse ou sans la moindre touche de romantisme. C’était du sexe brutal, tentaculaire, naturel, le simple plaisir physique, dénué de sentiments humains... Autant dire que Pamela adorait !
DC d’Alice Korvander.

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The Thing

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 13 mercredi 14 novembre 2012, 11:29:13

Oui il était temps, temps de féconder cette femelle, cela se sentait au fait que les tentacules qui maintenaient les jambes et le ventre d'Ivy s'étaient légèrement resserrés. Raffermir son emprise, pour être absolument certain que rien n'entraverait leur accouplement. Ivy était telle une poupée entre les mains de The Thing, son corps remuait fortement alors qu'il la baisait. Leur accouplement était délicieusement dénué de ces choses abstraites que sont l'amour ou la tendresse, The Thing était une créature puissante, et utilisait ses femelles de la même manière. Qu'elles soient consentantes ou non, elles se souviendraient toutes de cette expérience comme ayant été l'une des plus intenses de leur vie.

Ivy s'était mise à crier de douleur, mais cela ne fît nullement ralentir The Thing, qui persistait dans sa démarche? Il savait pertinemment que la femelle devait ressentir de la douleur, le contraire était impossible, car le tentacule qui la perforait était énorme, et s'enfonçait au plus profond qu'il lui était possible.
The Thing s'en déléctait, tous ses yeux qui le pouvaient regardaient ce spectacle afin de lui offrir la vue de cette femelle sous divers angles.
Car The Thing ne faisait pas cela juste pour le fait de féconder cette femelle, mais pour son propre plaisir également. Trois tentacules partirent de son corps pour se diriger vers Ivy, ils se glissèrent tous les trois le long de son dos afin de la redresser. De cette façon, le visage d'Ivy était plus proche de ce qui se passait au niveau de son vagin, et The Thing avait poussé le vice jusqu'à se déplacer légèrement vers l'entrée de la caverne afin que la luminosité soit plus grande, suffisament pour permettre à la femelle de voir. Voir ce tentacule remuer dans son vagin, et le voir quand il jouirais en elle, quand elle serait fécondée.

Les extrémités des trois tentacules glissés dans le dos d'Ivy se glissèrent dans ses cheveux roux, longeant la peau de son crâne, ils se mirent à faire des va et viens, The Thing avait l'intention de jouir dans sa chevelure, afin de parfaire encore un peu sa femelle. La créature avait une vision un peu spéciale de la beauté, il aimait les belles femelles, mais plus particulièrement encore quand ces dernières étaient souillées par lui. Un mélange de sperme et de bave se répandait de plus en plus sur le corps d'Ivy, l'enfermant dans un chaud cocon putride.
Et pendant ce temps là, elle se faisait baiser comme jamais.

Poison Ivy

Créature

Re : Communion avec la nature [The Thing]

Réponse 14 mercredi 14 novembre 2012, 12:15:42

Le tentacule dans son vagin continuait à la pilonner, à imposer une cadence infernale, difficile à suivre. Le corps de Pamela se couvrait de sueur, et elle sentait, le long de ce dernier, ce mélange de sperme et de bave glisser sur son corps, remonter (ou redescendre, plutôt) vers sa tête. Elle en frissonnait, et vit à peu à peu la lumière revenir. Tournant lentement la tête, elle réalisa que la Chose s’était rapprochée de l’entrée de sa caverne, et qu’elle avait une bien meilleure vue d’ensemble. Pour autant, elle se sentait toujours dans une espèce de cocon de chaleur, de laideur, de puanteur, et de sexe. La manière dont la créature la baisait était légendaire, tout simplement. Elle se contorsionnait, hurlant, et sentait que chacun de ses hurlements, loin de réfréner les ardeurs de la Bête, semblaient l’exciter encore plus, l’encourager dans cette voie. Chacun des yeux globuleux de la Chose l’observait, la détaillant sous toutes les coutures, et elle continuait à se laisser faire, le bout de ses cheveux frôlant de plus en plus en le sol, au fur et à mesure que le tentacule la prenait. Il était clair que la Chose ne la ménageait pas, mais c’était ce qu’elle aimait.

Ivy sentit alors des tentacules remuer dans son dos, la faisant frissonner, avant de caresser ses cheveux, près de son crâne. Elle en frémit, sentant un résidu gluant, froid, et visqueux, le long de son dos. Elle frémissait lentement, et ouvrit à nouveau la bouche, soupirant, ne sachant pas quoi faire de ses mains. Elle voyait la bave de la Chose couler de ses lèvres, et sentait encore son sperme... Pamela aurait pu tout avaler, et se livra à un bref petit test. Sa peau était particulière, lui permettant d’absorber ce qui était dessus. Elle observa donc attentivement les réactions de la Chose, et fit mine d’absorber un peu de sperme. Elle vit immédiatement, avec un sourire, les yeux de la bête se braquer directement sur la portion qu’elle avalait.

*Elle aime me voir ainsi... Sale et négligée... Je la tente, et elle me désire d’autant...*

C’était bon à savoir. Pamela eut un nouveau sourire, et se mit à parler. Son corps s’habituait progressivement, bien que ce soit difficile, à ce gros membre enfoncé en elle. Ivy avait pour elle une bonne expérience sexuelle, qui lui était ici bien pratique. La Chose voulait la voir salie, voulait la voir recouverte de cette substance poisseuse... Ce n’était pas pour la déranger, et elle décida de le lui faire savoir.

« En... Encore, humm ! J’en… J’en veux plus !! »

Elle se tut un peu, devant reprendre son souffle. Elle mouillait abondamment, et sentait le second orgasme approcher rapidement. Son ton était assez hystérique, frénétique.

« Des tentacules ! Encore !! Je sais que tu le veux... Vas-y, viens !! Crache-moi dessus, salis-moi, haaaannn !! »

Tout ça était de plus en plus gore, à bien y penser, mais Ivy n’était rationnellement plus en état de penser à quoi que ce soit de lucide. Elle voulait se faire baiser sauvagement, se faire baiser comme elle ne l’avait jamais été auparavant... Et elle avait le sentiment que cette créature, cette Chose, pourrait tout à fait la satisfaire, et faire d’elle une véritable créature, une espèce d’animal sexuel qui ne demanderait qu’à ce qu’on la saute.
DC d’Alice Korvander.

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