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"Elles n'aiment pas être en cage" [Sentinel Prime]

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Kyle Macross

Valinichonneur

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    Description
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    (En plus d'avoir des plus grosses couilles que ton père, il porte mieux les collants que ta mère.)

Re : "Elles n'aiment pas être en cage" [Sentinel Prime]

Réponse 15 jeudi 02 février 2012, 18:47:13


L'étreinte avec Mère avait été aussi rapide qu'elle avait été brutale, animale. Tout s'était pour Avenger déroulé très vite et le surhomme-plante en ressentait encore un peu de frustration. Il se souvenait la sensation de son chibre raidi comme un tronc coulissant dans le sexe enflammé de Mère, lui ravageant sa cavité d'amour alors qu'il tenait fermement les hanches de la désirable empoisonneuse pour accentuer grâce à l'action de ses bras puissants le bourrage violent de la matrice sèveuse. Ses coups de reins avaient été profonds et prononcés, destinés à faire buter l'extrémité rougie de son sexe dans les tréfonds des entrailles de Mère. Parfois, il en était ressorti complètement pour mieux la reprendre d'un coup unique et terrible, marteau-pilon de chairs dures comme le bois.
A l'arrivée de la liane dans son petit trou, Mère avait laissé sa Nature faire les choses. Avenger savait bien qu'il n'avait plus d'action à accomplir, non... Mère aimait et la nature répondait à cet amour en la baisant avec autant d'ardeur que lui en mettait à la prendre comme une chienne, encore et encore. Lui aussi en communion avec les plantes de la serre, il s'était arrangé pour que parfois le rythme de la liane sodomite s'accorde au sien sur un parfait tempo coordonné, parfois pour que lui aille plus lentement tandis que la végétative tentacule gagnait en rythme.
Des ses mains larges et fortes, Avenger malaxait parfois la chair ferme des fesses de Mère tout en lui assénant des claques retentissante. Plus tard, il avait saisi d'une main la chevelure rousse pour faire relever la tête de sa génitrice, voulait la voir sucer cette nouvelle liane comme elle avait sucé son sexe à lui. Un moment, Avenger regretta de ne pas partager les pouvoirs de Mère, regretta de ne pouvoir l'honorer d'une queue supplémentaire. Alors sa colère le fît redoubler d'ardeur et ses coups de bassin n'en fîrent que plus déchaînés encore, son pubis claquant avec force contre les fesses tendues et rouges de la déesse chlorophyllique.
Son enfant la fît même se redresser un peu pour voir ses seins assaillis par des bouches presque aussi gourmandes que la sienne, seins qu'il pétrissait d'une main rendue un peu malhabile par la position et la fureur obscène de leurs ébats. Il imaginait la cyprine enivrante de Mère lui couler le long des cuisses pour goutter sur son trône, il appréciait la déformation de sa poitrine sous les assauts virils et redoublés de ses mains. Il se délectait de la chatte gourmande qui dévorait son chibre passionné tout en s'ouvrant à son passage nerveux et veiné... Avenger grognait, soupirait, allait parfois jusqu'a passer sa langue contre la joue de Mère, dans le creux de son cou.
Sa passion sexuelle était débridée, débordante d'un amour malsain et d'une frustration enfin libérée. