Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Premier jour et rencontre impossible ! [PV Mélanie Rosenberg]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Florence Delajoue

Humain(e)

Assise sur un lit de l'infirmerie, serrant la compresse sur ma main je repense à ma première journée de cours dans ce lycée. Je pensais bien que cette année serait pleine de surprise mais j'avoue que là ça commence fort ! Tout avait bien commencé pourtant, j'ai suivi un petit groupe d'élèves jusqu'ici en les écoutant discuter. Il était amusant de les entendre s'interroger sur le nouveau professeur d'arts plastiques et instructif d'apprendre deux ou trois petites choses sur mon prédécesseur. Visiblement monsieur Tanaka qui a atteint l'âge de la retraite l'an dernier était un petit peu décalé … Du moins c'est ce que l'on peut penser en entendant les élèves parler des sorties dans la nature et des heures passé à sentir les arbres en collant sa joue contre le bois sans finalement ne jamais en dessiner un.

Dire que je n'ai fait que deux heures de cours et que je vais déjà sûrement devoir annuler le reste de la journée … enfin tout dépendra de ce que va me dire mademoiselle Rosenberg. Je me demande s'il est possible que … Après tout ce temps ? C'est certes le même nom de famille mais ça ne veut rien dire, s'il faut je vais tomber sur une vieille fille, l'un de ces vieux dragons qui hantent les établissements scolaire. Je souris à l'élève qui m'a accompagné ici.

« Tu peux retourner en cours Alice, tout ira bien »

« Vous êtes sûre mademoiselle ? »

« Mais oui puisque je te le dis, ne t'inquiète pas je suis à l'infirmerie tu ne peux rien pour moi que ne pourra pas faire l'infirmière »

« Vous avez raison mademoiselle, je vous laisse, j'espère que ça ira »

« Vas donc, ça va aller », lui dis je gentiment.

Alice est une élève de mon premier cours de la journée. Les élèves ne prennent pas vraiment au sérieux les cours d'arts plastiques, encore moins ici au vue de mon prédécesseur. Pour changer cela je fais en sorte de rendre les cours plus vivant, plus attractif. Je commence l'année par un tour d'horizons des différents styles d'art, le dessin, la peinture, la sculpture, la poterie, je ne choisis que des disciplines que l'on peut réaliser en classe. Je présente ensuite différents courants, comme le cubisme, l'abstrait, le pointillisme. Pour cela j'utilise ma tablette graphique rien que ce genre de petits jouets high-tech ça fait de l'effet en classe. Le lycée n'ayant pas de soucis de financement j'ai pu faire installer pendant les vacances un vidéo-projecteur au plafond de la salle, j'ai accepté que la salle soit utilisé par le club de cinéma après les cours un jour sur deux en alternance avec le club d'art.

« Les cours seront découpés en deux parties, la première heure nous verrons ensemble le contexte historique et les caractéristiques de l'art que nous mettrons en pratique lors de la seconde heure. Je vous montrerais des œuvres de grands mettre du genre et nous discuterons ensemble de pourquoi ces œuvres sont considérées comme de grandes œuvres. », les regards des élèves varient toujours entre l'ennui qui s'annonce déjà et l'intérêt de quelque chose de différents pour d'autres.

« Les évaluations se feront en deux parties d'égale importance, la première sera une partie écrite sur les dates, définitions et œuvres que nous aurons vu ensemble, la seconde partie sera une notation de votre implication et du travail que vous réaliserez pendant les cours », comme à chaque fois le brouhaha qui suis cette déclaration me contraint à attendre un instant. Je laisse un instant les élèves évacuer leurs frustrations avant de claquer la table du plat de ma main pour faire revenir le silence.

« Ce n'est pas à discuter jeunes gens, vous pouvez maintenant choisir les trois formes d'arts que nous verrons ensemble cette année, en fin d'année j'organiserais une exposition des plus belles œuvres que l'ensemble de l'établissement aura produit. Maintenant qui veut prendre la parole, voulez vous faire du dessin ? De la peinture ? Vous sentez vous l'âme d'un sculpteur ou encore d'un potier ? »

Le reste du cours a été consacré a un moment d'échange entre les élèves avec moi pour arbitrer et finalement établir un planning pour l'année que tout le monde accepte. J'ai ensuite parlé du club d'art en précisant que pendant le club chaque semaine un membre du club servirait de modèle aux autres. On m'a demandé si je serai aussi modèle et j'ai répondu que oui j'aurai mon tour comme tout le monde. Tous les ans on me demande si on fera du nu et comme tous les ans je réponds que s'il l'ensemble des parents du club signe un accord et que les élèves obtiennent l'accord de la direction je n'ai rien contre mais que non je ne serais pas le modèle de nue, même si au fond de moi je meure d'envie d'accepter.

Le cours s'est fini dans le calme, quand la cloche a sonné je les ai libéré et j'ai commencé à mettre un peu d'autre dans cette salle. Perdu dans mes pensées j'étais entrain de déplacer ce qui ressemble à une sculpture composé de lame de rasoir et de cuter. J'avoue que je me demandais comment monsieur Tanaka avait pu exposer quelque chose d'aussi dangereux dans une salle de cours et comment la direction avait pu le laisser faire, j'avais du mal à croire qu'elle puisse ne pas être au courant, les élèves sont bavards, tout le monde doit connaître la sculpture de rasoir du prof de dessin fou.

« Mademoiselle Delajoue ? »

La voix de l'élève ma surprise et j'ai lâché la « sculpture », un rasoir a glissé sur ma main m'entaillant méchamment l'intérieur de la main.

« Aie ! »

« Mademoiselle ! », l'élève, Alice, se précipité paniquée, « Vous allez bien mademoiselle ? Je suis désolée ! »

« Allons allons, ce n'est pas ta faute », je la regarde, « Alice c'est ça ? »

« Oui mademoiselle »

« Conduis moi à l'infirmerie veux tu ? »

« Oui mademoiselle »

Et voilà comme je me suis retrouvée là, à attendre en serrant une compresse sur cette coupure que j'espère pas aussi vilaine qu'elle en a l'air. Attendant avec hâte, espoir et peur à la fois que mademoiselle Rosenberg arrive, que soit levé le mystère … Et si c'était vraiment elle ? Comment vais je réagir ? Que vais je lui dire ?

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Re : Premier jour et rencontre impossible ! [PV Mélanie Rosenberg]

Réponse 1 samedi 07 juillet 2012, 17:20:11

Quelqu'un frappa à la porte.

" Oui, entrez ! Et refermez la porte derrière vous. "

C'était la convention que j'avais décidé d'adopter, pour les visites à l'infirmerie, afin d'éviter les dérangements inutiles. Lorsque j'étais prête à recevoir un élève, la porte restait ouverte, indiquant que l'on pouvait entrer sans attendre plus que nécessaire. Mais lorsque j'étais occupée, notamment avec un autre élève, la porte se devait d'être fermée, afin de faire savoir que je n'étais pour le moment pas disponible, et que je viendrais moi même dans la salle d'attente lorsque je le serais davantage. Tout cela était d'ailleurs explicitement marqué sur une feuille apposée à l'entrée, à coté d'une sonnette que l'on pouvait actionner si vraiment il y avait urgence. Ce n'était pas un système que l'on pourrait qualifier d'ingénieux, certes, mais c'était tout de même bien pratique, et plus agréable que ce à quoi l'on pouvait être confronté dans d'autre lycée de la région.

Assise derrière mon bureau, dans mon tailleur indigo, je me levais afin d'accueillir le lycéen qui se présentait à moi, et un sourire amusé éclaira mon visage lorsque je reconnu l'élève à qui j'avais affaire. Kenishi. Un habitué de l'école buissonnière en toute impunité. Il aimait en effet prétexter diffèrent symptôme ou maladie, tantôt crédible tantôt invraisemblable, dont certains m'avaient même soutiré de bref fou-rire, dans le seul but de rater le plus de cours possible.

" Rhalala, encore toi, Keni' ? Qu'est ce qu'il t'arrive, cette fois ? Encore ces cours de maths qui te donnent d'affreuses migraines ? " le taquinais-je, gentiment.

" Non non m'dame, euh... j'avais mal aux yeux tout à l'heure, ça me piquait beaucoup, mais là j'ai l'impression que ça va un peu mieux... j'crois que c'est l'ambiance qu'il y a ici, m'dame, j'ai l'impression qu'il faudrait que je reste un peu ici pour que ça guérisse ! " m'affirma-t-il avec une assurance presque insolente, le plus naturellement du monde.

" Oh, bien sûr... " rétorquais-je, amusée par son audace. " Et tu comptes proposer ton aide à la marmotte qui met le chocolat dans le papier alu, ensuite ? "

" Mais c'est vrai, m'dame ! Dites, je peux rester un peu ici ? Là bas, sur le lit, je vous embêterais pas, promis ! "

Je n'étais pas spécialement sévère avec les élèves, je me disais qu'il était quand même assez grands pour prendre leur responsabilité eux-même. Je leur refusais rarement de rester se reposer ici, s'il le souhaitais. Même s'il m'arrivait quand même de me montrer plus intransigeante, dans certains cas. Et puis, il était marrant, le petit Kenishi.

" Très bien, tu peux y aller. Je te ferais un mot pour ton retour en classe. Dans... " je lançais un regard à la pendule, qui annonçait 10h20. " dix minutes. "

" Hein ? Seulement dix minutes !? Mais... "

Les traits de mon visage se durcirent, et je le coupais, autoritaire.

" Il n'y a pas de "mais", ne discute pas. J'ai dis dix minutes, point final. "

J'étais déjà suffisamment gentille avec eux, je n'aimais pas spécialement qu'ils en abusent. Et puis c'est vrai que, à force, je risquais de m'attirer des ennuis, en particulier venant de la direction. Cette idée me fit sourire. En réalité, aussi cocasse que cela puisse paraitre, m'attirer des ennuis était le cadet de mes soucis...

J'adressais un sourire courtois au jeune garçon, et l'invita à s'installer à son aise sur l'un des trois lits disponibles. L'infirmerie se divisait en deux partie, sans compter le vestibule qui servait de salle d'attente. La première, assez petite, comportait le bureau, et deux chaises, c'était ici que la majorité des consultations se déroulaient. Il y avait également un robinet à un coin de la salle, ainsi qu'une petite armoire à pharmacie. La seconde, plus grande, était elle-même divisé en deux. Un grand " lit " destiné au consultations et auscultations se trouvait au centre, et il y avait deux larges placards, contenant du matériel médical et des médicaments à l'usage plus rare. Dans un coin de la pièce, derrière le paravent se trouvait les trois lits, où les élèves pris de malaise ou de flemmingite aigüe pouvaient venir se reposer.

Une fois Keni installé, je retournais dans la pièce principale, et rouvrit la porte, avant de traverser l'entrebâillement afin de vérifier si quelqu'un patientait dans la salle d'attente, et ce fut effectivement le cas. Une jeune femme, blonde et assez grande, attendait ma venue, la main légèrement ensanglantée malgré la compresse. Mais sa blessure n'était pas ce qui attira mon attention. Cette femme... elle me disait quelque chose.

