Bonne ou mauvaise rencontre à l'arrivée ? [PV: Aetius]

Le train en provenance de la ville natal de Yui venait d'arriver à la gare de Seikusu, une gare assez grande, il serait facile de si perdre, mais heureusement la sortie se trouve tout près d'où Yui a débarquée. Il fait déjà Nuit, pas un chat dehors et même s'il y en avait un, on ne le verrait pas tellement il faisait sombre. Après dix minutes d'attente toujours personne, Yui doit se rendre à l'évidence, elle devra elle-même trouver son chemin.
Elle sort alors une carte de son sac qu'elle avait pris à la gare et réfléchit :

*Donc je suis ici et je dois me rendre là-bas.. le chemin le plus rapide semble être par ce quartier, le quartier de la Toussaint*

Elle remit la carte dans son sac et se dirigea donc vers le quartier.
A l'entrée du dis quartier, elle pouvait constater que ce n'était pas un lieu très sympathique, un vrai coupe-gorge, mais lorsqu'elle se décida de rebrousser chemin il était trop tard, elle était déjà dans une ruelle trop éloignée de l'allée centrale et un groupe d'individus louche s'approcha d'elle de façon à l'entourer.
Ils étaient trois, avec leurs tenues à capuches et le noir qui régnait, impossible de voir leurs visages, mais pas besoin de lire sur leurs visages pour savoir ce qu'ils voulaient, à peine il était assez proche de Yui que l'un d'eux s'approche d'elle et ,lui caressant les cheveux en se léchant les lèvres, lui demande :

«Alors, tu es perdue ma belle, Mmmh ?!»


Malgré la peur, Yui repoussa la main du voyou et essaya de garder son calme, le problème est qu'elle était entourée, elle se doutait de ce que ces types voulaient, mais essayait de ne pas y penser.
Yui tenta de les impressionner et leur faire croire qu'ils auraient des ennuis s'ils n’arrêtaient pas :

«Vous ne semblez pas savoir qui je suis ! Mon père est un riche homme d'affaire et il n'aurait aucun soucis pour faire envoyer des voyous comme vous en Prison !»

Surpris de la voir aussi calme et de ce qu'il vient d'entendre ,celui qui semblait être le leader des deux voyous, se tut un instant, puis se mit à rire.

«En plus d'être bonne, t'es une péteuse ! Haha ! je sens qu'on va bien se marrer..»

Après ces mots, l'un des voyous qui se trouvait derrière Yui, sortit un couteau et le plaça sous la gorge de la jeune fille. Prise de panique, Yui était tétanisée, elle savait plus bougée. Les deux autres commencèrent déjà à la caresser de part en part, ils lui touchèrent les seins, les fesses..
Yui se sentait mal ,mais bien en même temps..

«S..s'il vous plait.. ne faites pas ç..ça..»

Plus elle leur demandait d’arrêter plus cela semblait les exciter. C'est alors qu'elle vit une silhouette au fond de la ruelle...

Bon, sortir d'ici, c'est pas où la sortie de cet endroit ? Il ne savait pas vraiment, ou du moins il avait un fichu trou de mémoire !  Ouep, un trou de mémoire, ni plus ni moins, et personne ne l'aiderai vu sa tenue, elle manquait sincèrement de propreté, et on le prendrait pour un mendriant dans le meilleur des cas. Pffff la tuile, et hors de question d'user de la magie pour en arriver là !  C'était certain !  Nul ne pourrait en arriver là !  C'était uhne question de connaissance, il ne savait que trop bien ce qu'il risquait à trop utiliser la magie ! La corruption le rongerait un peu plus à chaque fois....

Il avançait donc dans le quartier de la toussaint, qui, plongé dans la peinombre, se faisait menaçant mais pas pour lui....non, c'était menaçant pour les gens qui avaient tendance à s'attirer des ennuis ou des personnes inconsciente, comme une jeune femme qui rentrerait chez elle en mini-jupe toute seule.....mais qui s'attaqquerait à un apparent mendiant ? Qui oserait se confronter à lui ? Personne ne venait l'ennuyer et il n'ennuyait personne.

Alors pourquoi se mêler des affaires des autres ? Il nuirait à sa tranquilité, ce serait contreproductif tout ça !  Mais bon, il avait besoin d'un il ne savait quoi ce soir.....un besoin d'action peut être, mais c'étaot impossible à savoir, il n'arrivait pas à le déterminer par lui même ! Mais voilà, il fallait aller vers les bruits de dispute ou pire. Il soupira.

« Foutue journée »

Oui, c'était une foutue journée.

« Vous faites quoi alors ? On s'attaque à une jeune femme seule sans défenses et complètement inconsciente parce qu'elle se promène dans un endroit aussi dangereux aussi tard ? »

Il s'approcha doucement, le mec au cran d'arrêt se tourna vers lui.

