Joyeux Anniversaire !!! [Luna Elunaï & Yuka/Yuko Karistal]

De nos jours les clients sont difficiles, les esclaves abondent et ils savent exactement ce qu'ils veulent. Fini le temps où posséder un esclave était un luxe. Aujourd'hui c'est un produit de consommation courant et même les plus modestes deviennent de plus en plus exigeants. À l'époque où les habitants de Terra découvraient encore l'esclavage ils étaient curieux, ils voulaient tester les différents types d'esclaves, ils en prenaient soin. Maintenant les esclaves sont sélectionnées et jetées dès qu'elles ne conviennent plus. On disait de moi que j'étais complétement tarée, que je dégoutais les acheteurs, que j'en faisais beaucoup trop, que je devais être plus normale, moins soumise, moins masochiste. Mais j'en étais incapable, alors ils m'ont laissé pourrir au fond d'une cage. Des fois ils oubliaient même que j'existais et je n'avais pas à manger pendant plusieurs jours.

Un jour, un vendeur vint me voir, il s'était rappelé de moi en discutant avec l'une de ses bonnes clientes et il me fit sortir de ma cage, sans m'expliquer quoi que ce soit. On me fit prendre une douche pour me débarrasser de la crasse qui recouvrait mon corps, puis on me donna à manger. Pas cette bouillie écœurante de d'habitude, un vrai repas et on m'a ensuite remis dans une cage propre où il y avait même un lit. Je ne savais pas pourquoi on m'avait aussi bien traité ce jour là, mais c'était bon signe, peut être que je serais bientôt vendue. Je me suis endormie avec l'esprit tranquille et un espoir réanimé.

Mon repos ne dura pas bien longtemps, deux heures à peine après que j'ai fermé les yeux plusieurs hommes entrèrent dans ma cage et me ligotèrent alors que je peinais à me réveiller. Avant d'avoir pu dire le moindre mot un bâillon obstrua ma bouche, excitée par ce réveil je me suis mise à me tortiller en gémissant, se faire agresser et attacher au réveil, c'était une nouvelle sensation que j'aimais beaucoup. L'un des hommes s'exclama alors tandis que je bavais sur le bâillon :

"Elle n'est vraiment pas normale. Qui peut bien vouloir de ... "ça" ?"

"T'occupe pas, dis toi qu'elle sera surement remplacée par une petite terranide avec qui on pourra s'amuser un peu."

On me plaça dans un carton, puis on me mis un masque à oxygène sur le visage, je commençais à comprendre ce qu'il se passais. Ainsi j'allais rejoindre mon futur maître par colis ? Quelle bonne idée, j'aimai beaucoup, être traitée comme un objet ... A cette pensée mes joues rougirent et le même homme que tout à l'heure grimaça avant d'ajouter :

"Referme ce foutu carton elle me fait flipper cette conne !"

Plusieurs heures plus tard, dans le noir complet, la fatigue devint plus forte que mon envie d'être éveillée lorsque le carton s'ouvrira. Je me suis assoupie. Je ne le sais pas encore mais le carton a fini par arriver à destination. Mes nouvelles propriétaires, qui ne savent pas ce qu'il contient, s'apprêtent à faire ma connaissance. Et pendant ce temps je rêve de fouets, de chaines et de punitions.

Quelle meilleure occasion de voir son anniversaire pointé le bout de son nez pour recevoir des tas de cadeaux! Être une héritière d'une lignée d'un des plus riches esclavagistse d'Ashnard aidait beaucoup évidemment! Que ce soit des relations de leur père ou des quelques clients espérant une petite ristourne pour un prochain achat, tout allait dans le bon sens pour les demoiselles. En ce jour spécial, aucune jumelle n'avait le dessus sur l'autre, l'une dans une belle robe rouge pour Yuko, une rose pour Yuka. Bien sur, Yuko restait une dominatrice et Yuka une soumise en temps et en heure mais devant les invités, pas de laisse pour l'une, pas même de collier non plus! Dommage, cette semaine, Yuka était l'esclave de sa sœur normalement. Mais ce n'était que temporaire. Outre les petits mots dans des courriers gardés depuis quelques jours pour cet événement, les cadeaux plus importants et plus imposants arrivaient de plus belle. Parmi les cadeaux, une belle statuette de chat à côté d'un ravissant couple de néko en or! Avec un petit mot d'excuse de leur grande « sœur » Alice qui ne pouvait venir en ce jour spécial pour une raison privée... Mais elle promettait de venir les voir rapidement. Dissimuler sous la statuette, un autre petit mot qui disait de regarder dans un renfoncement du socle. Des photos d'Alice et Sakura en néko, en plein ébat amoureux et torride! Quelques clichés d'une incroyable valeur pour elles! Puis dans le lot, quelques petites photos innocentes des deux nékos plus la petite Ayano-néko, qu'elle était mignonne elle aussi!

Passé ses quelques cadeaux, les cadeaux de ce genre étaient privés et ce genre de bonus étaient observés après la cérémonie après les beaux cadeaux simples. Elles avaient pris la peine de lire les lettres ou au moins les destinataires pour savoir si elles pouvaient ouvrir ou non ce cadeau devant leur parent? Une fois la petite cérémonie organisée par son père qui ne comptait pas l'or investi pour faire plaisir à ses princesses, un dernier paquet plutôt gros arrivait avec les livreurs, d'épaisses armoires à glace avec le dernier paquet pour leur anniversaire. La carte, aucun nom, seuls quelques mots classique pour les jumelles en ce jour.

« Amusez-vous bien avec mon cadeau mes petites chéries ♥
M. »

M? Impossible que cela soit de la part d'Alice? Ni Sakura? Tinuviel? Non plus? Une membre du harem? Elle ne voyait pas qui? Qui d'autres? Là, c'était vraiment un « M »ystère. Enfin, un cadeau restât un cadeau. Mais aussi gros, ce fut un des gardes du corps des filles qui ouvrait la boîte sans besoin d'un pied-de-biche. Ouvrant un peu le couvercle, il arrivait à voir malgré l'obscurité dedans et ce n'était rien de dangereux donc. Murmurant quelques mots aux oreilles de ses petites protégées, elles gloussèrent avant de demander qu'ils déposent le paquet à l'étage, dans une de leurs chambres. Dans ce beau manoir qu'était celui des Karistal, les jumelles avaient plusieurs chambres, la leur, celle des tortures, celle insonorisée – très pratique lors de la saison des nékos dont elles se régalent à observer – et encore un tas de chambre rien qu'à elle! Ce fut donc la dernière, insonorisé qui fut choisie, d'après les mots de leur « Nounours », elles vont avoir de quoi s'amuser. Les livreurs ouvraient la boîte pour la laisser s'ouvrir sous tout les angles, une petite courbette puis les deux hommes quittaient le manoir.

