Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Carolina L. Lupin

Humain(e)

Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)

dimanche 23 septembre 2012, 02:28:51

Minuit sonnait à l'Église quand une silhouette menue se glissait dans ce quartier mal famé qu'étais le quartier de la Toussaint. Elle était vêtue d'une très jolie robe de cocktail laissant apercevoir un décolleté vertigineux et un manteau de fourrure complétait la tenue. La robe tombait jusqu'au sol, ou presque, et était fendue à partir du haut de la cuisse droite jusqu'à la fin.

Elle avait ouïe dire qu'une soirée de la haute société avait lieu ce soir. Dans un tripot, parce qu'il y aurait des parties de poker illégales. Carolina n'allait certainement pas manquer l'occasion de dépouiller ses compatriotes.

Dépassant un coin de rue, elle frappa trois coups secs, comme convenu, à la porte d'une maison qui semblait délabrée. On lui ouvrit rapidement, et elle se glissa dans l'ouverture. On la mena à une trappe qui menait à une cave. Elle descendit, lestement, et trouva un bruit de conversation beaucoup plus fort. La cave devait être insonorisée. Des bribes de musiques aussi. Elle poussa la porte, et entra enfin dans le coeur du tripot. Au centre, une grande table avec dix participants qui jouaient au poker. Dans les coins on voyait l'arrière train d'un homme besogner une donzelle peu farouche. Une estrade avait été installée au fond. Une sorte de club de strip-tease, en quelques sortes. Une jeune femme tournait autour de la barre de pôle-dance, ôtant son mini soutien-gorge fermé par des pressions d'un simple mouvement du buste qui mit en avant ses attributs avantageux.

Machinalement, Carolina jeta un coup d'oeil à son propre décolleté. Sa poitrine devenait sensible, avec sa grossesse, et elle avait déjà prit un bonnet de soutien-gorge. C'est tout juste si sa poitrine ne distendait pas le tissu de sa robe. Heureusement, les bretelles de la robe étaient réglables et ça soulageait sa poitrine du frottement incessant avec le tissu.

Passant d'un groupe de personne à l'autre, sa main filait discrètement vers les poches bien remplies. A deux doigts, l'index et le majeur, elle attrapait un porte-feuille par-ci, une montre à gousset par là, etc.. Jamais plus que deux doigts, et jamais le pouce. Ainsi, elle ne se faisait jamais attraper sur le fait.

Une de ses connaissances, enfin vite fait, arriva vers elle.

- Ha, ma chère Carolina, vous voilà ! Ça n'a pas été trop dur à trouver ?
- Non, du tout. Merci de votre invitation.

Elle remarqua distraitement qu'il n'avait pas l'air dans son assiette, mais mit cela sur le compte de la crainte d'être découvert par une patrouille de flic.

- Et bien, les mises ce soir sont impressionnantes...

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)

Réponse 1 dimanche 23 septembre 2012, 16:28:09

Putain de dossier à la con qui faisait chier !  Pie qu'une bonne dose de laxatif, combien de nuits blanches avait-il été obligé de passer sur les lieux d'un futur crime pour l'en empêcher avant de se planter magistralement voyant que le vol avait été réussi ! Combien de fois avait-il changé d'équipe en pensant qu'il y avait une taupe. Mais jamais ça n'avait changé, au inal, il avait passé un mois là dessus, rien, absolument rien et ça lui faisait chier.

Les vols à Seikusu avait commencé il y avait un mois, alors Gabriel Valmy avait pris une autre piste, fermant sa porte à tout le monde, il avait commencé à bosser en solo, faisant jouer tous les relations qu'il avait pour savpir qui étaient là depuis un mois et qui ne l'était pas avant. Im avait obtenu une liste longue comme le bras ! Ça ne l'aidait pas énormément ! Il avait du éliminer un à un  chacune des personnes présentes en retra_ant les alibis mais pas facile, il y avait pas mal de trous en fait dans ce qui se passait.

Aussi, il dirigea ses recherches plus loin encore, tentant de remonter grâce à interpol jusqu'aux plus anciens vols du même genre, des vols improbables, incroyables, personne ne pensait que la police resterait sur le cul. De cette manière, il y eut pléthore de cas, mais une série se ressemblait quelque peu inscrivait au palmarès entre autres la Russie, France, et même la ville de Tokyo ! Bon, refaisons un peu le tour, qui était venu à Tokyo depuis la france ces derniers mois et qui n'étaient pas reparti. Une personne ayant la russie aussi sur son passeport ces quatre dernières années.

Il eut une autre liste longue comme le bras mais qui ne correspondait pas du tout avec l'autre, chouette....mais la différence c'était qu'il était sur qu'il avait la bonne personne dans la seconde liste ! Avec cette liste, il commença à faire le tri, un tri drastique, plusieurs d'entre eux, la majorité, n'était pas venu à Seikusu ét&nt donné le but du voyage...il doutait que beaucoup de chevaliers d'industrie viendraient  dans cette petite ville...non, ils se cantonnaient à Tokyo. Restait à voir avec les dates exactes des vols..pour voir si ça corresponsait avec les vols...

Finalement, il tomba sur une seue personne : Carolina Lisbeth Lupin de Dreux-Soubise, Comtesse de Cagliostro, un nom correspondant à du sang bleu français ;..chouette....enfin il lui fallait faire son travail ! Alors au boulot !  Mais qvant de l'arrêter, il estimait qu'elle s'était bien assez moquée de lui et méritait d'avoir une petite leçon !

Seul dans cette galère, il selectionna bien vite une opportunité, une soirée mondaine, il  trouva un costard à louer, un costard chic qu'il fit passer sur ses frais, trafiqua un portefeuille pour placer un émeteur, le plus petit qu'il pouvait trouver et l'intégra dans la doublure, entre deux couches de tissu, il y inséra de faux papiers, ceux d'un macchabée en fait, et s'incrusta dans la soirée. Il attendit le bon moment, un moment où la jeune femme s'apprêtait apparemment à lever les voiles et se dirigea vers elle, l'interceptant incognito, mais elle le reconnaitrait surement. Il espérait juste qu'elle lui volerait le portefeuille qui se trouvait dans la poche latérale droite de son pantalon de costume.

« Comtesse !  C'est  un plaisir de vous rencontrer.Bous êtes ravissante !  Comme à votre habitude d'ailleurs ! »

Et surtout votre décolleté ! Mais ça, ça ne disait pas, ça se voyait au regard qu'il y lança. Mais bon, il semblait un peu distrait et lui voler le portefeuille serait aisé, n'était-ce pas un défi à sa hauteur ? Un pied de nez à faire à la personne en charge de l'enquête...et il espérait de tout cœur qu'elle le fasse, il la suivrait ensuite jusqu'au bout, sa mot était garée pas loin, il l'avait garée ce matin et était venu en taxi, pour ne pas saloper le smoking....

Carolina L. Lupin

Humain(e)

Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)

Réponse 2 dimanche 23 septembre 2012, 18:56:45

La jeune femme passait de groupes en groupes, subtilisant aisément porte-feuilles, bijoux, montres, etc... Elle souriait, avait un mot aimable pour tous, et avait même réussi à chaparder des jetons de pokers qu'elle replaça dans le tas de son favori. Le meilleur bluff, à son avis. Mais elle ne jouait pas au poker.

Finalement, elle prit congé. Au moment où elle allait partir, un homme s'approcha. Il était bien habillé, pour une fois. Elle le connaissait de vue. C'était l'agent chargé d'enquêter sur ces "mystérieux" vols à Seïkusu. Dès qu'elle passait à proximité de lui, ou d'un autre homme des forces de l'ordre, elle aimait à les soulager du poids d'un portefeuille, ou d'une paire de menotte. Elle se souvenait aussi d'une soirée, alors qu'elle venait d'arriver à Seïkusu... Elle était allée se détendre dans un bar avec des connaissances. Et elle l'avait rencontré. Oh, il était brûlé ce soir-là. Mais ça n'avait pas empêché que ses performances soient agréables. Parce que oui, elle l'avait séduit. C'était amusant. Et elle ne l'avait pas regretté.

Elle lui sourit, et le salua à la manière française. C'est à dire qu'elle l'embrassa sur les deux jours, légèrement. Bien entendu, sa main filait vers les poches du smoking pour le délester de son porte-feuille. Quand elle se redressa, l'objet avait rejoint son sac, comme les autres. Son regard brillait de malice. Allait-il, lui, se souvenir d'elle ? A bien se remémorer cette soirée, elle portait ce soir le même parfum qu'alors.

- Il me semble... Oui, vous devez être le lieutenant Valmy, de la police de Seïkusu, n'est-il pas ? Je trouve que vous faites du très bon travail monsieur. Et je vous remercie de vos aimables paroles.

Elle parlait, comme à son habitude, avec une voix douce et un accent français bien perceptible. Son japonais est cependant parfait.

- Je dois malheureusement rentrer. Vous savez, j'ai eu une grosse journée. Mais j'ai été heureuse de faire enfin votre connaissance. Passez une bonne fin de soirée.

Elle lui offrit un ravissant sourire, et tourna les talons pour sortir avec élégance. Elle avait un doux balancement des hanches, inconscient, et finalement, elle passa la porte pour remonter.

Elle salua l'homme qui gardait l'entrée, et se dirigea à pieds vers la demeure qu'elle avait achetée pour passer ici une petite année. Elle n'avait pas longtemps à faire, étant donné que la demeure était à la limite du quartier de la Toussaint. Si elle avait choisit cet endroit-là, c'était pour que ça soit plus pratique de revendre ses larcins...

Elle rentra prestement et ferma la porte. De l'extérieur, elle avait l'air d'une maison délabrée. Mais à l'intérieur, elle avait tout refait à neuf, dans un style français du 15ème siècle. Elle déposa son sac sur la table et le vida méthodiquement après avoir ôté son manteau. Elle étala la quinzaine de portefeuille retrouvés, les six montres, les dix-huit colliers et les trois bagues qu'elle avait récoltées. Un sourire orna ses lèvres. Elle était décidément très douée !

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)

Réponse 3 lundi 24 septembre 2012, 18:02:47

La comtesse était bien pressée, avait-elle peur qu'on lui vole son butin ? Cette idée le fit sourire alors que la comtesse, non sans quelques paroles aimables (mais foutrement creuses, ce n'était pas dure à deviner!) prenait congé, elle semblait bien impatiente de s'en aller.... ben voyons....par contre, le fait qu'elle lui fasse la bise le mit sur ses gardes et il sentit très bien son portefeuille lui être ôté en doucer...il n'aurait rien remarqué si il ne se doutait pas....on ne faisait que rarement la bise en première rencontre surtout en étant deux inconnus...

Oui, il en était certain, c'était bien elle. Cette manie de jouer un peu avec la victime et les témoins, comme si au final, ils n'étaient que des jouets, rien de plus ! Ui, même style de comportement...oui, elle, elle et encore elle !  Il ne restait plus qu'à laisser marcher l mouchard et tout se ferait de lui même. Il n'aurait..;qu'à remonter la piste....ill était content e n'avoir rien dit à personne là dessus. C'était un avantage certain !

Il attendit une petite dizaine de minutes et sortit lui aussi, sans dire au revoir à personne, rien, à la sauvage ! C'était un peu sa spécialité ce genre de choses, c'était comme après la baise, il lui disait que c'était bien et si elle était chez lui, il lui foutait ses fringues dans les bras et la foutait à la porte, et s'il était chez elle, il se fringuait et se barrait....les relations longues durées, il ne connaissait pas... Bref !

Il bondit sur son bolide et démarra avant de fixer avec du gros scotch noir  sur le compteur de vitesse le GPS qui suivait le traceur et commença à avancer à vitesse mesurée pour ne pas se faire repérer par les flics, ou par de mauvais badauds....remarquez, un mec en costard sur une moto ça attirait l'attention. Il roula jusqu'à ce que le point se soit stabilisé dans une habitation. Il s'arrêta à proximité, mais pas devant, par précaution. Il sortt son arme de service et son arme personnel. Il vérifia les chargeur et les complèta, de sorte qu'il y ait dans chacun une dans le canon et des chargeurs pleins.

Il entra discrètement et s'arrêta devant la porte pour toquer. À la porte. Qoique non, après trois coups  à la porte il prit du recul et envoya un grand coup d'épaule dedans, à s'en faire mal ! Il reprit de l'élan et envoya un deuxième coup qui fit enfin céder la porte.

« Police !  On ne bouge plus ! »

Il entrait arme en avant.

« Je crois que je viens de mettre la main sur une comtesse de haut vol........merci de m'avoir indiqué mon chemin d'ailleurs !  Je n'y serai jamais arrivé sans votre aide ! »

Carolina L. Lupin

Humain(e)

Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)

Réponse 4 mardi 04 décembre 2012, 14:40:53

Doucement, avec précaution, elle rangea ses prises de la soirée dans des écrins de velours, puis les déposaient avec soin dans le coffre fort préalablement ouvert. Celui-ci, dans un soucis d'originalité, se trouvait derrière le téléphone filaire accroché au mur. Le téléphone qui, lui-même, était déjà très original. Accordé à la décoration intérieure, il était précieux. Pour le faire basculer, il fallait taper une série de 8 chiffres. Ensuite, c'était gagné. Le mécanisme se déclenchait, et le téléphone produisait un déclic qui indiquait qu'on pouvait l'écarter du mur, telle une porte ou une fenêtre.

Elle rangeait donc ses prises une à une dans ce coffre fort soigneusement dissimulé, lorsque quelqu'un toqua trois fois à la porte. Un geste vif lui fit refermer sa cache à bijoux, et dissimuler les portes-feuilles sous un coussin du canapé. Juste à temps, pour cette dernière manoeuvre, car la porte cédait sous le second assaut de l'individu qui venait de frapper. Elle s'assit précipitamment sur le canapé d'allure victorienne mais qui se mariait avec la décoration 15ème siècle, et offrit une expression délicieusement surprise à l'agent qui entra l'arme au poing.

- Monsi- Agent Valmy ! Que me vaut le.. Plaisir ?... De votre visite ?

Elle se leva, tout à fait naturellement, et leva les mains en l'air de façon tout à fait innocente.

- Ais-je fait quelque chose de mal ? J'espère que je n'ai pas traversé alors que le feu était rouge...

Ironique, vraiment ? Noooon, pensez-vous !

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)

Réponse 5 mardi 04 décembre 2012, 19:48:24

C’était vrai que c’était un lieu intéressant, c’était particulièrement sympa comme décoration, oui, c’était sacrément beau ! Mais trêve de pensées à la con imbécile ! Reconcentre toi sur ton travail. Il se reprit en cessant d’admirer les lieux pour se reconcentrer sur elle !  Enfin !  Il jubilait ! Il l’avait en ligne de mire ! Enfin !  Mais quelle chance ! Même si ce n’était pas complètement de la chance non plus… il avait bien raison d’en profiter, son sourire était quelque peu dément sur son visage !

Elle le resalua, il ne répondit pas, préférant la braquer pour être sur de ne pas se faire pigeonner. Plaisir de sa visite ? Quel plaisir en effet !  La taule, voilà un bien beau plaisir à ses yeux… une erreur administrative et elle se retrouverait en prison masculine… ce serait amusant et guère difficile en mettant de l’argent dan,s les bonnes poches, mais lui passer les menottes seraient un vrai plaisir !  Ah elle ne l’avait pas vu venir cette balise GPS !

Ah elle joue l’innocente à la perfection, mais il sait, il n’est pas dupe ! De même, son ironie était si mal placée qu’il ne put que sourire sur le coup avant d’éclater de rire, un rire particulièrement libérateur…il eut même un peu de mal à se calmer, d’autant qu’il baissa ses armes pour se tenir les côtes avant de redevenir d’un seul coup, complètement calme, remontant son arme de service, rangeant son arme personnelle. Il sortit le localisateur GPS et sans quitter des yeux la jeune femme il se dirigea en fonction de l’accélération des bips du localisateur jusqu’à un coussin qu’il écarta.

« Oh quelle chance ! J’ai un de ces pots !  Mon portefeuille avec… oh !  Mon traceur GPS que j’avais perdu !  Merci beaucoup de me l’avoir gardé si bien au chaud ! Je vais même vous offrir des bracelets pour vous récompenser !  Comme quoi vous aussi vous avez de la chance ! »

Il sortit une jolie paire de menottes toutes neuves, chacun sa prise !

« Je crois que tu as des choses à confesser… »

Il la braquait toujours, se sentant même assez fort pour passer au tutoiement…

Carolina L. Lupin

Humain(e)

Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)

Réponse 6 jeudi 06 décembre 2012, 21:45:59

Il rit. Elle l'observa sans ciller, le sourire aux lèvres, les mains en l'air. Elle baissa doucement les mains tandis qu'il cessait de rire. Un machin bipait. Il s'en saisit, et en avançant les bips s'accéléraient. Merde, un GPS. Elle se demanda s'il avait fait exprès de lui laisser piquer son porte-feuille. Sans doute. Son regard resta néanmoins fixé sans trahir son coeur qui battait de plus en plus vite à l'instar des bips du GPS. Elle soupira légèrement lorsqu'il écarta les coussins. Tant pis. Au moins, il n'avait aucune idée de toutes les autres cachettes qu'elle avait et où elle rangeait ses différentes sortes d'objets volés.

Elle croisa les bras sous sa poitrine, grimaçant alors qu'elle effleurait les bouts sensibles. Elle pencha doucement la tête sur le côté.

- Allons bon... Vous pensez que je les ai volé ?

Elle mima l'expression de la plus parfaite innocence, passant outre les menottes sorties et l'arme braquée sur elle.

- En fait... Je les ai trouvé. Et, je l'avoue, j'ai piqué le vôtre. J'espérais que ça me servirais d'excuse pour.. Vous appelez pour vous signaler la perte de votre bien. Et, peut-être, vous invitez à prendre un verre pour vous rendre votre porte-feuille que j'aurais retrouvé...

Carolina, où comment flirter en présence d'un flic décidé à vous arrêter.

- Je le confesse donc... Vous m'avez tapé dans l'oeil.

Elle sourit, charmeuse, et reprit.

- Je pensais qu'après cette nuit que nous avions partagé, vous me rappelleriez mais... J'ai été déçue de ne recevoir aucun coup de fil. Donc il fallait bien que je ruse pour parvenir à mes fins..

Rebondir en situation dangereuse, c'était le passe-temps favori de la belle. Elle minaudait légèrement.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)

Réponse 7 vendredi 07 décembre 2012, 11:51:50

Oui, il pensait qu’elle les avait volé, il en était même persuadé ! Et ce serait particulièrement dur de lui faire démordre de cette idée ! Il avait trouvé sa coupable !  Et pour une fois qu’im bossait, on ne le priverait pas de sa victoire… Oh non !  Qu’elle essaye et iol n’hésiterait pas à lui en coller une !  Comment ça on ne frappe pas une femme ? Foutaise ! Une bonne baffe ne faisait pas de mal de temps à autres !  Que l’on soit homme ou femme ! Quand au coup de l’envie de rendez vous… il aimait cette idée, c’état flatteur pour son égo, mais ! Fallait pas déconner !  Il la pistait depuis des semaines et elle aurait volontairement  piqué son portefeuille pourle lui rendre ? Non, il était sur du contraire !

Tenant toujours  les menottes il la laissait tenter de le convaincre par le flirt et la séduction, sachant qu’il était en cet instant presque incorruptible, bon, si elle s’était déshabillée et lui avait proposé de passer dans la chambre, là, tout de suite, il aurait renoncé à l’arrestation temporairement et en fonction du coup, il aurait ptêtre laissé un eu d’avance à la jeune femme pour filer… enfin, peut être…

Ah, le charme, elle y connaissait, ça, il ne pouvait pas le nier !  Par contre elle parlait d’une nuit partagée avec elle, lui, aucun souvenir, il buga légèrement… il avait déjà eu l’occasion de se taper du sang bleu ? Vous êtes surs ? Il ne s’en souvenait pas… Non, il mais il eut un sourire et lança, comme sur un ton d’excuse, par principe…

« Oui, la nuit était magique, mais pris par le travail… je n’ai pas eu le temps de vous rappeler, comtesse, d’autant que comme vous ne m’aviez laissé aucun moyen de vous contacter, on même autre chose que votre prénom… je ne pouvais pas vous rappeler ! »

Excuses bidons pour lui laisser le temps de réfléchir. Il sourit et en même temps, il fouillait sa mémoire à la recherche du moindre souvenir avant de se souvenir de deux douleurs… une à la cuisse, et une à la clavicule…. Elle avait été une vrai lionne et il avait gardé les marques pendant un sacré bout de temps ! Il y avait aussi un autre détail, mais ça, il préférait l’oublier, à la réflexion, c’était surtout ça, la raison qui avait poussé Gabriel à ne pas chercher bien loin pour ne pas avoir à la rappeler… il avait pas tenu aussi longtemps que prévu et avait joui en elle… du coup, il avait préféré se barrer bien vite… sans capote, ça pose toujours un problème…

« Mais ça ne change rien à la situation ! Loin de là ! »

Il dégaina son téléphone et appela le commissariat central.

« Oui, ici Valmy, j’ai besoin d’une commission rogatoire pour fouiller de fond en comble un appartement dans le cadre de l’affaire de la série de cambriolages suivis par interpole… »

Il raccrocha après avoir eu confirmation et  reporta son regard sur la jeune femme.

« D’ici le temps qu’ils arrivent je vais rester ici… et je me délecterai du plaisir de vous mettre ces menottes ! »

Carolina L. Lupin

Humain(e)

Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)

Réponse 8 samedi 29 décembre 2012, 22:48:05

Le plus drôle dans cette histoire ? Ils pouvaient toujours fouiller l'appartement, avec des appareils super perfectionnés. Ils ne trouveraient rien de plus que les montres qu'elle n'avait pas eu le temps de ranger. Elle y avait veillé. Ses caches étaient indétectables. Ou peut-être avait-elle laissé, par mégarde, un collier volé dans sa boîte à bijoux. Mais rien qui puisse la relier directement aux autres vols. Après tout, Carolina voyait du monde. Un admirateur aurait bien pu lui offrir un collier... Volé, par exemple.

Elle fit la moue néanmoins, acceptant moyennement l'excuse bidon qu'il sortit pour ne pas l'avoir rappelée. Il devrait carrément dire qu'il l'avait oublié, ou bien qu'il n'avait pas eu envie de poursuivre. Plausible, et elle se ferait une raison. Enfin, si elle était aussi "éprise" de l'homme qu'elle le disait, ce dont on ne pouvait pas être sûr. En fait, réellement, elle avait apprécié cette nuit-là. Mais quant à tomber amoureuse d'un inconnu beurré...

- Pour un peu, je me sentirais presque vexée. Mais il est vrai qu'un facteur entre en compte en plus dans cette nuit-là. Ce petit.. Accident de protection, n'est-ce pas ? Peu d'homme sont prêt à assurer la paternité dans ces cas-là. J'imagine que vous ne faites pas exception.

