Nom / Prénom : Laurelin (le chant d’or)
Surnom : n/a
Age : 400ans
Race : Elfique
Rang : Princesse, promise au trône du royaume des Teleris
Classe : Dragonnière
Orientation Sexuelle : Probablement bi.
Physique : Je ne sais pas si c’est le fait d’être très proche de la nature mais il faut bien dire qu’elle a très nettement gâté le peuple des elfes. En avez-vous déjà vu un de moche ? Tout est une question de gout, certes, mais dans l’ensemble ils n’ont pas trop à se plaindre.
Laurelin ne fait pas exception à la règle, bien au contraire : Un corps élancé et harmonieux, aux proportions plus qu’honorables. Une peau parfaitement lisse, dépourvu de toute imperfection et d’une douceur irréelle. Son visage est d’une rare beauté, il est difficile de ne pas la fixer bêtement lorsque l’on croise son regard. Une bouche sexy, des yeux bleus captivants, des oreilles en pointes et une longue chevelure dorée apportent une agréable touche finale à ce tableau de maître. Elle n’a pas l’air hautain de nombre de ses congénères mais elle possède, tout de même leur grâce et leur élégance.
L’incroyable longévité des elfes et lui permet de gardé l’apparence d’une jeune femme de 18ans, bien qu’elle en est pratiquement 400 de plus. Comme figée dans le temps elle traverse les siècles sans prendre une ride.
Elle se distingue par 2 marques sur le corps, semblables à des tatouages. L’une d’elle ; sur son dos, est la marque magique de son dragon, la Gedwë Ignasia, reliant les 2 êtres d’un lien indéfectible :
La seconde est sur le haut de son bras droit. Elle est apposée, uniquement, sur les hauts dignitaires de son peuple, elle témoigne donc de son rang royal.
D’un point de vue vestimentaire, elle aime la légèreté et le blanc et revête, le plus souvent, une courte robe échancrée, des cuissardes blanches et une ceinture pourpre incrustée de pierre précieuse. Depuis qu’elle est dragonnière, elle a troqué son arc pour une épée elfique spécialement forgée pour elle : Itarillë (petite étincelle) :
Sa tenue de combat de cuir est quelque peu … inapproprié tant elle laisse son corps découvert. En même temps, ça ne l’inquiète pas, personne n’est parvenu à la toucher depuis très longtemps.
Sa Dragonne :
Après 2 siècles d’existence, Jubia est devenue une imposante créature. Malgré sa taille, elle a gardé une grâce surnaturelle et une beauté terrifiante. D’un bleu saphir, elle étincèle au soleil. D’un gabarit inférieure à un mâle, elle possède une musculature élégante mais ses cornes, griffes et crocs restent d’une tailles impressionnantes. Capable d’utiliser la magie, son principale atout réside dans sa capacité à cracher un jet de flamme proportionnel à sa taille de géante.
Caractère : Malgré plus de 400ans, Laurelin peut encore être considérée comme une enfant. En effet, bien que son expérience et ses aventures soient conséquentes, la maturité qu’elle en retire n’est pas suffisante à gommer son espièglerie. Pourtant, elle a reçu la dure éducation des elfes, rigoureuse et stricte. Discipline, apprentissage de la magie et du maniement des armes … tout cela laisse peu de place au divertissement. Surtout lorsqu’on est la fille de la Reine !! Malgré tout cela, Laurelin reste une jeune femme pétillante et amusante. Cela lui donne un côté attachant et déroutant tant son attitude différence des siens. Les elfes ont une fâcheuse tendance à être hautain, à se sentir supérieur aux autres, surtout quand ils sont de lignées royales. Ce n’est pas du tout le cas de cette princesse. Au grand désespoir de sa mère, elle ne prend pas son rôle au sérieux, tout en étant consciente qu’elle a des responsabilités. En tant que représentante de son peuple auprès des autres, elle se doit de ne pas jouer la gamine en permanence. Dotée d’une certaine intelligence, elle sait s’adapter à n’importe quelle situation.
