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[FINI] Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

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Mélinda Warren

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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 15 dimanche 27 mai 2012, 16:15:18

Pleurer sur commande n’était visiblement pas facile, et Maëlys en semblait sur le coup incapable, si tant est que Mélinda lut dans son regard une espèce de franche panique, à l’idée de décevoir sa Maîtresse, et, surtout, de se faire encore battre. Mélinda avait en effet été claire ; que Maëlys ne s’attende pas à avoir de la pitié. Pour Mélinda, la jeune femme n’était rien de plus qu’une espèce d’insecte, la représentante d’une sous-race. Alors, pour se forcer à pleurer, Maëlys choisit de se faire mal. Silencieuse, la vampire se mit à califourchon sur elle, afin de la regarder faire. Elle se pinça les tétons, avec hésitation, les doigts tremblants, malmenant ses plaies déjà malmenées, ce qui l’amena finalement à pousser quelques cris de douleurs, et à laisser des larmes éclairer son visage.

Avec un large sourire de contentement, Mélinda retourna s’allonger sur le corps chaud et doux de son esclave, et observa la coulée de larmes sur ses joues. Elle glissa une main dans son dos, attrapant ses fesses, afin de les pincer, tout en ordonnant, impérieuse :

« Encore ! Chiale comme un gros bébé ! Allez, dépêche-toi ! »

Elle observa la coulée de larmes, et entreprit alors d’agir. Sa langue remonta le long de sa joue, filant le long de la coulée de larmes, avant de redescendre, son nez frôlant la joue rouge de Maëlys, et de remonter avec sa langue. Mélinda poursuivit ce petit ménage pendant un certain temps, pinçant toujours un peu plus douloureusement le cul de l’esclave. Il n’y avait en soi aucun plaisir à sexuel à lécher des joues trempées, mais la vampire trouvait ça délicieusement pervers. Elle poussa de petits soupirs, sentant son propre désir monter rapidement,. Elle termina le tout en embrassant les yeux de Maëlys, se déplaçant d’un œil à l’autre, cessant ainsi de malmener ses fesses pour prendre entre ses mains sa tête, caressant avec ses griffes ses belles joues.

Mélinda baisa les yeux de la femme pendant une petite minute, avant de se remettre à califourchon sur son corps, et de tendre lentement une main pour caresser son cou, ses ongles glissant sur l’emplacement de sa veine, l’endroit précis où mordre. Les canines de Mélinda pointèrent alors, et sa langue se promena dessus, avant qu’elle ne lui fasse un grand sourire.

« En théorie, ma belle, je devrais planter mes crocs dans ta gorge, et te vider de la moindre goutte de sang, ce qui, naturellement, te tuerait. Néanmoins... Tu me plais, ma belle. Et je ne suis pas du genre à sacrifier inutilement des esclaves précieuses. Alors, je vais t’offrir une chance de vivre. Non, ne dis rien, fit-elle alors en mettant un doigt sur la bouche de Maëlys, tu auras l’occasion de parler, ma petite beauté... Tout comme j’aurais amplement l’occasion de boire ton sang. »

Mélinda écarta alors son doigt, et se déshabilla. Elle ôta sa longue robe, n’ayant plus que sa culotte. Mélinda poussa alors Maëlys, l’envoyant s’écraser par terre. Elle lui présenta alors ses pieds, et n’eut aucune difficulté à faire pointer son sexe dans sa culotte, son pénis formant une belle bosse déformant son sous-vêtement.

« Garde la tête baissée, chienne, et lèche-moi les pieds... Remonte vers ma culotte, et, avant de l’enlever, tu la lècheras. Tu utilises ensuite tes petites dents pour la glisser, et tu suceras ce que tu trouveras. Et, pour te motiver... »

Mélinda avait récupéré un chat à neuf queues, et l’abattit d’un coup sec sur le dos recourbé de son esclave. Un nouveau sourire de plaisir éclaira ses lèvres, renforçant son érection. Chaque fois qu’elle sortait son sexe masculin, le plaisir qu’elle ressentait était décuplé.

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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 16 mardi 29 mai 2012, 10:09:00

La souffrance, cette torture que je m'infligeais à moi-même, était insupportable. Mais nécessaire, si je voulais échapper à pire supplice encore... A la merci des désirs les plus pervers de la vampire, je triturais mes seins douloureux, ce qui m'arrachait de petits couinements, et des larmes qui lui plaisaient tant. Des larmes qu'elle se mit à lécher, allongée sur mon corps, avec beaucoup de satisfaction. Elle adorait me voir pleurer, cela se lisait clairement dans son sourire, elle adorait faire preuve d'un sadisme profondément pervers... et quelque chose me disait que j'étais encore loin d'avoir tout vu... Vivre des choses pire que ce que je venais de traverser ? Rien que d'y penser, j'en avais des frissons...

Elle me pinça les fesses, assez fort pour me faire couiner de plus belle, m'ordonnant de pleurer davantage. Ce que je pu faire sans trop de difficulté... Je sanglotais, littéralement, le corps tremblotant, le flot de larmes qui s'écoulait sur mes joues s'accentuant, pour le plus grand plaisir de ma maitresse.

Elle se releva ensuite, caressant mon cou du bout de ses griffes, ses crocs de vampire mis en évidence. Allait-elle me mordre ? La panique commençait peu à peu à me gagner... La simple idée de servir de festin à cette vampire me faisait tourner de l'oeil. Sentir ses crocs se planter dans ma gorge, me pomper tout mon sang... brrr ! Heureusement, elle ne comptait pas s'abreuver, du moins pas tout de suite. Ce qui me laissait un peu de répit, suffisamment pour lui faire changer d'avis, lui montrer que je mérite un petit peu de clémence ? Peut-être, après tout... J'avais vraiment peur, cette Mélinda me terrifiait...

Bien qu'étant un tout petit peu calmée, je sanglotais toujours, et ma maitresse me poussa sans ménagement de la table, me faisant lourdement tomber à terre. Je ne pu certes pas réprimer un petit cri de douleur, mais je ne bronchais pas. Je ne pouvais pas me le permettre... Elle se positionna alors devant moi, et ôta l'ensemble de ses vêtements, ne conservant qu'une simple culotte, culotte dans laquelle l'on voyait clairement se profiler la forme... la forme d'un phallus !? Moi qui pensait que plus rien ne pouvait me surprendre, voilà que je faisais face à une femme dotée d'un sexe d'homme, on croirait rêver... mais la douleur que j'ai ressenti jusqu'alors était bien réel, ce qui ne laissait aucun doute quant à l'authenticité de ce que je voyais.

* Garde la tête baissée, chienne, et lèche-moi les pieds... Remonte vers ma culotte, et, avant de l’enlever, tu la lècheras. Tu utilises ensuite tes petites dents pour la glisser, et tu suceras ce que tu trouveras. Et, pour te motiver...

Avant que je ne pu faire quoi que ce soit, un violent coup de fouet s'abattit sur mon dos, y laissant une succession de longues traces rouges, dont la couleur contrastait énormément avec la blancheur de ma peau.

* AAH !!

Me cambrant sous la douleur, je ne pu m'empêcher de pousser un puissant cri, bref mais intense, à l'image de ce coup de fouet, aussi sec que redoutable. Je me remis à sangloter... non pas à cause de la douleur, même si elle était effectivement cuisante, mais tout simplement parce que psychologiquement aussi, je n'en pouvais plus. Pourquoi était-elle si cruelle !? Qu'avais-je fait pour mériter un tel traitement !? Etait-ce donc mon destin, de finir ma vie en tant que poupée de chair, à servir d'exutoire à tout les plaisirs malsains et pervers de cette vampire ? Cela faisait beaucoup, pour mes frêles épaules... mais, elle ne me laissait malheureusement pas le choix.

* Ou-oui, Maitresse... - chuchotais-je, entre deux sanglots.

Obéissante, je pris délicatement le pied de ma maitresse entre mes mains, et commença à le lécher, tout doucement. Je passais ma langue au dessus, la laissant glisser sur sa peau, douce et si froide... Je me concentrais sur ma tâche, essayant d'oublier la douleur qui irradiait mon dos. Je léchais son pied avec application, montant de la base de ses doigts jusqu'aux chevilles, à plusieurs reprises. Puis je montais doucement le long de sa jambe, me glissant un peu sur le coté intérieur. Je léchais son mollet, effectuant plusieurs aller-retour dessus, passais ma langue dans le creux de son genoux, remontais tout le long de sa cuisse. Je léchais ses jambes, comme une chienne... Oui, c'était ça, j'étais devenue sa chienne... je me sentais si soumise, si insignifiante...

