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[FINI]Une nuit mouvementée ! [PV Alice]

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Clad Oyio

Humain(e)

Re : Une nuit mouvementée ! [PV Alice]

Réponse 30 vendredi 11 janvier 2013, 21:11:12

Les coups de hanche, les pénétrations dans ce cul si parfait, les cris ... On se croirait dans un film pornographique, tant les deux jeunes individus s'y donnait à fond. La sentir prendre autant de plaisir offrait à Clad la possibilité d'y aller avec toujours autant de force, de volonté, de plaisir, d'envie. Pendant les longs va et vient, les mains de Clad touchèrent assez souvent les fesses de la demoiselle, pour les agripper, les griffer, les caresser. Sa verge était toujours aussi longue et dure et pour le coup il était assez fier de ce qu'il "infligeait" à la jeune fille. C'était très serré, agréable, l'anus d'Alice était parfait, « Putain cette fille était vraiment exceptionnelle » se disait-il. Certes, le jeune homme était endurant dans l'effort, la demoiselle pouvait compter là-dessus, mais il faut aussi dire qu'elle l'était aussi, elle lui donnait du fil à retordre. Clad était prêt à jouir, allait-il le faire à l'intérieur de l'anus de la pauvre Alice ou allait-il le faire à l'extérieur ... Il n'eut pas à répondre à cette question puisque au dernier gémissement fort bruyant de la demoiselle, il entendit des pas et surtout des voix de plus en plus proche venir des dortoirs. L'homme était invisible, cela ne lui importait peu, mais c'était Alice qui ne l'était pas. Il fit relevé la belle demoiselle toute en sueur, dégoulinant sur sa belle poitrine ... si belle poitrine ... des tétons parfaitement dessinés ... des ... « Reprends tes esprits Clad ! » s'efforça t-il de se dire. Il chuchota dans l'oreille d'Alice pour lui dire ce qu'ils devaient faire. L'homme prit alors sa main et l'emmena dans une armoire, heureusement vide, à, à peine 6 mètres d'où ils se trouvaient quelques instants plus tôt. Situation on ne peut plus banale dans la vie de Clad ... Qu'est-ce qu'il avait pu connaître de telles situations, autant dans ses relations amoureuses, que dans sa vie de tous les jours pendant quelques années. Il pensait cela derrière lui ... il faut croire que le sort s'acharne ... à moins que ... Clad était dos à Alice qui regardait dans la fente de l'armoire pour voir les trois jeunes individus sortir du dortoir et s'installer dans le divan sur lequel ils avaient l'amour une bonne partie de la nuit. Toujours nu, les deux amants, n'allaient certainement pas en rester là. Excité au possible, à deux doigts de jouir il y a deçà quelques instants, Clad pénétra la demoiselle par derrière, mais cette fois pas par son anus, mais par son vagin. Il n'avait certainement pas oublier qu'il devait la faire jouir pour avoir d'autres voeux et de choses à lui demander. Lui tenant les hanches de la main droite, sa main gauche étant en train de caresser le sein gauche d'Alice, Clad commença les va et vient calmement, pour ne pas faire trop de bruit dans un premier temps.

« Navré, il m'en faut un peu plus pour arrêter de faire l'amour à une demoiselle ! » chuchota t-il à l'oreille d'Alice.

Cette peau si agréable ... Sa verge se durcissait et s'allongeait à l'intérieur de la chatte d'Alice, à chaque va et vient du jeune homme, il faut dire, que la demoiselle ne l'aidait pas, elle avait des seins si parfait, un cul somptueux et un visage si angélique. Il était en train de caresser le sein et le téton gauche d'Alice, le faisant remuer dans les sens, pour procurer un maximum de plaisir à lui et surtout à la belle princesse. L'homme ne pouvait se retenir plus longtemps, les va et vient se faisaient de plus en plus fort, de plus en plus vite; l'armoire devait beaucoup bouger, mais apparemment les trois individus qui étaient présent dans la salle ne le remarquait pas. Donc Clad était prêt à jouir et vu les gémissements d'Alice elle aussi devait être a bout.

« Jouissons ... hmmm ... ensemble ! » chuchota t-il.

Certes les paroles de l'homme n'étaient en aucun cas chevaleresques, mais bon, les deux jeunes individus avaient tellement partagés durant ces nombreuses heures de plaisir, que ces mots paraissaient tout à fait banals. Comme tout à l'heure, les deux individus ont eu leur orgasme simultanément, le foutre coulant de nouveau sur les cuisses et les mollets de la demoiselle, Clad embrassa cette dernière sur le cou, lui enleva une mèche de cheveux de son visage et l'embrassa passionnément, salives et langues se mélangèrent, dansèrent, valsèrent avec plaisir et envie.

« A priori, j'ai droit à un autre voeux ... » dit-il dans le creux de l'oreille d'Alice.

