Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Alleyne, une elfe infiltrée à Sylvandell. [PV Alice] (Dieu est Hideo Kojima)

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Alleyne

Créature

Les rayons du soleil qui s'infiltraient à travers les rideaux de feuilles mortes éclairèrent le visage d'Alleyne, ce qui acheva de la réveiller.
Elle ouvrit les yeux. Nue sous sa couette, elle réfléchissait, pensive:
La chasse l'avait occupée plusieurs millénaires. Et elle se rendit soudain compte qu'elle avait autre chose à faire de sa vie. Elle s'extirpa de son lit et se dirigea vers la source d'eau chaude située en bas de son lieu de vie.
Elle s'arreta devant, et immergea lentement son corps nu dans l'eau. La peau d'Alleyne réagit sensiblement, et l' elfe frissonna  de plaisir.
Des petites bulles sortirent d'entre ses jambes, pour ensuite remonter à la surface. Alleyne rejetta la tête en arrière et lacha un profond soupir de plaisir. Elle Passa sa main sur sa poitrine et descendit l'autre vers une zone inexplorée des mortels.

Fraîche comme une rose, Alleyne enfourcha son cheval et, sans se retourner, quitta son ancienne résidence. Elle traversa les contrées les plus hostiles, les deserts et les forêts: Elle ne savait pas ou elle allait, ni depuis combien de temps elle voyagait.
Mais un soir, Alleyne fût attaquée :
Elle filait à toute allure quand son cheval reçu de plein fouet une flêche dans l'aine. Surpris, Stoppé en pleine vitesse, l'animal bascula sur le coté et tomba avec l'elfe sur le bas coté. Pour notre elfe, la chute fût longue et douloureuse.
Alleyne ne sût pas combient de temps elle resta immobille, ainsi allongée sous un tas de feuilles.
Malheureusement pour elle s'était cassée plusieurs vertèbres, la jambe, et l'articulation de son bras gauche formait un angle déformé. Les orcs qui l'avait attaqués la cherchèrent plusieurs jours.
Alleyne était parfois à trois ou quatre mètres.
Mais Elle n'en avait qu'a faire: Elle était une elfe de la forêt. le tas de feuilles qui la dissimulait de ses ennemis la camouflait, et soigner ses blessures. Sa chevelure blonde, sa natte détréssée tombait avec beauté sur sa poirine et son corps prsuque nu.
Une fois rétablie, et les orcs partis, Alleyne se releva. Elle était au bord d'une falaise, et elle se sentait extremement fatiguée. Elle se laissa alors  tomber, et les trentes-trois mètres de hauteur qui séparait Alleyne de la surface du lac lui firent l'effet d'une éclaboussure. Une fois en bas, elle se laissa entrainer par le courant trés puissant du fleuve.
Au bout de plusieurs heures, Alleyne finit naufragée sur un rivage, et à quelques mêtres de là, une cathédrale. Ou plutôt l'arrière d'une cathédrale. L'elfe pénétra dans le batîment, à moitiée nue, les vêtements en lambeaux.
Une fois dans le batîment, Alleyne ressentit une incroyable sensation de sécurité.
Non pas car l'église était "La maison de Dieu" (Alleyne n'avait d'ailleurs aucun dieu) mais plutôt parce que la personne présente avec elle etait incroyablement rassurante.
En ce moment même, deux personnes était présentes dans la cathédrale:
Alleyne, notre elfe, et une jeune femme:
Vétue d'une cape blanche, elle déployait une aura de pureté incroyablement puissante. Sa chevelure dorée tombait avec douceur sur ses épaules et cette cape immaculée:

- Sylvandell est une contrée trés hostile vous savez...

Cette voix résonna dans la cathédrale, et un silence se fit entendre.

Pour la dernière partie, je me suis inspiré de Metal Gear solid 3. Si vous y avez joué, pensez à Snake dans le fleuve, après le combat contre The Sorrow...
« Modifié: samedi 13 octobre 2012, 13:48:34 par Alleyne »
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Et si vous souhaitez faire un rp avec l'un d'eux, dite le moi par mp.



Princesse Alice Korvander

Humain(e)

« Majesté, il faut vraiment que vous en parliez à votre père...
 -  Les Orcs ont encore attaqué ? »

Ce fut un soupir exaspéré qui traversa les lèvres d’Alice, alors que son Capitaine lui parlait depuis le couloir. Deux servantes étaient en train de proprement habiller et coiffer Alice. Par pudeur, le capitaine n’était pas entré, mais tournait en rond dans le couloir, piaffant d’impatience. Alice pouvait entendre les bruits de pas précipités de ce dernier. Un peigne remuait dans les longs cheveux blonds de la Princesse, et elle tendit les mains, écartant soigneusement les doigts, afin qu’on lui mette de soyeux gants blancs, afin de la protéger du froid. Le Joyau de Sylvandell, qu’on surnommait également le Diamant Blanc, réfléchissait. Depuis quelques semaines, les éclaireurs et les patrouilleurs avaient signalé la présence d’Orcs dans la région, dans le smontagnes qui bordaient Sylvandell. Ils restaient éloignés du royaume, mais avaient attaqué plusieurs petits villages éloignés, qui dépendaient de Sylvandell, et qui fournissait le royaume en bois. L’hiver approchait, et des tempêtes de neige s’annonçaient. Dans ces hauteurs, l’hiver était terrible. Même en été, on avait froid dans les hauts-plateaux de Sylvandell. Le bois était nécessaire.

« Ils ont attaqué un charretier. »

Alice pesta, levant les yeux au ciel. Généralement, l’hiver, Sylvandell était plutôt paisible. Les loups fuyaient le froid pour aller vers la forêt, les retrouvant au printemps, où ils se contentaient généralement de chasser des daims ou des biches. Ici, la situation était un peu particulière, car ces Orcs étaient des fuyards, des rescapés d’un clan orc qu’une armée ashnardienne avait rasé à quelques lieues d’ici. Les fuyards avaient fui vers le désert pour semer les cavaliers ashnardiens, et, à partir de là, étaient retournés vers les montagnes. L’un des versants des montagnes de Sylvandell donnait en effet sur un grand désert, qui menait vers Tekhos. Les Orcs survivants étaient passés par là, et avaient commencé à déferler sur les petits villages situés dans les profondeurs de la chaîne de montagnes, se rapprochant ainsi de Sylvandell.