Arrivée à bout de mon ascension, ma langue s'arrêta à la limite de la culotte de la vampire. Ce qui se cachait derrière... même porté par un homme je n'en avais jamais approché une d'aussi près, avant aujourd'hui. Je n'en avais même d'ailleurs jamais vu... et je devais la sucer ? J'avais quelques vagues connaissances théoriques à ce sujet, du même niveau que "comment on fait les bébés", mais sans plus. J'espérais que ça suffirait, que je ne la décevrais pas... Néanmoins, je ne pu m'empêcher de rougir, je le sentais clairement, cette légère chaleur qui envahissait mes joues à l'idée d'approcher cette instrument du désir masculin. Ne sachant par où commencer, j'approchais timidement mes lèvres de son tissu, y déposant un baiser... je sentis alors sa verge frémir à l'intérieur, ce qui me fit reculer d'un bond, deux pas en arrière. Un mauvais réflexe, qui me fit un petit peu paniquer.


* Je-je suis désolée !  Maitresse ! Je... c'est la première fois que... que je fais ce genre de chose... - bredouillais-je, la regardant avec des yeux de chiot battu, avant de les baisser, un peu honteuse.
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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 17 mardi 29 mai 2012, 20:31:47

Dressée, Maëlys s’approcha des jambes de Mélinda, qui la regarda, hésitant à abattre à nouveau son arme sur son joli dos. Sa belle peau blanche était striée de zébrures rouges, de fines et délicates lignes qui devaient la faire souffrir. Il était tentant de continuer, de lever le chat, et de frapper à nouveau, de se délecter des hurlements de souffrance de cette dernière, mais quelque chose disait à Mélinda que, si elle persévérait dans cette voie, son esclave allait tout simplement craquer. La vampire la sentait en effet extrêmement fébrile, prête à craquer. Elle semblait psychologiquement à bout de nerfs, sur le point de s’effondrer, et Mélinda tenait à éviter cela. Le chat se contenta donc de caresser le dos de Maëlys, les lanières en cuir glissant sur son corps tremblant, comme une silencieuse et froide menace. Un sourire sur les lèvres, Mélinda la sentait promener ses lèvres sur ses pieds. Sa petite chienne se débrouillait très bien avec ses pieds.

*Elle est faite pour être une esclave... Bran est peut-être un imbécile, mais il a un réel talent pour me trouver de belles petites femmes... Je peux le sentir... Lire son sang... Elle a peur, oui, mais elle est aussi très excitée. Petite perverse...*

Un sourire sur les lèvres, Mélinda continuait à promener son chat, sentant la tête de Maëlys remonter le long de ses joues. Elle en mouillait, tant c’était bon ! Le fétichisme, c’était l’un des fantasmes de Mélinda, indiscutablement. Elle remontait le long des belles et longues jambes de Mélinda, de sa Maîtresse, jusqu’à atteindre sa culotte. Elle eut un temps d’hésitation devant le sous-vêtement gonflé de Mélinda. Sa verge en sortait partiellement ; elle était trop grosse pour rentrer dans un sous-vêtement fait pour une femme. La culotte la serrait, et Mélinda, pour être honnête, ne serait pas fâchée d’en être débarrassée.

Maëlys embrassa alors le tissu, ce qui fit remuer la queue de la vampire, et elle eut un sursaut en la sentant remuer, ce qui l’amena, effrayée, à bondir en arrière. Un peu surprise, Mélinda sortit brutalement de l’espèce de rêverie dans laquelle la langue de Maëlys l’avait plongé, et la regarda en fronçant les sourcils.

« Je-je suis désolée !  Maitresse ! Je... c'est la première fois que... que je fais ce genre de chose... »

La vampire ne dit rien suite à cette excuse, et se releva lentement, posant ses deux pieds sur le sol, s’extirpant de la table. Sa culotte glissa pour de bon, révélant son membre en érection. C’était un pénis complet, incluant, outre la verge, deux testicules, ne laissant que très peu de place pour l’intimité de la femme, pour sa fente. Mélinda regarda Maëlys, sans rien dire, et s’écarta alors d’elle, s’approchant d’une espèce de meuble noir et poussiéreux, qu’elle ouvrit.

« Ceci, chienne, c’est une vierge de fer. Je suppose que tu connais son utilité, non ? »

La vierge de fer était une espèce de cellule hérissée de bouts pointus, de lames tranchantes. La victime enfermée à l’intérieur souffrait pendant des heures. Mélinda laissa à Maëlys le temps de comprendre, mais, comme elle sentait la panique croître en elle, elle décida de préciser :

« Ce que je te fais subir, je le fais pour te dresser, esclave... Pour te dresser et pour m’amuser. Tu sais ce qui t’attend si je décide un jour de te punir. Mets-toi à quatre pattes, maintenant. »

Mélinda se rapprocha du corps de la femme, et récupéra un fouet. Elle tourna autour du corps nu et soumis de Maëlys, sa queue frottant contre sa peau, et alla se placer derrière elle, enfonçant son membre contre ses fesses. La vampire la gifla alors, frappant son cul avec le plat de sa main. Elle approcha ensuite son sexe de son anus, caressant sa croupe, faisant glisser sa verge le long de cette partie de son corps.

« C’est la première fois que tu vois une queue, alors ? J’en déduis donc que tu es vierge... Rassure-toi, tu ne le seras plus ce soir, car je vais te baiser comme jamais. Je te baiserai pendant des heures, et tu hurleras. Je me nourrirai de ton sang pour continuer à te baiser. Car, après tout, tu n’es rien d’autre qu’une pute doublée d’une chienne. Or, les femmes comme toi ne sont nées que pour être baisées et enculées. »

Mélinda s’écarta alors du postérieur de Maëlys, et la fouetta en plein milieu du dos. La vampire alla se positionner devant Maëlys, son sexe caressant son nez et ses joues.

« Être désolée ne suffit pas ! trancha-t-elle, impérieuse. Avoir peur d’une queue, c’est ridicule ! Regarde-là ! En quoi ma bite peut-elle t’effrayer, hein ? Elle n’a pas de crocs, pas de griffes, elle ne te tranchera pas les dents ! »

Un nouveau coup de fouet claqua alors sur le dos de Maëlys, tandis qu’elle enfonçait son sexe contre la joue de la femme.

« Et un coup de queue, ça ne fait pas mal, n’est-ce pas ? C’est même plutôt agréable... Maintenant, tu vas prendre ce sexe dans ta bouche, et tu vas le sucer. Et je jouirai dans ta chaude gorge, et tu boiras mon sperme. Ensuite... Ensuite, nous irons dans ma chambre, ma petite chienne. Allez... Allez, viens sucer ma queue, ma salope. »

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Maëlys

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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 18 mercredi 30 mai 2012, 20:13:43

Le visage baissé, les joues empourprées par la gêne, je m'attendais à recevoir le châtiment de ma maitresse d'une minute à l'autre... à sentir de nouveau les lanières de cuir de son fouet me flageller... J'en frémissais d'effroi rien que d'y penser. Mais, non, à ma grande surprise, elle ne s'énerva pas du tout, se contentant de se lever pour se placer près d'un espèce d'énorme coffre. Une agréable surprise, et je n'allais pas m'en plaindre !

Elle m'expliqua ensuite l'utilité de ce coffre. Une vierge de fer... Un instrument de torture barbare, et terriblement cruel, utilisé il a plusieurs siècles. Je déglutis avec difficulté, très anxieuse. J'avais tout à fait conscience que tout ce que j'avais enduré jusqu'ici n'était que de gentilles caresses, en comparaison à ne serait-ce qu'une minute de ce supplice... Qui sait quelles atrocités cette Mélinda avait déjà commis ? Sa cruauté semblait sans limite...

Suivant les ordres de ma maitresse, je me mis à quatre pattes près d'elle, à ses pieds, attendant sagement de voir ce qu'elle attendait ensuite de moi. Je sentis sa queue frôler ma peau, je restais silencieuse, aussi impassible que possible, mais ce contact me faisait frissonner de dégout ! Enfin, de dégout... cela restait tout de même des caresses, ce n'était pas désagréable non plus... Mais à quoi pouvais-je bien penser ! Cette Mélinda, elle me faisait perdre la tête...

Bien malgré moi, je frissonnais davantage, lorsque son sexe se plaqua contre mes fesses. Le souvenir de ma précédente sodomie était toujours présente, et les séquelles encore perceptible... Je sentis les battements de mon coeur s'accélérer, lorsqu'elle me dis que je n'étais qu'une femme bonne à être enculée. Mon dieu... Au fond de moi, je priais pour qu'elle laisse mon cul tranquille, qu'elle n'ai pas l'idée de reproduire la scène de la dernière fois. Elle avait beau être une femme, c'était une vampire, une vampire sadique même, et le résultat serait selon moi terriblement douloureux...

* AAAAHH !! - criais-je de douleur.

