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Un cours insoutenable [Le Cercle]

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Poison Ivy

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Un cours insoutenable [Le Cercle]

samedi 24 mars 2012, 15:28:21

Une chaude journée, une journée ensoleillée, une journée où Ivy avait envie de faire tout ce qu’elle voulait, sauf de faire cours. Malheureusement, en tant que professeur de SVT, elle était soumise à certaines obligations, comme celle de devoir assurer ses cours dans la mesure du possible. C’était un Vendredi, et c’était la dernière heure de cours, la pire. Dans un coin de sa salle, un ventilateur tournait paresseusement. Oh, ce n’était pas encore la canicule, mais ça s’en approchait… Surtout que c’était la dernière heure.

Le cours se tenait dans l’une des salles de l’aile scientifique du lycée, une salle de cours qui jouxtait le laboratoire personnel de Pamela. Si elle avait rejoint ce lycée, c’était avant tout pour pouvoir disposer d’un laboratoire. Le lycée de Seikusu avait un budget tel que le laboratoire d’Ivy avait des allures de laboratoire universitaire. Elle y songeait silencieusement, alors que les élèves planchaient sur un exercice concernant la reproduction chez les humains. On était dans le fameux cycle concernant la sexualité, envisagée d’un point de vue scientifique, soit d’un regard froid et morne, à décourager une nymphomane. La reproduction, l’accouchement, les différents cycles, etc… Elle leur avait donné un court exposé à faire sur place, en quinze minutes, à l’aide du manuel. Ils avaient quinze minutes pour explorer tout un chapitre de trente pages sur le sujet, retenir les informations utiles, et les présenter en un plan cohérent. Un exercice à effrayer les grosses têtes, et qui confirmait la légende des cours de Pamela, considérés comme les plus difficiles enseignés à Seikusu.

*Mais, au moins, je n’ai pas trop à parler, songeait la prof’ en regardant silencieusement les élèves. C’est toujours ça de pris…*

Certains élèves étaient plongés dedans, leurs sourcils froncés exprimant la panique qu’ils ressentaient : « Pitié, qu’elle ne m’interroge pas ! » semblait dire leurs yeux. D’autres se contentaient de se prélasser en feignant de travailler, préférant envoyer des SMS avec leurs téléphones portables, quand ils ne regardaient pas rêveusement par la fenêtre, voyant d’autres camarades sortir du lycée, ou jouer au sport. A ce niveau-là, tout semblait plus intéressant, même observer une feuille voler dans les airs.

Ivy, de son côté, s’ennuyait aussi solidement, et regardait de temps en temps la montre posée à plat sur son bureau. Elle avait hésité à amener un paquet de copies pour les corriger, mais les coups de traits rageurs qu’elle donnait parfois en voyant les énormités de certains élèves l’avaient conduit à plus de retenue, et à se réserver ça le soir, dans son antre. Les minutes défilèrent lentement. Certains lycéens murmuraient entre eux, mais l’assistance était plutôt apaisée. Avec la chaleur, les spores naturelles de Poison Ivy commençaient à se répandre, à chaque fois qu’ils respiraient, aspirant un air contaminé par les spores que le corps de l’Empoisonneuse émettait. Des spores pas mortelles, loin de là, mais qui tendaient à agir sur leur système hormonal. Jusqu’à maintenant, ça n’avait jamais dégénéré en orgie, mais la chaleur aidait parfois les inhibitions à disparaître. Les spores amenaient surtout les élèves à endurer le calvaire que Pamela leur faisait subir à chaque fois.

Poison Ivy portait une simple blouse blanche de travail, le seul vêtement qu’elle s’autorisait à se remettre. On pouvait voir ses bottes vertes avec des talons, ce qui, du point de vue des élèves, était une preuve criante de mauvais goût. Si seulement ces ahuris savaient que ces bottes étaient le prolongement naturel du corps d’Ivy, une espèce de seconde peau que son corps secrétait…

« Bien ! Le temps est écoulé ! lâcha-t-elle. Qui donc est prêt à venir au tableau pour parler de la reproduction ? Je vous rappelle les règles du jeu. Vous devez tenir cinq minutes, et toute participation volontaire rapporte d’office 3 points. Je n’interroge pas ceux qui sont déjà passés pendant ce trimestre, mais il nous reste encore de la marge… Alors, dépêchez-vous, tentez votre chance. La vie se résume à ça : prendre des risques. »

On ne pouvait pas vraiment dire que cette perspective emballait franchement les élèves, qui se débrouillaient pour fuir son regard.

« C’est amusant… C’est toujours dans cette situation qu’on cherche à éviter le regard du professeur ! »

Il y eut quelques rires discrets, et Ivy attendit, un léger sourire sur les lèvres, ce genre de sourires que tout élève interprétait comme une mise à mort : « Viens, mon mignon, viens dans mes griffes, et prépare-toi à pleurer ! » Voilà ce que ce sourire semblait dire pour la plupart des élèves, et Ivy ne pouvait que les comprendre. A leur place, elle aurait sans doute été terrorisée… Seulement, elle n’était pas à leur place.
DC d’Alice Korvander.

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le Cercle

Légion

Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 1 dimanche 25 mars 2012, 08:17:27

Une journée chaude, une journée ensoleillée, une journée où tout membre du Cercle qui se respecte (et d'ailleurs aussi ceux qui ne se respecte pas) a envie de faire bien des choses, sauf avoir cours. malheureusement, Motoe Kamihara , ainsi qu'un grand nombres de membres du Cercle, est obligée de rester coincé ici au moins une heure encore. une heure encore avant le week-end, période de décompression pour elle autant en tant qu'élève qu'en tant que membre du Cercle(c'est que ça fatigue comme activité, mine de rien).

 Bien sûr, la dernière heure, celle où on compte les minutes sans réaliser qu'il s'agit de secondes, devait absolument être donnée par la plus épuisante prof du lycée. épuisante par ses cours, bien entendu, mais aussi psychologiquement, puisqu'elle était belle et que quand elle donnait un cours, il était impossible de pleinement s'y concentrer. sur la dernière heure, la fatigue mentale est forte, donc certains esprits battaient la campagne, soit sur la soirée soit sur la prof.

La-dessus, cette sadique avait pensé que ce serait amusant de concocter un exercice complètement fantaisiste: un exposé à faire en un quart d'heure, et a présenter à la classe. Cinq minutes, c'était pas long mais ça restait irréaliste à préparer à l'intérieur du même cours. Heureusement, le sujet, « la reproduction » était maitrisé par la plupart des élèves, au moins au sens pratique du terme. Ils brodaient autour de ce qu'ils ont connu, introduisant quelques termes technique dans leur prise de note.

  La panique croissait parmi les élèves, à mesure qu'ils réalisaient qu'ils ne parvenaient pas à aligner deux pensées sérieuses sur le sujet. Certains ne tentaient même pas de travailler, et laissaient libre court à leur vagabondage mental. Motoe avait même vu une ou deux érections en jetant des coups d'œil autour d'elle. Elle préférait s'appliquer à prendre des notes pour son exposé, non pas qu'elle soit studieuse, loin de là, mais elle était juste sur sa moyenne et avait pour une fois une chance de briller.

    Elle avait étudié le sujet en profondeur après sa première fois, toute curieuse de savoir comment elle avait put si bien l'avoir vécu, alors que traditionnellement et pour ses camarades, la première fois était décevante voire douloureuse. Hypophyse, Œstrogène, cycle menstruel, progestérone, Complexe hypothalamo-hypophysaire, bref plein de mots qu'elle connaissait bien et qu'elle parvenait à organiser dans un plan correct. Elle ne comptait pas spécialement passer au tableau, mais plutôt que le professeur Isley transforme ça en un dossier à rendre pour la semaine suivante.

ayant fini de noter ce qu'elle avait envie de noter, Motoe regarda autour d'elle avant de porter son regard sur sa prof. une très belle femme, assurément. des formes très très généreuses. si elle avait étudié dans le lycée, le Cercle l'aurait déjà séduite depuis longtemps.

*d'ailleurs, il n'est pas trop tard pour le faire.* songea-t-elle malgré elle, rougissant sans trop savoir pourquoi.


« Bien ! Le temps est écoulé ! fit la professeure, faisant sursauter tout les élèves. Qui donc est prêt à venir au tableau pour parler de la reproduction ? Je vous rappelle les règles du jeu. Vous devez tenir cinq minutes, et toute participation volontaire rapporte d’office 3 points. Je n’interroge pas ceux qui sont déjà passés pendant ce trimestre, mais il nous reste encore de la marge… Alors, dépêchez-vous, tentez votre chance. La vie se résume à ça : prendre des risques. »
3 points? ça en valait la peine, rien que ça pourrait remonter sa moyenne. Motoe hésitait un peu. après tout, elle aimait bien parler en public, mais c'était surtout des occasions où elle pouvait se permettre de rendre fou les garçons et les lesbiennes de l'assistance. là si elle glissait une allusion, elle risquait surtout une réprimande. 

« C’est amusant… C’est toujours dans cette situation qu’on cherche à éviter le regard du professeur ! »

 Motoe remarqua qu'en fait, sa classe contenait beaucoup de membres du Cercle. Il y avait presque une fille du Cercle à chaque table, et là où ce n'était pas le cas, elle n'était pas loin de toute manière.