« Personnellement, je ne crois pas que ce que vous faites soit vraiment mal, ça met du plob dans la tête à pas mal d'écervelés.....mais allez savoir pour ça, j'ai pas envie de vous laisser faire, écartez vous et laissez la partir, maintenant ! »

Le premier d'entre eux, rigola avant de commencer à s'approcher, d'une démarche assurée, et il sortit un magnifique semi automatique, les bandits étaient drôlement bien armés de nos jours....enfin, puisqu'il fallait agir.......

« Tu veux que je te crève petit con ? Personne ne viendra te sauver, toi ! »

Le magister sourit avant de se redresser et de sourire.

« Tu veux me faire du mal avec ce......poisson ? »

L'arme venanit de se transformer en un gros poisson peu ragoutant, un tour très simpel qui amusait beaucup les enfants et qui faisait fuir les parents en toute hâte ! Ais le plus drôle fut l'indescriptible horruer du chef du groupe qui lança, comme si il lui faisait une fleur.

« Tu as de la chance mec, j'ai mieux à foutre que de te loger une balle !  Allez, les mecs on s'arrache ! »

Ah bah ça pour s'arracher, ils s'arrachèrent.....il se tourna vers la jeune femme pour lui demander.

« Ça va ? Il n'ont rien eu le temps de faire de trop déplacé ? Mais qu'est ce qui vous a pris ? Vous n'êtes pas au courant ? Si une femme se balade ici tard le soir, autant qu'elle le fasse nue avec  écris "je suis ouverte 24H/24" entre les cuisses ! »

Les agresseurs de Yui étaient trop.. occuper pour remarquer l'étrange silhouette approcher, plus elle se rapprochait et plus Yui arrivait à la distinguer.
C'était un homme, un mendiant peut-être vu ses vêtements et il se rapprochait, allait-t-il m'aider ?

« Vous faites quoi alors ? On s'attaque à une jeune femme seule sans défenses et complètement inconsciente parce qu'elle se promène dans un endroit aussi dangereux aussi tard ? »

Les voyous se retournèrent vers lui, ce type était soit fou soit courageux, dans les deux cas à un contre trois ce n'était pas gagné.

« Personnellement, je ne crois pas que ce que vous faites soit vraiment mal, ça met du plob dans la tête à pas mal d'écervelés.....mais allez savoir pour ça, j'ai pas envie de vous laisser faire, écartez vous et laissez la partir, maintenant ! »

Ce type ne manquait pas d'air me considérer comme une écervelé, il est vrai que ce n'était pas intelligent de m'aventurer ici, mais tout de même..
L'un des voyous se rapprocha de l'homme d'une façon assez décontractée et sorti une arme, pas un couteau, un pistolet !

« Tu veux que je te crève petit con ? Personne ne viendra te sauver, toi ! »

*Ce pauvre type n'a aucune chance, de ma faute il va peut-être se faire tuer..*

Le mystérieux homme redressa la tête en souriant.

« Tu veux me faire du mal avec ce......poisson ? »

L'arme du voyou c'était changé en un poisson.. comme par magie, Yui était tout autant surprise que ses agresseurs, ces derniers avaient même plutôt peur.

« Tu as de la chance mec, j'ai mieux à foutre que de te loger une balle !  Allez, les mecs on s'arrache ! »

Et les voyous lâchèrent leur proie et prirent les jambes à leur cou. L'homme se tourna vers Yui pour s'assurer qu'elle aie bien.

« Ça va ? Il n'ont rien eu le temps de faire de trop déplacé ? Mais qu'est ce qui vous a pris ? Vous n'êtes pas au courant ? Si une femme se balade ici tard le soir, autant qu'elle le fasse nue avec  écris "je suis ouverte 24H/24" entre les cuisses ! »

Cet homme venait peut-être de lui sauver la vie ,mais il ne manquait pas de toupet, une telle grossièreté, ces propos firent même rougir Yui.

«Je.. Merci, sans vous je n'ose même pas imaginer ce...qui serait arrivé..»

Elle voulut rapidement oublier ce qui venait d'arriver et quel meilleur moyen que de changer de sujet.

«Et..Hum.. sinon quel nom dois-je mettre sur ce visage ?»

Bon, elle ne semblait pas trop atteinte psychologiquement pour le moment, le choc venait régulièrement après coup ! Il fallait juste qu'elle fasse attention ! Et donc par extension qu'il fasse attention à elle. Quand on sauve quelqu'un, on va jusqu'au bout, c'était quelque chose de normal, après, comment l'aider davatage ? L'emmener quelque part ? La ramener chez elle ? Quelle drôle d'idée ! Il se trouvait bien charitable ! Elle n'osait pas l'imaginer, ben tiens, pratique, qu'elle l'imagine donc, cela lui ferait du bien, qu'elle se rappelle un peu que rien ne dure jamais, foutue humanité bousillée va !