Le coup de fouet s'était abattu sur mon dos, sans prévenir. Moi qui me pensais sauve, j'avais tout faux ! La douleur était cuisante, m'obligeant à me cambrer sur le coup, le visage relevé. Bon sang ! Elle était aussi dangereuse qu'imprévisible... Elle se plaça devant moi, tandis que je baissais les yeux, par respect, mais aussi pour ne pas croiser du regard la verge contre-nature qu'elle me présentait... Un nouveau coup de fouet me lacera le dos, m'arrachant un nouveau cri de douleur, dont profita Mélinda pour glisser de force sa queue entre mes lèvres. Beurk ! Je fermais machinalement les yeux, et réprimais avec une certaine difficulté un haut le coeur (dont les conséquences auraient été fatales pour moi...).

Malgré tout... j'avais peur, j'avais terriblement peur, peur de mal faire, d'éveiller son courroux, de subir ses cruels châtiments... Oui, elle me dressait. J'étais devenue sa chienne, sa chienne soumise et docile, et elle me dressait. A lui obéir. A lui sucer la queue. Tout simplement. J'étais tombée tellement bas... Mais cela n'avait plus d'importance, désormais. Je rouvris lentement les yeux, m'efforçant de faire face à mon destin, et me soumis au désir de ma maitresse. Comme la chienne obéissante qu'elle voulait que je sois.

Du bout de la langue, je titillais cette intruse qui s'était glissée dans ma bouche, je la sentais tendue, bien dure. Je commençais tout doucement à réaliser des va-et-vient, mais assez bref. Je me sentais un peu mal à l'aise, c'était vraiment bizarre comme sensation... Néanmoins je ne cessais d'offrir à ma maitresse la fellation qu'elle me demandait, m'efforçant de sucer sa queue avec suffisamment de vivacité. Petit à petit, autrement dit une fois l'appréhension des premiers instant passée, je me sentais plus confiante, mes mouvements devinrent plus audacieux, plus soutenus. Mes lèvres coulissaient avec sensualité le long de son membre, à un rythme de plus en plus fougueux, tandis que ma langue frottait sans cesse son gland. De temps à autre, je lançais des regards intimidés à ma maitresse... pour voir si cela lui plaisait, si elle était satisfaite de ce que je faisais...
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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 19 jeudi 31 mai 2012, 15:19:19

Maëlys était dressée, domptée, vaincue. Elle accueillit le membre de sa Maîtresse sans oser protester, sachant très bien ce qu’elle risquerait. Mélinda tendit une main pour attraper les longs cheveux de la superbe femme, afin de bien veiller à ce que cette fellation ne se termine pas. Le fouet était dans son autre main, et elle sentit des frissons de plaisir la traverser. Son pénis, quand il était sorti, était une zone érogène de haut niveau, quelque chose de fort et de très puissant. La vampire en gémit de plaisir, tremblant sur place. Des frissons traversèrent tout son être, et elle avait les yeux clos, gémissant lentement.

« Haw, qu’est-ce que c’est bon ! Haaannn... »

Mélinda savourait ce moment, et le plaisir initial qu’elle ressentit, et qui l’avait presque anesthésié, s’atténua, lui permettant ainsi de réaliser que sa petite esclave ne faisait pas grand-chose. Elle était comme sclérosée, attendant tout simplement que la vampire agisse. Le sexe de la vampire remuait dans sa bouche parce que Mélinda remuait les jambes, et non parce que la jeune femme agissait. Son esclave était terrorisée, indéniablement, ce qui l’empêchait d’agir. Mélinda soupira de frustration. Elle était expérimentée dans ce domaine, et son fouet claqua à nouveau sur le dos de Maëlys.

« Je t’ai demandé de me sucer, salope, pas d’attendre que le temps passe ! Si tu aimes rien faire, peut-être devrais-je te foutre tout de suite dans la vierge de fer ?! »

La vampire parlait d’une voix forte, autoritaire, afin que Maëlys se réveille un peu. Naturellement, la vampire ne désirait nullement la mettre dans la vierge. Si elle faisait ça, elle n’avait aucun doute : Maëlys en mourrait, et, si, par un miracle incroyable, elle survivait, son esprit, lui, serait brisé. Elle ne tirait plus rien d’elle. La menacer était toutefois le meilleur moyen de la rendre coopérative. Mélinda, avec sa queue toujours enfoncée dans la bouche de son esclave, caressa alors sa nuque, avec une tendresse et une douceur insoupçonnables.

« Remue ton corps... Utilise tes genoux pour ça, et sers-toi de tes mains... Allez, allez ! Si tu veux être une bonne pute, et satisfaire ta Maîtresse, tu dois apprendre à te servir de ton corps ! »

Mélinda enfonça son membre dans la bouche de Maëlys, caressant sa gorge, le glissant si loin que, pendant quelques secondes, les lèvres de l’esclave tapèrent contre les bourses de Mélinda. Son pénis avait quelques poils pubiens à hauteur des testicules, et elle retira ensuite son sexe assez légèrement, afin de ne pas l’étouffer. La Maîtresse attrapa alors l’une des mains de Maëlys, et la mit derrière elle, vers ses fesses.

« Sache que ta Maîtresse adore qu’on s’occupe de son joli cul ! Appuie-toi sur mes fesses pour ne pas tomber, et pouvoir remuer ton corps. Vas-y, allez ! Allez, ma petite pute ! Et utilise ton autre main pour jouer avec mes bourses ! Hum, vas-y... »

La vampire sourit, et retourna caresser les cheveux de Maëlys.

« En tout cas, tu as une belle bouche... Tes lèvres sont faites pour sucer des queues, et la queue de Maîtresse est bonne, non ? Oh oui, tu aimes la quête de ta Maîtresse, ma petite pute, alors, occupe-t-en bien ! »

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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 20 lundi 04 juin 2012, 15:26:02

Son fouet claqua, laissant ses innombrables lanières zébrer mon dos de vives traces rouges. La douleur était intense, cuisante, réveillant par la même occasion celle de ces précédents coups de fouets. Bon sang ! Je voulu hurler, mais seul un gémissement étouffé parvint à s'échapper d'entre mes lèvres, je sentais une chaleur lancinante envahir ma peau, se répandre à travers mon corps, provoquant en moi des spasmes de frissons incontrôlées. Mon corps se cambrait sous l'effet de ses coups, comme pour tenter de se soustraire à la douleur... en vain. Mélinda avait un contrôle absolu sur moi, sur mon corps, elle avait la possibilité de faire ce qu'elle voulait de moi, sans que je n'ai mon mot à dire... Tout ce que je pouvais faire, c'était lui faire passer l'envie de me punir, de me faire souffrir, tenter au mieux de la satisfaire...

* Je t’ai demandé de me sucer, salope, pas d’attendre que le temps passe ! Si tu aimes rien faire, peut-être devrais-je te foutre tout de suite dans la vierge de fer ?!

Visiblement non, moi qui pensais bien faire, je me trompais lourdement au sujet de cette fellation. Cela ne lui plaisait pas assez, malgré les efforts que je faisais pour surmonter ma peur, la peur de souffrir, que le fouet qu'elle tenait entre les mains me rappelait sans cesse, ainsi que mon appréhension envers ce sexe masculin, cette épée de chaire frétillante, inquisitrice, s'étant glissée de force entre mes lèvres et réclamant de moi des soins tous particuliers... ce sexe qui me remplissait la bouche, ne me laissant d'autre choix que de le sucer, correctement, de satisfaire les désirs de ma maitresse, d'utiliser mes lèvres pour la stimuler, lui procurer du plaisir, sans faiblir, jusqu'à ce qu'elle jouisse, qu'elle inonde ma gorge de sa semence... Ce que je semblais très mal faire, et les conséquences n'avaient d'ailleurs pas tarder à s'en faire ressentir.

Ma Maitresse voulait que je sois une bonne pute, et que je la satisfasse... Sans prévenir, sa queue s'enfonça profondément dans ma bouche, son gland essayant de se frayer un chemin à travers ma gorge, m'étouffant par la même occasion. C'était vraiment désagréable, j'avais l'impression d'avoir la nausée, que j'allais régurgiter, et son membre qui me remplissait la bouche, me faisait suffoquer... je ne bronchais pas, prenant mon mal en patience, malmenée pendant quelques secondes, avant qu'elle ne se retire légèrement, me laissant respirer à nouveau. Si je devais espérer la satisfaire, je devais y donner du mien, utiliser davantage mon corps... J'allais essayer, même si je ne voyais pas vraiment comment je pourrais m'y prendre... Elle s'empara ensuite de mes mains, posant l'une d'elle sur ses fesses, et l'autre sur ses bourses, elle voulait que je joue avec, que je m'en serve pour lui donner encore plus de sensation, pendant je lui suçais la queue comme une petite pute, avec autant d'appétit que s'il s'agissait d'une délicieuse sucette... oui, elle n'avait encore rien vu, j'allais bien m'occuper d'elle, et lui sucer la queue comme une belle salope...