 Sans trop savoir pourquoi, cela décida Motoe à lever la main. elle était la seule à oser, la prof n'avait pas le choix que la laisser faire. Elle prit ses feuilles de notes, se leva et passa au tableau, avant de réaliser qu'elle n'avait pas de formule d'introduction. elle en improvisa donc une sur le tas, sans trop y réfléchir:

"-donc nous parlons de la reproduction sexuelle humaine, où comment faire de la transmission de la vie l'acte le plus savoureux et le centre d’intérêt de tout les hommes. Elle entendit quelques rires nerveux. mais elle se demandait surtout pourquoi elle avait dit ca.
"- bref, je vais composer mon sujet en trois parties: le sexe féminin, le sexe masculin, et l'interaction des deux. "
 Mais qu'est-ce qu'elle racontait? ce n'était pas les garçons de la classe qui lui faisait dire des trucs pareils, tout de même?

 elle remarqua quelques gestes dans la salle, faits par des membres du Cercle. elles aussi devaient être dans un drôle d'état, puisqu'elles étaient en train de commencer à caresser leurs voisins discrètement. l'une lui prenait la main, l'autre posait la sienne sur sa cuisse ou la faisait glisser sur le dos, une troisième se collait mine de rien à son voisin, une autre caressait doucement les cheveux de sa voisine de devant. bref, quelque chose de pas net se produisait.

 se reprenant, elle passa à la partie un : " donc le sexe féminin se présente de l’extérieur comme une fente humide et ouverte, extrêmement sensible aux intrusions." ça, ça n'allait certainement pas faciliter les choses. d'autant qu'elle sentait une chaleur familière dans le bas-ventre.

Poison Ivy

Créature

Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 2 dimanche 25 mars 2012, 22:17:12

Celle qui se dévoua fut une élève qu’Ivy ne connaissait pas trop : Motoe Kamihara. Pas un cancre. Pas un génie non plus. Elle la laissa venir, en profitant pour se redresser, et aller s’asseoir une un table libre, comme elle le faisait à chaque fois. Elle en avait profité pour retirer un ou deux boutons de sa blouse, ayant chaud, ce qui donnait du coup, pour les élèves attentifs et avides de sensations visuelles, un joli décolleté. Ivy fit claquer ses talons en s’asseyant sur une table  au premier rang, se retournant en croisant les jambes, révélant sa peau nue, qu’on devait rêver d’embrasser et de lécher.

La classe était relativement dissipée. Ivy pouvait le sentir. Comme des espèces de frissons. Elle sentait les hormones grossir, mais c’était pareil à chaque fois. Des filles qui frottaient leurs cuisses contre le rebord de la chaise, des hommes qui caressaient leurs membres… Si Ivy aurait été plus laxiste, chacun de ses cours de fin de journée serait une espèce d’immense orgie. Ivy ne connaissait pas le Cercle, et elle ne pouvait donc savoir que cette excitation était volontaire, et non le résultat de ses spores, mais elle la sentait. Près d’elle, une femme incitait une autre femme, l’embrassant dans le cou, glissant sa main dans sa jupe pour caresser son intimité.

« Shhhhh… Laisse-toi faire », murmura la jeune fille.

De son côté, Ivy remarqua que le jeune homme à côté d’elle avait une belle érection, et avait les joues rouges. Baissant les yeux, elle vit sa ceinture défaite, sa chemise retirée, et comprit qu’il était en train de se caresser avant qu’Ivy n’arrive. Souriant légèrement, cette dernière commençait également à se sentir excitée, et s’approcha de lui, murmurant dans le creux de son oreille :

« Si tu ne veux pas que je te dénonce, fais glisser ton pantalon, et masturbe-toi. »

Un ordre simple et direct, mais qui fit rougir le jeune homme. Baissant les yeux, ce dernier hésita, approchant l’une de ses mains. Ivy souffla sur lui, répandant ses spores par ses narines et ses lèvres, et le lycéen obtempéra. Il déboutonna son pantalon, faisant glisser ce dernier, tandis que Motoe commença son exposé, présentant la reproduction en trois aspects : le sexe féminin, le sexe masculin, et le croisement entre les deux. La lycéenne se mit à parler, et, pendant ce temps, le lycéen à côté d’Ivy se branlait tendrement, posant sa main sur son membre, le caressant lentement. Gêné, il se laissa progressivement aller, gémissant silencieusement.

Souriant légèrement, Ivy tourna sa tête vers Motoe, qui décrivait le sexe d’une femme comme un endroit accueillant, « extrêmement sensible aux intrusions ». Lentement, Ivy sourit, et enchaîna rapidement sur cette réplique :

« Et de quels genres d’intrusions parlez-vous, Mlle Kamihara ? A ce que je sais, un vagin est conçu pour recevoir un pénis, mais, à vous entendre, j’ai la nette impression que vous avez une interprétation extensive de cette notion d’« intrusion ». Faites-nous donc part de vos lumières sur le sujet. »

C’était une habitude d’Ivy : elle intervenait fréquemment lors des exposés. Après tout, il s’agissait de simples lycéens, et d’exposés faits à l’arracher. L’idée était surtout de voir comment ils réagiraient en étant perturbés. Or, quand il s’agissait de perturber quelqu’un, Ivy était une experte confirmée et talentueuse.
DC d’Alice Korvander.

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le Cercle

Légion

Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 3 mercredi 28 mars 2012, 16:00:32

  L'ambiance dans la classe était... particulière. Même à l'échelle du cercle, qui y savait pourtant quelque chose, c'était un développement de la tempête érotique rapide.  Motoe avait à peine commencé son exposé que déjà les choses avait prises une tournure explicite.
 Une élève tait en train de caresser le sexe de sa voisine. Plus loin, une autre avait fait tomber son stylo pour aller le ramasser, sous le bureau touchant innocemment avec ses fesses puis sa bouche l'entrejambe du garçon assit à coté. Quelques élèves se caressait, d'autres masturbaient voisins et voisines, le couple le plus au fond en était à s'embrasser langoureusement, non sans que le pied de la fille ne caresse le dos de élève devant.
  Mais la plus surprenante était l'institutrice. Celle-ci, loin de se formaliser que l'élève sur le bureau duquel elle s'était assise se masturbait, elle lui avait glissé un mot dans l'oreille, semblant en fait l'inciter à continuer, puisqu'il fit carrément tomber son pantalon.

*pas si coincée finalement, cette prof.* songea une Kamihara qui regrettait de n'être pas restée à sa place.

Évidemment, si Poison Ivy ignorait les aptitudes et tempéraments du Cercle, de son coté le Cercle ne connaissait pas les pouvoirs de cette prof de biologie particulièrement active. Ainsi les deux forces étaient en train de créer quelque chose qui les dépassaient, sans même se connaître l'un l'autre.

« Et de quels genres d’intrusions parlez-vous, Mlle Kamihara ? A ce que je sais, un vagin est conçu pour recevoir un pénis, mais, à vous entendre, j’ai la nette impression que vous avez une interprétation extensive de cette notion d’« intrusion ». Faites-nous donc part de vos lumières sur le sujet. »

*Et bien là, pour ne pas déraper, bonjour!*

«-hum... et bien la pratique sexuelle était prévue comme troisième partie, donc nous nous contenteront d'un constatation générale sur le sujet. A savoir, l'imagination qu'on peut mettre dans le mot intrusion est bien employée tant par les hommes vers les femmes que par les femmes entre elles.»

Bon, c'est une dérobade malhabile, mais au moins elle ne s'est pas laissée tenter par un listing détaillé, qui risquerait de contrarier toute tentative qu'elle pourrait faire pour paraitre sérieuse.

Elle prit une craie au tableau, et, commençant à dessiner, reprit son récit:
« l'apparente simplicité de l'organe sexuel féminin cache en fait un complexe système dont nous allons visiter les base, et...» 
Motoe s'interrompit: son dessin du sexe féminin était correct, mais les contours du corps étaient complètement ratés.

  Elle effaca tout, fit signe à une élève de la rejoindre, puis traça avec la craie sur le corps de sa camarade les organes sexuels en partant des reins:
« ici, nous avons les deux ovaires, reliés par les trompes à l'utérus qui communique via le col de l'utérus avec le vagin. »
bien sûr, pour ce faire, elle avait dû rabattre la jupe et la culotte de sa camarade parfaitement médusée. Elle n'y avait pas réfléchi, et personne ne l'avait arrêté. Pour ne pas perdre sa contenance elle avait parlé rapidement et reprit avant que quiconque ne l'interrompe.
« une  fois à l'extérieur du corps, nous pouvons voir les organes qui font toute la sensibilité du sexe féminin, ensemble qu'on appelle vulve.»  fit-elle en entourant la zone incriminée avec son index. Elle lista alors les parties composant cette vulve, les touchant du doigt:

« en-dessous du pubis avec sa toison pubienne, on retrouve le clitoris(ou plus exactement son gland, le reste étant interne), les glandes de Bartholin qui servent à produire le lubrifiant féminin, les grandes lèvres qui  protègent les organes, les petites lèvres délimitant le vestibule vaginal et qui se rejoignent plus haut pour former le capuchon du clitoris, l'orifice vaginal qui mène au vagin, parfois protégé d'un hymen. » ayant fini elle se lécha le doigt, avant de réaliser ce qu'elle venait de faire.

fini, la bonne note. voir la scolarité peut-être.

Poison Ivy

Créature

Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 4 jeudi 29 mars 2012, 00:15:50

L’exposé commençait à prendre une tournure de plus en plus élevée. Ça ne venait pas uniquement de Kamihara, mais c’était plutôt une ambiance générale, palpable. Ivy pouvait ressentir à quel point les élèves étaient fébriles, tous à un niveau plus ou moins élevé. Difficile de dire ce qui en était la cause… La chaleur ? Les spores d’Ivy ? Elles n’avaient jamais conduit à un tel niveau d’excitation en aussi peu de temps… Non, il y avait autre chose… Probablement une bande de trublions qui s’amusaient à exciter leurs petits camarades. En toute logique, Ivy aurait du interrompre le cours, le suspendre, mais le fait est qu’elle était elle-même passablement excitée. Pas encore au point de sauter sur ses élèves, mais elle sentait progressivement son contrôle d’elle-même s’effacer et s’envoler. Motoe, de son côté, préféra continuer son exposé. Après une réponse vaseuse, elle se réfugia sur le tableau, dessina une espèce de patate supposée ressembler au corps d’une femme.