Ronchonnant, il ignora sa question avec une moue désintéressée et la saisit par l'épaule pour l'écarter  de l'endroit où elle se trouvait, il avait qulque chose à y placer !  Il prit son sac et en sortit.....une porte, ooui, ou plutôt un dessin de porte qu'il plaqua contre le mur le plus proche. La poignée sortit du mur.

« Aetius. Je suis le magister Aetius ! »

Il ne dit plus rien, il était chez lu, là, il suffisait de franchir la porte et d'entrer, la planter là, mais il n'y arrivait pas, pour une raison ou pour une autre, il ne la laissa pas en plan mais soupira.

« Bon, laisse moi deviner, jeune fille, tu voulais rentrer chez toi et tu t'es dit que ce serit une bonne idée de passer par là pour faire le raccourcis.....on se demande vraiment ce qui passe par la tête des jeunes de nos jours.... »

Difficile à dire si il s'adressait tout du long à la jeune femme ou si il y avait une partie de monologue dans ses dires, mais dans tous les cas, il y avait certainement un peu de sénilité ou d'habitude à la solitude. Cela dépendant des versions que l'on pouvait donner à l'évènement, bien évidemment ! Mais bref, il rajouta :

« Tu habites encore loin ? Ou tu préfères que je te prépares la chambre d'ami ? »

Il eut l'air d'hésiter avant de proposer la chambre d'ami, mais il avait désigné la porte qu'il venait de placer dans le mur avec une telle désinvolture, il se fichait complètement de savoir si il choquait ou pas, mais il se doutait que les nerfs de la jeune femme allaient bientôt lâcher ! Les humains étaient faibles, il le savait, il en avait été un lui même il y a fort longtemps.

« Et sinon, comment dois-je t'appeler ? Tu veux peut être que je t'accompagne juque chez toi ? »

L'homme ignora ma question, et m'écarta sur le côté, comme si je le gênais.
Il était sans doutes bien plus que grossier, il pris son sac duquel, il sorti une feuille avec une genre de porte dessus, qu'il posa contre le mur devant lui.
Et là ! une chose incroyable se réalisa, une poignée sortis du mur, il n'y avait rien à cet endroit il y a quelques secondes et maintenant, une poignée..
Yui n'en revenait pas, elle pensait encore à une illusion, un tour de passe-passe, comme le coup du poisson. Et l'homme, sans se retourner, dit :

« Aetius. Je suis le magister Aetius ! »

Étonnée, Yui ne réagit pas de suite, mais elle n'a même pas le temps d'ouvrir la bouche que l'homme, Aetius, enchaine.

« Bon, laisse moi deviner, jeune fille, tu voulais rentrer chez toi et tu t'es dit que ce serit une bonne idée de passer par là pour faire le raccourcis.....on se demande vraiment ce qui passe par la tête des jeunes de nos jours.... »

« Tu habites encore loin ? Ou tu préfères que je te prépares la chambre d'ami ? »

Yui venait d’analyser la situation, un type venait de la sauver en changeant un pistolet en.. poisson, il a fait apparaitre dans un mur ce qui semble être une porte et il vient de lui proposer la chambre d'ami ou de la raccompagner... C'était un peu gros pour Yui et pensa donc directement à une illusion et se rappela de ce qu'avait dit son père sur ces illusions "A la place de repartir en laissant une impression de réalité, affronte cette illusion jusqu'à ce qu'elle devienne une vérité." Elle décida donc d'affronter cette illusion, de se prêter au jeu. Avant de répondre Aetius lui demanda son Nom.

«Hum.. Kotegawa, Yui Kotegawa.. Et à vrai dire, je ne serais pas contre la chambre d'ami..»

Accepter cela, quelle drôle d'idée, quelle naïveté ! Il n'en revenait pas, elle était bien sote pour accepter ainsi de venir dans la maison d'un parfait inconnu qui ne l'avait sauvé que parce qu'il n'était pas d'humeur à entendre des cris à cet instant, voilà tout ! Il se retint juste de le dire  , inutile d'aggraver les choses, ou du moins, il ne voulait pas faire en sorte que la jeune femme prenne peur maintenant, avant d'avoir vraiment compris tout l'horreur de sa bêtise. Mais chaque chose en son temps. D'abord, il devait la mettre en confiance. Il sentait que ce serait amusant à voir....dautant que, n'oublions pas, le dernier cobaye était mort la semaine dernière, et donc il n'avait plus personne auprès de qui jouer les petits scientifiques farfelus....bon, en meêm temps, il avait subi une ablation chirurgicale un peu trop étendue...en effet, ayant découvert la capacité d'une potion à faire repousser les membres perdus, il avait voulu tester la potion en débitant de plus en plus loin....emporté dans son élan, il était allé trop loin et l'avait tué..... Bon, c'était des choses qui arrivaient de temps à autres, mais c'était rare qu'il soit si content et qu'il se laisse emporter, d'habitude il était plus patient, plus posé, plus méthodique, et plus logique.