Et là, quelle surprise! Une fille attachée et bâillonnée! Aucune indication sur celui ou celle qui avait envoyé ce cadeau mais les jumelles n'allaient pas s'en plaindre. La chambre était plutôt grande, un lit grand doux et moelleux ainsi que plusieurs coffre qui ne contenaient certainement pas de l'or mais tout un tas d'instrument amusant! Regardant de haut leur « cadeau », les jumelles riaient en l'observant par terre, elle était mignonne et pour sur, leur cadeau allait beaucoup servir, dont ce soir déjà!

« Hum... Un si joli joujou rien que pour nous. »
« Par quoi on va commencer? »
« Huhu, je n'en sais rien mais elle m'excite à la voir comme ça! »
« Haha, tu as raison, elle a l'air si vicieuse, si perverse! »
« Détachons là pour commencer, je veux entendre sa petite voix... et ses supplices! »

Elle n'avait pas l'air de réclamer la liberté mais on ne sait jamais, Yuko adorait faire croire à ses esclaves qu'ils seront libres une fois qu'elles s'étaient amusé mais ce n'était jamais le cas! Yuka retira le bâillon et Yuko la ficelle qui la ligotait, une fois debout, elles observaient leur joli cadeau.

« Alors ma chérie? C'est quoi ton petit nom? »

Lorsque le garde du corps entrouvrit sa boite, un rayon de lumière arriva dans les yeux de Luna et la réveilla un peu. Son sommeil se fit beaucoup plus léger et elle rêva. Elle rêva d'une belle maîtresse blonde qui s'amusait à la piétiner avec mépris devant une foule de curieux. Elle était couchée par terre, rampant et gémissant comme une petite truie. Pendant ce temps la maîtresse de ses rêves l'insultait de tout les noms, elle était au paradis selon ses propres critères. Les passants furent invités à se soulager avec son anus et le premier à se lancer fut un superbe terranide cheval avec un sexe énorme. Le coït fut long et brutal, l'esclave prenait son pied dans son rêve, jusqu'à ce qu'arrive la jouissance. Dans le monde réel, elle se tortillait lubriquement tandis que ses vraies maîtresse lui retirait ses liens et son bâillon. Yuko avait à peine fini de lui demander son nom qu'elle se cambra brutalement en poussant un long et puissant cri de jouissance :

"AAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!"

Réveillée par son propre cri elle repris connaissance, s'apercevant qu'elle était cambrée, la bouche grande ouverte et avec ses cuisses largement écartées. Elle réalisa ensuite qu'elle n'était plus dans le carton, puis enfin qu'elle n'était pas seule quand son regard croisa celui de Yuka et celui de Yuko. Ses joues devinrent écarlates, non seulement elle avait osé faire des rêves aussi indécents sans en recevoir l'autorisation mais, en plus elle s'était elle-même infligée une humiliation. Malgré sa gène, l'esclave ressentait surtout beaucoup de plaisir dans ce genre de situation. Ainsi elle commença à imaginer ces deux jolies jumelles habillées de cuir, la fouettant jusqu'au sang et l'attachant dans des positions obscènes. Elle parvint tout de même à se calmer et se prosterna devant ses deux nouvelles maîtresses. Son visage était tout rouge et elle n'osait pas relever la tête, bafouillant d'un ton très respectueux :

"Pardon maîtresses ! Je m’appelle Luna et je suis profondément désolée ! Je n'avais pas le droit de prendre autant de plaisir sans votre permission ... Je rêvais d'une autre maîtresse m'offrant à un terranide cheval et lorsque je me suis réveillée je rêvais que je jouissais. Et je vous ait imaginée toutes les deux habillées en cuir en train de me fouetter. Je ne suis qu'une sale truie perverse et mal élevée, pardonnez moi maîtresses ! Je ne mérite aucune pitié pour mon indécence !"

L'esclave avait l'air particulièrement misérable ainsi mais, ce qui était troublant c'est qu'elle semblait prendre du plaisir à se rabaisser de la sorte. Elle se rendit aux pieds des jumelles et commença à les lécher frénétiquement en signe de soumission, comme un petit chien. Si elle avait eut une queue, celle-ci serait surement en train de faire des allers retours aussi frénétiques que sa langue. Luna attendait désespérément un ordre, une punition, un viol, n'importe quoi, car elle redoutait que ses nouvelles maîtresses se débarrassent d'une esclave aussi gênante et dérangée. Cette maison était probablement sa dernière chance, elle était prête à tout pour rester à leur service.

N'était-ce pas là, un cadeau des plus adorables! Une petite esclave, soumise et aussi perverse que mignonne! Le simple fait de la détachée et lui laisser un tout petit peu de liberté et la voilà qui gémissait! Qui pouvait bien être ce mystérieux M.? Comment lui dire merci? Il restait tant de chose à voir avec leur cadeau alors autant essayer l'esclave avant de d'envoyer une lettre de remerciements en remontant vers les deux livreurs. La posture que prenait cette ravissante créature avait de quoi leur laisser une bonne idée de ce que leur réservait leur cadeau! Elles vont s'amuser! Luna se présenta, expliquant sa hantise de sa première apparition devant elles, elle semblait très étrange et pourtant très excitante! Pouvait-on qualifier ses deux petites créatures saine d'esprit et aussi mignonne que douce et gentille? Oh que non et comme on dit, qui se ressemble, s'assemble! La voir se jeter à leur pied était plutôt rassurant, en voilà une petite esclave bien élever même si elle faisait déjà goûter sa langue sur les pieds de Yuko. Une chance que cette dernière adore cette preuve qui indiquait la maîtresse et l'esclave. Elle retira doucement son pied de sa ballerine en laissant à Luna tout le plaisir de continuer de la laisser sous plusieurs angles. Elle n'hésitait d'ailleurs pas à relever le pied de sorte à se faire lécher sous le pied. C'était plus amusant et aussi agréable.

« Hum, quelle vilaine petite esclave avons-nous là? Elle ose rêver de rêve si douillet et en plus elle voit l'avenir. Notre petite truie perverse mal élevée mériterait bien une punition... »
« Très sévère même! On pourrait l'obliger à nous regarder se faire l'amour? L'attacher sans la moindre occasion de se toucher? Sans même pouvoir rêver ou imaginer jouir un jour? » Dieu merci, une telle machine n'existait pas!
« Non, non, non ♪ C'est notre cadeau alors il faut bien la traiter. Ma petite Luna~ » dit-elle avec une voix aussi enfantine qu'adorable. « Couché! »

Sa voix fut toujours très calme et douce mais aussi très autoritaire. Levant son pied sous son menton, elle voulait la voir se coucher sur le dos de façon à pouvoir les observer pour ce qui allait suivre. De son pied nu, elle caressa son corps à peine couvert par quelques sous-vêtements que son pied tentait de repousser doucement. Yuka gardait un regard assez sévère mais amusez, les poings plaqué sur ses hanches, Yuko semblait plus calme et douce – bien que c'était le contraire mentalement – avec ses mains le long du corps.