Quand elle réalisa son œuvre, Motoe préféra appeler une élève. Ivy ne dit rien, arquant un léger sourcil interrogateur tandis qu’à côté d’elle, l’étudiant continuait à se caresser, soupirant de plaisir. Motoe avait sûrement du remarquer que quelque chose n’allait pas normalement dans cette classe, mais cela ne semblait pas vraiment la perturber. Elle avait choisi une élève à la plastique avantageuse, et, à l’étonnement général, lui abaissa sa jupe et sa culotte. L’étudiante rougit comme une pivoine, et Motoe commença à se lancer à un examen détaillé de l’anatomie d’un sexe féminin, montrant en direct ce à quoi quelle partie du corps correspondait. La lycéenne qui servait de « cobaye » se mit à follement rougir, ne sachant visiblement pas où se mettre, tandis qu’on pouvait percevoir quelques ricanements à proximité. Voilà qui avait d’un seul coup rehaussé tout l’intérêt de l’exposé !

Motoe ponctua son explication en léchant ses doigts, et Ivy put voir que la jeune lycéenne qui avait été choisie mouillait. Libre de ses mouvements, cette dernière se dépêcha de remonter ses habits, mais était toujours aussi écarlate. Sachant que tout le monde attendait sa réaction, Poison Ivy se tut pendant plusieurs interminables secondes. Motoe devait probablement savoir, ce qui se lisait dans ses yeux, que ce qu’elle avait fait pouvait aller loin. Poison Ivy se contenta toutefois d’un léger sourire amusé.

« Je vois… Et bien, voilà ce qui s’appelle être au cœur du sujet, Mlle Kamihara. Cet engouement dans votre exposé fait plaisir à voir… Dommage qu’il ne se manifeste pas avec autant d’ardeur dans vos copies… »

Essayer de considérer ce cours comme un cours normal relevait maintenant du fantasme. Dans un coin, une élève était sous la table, pratiquant une fellation envers son collègue, et, dans les profondeurs lointaines de la salle, certains en étaient sur le point de se pénétrer.

« Quoiqu’il en soit, si j’en crois votre plan, il est maintenant temps de passer, d’une part, à l’anatomie d’un homme, et, d’autre part, à la fusion entre les deux… »

Ivy tourna alors sa tête vers le lycéen qui se tenait à sa gauche, celui qui, délicatement, se masturbait. Yeux mi-clos, le jeune homme semblait au comble du bonheur, et Ivy lui fit signe de se lever.

« Va servir… Je pense que tu pourras être utile… Continuez, Mlle Kamihara… Ne vous arrêtez donc pas en si bon chemin. »

Les joues rougies, le lycéen s’extirpa, sans son pantalon. Il n’avait que sa chemise, et s’avança vers le bureau. Il avait une belle érection, et se retourna, merttant une main devant son sexe.

« Allons ! Ce n’est pas comme ça que nous allons pouvoir étudier l’anatomie d’un sexe masculin… »

Sourire sur les lèvres, Ivy releva ses jambes, les plaçant sur le bureau en les croisant. On pouvait voir ses superbes jambes fuselées avec ses longues bottes vertes.
DC d’Alice Korvander.

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le Cercle

Légion

Re : Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 5 vendredi 30 mars 2012, 22:45:54

*OH.LA.BOULETTE.*
dans un premier temps, c'était tout ce qui se passait dans la tête de la pauvre Motoe.

 Elle n'avait entendu ni les ricanements des quelques élèves encore faiblement attentif, ni les soupirs que certains poussaient dans la salle. Motoe s'inquiétait néanmoins. Elle avait, pour ne pas déraper davantage, tenté de faire le reste de l'exposé d'une traite, sans réfléchir. si elle en venait à faire des choses pareilles quand elle ne réfléchissait pas, est-ce que ca voulait dire que le sexe devenait une réponse-réflexe à chacun de ses problèmes? allait-elle pour continuer sa vie sociale, quitter le Cercle? elle espérait que non, elle avait même songé à une carrière dans le lycée pour rester proche du Cercle.

 pour ce cours, ça n'avait pas d'importance. passé un moment de surprise toute légitime, les élèves reprirent leurs actes en cours. Dans la salle, les choses prenaient une tournure encore plus explicite. l'élève qui s'était glissée sous sa table léchait maintenant l'entrejambe de son camarade, le couple embrassé avait été rejoint par l'élève de devant après que celui ci ait remonté la jambe qui lui était offerte en l'embrassant à intervalles régulier. en fait, les élèves qui n'étaient pas déjà en train de se tourner les uns vers les autres avec un œil brillant de désir se masturbaient ou étaient sur le point de le faire. En somme, de toute la salle, la seule qui semblait garder son calme, c'était la professeure.

 Motoe laissa l'élève remonter ses habits, non sans une pointe de déception. mais le principal point d'attention de mademoiselle Kamihara était son institutrice qui risquait fort de noter cette prestation, voire de la sanctionner. Elle se contentait pourtant d'un sourire un peu vicieux, et Motoe se demanda quelle punition elle allait sortir de sa boite à malice. elle se surprit même à des pensées troublantes, mais les repoussa autant qu'elle le pouvait. il n y avait pas besoin d'en rajouter.

  les secondes passèrent et les élèves commençaient un peu à trouver ce silence troublant. certains s’arrêtèrent, la plupart ralentirent. Puis Poison Ivy s'adressa à Motoe:

« Je vois… Et bien, voilà ce qui s’appelle être au cœur du sujet, Mlle Kamihara. Cet engouement dans votre exposé fait plaisir à voir… Dommage qu’il ne se manifeste pas avec autant d’ardeur dans vos copies… »

de toute évidence la prof s’était prise à l’ambiance. même pas de reproche à formuler. les élèves, soulagés, reprirent le cours normal de leur activité extra-normale. beaucoup avait commencé à se déshabiller et les culottes, soutiens-gorges, caleçons et slips gisaient sur les tables des rangées les plus reculées, abandonnés avec la leçon elle-même.

« Quoiqu’il en soit, si j’en crois votre plan, il est maintenant temps de passer, d’une part, à l’anatomie d’un homme, et, d’autre part, à la fusion entre les deux… »

dans l'absolu, Motoe aurait d'abord du parler des cycles hormonaux féminin, et de leur intervention sur le désir et la procréation elle-même, mais de toute évidence, elle devait déjà s'estimer heureuse de n’être pas renvoyée de l’établissement, elle se contenta donc acquiescer.

l'institutrice fit signe à l'élève à qui elle avait parlé plus tôt de se lever, et lui dit:

« Va servir… Je pense que tu pourras être utile… Continuez, Mlle Kamihara… Ne vous arrêtez donc pas en si bon chemin. »

l'élève se leva donc, cul-nu, et se dirigea vers le tableau, un peu étonné de parvenir à faire cette ballade. comme il cachait le sujet, l'institutrice lui fit:

« Allons ! Ce n’est pas comme ça que nous allons pouvoir étudier l’anatomie d’un sexe masculin… »

et il retira ses mains. Motoe repris sa craie, tourna le garçon sur le coté parce que ce sera plus visible comme ça, et commença, à genoux, son exposé des principaux organes:

« tout commence avec les spermatozoïdes qui viennent des testicules, et stockés dans l'épididyme, jusqu'à l'éjaculation...»

en parlant, elle caressa les sensibles bourses avant de pincer légèrement le fameux épididyme. puis elle pris sa craie et traça le parcours du spermatozoïde:

« ... à ce moment, les canaux déférents puis le canal éjaculateur relient les petits voyageurs à un duo d'organes,(situés derrière la vessie que je dessine pas pour plus de clarté), les vésicules séminales. celles-ci  produisent l'un des liquides qui composent le sperme. ensuite, le mélange ainsi conçu continue d'avancer, à travers la prostate, autre producteur de liquide spermatique, puis rejoint les glandes bulbo-urétales qui servent à produire le lubrifiant masculin, à la racine du pénis.»
Motoe posa sa craie et reprit, touchant du doigt les zones qu'elle mentionnait:

« celui de notre modèle étant déjà fièrement dressé, il est aisé d'y repérer les corps caverneux et spongieux qui entourent l’urètre, cet urètre se finissant avec le gland, plus ou moins surmonté du prépuce selon les individus. c'est alors que le sperme de l'homme doit vivement visiter les intérieurs de la femme. » elle était maintenant face au gland, et, cédant à une pulsion, fit quelques jeux sur le sexe avec sa bouche. elle  commença par suçoter le prépuce, puis lécha le gland avant de le sucer à son tour.

  le jeune homme soupira d'aise, mais elle se retira soudainement, le laissant un peu en plan pour retourner sur l'autre élève, qui était restée sur l'estrade fascinée par le cours. Motoe retira de nouveau sa jupe et sa culotte, les jetant plus loin dans la salle, lui lécha ses lèvres intimes puis suçota son gland, avant de relever et de la pousser vers le jeune homme, affirmant en cachant mal son impatience:

«la base de l'acte sexuel est simple, il s'agit d'aller d'avant en arrière par rapport à l'intimité de l'autre de manière répété jusqu’à ce que la petite mort nous empêche de continuer.»

 Et elle les plaqua l'un à l'autre, le sexe féminin pénétré par son partenaire plus ou moins imposé., avant de reculer, les laissant un instant pour décider de rester ou partir. il restèrent collés l'un à l'autre, gênés mais consentants.

«mais tout est dans les infinies possibilités avant, après, autour de cet acte de base. c'est notre don en tant qu'humain d'en pouvoir autant. une démonstration pratique de l'acte vaut plus que ce que je pourrait en dire, donc, compter ce qui va suivre comme ma troisième partie, et ma conclusion.»
 et Motoe attrapa le jeune homme par les épaules, lui guida les mains vers le corps de cette fille, lui fit avec ses coups de reins amorcer le mouvement de pénétration. le couple improvisé s’abandonna au plaisir, guidé par une Motoe qui en profita pour visiter leurs formes.
 

Poison Ivy

Créature

Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 6 samedi 31 mars 2012, 12:47:56

Croisant ses jambes, Ivy pencha sa tête en arrière, continuant à observer cette scène atypique et hors normes. Comment le cours avait-il pu dégénéré si rapidement ? Il était impossible de le dire. Ivy avait du mal à comprendre, mais elle en était à un point de non-retour, un point qu’elle n’avait jamais atteint auparavant. Elle regardait distraitement l’assistance, qui semblait complètement transcendée. Les inhibitions avaient totalement sauté.