Fermant les yeux, ne me concentrant plus que sur ce sexe que je tenais entre mes lèvres, je m'attelais à la tâche. Ma bouche coulissait tout le long de son membre, que j'accueillais profondément en moi, doucement d'abord, puis de plus en rapidement. Les fesses de Mélinda m'aidait à conserver mon équilibre, je les pressais doucement entre mes doigts, tandis que mon corps tout entier vibrait au rythme de mes va-et-vient savoureux. Je me délectais de sa queue, la suçant avec passion, je me déhanchais aussi, afin de me permettre une plus grande intensité de mouvement, amplifiant grandement le plaisir que ma bouche lui procurait. C'était devenu davantage qu'une simple fellation, c'était comme si tout mon corps se mettait à son service, cherchait à la faire jouir, lui faire atteindre l'orgasme...

Ma langue ne restait pas inactive non plus, profitant de chacun de mes mouvements pour s'enrouler autour de son sexe, l'étreindre, la lécher, lui offrir encore plus de sensations... Je jouais de ma langue, comme si la queue de ma Maitresse était la chose la plus délicieuse qu'il m'ai été donné de gouter. Chacun de mes mouvements était accompagnée de bruits de succions, j'aspirais son sexe, avec une gourmandise folle. Je sentais qu'elle frémissait sous mes traitements, j'avais l'occasion de l'entendre exprimer son plaisir aussi. Mais je me concentrais uniquement sur ce qui occupait ma bouche pour le moment. Et je devais passer à l'étape supérieure...

Tout en ne cessant de masser ses bourses, le rythme de mes lèvres sur son membre s'accentua, je le suçais avec davantage d'ardeur, utilisant mes cuisses pour pousser, et recevoir son sexe encore plus profondément dans ma bouche, là où elle était la plus accueillante. Son gland tapait l'entrée de ma gorge, rentrant brièvement avant de la quitter aussitôt, chacun de ses coups me faisait mal, me donner envie de suffoquer, mais je continuais, la satisfaction de ma maitresse passait avant tout... Des larmes coulaient sur ma joue, pas tellement à cause de la douleur, mais surtout du traitement infligé, des larmes qui perlaient du coin de l'oeil, sur mes joues rosies, jusqu'à finir par s'écraser sur le sol...

Je sentis alors son sexe frémir, plus que d'habitude, délicieusement installé dans ma gorge étroite, et je n'eu pas a attendre longtemps avant de savoir pourquoi. Ma maitresse était en train de jouir, de puissantes giclées jaillirent de son membre, un liquide chaud et visqueux qui s'écoula jusqu'au fond de ma gorge. Ce gout, cette texture, c'était... c'était assez répugnant, mais je tentais de me contrôler, la laissant inonder ma bouche de son sperme... Obéissant à ses désirs, j'avalais chacune de ses giclées, du moins j'essayais, j'avais des haut-le-coeur à chaque fois, si bien qu'au bout d'un moment, je n'en pu plus, et sortit sa queue de ma bouche, recrachant ce qu'il restait de son liquide séminale... Je me rendis alors compte de l'erreur que je venais de commettre, en particulier quand je vis qu'une partie avait coulée sur son pied...

* Je-je suis désolée, Maitresse ! Je vais... je vais arranger ça...

Je m'appliquais alors à lui lécher les pieds, nettoyant en hâte ce qui avait malencontreusement atterri là. Ma langue caressait le haut de son pied, léchant sa peau, lapant son sperme comme une chatte laperait un bol de lait... En espérant qu'elle ai compris que les châtiments n'étaient plus nécessaire, je ne voulais vraiment plus tâter de ses cruels coups de fouets ! Déjà que les douloureuses marques qu'elle m'avait laissé ne s'estomperont pas avant au moins plusieurs jours, je pense...
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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 21 lundi 04 juin 2012, 18:20:51

Il fallait la motiver un peu, cette petite. Elle était belle, mais pas très maligne... Lente à la réaction. Mélinda lui avait dit comment faire, et c’était à elle de se débrouiller. Maëlys suivait une formation accélérée. Elle n’avait pas eu beaucoup de chance. Généralement, Mélinda était un peu plus douce avec ses esclaves potentielles, mis, ce soir, elle était en manque. Restant debout, la vampire laissa le temps à Maëlys de se faire à ce membre. C’était sa première fellation, et elle s’en sortit finalement plutôt bien. La main de Maëlys s’appuyait sur ses fesses, faisant frémir Mélinda, et, peu à peu, la jeune femme apprivoisait le membre bien dur et bien gros de Mélinda.

« Oh, oh, ma belle... Ma belle petite pute, hummm... »

La vampire soupirait, son fouet continuant à frotter le dos de l’esclave, le frottant lentement. Elle ne la fouettait plus. Pas pour le moment. Fermant les yeux, l’autre main de Mélinda caressait la tête de sa chienne, ses doigts se glissant dans ses belles mèches de cheveux, alors qu’elle sentait des vagues de plaisir monter à l’assaut de son corps. Son sexe était si bien dans cette bouche, sa belle queue était bien au chaud, entourée par les lèvres tendres de l’esclave. Sa verge tressautait à chaque caresse de la langue de l’humaine, et Mélinda fut si heureuse qu’elle en laissa tomber son fouet. Ce dernier roula sur le sol, glissant sur le dos meurtri de Maëlys, inoffensif.

Mélinda glissa ses deux mains dans les cheveux de Maëlys, mais elle agissait peu. Elle s’assurait surtout que sa verge resterait bien dans cette belle bouche, et remuait lentement son corps. Mélinda ne vit ainsi pas Maëlys pleurer, étant bien trop heureuse pour songer à s’occuper d’elle. Elle était au comble du bonheur. C’était tellement bon ! Si bon qu’elle ne put s’empêcher de parler à nouveau, entre des soupirs et des gémissements :

« Haaaa... Tu es très douée, ma pute, très talentueuse, haaaan... Tu l’aimes, ma grosse queue, hein ? Oh oui, tu l’aimes, tu l’adores, même ! Et tu auras l’occasion de la goûter encore bien des fois. Haaaaan ! »

La vampire se sentait venir, et retarda le moment de la jouissance autant que possible, afin que cette fellation dure, et que son orgasme soit digne de ce nom. Finalement, la vague la submergea, et elle jouit. Et elle jouit même plutôt bien, lâchant de nombreuses gicles de sperme. Elle commença au fond de la bouche de Maëlys, terminant ainsi sa gorge profonde. Son membre se recula ensuite, et elle eut plusieurs autres secousses, lâchant à chaque fois son sperme, poussant un petit cri à chaque fois. Impossible pour Maëlys de se retirer, les mains de Mélinda étaient comme crispées sur ses cheveux, l’empêchant ainsi de se replier. Ce fut Mélinda qui retira sa queue, en giclant sur la bouche de Maëlys.

Cette dernière cracha néanmoins un peu de sperme, et Mélinda la regarda. Sa queue avait perdu de sa splendeur, et frottait contre la joue de la jeune femme, laissant des traînées blanchâtres sur sa tête. La vampire remarqua alors qu’il y avait des traces de sperme sur son pied, et Maëlys, en paniquant, le nota aussi.

« Je-je suis désolée, Maitresse ! Je vais... je vais arranger ça... »

Maëlys s’appliqua alors à nettoyer le pied de sa Maîtresse, sa langue avalant le sperme. Elle était bien penchée sur son pied, et, silencieuse, la vampire la laissait faire, voyant son pied se faire lécher avec appétit. Maëlys ressemblait à une véritable neko ainsi... Il ne lui manquait plus que les oreilles de chat, la queue, et les ronronnements. Remarquant alors le fouet, Mélinda, qui se sentait apaisée, le récupéra, en contempla le bout, légèrement ensanglanté, observa le dos lacéré de Maëlys... Et le posa sur la table.

Ceci fait, Mélinda retira son pied propre.

« Redresse-toi un peu, ma belle, glissa-t-elle d’une voix douce. Assieds-toi... Comme le ferait une chatte... »

Mélinda fléchit les genoux, se mettant devant Maëlys, et lui fit un innocent sourire. Elle avait les joues barbouillées de sperme, et semblait surtout terrorisée. Alor,s la vampire se pencha vers elle, et l’embrassa sur ses lèvres couvertes de sperme. Un délicieux baiser, où leurs lèvres se collèrent les unes contre les autres. Un baiser de douceur et de tendresse. Mélinda rompit le baiser au bout de plusieurs secondes, et se releva :

« Relève-toi, ma belle. Tu as fait une superbe fellation, et tu as fait beaucoup de plaisir à ta Maîtresse. Alors, je crois que tu as bien mérité une petite récompense. Suis-moi. »

Mélinda s’était relevée, et sortit des cachots, allant vers une autre partie du manoir. Elle remonta dans les étages, et atteignit une salle de bains. La salle était assez petite, jouxtant sa chambre, et elle ouvrit le placard à pharmacie, en sortant une espèce de tube avec un liquide rosâtre à l’intérieur. De sa visite dans les cachots, Mélinda avait conservé une seule chose : son fouet. Il semblait de bien mauvaise augure pour Maëlys.