« Retire donc tout ça. Tu ne mérites pas d'avoir des vêtements pour le moment! Quand Luna aura prouvé être une gentille petite esclave obéissante, j'y repenserais. »
« Avant de jouer avec toi, notre petit jouet, il y a quelques petites choses à savoir. Je serais ta maitresse Yuka. »
« Et moi ta maitresse Yuko. »
« Retiens bien nos titres car sinon tu ne vas pas aimer te tromper, petit jouet. »
« Et quand tu respecteras tout ce qu'on dit, tu seras heureuse d'être notre petite Luna! »

Retirant son autre ballerine, Yuka en fit de même en rapprochant son pied près de sa bouche, les orteils caressant ses lèvres, elle allait aimer sentir sa petite langue lui nettoyer son pied royal!

« Voyons voir si tu as bien compris, si tu as une bonne réponse, tu peux faire ce que tu veux. Tu es libre de te lever, d'ouvrir un des coffres, tiroir, armoire, de monter sur le lit, de nous toucher, tu auras le droit de faire une seule chose sans nous demander notre avis, d'accord? Alors, qui suis-je, moi. Maaaaaîtreeeeeesssssse … ? »

Si elle répondait juste, libre à elle de découvrir ce qui sera surement sa nouvelle chambre, sinon, elle allait devoir apprendre comment une punition était facilement cernée selon la personne avec les jumelles. Elle aimait les coups cette petite perverse? Comment réagirait-elle si elle est punit en étant battue? Bien? Donc comment allait-elle réagir en les voyant s'amuser sans elle, avec interdiction de se toucher ne serait-ce qu'un mamelon?

Luna était heureuse, apparemment ses nouvelles maîtresses étaient assez expérimentées. Elles devaient connaitre plein de choses amusantes à faire avec leurs esclaves. La petite masochiste avait frémi en attendant "petite truie perverse" de la bouche de sa maîtresse, le dire elle-même est une chose, l'entendre de sa propriétaire en est une autre. Et elle avait eu un petit frisson en attendant le mot punition. Elle se mit à imaginer de lourdes chaines la retenant contre le mur tandis que les deux adorables jumelles se serviraient d'elle comme punching ball. A cette pensée ses cuisses se frottèrent mutuellement, ce qui n'avait pas dû échapper aux deux sœurs.

"Couché!"

D'un ton enfantin mais ferme, l'ordre s'était suivi d'une réaction immédiate de l'esclave, guidée par le pied de sa maîtresse elle s'était couchée sur le dos. Dans cette position elle avait une vue imprenable sur la petite culotte de Yuko et se garda bien de l'avouer pour profiter du spectacle. Elle pouvait sentir le pied qui se baladait sur son corps, laissant une petite trainée de sa propre salive sur son passage. Même si Yuko semblait être la plus gentille des deux, Luna sentait son sadisme comme une proie sent venir son prédateur. Il faut dire que l'esclave avait été complétement formatée par ce genre d'expériences SM, elle saurais reconnaitre n'importe quelle véritable sadique, peu importe le masque qu'elle arbore en public. À l'inverse l'autre sœur lui donnait l'impression qu'elle n'était pas si sévère que ça. Une maîtresse se forçant à être sévère pour coller à son image et l'autre prenant un plaisir malsain à la torturer, l'esclave était aux anges.

Une fois de plus l'ordre de sa maîtresse l'arracha à ses pensées. Se déshabiller ? Pas digne de porter des vêtements ? Oui elles avaient raison, les animaux n'ont pas à porter de vêtements, alors les objets encore moins. Si ses maîtresse voulaient s'amuser à l'habiller selon leurs désirs plus tard elle en sera ravie. Mais, pour l'instant elle devait leur montrer la marchandise. Elle se dévêtit rapidement tout en restant couchée, après tout sa maîtresse ne l'avait pas autorisée à quitter le sol. Les deux maîtresses se présentèrent et lui proposèrent une petite épreuve.

Enfin non, ce n'était pas une épreuve, Luna avait parfaitement retenu leurs noms, ce sera donc un choix. Elle avait le choix entre un jeu et une punition. En temps normal elle aurait choisi la punition sans hésiter mais, elle devait faire bonne impression, du moins au début. À cet instant sa seule réelle peur était qu'on la mette dehors et elle faisait tout pour que ses maîtresses ne le découvre pas. Son regard s’est attendri et ses yeux se détournèrent tandis que ses joues rougissaient. Ses lèvres se pincèrent et elle finit par dire d'une voix douce et perverse :

"Maîtresse Yuka ... "

Ainsi elle avait le droit de faire ce qu'elle voulait. Sauf que c'était la première fois depuis longtemps qu'elle avait la possibilité de faire ce qu'elle voulait. Elle s'apercevait surtout qu'elle était incapable de vouloir quoi que ce soit. Puis son regard croisa une boite noire posée sur le dessus d'un des coffres. L'esclave se leva, pris la boite dans ses mains sans savoir ce que c'était et l'ouvrit. À l'intérieur, pas de jouets, pas de lingerie, par d’accessoires douteux ou de tenues explicites. Juste un appareil photo.

Immédiatement l'esprit dérangée de la petite truie perverse s'imagina être pris en photo dans des positions plus que compromettantes. Une de ses deux maîtresses l'humilierait tandis que l'autre prendrait les photos. Et ensuite elles seraient mise sur internet pour que tout le monde puisse rire de la petite salope qu'elle était. Elle se mit à rire toute seule à cette pensée tandis qu'un filet de bave coulait le long de son cou. Puis elle rapporta la boite aux pieds de ses maîtresses avant de se recoucher sur le dos en se tortillant d'impatience.

Les festivités commençaient à peine avec leur nouveau jouet et pour le moment, rien à redire! Elle était mignonne, perverse, déjà briseé, obéissante, le seul bémol qu'elle ne peux se reprocher, c'est de ne pas être une néko. Avec ça, ça aurait été parfait! Son statut d'esclaves, elle aurait pu à peine y faire attention car les jumelles n'en seraient pas au même stade qu'actuellement, elles seraient déjà nues à se frotter contre son petit corps en manque d'amour et de sexe surtout. Enfin, ça valait peut-être mieux pour elle? En néko, elle aurait eu moins de punition et plus de câlin? Avec la première question pour savoir si la belle avait retenu qui était sa maîtresse, Yuka lui demanda qui elle était et sa réponse ne tardait pas. Prononçant ses deux mots d'une voix douce et excitante qui ne manquait pas de faire glousser Yuko en l'écoutant.