*Il y a définitivement quelque chose d’anormal dans ce qui se passe… résuma Ivy. Mais quoi ? Bah, peu importe… Le mal est fait, et je ne peux pas enrayer la machine… Surtout que voir tous ces élèves n’est pas spécialement pour me déplaire. C’est la Nature qui s’exprime, après tout. Qui suis-je pour aller contre cette dernière ?*

Motoe, de son côté, continuait cet exposé. Agenouillé devant le lycéen, elle inspectait son sexe, faisant rougir ce dernier. Le pauvre la regardait, les joues rouges de honte. Ivy commença à déboutonner sa blouse, révélant sa tunique verte. Sa peau végétale commençait également à agir au niveau de ses mains, les dotant de longs gants verdâtres [NdA : comme ici, en somme]. L’Empoisonneuse vit Motoe poursuivre, avant de commencer une fellation sur le brave homme, puis se retirer, afin que les deux amorcent mutuellement une pénétration. Ce fut à cet instant qu’Ivy se mit à agir.

La professeure se releva, marchant sur le sol. Sa blouse était entièrement ouverte, et elle regarda l’assistance. Ils étaient tous en train de faire l’amour, à un niveau plus ou moins élevé, et elle leur fit signe.

« Jeunes gens, je vous prie de vous rapprocher. Suivez cet exposé avec la plus grande attention. »

Sous l’effet de la libido, les adolescents obéirent. Ils avaient du inhaler trop de spores, et formèrent un demi-cercle à l’avant de la salle, face au bureau. Le garçon qui avait été sélectionné plaquait entre-temps la lycéenne contre le bureau, et cette dernière avait relevé ses jambes pour les enrouler autour de son bassin, afin de savourer ce moment, poussant des cris de plaisir. L’élève utilisait ses mains pour tenter d’ôter son chemisier et masser ses seins, alors qu’elle glissait ses propres mains dans ses cheveux, poussant des gémissements et des cris langoureux.

« Ah oui, oui, oui ! Encore, aaaahhh !! »

Le bureau se mit à tanguer sous les coups de l’élève, qui s’enfonçait en elle en soupirant, sa tête se retrouvant près de ses seins. Ivy sentit des mains se glisser dans son dos, et tourna la tête. Des élèves tiraient sur sa blouse, et elle leur laissa l’ôter, avant de les regarder, puis se rapprocha des deux lycéens en train de faire l’amour en public. Elle se glissa derrière eux, en souriant, et caressa leurs cheveux tendrement, avant de leur parler.

« La Nature nous a offert les plus belles choses qui existent, jeunes gens. Les plaisirs les plus simples sont parfois les meilleurs, surtout à votre âge, cet âge où la beauté des corps s’exprime dans toute sa splendeur… Ne jouissez pas encore, vous.
 -  C’est… C’est si dur, senseï !
 -  Force-toi… répliqua rapidement Ivy. Je pense que ce cours va prendre une nouvelle orientation… »

Poison Ivy observa rapidement la foule, et se mit à parler à nouveau :

« Il y a deux fois plus de filles que de garçons dans cette classe… Bien…
 -  Sen… Senseï… C’est… C’est trop dur !!! »

Ivy ne se donna même pas la peine d’écouter, et se rapprocha de Motoe, attrapant sa craie. Elle la prit, et nota des noms sur les tableaux. Elle nota en fait les noms de chaque garçon, laissant à chaque fois suffisamment d’espace, et, quand elle eut fini, elle déposa la craie sur le tableau. Dans un hurlement, la jeune lycéenne finit alors par avoir son orgasme, et s’affala contre le corps de l’homme, qui n’enlaça avec tendresse, sperme et cyprine coulant sur leurs jambes. Récupérant la craie, Ivy traça alors un bâton à côté du nom du lycéen, puis consentit à donner quelques explications, tandis que des tentacules jaillissaient de son corps, l’un s’enroulant tendrement autour du cou de la lycéenne qui venait de jouir.

« Chaque lycéen qui fera jouir cinq de ses camarades aura le droit de pouvoir… Me baiser. En cas de double pénétration, vous recevrez tous les deux un bâton. Il est temps pour vous de découvrir ce qu’est la beauté des choses, de parfaire de manière pratique votre éducation sexuelle. En attendant, je vais m’échauffer… Rassurez-vous, Mesdames, vous n’aurez pas de quoi vous ennuyer. »

Ivy maintint son tentacule autour du cou de la lycéenne, et l’embrassa tendrement, avant de retirer son tentacule, et d’en enrouler un autour du poignet de Motoe.

« Toi, attends-moi… Quant à toi, Motoe, suis-moi. »

Ivy s’avança dans la salle arrière, son laboratoire, la conduisant avec elle, et alluma de grosses lampes au-dessus d’une espèce de bac en plein milieu de la pièce. On pouvait voir une grosse fleur avec des pétales.

« Voici un petit bijou que j’entretiens de temps en temps… Et qui risque de nous être utile… C’est une chose qui n’existe pas sur cette planète, mais peu importe… »

La plante qui se trouvait là avait été conçue à partir des fluides d’Alraunya, lorsqu’Ivy avait par hasard été dans cette forêt, rencontrant l’une des espèces de nymphes de cette forêt vivante. C’était une forêt vivant par le biais de fluides sexuelles spécifiques, et elle s’était servie de ce fluide et de ses talents pour créer cette plante, qui réagissait à l’excitation sexuelle. Elle sortit d’un placard une éprouvette comprenant un liquide blanchâtre. Les pétales de la fleur commencèrent lentement à s’ouvrir, révélant une espèce de bouche dans laquelle Ivy mit le contenu de l’éprouvette. Des tentacules commencèrent alors à se former, à grossir et à enfler hors de la table.

« Cette créature se nourrit des fluides sexuelles… Les tentacules servent à l’alimenter… Je pourrais utiliser mes propres tentacules, mais, dans l’absolu, je préfère avoir le contrôle total de mon corps. Sois ravie, tu vas être la première à découvrir les tentacules de ma petite créature. Pour l’heure, je ne l’ai testé qu’avec mon propre corps… Je serais curieuse de voir à quel point elle va grossir sous toute cette orgie… »

Ivy poussa le chariot, l’amenant dans l’arrière de la pièce, l’un de ses tentacules continuant à tenir Motoe. Ivy resta au fond de la salle, voyant un homme écrasé sur une femme, la pénétrant rudement. La plante, de son côté, fit pointer ses tentacules, qui s’allongèrent et se multiplièrent, avant de s’enrouler sur le corps de Motoe. Les extrémités des gros tentacules avaient la forme de verges, qui commencèrent à s’enfoncer dans le vagin de la femme, d’autres tentacules la soulevant lentement, avant de commencer à la pénétrer. De son côté, Poison Ivy fit venir la première lycéenne qui avait joui, et la serra contre elle, l’embrassant avec passion.
DC d’Alice Korvander.

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le Cercle

Légion

Re : Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 7 dimanche 01 avril 2012, 11:34:56

la professeur sembla finalement se laisser tenter elle-même par l'ambiance qui régnait dans la salle. jusque-là elle semblait plus regarder les choses se produire, mais malgré son air toujours très calme, elle avait commencé à ouvrir sa blouse, révélant un costume vert qui n’étonna personne, puisque tout le monde était principalement intéressé par leur activité sexuelle.

  à ce stade-là, ceux qui ne s'étaient pas jetés dans un des groupes forniquant de trois à cinq personnes qui s’étaient formés se masturbaient ouvertement. tout les sexes étaient à découvert, et seules les membres du Cercle gardaient leurs jupes et parfois leurs chemises.

 Une le couple exposé eut commencé à faire l'amour, professeure Pamela Lilian s’avança, sa blouse ouverte battant sur une poitrine imposante au rythme de ses pas.

« Jeunes gens, je vous prie de vous rapprocher. Suivez cet exposé avec la plus grande attention. »

étonnamment, tout les élèves interrompirent leurs actes pour former docilement un demi-cercle autour du bureau qu'occupait le couple le plus heureux de la salle. Motoe continuait de caresser les deux corps, mais regarda néanmoins sa prof qui lui avait apparemment allait encore leur faire une surprise.

  quelques membres du cercle agrippèrent la blouse de Poion Ivy, dévoilant ainsi les formes épanouies de cette femme. elle se porta sur les deux amoureux(car Motoe songeait qu'ils devaient être amoureux au-delà même de la partie sexuelle du terme), et parla à la salle:

« La Nature nous a offert les plus belles choses qui existent, jeunes gens. Les plaisirs les plus simples sont parfois les meilleurs, surtout à votre âge, cet âge où la beauté des corps s’exprime dans toute sa splendeur… Ne jouissez pas encore, vous." fit-elle au jeune homme.
 -  C’est… C’est si dur, senseï !
 -  Force-toi… répodit-elle, un peu durement. Je pense que ce cours va prendre une nouvelle orientation… »

« Il y a deux fois plus de filles que de garçons dans cette classe… Bien…

 Ivy prit la craie des mains de Motoe qui s’était reculée pour la laisser passer. Elle nota le nom des garçons, et leur donna un contrat de cinq orgasmes à fournir avant de pouvoir coucher avec elle. ce faisant, elle sortit des tentacules que toutes les filles de l'assistance voulaient sentir en elles, certaines les agrippant même. pendant ce temps, la jeune fille eut un orgasme bruyant et regarda tendrement son amant. le reste de la salle, quoi qu’attentive à ce qui se disait, commençait à reprendre masturbation mutuelles et autres caresses sauvages.

Une membre du Cercle leva la main:
«mais... et nous, comment on peut vous baiser? et ceux qui ne veulent pas de femme?»
En effet, il y avait un ou deux dans la salle qui étaient homosexuels.


  en les quittant pour aller dans son labo, Ivy agrippa Motoe avec une tentacule, que celle-ci, sans comprendre pourquoi, lécha avec délice. Motoe entendit vaguement
« ... Motoe, suis-moi. »
et suivit, sans cesser de lécher le tentacule.

dans le labo, une énorme fleur, qui donna à Motoe l'idée d'une bouche fermée qui attendrait un baiser langoureux.