Depuis qu’elle est Dragonnière, elle est un peu moins ouverte aux autres. Le lien l’unissant à Jubia, sa dragonne, est si fort que ça laisse assez peu de place pour les relations sociales. La dragonne est plus méfiante et beaucoup plus sérieuse que Laurelin et elle essaye de la rendre plus responsable. Mais l’une déteignant un peu sur l’autre, un équilibre de leur caractère s’est installé. Laurelin est un peu plus sérieuse et Jubia un peu plus joueuse.
Elles ont un point commun, c’est qu’elles adorent l’aventure et n’éprouvent aucune crainte à se mesurer aux autres. En tant que représentantes de leur peuple, elles voyagent très souvent et partent dans des aventures qui alimentent bon nombre de légendes racontées aux coins des feux.
Pour ce qui est des plaisirs de la chaire, Laurelin y a renoncé pour le moment. En effet, un dragonnier est lié mentalement à son dragon, ils partagent tout et il est très difficile d’avoir une relation intime dans ses conditions, surtout qu’un dragon est d’un naturel jaloux et d’une extrême possessivité.
Nous finirons avec Jubia. Il faut savoir qu’un Dragon est une créature très fier, presque prétentieuse. Ainsi, elle adore être flattée, notamment par rapport à sa force et son courage. Il n’est pas rare que Laurelin s’en amuse. Cherchant à mettre sa précieuse amie au défi. Elle l’a titille assez souvent, tout simplement parce que voir Jubia bouder l’amuse. Leur relation est indéfectible, une fois établi, leur lien est si fort qu’il leur est difficile de se séparer ou de vivre si l’un venait à mourir. Donc, si vous voulez côtoyer Laurelin, il faudra faire avec Jubia !!
Histoire : Voilà environ 400ans, une jeune princesse à vue le jour au sein d’un peuple elfique. Alors que la plus part des nouveaux nés arrivent au monde en criant, Laurelin a émis une sorte de chant mélodieux, ce qui lui a valu ce prénom, signifiant le chant d’or. La magie était déjà bien présence dans son petit corps, des fleurs naissaient autour de son berceau lorsque sa voix s’exprimait. Les plus vieux sages et conseillers de sa Reine-mère lui prédirent une destinée hors du commun.
Malgré son rang, elle n’eut pas le droit à un traitement de faveur en ce qui concerne son éducation. Destinée au trône, elle a subit le programme habituel : discipline de fer, apprentissage de la magie et, un peu plus tard, maniement des armes. Pourtant, très tôt, elle montra des signes de rébellion. Réalisant très vite qu’elle était une personne importante, elle jouait de son statut pour faire un peu ce qu’elle voulait. Préférant jouer plutôt que passer des heures à viser une cible avec son arc, elle se soustrayait souvent à son entrainement. Pourtant, elle était une élève assidue pour ce qui était de la pratique de la magie. Ainsi, elle se révélait une excellente magicienne mais une piètre combattante, tant son habilité à l’arc était médiocre. Forcément, lancer des sorts était bien plus drôle que des flèches.
Tout petite déjà, elle était adoré par son peuple. Son espièglerie attendrissait le plus renfrogné des vieux elfes de son village. Elle était décrite comme une enfant rayonnante et attachante mais sa mère voyant tout ça d’un mauvais œil. Après tout, elle était la futur représente de son clan auprès des autres races que fréquentaient les elfes. Elle se devait d’avoir une éducation et un comportement correct et digne. Mais rien n’y faisait. Consciente de ses responsabilités futures, cela lui passait tout de même au-dessus de la tête. Sa mère avait fini par lâcher prise, se disant que le temps finirait par avoir raison de ses enfantillages.