Un sourire tout ce qu'il y avait de plus doux et heureuse, Yuka acquiesça en tendant la main vers la chambre, à elle de voir ce qu'elle voulait voir. Les jumelles, sans se le dire, se demandaient ce qu'elle irait ouvrir en premier? L'un des coffres aux nombreux jouets en tous genres, du simple petit gode a un autre jouet dégoter dans un sex-shop de Tékhos. Ça avait l'air d'une tronçonneuse à un détail près, pas de lame! Mais un très grand gode qui remuait dans tous les sens en l'actionnant. C'était peu esthétique et peu sensuel mais la sensation était si bonne! Les tiroirs vont peut-être s'ouvrir pour que la petite esclave fantasme sur leur dessous parfois mignon, parfois osé, parfois original? À moins qu'elle ne jette un œil à leurs armoires où se trouvent quelques jolies robes, de jour, de soirée ou de nuit, quelques tenues moulantes en cuir ou en latex. Elles avaient de tout! À moins qu'elle ne désire un peu plus de confort en prenant place sur le lit? Non, esclave bien élevée, elle n'oserait pas sans leur permission.

Finalement, elle fut intriguée par une petite boîte noire qui trainait sur l'un des coffres, cela contenait un appareil-photo. Chose plutôt inutile à Ashnard mais plutôt bien pratique pour garder des souvenirs une fois chargés sur Tékhos ou sur Terre. Coup de bol, il en revenait tout juste. Les jumelles adoraient s'en servir au lycée pour faire chanter les autres. Avec cet appareil-photo qui contenait déjà pas mal de photo de fille, de garçon, en mauvaise posture, humiliante, honteuse, elles allaient pouvoir le remplir un peu plus avec Luna. Oui, la belle petite esclave semblait absorbée par ça et soit elle rêvait d'être prise en photo, soit elle imaginait un tout autre rôle sexuel pour cet appareil qu'elle ne connaissait pas? Posant l'appareil aux pieds de Yuka, elle retourna à sa « place » en gesticulant. Yuka se pencha vers elle pour lui caresser doucement la tête.

« Très bien, mon petit jouet. Hum hum... Si j'ai bien compris, tu veux être photographié hein? Soit, pourquoi pas! Il faut après tout immortaliser ce petit moment qui est celui de ton arrivée ici! »

Yuka se pencha un peu près d'elle pour bien cadrer son petit visage d'esclave heureuse, elle prit une photo et une fois le « clic » entendu, elle se redressa avec un petit sourire bien à elle. Celui-là était classique de la petite fille trop gâté qui obtenait toujours tout! Et ce n'est pas une esclave qui allait le lui refuser!

« Cela serait trop bête de se contenter d'une seule et unique photo alors qu'il reste tant de place dessus. On va garder pleins de souvenir de cette belle soirée, moi, Yuko et notre petit jouet! »
« Petit jouet, ça me semble pas convenir comme surnom... pas pour le moment en tout cas. La voir se trémousser sur le dos, comme ça, ça me donne plus envie de l'appeler... petite chienne! »
« Bonne idée, Yuko. Nous devrons commencer par une petite photo, rien que vous deux, on échangera après, à tour de rôle. »

Yuko s'approcha de sa petite chienne, se mettant à quatre pattes à côté d'elle, elle lui disait simplement de se redresser avant de se placer derrière elle. L'attirant à elle en la tirant par son épaule, elle se coucha derrière elle, sa tête par-dessus son épaule, ses mains glissaient sur son ventre pour atteindre son intimité.

« Aide-moi a écarté tes petites lèvres, Luna la petite chienne. Je veux qu'on puisse voir quelle chienne tu fait sur la photo! »

D'un petit rire de gorge, elle frotta sa joue contre la sienne avant de regarder l'objectif. Puis une fois la photo prise, elle écartait doucement Luna pour échanger les rôles, Yuka prit la même position derrière elle sauf qu'elle se faisait plu lente et qu'elle observait l'objectif de côté alors que sa langue caressait son petit cou si tendre. Une fois le cliché fait pour elle aussi, Yuko reprenait le flambeau pour la sélection de photo.

« Luna, à quatre pattes! Fais-nous montrer ton petit trou derrière et écarte bien tes jolies fesses. Je veux que tu regardes quand même vers nous et que tu nous dises ce que tu es, réellement, d'accord ma belle petite chienne? »

Son regard tendre posé sur elle, elle se tenait juste à côté de sa sœur, prête à regarder et prendre des photos. Attention tout de même aux pièges! Yuko adorait tromper les adversaires pour pouvoir mieux jouer avec eux! Elle voulait l'entendre se traiter toute seule, l'entendre avouer ses fantasmes ou ses envies du moment au moins.

Petite chienne, son nouveau nom sonna comme une douce mélodie à ses oreilles, tellement heureuse et excitée que son intimité commençait à suinter toute seule. Oh oui, elle était même pire qu'une petite chienne, une véritable obsédée complétement brisée à force de se faire violer, tellement brisée qu'elle avait fini par aimer ça. Elle ne rêvait que de viols, de brutalité, d'être torturée par ses maîtres, la douleur était devenue une récompense pour elle, la plus belle des récompense. On lui avait même offert un corps capable d'endurer le pire, de se régénérer lorsqu'elle subissait trop pour elle. On lui avait offert une vie idéale pour elle, une vie de servitude et de souffrances.

Le premier cliché fut banal, ordinaire, rien de particulièrement compromettant dessus, l'esclave n'était pas encore prête à se livrer entièrement à l'objectif. Malgré ses envies elle avait honte de ce qu'elle faisait mais, avoir honte lui provoquait tant de plaisir, tant d'émotions à chaque fois. Ainsi lorsque Yuko s'approcha elle se laissa faire, sentant sa maîtresse se coller dans son dos, comme un mâle dominant venant prendre une innocente femelle par derrière. Elle se mit à rougir et leva la papatte pour bien montrer où était les doigts de son bourreau. Puis lorsque la joue de Yuko se frotta contre la sienne elle poussa un petit gémissement, presque inaudible mais que la plus proche des sœurs n'avait pas pu ne pas entendre. Finalement se fut le tour de Yuka, je commençait à haleter, je voulais qu'elles me prennent devant l'appareil, qu'elles montrent à tout le monde à quel point je n'avais aucun amour propre. je me retenais, parce que je ne voulais pas les décevoir, je devais me plier à leurs désirs, les miens n'avaient aucune importance.