En réponse, le royaume avait envoyé une patrouille, mais traquer les Orcs était difficile dans ces dédales, ces gorges, ces canyons, ces vallées qui serpentaient au milieu de précipices vertigineux. De plus, la neige et le froid s’abattaient déjà dans les profondeurs éloignées des montagnes. On essayait de se rassurer en se disant que les Orcs ne supporteraient pas longtemps un tel climat, et que les Ashnardiens ayant repoussé les Orcs viendraient bientôt pour finir le boulot, mais les serfs s’impatientaient. Alice, qui présidait maintenant les séances de doléances, recevait de plus en plus de plaintes des serfs au sujet de cette bande.

« J’en ai déjà parlé au Roi... Il a dit que le Général Landsher était en route avec une compagnie de spadassins et s’arbalétriers.
 -  Le peuple demande une action immédiate. Le charretier a failli perdre la vie !
 -  Je suis au courant, mais ce n’est pas à moi qu’il revient d’agir. Notre patrouille est revenue bredouille...
 -  Il faut en envoyer une autre, insista le Capitaine. Nous avons réussi à réunir des guides des clans éloignés, les Orcs les embêtent aussi, et ils sont prêts à nous conduire dans les grottes où cette vermine se cache. Ces Orcs sont affamés et désorientés. Landsher a capturé leur Boss. »

Chaque clan orc était dirigé par un Boss, un Orc plus puissant que les autres, et qui s’était imposé en écrasant les crânes des Boyz qui se révoltaient contre lui. Au-dessus du Boss, on trouvait le Big Boss, un chef orc qui dirigeait tout un peuple d’Orcs.  Un Waaagh!. Landsher, lui, était un Général ashnardien qui cherchaient justement à venir à bout de ce Big Boss, Oss Snasha, et qui, pour cela, attaquait les différents clans d’Orcs. Tywill avait envoyé un messager prévenir ce dernier qu’il y avait des Orcs à Sylvandell, et Landsher avait demandé à ce qu’on attende sa venue avant de les attaquer. Il espérait les capturer pour obtenir des informations sur eux. Si les Orcs ne s’étaient pas entretués, c’était qu’il y avait probablement un Orc plus puissant qui les commandait. Pas un Boss, non, mais un autre Orc. Probablement un Nob, ce qui, chez les Orcs, signifiait qu’il s’agissait d’une espèce de lieutenant. C’est pour cela que le Roi de Sylvandell se refusait à agir ; Landsher voulait capturer le Nob. Or, les Impériaux savaient qu’ils ne pouvaient pas attendre éternellement ; les Orcs finiraient par se révolter contre le Nob, car c’était dans la nature des Orcs. Le Général serait donc là d’ici un jour ou deux.

« Je vais aller prier à huis clos pour que Landsher arrive, décida Alice. Et j’en discuterais ensuite avec mon père, vous avez ma parole. »

Sylvandell était un royaume très religieux. Une prière à huis clos au sein de la Cathédrale, entouré des ancêtres, était toujours bien perçu par la population, comme un signe d’investissement. Avant chaque campagne, les Rois et les Reines avaient coutume de s’enfermer pendant plusieurs heures dans la Cathédrale, et de louer ainsi les Anciens et les Dragons d’Ors de leur accorder sa bénédiction, afin que leurs grandes ailes recouvrent et protègent Sylvandell.

Dans de beaux vêtements blancs, Alice se retrouva ainsi, une ou deux heures après, dans l’enceinte vide de la Cathédrale. La Cathédrale, bien sûr, n’était pas totalement vide, mais tous les accès à cette pièce avaient été fermés. La tradition voyait comme un blasphème le fait d’interférer dans une prière à huis clos, et Alice se mit donc à prier, agenouillée sur le sol, devant le feu vert qui laissait perpétuellement s’échapper une colonne verdâtre dans le ciel. D’immenses statues l’entouraient. Les Rois et les Reines les plus marquantes de Sylvandell, dont les reflets verts chatoyaient leur donnaient une impression de grandeur et de présence. Yeux clos, elle priait à voix basse, une légère mélopée. A Sylvandell, le clergé n’avait aucune prière préconçue, préférant l’improvisation des croyants, ce qu’Alice faisait, en vénérant le dragon d’Or...

...Et elle continua à le faire jusqu’à percevoir une présence. Elle releva la tête, fronçant les sourcils, et entendit alors quelqu’un parler sur sa gauche :

« Sylvandell est une contrée trés hostile vous savez... »

Alice sursauta et tourna la tête, voyant alors une délicieuse femme en haillons. Comment était-elle entrée ici ? En voyant son corps trempé, elle eut la réponse à sa question. L’un des canaux du lac, une petite rivière, menait près de la cathédrale, passant à un moment dans un jardin fermé à l’arrière. Cette... Cette elfe avait du passer par là, et, vu ses vêtements, elle n’avait pas l’air d’avoir passé une bonne journée. La Princesse sentit sa peur disparaître rapidement.

« Vous m’avez fait peur ! s’exclama-t-elle d’une voix forte, reprenant ses émotions. Je suis la Princesse de Sylvandell ! Et vous ? Pourquoi vous êtes toute trempée ? Et... Euh... En haillons ? »

Ce qu’elle était belle ! Alice n’en revenait pas, et était tellement surprise qu’elle avait du mal à réfléchir. Elle avait ainsi enchaîné les questions idiotes, signe qu’elle était troublée par cette superbe créature qui venait de débarquer devant elle.

Alleyne

Créature

"Vous m’avez fait peur ! s’exclama-t-elle d’une voix forte, reprenant ses émotions. Je suis la Princesse de Sylvandell ! Et vous ? Pourquoi vous êtes toute trempée ? Et... Euh... En haillons ?

Une princesse ? En entendant cela, n'importe qui aurait pu être intimidé. Cette femme était quand même l'héritière du royaume !
Mais cela ne faisait ni chaud ni froid à Alleyne. Elle, l'ancienne princesse d'Elfidia, l'elfe qui avait reniée ses origines depuis trop longtemps, se fichait completement du statut social qu'occupait la femme qu'elle avait sous les yeux.
A prèsent, elle devait absolument trouver un abri pour la nuit, et peu importe la manière:

-Une princesse dites vous ? Alors nourrissez moi, logez moi, et prenez soin de moi: je suis épuisée, il faut absolument que je me repose.

Au fur et à mesure qu'elle parlait, Alleyne se rapprochait un peu plus de la princesse qui la regardait, fascinée.
L'elfe était maintenant si proche d'elle que leurs poitrines entraient en contact en se déformant sous l'effet de la pression.
Puis, dominante, alleyne fit ce que la Princesse du Royaume tout entier de Sylvandell n'était sans doute pas habituée:
L'elfe lui donna un ordre.
 