En grandissant, Laurelin devint une magnifique jeune femme, faisant l’admiration des siens. Elle développa ses aptitudes en magie, devenant une redoutable lanceuse de sort, dominant des adversaires ayant 2 fois son âge. Toujours médiocre avec un arc, elle corrigeait, aisément, ses lacunes grâce à la magie.
Sa mère la regardait évoluer avec fierté, malgré ses écarts de conduite. Elle la faisait siéger à ses côtés et commençait à l’introduire dans son futur rôle. Elle lui donnait des missions diplomatiques, la faisait recevoir des personnes importantes en son absence et essayait de lui faire prendre conscience de toutes ses responsabilités. Sans le montrer, Laurelin en avait pris la pleine mesure depuis longtemps mais se refusait à jouer un rôle qui ne la convenait pas. Elle n’aimait pas la prétention de son peuple, elle préférait rester simple et garder un gout pour l’amusement tout remplissant ses tâches à la perfection.
Pendant 200ans, elle vécut sans que la prédiction des anciens ne se réalise. Sa destinée, en dehors de son futur statut de Reine, n’avait rien d’extraordinaire, comme annoncé à sa naissance. Bien sûr, elle avait développé une maîtrise de la magie étonnante mais rien de plus, si bien que cette histoire commençait à se perdre. Mais c’est toujours quand on s’y attend le moins que les choses arrivent …
Lors d’un voyage diplomatique auprès d’un peuple allié de nain, Laurelin découvrit une étrange pierre aux éclats bleutés. Alors qu’elle se prélassait dans une crique, sous une cascade, elle fut attirée par des reflets étranges. En plongeant, elle remonta ce qui s’avèrera être l’œuf de Jubia, sa dragonne. Sans rien dire à personne, elle ramena cette pierre dans son village. Quelques jours après son retour, alors que le chant des siens s’élevait harmonieusement, la pierre se fissura. Elle comprit aussitôt qu’il s’agissait d’un œuf, avant même de voir Jubia sans extirper. La petite créature était adorable et elle ne put s’empêcher de tendre la main pour la toucher. Ce contacte eut pour effet de la plonger dans un état de transe. Elle voyait trouble et elle avait l’esprit embrouillé, comme si elle était perturbée par un alcool elfique. Sans le savoir, ce fut son premier contact avec l’esprit de la dragonne. Lorsqu’elle reprit ses esprits, une marque était apparue dans son dos, la Gedwë Ignasia. Cette marque était le lien qui l’unissait à la dragonne qui venait d’éclore pour elle. Il est dit que le dragon choisit son dragonnier et les raisons n’en sont pas toujours évidentes. Bien entendu, elle se prit, immédiatement, d’affection pour la petite créature, qu’elle pensait pouvoir cacher, dans un premier temps. Elle avait entendu des histoires sur les dragons mais n’avait pas réalisé, sur le coup, qu’elle était devenue une Dragonnière. Ce qu’elle découvrit assez vite était que ces créatures se développaient à une vitesse incroyable. Elle ne put donc pas cacher sa présence bien longtemps. Lorsque sa mère et son peuple apprirent l’existence de Jubia, le village fut d’une effervescence sans précédent. La future reine était une dragonnière !! La prédiction des sages étaient finalement exacte.
Dès lors, tout fut chamboulé pour Laurelin. Toute son existence était remise en cause… une autre vie commençait. Elle sentait que son lien avec Jubia était très puissant et depuis le premier contact qu’elle avait avec la dragonne, sa puissance magique avait augmenté. Le forgeron du village fut secouer d’une nouvelle motivation, forger l’épée d’un dragonnier, quel honneur suprême !! Sans rien demander, Laurelin s’était vue gratifiée d’une arme qu’elle n’avait jamais manié. C’était ainsi, tout dragonnier se devait d’avoir une épée digne de ce nom. En parlant de nom, elle baptisa la sienne « Itarillë » (petite étincelle) à cause des éclats de lumière qu’elle projetait à chaque impacte de sa lame. Elle dû apprendre à la manier, même si elle était réticente, n’aiment toujours pas les armes. Elle prit des cours auprès du meilleur bretteur de son peuple et fut rapidement étonnée de sa dextérité avec cette nouvelle arme. Sa légèreté et sa maniabilité était telle qu’elle reproduisait chaque mouvement comme si elle l’avait toujours maitrisé. Son aisance lui plaisait et très vite, son entrainement devint un jeu, si bien qu’elle rivalisa avec son Maître rapidement… trop rapidement pour que son égo n’en prenne pas un coup !! En parallèle, elle passait énormément de temps avec Jubia qui grandissait à vue d’œil. La créature qui tenait au creux de ses mains devenait déjà difficile à porter.