Puis arriva enfin l'ordre, que je redoutais tout en l'attendant avec impatience. C'est à ce moment là que je devais me livrer devant l'objectif dans tout ce que j'avais de plus pitoyable. Je me suis mise en position, écartant bien les jambes comme demandé et regardant l'objectif avec difficulté. J'ai pris une grande inspiration et j'ai commencé en sachant que je serais incapable de m'arrêter :

"Quand j'étais petite, j'avais déjà des envies bizarres, ma mère adoptive m'attirait, mon papa aussi, les gens dans la rue, quand je me faisais mal je ne pleurait pas, je riais presque. La première à s'en rendre compte fut ma grande sœur adoptive. Elle m'a frappée, violée, torturée et j'en avais honte mais j'adorais ça. Avec le temps c'est devenu comme une drogue, je n'arrivait plus à me passer de ma sœur. Un jour elle a faillit me tuer et j'ai ressenti un tel plaisir à l'idée de donner ma vie pour la satisfaire que j'ai compris à quel point ma vie n'avait aucune importance. Puis on a été séparées. Pendant une année entière je n'ai rien eut, je ne pouvais pas oublier ces sensations malgré mes efforts. J'en étais réduite à me pincer moi-même en me masturbant, à me frapper toute seule, j'ai même envisagé de prendre la rue pour devenir prostituée. C'est dans cette situation que j'ai passé un portail vers ce monde par mégarde. J'ai atterrit dans une sorte de grotte remplie de créatures tentaculaires, c'est comme si le destin voulait faire de moi un jouet sexuel. J'ai accepté ce destin, les créatures m'ont fait découvrir des jouissances que je n'aurais jamais pu soupçonner ..."

En disant tout cela mon visage devenait écarlate, des larmes de joie commençaient à couler le long de mes joues tandis qu'un sourire malsain déformait mon visage. Ma cyprine ruisselait le long de mes cuisses, formant bien vite une petite flaque à mes genoux. Et j'étais incapable d'arrêter de parler, je mourrais d'envie de me masturber mais je ne pouvais pas agir par moi-même, c'était à mes maîtresse de décider si je méritais de me soulager ou pas.

"... Je pouvais sentir leurs énormes sexes qui me déchiraient de l'intérieur, trois fois trop gros pour moi. Ils ont transformé mon corps pour que je supporte ces jouissances inhumaines, pour que je comprenne leur merveilleux message. Je passais mes journées à réclamer leurs bites, à avaler leur foutre chaud et gluant ..."

J'avais de plus en plus de mal à parler, mon corps tremblait d'excitation, ma langue pendait et mon regard se vidait de toute expression.

"... Puis ils m'ont jetée comme on jette un mouchoir après une bonne branlette. Aujourd'hui j'offre mes fesses au premier venu mais rien n'arrive à satisfaire mon appétit. Peu importe à quel point on me frappe, à quel point on me viole, ce n’est jamais suffisant. J'en veux toujours plus mais, ce n'est pas important, ce que je veux n'a aucune importance, je vis pour mes maîtres et maîtresses. Je rêve d'être attachée au pied de votre lit, me faire violer par votre chien et vous lécher les bottes. Ensuite vous me frapperiez parce que je n'ai pas réussi à enlever toute la boue et je finirais dans la cave avec ... dans les fesses ... et ... et ... huuuum ..."

C'en étais trop, si elle ne pouvait pas se masturber elle ne pouvait pas non plus rester indéfiniment à quatre pattes. Ses bras flanchèrent et elle se retrouva joue contre terre et fesses levées. Continuant à gémir des choses totalement incompréhensibles, se tortillant lubriquement. Oh elle avait honte, elle aurait même pu mourir de honte devant cet appareil mais, le plaisir d'être humiliée à ce point, être aussi indécente, manquer à ce point d'amour propre, c'était si bon. En pensant à tout ceux qui verraient ces photos plus tard elle mouillait encore plus, que penseraient ils d'une esclave qui se met seule dans de tels états ? Certains seront horrifiés qu'une telle abomination puisse exister, d'autres se moqueront d'elle, certains seront excités.

Absolument parfait! Leur petite chienne était faite pour elle et avec sa petite mentalité brisée d'esclave, elle n'avait su flairer le piège comme une brave petite chienne! Enfin, Yuko n'allait pas s'en plaindre, au contraire! Aux premiers mots sortis de sa bouche, son sourire où rimait une pointe de sadisme s'étira en écoutant le récit de la petite esclave. Pensait-elle que les jumelles auraient eu pitié d'elle et l'invité dans leurs bras pour s'y blottir? Oh que non! Elle était qu'une petite esclave, leur cadeau! Alors oui, elle pourra avoir d'autres avantages que les esclaves destinés à la vente n'auront pas mais ça s'arrêtait là. Yuka prit quelques clichés sous différents angles, d'elle ou de son entrejambe devenu une petite fontaine, une brave petite qui essayait de rattraper sa faute? Non, une simple petite obsédée en manque! Certes son histoire n'était pas heureuse mais les jumelles n'en avaient que faire, surtout pour le moment. Alors que la petite esclave perdait patience, sa main semblait vouloir horriblement se soulager mais en bonne esclave, elle ne disait rien tant qu'elles ne lui en donnait pas l'ordre, il en serait de même si elles lui interdisait de respirer.

Marchant lentement avec de très grand pas, Yuko arriva à côté d'elle, à la limite de ses pieds, les mains dans le dos et se penchait en avant en regardant son visage, sa joue contre terre, elle ne méritait que ça cette petit ecatin! Son sourire restait identique, elle était heureuse pour elle mais ça ne laissait rien présager de bon pour Luna, dans un sens seulement.

« Non... non... et non! Tu es une vilaine petite chienne, Luna! Une chienne, ça ne parle pas voyons! Une chienne, ça dit Waf, wouf, ça grogne, ça tire la langue, ça fait la belle mais ça ne parle pas! J'ai dit que tu me faisais penser à une petite chienne, pas à une petite Inu. Halala, moi qui pensais avoir une chienne obéissante, tu me déçois Luna... terriblement... »

Son regard se fit un peu plus sombre et son sourire un peu plus sadique encore.

« Je vais devoir punir la petite chienne Luna ♥ »

Tombant à genoux, elle se tourna vers sa sœur qui était prête à appuyer sur le bouton afin de prendre une belle série de photos en tous genres. Sa main caressa d'abord sa fesse avec des petites rotations, comme si elle nettoyait un objet d'une grande valeur, en porcelaine qui plus est.

« Néanmoins, tu es une chienne très intéressante et crois-moi, ici, tu vas souffrir avec nous! Tu vas en prendre pour ton grade petite chienne! Mais nous allons aussi t'aimer car nous aimons nos esclaves et nous les récompensons bien! Mais pour le moment, avant de fantasmer dessus, il te faudra être une gentille esclave qui agit comme nous le désirions et pas seulement en te fiant à nos ordres et nos paroles... nous y reviendrons. Je sens une petite chienne qui attend sa fessée! »

Et sans le moindre avertissement, elle fit prendre de l'élan à sa main avant que la claque ne se résonne dans toute la pièce pour laisser une belle marque de main rouge sur sa fesse bien blanche.