Elle ferait sans doute un très bon sujet, et vu sa naïveté, elle ferait n'importe quoi sans le vouloir à mal.....et ça,  'était de l'or, cette sottise naturelle, comme quoi, les blondes avaient cette réputation qui colle à la peau, mais les autres....elles n'étaient pas forcément mieux.

Toutefois - élan de sagesse ? - sentir qu'elle n'était pas rassurée était palpable, qui le serait en pareilles circonstances ? Il avait fait carréent apparaiyre une porte et de là il avait donné accès à la maison siutuée dans son propre sac.....cherchez une seule raison d'être rassuré ? Comment ? Vous n'en trouvea aucune ? Tiens donc.....

Trouvant la poignée, il la fit ourner et poussa la porte cela menait directement vers son chez lui, une sorte de lieu assez simple, pas de décoration, juste des étagères couvertes de livres, des tableaux noirs couverts d'une écriture fine à la craie blanche parfois avec un peu de couleur pour souligner des résultats  spéciaux.

« Bienvenue chez moi ! »

Il l'invita à entrer alors qu'il traçait le chemin vers une sorte de petite cuisine où il y avait deux tasses fumantes, du thé, un thé noir et amer, mais très bon, et très rare qu'il faisait lui même, deux tasses identiques, ou presque, dans l'un d'eux il avait rajouté un très léger produit, tout cela par la pensée, une simple petite dose d'un calmant léger, de quoi éviter qu'elle ne se mette à éclater en sanglots, déjà et aussi pour lui montrer qu'elle avait tendance  faire confiance à n'importe qui, puisqu'elle aurait le brs droit engourdi à cause de cela !

« J'ai pris la liberté de préparer du thé, il sort de la théière, ça te fera du bien. »

Il prit du sucre dans un placard pour le poser sur la table, l'invitant à s'asseoir d'une main !

Après avoir accepté l'invitation, l'homme me fit renter chez-lui et me conduis dans sa cuisine, elle n'était pas très grande, mais suffisamment pour une cuisine de maison sorti d'un sac.. Je vis deux tasse de thé, elle semblait avoir été préparé il y a peu, elle était encore fumantes.

« J'ai pris la liberté de préparer du thé, il sort de la théière, ça te fera du bien. »

Yui n'était pas rassuré, mais si c'était une illusion, il n'y avait pas de quoi avoir peur, au pire le thé serait juste mauvais.

«Hum.. merci, c'est très attentionné..»

Ce Aetius, me fit un signe pour m'inviter à m'asseoir, ce que je fis, tout en buvant ma tasse, je lui posais quelques questions.

«Et..sans vouloir paraître.. indiscrète, vous êtes un genre de magicien ou autres ?»

Magicien...quelle idiotie, enfin il fallait bien qu'elle se prête au jeu et elle était intriguée de savoir ce qu'il allait se passer, mais en même temps elle se sentait..bizarre.

Bon sang mais quell idiote !  Non mais elle dépassait tpout ce qu'il avait pu imaginer !  Non seulement elle entrait, mais en plus, elle se laissait conduire à table, elle se laissait aller à boire une boisson qu'elle n'avait pas vu etre préparée, elle ne voyait même pas en quoi elle aagissait mal en plus cette idiote ! Non mais là, elle était vraiment risible !  C'était incroyable comme la stupidité pouvait prendre des formes variées !

Et ensuite une question à la con, comme ça,k elle avait le don pour pouvoir échauffer les esprits, mais bon, c'était à un maitre de la patience qu'elle avait à faire, il restait calme, mais ne répondit pas à la question, il se contenta de s'asseoir en face d'elle pour finalement boire sa tasse en silencce lui aussi. Il n'attendait qu'une chose, les effets du produit sur la jeune femme qui devrait, selon ses calculs mentaux dans cinq, quatre, trois, deux, un.....maintenate elle allait sentir son bras s'engourdir lentement jusqu'à être complètem,et mou et qu'elle ne le sente plus, c'état désormais le meilleur moment pour parler.