Au bout d’un certain temps, la créature montra son envie de voler, agitant ses ailes alors que Laurelin courait pour lui faire prendre de la vitesse. Au début, elle n’arrivait qu’à lui faire faire que de petit saut, devant la rattraper à chaque fois. Mais arriva le grand jour… dans un clairière, proche de son village, Jubia prit son premier envole pour disparaitre rapidement dans les nuages. Des éclairs éclatèrent et la Gedwë Ignasia de Laurelin lui brûla le dos. Lorsque Jubia revint se poser devant l’elfe, c’est une créature gigantesque qui se présenta à elle. Laurelin en avait presque frémit de peur. Le sol avait tremblé à son atterrissage et son rugissement avait fait fuir tous les volatiles environnants.
- Comment est-ce possible ? Demanda-t-elle.
- C’est ainsi… c’est lors du premier envol que les Dragon devienne adulte.
La voix de la dragonne avait raisonné dans l’esprit de Laurelin aussi clairement que si on lui avait parlé de vive voix.
- Tu parles !? s’étonna-t-elle
- Notre lien mental me permet de communiquer avec ton esprit.
L’elfe fut très émue d’entendre la voix puissante de Jubia dans sa tête.
- Tu dois me donner un nom maintenant.
Laurelin se remémora le jour où elle avait trouvé l’œuf. Elle l’avait extirpé de l’eau et cela lui rappela la légende une mage capable de maîtriser cet élément. Ce mage se nommait :
- Je souhaite t’appeler « Jubia »
- Qu’il en soit ainsi… Jubia t’a longuement attendu, princesse Elfe, ajouta t’elle après un court silence.
La dragonne avait étiré son coup en direction de Laurelin qui n’hésita pas un instant à placer ses mains sur la mâchoire puissante de Jubia et déposa son front sur son museau, scellé, dans un sorte de câlin, leur amitié sans faille.
Et voilà près de 200ans que Laurelin et Jubia font la fierté de leur clan à travers les mondes. Au fil du temps, elles sont devenues un couple redoutable. Leur nom suffit à faire trembler nombre d’ennemi. Mais elles ne savent pas encore qu’en près de 200ans de collaboration elles sont loin d’avoir tout vu et surtout, elles ne se doutent pas qu’il puisse y avoir beaucoup plus puissant qu’elles…
Autres :
En tant qu’Elfe, Laurelin est plus rapide et plus forte qu’un humain normal. Sa maitrise de la magie lui permet de tuer quiconque d’un seul mot en ancien langage, si seulement elle parvient à briser les barrières menant à l’esprit.
La consommation de sa magie pouvant être mortelle, elle stock de l’énergie dans les joyaux de sa ceinture et dans son anneau royal. Jubia est également une source d’énergie dans laquelle elle peut puiser mais la dragonne est sujette aux mêmes règles que l’elfe.
Elle est un bretteuse redoutable et personne n’est encore arrivé à la désarmer.
Jubia est une dragonne classique. Maitrisant quelques sorts et crachant un feu ardant.
Situation de départ : Quelques expérience pour Laurelin mais au point mort depuis son union avec Jubia.
Connaissance du forum : DC ^^ (désolée, j'ai toujours autant de mal avec mes fiches ^^')