« Un doux bruit... tu as le droit de crier si tu le désires. »
« Laisse là se toucher aussi, elle fera plus chienne sur les photos comme ça. »
« D'accord, dit merci à Maitresse Yuka, petite chienne! »

Bien sur, elle le devait le dire en tant que chienne. Mais Yuko continua quand même à faire claquer sa main, toujours sur la même fesse, avec toujours autant de force et de passion dans chaque coup, elle-même était prête à gémir à chaque fois que sa main se heurtait à cette petite fesse de chienne! Yuko, la parfaite dominante qui prenait son pied à faire souffrir les autres et Yuka, la parfaite masochiste qui adorait souffrir comme Luna, mais pas pour le moment. Yuka changeait de place, prenant en photo cette fesse bien rouge, son petit visage de chienne par terre, les jumelles adoraient ce genre de cadeau, elles ne risquent pas de se lasser d'elle pour le moment! Yuko ne cessa de martyriser ce petit cul que lorsque sa main commençait à lui faire mal au point de la secouer dans le vent.

« Oh quelle vilaine chienne! Elle m'en a fait mal à la main à forcer de la fesser! Ta seconde fesse attendra la prochaine punition, et ça ne sera pas avec la main alors attention. »

Et elles en avaient de quoi diversifier les punitions. La petite flaque était bien grande par terre, à ses genoux, elle avait surement joui mais elles n'en avaient rien entendu entre les rires et les cris et les gémissements. Yuko continuait à soulager sa main alors qu'elle retourna auprès de sa sœur qui gardait l'appareil bien en main. Elle le confia rapidement à sa sœur avant de s'approcher vers Luna, le sourire presque similaire à sa sœur bien que chez elle, c'était le regard qui était sadique et le sourire presque angélique.

« Tu as fait mal à Maîtresse Yuko avec tes petites fesses. Alors va te faire pardonner et va lui lécher la joue pour t'excuser. Une fois que ça sera fait, tu retourneras aux pieds et je te laisserais un choix. Soit tu veux manger et tu tiras la langue en remuant tes petites fesses, soit tu veux prendre ta douce et tu fais la belle, maintenant, va et ensuite, fais ton choix. »

Elle brandit l'index vers Yuko déjà abaissé pour recevoir les excuses de leur chienne. Nul doute que manger ou prendre la douche ne sera pas comme le commun des mortels mais qui sait ce qu'avait en tête Yuka? Seule sa sœur devait le savoir, cette dernière envoya l'appareil-photo à sa sœur jumelle pour avoir la photo de son premier pardon.

Sans le savoir, Yuko venait de faire sortir la facette la plus tourmentée et folle de sa nouvelle esclave. Les mots : "Non... non... et non! Tu es une vilaine petite chienne, Luna! [...] Halala, moi qui pensais avoir une chienne obéissante, tu me déçois Luna... terriblement..." lui firent l'effet d'une bombe atomique larguée dans un quartier de marchands de porcelaine. Luna n'avait qu'une seule réelle peur, décevoir et par extension être de nouveau jetée dans sa cage des mois durant. L'esclave pleurait, de vraies larmes cette fois, de peur, de tristesse et les pensées se bousculaient dans sa tête :

~ Non ... Je ... Je ne voulais pas maîtresse ... Pas la cage, pitié ! Je ne le ferais plus ! Je suis une chienne ! ... En fait je n'ai jamais été humaine ... Oui ! Voila c'est ça ! C'était un rêve, j'ai toujours rêvé d'être humaine mais, je suis une chienne ... Celle que j’appelai ma grande sœur était en fait ma maîtresse. Je me rappelle quand elle allait me promener dans le parc ... Quelle humaine accepterait d'être promenée ? Ah ah ... Ah ah ... Oui c'est ça, j'ai toujours été une chienne ! J'ai toujours mangéde la pâtée, c'est bon la pâtée ... Quand j'étais sage j'avais droit à un morceau de steak. Et ces créatures à tentacules ... Heu ... Je sais pas ... Ah si ! Elles voyaient bien que j'étais une chienne ! Donc elles ont voulu me prévenir que je n'étais pas humaine, comme elles sont gentilles ... Personne ne traiterait une humaine de la sorte après tout, c'est impensable, non, non, non ! NON NON NON NON NON ! CA NE COLLE PAS !!! Oui les créatures n'existaient pas ... J'ai inventé, pardon ... Pardon qui au fait ? Oh je m'en fous ! Les créatures ... Oui ! Inventées ! Heu ... Non ... CE N’ÉTAIT PAS DES CRÉATURES !!! Voila, voila, voila ... Tout s'explique ! C'était quoi déjà ? C'était, c'était ... C'était des chiens, oui voila des chiens, les chiens de ma meute, il y avait Tooti, Poopi, Looli, Kooki et Jean-Charles, oui c'est bien Jean-Charles, Jean-Charles était le chef et il avait une très très grosse bite. C'est pour ça que je me rappelle bien de Jean-Charles ! J'étais la seule chienne du groupe donc forcément j'ai pris grave cher. De toute façon j'ai toujours été une sale petite salope ... Et la bite de Jean-Charles, oh mon Dieu ... Oui voila, c'est ça ! Et après ils m'ont capturée, j'ai été à la SPA ! Ils m'ont pas très bien traitée d'ailleurs, si j'étais humaine je porterais plainte mais ... Je suis pas humaine donc je m'en fous ! Je suis restée longtemps dans cette cage, j'aimais pas la cage. Il faisait froid, des fois j'avais très faim, oui la cage c'était pas bien ! Et puis on m'a envoyée chez les maîtresses, j'adore mes maîtresses, elles sont si gentilles d'avoir récupérée une sale bâtarde comme moi. Je dois remercier les maîtresses et faire tout ce qu'elles me demandent ! Oui, oui, oui ! Qu'est ce que je devais faire déjà ? "Une chienne, ça ne parle pas voyons! Une chienne, ça dit Waf, wouf, ça grogne, ça tire la langue, ça fait la belle mais ça ne parle pas!" Ah oui c'est vrai, j'ai rendu la maîtresse triste, je ne dois plus jamais parler, je dois aboyer, grogner, tirer la langue et faire la belle. Je dois être une chienne ! Je dois être une chienne ! Je dois être une chienne ! Je veux être une chienne ! Je suis une chienne ! Oui voila je suis une chienne ! Je suis une ... NON ! WOUF WOUF !!! WOUF !!! GRRRRR !!! WOUF !!! ~

Pendant ce temps mon cerveau s'était dissocié de mon corps, j’exécutais les ordres machinalement, sans réfléchir, sans penser à ce que je faisais, j’exécutais bêtement les ordres. J'avais gémi comme une petite perverse à chaque coup sur mes fesses, j'avais malheureusement dis "merci" au lieu de "wouf" mais je n'y pouvais pas grand chose. D'ailleurs la fessée suivante fut plus forte que les autres. Et comme ordonné je m'étais masturbée comme si ma vie en dépendait, bougeant mes petites fesses pour faire plaisir à l'appareil photo. J'avais jouis d'une façon absolument pitoyable, relâchant un véritable torrent de cyprine sur mes genoux, le tout immortalisé par une photo prise juste un bon moment. J'ai repris conscience à ce moment là, ma main était toujours plantée entre mes cuisses, toute poisseuse et j'avais bavé aussi.