" Tu... "

Je restais stupéfaite quelques instants, incapable de réagir. Pupuce ? Des souvenirs ressurgirent dans ma tête, des images, des sensations, provenant de mon adolescence. Je revoyais cette fille, que j'ai aimé par le passé, avec qui j'ai vécu tellement de choses... et avec qui j'ai perdu tout contact il y a plusieurs années maintenant... Je me revoyais l'embrasser pour la dernière fois, serrant dans ma main le piercing que je voulais conserver comme souvenir... Sa hauteur, sa chevelure, les traits de son visage, non, ce ne pouvait pas être elle, comment était-ce possible !? Nous retrouver, c'était trop beau pour être vrai... non, la coïncidence était trop grosse, je n'y croyais pas. J'hochais légèrement le visage, retrouvant possession de moi, avant de poursuivre.

" Je vous prie de m'excuser, j'ai eu un léger moment d'absence... Vous vous êtes blessée à la main, c'est ça ? Suivez-moi, je vais regarder ça. "

J'ajoutais ensuite, quelques pas plus tard.

" Installez vous près du lavabo, je vais chercher le nécessaire. "

Je l'invitai à se rapprocher du lavabo, et m'avançais vers la petite armoire qui se trouvait un petit peu plus loin, mes talons claquant sur le parquet, puis y fouilla à la recherche de compresse et de désinfectant. Je lui tournais le dos, tentant de réorganiser mes esprits après un tel chamboulement, j'avais l'impression de vivre un rêve éveillé tant cela me paraissait irréel. J'en conclut qu'il s'agissait juste d'un sosie, comme il en existait tant à travers le monde, cela n'avait rien de surprenant, je me faisais certainement des idées pour rien.

Je refermais le placard et retournais voir la blessée, sans me rendre compte que j'avais complètement oublié de récupérer ce que j'étais venue chercher. Je pris ensuite sa main dans la mienne, et jaugea de l'ampleur et de la profondeur de la blessure. La douceur de sa peau me rappelait la sienne... je chassai bien vite cette idée de mon esprit, et me concentra sur la blessure.

" J'ai l'impression que l'entaille n'a pas été très profonde, il n'y a rien de très grave, rassurez-vous. Comment vous êtes-vous fait ça ? Vous êtes à jour dans vos vaccins ? "

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : Premier jour et rencontre impossible ! [PV Mélanie Rosenberg]

Réponse 2 dimanche 08 juillet 2012, 07:55:14

Je revivais cette sensation étrange que le monde s'écroule sous vos pieds, je l'avais déjà vécu lorsque le principal nous avait attrapé dans le couloir du lycée il y a très longtemps. Quand après une attente qui me semble certainement plus longue que ce qu'elle avait du être réellement mademoiselle Rosenberg vint me chercher, j'eu cette sensation que votre monde s'écroule. Comment était ce possible ? Pouvait il vraiment savoir d'elle ? Les années ont passé et elle a changé, comme j'ai moi même changé, mais est ce simplement parce que je rêve de la retrouver qu'elle me semble encore plus belle qu'à l'époque où nous partagions nos vies ?

" Je vous prie de m'excuser, j'ai eu un léger moment d'absence... Vous vous êtes blessée à la main, c'est ça ? Suivez-moi, je vais regarder ça. "

Sa voix si douce fit remonter à la surface bien des mots qu'elle me chuchotait entre les cours, au détour d'un couloir, juste elle et moi et une caresse fugace de mes fesses nues sous ma jupe légère d'écolière. Moi ? Blessée ? A la main ? Mon visage exprimait toute l'incrédulité et la surprise qui était mienne alors que je la levais sous mes yeux ma main pour découvrir la compresse ensanglantée. A oui en effet, le choc a été si grand que j'avais déjà oublié la raison de ma venue ici.

" Installez vous près du lavabo, je vais chercher le nécessaire. "

Je me levais et en faisant le premier pas titubais, devant me raccrocher au lavabo pour ne pas perdre l'équilibre. Sûrement le choc de la retrouver en plus de la blessure. Mais était ce vraiment elle ? Elle n'avait encore rien dit de particulier, ne m'avait elle pas reconnu ? Préfère-t-elle oublier complètement notre passé commun ? Ou pire que tout me suis je trompée et n'est ce tout simplement pas elle ? J'avisais le tabouret sous le lavabo et le tirais pour m'asseoir, je retirai la compresse au dessus de l'évier pour laisser le sang tomber dedans sans tacher la pièce.

J'observais son dos, je détaillais du regard ses courbes. Je retrouvais le dessin parfait de son corps, si c'est bien elle les années ont transformé une magnifique jeune fille en une femme à vous couper le souffle. Elle revient et me saisit la main avec douceur pour commencer à nettoyer la plaie me rassurant sur l'état sûrement superficielle de la coupure.

" J'ai l'impression que l'entaille n'a pas été très profonde, il n'y a rien de très grave, rassurez-vous. Comment vous êtes-vous fait ça ? Vous êtes à jour dans vos vaccins ? "

Je levais les yeux pour la regarder et plongeais dans ce regard vert émeraude, levant la tête pour la voir. Assise sous ma tabouret face à elle debout je me retrouve comme je l'ai été bien souvent en position inférieur par rapport à elle.

« Agba brout don kof kof kof », ma langue est pâteuse et je prononce des mots incohérents comme je le faisais après chacun des longs baisers qu'elle m'offrait, ça façon à elle de me dire « Je t'aime ». Je tousse pour tenter de masquer ça.

« Bêtement, j'étais entrain de me débarrasser de la drôle de sculpture de monsieur Tanaka, celle avec tous les rasoirs, quand une élève m'a surprise et je me suis coupée », dis je en rougissant légèrement de cette petite bêtise.

« Mes vaccins ? Je … je ne sais pas ... », je devrais le savoir mais devoir réfléchir en cet instant m'était presque impossible, je faisais un effort certain mais je n'arrivais pas à me rappeler. Elle me dit que ça allait piquer un peu et appliqua de l'alcool pour désinfecter.

« Aie ! », elle sourit comme les infirmières le font et après quelques secondes m'annonça que c'était fini en me bandant la main, « Merci Mélanie », dis je en employant naturellement le prénom de celle qui fut ma compagne sans savoir si c'était elle ou pas ...

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Re : Premier jour et rencontre impossible ! [PV Mélanie Rosenberg]

Réponse 3 dimanche 08 juillet 2012, 16:26:11

J'acquiesçais d'un signe de tête à sa réponse, d'un air assez grave. Elle ne semblait pas au courant du statut de ses vaccins, et cela risquait de poser quelques complications, si cela venait à s'infecter. Qui sait quels microbes pouvaient s'être trouvés sur ces lames ? Heureusement, j'avais cru comprendre que celles utilisées étaient neuves, les chances étaient donc minimes, mais avec ce genre de bestioles aussi vicieuses que microscopiques on ne pouvait être sûre de rien.

" Ah, oui, bien sûr, le chef d'oeuvre que Monsieur Tanaka nous a laissé. Je me demande comment l'administration a pu le laisser faire quelque chose d'aussi irresponsable, c'est aberrant. Et je suis navrée que ce soit vous qui en ayez fait les frais, mademoiselle. Enfin, fort heureusement, la blessure n'est que superficielle, il faudra simplement vous assurer que vos vaccins sont à jour, au cas où. Si ce n'est pas le cas, vous pourrez venir me revoir, je vous les prescrirais, et vous ferais le rappel moi même. "
" Gratuitement. " ajoutais-je, en lui adressant un clin d'oeil aimable.

J'entrepris de soigner sa blessure, et de panser sa plaie, mais je me rendis compte que j'avais complètement oublié de prendre le nécessaire dans l'armoire, tout à l'heure. Confuse, mes joues prirent une légère teinte rosée, et je fis demi-tour sans rien dire, récupérai de l'alcool et un bandage, puis revins à elle comme si de rien n'était. Mais, là, mon regard s'attarda davantage sur la jeune femme qui se présentait à moi. Elle était assise sur le tabouret, sagement, et levais les yeux vers moi, comme dans l'attente d'une injonction de ma part. Elle paraissait si docile... et me rappelait terriblement ma Pupuce. Je me revoyais à ses cotés, lors de nos jeux excitants, je me revoyais caresser son corps, attiser son envie, puis de cesser subitement et de la laisser se languir. Je revoyais son regard, soumis, m'implorant de m'occuper d'elle... Je l'ai aimée, ma petite Pupuce, et je l'aime encore. Et elle me manquait tellement...

" Attention, ça risque de picoter un peu. " la prévenais-je, avec douceur.

J'appliquais l'alcool sur la plaie, et comme je m'y attendais je la sentis frémir et pousser un petit cri, ce qui me fit sourire. Je terminais de soigner sa blessure, et la gratifia d'un sourire chaleureux en lui disant que c'était terminé, qu'il ne restait plus qu'à attendre que le temps aide à soigner cette coupure, et qu'à priori cela n'avait rien de bien grave, que j'avais vu pire que ça. Je me retournais alors, afin de ranger le matériel, et l'entendit m'adresser la parole en ces termes.

" Merci Mélanie. "

Ce n'était pas spécialement le fait qu'elle m'ai appelée par mon prénom qui m'a interpellée. Elle n'était pas la première à laisser tomber le pompeux "Mademoiselle Rosenberg", et ne serait pas la dernière. Et puis, mon prénom n'était pas quelque chose de secret. Non, ce qui attira mon attention, c'était le ton qu'elle avait employé, qui me rappelait énormément celui de ma petite soumise d'antan. Je me retournais alors, lui faisant face. Cela commençait à faire beaucoup trop, là ! Depuis son arrivé, je n'arrêtai pas de penser à elle, trop de détails me laissait à penser qu'il s'agissait d'elle ! Cela faisait pourtant si longtemps que je n'avais pas eu de ses nouvelles... Mais il est de certains détails qui ne trompent pas. Ce regard... je n'y avais pas prêté attention, pensant à l'usage de lentilles fantaisistes de sa part, mais maintenant que j'y pensais, la couleur de ses yeux ressemblait à s'y méprendre à celle qu'avait Florence, d'un rose inimitable... Cela faisait beaucoup trop de coïncidence à mon gout. Il n'y avait qu'un seul moyen pour être fixée.

" Florence... Pupuce, c'est toi ? "

Ça y est, je m'étais jetée à l'eau. L'intonation de ma voix était chaleureuse, mais relativement calme, malgré l'agitation émotionnelle dont j'étais victime. Je n'y croyais pas, je n'y croyais plus, je ne savais que penser. Je m'attendais vraisemblablement à ce qu'elle m'envoie sur les roses, qu'elle m'annonce que je m'étais trompée, tant l'autre alternative me paraissait irréel. Mais comme je le disais, il était de certains détails qui ne trompaient pas. Mon coeur battait la chamade, mes pensées batifolaient, s'affolaient, je me sentais... je me sentais amoureuse. C'ÉTAIT ELLE, je n'avais plus aucun doute possible !

Sans même prendre le temps d'écouter sa réponse, je fondis sur elle et l'enlaçai, passant mes bras autour de son cou et la serrant affectueusement contre moi. Sous le choc, le tabouret tituba, et nous tombâmes sur le sol, mais la chute fut relativement douce. Je l'embrassai langoureusement, sans retenue, mon corps au dessus du sien, dominant le baiser, j'étais tellement heureuse de la retrouver !