« Magicien, un terme qui ne onvient pas. Je dirai plutôt que je suis un éternel étudiant du monde et de ce qu'il contient, la magie en est une facette qui m'intéresse tout particulièrement ! Mais je ne suis pas un magicien, non, je connais beaucoup de choses en dehors de la magie. Quelle chose fascinante, n'est-ce pas ? »

Il enflamma sa main, qui ne brûlait pas, et la fit tourner en observant les flammes.

« Regardez cela, tant de pouvoir limité seulement par la connaissance et l'imagination. Voila ce qui me fascine, je pourrai faire ce que je voudrai... »

Il sourit avant de se lever et se placer derrière la jeune femme, lui mettant sa main devant les yeux.

« Imagine ce que j'en ferai, je pourrai le lancer, le faire disparaître, l'eamplifier, imagine, tu pourrai être consummée en quelques secondes, mais tu pourrais ne plus jamais avoir froid ! »

Il lui tapota sans la bruler avec les flammes l'épaule du bras endormies.

« Un souci ? Une confiance mal placée encers un inconnu peut être? »

Il ne répondit pas à ma question, il se contenta de s'asseoir et de boire sa tasse en silence, à peine il eu fini de boire une gorgée, que mon bras s'endormit, je ne le sentais plus.

« Magicien, un terme qui ne onvient pas. Je dirai plutôt que je suis un éternel étudiant du monde et de ce qu'il contient, la magie en est une facette qui m'intéresse tout particulièrement ! Mais je ne suis pas un magicien, non, je connais beaucoup de choses en dehors de la magie. Quelle chose fascinante, n'est-ce pas ? »

Yui ne faisait pas attention à ce que disait cet..Aetius, elle essayait plutôt de bouger son bras. L'homme enflamma sa main, tout en continuant son discours.

« Regardez cela, tant de pouvoir limiter seulement par la connaissance et l'imagination. Voilà ce qui me fascine, je pourrai faire ce que je voudrais... »

Il sourit juste avant de se lever et se placer derrière moi, mettant sa main devant mes yeux.

« Imagine ce que j'en ferai, je pourrai le lancer, le faire disparaître, l'amplifier, imagine, tu pourrais être consumée en quelques secondes, mais tu pourrais ne plus jamais avoir froid ! »

Il me tapota l'épaule du bras endormies avec les flammes, mais je ne sentais toujours rien.

« Un souci ? Une confiance mal placée envers un inconnu peut être? »

Une confiance mal placée.. Cela sonnait comme si depuis le début il avait prévu tout ça. Yui espérait surtout que cette..illusion ne vire pas en cauchemar.

«J..je n'sens plus mon bras, tu as mis quelque chose dans cette tasse !»

Cela ne faisait aucun doute qu'il l'avait drogué et elle s'en doutait. Maintenant reste à savoir ce qu'il veut, mais après tout c'est une illusion, ce n'est pas la réalité, il ne peut rien me faire..Hein..?!

Yui perdit son calme et se leva faisant presque, dans le mouvement, basculer la petite table devant elle.

«Ecoute ! Que tu sois, Magicien ou autre je m'en fiche, mais maintenant tu va me laisser et je vais revenir dans la réalité, Okay ?!»

Non, elle croyait qu'il avait fait quoi ? U'il avait mis quelque chose dans sa tasse ? Non sans blague ? Bien sur, elle avait bu un thé, inutile de se demander ce qu'il y avait dans la tasse, c'était une question stupide. Il y avait versé du thé, et un très léger calmant ! Mais pour le calmant, c'était peu imoortant, se rendait-elle compte que ce qui se passait vraiment ?

Mais le pire, c'était qu'elle se croyait dans une illusion ? Mais que croyait-elle vraiment au juste ? Qu'elle était hors d'atteinte, que rien n'allait se passer, qu'il allait la toucher, ou du moins, la traverser en voulant la toucher ? Que voulait-elle comme preuve , De la douleur ? Du plaisir ? Que désirait-elle pour s'assurer de la réalité de la chose ? Fallait-il qu'il lui donne une preuve plus tangible ?

« Illusion, réalité....c'est trop manichéen pour moi, ça....tu penses être dans la réal....mais pourquoi est-ce que je commence à perdre mon temps pour ça....tu veux une preuve, je suppose.... »

Il effleura à peine de la main de feu son autre épaule, à un endroit visible par elle quand elle retirerait son vêtement, y imposant une minuscule brûlure, assez pour qu'elle comprenne ce que c'est que la réalité, et c'était tout, puis il retourna s'asseoir face à elle.

« Tu sais, le plus drôle là dedans c'est que si tu as un problème, tu ne le dois qu'à ta propre stupidité.... »

Il sourit et s'installa pour être plus à l'aise, coude sur la table, paumes soudées l'une à l'autre.

