Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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"Fuir ? Pas question !" ( Libre )

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Serena Mitchell

Humain(e)

"Fuir ? Pas question !" ( Libre )

vendredi 04 mai 2012, 20:43:34

Être chasseur de prime, c'est cool. On a une arme (si on a le permis de port d'arme), on a la loi avec soi, mais on est pas obligé de remplir de la paperasse. Et on peut avoir d'autres boulots à côté, pas toujours très légaux pour ma part. Et en plus, y a de l'action. C'est jamais un boulot chiant.

Aujourd'hui, j'ai un type qui s'appelle Kun Li à ramener au commissariat. Un type qui a commit un vol à main armé et qui ne s'est pas présenté à son procès. Sa prime est de 5 000 000 ¥. Autrement dit, 47 000 € et quelques, soit 62 000 $ et quelques. Et j'ai 10 % de ce montant, soit 500 000 ¥, c'est-à-dire 4 700 €, ou encore 6 200 $. Plutôt pas mal, non ?

Je sors de la douche et m'enroule dans une serviette mousseuse pour me frictionner avec, avant d'enfiler un soutien-gorge noir, en dentelle orné de motifs tribaux rouge, avec un string assorti. Puis je fouille dans mon dressing. J'en tire un débardeur à bretelle de 3 centimètres, un jean taille basse bleu délavé, et une veste à manche trois quart blanche. Le débardeur, je l'adore. Il est blancs, avec des motifs noirs se mêlant à cette teinte immaculée. Trois petites étoiles s'y perdent. (Voir l'avatar) Parée, je glisse un neuf millimètres dans la ceinture de mon jean, au creux de mon dos, et j'enfile des bottes montantes à talon aiguille. Noires les bottes. Je glisse un deuxième flingue, plus petit, dans ma botte droite, et une dague au manche court de fiche dans un fourreau accroché entre mes seins. Le manche, malgré le décolleté, ne se voit pas.

Je sors de chez moi avec un bâillement, et je vais à l'adresse indiquée sur le dossier. L'appart presque insalubre est vide. Sa voisine m'indique qu'il doit crécher chez sa mère, qui habite à deux pâtés de maisons d'ici. Soupirant, j'y vais quand même. Je n'avais pas trop d'espoir de l'y trouver, et pourtant... Il sortait à peine de la voiture de sa mère quand j'arrivais. Elle déchargeait les courses elle. Sans plus réfléchir, chopant une paire de menottes dans ma voiture, j'en jaillis comme un diable de sa boîte et sauta sur ma cible.

Bouges pas connard, t'as oublié ta convocation au tribunal.

Alors que je m'attendais à ce que la mère hurle contre moi, je la vois se pencher et mettre une gifle à son fils.

Tu as encore oublié ? Et pour quel motif y étais-tu convoqué, hein ? Fils indigne ! Embarquez-le mademoiselle. Et couvrez votre décolleté, on est pas dans un bar ici ! Surveillez votre langage aussi !

J'en suis comme deux ronds de flancs. Quand elle se fut éloignée, je finis de passer les menottes au type, mais je soufflais :

Et beh.. Pas commode la maman. J'suis pas surprise que vous ayez pété un câble et que vous soyez devenu criminel... Moi aussi j'aurais envie d'tuer avec elle...

Mais ma compassion n'allait pas jusqu'à me faire relâcher ma cible. Du fric était en jeu hé ! Je le fit rentrer, l'attachant place passager, et je démarrais en direction du commissariat.
« Modifié: lundi 14 mai 2012, 21:16:54 par Serena Mitchell »

Mach Bonin

Humain(e)

Re : "Fuir ? Pas question !" ( Libre )

Réponse 1 dimanche 20 mai 2012, 21:43:48

Mach était de retour en ville en fin d'après midi, et avait volontairement laissé les beaux quartiers à l'écart, où sa tenue ne passerait pas inaperçue. Il se trouvait donc dans le quartier de la Toussaint, et sans doute une zone peu fréquentable, quand on observait l'état de saleté de la rue où il se trouvait. Celle ci était assez large, et bien fréquentée, ou du moins, s'était ce que le nombre de passant qu'il croisait laisser supposer. Par contre, lui ne passait pas inaperçu dans cette foule, avec son uniforme militaire était dissimulée. En effet, Mach était armé d'un couteau à lames assez longue, et d'un pistolet, tous deux rangés dans leurs étuis à la ceinture de son pantalon. L'homme se serait bien équipé d'un fusil d'assaut avant de s'évader, mais, il aurait eu du mal à le dissimuler.