Puis j'ai entendue la voix de maîtresse Yuka qui m'ordonnait d'aller m'excuser auprès de sa sœur. Je me suis relevée avec difficulté et je me suis précipité vers Yuko pour lui lécher la figure en poussant de petits :

"Wouf ! Wouf !"

Mon regard n'était plus celui d'une fille brisée, c'était celui d'une chienne affectueuse éprouvant un amour sans bornes pour ses maîtresses. J'avais réussi à devenir réellement une chienne, j'étais absolument sûre d'être une véritable chienne, ça ne faisait pas l'ombre d'un doute. Yuko m'a regardée bizarrement, comme si elle venait de voir quelque chose de surprenant. Puis je suis retournée vers Yuka pour faire la belle parce que je voulais bien une bonne douche avec les maîtresses. Et elle aussi me regarda bizarrement. Mais je n'ai pas compris pourquoi. Je continuais de faire la belle en tirant la langue, attendant un signe de ma maîtresse comme quoi je pouvais arrêter.

Et voilà le point faible! Sans le vouloir, Yuko avait trouvé le point faible de leur petite chienne, la cage! Dès demain, elles en installeront une ici pour lui montrer à quoi s'attendre si jamais elle venait à les décevoir mais c'était inutile de la faire paniquer ce soir, elles vont la punir, mais d'une façon qui ne déplaisait pas à leur nouvelle petite chienne. Malgré le « merci » prononcer au lieu du « Woof », la fesser tomba mais elle fut vite passée. N'ayant plus une fille mais une chienne à leurs pieds, elle envoya Luna venir s'excuser auprès de Yuko qui venait la regarder bizarrement après lui avoir léché la joue. Non, elle ne la trouvait pas bizarre mais étonnamment bien dressé! Un vrai travail de professionnel, pas une simple esclave toute tâche – bien qu'elles l'ignoraient, c'était peut-être le cas? – c'était une véritable poupée grandeur nature! Faisant la belle de Yuka qui récupéra l'appareil-photo après la léchouille, Yuko se rapprocha tout sourire et passait une main dans les cheveux de leur belle petite chienne.

« Gentille petite Luna! »

Ainsi, elle avait choisi la douche? Les jumelles chuchotèrent à leurs oreilles pour décider de quel genre de douche il allait s'agir, rapidement d'accord, les deux étaient des parfaites jumelles, le regard et le sourire sadique, posé sur leur esclave sexuelle. Les jumelles relevaient leur jupe pour laisser montrer une culotte blanche, plus ou moins humide pour Yuka et bien trempé pour Yuko qui avait adoré la punir! Les deux retirent leur culotte en les laissant à leurs pieds, attendant surement de la voir se jeter dessus comme sur un morceau de viande? Non, leur belle petites chattes étaient imberbes, bien propre et lisse, reluisante déjà de plaisir pour ses deux perverses, Luna en était la seule responsable et elle pouvait être fière d'elle bien qu'elle n'en disent aucun mot.

« Si la petite Luna veut prendre sa douche, elle va devoir faire jouir ses maîtresses et attention, en même temps! Si l'une donne sa douche à la petite chienne avant l'autre, Luna sera punie ♪ »
« La punition sera différente si c'est moi ou Yuko alors fait très attention, petite chienne! Pour cet ordre, nous t'autorisons à utiliser tes petites pattes et ta petite langue de chienne si tu le désires. Tu te rends compte à quels point tes maîtresses sont gentilles envers toi, petite chienne? Une misérable petite chienne en chaleur a le droit de lécher le délicieux nectar qui coule entre nos cuisses! Soit fière et heureuse que tu sois notre cadeau! Maintenant, au travail, chienne! »

Yuka comme Yuko gardait leur jupe relever, leur intimité face à Luna, à chacun de ses côtés, elle ne savait pas que les jumelles n'attendaient pas d'elle simplement de l'autonomie mais aussi subir les caprices de ses princesses égoïstes qui aimeraient recevoir sa petite langue pour elle seules! Seul hic, elles étaient deux à penser ça pour une seule chienne! Yuka l'agrippa donc par les cheveux à la fin de son avertissement pour lui coller la tête entre ses cuisses, relâchant un petit gémissement alors que sa langue passait sur sa peau, ses douces lèvres. Oui, c'était d'une telle petite chienne qu'elles avaient besoin, une véritable catin! Un excellent cadeau donc! À tour de rôle, les jumelles arrachaient la petite chienne à la chatte de l'autre pour réclamer sa langue pour ne pas se satisfaire que de ses doigts.

« Huhu ♪ la petite chienne aime quand sa maitresse frotte sa petite chatte sur son visage, hein? Hum~ voilà... continue à être comme ça... ma petite Luna. »
« Tu aimes ça, frotter tes petits doigts poisseux et sales sur nos belles petites intimités? Héhé, rassure toi, petite chienne, nous ne te punirons pas pour ça, nous t'avons donné des ordres et tu les respectes très bien pour le moment... Viens me lécher, maintenant. »

Laissant la bestialité pour sa sœur, Yuka donnait un ordre simple pour profiter de sa petite langue mais chacune devait se partager sa seule langue et si elle n'écoute pas, elle risquait de sentir ses cheveux tirés par Yuka qui restait gentille pour le moment. Elles seront sympathiques, elles ne vont pas la rendre folle en réclamant absolument sa langue en même temps, il ne fallait pas abimer leur nouveau jouet...

Oh Luna mourrait littéralement d'envie de sauter sur les intimités suintantes de ces deux superbes maîtresses. Mais on ne l'avait pas autorisée à bouger et sa fidélité l'emportait sur sa perversité, ce n'était pas à elle de décider, sauf lorsqu'on lui ordonnait de faire un choix. Ainsi elle resta à faire la belle en attendant que ses maîtresses l'invitent à venir les léchouiller. Elle avait pensé à un bain normal avec ses deux maîtresses pour la toiletter mais, elle ne méritait pas d'être propre. Une sale chienne perverse devait se contenter de sa vraie place, celle d'une créature souillée par les fluides de ses maîtresses adorées.