« Regarde, tu as accepté d'aller chez un simple inconnu qui a bien dit avant même de te sauver que te savoir violée par lesdits malfrats ne le gênait pas outre mesure, pis encore, tu es entrée et tu as bu quelque chose sans t'assurer de sa provenance. De qui est-ce la faute au juste ? Vas y ? Je t'écoute ? Et que crois tu que je veuilles faire ? »

Il soupira après cette petite tirade, avant de poser la main contre le mur le plus proche. Il y a eut un craquement sourd, et une porte apparut de nulle part, contre le mur.

« Voici la chambre d'ami, et voici la clé de la porte. »

Il fit glisser sur la toile cirée une clé en fonte, assez volumineuse. Il s'agissait vraiment de la clé de la chambre, une clé qui activait des glyphes qui lui permettrait de dormir en toute sécurité même vis à vis de lui. Preuve de bonne foi de sa part, non ? En tout cas cela y ressemblait grandement....

« Bon, après, pour les sanitaires, la pièce se créera quand tu semblera en avoir besoin et la porte apparaitra sur le mur libre le plus proche. C'est magique.... »

Il rit doucement avant de se lever et de poser sa tasse dans un petit baquet d'eau.

« Pour ton bras, tu verras que tout sera redevenu normal dans quelques heures. »

Il avait l'air surpris de ma façon d'agir, de croire que tout ceci était faux.. peut-être, après tout, que ce qui se passait à l'instant était la réalité.. J'entendis la fin de sa phrase.

«..tu veux une preuve, je suppose...»

Et il vint effleurer mon autre épaule avec sa main, à cet instant je sentis une légère douleur, en étirant mon col, je pouvais apercevoir une marque de.. brûlure, j'était surprise, cela semblait si réel, mais en même temps si inconcevable. Aetius revint s'asseoir en face de moi et dit :

«Tu sais, le plus drôle là dedans c'est que si tu as un problème, tu ne le dois qu'à ta propre stupidité....»

Et il avait raison, le plus drôle c'était ma stupidité.. mais qui se serait douté d'une personne qui venait peut-être de lui sauver la vie, c'était.. déconcertant.

« Regarde, tu as accepté d'aller chez un simple inconnu qui a bien dit avant même de te sauver que te savoir violée par les dits malfrats ne le gênait pas outre mesure, pis encore, tu es entrée et tu as bu quelque chose sans t'assurer de sa provenance. De qui est-ce la faute au juste ? Vas y ? Je t'écoute ? Et que crois tu que je veuilles faire ? »

Juste après ces mots, il mis sa main sur le mur et fis apparaitre une porte.

« Voici la chambre d'ami, et voici la clé de la porte. »

Il me présenta la clé tout en m'expliquant pour les sanitaire et mon bras.. mais je ne pris pas la clé, je m'écarta même de lui.

«Qu'est-ce qui vous fait croire que je vais vous faire confiance une nouvelle fois..»

Tout en soutenant son bras endormi avec l'autre main, elle continua.

«..ou vous êtes stupide au point de croire que je vous ferais confiance une deuxième fois ou alors vous sous-estimez mon intelligence.. dans les deux cas, je ne vous fais pas confiance..»

Qui le serait, il venait de la droguer pour une quelconque raison et l'avais marqué par une brûlure..

«..Bon écoutez, mon père a beaucoup d'argent.. si c'est ce qui vous intéresse, laissez-moi partir et.. disons que je vous donnerais de quoi m'oubliez..Mmmh ?»

Bien, un pas vers la sagesse !  Elle reconnaissait un manqque de confiance, enfin, elle faisait le bon choix ! Mais avait-elle omis encore un détail ? Possible, et même sans aucun doute, oubliait-elle qu'elle pouvait très bien être prise au piège. Il avait fait apparaître la porte d'entrée, Non ? Alors qu'est ce qui l'empêchait de la faire disparaître. Mais bon, c'était l'état de choc qui faisait en sorte qu'elle ne soit pas assez lucide pour se montrer intelligente.

« Allons, calme toi, veux-tu, je n'ai franchement pas assez de temps à perdre pour négocier une rançon alors que je me fiche de l'argent, je n'en ai aucunement besoin ! Ne crois pas que l'argent est mon maitre mot, à vrai dire, tu m'intéresse plus que l'argent de papa, mais crois moi, je ne cherche pas à te faire du mal, juste à t'utiliser, car je ne peux pas faire certaines choses moi-même, et encore, je ne suis pas à une personne près, si tu me montres que tu es incapable de m'être utile, il se pourrait que je te relâche sans rien faire de mal, juste comme ça. Tu es un caprice de ma part, note le bien. »

Il se leva et s'approcha de la jeune femme qui avait eu le mouv ement de recul. Il n'avait pas besoin de s'imposer, juste de lui exposer les faits

« Maintenant, je te conseille de te reposer, demain, tu as une éprouvante journée qui t'attend, et si tu souhaites te faufiler dehors pendant que je dormirais, tu te mets le doigt dans l'oeil, la porte n'est plus là.....enfin, tu peux toujours aller vérifier. »

Il soupira et se dirigea vers le baquet pour commencer à faire un peu de vaisselle, tout était dit, il n'avait plus rien à ajouter sans trop en faire, cela devenait donc logique qu'elle n'était pas prisonnière, non, ar elle avait tout loisir de partir si elle se débrouillait assez bienn, juste qu'elle était fortemenr invitée à rester dormir ici cette nuit.