Toujours de dos Clad, celui-ci caressa le bas du dos et les cuisses de la jeune princesse, réfléchissant à ce qu'il pourrait lui faire faire.

« J'ai une idée ... tes beaux seins, ils ont déjà masturbés un pénis ? » lui disait-il en la taquinant.
« Modifié: samedi 12 janvier 2013, 01:20:48 par Clad Oyio »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Une nuit mouvementée ! [PV Alice]

Réponse 31 dimanche 13 janvier 2013, 11:58:45

C’était une sodomie, juste comme Alice les aimait. Sentir une grosse queue en elle la remplir, la déchirer, c’était tout simplement délicieux. Sa fatigue était pour l’heure balayée au loin, mais la Princesse savait que, quand l’excitation diminuerait, elle n’aurait qu’une envie : s’affaler sur son lit. Pour l’heure, Clad la prenait par l’arrière, s’enfonçant en elle, et c’était bon. Intense et vivifiant. Alice haletait et gémissant, mouillant, n’entendant pas les bruits des autres étudiants. Ce fut Clad qui les entendit, et se retira de son corps, pour la prendre par la main.

*Hein ? Quoi ? Qu’est-ce qu’il se passe ?* songea Alice.

Les joues rouges, la jeune Princesse revenait brutalement à la réalité, et n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu’elle se retrouva enfermée dans une armoire, étrangement vide. Chaque dortoir comprenait des meubles de ce genre, dont on se servait pour entreposer des affaires. Qu’elle soit vide était en soi surprenant, et, à travers les interstices, Alice put voir des individus en pyjama sortir, la tête enfarinée. Il était si tard que ça ? Étonnant... Alice était sortie en pleine nuit, mais elle n’avait pas sa montre pour vérifier. Faisait-elle l’amour depuis aussi longtemps ? Elle se sentit rouge de honte, son cœur battant nerveusement la chamade, à mesure que le temps passait.

« Tu vois bien qu’il y a personne ! » s’exclama l’un des lycéens.

Clad posa sa main sur le sein d’Alice, qui réprima un cri, se mordant les lèvres, et s’accrocha aux interstices de l’armoire, avant de sentir l’homme la pénétrer, retournant à l’assaut. Elle gémit, s’appuyant contre l’armoire, tandis que Clad remuait en elle, faisant remuer l’armoire. Elle craquait doucement, Alice ayant l’impression de faire un raffut de tous les diables. Deux amants qui se font l’amour, ce n’est généralement pas très discret. La puissance mise dans les ébats se faisait ressentir sur les éléments autour. Un lit craquait sous la friction de deux corps enlacés, et, dans une armoire vide, il n’y avait rien pour étouffer les sons. Chaque soupir d’Alice, chaque raclement de son corps contre la paroi, provoquaient des ondes sonores qui se dispersaient dans l’air. En d’autres termes, Alice avait la frousse de se faire repérer. Être perverse et sensuelle ne signifiait pas qu’on aimait montrer son cul à tout le monde, et Alice n’avait pas spécialement envie de débarquer devant ces jeunes hommes, en étant nue et couverte de sueur.

Elle fermait les yeux, se mordillant les lèvres, écartant les jambes. C’était paradoxal, car, d’un côté, elle était très excitée, mais, de l’autre, elle était terriblement nerveuse. Or, ce qui provoquait sa crainte était la même chose qui provoquait son plaisir. C’était presque une sorte de schizophrénie, et Alice mouillait de plus en plus, yeux clos. Elle sentit Clad jouir, mais elle-même, pour le coup, n’eut pas d’orgasme. Elle n’était plus dedans ; son esprit, sans cesse, rebondissait sur les trois individus se trouvant dans le salon. Il y avait sûrement des traces de leurs ébats sur le sol, le canapé... Son cœur battait la chamade, mais pas tant d’excitation.

« A priori, j'ai droit à un autre vœu ... » glissa l’homme dans son oreille.

La Princesse aurait bien été tentée de lui expliquer qu’elle n’avait pas joui. Elle savait qu’il était facile pour les hommes de se tromper sur ce point. Quand un mâle jouissait, le doute n’était pas permis ; il crachait son sperme, et son sexe diminuait rapidement de volume. Mais une femme, avant de jouir, mouillait déjà. L’orgasme féminin était plus exigeant, plus subtil, plus capricieux.

« Mais bien sûr, entendit-elle un autre lycéen, tu veux faire un remake oriental de Poltergeist, c’est ça ? »

Elle ignorait qui était ce Poltergeist, mais savait que les lycéens, s’ils se levaient si tôt, avaient forcément été réveillés par eux. L’homme caressait son dos, ignorant visiblement totalement ce qui tracassait l’esprit d’Alice. Il était invisible. Il lui proposa de glisser son sexe entre ses seins, et Alice se retourna.