-Je crois avoir été bien claire, n'est-ce pas ?

Mais au fond d'elle, Alleyne regrettait un peu d'avoir été si brusque avec cette femme.
Elle ne conaissait même pas son nom !
Maintenant, l'elfe espère qu'elle aura un petit moment de douceur avec elle, qu'elle acceptera de se faire pardonner.
Et elle se demandait ou la princesse pourrait l'emmener.
Après un leger silence, la question fût inévitable:

- Au fait, je me nomme Alleyne. Je suis un elfe de la forêt.
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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

La scène était cocasse, quand même... Une elfe qui débarque au cœur de la Cathédrale, et au nez et à la barbe de tous les gardes postés à l’entrée ! Elle avait du avoir une chance incroyable pour éviter les fidèles en atterrissant dans le jardin. Un mur entourait ce dernier, mais la rivière qui y trouvait prenait sa source au lac de Sylvandell, une grande étendue d’eau assez froide. Pour avoir atterri dans cette rivière, la belle elfe avait du avoir de la chance, car, généralement, le courant le plus fort dans le lac était celui du fleuve... Or, ce dernier faisait une chute à pic près de la partie basse de Sylvandell, avant de continuer sa course à toute allure. L’elfe avait donc eu de la chance, mais Alice n’était pour autant pas encore totalement rassurée. La femme ne semblait toutefois pas lui vouloir de mal, et s’avança rapidement vers elle, avant de l’interpeller :

« Une princesse dites vous ? Alors nourrissez moi, logez moi, et prenez soin de moi: je suis épuisée, il faut absolument que je me repose. »

Et ben ça alors ! Alice en fut tellement scotchée qu’elle en perdit son latin ! Quel toupet, quel culot ! Pas de doute, elle avait bien affaire à une elfe ! Cette dernière s’avança vers elle, se tenant désormais très près (trop près ?) d’Alice, qui décida de ne plus loucher sur sa poitrine, pour se planter dans le regard de cette femme. Elle lui parlait comme à un vulgaire valet ! Elle était la Princesse héritière de Sylvandell, quand même !

« Je crois avoir été bien claire, n'est-ce pas ? » renchérit l’elfe arrogante.

Alice fronça les sourcils, le rouge lui montant aux joues. Elle avait déjà croisé des elfes, et il y en avait même un qui vivait à Sylvandell. C’était le chef du clergé de Sylvandell, qu’on appelait l’Omniprêtre, mais aucun elfe n’avait jamais été aussi arrogant que celle-là ! Elle avait presque l’air de prendre Alice pour sa domestique. La Princesse se sentit offusquée, et entreprit de lui répondre, lorsque la belle elfe, réalisant probablement qu’elle manquait sans doute aux convenances sociales élémentaires, choisit de se présenter :

« Au fait, je me nomme Alleyne. Je suis un elfe de la forêt. »

Alice soupira. Est-ce qu’Alleyne la prenait pour une demeurée ? Alice avait déjà remarqué qu’elle était une elfe, et croisa les bras, avant de lui faire comprendre quelques choses élémentaires :

« Pour votre information, Alleyne, vous venez d’interrompre un rituel sacré qui a une grande importance pour mon royaume. Je serais en droit d’appeler les gardes pour vous enfermer dans nos geôles, alors je vous suggère de commencer par baisser d’un ton ! »

La Princesse était une femme forte et fière, même malgré les apparences. Le Diamant Blanc ne se laissait pas si facilement démonter, mais, pour éviter que l’elfe ne panique, elle précisa rapidement, sur un ton plus calme, plus doux :

« Mais ne vous inquiétez pas, je ne le ferais pas... Ma prière était terminée... Et, après tout, vous ne seriez pas une elfe, si vous ne preniez pas les humains pour des laquais. »

C’était l’un des grands préjugés sur le peuple elfique : des prétentieux, des individus arrogants, et Alice était probablement influencée par la beauté d’Alleyne. Il était cependant nécessaire de mettre les choses au point avec cette femme qui venait de débarquer de nulle part.

« Et, d’ailleurs, je me nomme Alice. Alice Korvander. Vous êtes ici à Sylvandell, et, si vous voulez bénéficier de mon hospitalité, et avoir une chambre au Château, il faudra commencer par me dire ce que vous fabriquez au cœur de la Cathédrale. »

Et il fallait aussi que les yeux d’Alice cessent de revenir vers la poitrine de l’elfe, poitrine qui était presque à découvert, vu les vêtements déchirés qu’elle portait. Elle était visiblement blessée, mais pas assez pour ne pas perdre son air suffisant et arrogant. Les elfes vivaient toujours à cette époque ancienne, très lointaine, où ils dominaient le monde, où ils étaient le peuple le plus avancé. C’était maintenant bien loin d’être vrai, mais ils étaient assez susceptibles... Et cette elfe était trop belle pour qu’Alice ne la provoque.

*Il faut que je m’impose face à elle, qu’elle comprenne qu’on ne me traite pas comme une vulgaire domestique...*

Alleyne

Créature

Curieusement, la princesse lacha un soupir.

-Pour votre information, Alleyne, vous venez d’interrompre un rituel sacré qui a une grande importance pour mon royaume. Je serais en droit d’appeler les gardes pour vous enfermer dans nos geôles, alors je vous suggère de commencer par baisser d’un ton ! »

Alleyne haussa les épaules d'un air hautain.

-Un rituel sacré? On croit rêver! Si vos prétendus "dieux"(Alleyne simula de ses doigts deux guillemets, comme pour signifier l'idiotie qu'avait ces divinités à ces yeux) observaient réellement Sylvandell, il aurait sauvés depuis longtemps votre Royaume du désordre qui semble y règne depuis trop longtemps ! Et vos fantasies ne m'amusent plus !

Mais la Princesse était réellement sérieuse et elle regardait maintenant Alleyne d'un air de défi.
Puis, son visage changea soudain d'expression et la jeune femme afficha une moue lègerement amusée, comme si elle  donnait raison à l'elfe qui lui tenait pourtant tête depuis plusieurs minutes.
Mais au fond d'elle, Alleyne se doutait que la princesse n'était pas vaincue pour autant.
Le "diamant blanc" inclina légèrement la tête en avant, ferma les yeux, et les bras croisés sous sa poitrine (ce quit eut pour effet de faire remonter ses seins de plusieurs centimètres de haut), et afficha un sourire qui déconcerta Alleyne:

-Et, d’ailleurs, je me nomme Alice. Alice Korvander. Vous êtes ici à Sylvandell, et, si vous voulez bénéficier de mon hospitalité, et avoir une chambre au Château, il faudra commencer par me dire ce que vous fabriquez au cœur de la Cathédrale.