Florence Delajoue

Humain(e)

" Florence... Pupuce, c'est toi ? "

Mon cœur cogna si fort dans ma poitrine que j’eus l’impression qu'il allait exploser. Pupuce, personne ne m'avait appelé ainsi depuis des années, la seule possibilité pour qu'elle m'appelle ainsi c'est que je venais de retrouver celle avec qui j'avais partagé mon cœur et tant de chose par le passé. Je voulais répondre, je voulais crier que oui mais pas un son ne montait de ma gorge. Les larmes commencèrent à dévaler mes joues, des larmes de joie comme ils n'en coulent que bien trop rarement dans une vie.

Ses bras me saisirent, voilà que ma tête repose sur ses seins, je retrouve ce contact doux et protecteur. Je ne peux m'empêcher de continuer à pleurer de joie mouillant son haut. Plus aucun doute possible je venais de retrouver ma Mélanie, je venais de retrouver ma maîtresse. Je l'avais tant cherché sans succès et c'est un simple hasard, un caprice du destin qui nous a réuni. J'avais tant de chose à lui dire que les mots cognaient dans ma tête et qu'aucun ne voulait sortir. Je voulais me lever pour l'enlacer à mon tour.

Le tabouret se déroba et je chutais lourdement sur mes fesses, elle chuta elle aussi refusant de me lâcher. J’amortis sa chute de mon corps et nous nous retrouvions à l'horizontal, je sentais son poids sur moi, cette délicieuse sensation de son corps sur le mien. Je me sentais de nouveau prête à tout pour elle, j'ouvris la bouche pour le lui dire mais ses lèvres m'empêchèrent de prononcer un seul mot. Le baiser était langoureux, elle venait jouer avec mes lèvres comme elle aimait le faire et moi j'y répondais avec délicatesse, ouvrant et fermant la bouche à son rythme, imprimant juste une légère pression pour masser sa bouche délicate de la mienne.

Mes mains montèrent à sa taille que je caressais avec délicatesse alors qu'elle glissait sa langue dans ma bouche. Je l'accueillis et lui souhaitais la bienvenue en l’entraînant entre mes lèvres. Nous étions si heureuse de nous retrouver l'une et l'autre que nous en avons déjà oublié où nous étions. Je ne sais pas si elle l'a entendu, j'avais tous mes sens en éveil mes tous tournés vers elle si bien que le monde aurait pu s'écrouler pendant ce baiser, le bâtiment aurait pu s'effondrer pendant que j'étais entre ses bras je ne suis pas sûre que je m'en serais aperçue.

« Mademoiselle Rosenberg vous allez bien ? », demanda le petit Keni'.

L'élève resta figé devant ce spectacle improbable, l'infirmière de son école, celle qui vivait dans ses fantasmes, enlacée au sol avec une autre femme. Et sous ses yeux elles s'embrassaient, leurs langues  dansaient un ballet fou, un ballet sensuel, une danse érotique qui montrait l'expérience des deux femmes. Quand le baiser fut rompu elles avaient toutes deux le souffle court et celle qui ne connaissait pas avait des larmes de joies séchés sur les joues.

« Oh Mélanie c'est bien toi, je t'ai cherché pendant 6 ans et je te retrouve enfin, si tu savais combien tu m'as manqué maîtresse »

Mes yeux dans les siens, je ne pouvais quitter ses yeux, je ne voulais quitter ses yeux. C'est bête mais j'avais l'impression que si je n'osais seulement que cligner des paupières elle disparaîtrait et que je découvrirais que tout cela n'était qu'un rêve. Une rêve à la fois merveilleux mais d'une cruauté sans égale à mon réveil si elle n'était pas là. Me dominant de son corps elle s'était redressée un peu pour mieux me voir. A son coup pendait une chaîne qui tenait un anneau en or enchâssé, un unique anneau. Je le caressais doucement de mes doigts comme si j'avais peur de me brûler avec.

« Tu ne m'as pas oublié », dis je avec le sourire, « Tu as gardé mon anneau autour du coup pendant ses 6 années ? », lui demandais je émue, j'avais moi même bien souvent regrettée de ne pas avoir eu un objet à elle pendant son absence, « Si tu veux le remettre il va te falloir me repercer le téton », lui dis je d'un ton coquin.

« Oooooohhhhhhh », cela faisait trop pour Keni', ce baiser, elle l'avait appelé maîtresse et maintenant elle parlait de lui mettre un piercing. Le jeune élève avait l'impression de vivre un fantasme éveillé, d'ailleurs il se demanda s'il ne rêvait pas. Moi j'étais toute à ma Mélanie, à ma maîtresse et je n'avais toujours pas réalisé que nous étions déjà observées ...

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Les yeux mi-clos, je l'embrassai, encore et encore, mes lèvres scellées aux siennes par ce somptueux baiser. Ma langue jouait follement avec la sienne, dansait autour, la cajolait, se reculait, la faisait languir, pour mieux revenir se presser contre elle, se titillant sans cesse l'une l'autre. Nos bouches s'étreignaient mutuellement, avec ardeur, ne voulant plus se quitter, tenant à profiter éternellement de ce langoureux baiser, au doux gout de paradis. J'étais incapable de me contrôler, submergée par l'amour que je lui portais. C'était comme si en cet instant nous nous rattrapions de tous ces baisers que nous n'avons pu nous donner, j'avais l'impression de vivre un rêve, un rêve fabuleux, et bien réel.

Je fermais davantage les yeux, ne cessant pas d'embrasser ma bien-aimée retrouvée, je me sentais doucement m'envoler, ailleurs, enivrée par mes émotions. Je me perdais dans ses bras, son contact me rappelait les merveilleux moments que l'on avait pu passer ensemble, je la serrais davantage contre moi, avec affection, pour ne plus qu'elle me quitte, pour ne plus avoir à la perdre de nouveau, je la serrais fort, l'un de mes bras autour de son cou, tandis que je l'embrassais avec une effervescence amoureuse. Mon corps suivaient la cadence imposée par notre baiser, ondulant doucement et pressant contre le sien, ma seconde main partant à la rencontre de ses hanches, que j'effleurais avec sensualité.

Je me sentais si bien, si heureuse, en compagnie de ma Pupuce... Je cru entendre une voix derrière moi, mais je n'y portais aucune attention, je ne voulais pas que quoi que ce soit ne viennent gâcher ce merveilleux moment. Je l'embrassais toujours, pendant encore de longues minutes, l'ardeur des premiers instants ayant laissé place à une attendrissante douceur, jusqu'à ce que je ne rompe lentement le baiser, me reculant pour la couver d'un regard qui en disait long sur les sentiments que j'éprouvais pour elle. Un doux regard, un peu coquin, que j'accompagnais d'une affectueuse caresse sur sa joue.

" Tu m'as également terriblement manquée, Florence. Depuis que tout a changé, la découverte de notre secret, ton départ forcé à l'internat, la honte de ma famille et le déménagement qui s'en est suivi... Si tu savais les effroyables nuits blanches que ton absence a provoqué... "

Je me redressais un peu, bien à quatre pattes, et plongea ma main dans mon décolleté pour en extraire le pendentif de mon collier, que je mis en évidence. Un anneau doré, qui était autrefois son piercing, que j'avais retiré de ses tétons pour conserver un dernier souvenir d'elle, après ce triste incident qui nous a fait nous perdre de vue...

" J'ai précieusement conservé ce petit anneau, ce souvenir de ma petite Pupuce... "

Je lui adressais un petit sourire espiègle, et la main qui effleurait sa joue descendit lentement sur son cou, descendant jusqu'à la naissance de sa poitrine, avant de glisser sur le tissus et de fermement s'emparer de l'un de ses seins, que je serrais doucement sous mes doigts.

" Mais maintenant que tu es revenue, mon ange, je vais en effet pouvoir te le remettre. Nous nous occuperons de ça un de ces jours. "

Je n'avais toujours pas prêté attention au jeune homme qui s'était invité, ignorant même sa présence. Voyant la tournure que les évènement prirent, il se cacha en dehors du cadre de la porte, ne laissant dépasser qu'une partie de son visage, et épiant sans aucune pudeur la scène, la poitrine de la professeur d'art en mini-short se faire peloter sensuellement par son infirmière en tailleur moulant...

Je n'étais pas complètement déconnectée de la réalité non plus, et à défaut de me dire que ce que je faisais sur mon lieu de travail était mal, ma conscience me dictait d'au moins fermer la porte -que j'avais malencontreusement oublier de fermer- , évitant à un regard curieux de nous surprendre elle et moi, dans cette position gênante. Mais Florence avait le don de me rendre follement perverse... et je n'en fis rien, laissant la porte à l'entrée entrouverte. Si l'on nous surprenait, tant pis... cela ferait un joli spectacle à regarder.

Je me penchai vers le visage de la jeune blonde, et l'embrassa tendrement, du bout des lèvres, tandis mes doigts plongèrent dans son décolleté, pressant son téton autrefois percé et le faisant rouler entre mes doigts. Je l'interrogeais ensuite, avec une innocence feinte.

" Je me demande ce qu'est devenue la petite perverse qu'était Pupuce... "

Un sourire amusé étira mes lèvres, tandis que l'une de mes jambes vint se poser entre les siennes. Mon genoux vint ensuite se presser contre l'entrée de son intimité, que je me mis à masser par de lents et langoureux mouvements, destinés à attiser son envies. Cela faisait si longtemps que nous ne nous étions pas amusées, je me demandais ce qu'il était advenu de celle qui autrefois adorait s'exhiber et se soumettre aux jeux aussi excitant que pervers que je lui proposais. Enfin, que je lui imposais, plutôt, mais ce n'était pas pour lui déplaire. Je me souvenais encore de la fois où nous marchions dans le parc, main dans la main, elle avait dans son intimité un sextoy, que je lui avais moi-même mise le matin, et que je m'amusais à faire vibrer à l'aide d'une petite télécommande, l'excitant dans ce lieu fréquenté...

C'est à ce moment là que, du coin de l'oeil, je remarquais une ombre près de l'embrasure de la porte, ainsi qu'une silhouette qui semblait nous observer, en retrait. *Kenichi...* pensais-je au fond de moi, amusée. Pupuce l'avait-elle vu ? Je ne savais pas... Mais cela ne rendait la situation que plus excitante encore, et tandis que mon genoux ne cessait de stimuler la féminité de ma petite soumise, mes lèvres happèrent impatiemment les sienne pour partager avec elle un ardent et langoureux baiser.

Florence Delajoue

Humain(e)

Mon cœur cognait à tout rompre. Boum Boum ! Boum Boum ! Boum Boum ! Apprendre que notre séparation avait été aussi difficile pour elle que pour moi était un réconfort après ces longues années l'une sans l'autre. Sa main glissa sur mon corps, s'empara de mon sein moelleux, du sein abritant mon cœur dont elle devait maintenant sentir les folles pulsations remonter dans son bras. Deux choses devait la surprendre. La première, qui devait lui faire plaisir, c'est de découvrir que sa belle main n'était plus assez grande pour s'emparer entièrement de mon sein, ma poitrine n'ayant cessé de se développer au fil des années. La seconde et celle-ci m'inquiétait bien plus, c'est qu'aujourd'hui je portais un soutien gorge alors que par le passé j'avais interdiction de porter des sous vêtements à moins qu'elle ne le décide autrement.

