Perversion [Lanrea Nokima]

« La voilà... »

Mélinda hocha la tête, après avoir brièvement regardé Bran. Imperturbable, son frère se contentait de fixer la femme attachée à ses pieds, avec une cagoule sur la tête, et une gag ball coincée dans la bouche, l’empêchant de parler. Il avait été la sortir des cachots où elle croupissait depuis quelques heures, le temps que Mélinda finisse de prendre son bain, et le temps que Bran la nettoie un peu. Mélinda lui avait en effet ordonné d’aller trouver une proie pour qu’elle puisse s’amuser ce soir, et renouer ainsi un peu avec ces plaisirs rares, où elle s’exerçait à la soumission instantanée. Pour cela, il fallait trouver une jeune femme prête à servir. C’était une forme de plaisir auquel Mélinda s’essayait rarement, car ce n’était pas ainsi qu’elle entendait généralement soumettre de nouvelles esclaves... Mais bon, il fallait parfois faire des exceptions.

Bran était donc parti en chasse dans le centre-ville au crépuscule, et avait repéré une proie intéressante. Il avait attendu qu’elle se soit isolée pour fondre sur elle. Il l’avait attrapé par la tête, et envoyé heurter un mur, l’envoyant dans les vapes sans de plus amples cérémonies. Ce fut rapide et bref, mais efficace, et il s’était ensuite chargé de la ramener au manoir. La jeune femme était maintenant dans la chambre de la vampire, à genoux, avec une cagoule l’empêchant de voir ce qui se passait. Un sourire sur les lèvres, Mélinda sentait son sang filer à travers ses tempes. Bran lui avait mis un collier autour du cou, avec une laisse qui pendait. Précaution terrane, le collier comprenait un cristal en obsidienne, afin d’éviter d’avoir de mauvaises surprises.

« C’est bon, Bran... Tu peux nous laisser… »

Son frère hocha la tête, et sortit. Il referma la porte, et Mélinda resta dans son fauteuil pendant de nombreuses secondes, observant la femme. Elle avait encore ses vêtements, des vêtements courts et indécents, d’un rouge voyant. Mélinda se releva alors lentement, et n’eut qu’à brièvement se concentrer pour faire pointer un gros membre entre ses jambes. Son sexe jaillit, et elle se débarrassa de sa robe, finissant entièrement nue. Elle avait fait exprès de ne boire aucune goutte de sang aujourd’hui, afin que son agressivité soit au maximum en ce moment. La vampire se glissa devant la femme, et ôta sa cagoule, puis posa chacune de ses mains sur ses joues, son membre venant frotter contre ses joues. Elle devait être paniquée, terrorisée, et ce sentiment excitait encore plus Mélinda. Sous la peur, le sang d’un individu battait bien plus rapidement qu’en temps normal, et était donc, partant de là, bien plus attirant. Les doigts griffus de Mélinda glissèrent sur la délicieuse peau, immobilisant la joue de la femme.

« Hum... Je suppose que tu souhaites quelques explications, petite salope... »

Elle poussa la femme, l’envoyant s’allonger sur le dos d’un tapis ornant sa chambre, devant son lit. Elle avait toujours des menottes immobilisant ses poignets, et Mélinda se rapprocha lentement, et tendit ses mains vers la minijupe de la femme, se glissant entre ses jambes, sans tenir compte des éventuelles protestations de la femme. Elle arracha la minijupe, et contempla son intimité, puis sourit malicieusement, avant de la regarder.

« Mon frère t’a repéré dans les rues... Il cherchait une nana habillée comme une pute, et je crois qu’il a trouvé la bonne femme... Tu as un très beau corps, ma chérie... Il est temps pour moi de l’honorer... »

C’était sommaire, mais Mélinda était, après tout, excitée et affamée. Dans cet état-là, on se contentait généralement des explications minimales. Elle vint se mettre sur le corps de la femme, s’allongeant sur elle, et entreprit de la pénétrer, un sourire sur les lèvres. Ses mains retournèrent caresser les joues de la femme, glissant dessus, les griffant, et elle lui enleva son gag ball, tout en commençant, lentement, à remuer son ventre.

« Je suis sure que tu aimes ça, salope… Moi, j’adore ! »

Elle ponctua cette phrase d’une gifle sur la joue gauche de la femme, puis commença vraiment à la baiser, à remuer son corps, et à la pénétrer, soupirant de plaisir, tellement c’était bon. Ce faisant, elle fit pointer ses canines presque inconsciemment, permettant ainsi à sa victime, si elle y pensait, de voir qu’elle n’avait pas affaire à une simple humaine.

« Hmmm... Ce que tu peux être bonne, ma chérie... On va passer une nuit formidable, toi et moi ! »

Je me promène dans les rues de seikusu au crépuscule, flanant ainsi dans les rues ne me doutant pas que j'étais suivie je m'isola de la grande rue et une fois bien seule dans la ruelle quelqu'un fonça sur moi m'agressant a la tete et me jette conte un mur d'une telle rapidité que je n'eut le temps de comprendre ce qui m'arrivait je sentais mon corps tomber par terre une fois fait je sentis qu'on me passa des menottes qu'on me m'y une gag ball pour m'empechée surement de crier et enfin pour me priver de ma vue on me m'y une cagoule. sans compter du colliers qui était loin d'avoir rêveler tous ses secrets. 

Me réveillant quelques heure plus tards dans un lieux froids et humide que je ne connais pas je tente alors de parler.

-[hmm] mmmmh ! 

aucun son ne sors de ma bouche oui je suis toujours baillonée par mon ou ma ravisseuse. Mais qu'est-ce que ça veut dire ? Ou je suis et qu'est-ce qu'on me veut ? Certes j'ai toujours mes menottes et ma cagoule a ma tête étant ainsi privée de ma libertée l'idée me vint alors : Me téléporter ! Mais cela ne marche pas la formule fait certes effet mais le pouvoir est bloquer. Et le seul moyen de bloquer les pouvoirs d'un esper c'est l'obsidienne. J'ai donc affaire a une étrangère aussi vu qu'elle connait le moyen de bloquer les pouvoirs mais ou est donc la pierre bah tien le colliers je suis prête a parier qu'il a un lien avec ça. D'ailleurs il y'a encore une laisse d'accrocher a ce colliers damnation me voila donc devenue une esclave priver de mes pouvoirs. 

De longues heures passent et je suis toujours retenue en otage dans cette miserable cellule je suppose. Vu ma positions de toute façon, ma ravisseuse a prévue de jouer avec moi surement je me dis que je vais passer une nuit difficile. Et mon jugement ne ce trompe pas on ouvre alors alors la porte en fer qui grince et on me saisit violamment par le visage et on m'entraine quelque part

[hmmm] hmmmmm !

Ma voix est toujours étouffer quand on me jette limite par terre, me mettant ainsi a genoux sur un sol alors tapisser je pense vu la matière mes genoux ne souffrent donc pas trop. J'entends alors quelqu'un parler, c'est la voiix de ma ravisseuse vu ce qu'elle dit. visiblement elle a demander a son souffifre de m'enlever pour x raison. 

« C’est bon, Bran... Tu peux nous laisser… »

Nous laisser ? Cela voudrais dire qu'elle a pas finie de jouer avec moi cette salope, au contraire cela ne fait que commencer et vu l'obsidienne a mon coup mieux vaut ne pas faire de boulette et la satisfaire parce que sinon je ne donne pas cher de ma peau c'est alors que cette dernière m'ôta la cagoule laissant place a une femme très charismatique mais d'un caractère aussi rouge que mon sang... Ce genre de femme avide de pouvoir et de domination, mais a ma grande surprise bien que ce soit une femme elle a un engin d'homme ?  ? Comment c'est possible ça ? Je l'ignore mais pour l'heure elle passe ses mains sur mes joues et frotte son sexe contre mes joues également.

-Hmmmmmm  ! 

« Hum... Je suppose que tu souhaites quelques explications, petite salope... »

Et comment que j'en veux ! la dessus elle a vu juste elle me met au tapis, et s'approche de moi en souriant malicieusement les menottes que j'ai derrières mon dos m'empêchant ainsi d'utiliser mes mains pour me défendre elle a vraiment tous prévue pour que je ne puisse pas m'échapper cette putain. Elle me dénude a présent en poursuivant la suite de ces explications. 

« Mon frère t’a repéré dans les rues... Il cherchait une nana habillée comme une pute, et je crois qu’il a trouvé la bonne femme... Tu as un très beau corps, ma chérie... Il est temps pour moi de l’honorer... »

son frère ? C'est lui a qui j'ai eu affaire dans la rue ? Omg mais sont frère est puissant j'imagine pas la force de la maitresse alors elle doit être sur humaine et c'est le cas vu ses crocs qui sont dans sa bouche, double de chance j'ai affaire a une vampirette assoifée de sang, génial déjà que j'ai perdue au loto c'est mon jour de chance ! après que cette salope me dénude elle ce fiche sur moi me griffant de temps a autre me faisant gémir par des cris étouffer a cause du baillon de cette tarée qui d'ailleurs me le retire et entreprends alors de me violer.  elle commence a remuer son ventre avant de me répondre

« Je suis sure que tu aimes ça, salope… Moi, j’adore ! »

Après coup elle me gifle me faisant ainsi tourner ma pauvre tête cependant elle ne s'arrête pas la elle commence les choses sérieuse elle me fait des baisés elle me remue dans tous les sens et elle rentre son engin en moi me faisant gémir de douleur et de plaisir. Je ferme les yeux bien que je  sois malmener de toute part tremblant de peur car je ne la connais pas du tout, et je pense qu'après cette soirée elle ne compte pas s'arrêter la elle me dit alors

« Hmmm... Ce que tu peux être bonne, ma chérie... On va passer une nuit formidable, toi et moi ! »

Certes elle oui moi peut être pas je suis toujours ligotée a subir ses sévices plus qu'a m'amuser avec elle le colliers et la corde toujours pendouillant je me fais donc violer de plus belle et ce n'est que le début je prends le risque alors de parler mais je m'attends a une réactions bien violente de sa part... 

[Peur] Q que vous voul lez vous à la p pauvre L Lanrea n nokima ! Qui êtes v vous ? ... 

Continuant de me faire violer ainsi j'attends une quelconque réponse même si il ne faut pas trop rêver non plus...

Elle se présenta comme s’appelant Lanrea Nokima... Et ça ne disait absolument rien à Mélinda, mais ce n’était pas très étonnant. Elle ne pouvait pas non plus connaître tout le monde, mais elle était contente d’avoir eu l’occasion de rencontrer cette petite perle ; elle était délicieuse. Son corps était ferme et tendre, et la pénétrer était un vrai bonheur. La vampire était en manque, s’étant spécialement préparée pour que tout soit parfait, et pour que ce sexe forcé soit superbe. Mélinda se rechignait en effet à considérer ce qu’elle faisait comme un viol, car, comme bien des violeurs en puissance, elle estimait que, dans le fond, Lanrea était consentante... Ou le deviendrait. Et, dans le cas contraire, il faudrait probablement la tuer, ou l’asservir. Alors, qu’importe ? Autant profiter du moment présent sans se soucier des conséquences, car tout était sous contrôle !

Elle la pénétrait rapidement, frissonnant, ondulant son corps, et l’embrassa sur les lèvres, une main plaquée sur son front, afin de bien caler sa tête, l’autre oscillant entre le sol et les seins de Lanrea, retournant sur le sol quand Mélinda craignait de perdre l’équilibre. Elle caressait l’un de ses seins, griffant un peu sa courte tenue rouge pimpante pour atteindre sa peau. Un sourire malicieux vint éclairer les lèvres de Mélinda, alors qu’elle ralentissait le rythme de ses pénétrations. Pour une femme violée, Lanrea ne semblait pas particulièrement bouleversée, ce qui la rassura dans son choix. Bran avait toujours le don de choisir les plus belles proies. Mélinda était une esclavagiste, et connaissait suffisamment son métier pour savoir qu’il existait bien des humaines qui, au fond d’elles-mêmes, voulaient se sentir dominées. Lanrea semblait en faire partie, et c’était tant mieux.

« Hum... Hum... Chuuut, petite, laisse-toi aller, aaaahhh... »

Mélinda lui fit un sourire, et embrassa à nouveau Lanrea, désormais sur la joue, puis glissa sur sa nuque, l’embrassa près de la veine. Elle avait envie de planter ses crocs, de boire son sang, mais ceci allait encore attendre. Au lieu de ça, elle préféra continuer à la pénétrer, de plus en plus rapidement. Elle était en tel manque qu’elle sentait l’envie de jouir venir rapidement... Et, la connaissant, elle ne jouirait pas faiblement. La vampire soupirait de plaisir, remuant son corps de haut en bas, s’enfonçant de plus en plus profondément, et avec de plus en plus de plaisir. Son sexe la démangeait affreusement, et elle gémit lentement, puis ferma le syeux, et eut son premier orgasme. Son sperme jaillit dans l’antre chaude de Lanrea pendant un certain temps, Mélinda crachant des giclées de sperme supplémentaire à chaque secousse. Elle soupirait longuement, remplissant l’intimité de Lanrea de son foutre.

La vampire resta allongée sur le corps de Lanrea, soupirant longuement, glissant ses mains dans son dos, la caressant lentement, et se lova contre elle. Sa queue était toujours en elle, et elle continua à l’embrasser et à la lécher, son érection revenant assez rapidement. Il en fallait beaucoup pour satisfaire une femme, a fortiori une femme vampire. Elle la caressait lentement et tendrement, glissant sur son dos.

« Nous allons faire l’amour, ma belle... Nous amuser toute la nuit... Ceci n’était qu’un préliminaire... »

Mélinda s’extirpa ensuite du corps chaud de la femme, et attrapa la clef des menottes. Elle retourna Lanrea, et lui ôta ainsi ses bracelets, puis, sans plus attendre, la retourna à nouveau, la renvoyant sur le dos, et marcha sur elle. L’un de ses pieds se posa sur le ventre de Lanrea, lui coupant la respiration, et elle eut un sourire en la voyant se contorsionner, l’air lui manquant.

« Tu es ma petite salope, Lanrea. Appelle-moi Maîtresse, ce sera amplement suffisant. »

Mélinda se retourna, et l’agrippa par la laisse, puis avança jusqu’à un fauteuil. La laisse était suffisamment longue pour que Lanrea ne soit pas tirée, mais, quand la vampire s’assit, il n’y avait presque plus de mou, et la corde s’élevait dans les airs. La vampire en profita pour étirer ses pieds, et donna son premier ordre :

« Avance à quatre pattes vers moi, petite chienne, et lèche-moi les pieds. »

Ma ravisseuse me pénètre alors rapidement frissonant et ondulant de tous son corps elle m'embrasse sur mes lèvres une main paquée sur mon front afin de m’immobiliser ma tête  l'autre main passe alors sur ma poitrine  et elle me griffe  ma tenue rouge  avec un sourire malicieux qui annonce en générale un mauvais dessin  elle ralenti alors le rythme de mes pénétrations elle doit penser que je suis consentante car je n'ai guère montrer de signe de résistance mais je n'ai pas envie de me faire frappée ou tuer moi. Donc je suis forcée de l'obéir si je ne veux pas provoquer de mauvaises histoires.  Ma ravisseuse prit encore la parole sans me laisser le choix.

« Hum... Hum... Chuuut, petite, laisse-toi aller, aaaahhh... »

elle est bonne celle la mais putain c'est pas le moment des jeux de mots foireux ! Elle me fait alors un sourire avant de m'embrasser sur la joue , et pour ne pas me faire malmenée je me laisse faire elle descend alors dans ma nuque  et notamment près de ma veine, aie voilà qui tombe mal mais celle ci ce retient visiblement car elle change radicalement de posture décidant de reprendre les pénétrations rapidos. l'envie de jouir dans mon pauvre corps sans défense lui vint rapidement la voila qui soupire de plaisir a présent quand soudain elle s'excita d'avantage en allant de plus en plus profondément tendit que moi je me met a crier mélinda a son premier orgasme et pas qu'un peu... Elle me remplit bien l'interieur cette garce, ce qui me fait gémir et elle reste alors longuement sur moi continuant de m'embrasser et de me caresser le dos, sa queue toujours en moi en train de remplir cette folle coche soupire longuement, et moi je soupir aussi parce que j'ai pas l'habitude de recevoir du sperme comme ça en grosse quantités...  Me faisant crieer ainsi

« Nous allons faire l’amour, ma belle... Nous amuser toute la nuit... Ceci n’était qu’un préliminaire... »

La voila qui me retourne, elle se saisit de la clé des menottes et me libère, mais dans quel but ? Je le sait bien assez tôt la voila qui marche sur moi comme un vulgaire taps mais ma respiration est lamentablement bloquée et merde. Je peux plus respirer je gigote alors manquant d'air pour respirer et un sourire dessin vient ce dessiner sur son visage  elle me dit alors ceci de plutôt effrayant. 

« Tu es ma petite salope, Lanrea. Appelle-moi Maîtresse, ce sera amplement suffisant. »

elle saisit alors ma laisse de colliers et prend ainsi du recule, elle va s'assoir sur son fauteuil la laisse étant juste assez longue pour pas que j'ai a être tirée m'ayant donner ce nom de " maitresse " elle n'a pas envie de ce présenter et moi je suis donc devenue son esclave... Elle me donna alors un ordre bien précis : m'approcher et lui lecher ses pied qu'elle me tend alors dans le but que je les lèches.  Mais je dois venir a quatre patte alors je me fiche a 4 pattes et je répond

-[érponse] oui maitresse. 

Ceci étant dit je m'avance lentement a 4 patte comme une chienne a ses pieds et je commence donc a les lui lécher passant de toute la surface de son pied droit j’exécute son ordre a la lettre car ne n'ai pas envie me faire battre si je n'obéis pas. Je passe alors a son pied gauche, ma langue chaude et douillette chance pour moi sa sent le propre elle a du prendre sa douche il n' ya pas si longtemps pendant que moi je croupisai comme une rat ma cellule de captivité.  Faisant bien mon travail ayant fini je pose ma tête contre le sol en face de ses pied attendant la prochaine sévisse avec plus ou moins d'horreur...

Diable, Bran semblait réellement avoir un talent inné pour trouver les meilleures femmes, celle squi soient à la fois belles, soumises, et coquines. Mélinda était bluffée, alors que Lanrea, docile, l’appela « Maîtresse ». Aucune envie de se révolter, d’appeler à l’aide, d’hurler... Elle faisait preuve d’un tel écrasement que c’en serait presque vexant... Presque. Avec un léger sourire, Mélind attendit que la docile jeune femme s’approcha d’elle, ce que cette dernière fit. Rampant à quatre pattes, semblable à une espèce de belle petite chienne docile et soumise devant sa maîtresse, elle s’avança, et vint lécher le pied de Mélinda, faisant sourire cette dernière, exhibant ses superbes dents. Lanrea faisait remuer sa langue, et Mélinda souriait, caressant avec son autre pied les belles joues de la jeune humaine. Elle était probablement terrorisée... Et, ma foi, elle avait bien raison de l’être, car Mélinda ne faisait généralement pas dans la dentelle. Généralement, elle construisait ses relations avec l’esclave en optant pour dresser un lien de confiance et d’interdépendance. Avec Lanrea, elle essayait une méthode différente : créer ce lien à partir de la peur, pour arriver ensuite à cette situation de dépendance, ce moment où l’esclave avait besoin de son maître pour continuer à vivre, et restait ainsi auprès de lui... Ou d’elle, en la circonstance.

Lanrea lécha avec talent les deux pieds de Mélinda, qui la laissa faire, jusqu’à ce que sa petite chienne se calme. Avec un grand sourire innocent, Mélinda se redressa, posant ses pieds par terre, et contourna Lanrea.

« A partir de maintenant, et jusqu’à ce que j’en décide autrement, tu n’es plus Lanrea, mais ma petite chienne, énonça-t-elle en cherchant quelques objets. Ne parle que quand je t’y invite, et, sauf ordre contraire de ma part, tu marcheras à quatre pattes. »

La vampire énonçait ses ordres d’une voix calme et douce, et sortit une paire de menottes. Elle se retourna vers sa chienne, et s’avança, se rapprochant du lit. Dans cette chambre, le lit était à baldaquin, soit avec des rideaux tout autour, et, surtout, des poutres. Mélinda en caressa une.

« Approche-toi, petite chienne, et mets-toi debout devant la poutre. »

Elle attendit que Lanrea s’exécute, puis lui ordonna de tendre les bras à droite et à gauche de la poutre. Ce faisant, Mélinda glissa les menottes sur les poignets de la femme, de manière à l’immobilier contre la poutre, dos tourné face à sa maîtresse, qui se glissa derrière elle. Mélinda commença alors à glisser ses mains sous la minijupe de Lanrea, afin de pétrit ses fesses, tout en penchant ses lèvres vers son visage, l’embrassant sur le cou, remontant pour souffler sur sa joue, et glisser sa langue dessus. Elle tenait chacune des fesses de Lanrea dans ses mains, et les pétrissait, enfonçant ses griffes sur sa peau tendre, mais sans vraiment chercher à la griffer, simplement à lui faire mal. La vampire voulait sentir le sang de son esclave battre follement la chamade. Elle soupira contre elle, puis se retira alors du corps de la jeune fille.

Mélinda ne dit rien, et retira sa robe, puis alla un peu se changer, optant pour des vêtements plus appropriés à sa position de dominatrice. Elle prit ainsi de longs gants noirs en cuir, et des bottes. Elle laçait tranquillement les bottes, prenant son temps. L’attente était un élément à ne pas négliger dans ce genre de choses. Il fallait laisser le temps à l’imagination de travailler, de se laisser aller. Mélinda acheva de se préparer, et s’empara enfin d’autres objets, à savoir une cravache, et une chaîne avec des pinces pour seins. Mélinda, fière, retourna voir sa petite esclave, et glissa ses mains de part et d’autre de son corps, faisant tinter la chaîne, avant de faire un bécot sur la joue de Lanrea.

« Je ne voudrais pas que tes seins s’ennuient, ma petite chienne... »

Mélinda tint d’une main la pince, et, avec l’autre, elle ouvrit l’espèce de gilet de Lanrea, afin de révéler ses seins, puis approcha les pinces, les tenant par chaque main. Ce faisant, elle les referma sur chacun des tétons de la femme, et, sans tenir compte de ses gesticulations, referma le gilet, puis glissa ensuite ses gants sur le cou et le visage de Lanrea, la caressant longuement, étalant ses doigts en els faisant remonter, frissonnant en sentant le cuir crisser et glisser sur sa peau. Elle enfonça quelques doigts dans la bouche de Lanrea.

« Hum... Vas-y, vas-y, suce, montre-moi à quel point tu aimes bien ce que ta Maîtresse te fait ! »

Et, pendant ce temps, sa main libre alla attraper la cravache, et elle donna un coup sur les fesses de la brave Lanrea. Elle la préparait, la chauffait, la faisait souffrir... Mais, et même si Lanrea ne s’en rendait pas compte, c’était pour son bien. Pour être réussie, une vie avait besoin d’une petite goutte de luxure. Et, avec Mélinda, la petite goutte devenait rapidement une grosse mare. Mais qui irait s’en plaindre ? Sûrement pas elle !

Mais a quoi pense cette folle a présent ? Je l'ignore et je ne veux pas le savoir ! Est-ce que c'est clair dit comme ça ? En ayant marre de lécher ses pieds je m'arrête donc de faire mes geste et j’attends son châtiment suivant. Celle ci m contourne alors passant derrière moi et me dit avec un gros sourire que je ne vois pas évidemment. 

« A partir de maintenant, et jusqu’à ce que j’en décide autrement, tu n’es plus Lanrea, mais ma petite chienne. Ne parle que quand je t’y invite, et, sauf ordre contraire de ma part, tu marcheras à quatre pattes. »

Ouai en gros pendant qu'elle me dicte des règles cette folle, elle va chercher des objets visant a me faire souffrir d'avantage pour son plaisir et je m'attend au pire vu que celle la est une vampire mais dans quoi je suis tombée, la voilà qui revient avec un drôle de truc elle s'approche d'une poutre en la caressant et m'ordonne ceci.

« Approche-toi, petite chienne, et mets-toi debout devant la poutre. »

Je me lève alors et placant mes bras tendu sur la poutre celle ci vient me passer des menottes à mes poignets et  me voila enchainée a cette poutre pas de doute j'avais raison elle a l'intention de jouer avec moi encore longtemps pas de bol car ce n'est que le prélude d'une longue nuit de souffrance, cependant mon supplice n'étant pas encore fini la voila qui passe derrière moi et qui pétrie mes fesses y enfonçant ses griffes perçante au passage pour me faire mal, S'te sadique la si si j'insiste la voila qui s'en va chercher un autre objet visant a me faire mal. Au passage elle en profite pour mettre une de ses tenue de " dominatrice "  Y'a rien de plus immonde m'enfin bon passons.  moi je patiente la comme une conne les bras écarter me retirant ainsi toute défense possible. Bref je suis totalement a sa merci la voila qui revient avec divers objet et je sent une chaine fouettée mon corps en plus de sentir ses mains partout...

« Je ne voudrais pas que tes seins s’ennuient, ma petite chienne... »

Ouaaah une con*** si intentionnée ? Voila qui m'épate vraiment je lui tire mon chapeau malgré ma position, mais je ne cris pas victoire trop vite car elle  me glisse un espèce de gilet bizarre qui fait remonter mes seins et accroche sur mes tétons une pince. Elle referme alors le gilet qui a pour effet de me faire crier de douleur, mais elle ne s'arrête pas la la voila qui me tien le cou et me caresse longuement le visage avec ses gants en plus la pince me fait gémir et quand j'ouvre la bouche elle y insert ses doigts m'epechant ainsi de parler par la même occasion

« Hum... Vas-y, vas-y, suce, montre-moi à quel point tu aimes bien ce que ta Maîtresse te fait ! »

-[gllggel]hmfgarrg...     

Ses doigts m'étouffant a moiter dans ma bouche cette conne me donne des coups avec sa cravache me faisant ainsi bouger et en provocant donc des réactions en chaines ? Vous avez dit chaines ?  Ce mot na jamais eu autant de sens et je vous embête ! Les pinces font  leur modi taffs et s'en prennent donc a mes pauvres tétons pendant que moi je tousse a moitié et je tente tant bien que mal de lécher les doigts dans ma bouche de cette faux jetons.  Manquerait lus qu'elle me face une gorge profonde tient la j'aurais été vraiment mal... 

Lanrea tenta de parler, et Mélinda souffla dans son oreille, l’intimant au silence :

« Chuut, ma belle, ne dis rien de stupide qui pourrait gâcher ce moment... Contente-toi de te laisser aller, de laisser ta perversion te guider... »

Mélinda retira assez rapidement ses doigts, et continua à embrasser Lanrea dans le cou, faisant glisser ses doigts sur sa peau nue, frottant à hauteur de ses hanches. Elle aimait sentir cette chaude et tendre peau, et prit naturellement tout son temps, savourant ce moment. La vampire se faisait plaisir, et n’était pas encore trop envahissante. Sa bouche glissait le long du cou de Lanrea, remontant le long de sa belle peau, et elle promenait volontiers sa langue sur elle. Lanrea avait une peau d’une douceur incroyable, et Mélinda savait à l’idée d’imaginer la qualité de son sang, qui était de même niveau.

Elle pouvait sentir ce dernier, comme une succulente offrande, une irrésistible pomme qu’elle mourrait d’envie de croquer, de se régaler. Tout avait été savamment calculé pour que le plaisir soit au maximum. Les pinces faisaient souffrir Lanrea, la réveillant, l’excitant, dynamisant son sang, durcissant ses seins, rendant l’ensemble bien plus juteux. Les canines de Mélinda se déployèrent, et elle les posa sur la peau de Lanrea, sans la percer, simplement pour l’éprouver.

« Je pourrais sucer ton sang merveilleux jusqu’à la toute dernière petite goutte de Lanrea... Crois-moi, ce serait une mort magnifique. Tu ne sentirais aucune douleur, et tu te fatiguerais progressivement. Tu sentirais tes yeux s’alourdir, ton corps s’affaiblir et partir au loin, tandis que mes mains te procureront un plaisir infini. Ce serait la plus magnifique des morts. »

Mélinda, bien sûr, ne voulait nullement tuer sa petite poupée, car elles avaient ensemble un programme plutôt bien chargé, mais ça ne l’empêchait pas de la provoquer, de la menacer, de lui faire peur, de l’exciter toujours un peu plus. Ses doigts recouverts de cuir continuaient à glisser sur le corps de Lanrea, alors qu’elle continuait, inlassablement, à l’embrasser. La jeune femme était sa prisonnière, et il fallait qu’elle comprenne que sa vie était entre les mains de la vampire, entre ses crocs. Si elle était sage et obéissante, elle pourrait vivre, mais, dans le cas contraire... La vampire glissa ses mains, et déchira la minijupe de Lanrea, sans se poser plus de questions, et continua ensuite à palper ses fesses.

« J’adore sentir le cuir glisser sur ma peau, pour être honnête... Mais je trouve que ça m’enlaidit un peu, pas toi ? Honnêtement, je préfère largement avoir de longues robes, ça me va bien mieux. »

Joignant ainsi le geste à la parole, Mélinda se débarrassa de ses gants, et alla se changer, continuant à faire impatienter Lanrea. Elle n’eut pas trop à attendre, car la vampire trouva rapidement ce qui lui convenait : une belle robe noire serrée, dont le dos moulait ses formes à la perfection. Se trouvant parfaite, elle revint vers sa proie. La petite robe était suffisamment courte pour ne pas entraver ses mouvements, et elle retourna donc se glisser dans le dos de Lanrea.

« Alors, où en étions-nous ? Ah oui... »

Sans plus attendre, Mélinda enfonça un doigt dans les fesses de Lanrea, et eut un léger sourire. Elle remarqua alors qu’il y avait un miroir devant Lanrea, contre le mur, au-dessus du lit. Elle avait ainsi pu voir Mélinda se changer, et, tandis que cette dernière enfonçait son doigt dans son anus, et le remuait lentement, elle embrassa la jeune fille dans le cou.

« Dis à ta Maîtresse que tu la trouves belle, et que tu as une envie incroyable qu’elle te baise comme une grosse chienne... Non, qu’elle t’encule comme une grosse chienne ! Dis-le ! Dis-le !! »

« Chuut, ma belle, ne dis rien de stupide qui pourrait gâcher ce moment... Contente-toi de te laisser aller, de laisser ta perversion te guider... »

Celle ci retire ses doigts de ma bouche une chance pour moi elle ne fait pas quelque chose avec me voila un peu soulager cependant la voila qui fait glisser ses doigts sur mon corps nue totalement enchainer a cette poutre, toute tentative de fuite était inutile car elle aurait vite fait de me rattraper parce qu'il met impossible de me téléporter. M'enfin bon j'ai pas trop a m'en pleindre je n'ai pas la gag ball dans ma bouche sur longue durée comme dans le cachot... ça me faisait baver et sa me gênait bref c'était pas cool du tout.  Puis au bout d'un moment elle passa sa langue partout sur moi, profitant pleinement de cet instant et en plus les pinces me font d'avantage souffrir et en m^me temps je sentis alors des crocs ce poser sur moi sans pour autant me mordre, si elle cherche a me mettre la pression il en faudra plus que ça... Quand elle me dit ceci.

« Je pourrais sucer ton sang merveilleux jusqu’à la toute dernière petite goutte de Lanrea... Crois-moi, ce serait une mort magnifique. Tu ne sentirais aucune douleur, et tu te fatiguerais progressivement. Tu sentirais tes yeux s’alourdir, ton corps s’affaiblir et partir au loin, tandis que mes mains te procureront un plaisir infini. Ce serait la plus magnifique des morts. »


Okkk Paroles effrayante la panique commence a monter en moi, je commence a essayer de bouger mais les chaines qui retiennent mes bras aux extrémités de cette poutres sont très solides et bien attachée me faisant ainsi ue parfaite prisonnière bien que j'ai encore mes jambes libres je pourrais toujours tenter de lui caler un bon coup de pied dans son vagin quand elle sera proche, mais si je rate elle risque de ce vanger et je n'est pas envie d'en subir les conséquences  et bref mes actions dépendait de la vampire qui se fait appeler " Maitresse " visiblement elle adore jouer avec mon corps et elle le dit elle même d'ailleurs tout en continuant de palper mes fesses

« J’adore sentir le cuir glisser sur ma peau, pour être honnête... Mais je trouve que ça m’enlaidit un peu, pas toi ? Honnêtement, je préfère largement avoir de longues robes, ça me va bien mieux. »

Mais la voila qui se délaisse de mon corps et qui pars ce changer a nouveau et bref ça me fait chier, quitte a commencer tout d'un block elle me le fait petit a petit et veut me faire attendre, la voila qui revient avec une belle robe noir puis elle m'enfonça un doigts dans mes fesses qui me fit gémir...  elle décida donc de jouer avec mon anus cette cochonne, elle le remue lentement en m'embrassant dans le cou me faisant ainsi un joli suçons... 

« Dis à ta Maîtresse que tu la trouves belle, et que tu as une envie incroyable qu’elle te baise comme une grosse chienne... Non, qu’elle t’encule comme une grosse chienne ! Dis-le ! Dis-le !! »

Cette phrase me dégoutais un peu dit comme ça mais je n'avais pas vraiment le choix et bien qu'elle me fasse gémir eje dois lui répondre sinno je risque de passer un sale quart d'heure...

-[réponse] je vous trouve belle et j'aimerais que vous m'enculiez comme une grosse chienne..... 

Ceci étant dit moi qui suis attachée a cette poutre avec des chaines je crois que j'ai une idée de la suite, et a mon avis je ne suis pas prête d'être liberer de cette poutre avant un moment donc j'espère que ce ne sera pas trop doulereux... D'alleurs je me demande comment une femme peut avoir un engin d'homme a disposition c'est fort ça aussi... 

-[Question] V-vous ne me détacherez pas de cette poutre pendant un moment j'imagine maitresse ? ... 

Lui demandais-je alors que je commence a avoir mal aux bras et aux seins cette position est très inconfortable et je pense qu'elle en a fait exprès cette garce..

La phrase manquait un peu de conviction selon Mélinda, mais elle n’allait pas non plus faire la difficile. Lanrea était un petit peu timide, il fallait l’aider à se décoincer. La vampire, fort heureusement, avait une espèce de talent naturel pour aider les gens à se décoincer. Elle sourit légèrement, excitée par la situation. Les pinces sur les tétons de Lanrea devaient commencer à la faire souffrir de plus en plus... Mais que serait le sexe, après tout, sans une once de douleur ? Mélinda ne se sentait nullement coupable, elle finirait par apprécier ça. Elles finissaient toutes par apprécier ça. Elle continua à caresser les hanches de la femme, retournant la doigter dans les fesses, lentement, délicatement, et tendrement.

« [Question] V-vous ne me détacherez pas de cette poutre pendant un moment j'imagine maitresse ? ...  » demanda alors Lanrea, d’une voix nerveuse et timide.

Elle avait posé une question, ce qu’elle n’avait pas le droit de faire. Continuant à enfoncer un doigt dans ses fesses, la vampire fit la moue, et embrassa sa partenaire dans le cou. Elle ne répondit pas tout de suite, et préféra glisser son autre main sur ses seins, caressant, à travers le gilet, les pinces, reliées entre elles par une solide chaîne. Théoriquement, elles étaient censées permettre une excitation progressive, qu’on remarquerait à travers le durcissement des tétons. Mais, en théorie, les pinces n’avaient probablement pas été prévues pour une utilisation en cas de sexe forcé. Mélinda se refusait à qualifier ce qu’elle faisait de « viol », y préférant une appellation plus neutre. Cette partie de sexe ne serait nullement forcée à la fin, et, quand bien même Lanrea ne le dirait pas, Mélinda savait qu’elle aurait adoré ça, et que ça changerait sa perception du plaisir. La vampire prenait en effet grand soin de ses partenaires.

Mélinda, finalement, choisit de ne pas répondre à la question de Lanrea, tant elle était stupide. Elle détacherait Lanrea, oui, mais pas encore tout de suite. Mieux valait qu’elle ait quelque chose sur lequel s’accrocher.

« C’est normal que tes bras te fassent mal, tu es tendue comme une corde de violon. Détends-toi, ma belle, et ouvre grand tes oreilles, car Mélinda va te faire une proposition. »

Parler de soi à la troisième personne, c’était, soit le signe qu’on était débile, soit le signe qu’on était d’une arrogance avoisinant le narcissisme. Pour être une esclavagiste dont le harem marchait sur Ashnard, Mélinda n’était pas débile. Il n’était donc pas difficile de comprendre ce qu’elle était. Elle glissa ses mains sur les bras de Lanrea, les caressant en les griffant, les faisant glisser sur sa délicieuse peau, tout en continuant à délicatement l’embrasser dans le cou.

« Là, là, je ne te veux aucun mal, Lanrea... Pourquoi faut-il que vous soyez toujours toutes si... Si farouches ? Là d’où je viens, certains tueraient pour avoir l’occasion de simplement m’embrasser ! Et toi, je t’offre gratuitement la possibilité de me faire l’amour toute la nuit ! »

Mélinda ponctua cette phrase d’une grosse gifle sur les fesses de Lanrea, comme pour punir la vilaine fille de son caprice pour enfants. La vampire eut un soupir de lassitude, exaspérée devant le comportement alambiqué des Terriens. Ils avaient peur du sexe tout en étant fascinés par lui. Il n’était pas étonnant qu’ils n’arrivent pas à être heureux, quand on avait une telle approche d’une chose aussi simple que le fait de baiser.

« Je vais te faire une proposition, ma toute belle... Je peux te détacher, et ôter tes chaînes, mais, en échange, je te ferais une sodomie assez longue, en prenant tout mon temps, et sans penser à préparer ton petit derrière, comme j’ai commencé à le faire avec mon doigt. »

Autant dire que ça risquait d’être particulièrement douloureux. La vampire se tut un peu, en profitant pour embrasser à nouveau la peau de Lanrea, sa poitrine s’enfonçant contre son dos. Elle donna ensuite sa seconde proposition :

« Ou alors, je peux simplement te détacher de cette poutre, et tu me feras une belle gorge profonde... Mais tu conserveras tes pinces... Ou bien, tu peux rester comme ça, et je vais préparer tes fesses pour que ma sodomie te fasse hurler de plaisir... »

Trois choix, qui étaient tous mauvais pour Lanrea en ce moment. Mélinda la testait, mettait ses nerfs à l’épreuve. Elle avait toujours profité ainsi, en forçant le sujet à devoir agir, à devoir réfléchir, et non pas uniquement subir sans réaction. De cette manière, l’esprit de Lanrea se réveillerait, et elle serait moins fataliste, et plus à même d’apprécier le moment. Torturer efficacement, c’était tout un art pour la petite vampire, qui laissa à Lanrea le temps de réfléchir, en profitant pour lui peloter les fesses avec ses mains. Elle avait un délicieux petit cul, et, à vrai dire, indépendamment de son choix, il y aurait, à un moment ou à une autre, une sodomie. Ne pas honorer ce cul comme il le méritait, ce serait une sorte de sacrilège envers tous les beaux postérieurs du monde.

Cette dernière ne répond pas de suite a ma question et continue d'enfoncer son doigts dans mon derrière et en m'embrassant dans le cou, moi qui suis prisonnière de cette personne je me demande ce qu'elle a prévue encore contre moi, et j'étais loin de me douter que cette cochonne m'a réserver une petite énigme dont les solutions seraient évidemment truquée la voila qui prend la peine de répondre tout en continuant ce petit manège   


« C’est normal que tes bras te fassent mal, tu es tendue comme une corde de violon. Détends-toi, ma belle, et ouvre grand tes oreilles, car Mélinda va te faire une proposition. »

Mélinda ? Info supplémentaire elle me révèle enfin son vrai nom, cependant il ne m'est grande utilité dans la posture dans la qu'elle je suis cependant elle me fait une proposition de suite de soirée, une proposition hein sachant dans tous les cas qu'une action en entrainerais une autre... La voila qui me dicte son énigme. Mais avant elle me dit ceci suivi d'une gifle sur mon derrière qui me fait gémir. 

« Là, là, je ne te veux aucun mal, Lanrea... Pourquoi faut-il que vous soyez toujours toutes si... Si farouches ? Là d’où je viens, certains tueraient pour avoir l’occasion de simplement m’embrasser ! Et toi, je t’offre gratuitement la possibilité de me faire l’amour toute la nuit ! »

Ses paroles hautaines étant dite elle me propose enfin ses deux solutions foireuse et dans tous les cas quoi que je dise je suis sure qu'elle a un lan en tête pour me faire hurler de plaisir. Voici la solution un

« Ou alors, je peux simplement te détacher de cette poutre, et tu me feras une belle gorge profonde... Mais tu conserveras tes pinces... Ou bien, tu peux rester comme ça, et je vais préparer tes fesses pour que ma sodomie te fasse hurler de plaisir... »

Puis la deux

« Ou alors, je peux simplement te détacher de cette poutre, et tu me feras une belle gorge profonde... Mais tu conserveras tes pinces...

Suivi d'une troisième proposition.

Ou bien, tu peux rester comme ça, et je vais préparer tes fesses pour que ma sodomie te fasse hurler de plaisir... »


Que choisir, j'ai el choix entre féllation forcée, sodomie et restée comme ça et préparer a être sodomiser plus tard, je le savais   je pensais bien que quoi qu'elle me propose cela en serai pour son avantage personnel mais ses connerie me faisait de temps a autres sourire et bien que je dois donnée ma réponse il est vrai que j'ai eu droit au deux autres mais pas encore a la fellation alors je pense que mon choix optera pour la deuxième réponse je lui répond alors un peu dans " l'attente " d'action future... Ses choix étaient quoi qu' il arrive tous mauvais pour moi sa je l'avais bien comprise.... Je donne alors ma réponse priant qu'elle face quelque chose de pas fourré par derrière.

-réponse: Je choisis l'option deux la fellation maitresse...

Ceci étant dit et étant toujours attachée comme une chienne a cette poute je la regarde en souriant histoire de lui faire bonne impréssion et j'attend mon heure tranquillement aux moins autant en profiter pleinement même si les circonstances sont un peu farfelue pour...

« Réponse: Je choisis l'option deux la fellation maitresse... »

Elle avait choisi, et une légère grimace traversa les lèvres de Mélinda.

« Tu me fends le cœur, mon amour. Tes pauvres fesses vont se sentir bien seules... Mais je n’ai qu’une parole. »

La sodomie viendra pour plus tard, mais Mélinda voulait que Lanrea apprécie ce moment. C’était de cette manière qu’elle concevait le sexe forcé. Elle serait personnellement déçue que, à la fin de cette soirée, Lanrea n’ait ressenti aucune once de plaisir. Après tout, elle couchait avec une très belle femme. Mélinda la détacha donc de la poutre.

« Comme je suis magnanime, tu peux retirer tes pinces... Mais tu n’auras aucune excuse si je ne jouis pas dans ta bouche, ma puce... »

Mélinda s’écarta un peu, et en profita pour remettre des gants. Lanrea avait toujours son collier autour du cou, et il allait de soi qu’elle n’allait pas le retirer rapidement. La vampire aimait bien la voir avec cet objet autour du cou, et le collier permettait immédiatement de déterminer qui était qui. La Maîtresse enfila donc à nouveau de longs gants, puis s’assit sur le fauteuil. Sa robe était maintenue sur elle par une longue fermeture Éclair qu’il faudrait retirer pour avoir accès au sexe de Mélinda. Elle ne portait pas de sous-vêtements, rien d’autre que cette courbe robe moulante. Elle regarda Lanrea, en se pourléchant les lèvres.

Une femme de choix, vraiment. La vampire allait bien s’amuser avec elle, et elle eut un léger regard évasif, en réfléchissant, en songeant à tout ce qui allait les attendre. Un programme chargé, car l’imagination de la vampire était parfois assez fertile. Elle resta sur le fauteuil, sans rien dire, dévisageant Lanrea, et lui fit alors signe de la main de venir... A quatre pattes, naturellement. Elle attendit que cette dernière s’exécute pour remuer la jambe, frottant ainsi la tête de la femme contre sa jambe, comme une petite chienne exigeant des caresses.

« Pour me faire une fellation, petite chienne, il faudra commencer par me retirer ma robe... »

Elle maintint la phrase en suspens, comme si elle laissait à Lanrea le temps de réfléchir. Remontant un peu sa jambe, Mélinda frotta la joue gauche de Lanrea avec son pied, avant d’approcher le talon de sa botte de ses lèvres, les glissant dessus, frottant sa langue.

« Embrasse mon pied... Puis remonte jusqu’à ma robe, et tire sur ma fermeture Éclair avec tes dents, afin d’avoir accès à mon sexe... Tu n’as pas le droit d’utiliser tes mains... »

Mélinda attendit donc que Lanrea agisse.

Ma réponse ne semblait guère convenir a mélinda cependant elle l'accepte quand même bien qu'avec un de ses grimaces elle me répond ceci

« Tu me fends le cœur, mon amour. Tes pauvres fesses vont se sentir bien seules... Mais je n’ai qu’une parole. »

Bah, elle me retient déjà en otage ici mais bon c'est vrai que quitte a être sa prisonnière et passer une nuit avec elle, autant essayer de lui plaire même si je déteste cette idée de sexe forcée... Cependant la voila qui me détache de la poutre comme convenu bon point, elle semble tenir ses paroles et c'est la une qualitée peu commune. Qui a déjà tenue toutes ses promesse ? Moi perso j'en connais pas !

« Comme je suis magnanime, tu peux retirer tes pinces... Mais tu n’auras aucune excuse si je ne jouis pas dans ta bouche, ma puce... »

Enfin une bonne nouvelle,  bien que je me soit écrouler au sol de fatigue a cause de la poutre je retire enfin ce gilet avec les pinces, cela va tout de suite mieux et je retrouve un léger sourire bien que je soit fatiguée la soirée ne fait que commencer elle enfila de long gants avant de s'assoir a son fauteuil on resta la un moment a ce fixer du regard car elle semble perdue dans ses pensées. mais la voila qui me fait un geste de la main comme pour dire au pied, c'est alors que je m'avance tranquillement  a quatre patte et la voila qui se met a me caresser mes joues avec son pied, je rougie involontairement mais il semblerait que j'aime ça...

« Pour me faire une fellation, petite chienne, il faudra commencer par me retirer ma robe... «Embrasse mon pied... Puis remonte jusqu’à ma robe, et tire sur ma fermeture Éclair avec tes dents, afin d’avoir accès à mon sexe... Tu n’as pas le droit d’utiliser tes mains... »»

Les ordres de ma maitresse dont très clairs alors ce que je fais c'est que je lèche d'abord son talon comme elle le désir lui je rmonte doucement la robe et j'attrape la fermeture éclaire avec mes dents, puis d'un geste délicat bien que je sois génée par sa poitrine je descands alors jusqu'en bas libérant ainsi son sexe, une fois le sexe dégager je commence alors par le sucer doucement et peu profond  je commence par le gland, quelques léchouilles avec ma langue et je descends progressivement pour l'exciter et lui faire changer son opinions sur moi... Qu'il passe du négatif au positif, j'espère que cette fellation sera très bien pour elle en attendant je la suce progressivemnt vers le bas et je lui fait une fellation normal...

Un rougissement... Discret, fugace, éphémère, mais présent ! Mélinda ravala un sourire de joie. Elle avait touché au but ! Elle l’attendait, ce signe, cette évolution sanguine qui indiquerait que la jeune femme était en train de prendre son pied, d’apprécier ce qu’elle était en train de subir. Tout était savamment distillé pour conduire l’esprit de Lanrea à apprécier sa situation. Elle était une humaine, après tout, et Mélinda, pour les côtoyer, savait qu’il ne fallait pas laisser aux humains le choix d’agir. Le libre-arbitre était un concept qui ne s’appliquait que pour ceux capables de raisonner avec calme et clairvoyance. Or, les humains, et c’était un fait général, étaient dictés par la peur. La peur guidait chacun de leurs pas, de leurs émotions, les conduisait, dans trois cas sur quatre, à choisir le plus irrationnel des choix. La vampire en avait fait la cruelle expérience avec Hitomi, cette arrogante professeure à qui elle avait commis l’erreur de lui offrir la possibilité de choisir, et qui avait fait le mauvais choix. Une erreur qu’elle ne tenait plus à répéter.

Lanrea se prêtait tendrement au jeu, et remonta ainsi le long de la botte de Mélinda, lui offrant quelques délicieuses léchouilles. La vampire, qui avait des fantasmes fétichistes avoués, appréciait qu’on soit agenouillée devant elle, à lécher ses pieds. C’était pour elle le plus beau signe de soumission qu’on pouvait lui faire. Lanrea remonta ainsi entre les jambes d’une Mélinda de plus en plus excitée, dont le souffle était de plus en plus précipité. Elle planta ses dents sur la fermeture Éclair, et commença à tirer. Lorsqu’elle eût terminée, Mélinda fit apparaître son sexe masculin, et posa ses mains sur la tête de Lanrea, l’invitant à venir sucer. Cette dernière obtempéra sans hésitation, ouvrant les lèvres pour gober le membre imposant de la vampire. Elle commença par l’extrémité, lentement, s’avançant progressivement.

« Haaa... gémit Mélinda. Là, ma belle, vas-y, continue… »

Lanrea continua, et la vampire finit par se relever, caressant les cheveux de Lanrea, veillant à bien plaquer sa tête contre son membre, et à l’inciter à continuer. Elle suçait très bien, et le sexe tendu de la vampire, tout comme ses gémissements, devaient attester du plaisir qu’elle ressentait devant cette fellation. La petite humaine se débrouillait plutôt bien, et la voir ainsi, glisser sur son membre, le prenant en bouche comme une grosse sucette, avait un petit quelque chose de délicieusement excitant.

« Tu sais que je suis une vampire, n’est-ce pas, ma puce ? Oui, bien sûr que tu le sais... »

Tout en parlant, elle caressait les cheveux de la jeune femme, lentement, tendrement, délicatement.

« Je sais très bien que ça te plaît, Lanrea, alors... Sois une gentille fille, et fais-moi quelques gorges profondes, rends cette fellation inoubliable, que ta Maîtresse soit heureuse... Car c’est l’objectif à lequel n’importe quelle esclave comme toi devrait tendre : combler de bonheur sa propriétaire ! »

 Cette pseudos méthode d'enseigner par la peur, est plutôt bien trouvée je dois dire car elle oblige la personne soumise a ce  plier a la volonter pour avoir des chances de survies, cependant dans ce cadre la c'et légèrement différent puisqu'il s'agit d'ordre sexuelle et non un danger de mort imminent, du moins pour l'instant et c'est tant mieux... Car moi je dois obéir a cette mélinda, sinon je risque d'en prendre cher pour ma pomme, pour l'heure je lui fait une bonne fellation, je fais des vas et vient avec ma bouche sur son gland et sur le reste de son membre, l'hudifiant ainsi bien comme il le faut. Je sais aisément qu'elle l'apprécie car de 1 elle gémie de deux elle calle ses mains sur ma tête pour que je ne ne puisse pas lacher son sexe de ma bouche et de trois elle dit ça...

« Haaa... gémit Mélinda. Là, ma belle, vas-y, continue… »

Elle m'ordonne de continuer ce que je fais aisément évidemment. De toute façon sa na rien d'étonnant car elle enfonce ma tête encore plus contre son membre, m'invitant a la satisfaire encore plus et d'avantage je suppose que cela doit lui être excitant. L'informant que je dois savoir que c'est une vampire je le savais déjà, je l'ai remarquée toute a l'heure grâce a ses crocs en débuts de séances alors je continue de la pomper comme il se doit. Mais elle m'ordonne encore autre chose... J'écoute alors les dires de la "maitresse"

« Je sais très bien que ça te plaît, Lanrea, alors... Sois une gentille fille, et fais-moi quelques gorges profondes, rends cette fellation inoubliable, que ta Maîtresse soit heureuse... Car c’est l’objectif à lequel n’importe quelle esclave comme toi devrait tendre : combler de bonheur sa propriétaire ! »

Oui, c'est vrai elle n'a pas toute a fait tort et le fait que mes joues rougissent me trahissent. Elle sait que j'adore ce genre de situation, et du coup je pense qu'elle est pas prête de me relacher avant un moment mais cependant la voila qui m'invite a faire une gorge profonde une ? non pluslieurs, je m'éxécute alors et j'enfonce son membre dans ma bouche le plus que je le peux, me faisant tousser, baver, gémir bien que je ne puisse criée avec un sexe dans la bouche. Je continue de lui en faire une avant de me retirer doucement pour reprendre du souffle et en recommençant également.

La petite fellation se poursuivait admirablement. Docile, Lanrea obtempérait sans rechigner aux ordres de Mélinda, dont le sourire naissant sur les lèvres attestait de son contrôle total de la situation. Sa captive succombait peu à peu aux charmes de sa geôlière, ce qu’on ne pouvait pas vraiment lui reprocher. Résister à Mélinda était, pour l’intéressée, difficile, tant elle se trouvait belle et attirante. Elle écarta lentement les jambes, excitée, et ressentit de nouveaux frissons lorsque la jeune blondinette obtempéra, en enfonçant le sexe de la femme dans les profondeurs de sa gorge. Lanrea se mit à apprécier ce contact, remuant sa bouche progressivement, soupirant et gémissant. La vampire, de son côté, se mit à soupirer un peu plus longuement, un peu plus fort, en caressant tendrement les longs cheveux de Lanrea, enfonçant ses doigts griffus dans sa chevelure. La jeune femme se concentrait, reprenant parfois son souffle, avant de poursuivre.

« Haaa... Ce que c’est agréable, humm... Encore, ma belle, encore, ne t’arrête pas en si bon chemin... »

La belle s’exécutait, prenant le membre de Mélinda, qui s’enfonçait dans sa bouche. Baissant la tête, la vampire pouvait voir la jeune femme à l’œuvre, et souriait de plaisir devant ce spectacle fascinant. A genoux, la jeune femme suçait avec envie, et Mélinda la laissait faire. Son érection se renforçait, mais elle voulait aussi que Lanrea en profite, que cette fellation l’incite à se détendre, et à profiter de ce moment. La vampire savait en effet que la jeune femme commençait à apprécier l’idée de lui faire l’amour ; il fallait donc persévérer en ce sens. Soupirant, Mélinda se laissait aller, sentant le moment de l’orgasme approcher.

Fermant les yeux, elle soupira à nouveau, et, après une fellation ayant bien duré plusieurs minutes, laissant amplement à Lanrea le temps de profiter de sa verge, Mélinda sentit le sperme filer dans son sexe. Elle n’eut qu’une petite pression à faire, et le sperme gicla de son membre, filant dans la bouche de la femme, éclatant sur ses parois, sur sa langue, dans sa gorge. Mélinda tenait alors la tête de Lanrea entre ses griffes, la forçant à accélérer le rythme, l’étranglant probablement à moitié. La petite vampire poussa des cris de plaisir en sentant le désir exploser en elle. Elle finit par s’arrêter, et relâcha la tête de Lanrea, soupirant faiblement. Mélinda s’affala sur son fauteuil, le temps de reprendre son souffle. Elle avait les joues toujours aussi rouges sous l’effort, et un peu de sueur coulait de ses cheveux. Étouffée, Lanrea tomba à ses pieds, et Mélinda s’amusa à les remuer le long de ses hanches, de ses cotes, frottant le corps de la femme avec ses doigts.

« Rassure-toi, ma belle chienne, ça ne fait que commencer... Reprends ton souffle, et nous pourrons continuer à nous amuser... » réussit à dire la vampire.