Alleyne accepta le marché, déroula son histoire:

-Très bien, voici ce qu'il m'est arrivé:

Alleyne détourna la tête, pensive, et le regard plein d'amertume, raconta le pourquoi du comment:

-Il ya maintenant quatres jours, quand je me suis réveillée, j'ai eu soudain une prise de conscience:
Ma vie nétait pas faîte pour chasser eternellement...
Car depuis plusieurs millénaires, cette vie, je ne s'occupe malheureusement que par la chasse et la ceuillette, et bien que je sois immortelle, il faut que je me nourrisse, pour ainsi avoir les compétences vitales nécéssaire à ma survie...
Et puis, je suis une elfe après tout: cette appartenance raciale me donne heureusement d'incroyable capacités,que ce soit en matière de combat, ou autre, et mes cinq sens aussi sonts surdévellopés.
Ces capacitées là, je les ais évidemment toutes exploitées et explorées au cours des septs milles ans que j'ai vécus au cours de ma longue vie...


Alleyne s'arrêta, gênée.
Un silence incroyablement puissant régnait dans l'église.

-Mais ce matin là, j'ai eu un flash: Il me manquait plus qu'une seule capacité, et je savais que c'était celle que j'avait laissé à Elfidia.
Mais c'était en vérité bien plus qu'une simple capacité:
c'était un véritable talent, Et ce talent était tout simplement mon aptitude à...


Alleyne fût déconcentrée dans son discours par le visage déconcerté d'Alice qui la regardait sans comprendre.
Mais soudain, un sentiment d'espoir remplit le coeur d'Alleyne: elle sentait que cette princesse pourrait être LA personne qui résoudrait ses problèmes, LA personne qui ferait revenir à la vie ce talent oublié.
L'elfe se résigna donc à lui expliquer quel était ce talent qu'elle ne possédait plus.

- Désolé, mais vous n'avez pas à le savoir pour l'instant.

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Le toupet de cette femme était tout simplement saisissant ! Alice n’en revenait toujours pas. Elle avait été jusqu’à blasphémer en sa présence, au cœur de la Cathédrale, et au milieu des statues des anciens Roi et des anciennes Reines ! Rien que pour ça, elle méritait volontiers d’être mise au pilori, mais Alice n’arrivait toujours pas à réfléchir consciemment. L’elfe se mit à lui parler sur un ton plus calme, lui expliquant pourquoi elle était ici... Sans toutefois lui expliquer. Son ton était assez mystérieux, et, de ce qu’Alice crut en comprendre, l’elfe cherchait à améliorer ses capacités et ses performances. Elle s’interrompit dans ses explications, et Alice cligna des yeux.

*Sept mille ans ? Elle a sept mille ans ?!*

Alice n’arrivait toujours pas à y croire. Était-elle en train d’halluciner ? Dormait-elle ? Non, ce n’était pas possible. Ce n’était pas possible qu’elle fasse un rêve, c’était bien trop réaliste pour en être un. L’elfe était très proche d’elle, leurs poitrines se frôlant presque, et Alice continuait à loucher sur le corps de cette elfe. Elle était d’une telle beauté... C’était incroyable ! Alice avait déjà vu une elfe jadis : Tinuviel... Et elle était très belle aussi. Était-ce un trait commun à la majorité des elfes ? Son avis était biaisé par le fait qu’elle avait grandi avec l’Omniprêtre, qui était très laid... Mais l’Omniprêtre avait été défiguré lors d’une guerre, et ses cicatrices n’étaient pas très belles à voir.

« C’était un véritable talent, Et ce talent était tout simplement mon aptitude à... »

Alleyne s’interrompit dans ses explications, et la Princesse la regarda, curieuse. La belle elfe semblait étonnamment surprise, et plantait ses yeux dans ceux de la Princesse. Cette dernière se sentit faiblement rougir, avant que l’elfe ne semble se reprendre. Elle avait semblé comme absente, avant de revenir au réel.

« Désolé, mais vous n'avez pas à le savoir pour l'instant. »

La Princesse fronça les sourcils, ne comprenant toujours pas ce que cette elfe fabriquait ici.

*Reprends-toi ! Sens le Dragon !*

Les sourcils d’ Alice se froncèrent lentement, et ses bras gantés se croisèrent au-dessus de sa poitrine.

« Je ne vous ai pas demandé de me raconter votre vie... Et, à l’avenir, je vous prierai d’être plus respectueuse à l’égard des croyances de mon peuple... Et de mes croyances. Rien ne me force à vous offrir l’hospitalité, et votre comportement, à vrai dire, m’inciterait plutôt à vous envoyer croupir au cachot pour la nuit, histoire de vous remettre les idées au clair ! »

Alice avait parlé sur un ton fort, de plus en plus outrée. La beauté d’Alleyne n’excusait pas tout ! Alice s’écarta d’elle, marchant un peu, sa cape remuant derrière sa belle robe, et elle se retourna à nouveau. Elle portait une robe qui ne la serrait pas trop, et qui était en tissu fin, formant un joli décolleté. On pouvait voir, autour de son cou, un collier doré avec, au bout, un pendentif représentant un dragon. C’était sa croix de prière, et elle poursuivit :

« Que vous effectuiez une sorte de pèlerinage mystique est votre droit, mais, du haut de vos sept mille ans, vous devez respecter nos lois ! Je n’aime pas qu’on insulte mon peuple ou mes croyances. Je ne vous demanderais pas de vous excuser, mais je vous serais grée d’être plus modérée dans vos propos à l’avenir. »

Voilà qui était dit, et de manière assez honnête et rapide. Alice croisa à nouveau les bras, d’un air de défi. Elle avait réinstauré entre les deux une distance de sécurité.

« Je veux savoir comment vous avez atterri ici, dans cette cathédrale... Et pourquoi diable est-ce que vous pensez que mon royaume est... En désordre ?! La paix y règne, et la justice est rendue. »

Alice voulait mettre les choses au clair avec cette femme. Si elle ne voulait pas lui dire ce qu’elle cherchait, c’était son droit, mais c’était aussi le droit d’Alice de savoir ce qu’Alleyne fabriquait ici, comment elle avait débarqué dans cette cathédrale. Elle précisa rapidement le fond de sa pensée :

« Vous avez du tomber dans le lac, non ? Si tel est le cas, vous pouvez vous estimer chanceuse... Vous auriez pu être emportée par le fleuve... »

Alleyne

Créature

-De la chance... On peut dire ça, oui...