« Voici ma récompense, Maëlys... Ce liquide rosâtre est un aphrodisiaque très particulier. Vois-tu, le corps humain est animé par deux pulsions contradictoires et complémentaires : la recherche de l’amour et la recherche de la souffrance. Le plaisir et la douleur. Deux sentiments qui sont aussi proches que différents. Nous sommes autant attirés par l’un que par l’autre, même si le plaisir est souvent plus tentant. Cet aphrodisiaque fait pencher la balance d’un côté. Bois-le, ma petite chienne. »

Après cela, Mélinda comptait la fouetter, et voir ce qui se passerait.

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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 22 vendredi 08 juin 2012, 21:53:45

* Redresse-toi un peu, ma belle, glissa-t-elle d’une voix douce. Assieds-toi... Comme le ferait une chatte... - m'ordonna-t-elle avec douceur, après avoir retiré son pied que je léchais avec affection.

Obéissante, je me rassis correctement, à genoux, les mains posées au sol, entre mes cuisses. Le visage encore maculé du sperme de ma maitresse, je regardais non sans inquiétude cette dernière, attendant avec appréhension la suite des évènements. Et le sourire innocent qu'elle m'adressa, bien que bienveillant en apparence, ne me rassura pas vraiment. Le fait qu'une idée encore plus sadique que les précédentes en soit la cause n'était pas a exclure, loin de là... Étais-je devenue parano ? Un petit peu, possible... ses sautes d'humeur intempestives et leurs conséquences avaient de quoi rendre folle après tout, non ?

Malgré tout, je fus agréablement surprise de recevoir un tendre baiser de sa part, faisant par la même occasion voler en éclat mon appréhension. La douceur de ses lèvres m'apaisa presque instantanément. Cela faisait longtemps que je n'avais pas reçu autant de tendresse, c'était si bon... Les yeux clos, mes lèvres se scellèrent aux siennes quelques instants, me faisant oublier ma condition... J'en profitais, tout simplement. Il était si rare de la voir éprouver de la gentillesse, ou de l'affection. Elle rompit alors d'elle même le baiser, me laissant un peu sur ma faim. J'aurais aimé que ce moment dure encore un peu plus longtemps...

* Relève-toi, ma belle. Tu as fait une superbe fellation, et tu as fait beaucoup de plaisir à ta Maîtresse. Alors, je crois que tu as bien mérité une petite récompense. Suis-moi.

Elle avait apprécié ce que je j'avais fait ? Je n'irais pas jusqu'à dire que j'étais heureuse de l'apprendre, mais cela m'a tout de même énormément soulagée. Je n'y avais pas pensé pas sur le coup, j'avais été tellement concentrée sur la queue de ma maitresse sévère et exigeante que je n'y ai pas accordé d'attention, mais... bien malgré moi, cela m'avait étonnamment excitée, d'avoir été sa "belle petite pute"... comme en témoigne ma cyprine qui s'était écoulée sur mes cuisses. Qu'étais-je devenue ? Cela ne me ressemblait pas du tout, à croire qu'elle parvenait à me dresser comme elle l'entendait... Je me relevais alors, sans plus me soucier de ma nudité, et suivi ma maitresse avec une certaine impatience. J'allais recevoir une récompense ? Je lui avais donc plu à ce point là ? Je me demandais de quoi il s'agirait, et je ne tarderais pas à la savoir.

Arrivées dans sa salle de bain, elle me présenta une fiole, dont la couleur rosée n'était pas sans rappeler celle de mes cheveux. Selon ses dires, ce serait un aphrodisiaque... du moins, il semblerait. J'ai toujours cru que leur utilité était d'éveiller plus facilement le désir, et d'accroitre le plaisir qui en découlait, mais celui-ci semblait un peu diffèrent. Il affecterait aussi la douleur... la rendant plus plaisante ? Plus supportable ? Je n'avais pas très bien saisi où elle voulait en venir. Mais quoi qu'il en soit, elle voulait que je la boive, et je ne comptais pas la décevoir.

* O-oui, tout de suite maitresse...

Je débouchonnais la fiole, et bu la totalité du liquide d'une traite. Ce n'était pas vraiment mauvais, ni bon, en fait cela avait un gout plutôt neutre. Et puis... je m'attendais à subir un flot de nouvelle sensation, ou au moins sentir mes sens s'exacerbé un petit peu, mais, non. Rien. Cela ne semblait pas avoir eu de quelconque effet, enfin à première vue. C'était un peu étrange... Je regardais alors Mélinda, légèrement étonné, avant de lui confier d'une voix penaude.

* Je... je ne ressens rien de particulier, maitresse...
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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 23 samedi 09 juin 2012, 16:24:14

Obéissant sagement, Maëlys prit la fiole, et la but rapidement. Le goût n’était pas repoussant, mais on ne pouvait pas trop améliore ce dernier, sans porter atteinte à la solution originelle. Cette fiole était un mélange de magie et de chimie. Maëlys la but intégralement, et Mélinda récupéra le flacon, le reposant, observant attentivement les réactions sur le visage de Maëlys. Pour être honnête, c’était la première fois qu’elle testait cette potion. On la lui avait rapporté d’un marche. Le mage qui vendait les fioles affirmait que cette aphrodisiaque permettait de révéler les « passions cachées », une formule bien énigmatique. D’après lui, et d’après ce que Mélinda en avait compris, l’aphrodisiaque faisait voler les plus fortes inhibitions, en permettant aux gens d’exprimer sans gêne leur plus vif désir. Mélinda s’était énormément renseignée sur les pratiques sexuelles, et elle avait compris que le sexe était  parfois assimilé à une espèce de liberté sociale. L’amour était une chose pure, naturelle, et faire l’amour était une manière de briser les conventions que toute société instaurait, de pouvoir laisser parler la violence propre à chaque individu. Une société ne voulait pas de pulsions violentes, car elles étaient antisociales, sauf dans certaines tribus barbares, ou dans les corps d’armées. Et, là encore, la violence était entourée, encadrée par des disciplines strictes. L’amour permettait d’exprimer cette violence innée à chaque individu, mais, même là, cette violence propre aux espèces vivantes était nimbée, drapée dans les voiles du plaisir. Cette potion était supposée permettre de réveiller l’attirance naturelle des individus pour la violence.

Une théorie intéressante, mais, quand Mélinda vit le visage de Maëlys, elle déchanta légèrement. La jeune femme ne semblait avoir rien ressenti, aucune rougeur particulière, et, surtout, aucune inclinaison notable dans son sang. Avait-elle été arnaquée ? Terra était une planète remplie de beaux parleurs, de menteurs et d’escrocs.

« Je... je ne ressens rien de particulier, maitresse... » confia Maëlys.

Mélinda s’humecta les lèvres, laissant flotter quelques instants de silence. La vampire réfléchissait. Il était aussi possible que cette aphrodisiaque ne produise aucun effet immédiat, ou aucun effet visible. Après tout, son objectif n’était pas d’exciter la libido, comme la plupart des aphrodisiaques. Si ça avait été le cas, Mélinda l’aurait senti tout de suite. Ne se décourageant pas, elle s’assit alors sur le rebord de la table. Maëlys était un petit peu plus grande qu’elle, et, de cette manière, elle put enrouler ses jambes autour de la taille de Maëlys, afin de l’embrasser à nouveau. La vampire avait senti, quand elle avait embrassé Maëlys, à quel point cette dernière avait aimé ça. Or, Mélinda ne voulait pas que son esclave croit à une nouvelle manipulation de sa part.

Elle se blottit donc contre elle, pour un nouveau et très tendre baiser. La vampire était capable des pires excès de cruauté et des meilleurs moments de tendresse. L’une de ses mains alla tendrement caresser les mèches de cheveux de son esclave. Maëlys était intelligente, Mélinda le savait. D’ici un certain temps, elle saurait comment se comporter avec elle, comme la plupart de ses esclaves. La vampire n’était pas foncièrement mauvaise, il fallait juste apprendre à la connaître... Et Maëlys apprendrait. Car Mélinda ne comptait pas l’abandonner. C’était une petite perle, cette femme. Elle comptait la garder bien précieusement avec elle.