« Voici un petit bijou que j’entretiens de temps en temps… Et qui risque de nous être utile… C’est une chose qui n’existe pas sur cette planète, mais peu importe… »

vidant le contenu d'une fiole(sperme? cyprine? Motoe ne le savait pas) Poison Ivy provoqua l'ouverture de la plante, découvrant une bouche qui englouti le liquide. des tentacules sortirent, sûrement produites par la plante elle-même.

« Cette créature se nourrit des fluides sexuelles… Les tentacules servent à l’alimenter… Je pourrais utiliser mes propres tentacules, mais, dans l’absolu, je préfère avoir le contrôle total de mon corps. Sois ravie, tu vas être la première à découvrir les tentacules de ma petite créature. Pour l’heure, je ne l’ai testé qu’avec mon propre corps… Je serais curieuse de voir à quel point elle va grossir sous toute cette orgie… »

  La dame, décidément pleine de surprises, retourna dans la salle avec sa plante, et Motoe qui la suivait curieuse de ce que ça pouvait donner comme relation, une plante.

  Les groupes s’étaient de nouveau formés, plus larges cette fois, et centrés sur les garçons de la classe.
  quelques-uns se contentaient de pénétrer une partenaire, se laissant caresser par d'autres, mais beaucoup avaient une solution pour améliorer leur travail. certains promenaient leurs doigt sur les multiples vulves autour d'eux, certains les léchaient, un autre se les prenait successivement, à la manière dune comptine lubrique.
 Autour de ces groupes quelques filles plus libertines que la moyenne passaient d'une partenaire à une autre, stimulant ici, embrassant là, parfois saisissant un pénis avec la main ou la bouche.
 Les vêtements, souillés et écrasés, parfois même imbibés de fluides sexuels divers seraient de tapis à ces jeux. l'ajout de noms sur le tableau indiquait que des intrus s'étaient glissés dans l'affaire, même si le plus souvent ces intrus étaient féminins.

  la plante fut posée à l'arrière de la salle, où elle commença à attirer des curieuses et même un curieux. les tentacules s'enroulèrent autour de Motoe, qui eut juste le temps d'embrasser langoureusement une élève avant d'être soulevée et pénétrée par plusieurs de ces verges vertes.
ceci lui fit complétement perdre la raison.
elle cria:
« j'en veux d'autres! entre mes seins, dans ma bouche, dans mes mains!»
elle eut la satisfaction de voir certains des garçons et filles qui la regardaient, tout en redoublant d'ardeur à cette vue.

Elle reprit:
« je veux qu'un homme me prenne par les fesses aussi! »

Poison Ivy

Créature

Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 8 lundi 02 avril 2012, 01:33:38

Lorsqu’Ivy retourna dans la salle, ce fut pour y voir que l’ambiance avait encore grimpé de plusieurs degrés. Il était désormais plus juste de parler d’une orgie entre étudiants, qu’un cours sexuel. Ivy les regarda lentement. Les mâles s’étaient évertués à leur tâche, galvanisés par la volonté de faire l’amour avec leur prof’. Quant aux quelques homosexuels masculins de cette pièce, ils étaient sans importance. S’ils étaient homosexuels, ils ne coucheraient justement pas avec Ivy. Sa plante suscita des coups d’œil curieux de la part de ceux qui, soit venaient juste de jouir, soit se redressaient. Poison Ivy faisait confiance aux femmes pour noter sur le tableau l’évolution des jouissances, mais elle savait que sa règle ne serait pas respectée, ce qui n’était pas pour la déranger. Sa règle des 5 jouissances était juste une manière d’exciter encore plus les mâles. Au mileu du couloir central, l’un des hommes perforait une femme avec envie, cette dernière hurlant de douleur, tandis que, contre un bureau, une autre lycéenne offrait ses fesses aux hommes, se faisant prendre successivement.

La plante d’Ivy ressentait ses fibres, et ses tentacules grossissaient rapidement. Motoe, passionnée, hurla son désir d’avoir plus de tentacules, et la plante ne tarda pas à la satisfaire. Deux tentacules avec une espèce de bouche à la proximité jaillirent de la plante pour appuyer sur les seins de la femme, en absorbant les extrémités, tandis que des espèces de langues, censées constituer les dents de ces bouches, frottèrent ses seins, excitant ses tétons. D’autres tentacules plus petits s’enroulèrent sur la base de ses seins, glissant le long de son corps, s’enroulant autour de son ventre, serrant dessus. Pour la satisfaire, d’autres tentacules s’enroulèrent autour de ses bras, afin de glisser des verges dans ses paumes, pour que ses doigts les frottant. D’autres partenaires s’approchaient, et, les racines de la plante grossirent, délivrant de nouveaux tentacules qui avancèrent comme des serpents, jusqu’à être captés par certaines femmes, qui trouvaient visiblement là l’expression de fantasmes endormis.

Ivy, de son côté, était avec la première lycéenne, qui était calée entre elle et un bureau. Des tentacules jaillirent depuis les jambes d’Ivy, s’enroulant autour de celles de la fille, afin de la plaquer contre elle, tandis que le tissu végétal recouvrant le sexe de la femme se détachait. De puis son vagin, un tentacule ne tarda pas à sortir, formant un pénis végétal qui se mit à pénétrer rudement la lycéenne. Motoe, quant à elle, se retrouvait la cible de nombreux tentacules, découvrant une séance de bondage improvisé. Ses jambes firent également emprisonnées par les tentacules, ainsi que son cou, qui la tiraient dans tous les sens, serrant ses membres. Il y avait plusieurs catégories de tentacules : des petits, semblables à des cordes, des gros, qui faisaient office de verges, et d’autres avec des trous et des bouches béantes. Poison Ivy sentit un homme s’approcher d’elle, frottant son sexe contre ses fesses. Elle tourna la tête vers ce dernier et l’embrassa.

« Baise-moi par derrière », ordonna-t-elle simplement.

Un autre homme, de son côté, suivant la demande de Motoe, s’était glissé derrière. Un tentacule en forme de pénis s’était également glissé entre les seins de Motoe, se branlant sur sa peau, et un autre s’était faufilé dans sa bouche, optant pour une solide gorge profonde, s’enfonçant dans les profondeurs de son gorge, utilisant un fluide végétal spécial pour que Motoe n’ait pas de haut-le-cœur intempestif. Ivy crut ressentir une espèce d’once de jalousie de la part des spectateurs. Mais, après tout, c’était Motoe qui avait fait son exposé, et Poison Ivy avait justement une idée en tête pour la récompenser dignement… Le lycéen derrière l’étudiante s’enfonça dans ses fesses en soupirant, et le plaisir explosa.

Ivy sentit en effet ses fesses se faire malmener par un homme, et poussa un cri de plaisir, cessant de tenir la lycéenne se trouvant elle, ses tentacules s’en chargeant. Quant à elle, elle embrassait fiévreusement Ivy, et, pendant ce temps, Motoe continuait à se faire prendre de partout. Les tentacules se nourrissaient de sa cyprine, allant voir ailleurs, commençant à s’attaquer à d’autres femmes et hommes, buvant autant la cyprine que le sperme, grossissant. Les tentacules finirent par jouir dans le corps de Motoe, crachant un fluide sexuel végétal qui était un curieux mélange entre les deux, entre la cyprine et le sperme. Le lycéen ne tarda également pas à jouir, et s’affala sur le sol. Ivy se retourna alors vers Motoe en souriant. Les tentacules de son propre corps serraient la lycéenne contre elle,s on pénis végétal continuant à la perforer, tandis qu’elle donna à Motoe quelques explications.

« Je vais t’offrir un cadeau, Motoe… L’opportunité de découvrir un plaisir sexuel sans bornes… Tu avs pouvoir comprendre le pouvoir de la Nature… »

Tandis qu’elle parlait, les tentacules de la plante soulevaient Motoe, continuant à la pénétrer, sans relâche, tout en la rapprochant de la bouche de la plante. A l’intérieur, on voyait une espèce de flaque verdâtre comprenant le jus sexuel de la plante, produit à partir de cyprine et de sperme.

« Tu vas fusionner avec ma plante, et la guider… Tu ressentiras tout ce qu’elle ressent, et tu éprouveras tout ce qu’elle sentira… Je crois que ma plante t’aime bien… »

La plante agissait en effet, et Motoe perdit ses jambes. Ces dernières s’enfoncèrent dans le fluide sexuel de la plante, disparaissant dans la plante, tandis que les pétales se refermèrent sur le corps de la femme. Ses bras disparurent également dans la plante, et son vagin reçut un tentacule, ainsi que ses fesses, que ses seins, et que sa bouche. Contrôler les tentacules serait totalement instinctif pour elle. Il lui suffisait d’avoir envie de pénétrer quelqu’un, et elle le ferait… Vu le taux d’excitation sexuelle ambiant, il était probable que la plante soit dans un manque sexuel prononcé… En gros, Motoe allait se sentir dans la peau d’un drogué qui était désespérément en manque, en manque au point de devenir fou.
DC d’Alice Korvander.