Inquiète de sa réaction quand à cette découverte je gémissais de plaisir sous ses doigts se refermant sur mon téton. Après une si longue attente mon corps était bien plus sensible qu'il n'avait l'habitude de l'être, bien plus réactif. Elle pouvait déjà sentir ma pointe de chair dure comme une petite pierre, effet provoqué par le simple contact de ses lèvres. Elle tut ce long gémissement en venant m'embrasser de nouveau. Mon dieu que j'aimais sentir sa bouche sur la mienne, je pourrais passer des heures entière rien qu'à me satisfaire de ses lèvres pulpeuses et douces caressant les miennes. Je retrouvais la même Mélanie qu'à l'époque alors qu'elle me posait une question, faussement innocente et tellement coquine dans sa voix.

" Je me demande ce qu'est devenue la petite perverse qu'était Pupuce... "

« Si tu savais comme j'ai eu du mal », elle glissa un genou entre mes jambes et sous la pression de son genou je les écartais, « à me remettre de notre séparation, les premiers moiaaaaaaaaaaaaahhhhhhh », le genoux vient se poser sur mon sexe, presser sur ma fente m'arrachant un gémissement de plaisir, « je ne mangeais même plus, je ne pouvais pas supporter d'avoir perdu ma belle maîtresse »

Je dus faire une pause pour mordiller mes lèvres, doucement je commençais à me dandiner sensuellement sur le sol alors que son genou ne cessait de masser mon sexe. Je pouvais sentir le tissu de mon string se tendre et rentrer dans ma fente. Je rougis quand le dessous devint humide et quand mon plaisir fut si grand que c'est mon short lui même qui finit par se mouiller. Elle devait sentir l'état dans lequel elle me mettait et souriait ravie d'elle même.

« J'ai été virééééééééée du pensioooooooonat », j'avais du mal à parler et cela l'amusait de me voir ainsi, « J'ai caaaaaaaasséééééééé le nezzzzzzzz d'une fille », moi qui n'avait jamais été violente jusque là, je regrettais parfois ce geste, peut être un jour pourrais je m'en excuser, « Elle s'eeeeeeesssstttttt glisséééééééée un soir dans mon liiiiiiiiit »

Ces lèvres vinrent happer les miennes dans un nouveau baiser sensuel, gouteux, plein de tendresse et de sentiment que ce soir pour elle ou pour moi. Je n'avais même plus la force de caresser son corps. Une main reposait au sol sans vie alors que je mordillais l'autre quand elle s'écartait pour me regarder et m'écouter.

« Elle n'était pas méchaaannnnnnte, elle voulaaaaaiiiiiiitttt me rééééééconforter, moi je voulaaaaiiiiis rester seuleeeeeeee. Tu me manquaiiiiiiiis tant. Quand elle m'a touchéééééééé j'ai perdu la têteeeeeeeee. Je me suis jetéééééééée sur la malheureuse et je l'aaaaaaiiiiiiii frappééééééé encore eeeeeetttttt encore jusqu'à ce qu'on nouuuuuuuuus sépare. »

Sous elle je ne pouvais cesser de me dandiner sensuellement, sous les yeux de cet élève dont j'ignorais encore la présence. Il n'y avait que Mélanie pour moi en cet instant, que ma belle maîtresse que j'avais la joie d'avoir enfin retrouvé. J'étais si heureuse qu'entre mon discours et ses baisers je me remis naturellement à japper comme une belle petite chienne comblée.

« Après cela j'ai éééééétudié chez moi, des professeurs privééééééés. Depuis que je t'ai perduuuuuuuu j'ai été sage, je t'ai été fidèèèèèèèèèle et n'ai connu personnnnnnneeeee », amusant d'ailleurs moi qui avait été donné à des garçons et des filles sous ses yeux pour son plaisir, « Mais je suiiiiiiiiiiis toujours taaaaaaaaaaa petite Pupuce Méééééééééélaaaaaaniiiiiiiiiiie. Je suis touuuuuujours ta petiiiiiiiiite chieeeeennnnnnne perverseeeeee Maîtresse. Commande je t'eeeennnn suppliiiiiiieeeee ! »

Et alors par surprise, sous les yeux d'un élève que je ne connaissais pas et qui devait sûrement être l'élève le plus chanceux du lycée ce jour là, je jouis. Une jouissance qui était une délivrance après 6 années de sevrage. Une jouissance qui me fit pousser un long aboiement de plaisir, mon corps se tendant comme un arc prêt à se rompre avant que mon corps retombe lourdement au sol. Sur mon visage un sourire radieux et comblé, mes yeux fermés car n'ayant plus la force de les ouvrir. Après quelques instants je la regardais coquine, j'avais joui mais ce n'était que la première fois d'une longue suite à venir et j'avais hâte de découvrir tout ce que la femme qui possédait de nouveau mon cœur avait en réserve pour nous.

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Re : Premier jour et rencontre impossible ! [PV Mélanie Rosenberg]

Réponse 7 mercredi 11 juillet 2012, 14:03:54

J'étais vraiment contente d'apprendre qu'elle non plus, ne m'avait pas oublié durant toutes ces années. Au fond, je n'en doutais pas vraiment, en fait. A l'époque, l'amour que chacune portait à l'autre était si intense, cette confiance presque aveugle qu'elle avait pour moi, cette affection que j'éprouvais pour elle, si bien qu'aujourd'hui il n'aurait pas pu en être autrement, j'en étais convaincue, mais c'était néanmoins un très agréable réconfort, que de l'entendre me le dire. J'étais tellement heureuse de retrouver ma Pupuce, de pouvoir à nouveau la serrer dans mes bras, gouter à la douceur de ses lèvres qui m'avaient tant manqué !

Mon corps s'était rapproché du sien, avide de ressentir sa chaleur, nos deux poitrines se pressaient délicieusement l'une l'autre, tandis que mon genoux poursuivait ses mouvements, toujours aussi doux, caressant et massant son intimité au travers de son short. Je constatais avec un certain étonnement, et beaucoup de satisfaction, que son vêtement commença à s'humidifier sous l'effet de l'excitation, bien plus vite que ce à quoi je m'attendais, montrant à quel point elle devait être très excitée. J'étais heureuse de savoir que nos retrouvailles ne la laissait pas indifférente, car moi non plus, à force de sentir son corps onduler de plaisir sous le mien, et de l'entendre gémir sous mes caresses, ma culotte n'était plus vraiment très sèche...

Chacune de ses phrases étaient ponctuées d'incontrôlable gémissements, que j'adorais entendre, elle ne parvenait pas à se calmer, soumise à l'excitation que je faisais peu à peu naitre en elle, et qui gagnait en intensité à chacun de mes gestes. Malgré tout, je fut étonnement surprise lorsqu'elle me confia son excès de violence, envers une autre fille qui avait voulu couché avec elle. Elle qui était autrefois si douce, et si docile, me racontait qu'elle avait cassé le nez d'une de ses camarades ? Mon absence avait du beaucoup l'affecter, mon adorable Pupuce...

Un autre détail n'avait pas échappé à mon attention, j'avais bien senti la présence d'un soutien-gorge lorsque je pressai sa poitrine, je m'assurerai plus tard que cette insubordination trouve un châtiment à sa hauteur. Pour l'heure, je sentais la respiration de ma soumise devenir plus haletante, son excitation devenait de plus en plus intense, et perceptible. J'étais énormément émue par la fait qu'elle m'ai été restée fidèle pendant tout ce temps, qu'elle ai refusé aux plaisirs charnels, qu'elle adorait pourtant, pour moi. Le bonheur qu'elle me procurait se lisait sur mon visage, éclairé par un heureux sourire, et dont le regard s'embuait légèrement de larme de joie. Le rythme de mes stimulations s'accéléra, devenant progressivement de plus en plus rapide, je pouvais clairement sentir les contours de sa vulve au travers de son vêtement humide devenu moulant, que je massais par des mouvements de plus en plus fort, de plus en plus intense, à mesure qu'elle se contorsionnait et gémissait de plaisir, subjuguée, jusqu'à ce qu'elle finisse par ne plus tenir, que l'excitation ne devienne trop forte, et qu'elle ne jouisse de tout son soûl, cambrée comme jamais, en un long râle de plaisir, inondant son short et mon genoux de sa cyprine...

Je l'observais prendre son pied, la couvant de mon regard coquin, excitée de la voir prendre autant de plaisir. Je me penchai vers elle et l'embrassai longuement, ma langue franchissant la barrière de ses lèvres pour rejoindre sa consoeur et l'enlacer, pendant de longues minutes, savourant cet onctueux et langoureux baiser. Lorsqu'elle fut remis de ses émotions, je me redressais et l'aidais à en faire de même, une main posée sur la cambrure de ses hanches, sans pour autant que nos lèvres ne cesse de fusionner, de s'embrasser. Nous étions à genoux l'une devant l'autre, j'avais appuyé sur ses épaules pour que Pupuce s'assoit sur ses talons, et que nous soyons à la même hauteur. Avec la temps, j'avais l'impression que la différence de taille entre elle et moi s'était creusée... ce qui me fit sourire. Le temps apporte souvent son lot de changement, mais certaines choses restent immuables.

" Ta Maitresse t'aime toujours autant, ma Pupuce... " susurrais-je, ma main effleurant sa joue avec tendresse. Je poursuivit ensuite, en parlant assez fort. " Et j'en connais un autre qui a du aimer ce qu'il a vu... "

Je parlais en effet du jeune lycéen, Kenichi, qui n'avait pas manqué une miette de cet excitant spectacle. Voir ces deux femmes qu'il connaissait, au physique indéniablement séduisant, s'ébattre sensuellement jusqu'à ce que l'une d'entre elle ne jouisse sous ses yeux, avait certainement du l'émoustiller au plus haut point. Comprenant qu'il était découvert, et qu'il était devenu inutile de se cacher, il s'avança un peu, ses deux mains devant son entrejambe, tentant timidement de cacher son érection. Je me mis à sourire, amusée, avant d'approcher mes lèvres des oreilles de ma soumise, une main plongée dans son décolleté et pétrissant son sein, avant de susurrer, discrètement.

" Serait-ce un soutien-gorge, que je sens là ? Ma petite soumise aurait pris quelques libertés, depuis tout ce temps ? " Je me mis alors à pincer son tétons, avec une douce cruauté, avant de poursuivre. " Je crois bien que je vais devoir te punir, ma beauté... mmh, oui, je vais le faire. Mais pas maintenant, nous avons un invité. Ce sera pour plus tard... "

Je me reculais alors, retirant ma main, affichant un sourire satisfait, et non moins coquin, la laissant seule avec cette menace qui planait au dessus de sa tête, et dont elle ne connaissait rien de sa nature. Je savais bien ce que je comptais faire, mais je ne tenais pas à le lui dire maintenant, je préférais la faire languir, c'était beaucoup plus amusant. Je chuchotais alors, sensuellement, et assez fort pour que Keni l'entende.