Mach jetait des regards froid aux plus curieux des citoyens, qui ne le lâchaient pas des yeux. Surtout que l'homme était toujours surses gardes, car la police militaire pouvait apparaître à tout moment pour tenter de l'arrêter. Bon, cela faisait une éternité que l'armée semblait lui laisser la paix, mais on ne savait jamais. D'ailleurs, il ne tarda pas à remarqué la présence de deux hommes en costume derrière lui qui semblait le suivre à distance. Mach ne comptait pour le moment pas accélérer son rythme, ce qui aurait fait comprendre à ses poursuivants qu’il les avait repérés. Mais, il marcha de façon plus aléatoire, zigzaguant dans la foule, devenue plus dense, à la sortie du travail, Jusqu'au moment où il s'engouffra dans une petite ruelle-ménager. Il s'était tellement bien dissimulé qu'une personne passant devant lui ne le verrait sans doute pas, à moins de fouiller la zone au peigne fin.

- Il est passé par là tu crois ?
- Possible, maintenant qu'on l'a perdu de vue, cela va être coton pour le retrouver. Il paraît que ce type est un pro des missions d'infiltration.

Mach venait d'entendre la discussion des deux hommes en costumes qu'il avait vraisemblablement réussi à semer, et leur conversation avait eu aussi effet de confirmation que ceux ci le suivait bien, car même s'il s n'avaient pas prononcé son nom, quelqu'un avec de telles aptitudes n'était pas courant.

- On a plus qu'à faire boucler le secteur alors, de telle façon, qu'il aura du mal à passer entre les mailles du flet.
- Contact le QG pour demander des renforts et que le périmètre soit bouclé. Je vais vérifier dans cette rue, si je ne le trouve pas par hasard.

Echangèrent de nouveau les deux hommes. Décidément, la situation ne s'arrangeait pas pour Mach. Celui ci glissa alors silencieusement une main jusqu'à son couteau, alors que des bruits de pas se faisaient entendre dans la rue. L'ancien soldat pensa alors que l'homme ne devait jamais faire de partie de chasse pour être si bruyant, et qu'on le repère donc d'assez loin. Pendant ce temps, son compagnon passait un appel radio et demandait qu'on boucle le quartier.

*Ptain, va falloir que je me fasse encore plus discret, si je ne veux pas déclencher une fusillade !*

Pensa alors Mach accroupi dans son coin, alors que les pas se faisaient de plus en plus proches. Il allait falloir qu'il quitte le quartier avant que celui ci ne soit quadrillé à la fois par l'armée, et la police locale, sans doute mise à contribution. Mach se décida donc à agir, mais attendit que son premier poursuivant arrive à sa hauteur, le dépassant juste. Là, il se redressa d'un coup, passant derrière l'homme. Mais, avant que celui ci ne réalise que sa cible se trouvait derrière lui, Mach avait déjà empoigné l'homme pour le bloquer, et de son autre main monté son couteau à sa gorge avant de lui faire une entaille si profonde que le sang gicla abondamment. Le policier qui qu'il soit y resterait, et Mach posa le corps silencieusement au sol, alors que l'autre homme était toujours en communication avec ses supérieurs, dans une position telle qu'il ne put voir la scène. Le déserteur y jeta un coup d'œil rapide, se demandant s'il s'en débarrassait ou partait de l'autre côté. En effet, s'il partait précipitamment, et que l'homme le repérait, il ne manquerait pas d'y tirer dessus, et il ferait sans doute une cible plus ou moins facile, si ce dernier savait tirer. Mais, l'éliminer était aussi difficile, puisqu'il se trouvait à l'embouchure de la rue, et les passants se faisaient toujours aussi nombreux derrière lui, malgré la nuit tombée. S'en débarrasser là créerait certes une panique dont il pourrait profiter, mais cela pourrait aussi lui nuire.

Quoi qu'il en soit Mach ballada l'homme de rue en rue, sans parvenir à trouver le bon moment pour l'éliminer sans impliquer d'autres personnes dans le massacre. Il y eut bien quelques échanges de coups de feu entre les deux hommes, Mach se souciant d'ailleurs davantages de tirer quand il était sur que sa balle ne blesserait personne d'autres que l'homme qu'il visait. Cependant, toutes ses balles se perdirent contre des murs ou divers autres obstacles. Il opta donc pour une autre approche et tenta d'attirer l'individu dans un piège  au corps à corps. Et si le plan fonctionna, le duel qui s'enchaina fut loin d'être aussi bref que le mercenaire l'espérait. En effet, le policier se débattait comme un beau diable, esquivant et rendant coup pour coup. Le combat dura, chacun ayant été désarmé durant celui ci, ils ne leurs restaient que leur poings. En tout cas, jusqu'au moment où le flic le chargea, et le prit comme un joueur de rugby ferait à son adversaire pour le plaquer. Le duo se retrouva alors au sol, à rouler bouler alors que Mach cherchait à se dégager, et le flic à le maitriser. Ils ne se rendirent pas compte que cela les avait emmené au milieu d'une rue. Et si cela restait un des rares endroits où peu de personnes se trouvaient, bien que celles présentes ne se privèrent pas de contempler l'échange sans intervenir, une voiture pourrait très bien arrivée et les percuter à tout moment. Bien sur quand on parlait de voiture, on englobait tout type de véhicules roulant.
« Modifié: lundi 11 juin 2012, 10:41:35 par Mach Bonin »
Ma Fiche : Mach Bonin


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