Lorsqu'enfin elle fut invitée à se désaltérer l'esclave était sur-excitée, elle se mit à lécher frénétiquement l'entre-jambe de Yuko. Sa papatte se leva pour aller directement caresser la jolie petite fente de Yuka qui ne devait pas être délaissée. Puis elle échangea une fois, deux fois, trois fois, dix fois, elle en perdit le compte. Elle était comme folle, complètement absorbée par sa tâche et déterminée à réussir à les faire jouir ensemble.

Très vite le visage de la petite Luna fut recouvert du nectar des jumelles. La petite chienne faisait durer les choses pour que ses maîtresses y prennent un maximum de plaisir mais, aussi pour être sûre de les faire jouir simultanément. Et contre toute attente, Yuka et Yuko se retrouvèrent ensemble au bord de la jouissance, il ne restait plus que les derniers coups de langue pour finir. L'esclave dosa consciencieusement ses mouvements pour que les jumelles se relâche ensemble et elle fut aspergée de leurs cyprines mêlées. Elle baissa alors la tête pour être totalement recouverte par le divin liquide, signe qu'elle adorait sa douche.

« Awuuh ! Awuuh ! Awuuh ! »

Elle poussait de petits gémissements, elle était trop excitée et n'arrivait pas à se calmer. Pour se retenir elle lécha les jambes et les pieds de ses maîtresses pour les nettoyer. Puis elle se coucha sur le dos, se roulant dans la flaque de cyprine aux pieds de ses Déesses. Elle écartait bien les cuisses pour montrer son intimité dégoulinante, montrer à quel point elle aimait les jumelles et à quel point elle avait besoin de jouir. Dans les yeux de Luna il n'y avait que trois choses lorsqu'elle regardait ses maîtresses : De l'amour, du plaisir et surtout de la supplication. Oui elle suppliait du regard d'un air de dire : « Pitié Maîtresses ! Faites moi jouir ! Je n'en peux plus ! ».

Une brave bête que voilà! Une petite chienne docile qui semblait toujours réussir ce que ses maîtresses lui demandait, ça promettait une série de punition en moins sauf en cas de piège. Dans le pire des cas, sauf si elle maitrisait un tel pouvoir, elle sera toujours punie pour une chose, elle pourrait maudire ses parents de ne pas être une petite néko qu'elles auraient pu câliner et considérer comme une magnifique poupée vivante, la punissant que parfois pour son bon plaisir. Mais ce n'était pas le moment, elle faisait très bien son travail pour le moment. Sa langue passait d'une jumelle à l'autre alors que ses doigts continuaient eux aussi de bien faire leur travail, laissant leur jus intime couler le long de ses petits bras. Les photos ne manquaient pas de naître et elles resserraient les pans de leur robe aussi fort que possible pour une seule raison. Cette petite chienne était douée, très douée! Les quelques clichés la montrait en train de lécher l'intimité de l'une d'elle puis l'autre. La photo des jumelles en train de jouir sur elles ne pu avoir lieu, trop apaisé de douché leur petite esclave pour ça. Tant pis, elles auront d'autres occasions de recommencer avec leur nouveau jouet.

Reprenant leur souffle, les deux sœurs s'observaient, apparemment très contente d'elles ou de Luna puis elles échangèrent un petit baiser rapide mais délicieux. Puis elles baissèrent leur tête vers leur petite chienne très excité, les jambes bien écarté, il faudrait être aveugle et sourd pour ne pas comprendre ce qu'elle voulait!

« La petite chienne veut aussi jouir, hein? Elle sait que sans notre accord, elle risque une punition... Comme tu a respecter notre ordre, nous pouvons t'accorder ça je pense. »
« Tout à fait. Ce n'est qu'une petite chienne dépravé qui ne pense qu'au sexe mais c'est aussi pour ça que c'est notre petite chienne à nous. Relève-toi, chienne et met toi sur tes deux pattes. »

Laissant leur sale petite chienne se relever pour bientôt savourer son plaisir, les jumelles en profitaient elles aussi pour se mettre à nue et jeter leur robe près du lit, foulant du pied leur petite culotte laisser un maximum de place autour d'elle. Ne portant aucun soutien-gorge, aucun autre vêtement que leur robe similaires, elles étaient à leur tour dans le plus simple appareil comme Luna. Côté-à-côte, les jumelles s'embrassaient doucement, leurs mains se baladant sur le corps de l'autre, ce fut Yuko qui abandonna les lèvres de sa sœur pour regarder Luna pendant que sa sœur continuait sur son cou.

« Je sais que tu aimerais qu'on te fasse pareil! Ou au moins te doigter comme une petite salope mais notre petite chienne à bien travailler jusque-là, alors Luna la petite chienne mérite de se reposer pendant qu'on s'occuper d'elle. »

Se dirigeant vers elle, Yuko caressa sa joue du bout de son doigts en le faisant glisse vers sa nuque en se glissant dans son dos pendant que Yuka se positionna devant. Leur ressemblance était frappant lorsqu'elles n'avaient presque rien pour se différencier si ce n'était leur ruban dans les cheveux ou la couleur de leur cheveux. La langue de Yuko glissa sur son cou pendant que sa petite poitrine se comprimait dans son dos, ses glissant sur ses hanches pour doucement se diriger vers son entrejambe alors que Yuka embrassait la petite esclave doucement, ses mains pétrissant doucement sa poitrine. Yuka se faisait douce en l'embrassant comme en caressant ses seins alors que Yuko léchait son cou comme si elle s'apprêtait à mordre dedans comme un vampire, ses mains en revanches commençaient déjà à la caresser et rentré doucement en elle. L'opération dura une minute ou deux avant que Luna reçoive de nouvelles directive de leur part.

« Tu as le droit de parler comme nous car nous adorons entendre ta petite voix nous dire que tu adore ça... je suis sur que tu a même bien plus à nous dire? »
« Laisse ta petite voix de chienne se tordre dans le plaisir, je veux que chacun de tes mots, chaque intonation de ta voix exprime ta passion et ton amour pour nous... laisse-nous entendre quelle chienne tu fait, Luna! »

Les derniers mots de Yuko furent souffler dans son oreille avec insistance alors que son index et son majeur trouva rapidement leur place dans la petite entrée plus qu'humide entre ses jambes. Yuka de son côté se pencha en avant pour lécher ses petits seins où quelques gouttes de leurs jus avait arroser son petit corps d'esclave. La seconde main de Yuko caressa on corps tout en longueur pour presser doucement le sein que sa sœur léchait pour tendre son petit mamelon doucement agresser par les dents de Yuka qui le serrait, le faisait rouler entre ses dents. Toutes deux adoraient entendre leur petite chienne gémir de plaisir et surtout, l'entendre parler ainsi. De temps à autre, une esclave avait bien le droit à un susucre pour montrer que ses maîtresses étaient fières d'elle, et ça ne faisait que commencer en plus!

« Sa voix sera surement magnifique au moment où elle va jouir, je suis impatiente de d'entendre hurler de plaisir, petite chienne! »