" Je crois que te voir jouir a beaucoup excité Kenichi... N'est-ce pas ? Ça te plairait, de découvrir ses charmes plus en détails ? "

Un silence gêné accompagna ma demande, mais la teinte rouge vive que prirent ses joues ne trompaient pas. Je lui adressais un clin d'oeil taquin, avant de me glisser derrière Pupuce, laissant ainsi Keni faire face à la séduisante professeur, dont j'embrassais sensuellement le cou.

" Tu ne voudrais pas découvrir ce qui se cache... " Je m'emparais alors d'un de ces seins, que je faisais doucement balloter de haut en bas. " Derrière ce joli tshirt ? "

" S-S-S-Sssii, je-je-j'aimerais b...bien... " s'exclama-t-il, gêné et bégayant.

Un sourire satisfait orna mes lèvres, et je mis une claque sonore sur les fesses fermes et rebondies de ma soumises, avant de lui ordonner, en un murmure.

" Je suis sûre qu'il adorerait voir un excitant strip-tease. Et moi aussi... alors, au boulot, ma petite chienne. " J'embrassais une nouvelle fois son cou, tendrement, avant d'ajouter. " N'oublie pas de revenir voir ta maitresse, quand ce sera fait... "

Florence Delajoue

Humain(e)

" Ta Maitresse t'aime toujours autant, ma Pupuce... " , qu'il était bon d'entendre ces mots, face à elle qui me sourais j'étais aux anges, je m'apprêtais à répondre qu'il en était de même pour moi quand elle ajouta, " Et j'en connais un autre qui a du aimer ce qu'il a vu... "

Mon regard exprima l'incompréhension face à cette remarque jusqu'à ce que je vois sortir de derrière le paravent un élève que je n'avais encore jamais vu. Le garçon était embarrassé, peut être autant que moi qui avait les joues si rouge de m'être laissée aller devant un enfant de cet âge. Pourtant à l'époque mes partenaires avaient principalement son âge, 15 – 16 ans et voilà que d'avoir vieilli cela embarrassée. Il tentait de cacher une bosse entre ses jambes qui révélait son état d'excitation et qu'il devait nous observer depuis longtemps.

" Serait-ce un soutien-gorge, que je sens là ? Ma petite soumise aurait pris quelques libertés, depuis tout ce temps ? "

« Aaaahhhhhh je … oui … aaaaahhhhh pardon maîtresse », je n'arrivais pas à baisser ma voix comme elle avait su le faire, sa main directement en contact avec ma peau m'arracha un gémissement, puis ce fut la honte d'avoir manqué à mes devoirs. J'avais remarqué qu'en portant un soutien gorge j'attirais un peu moins les avances et j'avais donc repris l'habitude d'en mettre un chaque jour bien que ça me soit interdit. Je rougissais de sa main qui pinçait délicieusement mon téton gorgé de sang sous le regard de Kenichi.

" Je crois bien que je vais devoir te punir, ma beauté... mmh, oui, je vais le faire. Mais pas maintenant, nous avons un invité. Ce sera pour plus tard... "

« Merci maîtresse de veiller à mon éducation », dis je humblement à haute et intelligible voix, je lui connaissait une grande imagination pour les punitions et je ne voulais pas prendre le risque d'en recevoir une seconde pour avoir oublié de la remercier en plus, je devais lui prouver que je n'avais pas tout oublié de ce qu'elle m'avait appris.

" Je crois que te voir jouir a beaucoup excité Kenichi... N'est-ce pas ? Ça te plairait, de découvrir ses charmes plus en détails ? "

J'avais du mal à croire qu'elle propose à ce jeune garçon d'aller plus loin. Elle le faisait en me regardant dans les yeux, elle aimait lire l'hésitation dans les miens, la peur et le doute tout en sachant qu'elle obtiendrait de moi ce qu'elle voulait. Elle glissa dans mon dos et j'osais à peine regarder le garçon qui maintenant me dévorer des yeux ouvertement.

« hummmmmmm », elle m'embrassa dans le cou et recommença à me peloter, mon sein sautant dans sa main. Ces caresses étaient toujours un délice mais le faire devant un public me troubler plus fortement.

" Tu ne voudrais pas découvrir ce qui se cache ... derrière ce joli tshirt ? "

" S-S-S-Sssii, je-je-j'aimerais b...bien... "

« Aaaaahhhhh », je virais de nouveau au rouge et gémis de surprise et de plaisir alors que résonna la fessée que je reçue à cet instant.

" Je suis sûre qu'il adorerait voir un excitant strip-tease. Et moi aussi... alors, au boulot, ma petite chienne.  N'oublie pas de revenir voir ta maîtresse, quand ce sera fait... "

« Ou … oui maîtresse », dis je en me levant, titubant un peu.

Le garçon alla rejoindre Mélanie qui venait de s'asseoir plus confortablement sur un lit. Je les regardais un peu bête, cote à cote, attendant que je me déshabille. Cela faisait des années que je n'avais pas réalisé un strip-tease, c'est elle qui m'avait appris, qui m'avait corrigé en fait, me faisant recommencer quand elle n'aimait pas, me guidant de ses mots pour que je sois plus sensuelle ou plus coquine, je devais faire de mon mieux et espérer ne pas avoir tout oublié. Je me dirigeais vers mon sac et en sorti mon téléphone, je lançais la radio pour trouver une musique. Je tombais sur une chance de Britney Spears, « Toxic », je m'apprêtais à changer quand …

« Laissez mademoiselle j'aime bien », me dit Kenichi, je trouvais amusant qu'il m'appelle encore mademoiselle, je vie aussi que ma maîtresse était amusée alors je laissais pour lui faire plaisir.

La musique était rapide mais avec des lenteurs dans le rythme, me faisant alterner des pas vifs avec des déhanchements sensuels par moments. Je commençais par retirer la veste à manche courte que je portais, dos à mon public, la faisant sensuellement glisser sur mon dos et le long de mes bras alors que le rythme doux me permettait de jouer délicatement de mes fesses qui se dandiner de gauche à droite. Bruits de violons et petit bond pour être face à eux, la musique accélère et mes mains glissent à ma taille, je détache ma ceinture et la retire d'un mouvement sec. Je la fait claquer devant moi comme un fouet alors que Britney prononce Toxic et je ne peux que rire en voyant Kenichi sursauter.

Je me sens plus en confiance, je tourne sur moi même et fait tourner ma ceinture au dessus de ma tête comme un lasso. Quand je la lâche elle vole et c'est un bruit de métal qui tombe au sol que l'on entend. Je grimace un instant j'ai du faire tomber quelque chose mais quoi ? Pas le temps d'y penser, je dois surprendre. Je me laisse tomber au sol en grand écart, merci maman pour les cours de gymnastique de mon enfance. On me regarde avec de grands yeux alors que je me penche en avant et vient saisir mon pied. Je me redresse en caressant ma jambe, arrivait à ma taille je saisis mon haut et le retire dans le mouvement.

Je vois le garçon qui commence à presser la bosse entre ses jambes, il faut dire que mon soutien gorge en dentelle révèle une grande partie de mes seins blancs. L'excitation a rendu mes tétons si durs qu'on les devine sans aucune difficulté. Je ramène ma jambe qui est derrière en un mouvement circulaire devant moi. Je plie les deux jambes, les ouvre, je pose mes mains derrière moi et je fais le pont, mon ventre plat se tend, mon soutien-gorge tire comme s'il voulait s'arracher. Une impulsion et mes jambes passent au dessus de moi, je forme un arbre droit avant de revenir sur mes pieds face à eux. Un petit clin d’œil et je m'empare de mon short, je le descends en me caressant les cuisses, de belles cuisses pleines. Quand mon short est à mes pieds j'offre la vision de mes belles jambes, de mes longues jambes misent en valeur par cette culotte en V qui remonte très haut sur mes hanches.

Je glisse à genoux, encore un peu à quatre pattes, j'avance dans une position très féline vers eux. D'une main je dégrafe le soutien-gorge sans bretelle qui tombe au sol. Mes seins balancent lourdement sous moi mais dans cette position il est à peine possible de les voir. Quand j'arrive face à Kenichi je croise mes bras sur ma poitrine, je me relève en me frottant sur ses genoux. Mes seins ainsi maintenu semblent encore plus gros, vision diabolique du sillon qui les sépare alors que je lui cache le reste. Je m'installe sur ses genoux, je passe un bras à son cou, il avale sa salive, je fais de même avec l'autre. Je souris, on dirait que ses yeux vont sortir de sa tête. Comme je suis très grande il a pile en face du regard ma lourde et généreuse poitrine que je balance sensuellement de gauche à droite. Il peut voir les détails de mes larges mamelons roses et les tétons, cerises de chairs rouges vivent qui les dardent. Je bascule la tête en arrière et bombe le torse, si près de sa bouche, j'oscille mon buste avant de me dérober sensuellement.

Je ne m'éloigne pas, je tourne sur moi même pour me déplacer et venir m'asseoir sur les genoux de ma maîtresse. Je gémis instantanément d'être si proche, de la sentir collée à mon dos. Je m'empare de ses mains, je les pose à ma taille, je les guide et les remonte jusqu'à lui mettre mes deux collines moelleuses entre les doigts. Je pose ma tête sur son épaule, je gémis, je profite des caresses. La musique avance et on approche de la fin de la chanson, à regret  je me redresse, je me caresse le cou, mes mains redescendent à mes seins, emportent celles de Mélanie au passage jusqu'à ma taille. Quand je me relève je l'invite à baisser les mains, emportant ma culotte au passage. Elle peut voir ma fente humide, brillante du plaisir ressenti jusque là, l'odeur qui se dégage de ma culotte trempée ne trompe d'ailleurs pas.

Je m'éloigne de quelques pas, ma croupe nue se dandinant, chaloupant devant eux. Je croise mes mains sur mon pubis et me retourne pour faire face. Je ne cache plus que mon sexe, j'ai peur, non pas de la réaction de Kenichi mais de celle de ma maîtresse. Sur les dernières notes je retire une main, puis l'autre. Sous leurs yeux une toison blonde épaisse et broussailleuse, il est vrai que je me suis laissée aller moi qui était toujours bien lisse mais si j'avais su que j'allais la retrouver aujourd'hui … On peut voir les poils collés et poisseux de mes sucs, comme l'intérieur de mes cuisses. Sachant ce qu'elle attend de moi et sachant que je vais sûrement être punie de nouveau, je ne prends pas le risque. En lui souriant je me mets à genoux puis à quatre pattes, je viens à elle ainsi. Devant elle je me redresse, assise sur mes talons, cuisses juste assez ouverte pour qu'elle puisse s'emparer de mon sexe si elle le désire, mains derrière le dos pour tendre mes seins et lui offrir. J'avise sa main sur sa cuisse et viens lécher ses doigts en entendant les gémissements du garçon juste à coté. Je souris, qu'il est bon d'être redevenue sa Pupuce.