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le Cercle

Légion

Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 9 lundi 02 avril 2012, 20:07:19

  Le désordre était total dans la salle. Les élèves, de plus en plus nombreux, couchaient ensemble, se léchaient, se mordaient, se frappaient parfois même, dans leur frénésie sexuelle. L'arrivée de la plante, qui faufila ses tentacules un peu partout, augmenta encore la force de l'effet de serre sexuelle qui se réalisait entre Poison Ivy et le Cercle, avec les élèves de la classe dans le rôle des habitants de la Terre qui en subissaient les conséquences.
  Certains hommes et de nombreuses filles prirent au vol et profitèrent de ces verges pour assouvir de nombreuses pulsions. Quelques facétieuses, membres du Cercle, enroulèrent les  tentacules qu'elle avaient prises autour  des phallus bien surpris par la sensation, pour en faire des masturbateurs. La plupart des filles préféraient plus classiquement se faire pénétrer, même si tout le monde avait commencé à changer rapidement de partenaire, ainsi qu'à en prendre un grand nombre en même temps.
Mains, bouches, sexes, anus, parfois pieds même, tout était bon pour sentir le plus de partenaires possible, goutter le plus de fluides, jouir le plus de fois.
   La liste des hommes ayant fait jouir cinq fois, étrangement tenue, s'allongeait à rythme régulier, trois d'entre eux attendaient activement autour d'Ivy. Activement, à savoir qu'ils continuaient leurs activités en gardant un œil sur elle. De toute manière, ce n'était pas comme on leur laissait le choix ou non de participer. Tout ce qui avait un sexe, ou une sexualité, était happé sitôt qu'il s'approchait de la masse vivante. L'un d'entre eux s'avança sur elle, et eut le droit de la prendre en levrette.
  Une étude détaillée de la scène révélerait une multitude infinie de perversités. Certains élèves sortaient de leur sac divers jouets sexuels, costumes, ou même plus simplement des nourritures qu'ils incorporaient dans la ronde au gré de leurs fantaisies. Les quelques gays de la classe eurent leur première expérience bi, alors que deux femmes suçaient leurs testicules et qu'ils se satisfaisaient mutuellement.
  La folie qui prenait la salle, malgré les protections autour du Cercle, commençait à se sentir dans les pièces alentours, où tout les hommes avaient une érection distraite, et toute les femmes mouillaient doucement.

  Les seins écrasés, les mamelons mordillés, une tentacule glissant entre ses seins, la bouche prise en gorge profonde, les mains chargés de verges qu'elle trouva douces, le sexe plein comme elle n'aurait jamais cru pouvoir le sentir, et la chaleur d'un corps d'homme chauffant son derrière, Motoe songea qu'elle ne pourrait pas avoir plus de plaisir en une seule fois. Toute à ce plaisir, elle regardait plus rien, n'ayant le yeux ouverts que parce qu'elle ne s'en souciait pas le moins du monde. Les seuls muscles qu'elle fit bouger étaient ceux qui augmentaient les sensations, les jambes pour accentuer les diverses pénétrations d'un balancement d'avant en arrière, la langue pour gouter les liquides, et les bras pour serrer et stimuler les lianes dans ses paumes.
  Elle avait déjà jouit trois fois lorsque les tentacules en firent autant, déversant une  quantité incroyable du ''sperprine'' de la plante, en elle et autour d'elle. L'homme jouit tout de suite après, et s'effondra. Pour lui rendre justice, mentionnons que c'était sa quatrième fois depuis le début du cours, et cinquième de la journée.


« Je vais t’offrir un cadeau, Motoe… L’opportunité de découvrir un plaisir sexuel sans bornes… Tu avs pouvoir comprendre le pouvoir de la Nature… »

* un plaisir sexuel sans bornes? Mais j'en vit déjà un.*
 pensa mollement Motoe, sans se rendre compte qu'on la soulevait et qu'elle s'approchait de la bouche de la plante.
Elle jouit une quatrième fois avant que Poison Ivy put lui parler à nouveau.

« Tu vas fusionner avec ma plante, et la guider… Tu ressentiras tout ce qu’elle ressent, et tu éprouveras tout ce qu’elle sentira… Je crois que ma plante t’aime bien… »
 Notons ici que si elle en avait eu la volonté, Poison Ivy avait eut quatre occasion d'empêcher les évènements de prendre une telle ampleur. Elle aurait pu au début du cour, ou lorsqu'elle sentit les élèves s'affoler de manière inquiétante, calmer ses spores ou les faire sortir par la fenêtre. Elle aurait put stopper Motoe lorsqu'elle avait déshabillé une camarade de classe. Elle aurait put se contenter de céder aux pulsions directes, sans amener la plante dans la salle. Ou encore elle aurait put éviter de faire ce cadeau à une membre du Cercle, membre déjà devenue folle de désir au moment d'être saisie par la plante qui plus est.

  l'idée de guider une telle machine de sexe réveilla aussitôt Motoe, qui eut un grand sourire. Son idée immédiate, une fois soudée à la plante, fut d'''appeler'' ses amies du Cercle, comme elles le faisaient toujours.
  Aussitôt, la moitié des filles dans la salle abandonnèrent le reste de l'orgie (qui continua sans elles qu'on se rassure.) pour se placer devant la plante, qui les saucissonna une à une, les souleva et les pénétra dans les airs. Pour arranger les choses, les autres membres du cercles arrivaient dans la salle, en un flot continu qui ne laissait pas même la porte se fermer. Petites, grandes, aux formes généreuses ou avec des poitrines plates, humaines, vampires, terranides, lycanthropes et toutes les autres créatures, qu'elles soient joueuses, discrètes,  chauffeuses,  dominatrices,  dominées,  voyeuses, toutes les membres du Cercle présentes dans le lycée, y compris quelques profs et une  secrétaire, furent vite pendues à ce qui était désormais plus un arbre qu'une plante.

 À ce moment, les élèves qui n'étaient pas évanouis de plaisir regardèrent la chose avec un mélange confus d'envie et de crainte. Les lianes partirent très vite, ne laissant aucune chance de s'enfuir même si il s'y trouvait quelqu'un pour le vouloir.  Elles enlacèrent tous les corps, léchèrent et pénétrèrent tout les orifices, serrèrent ou sucèrent tout les organes phalliques, se glissèrent partout dans la salle.  Motoe imagina un jeu où elle prenait deux partenaires au hasard et les pénétrait mutuellement de force.  Afin d'entendre les cris et les demandes, elle laissait les bouches libres, sauf si celles-ci se sentaient vides, et pour que les personnes puissent se caresser, elle laissa les bras se mouvoir sans encombre. Comme il poussait des tentacules qui n'avaient pas de fonction, elle commença à fouetter ceux et celles que ça plairaient. Comme il en venait d'autre, elle lécha sol et meuble pour récupérer les liquide qui les tapissaient.
 Motoe fut obligée d'admettre qu'elle avait tort, elle pouvait désormais sentir beaucoup plus de plaisir que ce qu'elle imaginait. Elle sentait chaque parcelle de ce nouveau corps comme étant partie d'un de ses organes. Les tentacules fines étaient ses mains, les tentacules bouche étaient ses lèvres, Les tentacules verges étaient sa vulve. Des centaines de mains de bouches et de sexes concentraient  leurs stimulus sur son corps avide.
  Elle devint pire que folle, perdant pied avec la réalité et cherchant d'autres corps à posséder. N'en trouvant pas, elle ouvrit la porte et lança ses fidèles organes dans les couloirs et les salles. La dernière heure de cours allait se finir sous peu, elle se pressa donc pour bloquer toutes les sorties du lycée, avant d'entrer dans les salles une à une.

La première victime, prise dans les toilettes, commença par crier, avant qu'une caresse sous son sexe la fasse soupirer. Le premier garçon, entendant le cri, puis le soupir, courra droit sur elle et prit un baiser par une tentacule-bouche qui déversa un puissant aphrodisiaque.

Poison Ivy

Créature

Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 10 mardi 03 avril 2012, 01:28:55

D’une simple orgie surréaliste, on arrivait maintenant à une scène qui semblait tout droit issu de l’imagination délirante d’un auteur fantastique. Une scène absolument hors normes était en train de se profiler, et Poison Ivy en regretterait « presque » d’avoir confié la gestion de sa plante spéciale à Motoe, qui semblait être une jeune femme à l’imagination perverse très vaste. Sans surprise, ou presque, Ivy vit une bonne partie des demoiselles se rapprocher de Motoe, confirmant qu’Ivy n’avait pas été la seule à influer sur l’hormone des élèves.

*Est-ce un genre de société secrète ? C’est sûrement cela… Il y a décidément beaucoup de choses secrètes dans ce lycée…*

Poison Ivy vit ensuite des invitées surprise pénétrer dans la pièce, tandis que les tentacules se multipliaient rapidement. L’Empoisonneuse, de son côté, avait fini par libérer la lycéenne, qui gisait sur une table, avant d’être « attaquée » par une pluie de tentacules. Ivy se retourna vers les hommes qui l’encerclaient, et constata que sa peau était devenu verdâtre, retrouvant sa vraie apparence. Elle leur sourit, et leur fit signe de venir, constatant accessoirement que les deux homosexuels de la salle avaient découvert qu’ils aimaient aussi les femmes. Deux femmes étaient assises devant l’un de ces hommes, justement, caressant et léchant son sexe, le faisant jouir à plusieurs reprises, son sperme éclaboussant les seins d’une troisième lycéenne. L’ambiance était effectivement explosive, monstrueusement torride, et Ivy remarqua que des tentacules avaient inconsciemment filé par le plafond, atteignant les gaines de ventilation, répandant les spores que la plante émettait dans tout le lycée.

Cette plante était visiblement encore plus forte et plus impressionnante que ce qu’Ivy pensait. Après tout, ce n’était pas en soi surprenant. Elle avait été créée sur le modèle d’une immense forêt vivante, Alraunya, une forêt qui était toute entière vouée au sexe, et avait largement de quoi enfanter un monde entier. Il n’était donc pas étonnant de voir que cette petite plante, sous l’esprit de Motoe, grossissait et croissait de manière exponentielle. Ivy en était flattée, et c’était surtout ça, qui, bien plus que les hommes qui la prenaient, l’excitait follement.

Motoe ne tarda pas à ne plus pouvoir uniquement se contenter de cette salle, et les tentacules se répandirent dans l’enceinte du lycée. Ivy, qui était perpétuellement reliée avec ses plantes, pouvait les sentir se faufiler dans les salles de classes, se répandre dans les couloirs, frappant de plein fouet les lycéens et les lycéennes qui rangeaient leurs casiers, se retrouvant pour un cours supplémentaire, qui, s’il fut forcé au début pour la plupart, devint assez rapidement volontaire et encouragé. C’était comme si une espèce d’onde de folie saisissait la foule, s’emparait de tout le lycée. Scientifique, Ivy n’arrivait pourtant pas à comprendre comment tout cela était possible, et se contentait, comme la plupart des élèves, de suivre le courant. Dans le fond, c’était une forme d’hystérie collective.