Finissant par rompre son baiser, la vampire adressa un léger sourire envers Maëlys, caressant avec ses mains les belles joues de cette femme. Maëlys aimait peut-être les baisers, mais elle devait se rassurer sur un point : Mélinda aussi ! La vampire aimait beaucoup de choses. Elle sourit à son esclave, et lui lança :

« Nous allons voir si l’aphrodisiaque a marché... Pour ça, je vais devoir te fouetter à nouveau... Mais ne t’en fais pas, je ne chercherai pas à te punir. Quand je te fouetterai, tu devras me dire ce que tu ressens, si... Si c’est pareil aux précédentes fois. Et tu n’as pas intérêt à me mentir. »

Mélinda ne lui avoua pas qu’elle le sentirait. Le sang ne mentait pas. Elle saurait si Maëlys lui mentirait ou pas, mais elle ne voulait pas que l’esclave le sache. Autrement, elle lui dirait la vérité. C’était une manière de voir si elle pouvait lui faire confiance ou pas. Mélinda caressa à nouveau les joues de Maëlys, comme pour la rassurer, glissant de nouvelles paroles réconfortantes :

« Ne t’en fais pas, ma belle, je ne compte pas te punir... Si tu n’apprécies pas le fouet, j’arrêterai de te battre, et je te ferais l’amour... Toute la nuit. »

Elle l’embrassa à nouveau, comme pour la rassurer, puis descendit alors, et tendit sa main pour que Maëlys la prenne. Mélinda ressemblait presque à sa petite sœur. Sa petite taille était son arme la plus terrible, à n’en pas douter. Comment pouvait-on se méfier d’une fille qui était à la fois petite et si belle, et dont les grands yeux verts ruisselaient de la plus sincère innocence ? Mais Maëlys ne s’y tromperait pas ; Mélinda pouvait être une vraie salope quand elle le voulait.

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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 24 lundi 11 juin 2012, 22:52:43

Ma remarque fut accueillie avec un silence des plus pesant. Je restais immobile, bien sagement, dans l'attente d'une réaction de sa part. N'importe laquelle ! Dans le doute, mon esprit s'imaginait les pires atrocités auxquelles cette Mélinda était capable de penser. Pourquoi me punirait-elle ? Simple, elle n'avait pas besoin de chercher bien loin, la moindre broutille lui suffirait, comme par exemple le fait que j'ai apparemment fait échouer ses plans. Je frissonnais légèrement, de peur surtout, mais aussi un peu de froid, étant restée nue depuis assez longtemps maintenant. En plus des fins granulés typique de la chair de poule, la surface de ma peau pâle était couverte de rougeurs diverses, provenant de mes "aventures" de la journée, mais bientôt il ne paraitra plus. Sauf peut-être les cicatrices que m'a laissé son fouet, l'instrument de son sadisme qu'elle utilisait pour me châtier... à cette seule pensée je me mis à frissonner davantage. La cruauté dont j'avais été la victime m'avait indéniablement laissé des traces dans mon esprit. Mais le pire, dans tout ça, c'était la douceur, la tendresse dont elle savait faire preuve, le contraste saisissant entre les terribles épreuves qu'elle me faisait subir, et l'affection qu'elle me portait parfois, que j'appréciais énormément...

Son affection se manifesta d'ailleurs une nouvelle fois, à ma grande stupéfaction. La réaction que j'attendais ne tarda pas, et elle... elle m'embrassa. Encore. Un baiser plein de tendresse, tendresse qui se traduisait également à travers ses caresses, ses jambes autour de mes hanches, ses mains qui glissaient sur mes cheveux, sur mes joues... Tant d'affection, je me sentais aux anges tellement c'était agréable ! Je répondais à son baiser, profitant de chacun des instants où nos lèvres se happaient l'une l'autre, scellées en une délicieuse étreinte. Je fermais les yeux et profitais longuement de ce moment, me rappelant que même en Enfer, il existait un Paradis... avant que ma maitresse ne rompit ce baiser, non sans m'adresser un rassurant sourire.

* Nous allons voir si l’aphrodisiaque a marché... Pour ça, je vais devoir te fouetter à nouveau... Mais ne t’en fais pas, je ne chercherai pas à te punir. Quand je te fouetterai, tu devras me dire ce que tu ressens, si... Si c’est pareil aux précédentes fois. Et tu n’as pas intérêt à me mentir.

Mon visage devint livide, encore plus pâle qu'il ne l'était déjà naturellement. Me fouetter ? Mais pourquoi !? Était-ce justement là sa vengeance, une manière d'extérioriser sa frustration concernant le fait que cela n'ai pas marché, un châtiment enrobé dans un écrin de douceur, de compréhension, et de pardon !? Mon dieu, non... J'étais tellement bien, lorsqu'elle m'avait embrassée, pourquoi a-t-il fallu qu'elle cesse pour m'assener une telle nouvelle... Je ne voulais plus être fouettée. Je ne voulais plus avoir à souffrir. Même s'il ne s'agissait que d'un "test" passager. Comme si j'étais un simple rat de laboratoire... Je chassais ces idées de mes pensées, sachant bien qu'elle ne m'apporterais rien de bon, et acquiesça docilement. La seule chose que je pouvais faire, sans m'attirer des ennuis plus grave encore.

* Oui... oui maitresse, je serais sincère avec vous...

* Ne t’en fais pas, ma belle, je ne compte pas te punir... Si tu n’apprécies pas le fouet, j’arrêterai de te battre, et je te ferais l’amour... Toute la nuit.

Cette alternative me stupéfia, littéralement. Mais à quoi étais-je en train de penser !? Elle ne me considérait pas comme une simple cobaye, je me trompais sur toute la ligne. Ma maitresse m'appréciait, et elle était même prête à me faire l'amour, elle ne me voulait pas de mal... Ou était-ce un stratagème pour me déstabiliser davantage ? Je ne savais pas, je ne savais plus. Difficile de démêler le vrai du faux, sans être lucide. Avoir les idées claires était devenu bien au dessus de mes forces...

Seule ses mots raisonnaient dans ma tête.
*Elle me ferait l'amour... toute la nuit...* Ils sonnaient comme l'annonce d'une libération, comme une délicieuse récompense après avoir patiemment enduré tout ces supplices. Malgré tant de tourments... j'aurais donc enfin droit à un peu de douceur ? Autres que les épisodiques mais néanmoins réconfortants baisers que ma maitresse m'offraient parfois ? Cela me paraissait presque irréel... d'autant plus qu'avant cela, je devais passer une autre épreuve, celle du fouet. Afin de tester les effets de cet aphrodisiaque, d'après ses dire. Au point où j'en étais, de toute façon, ce passage obligé ne faisait plus grande différence... même si je ne cessais malgré tout de trembler, mais légèrement, ressemblant davantage à des spasmes qu'à des frissons, et ce, tout le long du chemin, pendant que la vampire me menait à sa chambre.

Je ne bronchais pas malgré mon appréhension, je m'efforçais d'être la plus sage possible, la plus docile. Éviter d'inutile coup de sang qui me serait relativement fatal. Je ne bronchais pas davantage, lorsqu'elle m'attacha les chevilles et les poignets à des chaines sortant du sol et du plafond. Elles ne se trouvaient pas tout à fait au centre, mais pas non plus près des murs, lui laissant assez de place pour pouvoir en faire le tour. Ces chaines m'obligeaient à me tenir les quatre membres en croix, par manque de mou, tandis que mon dos se cambrait à cause de l'écart entre l'alignement des chaines. J'étais ainsi offerte, prête à subir cet énième sévices. Et j'attendais. J'attendais l'instant fatidique ou le fouet qui pour le moment caressait outrageusement mes blessures finirait par s'abattre... ce qui ne tarda pas.

* AAAAAAAAAAAAAHHHH !!!

Le coup cingla férocement sur mon dos, suivi de près par un second, tout aussi cruel que le précédant. Les lanières de cuir me lacérèrent la peau, suscitant une souffrance aussi vive que celle que j'ai connu, si ce n'était plus. Insupportable ! Mais les choses était néanmoins différentes des autres fois... La douleur était là, bel et bien perceptible, si lancinante que cette effroyable sensation me poussait à cambrer mon corps. Mais il y avait une autre sensation qui l'accompagnait, quelque chose qui s'apparentait, à... à du plaisir ? Au premier coup, la douleur cohabitait avec une douce et agréable sensation, enivrante, assaillant à deux ma sensibilité. J'avais mal, mais au fond de moi j'appréciais cela... Le second coup quant à lui sembla être celui qui fit mouche. Le plaisir que je tirais de cette souffrance semblait être accru, devenir bien plus intense, provoquant en moi des vagues d'excitation. Tant et si bien qu'un léger flot de cyprine s'écoulait de mon intimité... Mais qu'est ce qu'il m'arrivait !? Etait-ce donc les effets de cette mixture ? Désinhibant la sensation de douleur et de plaisir... ?

Je ne savais plus très bien, mais une chose était sûre : je n'acceptais pas cela. J'essayais tant bien que mal de resserrer les cuisses, faire cesser cet honteux écoulement de fluide, je serrais du mieux que je pouvais, mais sans succès, les chaines m'en empêchaient. Ma cyprine continuait de couler, certaines gouttes perlaient le long de mes cuisses, tandis que le reste n'avait d'autre choix que de finir leur parcours au sol, formant une petite flaque entre mes jambes. Je n'arrivais pas à croire ce que je venais tout juste de vivre, j'étais dépassée, je crois que c'en était trop...