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

(-Hors RP-) Les passages bleues sont ceux faisant référence à l'un des souvenirs de Mélanie, raconté au fil de chacun des paragraphes. ;) (-Hors RP-)

Satisfaite de voir ma Pupuce aussi obéissante, je la laissais s'éloigner, le sourire aux lèvres, ma main descendant sensuellement le long de son corps à mesure qu'elle se levait, caressant ses épaules et descendant le long de son dos jusqu'à atteindre ses délicieuses petites fesses, que je pinçais doucement avant qu'elle ne finisse par m'échapper. Elle s'avança, un peu hésitante, peut-être gênée par ma demande après avoir passée ces six dernières années à être sage. Cela ne sera heureusement pas le cas bien longtemps, je prendrais particulièrement soin de ma Pupuce, et la chouchouterais, à ma façon. Tout les doux plaisirs a coté desquels elle était passée durant tout ce temps, je ferais en sorte qu'elle en découvre ou redécouvre la saveur, l'excitation, les sensations, la remettre dans le bain en quelque sorte, dans ces situations qui, au fond, lui plaisaient beaucoup.

Bien que je puisse parfois paraitre un peu égoïste, en particulier dans mes ordres, j'ai toujours été très attentive au plaisir de ma soumise, même si je ne le montrais pas vraiment. Chacun de nos jeux étaient plaisant, et ils l'étaient pour nous deux, même si différemment. Il m'arrivait parfois de dépasser les limites, sans aller très loin, c'était simplement pour tester ses réactions, ou bien pour parfaire son éducation. Ou la punir, aussi, mais ces sanctions étaient toujours mesurées. Jamais je ne lui ferais faire quoi que ce soit qui puisse lui causer du tort, ou lui faire du mal. Je l'aimais trop pour ça...

Cela me rappelait ce fameux jour où je lui avais faites essayer pour la première fois la sodomie... Ce n'était pas vraiment préméditée, pas du tout même. Nous marchions dans les couloirs du lycée, main dans la main, à la recherche d'un petit coin où nous aurions un peu d'intimité. J'étais très excitée, et prise d'une folle envie de faire l'amour à ma Pupuce, une envie que je ne pouvais pas refréner. Mais aucun endroit n'était désert, des lycéens se baladaient eux aussi dans les couloirs, et je n'avais pas spécialement envie de me donner en spectacle. On s'était donc mise d'accord pour nous rendre dans les toilettes, et tant pis s'ils n'étaient pas vides, au moins il n'y aurait pas eu un troupeau d'élèves surexcités qui serait venu nous déranger. J'étais passée devant les toilettes des filles, sans m'y arrêter, et Pupuce m'avait jeté un regard étonné, auquel je répondis pas un large sourire coquin. Je m'avançai un petit peu, la tenant par la main, et entrai alors dans les toilettes des garçons, qui s'avéraient être vides, avant de fondre sur elle, la plaquant contre un mur, trop impatiente de gouter à nouveau à ses lèvres pulpeuses.

Le baiser fut long, langoureux, sensuel, mes lèvres happant incessamment les siennes, ma langue s'y infiltrant et cajolant la sienne. Mes jambes frôlaient et effleuraient les sienne, je relevais ma cuisse et venais la frotter sensuellement contre son entrejambe si sensible, pendant que mes mains partaient à l'assaut de son corps, en redécouvraient les formes, du bout des doigts, ne cessant pas de la caresser, avec une douce volupté. Mon corps tendrement blottit contre le siens, je fermais les yeux à moitié, et laissait mon amour pour elle s'exprimer. L'érotisme du moment prit facilement le pas sur la décence, et nos mains avait tôt fait de nous déshabiller à moitié, nous avions finit par nous retrouver presque nue l'une devant l'autre, et cela ne fit qu'attiser encore plus mon désir pour elle. C'est fou ce qu'elle pouvait m'exciter...


La mélodie qui s'éleva me ramena à la réalité, et je constatais avec satisfaction qu'elle s'était lancée dans le début de son affriolant spectacle. Ses gestes étaient sensuels, et son déhanché envoutant. Je la regardais, l'observais, la dévorais des yeux, pendant qu'elle se trémoussait à un rythme captivant, se dénudait avec une lenteur frustrante mais délicieusement excitante. De voir ma compagne s'exhiber ainsi sous mes yeux me ravissait au plus haut point, et quelques gouttes supplémentaires de ma cyprine vinrent tacher le tissus déjà humide de ma petite culotte.

Le jeune homme aussi semblait ravi du spectacle qui s'offrait sous ses yeux, le regard médusé, la bouche entrouverte, son érection menaçant presque de percer son pantalon devenu trop étroit. Et la situation ne s'améliora pas vraiment lorsque ma Pupuce s'approcha de lui pour lui offrir un show plus personnel, se trémoussant juste sous ses yeux, lui offrant une vue terrible sur sa poitrine, à en damner un saint. Je mordillais ma lèvre, follement excitée de voir ma soumise se donner autant en spectacle, mais un tantinet jalouse aussi, de la voir attiser le désir du jeune garçon au dépend du mien...

Néanmoins cela ne dura pas très longtemps, et elle ne tarda pas à se rapprocher de moi, laissant un Kenichi complètement hagard et aux joues cramoisies. Lui qui était toujours fier et d'aplomb d'habitude, c'était cocasse de voir à quel point il était gênée maintenant, incrédule face la nudité sensuelle de cette femme. Mais, c'est vrai que ce n'était pas n'importe quelle femme, ma Pupuce... Je l'accueilli avec plaisir sur mes cuisses, pressant ma voluptueuse poitrine contre son dos, caressant les courbes de son corps au rythme de son déhanché, mes doigts filant avec une douce lenteur sur sa peau, que je prenais plaisir à caresser, et dont j'aimais les gémissements que cela lui soutirait. Mes mains envieuses s'attardèrent sur sa poitrine, que je faisais balloter, malaxais, pressais délicieusement entre mes doigts, titillant par moment son tétons durcis, que j'avais follement envie de suçoter et de mordiller...

Je la laissai à contrecoeur s'éloigner et poursuivre son affolant spectacle, non sans lui avoir ôté sa culotte prodigieusement humide, que je conservais près de moi. Elle était complètement nue, sous nos yeux, et mon sourcil s'arqua un peu, de manière perceptible, à la vue de sa toison pubienne qui manquait de charme... Il allait falloir que je m'assure que ma belle soumise retrouve ses bonnes vieilles habitudes perdues, pensais-je, amusée à l'idée de la dresser à nouveau. Je me mordillais la lèvre, profitant de la vue magnifique sur le corps de mon adorable Pupuce, et mon regard s'illumina d'une lueur follement perverse lorsqu'elle s'avança vers moi, à quatre pattes, comme la chienne obéissante et coquine qu'elle était autrefois. En particulier lors de ce fameux jour, que son attitude actuelle me rappelait beaucoup...

Je m'étais assise sur le mur face à elle, et avait écarté très largement mes cuisses, la laissant voir mon intimité rasée de près, et les contours humides de ma vulve qui ne demandaient qu'à ce que l'on s'occupe d'elle. Ce que je n'avais pas tardé à ordonner à ma Pupuce. " Viens par là, ma belle petite chienne, viens lécher le joli minou de ta maitresse... " Tandis que je la regardais avec envie, elle s'était mise à quatre pattes et s'était avancée vers moi, d'une démarche souple et sensuelle qui me fit me mordiller la lèvre, tant ma Florence était désirable en cet instant. Elle entreprit de venir gouter à ma cyprine, léchant avec application mon intimité, et m'arrachant bien vite des gémissements de plaisir dont la douceur raisonnait à nos oreilles. J'ondulais sous les caresses adroites de sa langue, et gémissais de plus en plus fort, jusqu'à ce qu'un garçon rentre dans les toilettes et découvre les plaisirs auxquels nous nous adonnions en cachette... Prises la main dans le sac, et loin de nous sentir gênées, nous avions poursuivi sous ses yeux, jusqu'à ce qu'il ne s'immisce dans nos jeux...

Elle s'installa devant moi et se cambra en arrière, m'offrant sa poitrine tendre et généreuse que je ne saurais refuser. Je fis lentement glisser mon index tout le long de sa fente intime, excessivement mouillée tant elle devait être excitée, et lui fit faire quelques aller et retour, frôlant son bourgeon de plaisir à chaque passage, stimulant ma Pupuce, tandis que mes lèvres happèrent le premier tétons qui passa à leur portée, le pressant un peu et le suçotant avidement, ma langue venant parfois le titiller et le faire vibrer dans ma bouche. Je retirai ensuite mon doigt, luisant de cyprine, et le glissa de gré ou de force dans sa bouche, la laissant gouter à sa propre mouille, non sans relever mes yeux et plonger mon regard coquin dans le sien, avec intensité, tout en conservant en bouche son délicieux sein.

Devant l'érotisme de la scène à laquelle le pauvre Kenichi n'était que simple spectateur, ce dernier ne put s'empêcher de descendre légèrement son pantalon et d'en sortir sa verge à l'érection impressionnante, impatient de se soulager de toute cette excitation qui avait pris possession de ses sens et de sa lucidité. Impudique, il se caressa vivement, tout en nous observant nous ébattre sensuellement. Pendant ce temps, je faisais lentement aller et venir mon doigt entre les lèvres de ma soumise, tout en suçotant avec une gourmandise un peu perverse son sein, tandis que mon autre main était venu agripper et masser celui qui se sentait délaissé. Je ne m'attendais pas vraiment à ce qu'elle accorde de l'importance à Kenichi, mais le fait qu'elle reste ainsi à profiter de mes caresses me fit sourire intérieurement, et je me mis à mordre un peu son tétons, puis de plus en plus cruellement, ne relâchant la pression qu'au bout d'une dizaine de seconde, avant de plonger dans ses yeux un regard amusé.

" Hé bien alors, qu'est ce que c'est que ces manières ? Tu ne vois pas que ce jeune homme a besoin d'un peu d'aide ? " J'adressai un clin d'oeil qui se voulait complice à Keni, avant de poursuivre. " Je suis persuadée qu'il adorerait profiter de la douceur de tes lèvres... "

Je me redressais alors complètement, à genoux, profitant qu'elle soit assise sur ses talons pour la dominer de ma hauteur. Descendant mon regard sur elle, un regard aussi doux que coquin, je posai délicatement mon doigt sur ses lèvres, avant de lui susurrer.

" Et je ne parle pas de celles-ci... "

L'instant d'après, nos lèvres se scellèrent en un sensuel baiser, mes mains de part et d'autre de ses joues, je l'embrassais, avec passion, exprimant toute l'affection que j'avais pour elle... Je rompis peu de temps après le baiser, avant de poursuive, avec douceur.

" Car pour celles-ci... je leur ai trouvé une toute autre utilité. "

Mes mains quittèrent ses joues, et j'ôtais avec impatience ma culotte blanche et tachée de cyprine, tout en rapprochant mes lèvres des siennes, et en chuchotant sensuellement.

" Ta maitresse a très envie que tu t'occupe d'elle à cet endroit... "

Je me reculais alors, un sourire des plus coquins éclairait mes lèvres, et m'allongeais sur le sol de l'infirmerie, les cuisses écartées et attendant que le visage de ma petite soumise ne vienne s'y glisser.

" Tu peux venir en profiter aussi, mon petit Keni... " lançais-je, en lui adressant un clin d'oeil taquin, et lui montrant la croupe offerte de ma délicieuse Pupuce...

*Dans la même position qu'autrefois...* songeais-je.