Une idée lui venant en tête, elle posa une main sur son ventre. Lui faire croire qu'il était le père. Lui mettre le doute. De toute manière, elle-même n'était pas tout à fait sûre de l'identité du père. Peut-être était-ce cet homme, qu'elle avait réellement aimé le temps d'une nuit et à qui elle avait fait confiance pour lui laisser le soin de prendre sa vertu. Ou peut-être était-ce lui, Gabriel Valmy. Les dates concordaient pour les deux.

Portant soudain la main à son front, Carolina sentit un vertige la prendre. Elle se raccrocha au dossier du canapé, ressentant une soudaine bouffée de chaleur, puis s'assit pour ne pas vaciller. Et elle ne mimait même pas cet accès de faiblesse.

- Je.. J'ai besoin d'un verre d'eau...

Même sa voix était un faible filet, comparé à l'arrogance qu'elle avait tout à l'heure malgré son ton agréable.

- Les premiers mois de grossesse ne sont jamais très facile, vous savez...

Elle plaisantait, mais faiblement. Elle avait besoin de boire quelque chose, pour faire passer cette nausée qu'elle sentait venir. Pour faire passer ce vertige.

Mais, même si l'homme avait été à la cuisine chercher un verre d'eau, il reviendrait trop tard. Elle se leva d'un coup, ouvrit la porte qui se trouvait dans le couloir latéral non loin de l'entrée, et rejeta le peu qu'elle avait mangé dans la cuvette des toilettes.

Quand elle revint, après s'être rincé la bouche et lavé les dents, elle était toujours pâle, mais le vertige était passé.

- Pardonnez-moi. Je ne me sentais pas très bien.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Droit dans la gueule du loup. (Gabriel)

Réponse 9 jeudi 03 janvier 2013, 19:17:22

Ouais, l’accident de protection… capote trop petite… putain, de quoi faire foutrement chier par la suite, et ouais, il faisait partie de ses foies jaunes qui croyaient   qu’il fallait fuir la paternité, c’était la pire des plaies, et il n’imaginait même pas quelle personne saine d’esprit lui confierait un gosse ! Personne !  Seule une personne qui voulait tuer son gosse l’aurait fait ! Lui et les gosses, c’était épidermique ! A côté de ça, la vexation de son humeur, rien à foutre !

Le jeune homme fut surpris par son geste, se toucher le ventre. Première réaction… et merde… deuxième réaction ? Putain de bordel, on croie les doigts pour que ce ne soit pas lui le père… putain… ça lui ferait chier… par contre pour le verre d’eau, elle n’avait qu’à se lever et aller en chercher un !

Mais putain elle confirmait la grossesse… il avait une putain de peur au ventre maintenant, et même si son malaise n’était pas feint, il avait envie de l’envoyer bouler ! Il ne pouvait pas être le père, non, après otut, elle était peut-être déjà enceinte à ce moment ou alors elle était tombée enceinte suite à l’orgie qu’elle avait eu plus tard…

« Bon bah asseyez-vous au lieu de faire la mariolle et rester debout… vous êtes pâle, okay, les premiers mois de grossesse c’est galère et alors ? C’est de combien de temps que vous êtes enceinte au juste ?

Une façon de s’assurer et de se foutre la paix au niveau doute, il avait bien assez donné comme ça ! Alors elle allait le tranquiliser en attendant que les autres poulets arrivent

« Et sinon, à part ça, ça va, le crime ? Je veux dire, ça paye bien le vol ? Ou c’est jyuste histoire de s’amuser ? Non parce que je me demande le mobile en fait… »

Il sourit et continua son baratin sur le vol.

« Vous savez, mon portefeuille, c’était un piège à con… volontairement, je savais que ma chère comtesse ne pourrait pas se priver de le prendre comme le reste… je démonterai cet appartement s’il le faut…. D’autant que j’aurai des spectromètres et des détecteurs de métaux… »


Répondre
Tags :