« Franchement après ma petite démonstration sur ton épaule et après avoir vu ce qui t'entoure, penses-tu sérieusement que si j'avais voulu du mal de ta petite personne, j'aurai agi de manière si grossière ! J'ai juste besoin d'aide et je t'ai élue pour ça ! Voilà tout. Tu repartiras bien vite comme si de rien était et tu verras que quelque soit le temps que tu passeras ici, il n'y aura pas eu plus de vingt quatre heures d'écoulées dehors !

Maintenant, si tu le souhaites vraiment, tu peux t'en aller et passer à côté de ta chance, une chance que des centaines, des milliers de personnes d'envieraient, la chance de voir la magie ! »

Il ne semblait pas intéressé par l'argent, bizarrement je trouvais ça normal de la part d'un.. magicien, c'était moi qui l'intéressait, mais de quelles façons ? De la même que les voyous de tout à l'heure ? Il semblait avoir besoin de mon aide.. mais, pourquoi faire..
Il se leva et s'approcha de moi, m'exposant les faits.

« Maintenant, je te conseille de te reposer, demain, tu as une éprouvante journée qui t'attend, et si tu souhaites te faufiler dehors pendant que je dormirais, tu te mets le doigt dans l'oeil, la porte n'est plus là.....enfin, tu peux toujours aller vérifier. »

Il se dirigea vers.. un baquet, drôle d'idée d'utiliser un baquet de nos jours, mais avec les événements précédent, cela semblait normal..
Il ne se souciait plus de moi, comme s'il me laissait faire ce que je voulais, avant de dire dans un soupir.

« Franchement après ma petite démonstration sur ton épaule et après avoir vu ce qui t'entoure, penses-tu sérieusement que si j'avais voulu du mal de ta petite personne, j'aurai agi de manière si grossière ! J'ai juste besoin d'aide et je t'ai élue pour ça ! Voilà tout. Tu repartiras bien vite comme si de rien était et tu verras que quelque soit le temps que tu passeras ici, il n'y aura pas eu plus de vingt quatre heures d'écoulées dehors !

Maintenant, si tu le souhaites vraiment, tu peux t'en aller et passer à côté de ta chance, une chance que des centaines, des milliers de personnes d'envieraient, la chance de voir la magie ! »

Yui se dirigea vers, la porte de la cuisine qui donnait sur l'unique couloir par où ils étaient rentrés.. elle regarda discrètement et vit que la porte d'entrée n'était plus là, un cul-de-sac. Elle regarda Aetius et demanda calmement.

«De la.. magie.. Qu'est-ce qui vous fait croire que j'ai envie de vous aider ou encore, de revoir de la magie..»

Yui se rendait compte de ses propos assez.. provocateur et tourna vite sa phrase, après tout, elle était à sa merci, il fallait mieux faire profil bas.

«..Ce que vous dites est beaucoup trop vague, personne à ma place n'aurait envie de rester avec vous, après ce que vous avez fait.. bien que je ne doute pas un instant de votre savoir en la matière..»

Se redressant de toute sa hauteur, il pointa un index accusateur vers la jeune femme, comme si il allakit la tambouriner d'accusation absolument horribles.

« Comment oses-tu ? Fichtre et foutre gamine ? Que crois tu ? Que parce que tu ne veux pas y penser tu ne verras pas cela de partout dans ta vie !  Petite inconsciente, ta vie au quotidien est pleine de la magie, regarde, le fric de ton père arrive comme par magie dans sa poche et dans la tienne, regarde quand pap vient te border le soir et qu'il fait un bisou sur le front pour chasser les mauvais rêves, c'est magique, oui, c'est magique qu'il arrive  à se libérer tant de temps ! »

Oui, il se foutait de sa figure ouvertement, mais en même temps, sa réaction était comique, elle pensait ne rien avoir à faire avec il lui avait mis des mensonges sous le nez d'un seul coup, mais comment ne pas vouloir y croire !