J'appuyais fermement sur la tête de ma soumise, blottissant son visage contre mon intimité bouillonnante de désir, accentuant grandement les sensations et l'empêchant par la même occasion de relever sa tête. Elle ne pouvait donc voir qui c'était introduit, mais aussi ne pouvait cesser de lécher mes délicieuses lèvres intimes et le nectar qui s'en écoulait. Cela dura de longues minutes encore, durant lesquelles je me tortillais littéralement de plaisir, pendant que Pupuce offrait au jeune homme inconnu une vue fabuleuse sur la cambrure de son corps et sur l'intégralité de son fessier. Et c'est lorsqu'il voulut se joindre à nous que j'eus alors l'idée d'initier ma belle soumise à cette facette particulière de la sexualité.

Après en avoir fait la proposition au jeune garçon, qui accepta avec plaisir, visiblement très emballé à l'idée de s'occuper de ces délicieuses petites fesses qui se présentaient à ses yeux, je relevais doucement le visage de ma Pupuce, chacune de mes mains posées délicatement sur ses joues, et la couva d'un regard doux et affectueux. Il dégaina impatiemment son membre, déjà dressé, et la fit glisser le long de la fente humide de ma soumise perverse et excitée, la lubrifiant suffisamment et stimulant par la même occasion leur désirs. Je savais à quel point cela pouvait être une épreuve déstabilisante, en plus d'être peu conventionnelle, et qui pouvait facilement tourner au vinaigre dans de mauvaises conditions. Je caressais ses joues, tentant de la rassurer, tandis que le gland du lycéen s'était déjà posé sur son délicat anneau, forçant peu à peu le passage, lui arrachant un léger cri, avant qu'elle ne serre les dents. Je serrais affectueusement son visage contre ma poitrine, caressant ses cheveux, à mesure que sa verge ne se glisse entre ses fesses, centimètre par centimètre, étirant ses chairs.

C'était toujours douloureux, au début, et cela nécessitait un certain temps avant de s'y habituer, et de profiter des délicieuses sensations que l'on pouvait en tirer... Une fois qu'un peu moins de la moitié fut rentré, trop impatient de se soulager, il perdit de sa douceur et entama de vifs va-et-vient. Bien que de faibles amplitudes, ses pénétrations étaient rapides, presque brutales. Et Florence ne le supporta pas. Elle se mit à crier, par bref à coup, non pas de plaisir, mais à cause de la douleur qui irradiait son orifice. Je tentais de la rassurer, de lui affirmer que cela allait passer, je voulais vraiment qu'elle découvre ces plaisirs, tout comme je les avais moi-même découverte, j'embrassais affectueusement son front, et caressais sa joue... jusqu'à ce que je ne me rende compte qu'une larme y coulait. Florence pleurait. Je la voyais tenter de retenir ses cris, les yeux embués, un rictus de douleur déformant ses lèvres que j'adorais pourtant voir sourire...

Les traits de mon visage se durcirent, et j'ordonnais à l'homme de se retirer, d'un ton sec. D'abord étonné, il ne m'écouta pas. Deuxième injonction, d'une voix plus forte, accompagnée d'une gifle retentissante. Cette fois, je sentais la colère et la frustration dans ses yeux, mais je n'en démordais pas. L'ordre avait été clair, je voulais qu'il laisse ma Pupuce tranquille. Il se leva finalement, et voulu probablement se venger de cet affront, à croire les étincelles qui fusaient de son regard, mais je fus plus vive que lui, et m'emparai sans aucune douceur de ses bourses, les broyant littéralement malgré ses hurlements de douleur, tout en plongeant mon regard glacial dans le sien, et lui intimant de s'en aller, ce qu'il finit par faire, la queue entre les jambes. S'il y avait bien une chose qui m'insupportait davantage que l'on désobéisse à mes ordres, c'était que l'on fasse du mal à la femme que j'aimais...

Florence Delajoue

Humain(e)

Re : Premier jour et rencontre impossible ! [PV Mélanie Rosenberg]

Réponse 10 dimanche 15 juillet 2012, 08:35:09

« Aaaaahhhhhh »

Je ne pus que gémir quand sa main se posa sur ma fente, quand elle glissa de façon coquine entre les lèvres charnues de mon intimité. Si longtemps, si longtemps sans que le seul contact que j'avais connu n'avait été que celui de mes propres doigts. Je rougis fortement sous ses caresses si délicieuse, sous sa bouche qui venait téter mon sein, mon téton rouge vif, gorgé de sang, à la fois si dur et pourtant si doux en bouche. J'avais l'impression de rêver, j'attendais depuis si longtemps de me retrouver de nouveau nue face à elle, à genoux, prête à partager de nouveau ses envies et ses jeux coquins. J'étais si bien que j'en avais déjà oublié la punition qui planait toujours au dessus de ma tête.

« Mmmmmhhhh »

Je la regardais coquine alors que ses doigts entraient en moi, délicieuse caresse qui ne dura pas à mon grand désarroi. Je tenais les lèvres serrées, je la regardais coquine et la laissais forcer un peu ma bouche pour y imposer le goût de mes sucs. Non pas que je n'avais pas goûté à cela avant ou que je n'aimais pas le goût, non je prenais plaisir à la laisser aussi montrer que c'est elle qui décidait. Je gémissais en commençant à suçoter son doigt, le caressant de ma langue. Bien vite je mimais une fellation ce qui ne laissa pas indifférent notre petit invité.

« Aaaaaaahhhhh !!!!! »

Mon corps était si sensible que la sensation de ses dents serrant, serrant, serrant mon téton que me fit gémir, presque crier. J'étais aux anges, sa main caressait chaudement mon sein, sa bouche dévorait et maltraitait l'autre pour mon plus grand plaisir. J'étais si bien que j'en avais déjà complètement ce pauvre Kenichi, peut être un peu égoïstement, profitant sans complexe des merveilleuses retrouvailles que je vivais. Alors que le plaisir et la douleur montait encore et encore sous ses dents je fus surprise de jouir de nouveau quand elle relâcha d'un coup mon téton. Le plaisir était si fort que je jouis en plongeant mon regard dans le sien en partageant mon plaisir avec elle de mon mieux. Déjà le second orgasme de la journée et je l'avais retrouvé depuis moins d'une heure.

" Hé bien alors, qu'est ce que c'est que ces manières ? Tu ne vois pas que ce jeune homme a besoin d'un peu d'aide ? Je suis persuadée qu'il adorerait profiter de la douceur de tes lèvres... "

Je battais des cils et découvrais Kenichi à coté comme s'il venait d'arriver. Encore étourdie par l'ensemble de ces émotions j'en avais déjà oublié le pauvre garçon. Je rougis un peu honteuse et hochais la tête il était vrai après tout que je lui étais redevable.

« Oui maîtresse », lui dis je en souriant alors qu'elle se redressait, qu'elle me dominait maintenant de toute sa hauteur, elle si grande face à moi alors que je fais une bonne tête de plus qu'elle normalement, elle si belle avec ses joues rougies d'excitation. Sa main glissa sur ma bouche et j'embrassais ses doigts.

" Et je ne parle pas de celles-ci... "

Et sous les yeux de l'élève elle s'empara de mes joues, une façon possessive et douce d'incliner mon visage pour s'emparer de mes lèvres dans un baiser doux et tendre qui me laissa sans voix, juste frissonnante de désir et d'envie.

" Car pour celles-ci... je leur ai trouvé une toute autre utilité. ", je la regardais le regard brillant et en me mordillant les lèvres retirer sa culotte et souriait satisfaite de voir qu'elle était également des plus excitées, " Ta maîtresse a très envie que tu t'occupe d'elle à cet endroit... "

« J'en meure d'envie maîtresse », lui dis je en me léchant les lèvres gourmandes et sensuelles, m'approchant d'elle pour me glisser entre ses cuisses ouvertes à quatre pattes.

" Tu peux venir en profiter aussi, mon petit Keni... "

Le jeune garçon sursaute et se leva, vint se placer derrière moi pour découvrir ma croupe ronde, mes fesses tendues vers lui. Ma raie s'ouvrait pour laisser deviner un anus sombre fripé et en descendant encore plus les yeux mon sexe. Cette belle fente baveuse qui dans cette position s'ouvrait légèrement. Il avala sa salive et tendit la main pour la poser sur mon fessier chaud. Moi j'avançais entre les jambes de Mélanie pour glisser mon nez sur son intimité. J'inspirais, je humais l'odeur fauve de son sexe, ce que cette odeur m'avait manqué. Je tendais les lèvres et venait embrasser sa fente doucement, délicatement. Je remarquais alors quelque chose d'humide qui couler sur ma joue. Je clignais des yeux et réalisais que je pleurais de nouveau de joie.

« ça me rappelle tant de souvenir Mélanie … dans cette position … comme avant … comme si on avait jamais été séparé ... », je levais la tête et je souriais sans pouvoir empêcher mes larmes de couler, « Je t'aime maîtresse, je n'avais jamais osé te le dire, je l'ai regretté pendant 6 ans, je t'aime ... »

Alors ma bouche glissa de nouveau sur sa fente, je l'aspirais doucement jusqu'à sentir ses lèvres saillir en avant. Je m'emparais d'une et l'étirais, la mordillais avant de la relâcher. Je fis pareil avec l'autre toujours attentive à ses réactions. A nouveau j'oubliais le garçon en plongeant ma langue sur son sexe, glissant le long de sa fente, montant et descendant lentement. Je frôlais son bouton de plaisir et pris alors plaisir à venir jouer autour, la faisant languir. Quand elle fut à point je m'en emparais et commençais à le téter goulûment. Derrière moi le sexe du jeune homme se posa sur mes lèvres et surprise je me raidis, mes dents mordillant le clitoris de ma maîtresse exagérément. Je levais un regard désolé et présentait ma langue à l'entrée de son cadeau le plus précieux et intime, attendant que Kenichi me pénètre pour en faire autant au même moment.
« Modifié: dimanche 15 juillet 2012, 09:43:21 par Florence Delajoue »

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Re : Premier jour et rencontre impossible ! [PV Mélanie Rosenberg]

Réponse 11 mardi 08 janvier 2013, 23:18:21

Une partie de mon être était plongée dans mes souvenirs, mon passé, me remémorant les folies que nous avions pu faire ensemble, ainsi que ces doux moment que nous avions partagé. Des souvenirs chers a mon coeur et gravés dans ma mémoire, dont je ne me séparerais pour rien au monde... L'autre partie, quant à elle, était folle de joie que nous soyons à nouveau ensemble, ma Pupuce et moi. Et "folle" était un véritable euphémisme, quand on voyait l'état d'esprit dans lequel j'étais, et les plaisirs auxquels je m'adonnais. J'étais incroyablement excitée, plus que je ne l'avais rarement été, tant par mon corps offert et bouillonnant de désir que par mes pensées honteusement perverses... j'en oubliais jusqu'aux principes même de la décence, enivrée par la béatitude dans laquelle me plongeait sa présence. Et je n'en avais cure, car pour l'heure, cette autre partie de mon être profitait pleinement de l'instant présent, occultant toutes autre pensées qui viendraient parasiter mon plaisir... et ce laisser-aller était divin.