« Non ! s’exclama-t-elle, en secouant la tête. Je ne vais pas faire ça... »

Elle parlait à voix basse, mais son ton était ferme. La seule chose qu’Alice espérait, c’était que els trois types disparaissent pour qu’elle puisse filer dans son lit.

Clad Oyio

Humain(e)

Re : Une nuit mouvementée ! [PV Alice]

Réponse 32 lundi 14 janvier 2013, 01:37:37

Ca avait au moins le mérite d'être clair. La demoiselle ne voulait plus continuer à priori, certes de manière rapide et spontané, mais c'était son choix et il fallait bien qu'il l'accepte puisque l'homme n'était le genre de personne prête à tout pour avoir ce qu'il veut, non, si la demoiselle ne voulait plus avancer dans leurs ébats, il était inutile d'insister. Après tout il se faisait tard, ou tôt, c'était selon la vision de chacun, et il était grand temps pour les deux jeunes individus d'aller se coucher. Quelle nuit en tout cas, l'homme n'avait pas connu pareille compagnie depuis des lustres, une demoiselle si belle, si élégante, si sensuelle, si ... princesse; parce qu'il est vrai que Clad l'avait cette fois-ci avec une princesse, bon, loin de lui l'envie de se la raconter et puis faut l'avouer que ce soit une princesse ou non, le résultat était le même, la décoration familiale de la jeune Alice n'avait rien changé dans le fait qu'elle soit bonne ou pas à faire l'amour, mais bon c'était vraiment un bon moment il ne pouvait le nier. Si il ne la voyait plus, est-ce que la présence physique de la demoiselle lui manquera ? ... Certainement, il le concède.

Mais le problème n'était pas là, les deux tourtereaux d'un soir étaient coincés dans une armoire très étroite ... Lors de l'acte il n'avait pas remarqué qu'elle l'était autant. Leurs corps nus se touchaient, l'érection et l'excitation était certes redescendue depuis quelques instants déjà, mais la sueur était quant à elle toujours présente. Leurs peaux se collaient à chaque mouvement, c'était assez désagréable, en plus le corps de Clad devint de plus en plus froid, glaçant comme au début, Alice n'allait pas tarder à en sentir les effets; il fallait faire vite. La situation était très cocace, mais pas perdue. L'homme regardait derrière la fente, ils étaient assis sur le divan, mais dos à l'armoire, c'était peut être là la clé; qui plus est Clad était invisible, l'unique inconvénient était le bruit, il fallait pouvoir le dissimuler par un moyen ou un autre. Il n'y avait rien, rien qu'il ne pouvait faire ... Alice n'était pas invisible, elle était nue, donc hors de question de sortir devant ces hommes qui lui sauteraient surement dessus. Clad n'était pas costaud, il ne pouvait pas mettre K.O. ces trois jeunes étudiants à lui tout seul, il n'était pas un ... Super-Héros ! Il ne voyait que deux individus d'où il était, le troisième était manquant, il devait être un peu plus sur le côté soudain l'homme prit la parole.

« Oh les gars, vous avez vu Clad ? Il était sur le canapé quand je suis allé me coucher hier soir
- Qui c'est ce mec ?
- Le blond avec les cheveux longs, le mec qui t'as mis la branlé au poker il y a deux jours !
- Oh tu sais, j'étais pas mal fait cette soirée là ... donc de ce que je me rappelle tu sais ... »

C'était sa chance, l'homme était Fredrik Pierce, un jeune étudiant de deux ans moins que lui qu'il avait cotoyé dans son cours d'économie et avec qui il avait fait quelques soirées par la suite. Bref, c'était son unique chance de quitter cette foutue armoire. Il chuchota à l'oreille d'Alice de rester ici et de ne surtout rien faire, il savait ce qu'il avait à faire. Il poussa donc légèrement la princesse et poussa légèrement, petit à petit la porte de l'armoire, afin de faire un minimum de bruit. Il fallait faire vite, l'homme n'avait pas beaucoup de temps avant que les trois protagonistes ne se rendent compte de quelque chose. Clad réussit à sortir, et se dirigea vers la chambre en faisant le moins de bruit possible. Avant de se matérialiser, il prit un pantalon, un t-shirt et les enfila. Avant de rentrer dans la salle commune, il se rendit visible, poussa la porte et regardait à présent la salle ou était présent les trois autres étudiants. Il prit se gratta la tête, comme si il venait de se lever.