Alice boullonait visiblement de colère...

-Eh bien, j'ai simplement quitté la forêt ou je vivais pour de nouveaux horizons. Comme je l'ai dit avant, il fallait que je change de vie. J'ai donc tout laissé derrière moi pour trouver cette raison d'être qui me manquait.

Alleyne s'aretta et pensive, fit glisser sa main sur l'autel qui se trouvait devant elle.

-Au bout de plusieurs jours de voyage, mon cheval fût attaqué par un groupe d'orcs. La chute fût terrible et l'animal m'écrasa au cours de cette descente. Les orcs sentaient mon odeur, me flairaient, essayaient de me débusquer, mais je restais cachée sous un tas de feuilles, qui restauraient ma vitalité. Une fois suffisement prête pour continuer, je me laissa tomber d'une falaise se trouvant près de moi. En bas, le courant du lac me débarqua sur le rivage se trouvant derrière l'église.

Alleyne regardait maintenant Alice dans le blanc des yeux.

-Et je pense qu'il n'y a pas que de simples orcs grouillanr dans votre royaume chère princesse. J'ai déjà vu pire que cela. Et pandant mon repos, j'ai bien cru entendre le rugissement d'un dragon, ou la marche d'un troll... Et si par hasard j'étais amenée a faire un recensement, je n' aurais pas étonnée de voir un nombre d'enfants disparus plus élevés que la moyenne... Mais rassurez vous chère princesse: ce ne sont que des suppositions.

Sur ce, l'elfe s'avança, et tendit la main vers celle d'Alice, et lui décocha son plus beau sourire.

-Au fait, j'ai été princesse moi aussi. Je ne tient pas à être nommée ministre de la guerre, mais j'ai des notions de ce coté là. Mon aide vous serait peut-être utile après tout.
« Modifié: jeudi 01 novembre 2012, 18:35:39 par Alleyne »
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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Éberluée, Alice commençait à comprendre les préjugés que les individus, généralement, avaient sur les elfes. Elle connaissait son histoire. En des temps lointains, les elfes étaient l’une des espèces dominantes de Terra, et plusieurs des plus grandes cités terranes étaient réputées être d’origine elfique. Certains historiens s’accordaient ainsi à dire que Nexus, initialement, était une cité elfique. Elfes, humains, et nains, s’étaient cordialement affrontés en ces époques reculées, et les elfes avaient progressivement perdu, se divisant entre eux, et finissant par se replier dans leurs plus anciennes cités, généralement dans les profondeurs des forêts. On disait les elfes arrogants et prétentieux, avec une grande difficulté à se soumettre à l’autorité des humains. Alice, (mal ?)heureusement, n’avait côtoyé que peu d’elfes dans sa vie. Le premier elfe qu’elle avait vu était l’Omniprêtre, un elfe bougon et borgne, ancien soldat ashnardien, qui occupait ce poste depuis des siècles, et la seconde était une elfe rouge qui l’avait prise pour son enfant.

*A bien y réfléchir, peut-être bien que les préjugés ont une part de vérité...*

La Princesse tâchait de se calmer. Alleyne, cette belle elfe, n’était assurément pas dangereuse, et lui expliqua qu’elle était tombée sur une embuscade d’Orcs. Il était de notoriété publique que les Orcs détestaient les elfes. Ils avaient du ressentir sa présence. Elle lui expliqua avoir entendu le « rugissement d’un dragon », ce qui, mine de rien, fit légèrement sourire Alice. On disait aussi qu’elfes et dragons s’étaient, jadis, affrontés. Du moins, c’était le cas pour Lastrim, mais il n’était pas impossible que cette guerre n’ait concerné qu’une partie des elfes. Alleyne n’avait pas l’air, contrairement à Tinuviel, d’être une elfe rouge.

Alleyne se rapprocha d’Alice, qui décroisa lentement les bras au-dessus de sa poitrine, observant, légèrement soupçonneuse, la main que l’elfe lui tendait.

« Au fait, j'ai été princesse moi aussi. Je ne tient pas à être nommée ministre de la guerre, mais j'ai des notions de ce coté là. Mon aide vous serait peut-être utile après tout. »

Est-ce qu’elle avait halluciné ? Mal entendu ? Elle avait cru comprendre qu’Alleyne venait de lui demander... Un poste ? Si tel était le cas, c’était probablement la demande d’embauche la plus atypique de toute l’Histoire ! C’était comme si un demandeur d’emploi expliquait, en long, en large, et en travers, à son employeur combien son entreprise était minable, et demandait ensuite un poste. La Princesse laissa donc planer quelques secondes de doute, ne sachant pas si Alleyne était sérieuse, ou si c’était une forme de plaisanterie. Dans sa tête, elle se rappela les propos d’un Commandeur, qui avait une fois eu pour compagnon de route un elfe : « Ils ont un balai bien enfoncé dans le cul, ces elfes... » Une manière très polie de dire qu’ils n’étaient pas particulièrement réceptifs à l’humour.

Sortant de ses pensées, Alice attrapa pensivement la main d’Alleyne, et, sans trop savoir pourquoi elle le faisait, elle pencha sa tête, et embrassa le dos de la main de la femme, avant de relever les yeux, et de lui répondre :

« D’accord... Je crois que nous sommes parties du mauvais pied, tous les deux. Si vous avez été agressée par les Orcs, alors je tiens à vous présenter mes excuses. Ils sont les survivants d’une horde qui a été décimée à quelques lieues d’ici, et se sont réfugiés dans nos montagnes. Nous aurions pu les chasser nous-mêmes, mais le général qui s’est occupé de décimer la horde veut les attaquer, afin de capturer leur chef. »

Alice haussa les épaules, et libéra la chaude et douce main d’Alleyne. Elle se retourna brièvement.

« Quant aux dragons... Attendez-vous à les entendre rugir un certain nombre de fois, Sylvandell est un royaume de dragons. Mais ils n’attaquent pas les enfants... »

En revanche, pour ce qui était du bétail, c’était plus difficile. Les dragons avaient réussi à ne pas attaquer les humains, ce qui avait, selon les historiens, été assez difficile, mais ils posaient toujours des problèmes mineurs, que ce soit en incendiant des toits, ou en attaquant des moutons, des vaches, et d’autres animaux bien gras. Le royaume devait ainsi constamment indemniser les fermiers.