Dans une salle, un contrôle qui avait eu lieu s’arrêta brusquement lorsque des tentacules pénétrèrent depuis plusieurs portes.

« Mais qu’est-ce que c’est que ça ?! » fut tout ce que le professeur parvint à dire, avant que Motoe n’envoie sur lui plusieurs tentacules.

Partout, le même spectacle tendait à se répéter, à se multiplier, à se prolonger, plongeant le lycée dans une espèce de bulle temporelle difficile à cerner. La curiosité ne tarda pas à s’emparer d’Ivy, qui se libéra des quelques hommes qui la prenait follement. Leurs spermes et sa cyprine qui se glissaient sur ses jambes furent absorbés par son corps, la laissant propre, et elle rejoignit la grosse plante. Motoe était au centre, avec un tentacule dans sa bouche, et Ivy le retira. Elle fronça les sourcils en voyant une scène assez… Troublante. Motoe était complètement déconnectée, atomisée par le plaisir qu’elle ressentait. Son cerveau semblait s’être déconnecté, et ses yeux fixaient le vague, tandis que de la bave coulait de ses lèvres.

*Hum… Peut-être va-t-il falloir faire une tournante… L’esprit humain a ses limites, après tout… Si je la laisse trop dans cet état, elle risqué de plonger dans le coma…*

Hésitant, Ivy commença donc à désolidariser Motoe de la plante, jusqu’à la retirer. Toute une partie de son corps était couvert de ce fluide sexuel si propre à sa plante, et elle la déposa sur une table, tandis que plusieurs de ses camarades allaient lécher son corps, laissant à Motoe le temps de se reprendre. De son côté, Ivy laissa l’un des membres remplacer Motoe. Poison Ivy se rapprocha de son côté de celle qui avait été l’instigatrice, et attendit de voir une lueur dans ses yeux pour lui parler à voix basse :

« Désolée, mais le plaisir que tu ressentais était bien trop important pour ton propre corps… Est-ce que ça te plairait, dis ? Voir ce que tu as créé… »
DC d’Alice Korvander.

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le Cercle

Légion

Re : Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 11 vendredi 06 avril 2012, 22:42:12

décrire la période qui suivit l'escapade des tentacules hors de la salle serait inutile, pour ne pas dire impossible.  Lorsque les ''victimes'' ne sautaient pas directement sur la plante, comme cela arrivait souvent, un simple contact au bon endroit ou un déversement des aphrodisiaques suffisait à défaire toute résistance. à ce rythme, le lycée était probablement déjà entièrement occupé par cette plante lorsque Motoe fut débranchée.


 La première sensation qu'elle ressenti après était les coups de langues de ses camarades. sensation apaisante après ce déversement qui, elle le réalisait soudainement, lui était carrément devenue douloureux. elle essaya de se souvenir qui elle avait prise d'assaut dans la plante, mais ne put resituer que des parties de corps, seins fesses, sexes, bouches... aucun visage complet
elle se demanda avec un amusement mêle de déception si c’était comme ça que les victimes du Cercle revoyaient la chose après coup.


« Désolée, mais le plaisir que tu ressentais était bien trop important pour ton propre corps… »

Oui... je le reconnais. la pauvre avait complétement été calmée par l’expérience qui, rétrospectivement, aurait pu lui être fatal.

« Est-ce que ça te plairait, dis ? Voir ce que tu as créé… »

Motoe jeta un œil à la plante qui ressemblait plus à un arbre, voir même une jungle en fait.
difficile de faire autrement en fait... faites attention à ma remplaçante, il ne faut pas qu'elle aille aussi loin que moi. je la connais, elle y passerait rapidement. puis Motoe s'allongea, les yeux fermés, laissant passivement les autres la lécher et la caresser, se contentant de caresser les corps à l'aveuglette. il fallait encore attendre un peu avant qu'elle soit prête à retourner dans la partie.

Poison Ivy

Créature

Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 12 samedi 07 avril 2012, 02:10:57

Pour le coup, Motoe avait, semble-t-il, rencontré sa Maîtresse. La pauvre était complètement patraque et cassée. Son corps semblait recouvert jusqu’aux seins d’une seconde peau, le jus végétal de la plante. Elle revenait progressivement à la réalité, dans une ambiance chaude et particulièrement festive. L’orgie se poursuivait, dans une espèce de frénésie interminable. Ivy, qui restait après tout une prof’, se rapprocha de Motoe. Ses amies la lécher avidement, et elle émergeait progressivement, visiblement assommée. Ivy tendit une main pour caresser ses joues.

« Ne t’en fais pas pour tes amies, Motoe, tu as été mon premier cobaye, mais les autres seront relâchées… Mais seront tout aussi exténuées que toi. Il faudrait être plus qu’une humaine pour supporter une telle dose de plaisir, petite Motoe… J’ai bien peur que ton Cercle soit rapidement mis à l’épreuve… »

Ivy était perpétuellement reliée à sa plante, et, quand Motoe s’était mélangée à cette dernière, Poison Ivy avait pu lire certaines de ses pensées, et avait ainsi appris qu’il existait, au sein du lycée, une société secrète importante, et que Motoe, ainsi que la plupart des filles de cette classe, en faisaient partie. Cette société s’appelait simplement le Cercle, et allait jusqu’à inclure des professeurs. Poison Ivy s’était débrouillée pour que sa plante ne s’intéresse qu’aux membres du Cercle. Une sorte de privilège, mais aussi une manière de montrer à ces fanas du sexe quels piètres adversaires elles étaient, face à la puissance de la Nature. Elles avaient beau être endurantes, une plante était infatigable, et celle-ci se nourrissait de la perversion des étudiantes.

« Dors, Motoe… Tu en as assez fait pour aujourd’hui… Repose-toi… »

Poison Ivy regarda la classe. Elle ressemblait à une espèce de forêt avec de nombreux tentacules. Elle s’écarta un peu de Motoe, et se dirigea vers un autre membre du Cercle, enroulant un tentacule autour de son cou. Cette dernière léchait le pied de Motoe avec un grand appétit, et Ivy serra, tirant un coup sec pour que cette lycéenne tombe sur le sol, devant les pieds d’Ivy. Elle fut alors surprise par des caresses sur ses joues, et tourna sa tête. A l’origine de ses belles et douces mains manucurées, il y avait une prof de mathématiques assez jeune, et particulièrement belle. Ivy l’embrassa avec tendresse, frottant son petit nez, tandis qu’elle avait toujours un tentacule autour du cou de la membre du Cercle, l’invitant à lui lécher les pieds.

« Ho, Pamela… Je… commença la femme.
 -  Silence, ma belle », répliqua Ivy en posant un doigt sur ses belles lèvres.

Elle l’embrassa à nouveau, répandant à nouveau en elle son aphrodisiaque, et retira ses lèvres, puis porta son attention sur le membre du Cercle, serrant son tentacule autour de son cou.

« J’ai toujours eu envie d’une petite chienne pour me lécher les pieds et me suivre fidèlement. Tu te crois capable de remplir ce rôle, ma belle ? »
DC d’Alice Korvander.

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le Cercle

Légion

Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 13 lundi 09 avril 2012, 09:39:23

En sombrant dans le sommeil, Motoe entendit les mots de Poison Ivy.

« J’ai bien peur que ton Cercle soit rapidement mis à l’épreuve… »

Ainsi elle avait appris pour le Cercle, certainement avec la plante. Cela eut le résultat de la faire complètement paniquer. Elle avait peur pour le Cercle. Jusqu'à présent, aucune personne ne connaissant réellement la confrérie, ni ne pouvait en nommer un membre. Tout au plus quelques rumeurs et certaines médisances parmi les élèves la mentionnaient.
 
  Les raisons de ce secret sont évidentes, la sécurité par rapport à des intégristes religieux ou des E.S.PERs puissants et trop dominateurs étant l'un des plus importants. mais il y avait aussi l'inquiétude de ne plus pouvoir agir en toute liberté. Choisir ses partenaires est beaucoup plus facile quand personne ne sait qui elles sont. Personne ne peut par exemple exercer une pression sur elles pour les forcer à l'acte, ce qui est un avantage précieux pour elles. Même si Ivy n'était probablement pas du genre à poser de tels pièges, il restait toujours la possibilité qu'elle révèle ce secret d'une manière ou d'une autre, sans qu'aucune membre ne le sache. Il fallait, Motoe en était convaincue, s'assurer du silence de la professeure.

« Dors, Motoe… Tu en as assez fait pour aujourd’hui… Repose-toi… »

 Et Motoe s'endormit. Mais, par les mêmes voies qui font que les membres du Cercle savent où aller, elle put désigner Poison Ivy comme priorité.
  Ce que Ivy  ne pouvait deviner, c'était la capacité de cohésion du Cercle, en particulier en cas de danger.  Aucune parmis le Cercle ne savaient ce qu'Ivy avait appris, mais elles sentirent confusément qu'il fallait s'occuper d'elle particulièrement.
  En effet, pour que l'oubli qui servait d'armure au Cercle fonctionne il faut faire abandonner toute forme de maitrise de soi à la personne, qu'elle s'abandonne pleinement et sans calcul à son plaisir.

  Ivy se détourna de Motoe, passant certaines pulsions dominatrices sur une membre du Cercle, Seika Kashiwagi. Elle lui demanda de devenir sa chienne et de lui lécher les pieds, en embrassant une professeur de mathématique qui avait déjà eut une aventure avec le Cercle. Seika lécha avec avidité la peau de la jeune femme, remontant la langue parfois jusqu'au genoux et lançant de timides jappements pour lui montrer son obéissance.