Je me mis à pleurer, pleurer à chaude larme. Je me mis même à sangloter, le haut de mon corps s'agitant au rythme de mes spasmes. Pourquoi ? Je ne le savais pas moi même... Mais je ressentais ce besoin de pleurer, un besoin que je ne pouvais plus refouler. Était-ce le coup de fouet de trop ? Peut-être bien... Voire même le fait d'en ressentir du plaisir, avoir été corrompue au point d'aimer mon supplice... Mais aussi, le fait que Mélinda ai vu de ses propres yeux le plaisir que j'en ai tiré, et ça... ça voulait dire qu'à l'avenir, elle n'aurait plus aucune raison de retenir ses coups, le fouet à la main. La perspective de souffrir, encore, et encore, et encore... quand bien même le plaisir s'y joignait, un plaisir des plus pervers que cette vampire semblait m'avoir inculqué, cela m'était insupportable. Je ne voulais pas qu'elle se serve de ce prétexte pour faire de moi l'exutoire de sa violence refoulée, j'avais déjà suffisamment souffert comme ça...

* J-je...je... - balbutiais-je en sanglotant, les larmes aux yeux. Je fis un effort surhumain pour tenter de me calmer, prendre sur moi, et inspirer un bon coup, avant de poursuivre. - Ce n'était pas pareil que les autres fois, m-m-maitresse... Je-j'ai senti une nouvelle chose, d-du plaisir... du plaisir qui s'est mêlée à la douleur ressenti...m-m-mais-m-mais... - incapable de me contrôler davantage, j'éclatais en sanglot. - mais ce n'est pas vrai, je ne veux pas, je ne veux plus avoir à souffrir, pitié... pitié... Je ferais tout ce que vous voudrez ! Je serais votre salope, la plus docile de vos petites putes ! Je serais votre chienne, gourmande ! À quatre pattes, je sucerais votre queue, ou lècherais vos pieds ! Je vous vénèrerais, comme une déesse ! Mais... par pitié...

Abattue, je ne tenais même plus debout, soutenue seulement par mes chaines, mes chaines qui me rappelaient ma condition... Les larmes me brouillaient la vue tant ils abondaient, intarissable. Sous le coup de l'émotion, je ne pu terminer ma phrase... mais elle était assez éloquente pour qu'il n'en fusse besoin.
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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 25 mardi 12 juin 2012, 03:38:43

La perspective de se faire à nouveau fouetter ne rassurait pas du tout Maëlys, ce que Mélinda pouvait aisément comprendre. Son dos bien rouge, marqué de meurtrissures et de zébrures, témoignait des coups, multiples, qu’elle avait reçu. Il faudrait sûrement l’emmener chez un guérisseur ashnardien demain pour lui retirer ces vilaines cicatrices. Son corps était bien trop beau, bien trop pur, pour qu’elle le laisse avec de telles marques. Elle conduisit donc une Maëlys anxieuse dans sa belle chambre. Cette dernière comprenait deux grandes fenêtres donnant sur la forêt, des rideaux, une cheminée, un grand tableau qui contenait une aquarelle de Mélinda, et des chaînes sur le plafond et le sol, à proximité du grand lit aux couvertures pourpres. Quatre personnes au moins pouvaient dormir sans problème dans ce lit. Il était tout simplement énorme.

Mélinda attacha Maëlys, devant pour cela bien écarter ses membres. Elle l’embrassa à nouveau, essayant vaguement de la rassurer, mais cette dernière était toujours aussi inquiète... Même si la perspective de faire l’amour toute la nuit avec Mélinda avait, semble-t-il, éveillé chez elle un désir profond. Mélinda eut un léger sourire. Pour une première soirée, c’était très prometteur. Dresser Maëlys pour en faire une parfaite esclave prendrait sûrement des semaines, mais la vampire était sûre d’en faire l’une de ses meilleures esclaves, une femme qu’elle pourrait battre pendant des heures, et la faire jouir à coups de fouets. Mélinda en était intimement convaincue. Récupérant à nouveau son fouet, elle le promena lentement sur le dos de la femme, glissant sur son joli cul, prenant lentement son temps. Ses doigts tremblaient légèrement.

*Mon Dieu, j’adore vraiment la fouetter... Je dois vraiment être une petite sadique ! Mais c’est trop tentant... Son corps est fait pour le vice et la luxure... Tu as raté ta vocation, ma belle, si tu croyais être douée pour autre chose... Tu seras l’une de mes plus belles esclaves, ma petite perle... J’ai plein de choses pour toi !*

Revenant au présent, Mélinda cessa de caresser le dos de Maëlys avec son fouet, et le releva. Il y eut un petit instant de flottement, et le fouet claqua à nouveau, donnant lieu à un hurlement qui ne fut guère surprenant. Le sang se mit à remuer, et Mélinda crut percevoir un infléchissement sanguin dans les cuisses de son esclave. Un léger sourire aux lèvres, elle décida de s’en assurer, et la fouetta à nouveau. Ce qu’elle pensait se confirma bel et bien : le plaisir était en train d’exploser dans le corps de Maëlys, et il y avait une telle activité sanguine qu’elle ne pouvait que mouiller. Ceci arracha un sourire de plaisir sur les lèvres de Mélinda, qui s’apprêta à faire parler le fouet une troisième fois, lorsque son esclave se mit à parler.

Elle pleurait. Mélinda pouvait le sentir, mais ce n’était pas étonnant. Ses nerfs étaient probablement en train de lâcher, car elle devait s’attendre à recevoir une autre correction. Les coups de fouet avaient de plus du réveiller ses blessures, d’où une hausse de douleur. De son long discours, Mélinda ne retint que quelques phrases intéressantes :

« Je serais votre salope, la plus docile de vos petites putes ! Je serais votre chienne, gourmande ! À quatre pattes, je sucerais votre queue, ou lècherais vos pieds ! Je vous vénèrerais, comme une déesse ! Mais... par pitié... »

Mélinda reposa alors le fouet sur une commode, et s’approcha du dos de Maëlys. Elle saignait, et Mélinda posa ses mains sur les seins de l’esclave, et lécha alors ses plaies, avec lenteur et tendresse, avalant son sang, promenant sa langue sur ses plaies tout en caressant ses tétons, les pressant entre ses doigts, écartant son sein gauche du droit, les remuant, continuant à panser ses plaies, frottant ses seins contre son dos. Elle était déjà à moitié courbée, ce qui fait que Mélinda avait le buste penché sur elle, gémissant lentement en gouttant son sang parfait.

L’une de ses mains glissa alors sur le ventre de Maëlys, et alla, sans aucune hésitation, farfouiller son intimité, la doigtant. Elle remonta alors sa langue près de l’oreille de l’esclave, et lécha sa peau, tout en déposant de tendres baisers affectueux sur son cou :

« Hum... Tu vois, tu commences à devenir une parfaite salope, ma belle... Oh oui, tu mouilles beaucoup... Là, laisse-toi aller, laisse le plaisir t’envahir... Les clients aiment bien jouir, mais ils adorent aussi quand les putes jouissent également, ça leur donne l’impression d’être de bons coucheurs. Ne t’en fais pas, je ne vais plus te fouetter, mon ange... Je t’entraînerai à résister à la douleur, et à l’apprécier, et, quand ce sera fini, tu seras une salope merveilleuse, et tu vivras à jamais et pour toujours dans le vice et la luxure. A en donner des pâleurs aux succubes... »

Enfonçant son doigt dans l’intimité de Maëlys, Mélinda continuait à le remuer, ses autres doigts caressant sa peau. Le majeur s’envola en profondeur dans son antre, et Mélinda promena sa langue sur l’oreille de Maëlys, embrassant son corps.

« Ton sang est un véritable festin... Je t’entraînerai petit à petit... Des claques sur ton cul, des coups de cravaches, en montant d’un cran à chaque fois que tu ne te satisferais plus de simples tapes. La prochaine fois que mon fouet frappera ton corps, tu comprendras combien douleur et plaisir sont les facettes d’une seule et même pièce, qu’on appelle vie. »

Son autre main, elle, continuait à jouer sur le sein de Maëlys, et remonta lentement pour caresser ses lèvres. Un autre doigt s’enfonça dans sa bouche, invitant cette dernière à le suçoter, tandis que le sang de Maëlys ressortait lentement de ses plaies, maculant ses seins de tâches écarlates légères.

« Je t’aime, Maëlys. Pourquoi donc crois-tu que je prendrais autant soin de ton éducation ? Mes esclaves sont probablement les esclaves les plus heureuses de tout Terra, car je les aime et je les chéris. Elles sont mes protégées. Je les dresse pour en faire de belles femmes désirables, et non des loques humaines qu’on brise. Crois-moi, avec moi, tu seras heureuse. Ta vie ne sera plus qu’une perpétuelle jouissance, une ode au bonheur constante et perpétuelle. Tu boiras plus de sperme et de cyprine que d’eau durant toute ta vie, et je te ferais aimer bien des plaisirs... »

Elle retira sa main de ses lèvres pour presser les fesses de cette dernière, en serrant une tendrement, avant de poser sa main sur son membre, et de le descendre entre les fesses de la femme, sans pour autant lui faire une sodomie.