« Bref... Je n’ai aucun poste à pourvoir pour vous au sein de l’administration du royaume... Et, d’ailleurs, ce serait plutôt à mon père de s’occuper de ça. Toutefois, j’aurais tort de me priver des lumières d’une Princesse elfique, fut-elle ex-Princesse. Et, hum, si vous avez des connaissances contre les Orcs, ça ne pourra que nous être utile, surtout en ce moment. »

Ménageant une courte pause, Alice reprit son souffle, et termina :

« Je vous invite à ma Cour, si cela vous en dit. »

Alleyne

Créature

Alice semblait halluciner. Peut-être qu'Alleyne avait été trop directe avec le "Diamant blanc"...
Et une fois de plus, l'elfe donnait une mauvaise image d'elle et de sa personnalité: son tempérament bouillonnant avait encore pris le dessus.
Alice s'empressa d'embrasser sa main, et Alleyne la cacha derrière son dos en rougissant:
elle voulait simplement serrer la main de la princesse de Sylvandell !

-D’accord... Je crois que nous sommes parties du mauvais pied, tous les deux. Si vous avez été agressée par les Orcs, alors je tiens à vous présenter mes excuses. Ils sont les survivants d’une horde qui a été décimée à quelques lieues d’ici, et se sont réfugiés dans nos montagnes. Nous aurions pu les chasser nous-mêmes, mais le général qui s’est occupé de décimer la horde veut les attaquer, afin de capturer leur chef. »


-Nous sommes effectivement parties du mauvais pied. Exusez moi si j'ai été un peu trop directe avec vous...

Mais alice lacha la main de l'elfe, se retourna brièvement, et dit dans un haussement d'épaules:

« Quant aux dragons... Attendez-vous à les entendre rugir un certain nombre de fois, Sylvandell est un royaume de dragons. Mais ils n’attaquent pas les enfants... »

Alleyne s'était visiblement trompée. Lors de son repos (assez douloureux), elle s'était remémoré les pires heures qu'avait subit Elfidia pandant les guerres elfiques. Des milliers d'elfes avait péris au combat pour la protéger. Pendant plusieurs siècles, le royaume tentait de repousser des vagues d'humains qui mettaient à feu et à sang la cité celeste, avec l'aide de l'armée dragonne avides d'exterminer la race elfique...

Elfidia n'avait retrouvé la paix que bien plus tard, après un accord de paix entre les hommes, les orcs.
Mais des oeufs de dragons furent disséminés partout dans le royaume (pandant la guerre), et une fois éclos, s'empressait d'enlever les enfants et d' attaquer les chaumières...

Pandant qu'elle était invisible aux yeux des orcs, Alleyne eût le temps d'observer le ciel et les montagnes aux alentours. Et elle crût reconnaître Sylvandell les heures sombres qu'avait subit Elfidia. L'elfe avait donc pensé que les dragons qu'elle avait entendue attaquaient eux aussi les enfants...
Et elle aurait voulu s'en excuser auprès d'Alice.

« Bref... Je n’ai aucun poste à pourvoir pour vous au sein de l’administration du royaume... Et, d’ailleurs, ce serait plutôt à mon père de s’occuper de ça. Toutefois, j’aurais tort de me priver des lumières d’une Princesse elfique, fut-elle ex-Princesse. Et, hum, si vous avez des connaissances contre les Orcs, ça ne pourra que nous être utile, surtout en ce moment. »


Alleyne connaissait bien les orcs, elle en avait tués plusieurs centaines de milliers pandant cette guerre qui l'avait poussé à déserter son royaume.

« Je vous invite à ma Cour, si cela vous en dit. »

-Oui, je serais très heureuse de faire partie de votre cour. Et j'ai aussi très envie de sortir de cette église. Je me suis un peu trop attardée dans cette église.

Sur ce, Alleyne franchit les portes de la cathédrale pour se retrouver sur une place, grouillante d'agitation. Le ciel était clair, et la température devait avoisiner les 25°. Des batîments faîts de pailles entourait la place, et on pouvait entendre des marchands vanter les bienfaits deleurs produits.
Les gens la regardait étrangement. Elle n'aurait pu dire si c'était à cause de sa tenue qui dévoilait ses atouts morphologiques, ou son appartenance elfique. Il lui avait cru comprendre qu'un nombre assez réduits d'elfes résidaient en Sylvandell.
Alleyne tourna la tête vers Alice, comme pour attendre une réponse de sa part.
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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

« Oui, je serais très heureuse de faire partie de votre cour. Et j'ai aussi très envie de sortir de cette église. Je me suis un peu trop attardée dans cette église. »

Et, sans attendre plus longtemps, Alleyne sortit, laissant une Alice interloquée. Elle cligna plusieurs fois des yeux, et parla dans le vide :

« C’est une cathédrale, pas une église... »

Alleyne n’avait pas pu l’entendre, car elle était déjà dehors. Reprenant ses esprits, la Princesse remonta le long du transept, et rejoignit l’elfe. Dehors, c’était la place du marché sur la ville haute. Des tentes se dressaient tout le long du grand plateau. La ville haute de Sylvandell comprenait peu de bâtiments, privilégiant de grands espaces et des cours d’entraînement. Devant la cathédrale, on trouvait ainsi une série de stands, d’échoppes provisoires, et de tentes. La Princesse s’avança, alors que les gens regardaient Alleyne avec curiosité. Ce fut cependant deux gardes qui s‘avancèrent vers elle. Ils savaient que la cathédrale était interdite d’accès en huis clos, et se demandaient qui était cette elfe.

La Princesse intervint alors, en sortant de la cathédrale.

« Tout va bien, Messieurs, lâcha-t-elle en regardant les gardes. Cette... Cette femme est une invitée. »

Soupçonneux, les gardes la toisèrent de haut en bas. Certains des badauds observant la scène louchaient délibérément sur la confortable et attirante poitrine de l’elfe. Cette dernière était également peu vêtue, renforçant son attirance. Alice espérait qu’elle n’avait pas trop froid...

« Soit..., répliqua un garde. Il est interdit de pénétrer la cathédrale lorsque...
 -  Oh, arrêtez ça ! soupira Alice. Elle a été attaquée par des Orcs, et ne connaissait pas cette règle. Je l’emmène au Château.
 -  Je...
 -  Et je ne veux pas d’escortes !
 -  Mais... »

Le garde tentait de parlementer, mais sans succès. Alice s’éloignait déjà, avec l’elfe, et reprit progressivement son calme. Elle avait pu se défouler sur les gardes, et c’était toujours ça de pris. Sa main gauche se leva pour désigner les tentes et les échoppes.