 Petit groupe par petit groupe, elles furent libérées des lianes pour se tourner vers elle.  Trois de ces filles se collèrent à Ivy, lui embrassant la nuque, la joue et l'épaule, tout en la parcourant des mains. Pendant ce temps, quatre tentacules(deux verges et deux bouches) se glissèrent dans le lot, les tentacules-bouches embrassant les seins tandis que les deux autres s'introduisirent en elle, dans sa zone sensible, et amorcèrent un aller-retour au même rythme, mais en opposition: lorsque l'un commençait à s'introduire, l'autre entamait sa sortie.

 La prof de mathématique  fut mise à genoux et commença à lécher l'anus de celle qu'elle appelait  Pamela.  Insensiblement, les élèves de la salle s'approchaient d'elles, de coups de reins en appels plus ou moins discret à l'adresse de certains, le Cercle attirait tout le monde autour de la dame verte. Celle-ci  était devenue nouveau centre d'attention de tout le monde, les élèves masculins faisant valoir les nombreux traits sur leur tableaux des scores, désormais tenu par un tentacule fin et sous le toucher vigilant de la plante. En fait, celui-ci indiquait que tout les hommes méritaient une récompenses de la part de miss Ivy, et celui qui pouvait se prévaloir du plus grand score se plaça devant elle et la pénétra en plus des deux  tentacules, portant ses mains au fesses de Poison Ivy.

  Dans le reste du lycée, les tentacules avaient saisies toutes les âmes. Le fait que certaines classes avait fini les cours plus tôt dans la journée empêcha l'évènement d'éliminer toute virginité de l'établissement, ce qui n'aurait manqué de devenir louche. Dans tout les coins, on voyait des élèves et des profs gémir de plaisir, pénétrer d'autres personnes ou se laisser pénétrer par elles, quand il n'étaient pas carrément dans les pommes, évanouis par cette débauche.
Les plus doués de ces coucheurs étaient emportés dans la salle, pour servir en première ligne d'excitant aux élèves autour de Poison Ivy. Ceux qui furent épuisés par l'acte dans la salle étant doucement portés à l'arrière de la pièce.

  Une formation se construisit rapidement, qui pourrait se résumer ainsi:
 En contact direct avec la dame des plantes, les trois filles du Cercle continuaient de l'embrasser et la parcourir; la prof de mathématique s'occupait de ses fesses; Seika était à quatre pattes à ses pieds, sous son ascendant et elle haletait comme un petit chiot excité par un jeu; et le jeune homme la pénétrait de face en lui parcourant le dos de ses mains. Puis venait un groupe assez compact formé pour moitié de membres du Cercle, les personnes de ce groupe stimulant le premier groupe tout en couchant sauvagement entre elles.  Un troisième groupe plus compact stimulait le deuxième groupe tout en couchant assez aléatoirement, personne dans cet endroit ne sachant où était quelle partie de qui. Une première périphérie était composée de couples ou de petit groupes couchant passionnément, tandis que la seconde périphérie était occupée par des épuisés et des évanouis que quelques membres soignaient en léchant et caressant tendrement. Les tentacules s'infiltraient dans toute la structure avec une régularité exemplaire, ajoutant deux autres bouches à celles sur Ivy pour une bonne mesure.

Celles qui s'engouffraient dans la plante pour la contrôler étaient les membres du cercle qui étaient le plus proche, donc celles de la seconde périphérie. Après que deux contrôleuses furent successivement mises KO en un court instant, on comprit que seules celles qui avaient du sang froid pouvaient se permettre d'y entrer, et ainsi les suivantes tinrent plus longtemps que Motoe.

Poison Ivy

Créature

Re : Un cours insoutenable [Le Cercle]

Réponse 14 lundi 09 avril 2012, 23:37:21

Cette scène irréelle n’en était pas moins plaisante, et le fut d’autant plus qu’Ivy, comme elle l’avait escompté, ne tarda pas à devenir le centre d’intérêt du Cercle. Ce n’était pas pour la surprendre, car c’était, sciemment, ce qu’elle espérait. Il n’était pas bien difficile de comprendre que c’était une société secrète qui ne cherchait nullement à être identifiée. Or, Ivy avait découvert, par le biais de sa plante, son existence. De plus, bien que ce lycée ait la réputation d’être assez sulfureux, il n’était pas difficile d’imaginer les réactions des parents d’élève et autres associations si on apprenait qu’il y avait, en son sein, une société secrète allant jusqu’à regrouper des professeurs pour effectuer des activités sexuelles dans le lycée. Le Cercle avait tout intérêt à ce que son existence ne soit pas connue, et Ivy, en vendant la mèche, s’attendait à ce que le Cercle se préoccupe plus sérieusement d’elle.

Sur ce point, on peut dire qu’elle ne fut pas déçue, et même qu’elle fut satisfaite au-delà de toute espérance. La petite lycéenne léchait avec envie son pied, et Ivy avait d’ores et déjà décidée qu’elle serait désormais sa petite chienne, lorsque trois lycéennes s’approchèrent d’elle, trois petits beautés qui commencèrent à l’embrasser et à la caresser. Des frissons de plaisir traversèrent le corps de la prof’ plante, qui ne tarda pas à les récompenser en utilisant ses mains pour caresser leurs fesses et leurs dos.

« Oh oui, mes beautés. Encore, encore, encore ! » s’enthousiasmait Ivy.

D’autres membres du Cercle agissaient, s’occupant de l’organisation de l’orgie. Poison Ivy était bien trop excitée pour s’en soucier, et se contentait de maintenir un tentacule jaillissant de son doigt autour du cou de sa chienne, Seika, serrant parfois. Cette dernière jappait et aboyait de plaisir, visiblement à fond dedans. Deux tentacules se glissèrent dans le corps d’Ivy, qui en poussa un gémissement de plaisir, étouffé par les lèvres d’une étudiante, tandis qu’elle sentit la prof’ de mathématiques peloter ses fesses, les massant en embrassant son dos. Poison Ivy remarqua que les hommes se rapprochaient d’elles, semblables à des prédateurs sexuels désireux d’obtenir leur dû.

*Venez, mes chéris, ma chatte est prête à vous accueillir !*

Les deux tentacules se glissant par intermittence en elle av aient en effet bien dilaté les parois, et ce fut un homme qui s‘empara autoritairement d’elle, et la pénétra dans un long soupir.

« Haaaaan ! s’exclama Ivy en sentant cette lance de chair s’enfoncer en elle.
 -  De… Depuis le temps que j’attends ça ! soupira ce dernier.
 -  Tu… Tu aimes ça, hein, petit pervers ?! le taquina Ivy. Hum… Sois violent… Fais parler toute ta force… »

Le lycéen obtempéra, donnant des coups de butoir, son sexe se glissant entre les tentacules qui la pénétraient. Néanmoins, tout cela était bien insuffisant pour Ivy. Le lycéen ne tarda pas à jouir en elle, et Ivy l’écarta en le poussant de la main, l’envoyant s’étaler sur le sol. Un autre ne tarda pas à prendre sa place, et la prof’ se mit à agir. Même si c’était le Cercle qui contrôlait sa plante, elle en était la génitrice, et elle prit autoritairement le contrôle de quelques tentacules. Deux tentacules s’enroulèrent autour de chacun de ses poignets, les tirant en l’air, l’immobilisant, tandis qu’un autre s’enroula autour du cou de la prof de mathématiques, avant de descendre entre ses seins pour s’enfoncer dans son anus, laissant son vagin à libre disposition d’un lycéen. Ivy aurait été tentée de sentir un homme dans son dos, mais elle préférait sentir les lèvres et les claques de la prof’ de maths sur son cul, plutôt qu’un membre qui viendrait la labourer.

Exposée, son dos ne tarda pas à recevoir une série de coups secs de la part de plusieurs tentacules, des coups sonores qui claquèrent dans la salle. Ivy n’y allait pas de main morte. Les fouets frappèrent violemment, laissant des zébrures verdâtres, la faisant hurler aussi efficacement que les hommes qui la pénétraient. Il y en avait tant. D’autres tentacules allèrent vicieusement immobiliser ses jambes, l’empêchant de s’écrouler, les coups de fouet fonctionnant comme des stimuli électriques la réveillant entre chaque jouissance. Sur ses joues, Ivy sentait les deux membres du Cercle déposer des baisers et lui pincer les sens.

« Pe… Petites salopes, haaaaa… Oh oui !!! » gémissait l’Empoisonneuse.

La dernière du trio s’était glissée dans le dos d’Ivy, aidant la prof de maths’ à martyriser ses fesses, la doigtant, ou donnant des claques. Ivy, de son côté, était euphorique, continuant à jouir, et ses gémissements se turent bientôt quand un gros tentacule s’enfonça dans sa bouche, un tentacule en forme de verge, qui traversa sa bouche pour se placer dans sa gorge, remuant en la faisant souffrir. C’était elle qui était à l’origine de ceci, et on la traitait comme une espèce d’esclave. Le pire, c’est qu’Ivy adorait ça. C’était généralement toujours elle la dominatrice, mais, ici, elle était une sorte de dominatrice soumise, aidant ces petites lycéennes frivoles et pas bien méchantes à la faire souffrir.

Le tentacule dans sa bouche ne tarda pas également à éjaculer, illustrant probablement tout le plaisir que les femmes prenaient à la faire souffrir. Si elle en avait eu l’occasion, Ivy aurait été bien tentée de leur dire qu’elle en demandait plus, de les narguer en les provoquant. Se rappelant qu’il y avait un membre du Cercle qui contrôlait sa plante, elle utilisa cette dernière comme relais, afin de la provoquer, elle. Ivy était alors loin de se douter que le Cercle, qui disposait d’une espèce de conscience collective, entendrait ce qu’elle dirait.

*Si tu ne veux pas que toi et tes copines faisiez les gros titres des journaux télévisés, tu as intérêt à me faire souffrir, et à me baiser comme jamais. Je t’ai donné des pouvoirs sexuels que tu n’aurais jamais avoir un jour. Utilise-les à bon escient, si tu veux que ton organisation reste notre petit secret…*
DC d’Alice Korvander.

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