« Tu feras l’amour tous les jours... Et je te sodomiserai une fois par jour, jusqu’à ce que tu finisses par raffoler de ça. Je te promets un long mois de plaisirs sans fin entre mes mains. Je dois désormais être pour toi comme une Déesse, comme ta mère, ta femme, ta confidente... Tu dois m’aimer à en mourir, me craindre, et me vénérer. »

Tout en parlant, Mélinda continuait à la doigter, et elle se retira alors. Avec son doigt rempli de cyprine, elle le glissa dans la bouche de Maëlys, pour qu’elle goûte à son propre jus, et lui ôta alors ses chaînes, commençant par celles aux pieds, puis par celles aux bras. Mélinda regarda alors Maëlys dans les yeux, et l’embrassa sur les lèvres, avant de le pousser sur le lit, où elle tomba sur le dos, s’étalant au milieu du lit.

« Il est temps de passer à ta récompense, ma belle... Mais, avant ça, tu dois savoir que j’aime bien faire l’amour à plusieurs... »

Mélinda alla à son tour s’allonger sur le lit, au-dessus de Maëlys, s’étalant progressivement vers elle. Avant de le faire, elle songea toutefois à appuyer sur un discret bouton, appelant deux de ses concubines.

« Nous allons passer une nuit de folie... Généralement, je laisse le choix à celle qui a la chance de se trouver dessous d’être attachée ou pas, mais, comme c’est ta première fois, mon amour, je pense que tu pourras utiliser tes belles mains. »

Lui faisant un sourire encourageant, Mélinda l’embrassa alors sur le visage, son membre masculin glissant sur son bassin, tandis que deux belles autres femmes entraient dans la pièce, répandant leurs parfums enivrants. Avec des sourires, elles s’allongèrent à gauche et à droite des deux femmes, commençant de longs ébats.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Maëlys

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Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)

Réponse 26 mardi 19 juin 2012, 13:21:57

À mon grand soulagement, mes paroles semblèrent avoir eu l'effet escomptée. Les coups de fouets cessèrent peu après, et Mélinda reposa même son fouet, satisfaite, n'y voyant sans doute plus l'utilité après avoir vue que je m'offrais à elle. Et, je me sentais davantage rassurée, maintenant... bien que toujours en état de choc. Mon corps continuait à frémir un peu, et j'hoquetais mes derniers sanglots.

Surprise et assez gênée, j'eus un léger sursaut lorsque ma maitresse s'approcha derrière moi et s'empara de mes seins. Malgré tout, j'appréciais le contact de ses mains, et ce retour à la douceur, après la souffrance de ses coups de fouet, était vraiment des plus agréable... Je fermais les yeux, me laissant bercer par ses caresses, par ses doigts qui manipulaient délicieusement mes tétons, m'arrachant parfois quelques gémissements. Je me laissais un peu aller, les yeux mi-clos. Après ce que je venais d'endurer, cela me faisait tellement de bien...

* Mmmmmmhhh...

Elle se blottit davantage contre moi, et je sentais sa langue effleurer ma peau. Je saignais ? Il semblerait bien, oui. Elle m'avait donc fouettée jusqu'au sang... et se repaissait maintenant de mon sang ? Sa langue qui s'affairait le long de mes cicatrices, s'abreuvant de mon hémoglobine, me rappelait que je n'avais pas affaire à une simple humaine, mais bel et bien à une vampire. Une créature des ténèbres, sanguinaire... je frissonnais, et tentais de chasser ces idées de glauque de mon esprit, me concentrant sur les caresses que Mélinda offrait à ma poitrine, si agréable que je me perdais dans ses bras, oubliant mon environnement, pour ne penser qu'à la tendresse de cet agréable moment. Ses lèvres se posèrent sur mon cou, m'embrassant affectueusement, me faisant frissonner davantage. C'était si bon...

* Hum... Tu vois, tu commences à devenir une parfaite salope, ma belle... Oh oui, tu mouilles beaucoup... Là, laisse-toi aller, laisse le plaisir t’envahir... - me dit-elle, tandis que ses doigts s'était aventurés vers mon intimité ruisselante de cyprine, qu'elle n'hésita pas un seul instant à pénétrer.

* A-AAAAHH !! ...

Je ne pus retenir un cri, trahissant mon excitation, et le plaisir qui m'envahissait. Un cri involontaire, mais néanmoins digne d'une salope. Ce que je semblais être... Au fond, je n'étais qu'une poupée entre ses mains, immobile et impuissante, une poupée de chair avec laquelle elle pouvait s'amuser à loisir, tant pour ses plaisirs sadiques, auxquelles j'eu le malheur de participer, que pour ses plaisirs plus charnels. Comme ses doigts qui me pénétraient, qui s'agitaient en moi, dont chacun des mouvements m'excitaient... La pression sur mon sein ne faiblissait pas, pinçant et agitant mon téton que le plaisir avait durci, pas plus que mes gémissements, qui se faisaient de plus en plus intenses, de plus en plus soutenus. Ses gestes m'excitaient, oui, je ne pouvais le nier, je surpris même mon bassin à se déhancher légèrement, au rythme de ses pénétrations que je désirais plus intense. C'était tellement bon, j'avais l'impression que mes sensations étaient décuplées... Ma respiration était rapide, saccadée, et chacune de mes inspirations se terminaient par un langoureux soupirs. Des soupirs intenses, indécents, que je ne retenais plus. Elle voulait que je me laisse aller, et c'était bien ce que je comptais faire. Profiter des plaisirs que ma maitresse m'offriraient...

* AH !... MMMHH ! ... Je...

J'hésitais un peu, ne sachant pas trop que dire. Elle m'avait affirmé que "les clients" aimaient qu'on leur fasse savoir qu'ils sont doués, et je voulais faire de même, me montrer compétente afin de la satisfaire, et pour cela il fallait que je flatte son égo. C'était facile en soi, je n'avais même pas besoin de mentir, le contact de ses doigts sur les parois de mon intimité m'excitaient follement. Je ne cessais de gémir sous ses caresses, ce qui était explicite, mais j'aurais aimé en dire plus... Les mots ne me venaient pas. Je n'avais pas vraiment l'habitude de ce genre de chose, je devais bien l'avouer... Et sentir sa verge impérieuse se coller à moi, blottit entre la chair tendre de mes fesses, n'était pas pour me mettre davantage à l'aise. Mais c'était vraiment excitant, à en perdre la tête...

* Je...je vous aimerais...maitresse... - soufflais-je, haletante, le souffle court.

Je suçotais sans rechigner ses doigts qu'elle présentait à mes lèvres, les conservant dans ma bouche, savourant ma propre cyprine qui s'était écoulée dessus. Elle avait une saveur douce, un peu salé... c'était la première fois que j'y goutais, et je trouvais ça, délicieusement pervers.
*Mon dieu, mais que ce que je suis en train de faire...* pensais-je, dans un bref moment de lucidité, qui se volatilisa malheureusement bien vite. Peut-être devenais-je folle. Peut-être devenais-je réaliste. Peut-être vendais-je mon âme au Diable. Après tout, peut importe. N'était-ce pas une utopie tant désirée, que de vivre une vie pleine de plaisirs, de bonheur ? N'était-ce pas la conception du Paradis ? Alors, oui, je voulais croquer cette vie à pleine dent, quitte à devoir m'offrir corps et âme à la jeune vampire...

* Je... cette vie que vous me promettez... ses plaisirs, ses jouissances... je veux y gouter... je dirais même que je le désir, ardemment... je m'en remets entièrement à vous... faites de moi votre esclave, je me soumettrais à votre apprentissage... maitresse

Pour la première fois, ce n'était pas sous la contrainte, ou sous la peur, que je l'appelais ainsi, mais bel et bien parce que, dorénavant, je la considérais comme telle. Ma maitresse... Elle me libéra de mes chaines, et m'emmena avec elle, m'allongeant sur son lit avant de grimper sur moi. Sa verge effleurait ma peau, accentuant la douce chaleur qui couvait au creux de mes reins, source d'un désir qui devenait de plus en plus incontrôlable. Son compter cette entêtant parfum qui chatouilla mon odorat, avant que deux superbes femmes ne viennent s'allonger de part et d'autre du lit, près de nous. Je n'avais encore jamais vraiment fait l'amour, et me voilà en compagnie de trois partenaires, séduisante et visiblement bien plus expérimentée que moi, prête à me faire découvrir les plaisirs charnels pour la première fois. Et ce n'était que le début d'une longue formation...
Pour tout contact, je vous invite à plutôt me PM sur mon compte principal, Lydia !

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