« C’est la foire de Sylvandell, expliqua-t-elle. Habituellement, ces plaines sont bien plus vides. Le Château est... Là-bas. »

Sa main désignait le Château royal, perdu au loin. On pouvait encore difficilement le voir, et des dragons volaient dans le ciel, grondant parfois. Ils restaient en hauteur, mais on pouvait quand même bien les voir. Leurs mouvements d’ailes étaient sonores, se faisant entendre.

« Nous y serons bientôt... »

Alleyne

Créature

Soudain, Alleyne entendit un bruit derrière elle, et elle eût à peine le temps de dire un mot que deux gardes l'accostèrent.
Alice rappliqua aussitôt:

Tout va bien Messieurs, lâcha-t-elle en regardant les gardes. Cette... Cette femme est une invitée. »


Alleyne recula d'un pas, et bomba le torse dans un signe de défi, ce qui eût pour effet de faire ballotter son opulente poitrine dans un vaste mouvement circulaire.
L'Elfe sentait un bon nombre de regards indiscrets, qui louchaient évidemment sur ses seins et sa morphologie relativement très plaisante.

-Soit...lança un des gardesIl est interdit de pénetrer dans la cathédrale lorsque...
 -Oh, arrêtez ça ! elle a été attaquée par des orcs, et ne connaissait pas cette règle. Je l'emmène au chateau.

Alice était visiblement agacée par la garde royale.
Perdue au millieu des moeurs et des coutumes de Sylvandell, Alleyne était interloquée.

-Je...
-Et je ne veux pas d'escortes !
-Mais...

Quelle autorité ! Alice semblait vraiment respectée. C'était une princesse après tout. Pour Alleyne, qui avait vécue dans la survie depuis sa désertion d'Elfidia, avait oublié quelle sensation cela faisait d'être une princesse.
Maintenant qu'elle faisait partie de la cour d'Alice, elle pourrait sans doute redécouvrir ces plaisirs là...

Mais toutes deux s'éloignaient à présent des gardes, des tentes et des échoppes qu'Alice lui montrait. Elle reprenait son souffle et semblait gagnée par le plaisir. Peût-être était-ce dû à la violence des mots et des rapports (plutôt tumultueux) qu'elle semblait entretenir avec la garde royale.
Alleyne connaissait ce plaisir. La sensation qu'elle éprouvait losqu'elle chassait, lorsqu'elle mettait à mort divers daims, ours ou cerfs en était la plus pure interprétation.

-C'est la foire de Sylvandell. Habituellement, ses plaines sont bien plus vides. Le chateau est... là-bas.

Le chateau était visiblement très éloigné, et des dragons grouillait autour de la citadelle. Alleyne était interloquée:

-Nous sommes relativement très loin de votre forteresse... Nous n'allons pas y aller à dos de dragon je présume... Si ?
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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

« Nous sommes relativement très loin de votre forteresse... Nous n'allons pas y aller à dos de dragon je présume... Si ? »

A cette question, Alice ne put s’empêcher de pouffer. Un sourire éclaira son beau visage, alors qu’elle tourna la tête vers Alleyne. Secouant la tête, la jeune femme ne tarda pas à lui répondre, établissant quelques petites précisions :

« Non, nous n’allons pas grimper sur eux... Les dragons ne se laissent pas monter facilement, et vous êtes trop ravissante pour que je vous envoie vous faire frire sur un dragon... Nous pouvons y aller à pied, ou en calèche... »

Grimper sur un dragon n’était pas particulièrement simple, en vérité. Il fallait être un dragonnier, et devenir dragonnier prenait des années, et nécessitait de suivre une formation rigoureuse, physique et magique. De plus, les apprentis dragonniers n’étaient jamais assurés d’obtenir un dragon. Il fallait que le dragon veuille bien du dragonnier, qu’il se créé entre les deux une sorte de lien psychique, de connexion. A cette fin, le dragonnier devait aller dans les hauteurs de Sylvandell, dans les terres réservées aux dragons, un sanctuaire religieux interdit par les Sylvandins, afin de méditer, jusqu’à ce qu’un dragon accepte sa présence. Il était de plus en plus rare que les dragonniers soient recalés.

La Princesse se mit donc à marcher. Elles y seraient dans une petite demi-heure, environ. Si Alleyne envisageait de séjourner ici, cette petite promenade lui permettrait d’en voir un peu plus sur la ville. Il fallait traverser par la foire, et tous els gardes qui étaient là, lentement, se rapprochaient de la Princesse, l’observant silencieusement. A Sylvandell, on savait  combien la Princesse était une femme à brûle-pourpoint. Elle était généralement douce et calme, mais sa tendresse dissimulait un feu ardent qui brûlait dans ses veines. Les gardes, qui le savaient bien, évitaient donc de trop s’approcher d’elle, sans pour autant négliger la sécurité de la Princesse.

« Bonjour, Princesse ! la salua l’un des marchands.
 -  Ce collier vous ferait-il plaisir ? Je vous en offre une réduction !
 -  Voici une gemme, je suis sûr qu’elle vous fera plaisir, Princesse ! »

Alice leur souriait, mais déclinait poliment les offres, évitant de trop s’attarder. A défaut, les marchands tentaient de se rabattre sur la belle elfe. L’un d’entre eux brandissait vers elle un délicat collier de perles.

« Ce collier vous irait à ravir, noble elfe. Je dirais même qu’il a été fait pour vous ! Et, parce que vous m’êtes fort sympathique, je vous en offre 10 pièces d’ors ! Avouez qu’à ce prix-là, on ne saurait passer à côté ! Ce collier a été fabriqué par les grands joailliers d’Eldwuïn, la cité elfique. C’est un gage de qualité ! »

La Princesse ignorait si ce marchand disait la vérité. Eldwuïn était une ville se trouvant à la périphérie de l’Empire, une cité elfique qui avait réussi à conserver une forte d’autonomie vis-à-vis de l’Empire, dans la mesure où elle était présidée par des elfes. La ville comprenait des mines de diamants, qui constituaient la fortune de la cité. Les elfes s’en servaient pour fabriquer des armures, des lames, et des bijoux, naturellement. S’étant arrêtée, Alice regardait Alleyne avec un léger sourire sur les lèvres.

Alleyne

Créature

La princesse lacha alors un petit rire amusé en entendant la question d'Alleyne

« Non, nous n’allons pas grimper sur eux... Les dragons ne se laissent pas monter facilement, et vous êtes trop ravissante pour que je vous envoie vous faire frire sur un dragon... Nous pouvons y aller à pied, ou en calèche... »


Tant mieux: L'Elfe n'avait  pas vraiment envie de chevaucher un dragon, la seule créature qu'Alleyne craignait vraiment.
Mais un marchand arreta les deux jeunes femmes et s'empressa de leur proposer quelques produits:

"Bonjour princesse ! Ce collier vous ferait-il plaisir ? Je vous en offre une réduction!