« ... c'est vous qui faites autant de bruit ? ... Les gars, il est 6h du mat' !  dit-il en plissant les yeux un maximum.
- Ah bah t'es là ! Vous voyez les gars, c'est de ce mec dont je vous parlais.
- Ouais c'est bien et alors ? Faites moins de bruit sérieux, c'est lourd.
- Excuse-nous on pensait qu'il y avait quelqu'un de présent dans cette salle tout à l'heure. On a même entendu des gémissements de femme.
- T'as dû rêver mec ...
- ... on pensait d'ailleurs que c'était la fille de l'autre soir, celle qui dormait dans notre dortoir. »

C'est vrai qu'Alice dormait dans leur dortoir avant qu'elle ne rencontre Clad et elle avait dû se montrer, voir leur parler. L'homme jeta un léger coup d'oeil à l'armoire derrière le divan, au moins personne ne pouvait se soucier qu'une personne était cacher à l'intérieur. Clad reprit.

« Ouais ... je lui ai dis de partir !
- Quoi ?
- Ben ouais, mais j'ai vu de la fumée hier soir, venant du couloir, j'ai cru à un incendie, je lui ai demandé de partir, voilà. Du moins le temps que la fumée se dissipe. Mais elle n'est pas revenue. T'auras peut-être plus de chance de la voir tout à l'heure en cours.
- ... ouais peut-être.
- Quoi t'es amoureux mec ?
- C'est pas ça, mais c'est que j'aurais bien voulu la revoir, elle avait l'air super bonne, je pense que j'aurais pu me la faire ...
- ... Ah. Ecoute, t'as qu'à, VOUS n'avez qu'à la chercher, elle est surement dans l'établissement et puis une fille comme ça, ça repère facilement. »

Clad insistait sur les côtés machistes de ces hommes pour les faire partir d'ici le plus vite possible, avec la soif et la volonté de rencontrer Alice. Ne voyant pas de réaction de leur part, l'homme insista.

« Bah qu'est-ce que vous attendez ?
- Ouais, allez les gars, on y va ! »

Puis il vit les trois hommes partir en courant ... c'était facile, peut-être trop. Il avait malgré tout sut susciter en ces hommes l'envie de rencontrer la belle princesse. L'homme sourit à la porte à présent close et se dirigea vers l'armoire et l'ouvrit, la demoiselle était toujours là.

« Tu vas avoir de la visite très bientôt, désolé. » dit-il pour la taquiner.


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Une nuit mouvementée ! [PV Alice]

Réponse 33 lundi 14 janvier 2013, 17:41:15

Ce n’était pas de sa faute, c’était plus fort qu’elle. Alice avait peur de se faire surprendre, et qu’on la voit seule, nue. C’était paradoxal, car elle avait après tout fait l’amour dans un inconnu, et avait même ressenti une certaine excitation à l’idée de se faire repérer, mais, maintenant que ce risque potentiel était devenu une certitude, elle ne se sentait plus du tout excitée. Alice sentait au contraire une espèce de boule se former dans sa gorge, un nœud de nervosité. L’homme sortit, et s’engagea avec les autres, leur offrant une explication insolite, sur une histoire d’incendie... La Princesse n’y comprit pas grand-chose, mais vit surtout les autres partir. Sa tension se calma progressivement, et elle recommença à respirer normalement, étant toujours en sueur. Clad revint la voir, et Alice, rouge, baissa lentement les yeux.

« Tu vas avoir de la visite très bientôt, désolé. »

Elle sourit, et se rapprocha de lui, enlaçant son cou, et l’embrassa tendrement, fourrant sa langue entre ses lèvres. Ses seins s’enfoncèrent contre son torse, mais ce fut un simple baiser de remerciement. Elle l’arrêta rapidement, avant de le regarder. Ils auraient pu continuer à faire l’amour, mais, après cette interruption, Alice n’y était plus. Elle baissa prudemment les yeux, ses mains posées sur le torse de l’homme, puis s’écarta lentement de lui.

« Me... Merci... C’est moi qui suis désolée… »

La Princesse secoua lentement la tête, puis haussa les épaules. La nuit avait bien avancé, et elle ne serait pas contre dormir un peu. Elle espérait qu’aucun surveillant ne viendrait la réveiller, mais le plus probable est qu’elle aurait une nuit courte, puis retournerait chez Mélinda, afin de la terminer. Elle se massa l’arrière de la nuque.

« Tu es mignon aussi... En étant visible, précisa-t-elle. Ceci dit, nous allons devoir arrêter nos batifolages... Pour ce soir, en tout cas. »

Alice s’étira lentement, puis se rapprocha de la porte de son dortoir. Clad avait été un bon amant, et méritait bien une petite récompense, comme la revoir plus tard. Elle lui fit un léger sourire encourageant.

« La prochaine fois, je t’inviterais là où je dors... Personne ne pourra venir nous déranger. »

Ce n’était pas contre lui, mais cette intervention avait réfréné les ardeurs d’Alice, la fatigue de son corps se rappelant à elle. C’était une bonne nuit, mais, pour Alice, l’heure était venue de tirer le rideau.


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Tags : fini vaginal anal