Allongée sur le dos, écartant les cuisses, je caressais affectueusement le visage de ma belle à mesure qu'elle s'avançait, mes doigts glissant ensuite soigneusement entre sa chevelure pendant que ses lèvres embrassaient délicatement celles, humides, de mon intimité. Je ronronnais intérieurement de plaisir, poursuivant mes caresses, l'encourageant à continuer, tandis que Kenishi s'était fermement emparé du fessier ferme et alléchant que sa professeur lui offrait. Néanmoins, il resta plusieurs seconde figé, hagard, comme incrédule tant ce qu'il vivait dépassait ce qu'il aurait pu espérer dans ses rêves les plus érotiques. A moins que ce ne soit parce qu'il se demandait ce qu'il devait faire, peu à l'aise avec ce genre de situation...

" Mmmmmh... "

Mes lèvres s'entrouvrirent en un doux et langoureux soupir lorsqu'elle s'empara de mon délicat bouton de plaisir, je fermais les yeux et me laissais aller, me cambrant sous l'effet de ses délicieuses caresses.

" Haaan, j'aime ça... tu vas me rendre folle si tu continues... "

Ayant visiblement reprit ses esprits, le jeune Kenishi défit prestement sa braguette, qui menaçait presque de craquer à cause de son érection, et dégaina d'une main son vigoureux braquemart, impatient de pouvoir l'utiliser, tandis que l'autre main flattait et pressait avec une envie indécente et non dissimulée les fesses de ma Pupuce.

" C'-C'est vrai ? Vous êtes sûre que je peux, Madame ? " demanda-t-il, en s'adressant à sa professeur.

Je le regardais, amusée, avant de répondre à la place de ma tendre soumise.

" Bien entendu que tu peux, ne viens-je pas de te l'affirmer ? N'hésite pas, mon petit Keni, c'est avec joie qu'elle s'offre à toi... "
" N'est-ce pas ? " ajoutais-je, abaissant mon regard sur la jeune femme, un sourire en coin étirant mes lèvres, avant de laisser s'échapper un nouveau gémissement de plaisir.

L'efficacité avec laquelle elle titillait la sensibilité de mon sexe m'électrisait de plaisir, de plus en plus intensément. C'était bon, c'était même vraiment bon, j'en avais le souffle court, les jambes tantôt bien écartées, indécente, et m'offrant à elle, tantôt resserrée, bloquant son visage contre mes lèvres humides, pour mon plus grand plaisir.

Ravie d'entendre ma réponse, il n'en fallu pas plus au lycéen pour se décider à passer à l'action. Sa verge toujours en main, il l'approcha de sa belle fente humide et frétillante d'excitation, la faisant glisser le long de celle-ci, comme pour mieux lui donner envie, pour ensuite se positionner au niveau de son antre intime, et d'y pénétrer en un puissant et magistral coup de rein, tout en poussant un râle de plaisir. Au même moment, la langue de ma soumise se glissa vivement dans ma propre intimité, me léchant de l'intérieur, m'arrachant un gémissement qui vint se joindre aux siens...

" AAAAAANNNHH ! Mmmmmhhh, mon dieu que c'est bon... ! "

Le jeune garçon, au bord de l'extase, multipliait ses vifs et profonds coups de reins, enivré de pouvoir baiser sa ô combien séduisante prof d'art plastique, tandis que cette dernière poursuivait ses caresses buccales qui me rendaient folle de plaisir. Mon corps tout entier ondulait au rythme de sa langue, mes cuisses frétillaient d'excitation, mon bassin ondulait et suivait les mouvements si doux et si excitant de ma petite soumise, mon dos se cambrait et mon visage se relevait vers l'arrière. Je gémissais, couinais par moment, c'était si bon de sentir la langue de ma Pupuce me titiller comme ça !

" Mmmmh-AAAH, ma Pupuce... haaaan... c'est si bon ! " parvenais-je à articuler avec peine entre deux gémissements, folle de plaisir...

Florence Delajoue

Humain(e)

« Ma maîtresse te fait cadeau de mon corps pour ta première fois, je suis comblée de lui faire ce plaisir. », dis je en abandonnant à regret le sexe de Mélanie pour devoir répondre à Keinichi.

Il était normal vu son jeune âge et certainement parce que cela devait être sa première fois qu'il se pose des questions, en temps normal j'aurai sûrement adorée jouer avec lui et partager son trouble avec ma belle maîtresse, mais cette fois je ne pensais qu'à nos retrouvailles et à la femme que j'avais devant moi. Je n'avais d'ailleurs pas quitté amoureusement du regard ma belle en répondant, pour lui montrer que c'était bien moi, que j'étais la même, en plus âgée et plus belle, ayant pris presque deux tailles de bonnets en 6 ans.

« mmmppppffff »

Je poussais un gémissement étouffé par le sexe de ma maîtresse quand le jeune homme me pénétra. Était ce mes mots qui l'avait excité ou vexé ? Je ne saurais le dire mais c'est avec force qu'il commença sans attendre à faire des allers et retours dans mon sexe chaud et palpitant. Dire que j'étais excitée aurait été bien loin de la vérité, ce n'est pas un vagin humide dont il venait de s'emparer mais d'un écrin dont des flots de plaisirs s'échappaient, maculant le sol des traces de mon plaisir.

Une fois la vague de plaisir passée, une fois que ma tête cessa un instant de tourner, cela faisait si longtemps et en présence de ma Mélanie en plus, je plongeais à mon tour mais ce fut ma langue qui put à loisir entrer dans le sexe de ma maîtresse. Une larme de joie s'écoula de nouveau alors que je retrouvais le goût intime encore plus fort, encore plus suave que dans mes souvenirs. Jamais rien n'avait eu sur terre meilleur goût que le sexe de ma maîtresse et aujourd'hui j'avais la chance de m'en régaler à nouveau. Ma langue tournait pour recueillir les précieux sucs qu'elle venait ensuite déposer dans ma gorge, à chaque fois un soupir de contentement s'élevait de mes lèvres.

Tout ceci aurait été d'une douceur infinie, moi chouchoutant ma maîtresse, ses mains douces caressant mon visage délicat, mes cheveux soyeux. Mais le jeune homme lui ne voyait pas la douceur du moment, il vivait une scène digne d'un de ces mangas érotiques dont il raffolait. L'infirmière sexy du lycée se révélant être une maîtresse sado-masochiste et pour couronner le tout elle avait en soumise la prof d'art plastique dont les grosses miches faisaient fantasmer tous les garçons de sa classe et des autres ! C'était bien trop pour qu'il soit doux, alors c'est par des assauts furieux qu'il me prenait, là, à quatre pattes entre les cuisses de Mélanie. Dans la pièce résonnait le son de ses hanches claquant sur mes fesses et de mes seins ballottant sous moi, claquant l'un contre l'autre.

Cela faisait bien trop longtemps que je rêvais de ce moment, du moment où je retrouverais Mélanie. Découvrir qu'elle avait toujours espérée me retrouver et sentir le plaisir qu'elle avait à m'avoir retrouvée m'avait encore plus excitée. A ma grande honte c'est moi qui jouit la première, me contractant et poussant un long cri de plaisir. Mon sexe se contracta sur la verge de Keinichi, mes muscles semblant vouloir attirer le sexe plus profondément en moi. Surpris le garçon tira en arrière en jouissant de longues lignes venant maculer mes fesses et mon dos sous les yeux de Mélanie. Je regardais ma maîtresse le visage couvert de se cyprine en souriant, j'avais certes jouis la première mais j'avais semble-t-il donner la libération à mes deux amants qui avait jouit juste après moi.

Mélanie Rosenberg

Humain(e)

Tout semblait si insignifiant, si flou, si lointain... J'entendais à peine les grognements d'excitation que Kenishi poussait, le bruit de ses hanches qui claquaient puissamment contre les fesses rebondies de sa coquine institutrice. Je le voyais à peine, profiter de la chaleur humide de son sexe, s'offrant à lui dans cette pose indécente, tandis qu'ils s'ébattaient avec ferveur. Et elle était là, lumineuse, ravissante, au milieu de cet univers flouté duquel j'étais déconnectée. J'avais l'impression de vivre un rêve éveillée, un merveilleux rêve en compagnie de ma Pupuce... mais la douceur de ses cheveux que je caressais, la chaleur de son visage entre mes cuisses, les caresses de sa langue contre mon intimité, sa présence à mes cotés après toutes ces années, tout cela était belle et bien réelle. Ma main effleura tendrement sa joue, mes yeux se fermèrent à moitié, je me laissais complétement aller, emportée sur mon petit nuage, duquel je n'aurais voulu descendre pour rien au monde.

"Hmmmm, Pupuce, ma chérie ♥ ..."

Mes lèvres s'étirèrent en un doux sourire, tandis que je rouvrais les yeux, couvant la jeune femme d'un regard passionné. Son divin cunnilingus me rendait folle, ma vulve luisait toujours de ma cyprine malgré ses efforts, sa langue pénétrant entre les lèvres de ma féminité, savourant mon nectar qui s'en écoulait abondamment, tel un ruisseau intarissable dont elle en était la source. Chacun de ses gestes m'emportait un peu plus haut, me donnait des ailes, je m'envolais de nuage en nuage, propulsée par des bourrasques de plaisirs. Mon regard s'attarda sur ma douce soumise, pendant qu'elle s'appliquait à la tâche, même si j'étais haletante par moment je souriais toujours, le coeur enivré.

Je me sentais si bien, bercée par sa langue habile, c'était si bon, de plus en plus intense, que je finis par jouir, en un long gémissement, resserrant mes cuisses contre les joues de la belle blonde. Mon orgasme avait été si fort que son visage était tout mouillé, couvert de ma cyprine. Je n'avais pas été la seule, nous avions jouis tous les trois, un fabuleux orgasme à l'unisson. Kenishi était aux anges, écroulé sur le dos, le regard absent et le sourire aux lèvres. Je me redressais lentement, puis, remarquant les traces qu'il avait laissé sur sa professeur, j'adressais à cette dernière un regard coquin avant de lécher sensuellement son dos, descendant le long de sa courbure, jusque ses fesses tendres et appétissante que je mordillais légèrement, léchant avec un appétit pervers la moindre goutte de sperme du jeune lycéen.

Je me redressai alors complètement, à genoux à coté de la jeune femme, et l'invitai à faire de même. Ma main caressa doucement sa longue et soyeuse chevelure dorée, tandis que je léchais la cyprine sur son visage, affectueusement, lentement, rapprochant petit à petit nos corps pour nous presser l'une contre l'autre, comme irrésistiblement attirée par elle. Les caresses de ma langue sur sa joue laissèrent place à de légers baisers. Ma Pupuce, ma Pupuce que j'aime... Mes lèvres dévièrent rapidement vers les siennes, les happant fougueusement, nouant mes bras autour de son cou, ondulant contre son corps, je l'embrassai follement, passionnément. L'univers tout entier aurait pu s'effondrer que je n'aurais pas lever le petit doigts, plus rien n'avait d'importance en cet instant, juste elle et moi, partageant un baiser fusionnel, au doux parfum de cyprine.

Florence Delajoue

Humain(e)

[HRP]

Pour ceux qui nous suive la suite est ici ! http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=11423.0

[/HRP]


Répondre
Tags :