Alice refusait les offres du marchand avec politesse, et poursuivait son chemin, en essayant de faire comprendre au marchand qu'elle ne voulait pas de ses produits.

-Voici une gemme, je suis sûr qu'elle vous fera plaisir, Princesse !

Le marchand qui tentait en vain de convaincre la princesse se rabatta alors sur l' Elfe qui ne connaissait pas grand chose au sens des affaires.

« Ce collier vous irait à ravir, noble elfe. Je dirais même qu’il a été fait pour vous ! Et, parce que vous m’êtes fort sympathique, je vous en offre 10 pièces d’ors ! Avouez qu’à ce prix-là, on ne saurait passer à côté ! Ce collier a été fabriqué par les grands joailliers d’Eldwuïn, la cité elfique. C’est un gage de qualité ! »


Alleyne prit le collier entre ses mains et se retourna vers Alice:

-Ce marchand dis la vérité: Je reconnais en ce collier la grande cité Elfique. Vous savez, j'ai longtemps cotoyé les dirigeants d'Eldwuïn lorsque je gouvernait Elfidia, et vous pouvez me croire, ce collier en vaut la peine. Il y a longtemps que les dieux Elfiques ont coupé les liens qui nous unissaient... J'ai besoin de retouver un peu de mon appartenance raciale.

Alleyne avait besoin de ce collier. Mais elle ne voulait également pas forcer Alice a trop dépenser pour elle. Elle était déjà acceuillie à sa cour, c'était suffisemment assez pour l'elfe...

-Achetez moi ce collier Princesse. J'en ai besoin. Et puis, il commence à faire froid, et ce n'ai pas à moitié nue que je vais me réchauffer...

« Modifié: samedi 10 novembre 2012, 13:40:16 par Alleyne »
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Princesse Alice Korvander

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Visiblement, le marchand avait réussi à attirer l’attention d’Alleyne. La Princesse cessa donc sa route, afin de mieux les observer. Elle observait attentivement ce collier, puis s’adressa à la Princesse, lui indiquant qu’on ne les trompait pas sur la valeur du collier. Ce collier était bien un artefact elfique, et qui, visiblement, avait une grande importance pour elle. L’elfe finit par lui demander d’acheter ce collier. La Princesse hésita un peu. 10 pièces d’ors pour un collier, c’était une somme, a fortiori pour une femme dont elle ne connaissait pas grand-chose... Néanmoins, si elle tenait à avoir Alleyne comme dame d’honneur à sa cour, ce serait peut-être mieux de l’avoir dans sa poche en lui faisant des cadeaux. Chez les humains, faire des cadeaux marchait généralement plutôt bien pour obtenir l’attention de quelqu’un. Ce ne serait pas comme si Alice allait se ruiner.

« Achetez moi ce collier Princesse. J'en ai besoin. Et puis, il commence à faire froid, et ce n'ai pas à moitié nue que je vais me réchauffer...
 -  Très bien, répliqua Alice. Je vais te l’acheter. »

Elle se tourna vers le marchand, et sortit de sa bourse deux dragons d’ors. En vertu du cours actuel du marché, un dragon d’or sylvandin équivalait à cinq pièces d’ors ashnardiennes. Le marchand ne protesta pas. La monnaie sylvandine était reconnue dans la plupart des établissements impériaux, et, au pire, il lui suffirait d’aller à une banque pour la faire changer.

« Voilà une affaire rondement menée, claironna le marchand. Un superbe collier pour une superbe femme ! »

Il tendit le collier à Alice, qui le prit entre ses mains gantés, et le tendit à Alleyne.

« Vois ça comme un cadeau d’hospitalité sylvandin, sourit-elle.
 -  Je vous souhaite une bien bonne journée, Mesdames ! »

Elle aida Alleyne à mettre le collier, et la regarda avec un léger sourire sur le coin des lèvres.

« Il te va très bien... Le marchand ne mentait pas... »

Dans la bouche de la Princesse, ça sonnait presque comme une forme d’aveu implicite, de séduction. Elle rougit légèrement, et se retourna rapidement.

« Allons au Château. Si tu as froid, un bon feu te fera du bien ! »

Alice était au courant que Sylvandell était un pays où on ne pouvait pas vraiment se réchauffer, en particulier dans les hauteurs. Il y faisait assez froid, et c’était encore pire en hiver. Elle de dépêcha donc de marcher, se servant volontiers de ça comme prétexte pour ne pas avoir à affronter des questions embarrassantes.

Alleyne

Créature

-Très bien, répliqua Alice. je vais te l'acheter.

Sur ce, Alice sortit deux dragons d'or de sa bourse et les tendit au marchand, visiblement satisfait. Alleyne ne connaissait pas le cours actuel de l'argent à Sylvandell, mais deux dragons d'or, ça semblait beaucoup pour ce collier. Alice semblait généreuse envers la population de son royaume.

-Voilà une affaire rondement menée, claironna le marchand. Un superbe collier pour une superbe femme !

Il remetta en main propre le collier d'Alleyne à la princesse qui le tendit vers l'elfe.

"Vois ça comme un cadeau d'hospitalité Sylvandin,sourit-elle.
"je vous souhaite une bien bonne journée, lança le marchand qui s'en allait au loin.

Alice aida Alleyne a mettre le collier. L'elfe était heureuse comme tout: Elle bomba le torse, toute fière de son acquisition. Le collier se glissa entre ses seins, et Alleyne lacha un petit rire appréciateur.

"Il te va très bien. Le marchand ne mentait pas..."

La princesse semblait admirative. Tellement admirative qu'elle semblait rougir. Elle se retourna rapidement.

"Allons au Château. Si tu as froid, un bon feu te fera du bien !"

Sur ce, elle accéléra la marche. Alleyne était plongée dans ses pensées. Le collier accaparait visiblement son attention. Elle et Alice marchait le long d'un chemin, dont la pente s'accentuait de plus en plus. En arrivant en haut de la route sinueuse qui devenait visiblement épuisante, elle apercurent alors le chateau de sylvandelle qui dominait la contrée, ses forêts, ses lacs et ses villages. On pouvait apercevoir des volutes de fumée s'élever un peu partout des forêts alentours. Sans doute des auberges...
Le chateau, bienveillant, semblait protéger les deux amies. Les multiples fenêtres de ce joyau architectural semblait leur jeter des regards surréalistes.
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