« Bon dieu gamine, je te parle de la vraie magie, celle qui peut te transporter d'ici à chez toi en un claquement de doigt, ou celui de parler avec un proche décédé ! Je te parle de voir des choses que tu ne reverras plus jamais et tu passes ton tour ! J'imagine bien la réaction des proches si ils apprenaient que tu fuyais devant ce que eux considèrerons comme un charlatan. C'est le quartier, tout se sait très vite.... »

Ho non, ce n'était pas une menace, mais des faits, perso, quand il étai jeune, il détestait être traité de pétochard ! Mais bon, il ne fallait pas qu'elle commence à lui courir sur le haricot, sinon, il allait employer des moyens déplorables pour pouvoir faire ce qu'il voulait, et cela ne l'enchantait pas le moins du monde !

« Écoute ma petite, je te conseille de te clamer et de réfléchir, il y a un endroit où tu peux être tranquille puyisque tu ne peux pas sortir d'ici, tu as au moins de quoi t'enfermer dans un endroit pour être tranquille durant toute cette nuit, je suis près à faire un serment sur mon don stipulant qu'une fois enfermée dans ta chambre, je ne t'importunerai pas jusqu'au lendemain matin ! Tu veux que je fasse quoi de plus ? Que je te laisse partir ? Ça c'est hors de question, alors voit les avantages ! Tu auras une bonne et longue nuit de sommeil pour te calmer et repenser à tout ça ! Et si tu veux, il y aura même un bain bien chaud qui t'attendra ! »

Il vint ooser la main sur son épaule et  lui envoya une vague d'apaisement, une sorte de magie curative pour calmer un peu les personnes sur les nerfs.

« Et dans le pire des cas, tu n'es que dans un mauvais rêve qui finira dès que tu t'endormiras dans ton songe !  Alors écoute, calme toi un peu et va donc te coucher ! »

Bien d'avoir essayé de ne pas envenimer les choses avec ma phrase, ce n'eut pas l'effet escompter, il se retourna pour me répondre, tout en me pointant du doigt.

« Comment oses-tu ? Fichtre et foutre gamine ? Que crois tu ? Que parce que tu ne veux pas y penser tu ne verras pas cela de partout dans ta vie !  Petite inconsciente, ta vie au quotidien est pleine de la magie, regarde, le fric de ton père arrive comme par magie dans sa poche et dans la tienne, regarde quand pap vient te border le soir et qu'il fait un bisou sur le front pour chasser les mauvais rêves, c'est magique, oui, c'est magique qu'il arrive  à se libérer tant de temps !

Bon dieu gamine, je te parle de la vraie magie, celle qui peut te transporter d'ici à chez toi en un claquement de doigt, ou celui de parler avec un proche décédé ! Je te parle de voir des choses que tu ne reverras plus jamais et tu passes ton tour ! J'imagine bien la réaction des proches si ils apprenaient que tu fuyais devant ce que eux considèrerons comme un charlatan. C'est le quartier, tout se sait très vite.... »

Yui ne savait pas quoi en penser, bien-sûr qu'elle voulait voir de la vraie magie, cela lui permettrait de se rendre compte qu'elle n'a jamais été folle, mais, en même temps, cela l'effrayait.

« Écoute ma petite, je te conseille de te clamer et de réfléchir, il y a un endroit où tu peux être tranquille puyisque tu ne peux pas sortir d'ici, tu as au moins de quoi t'enfermer dans un endroit pour être tranquille durant toute cette nuit, je suis près à faire un serment sur mon don stipulant qu'une fois enfermée dans ta chambre, je ne t'importunerai pas jusqu'au lendemain matin ! Tu veux que je fasse quoi de plus ? Que je te laisse partir ? Ça c'est hors de question, alors voit les avantages ! Tu auras une bonne et longue nuit de sommeil pour te calmer et repenser à tout ça ! Et si tu veux, il y aura même un bain bien chaud qui t'attendra ! »

Tout en terminant sa phrase, Aetius posa sa main sur mon épaule, étrangement, cela m'a apaisé..

« Et dans le pire des cas, tu n'es que dans un mauvais rêve qui finira dès que tu t'endormiras dans ton songe !  Alors écoute, calme toi un peu et va donc te coucher ! »

Me coucher.. que pouvais-je faire d'autre, si c'était une illusion ou un rêve, il est vrai que dormir serait la meilleure des choses..

«Bon ! très bien, je vais aller me coucher.. Ô maitre..»

Après avoir fini sa phrase sur un ton légèrement hautin, elle prit la clé qui se trouvait toujours près de la porte de la chambre d'ami et entra. Juste avant de refermer la porte derrière, elle marmonna entre ses dents sans se retourner.

«Hum..merci encore pour tantôt..»

Elle faisait référence aux voyous, après tout s'il l'avait aidé, il ne pouvait pas être si mauvais que ça..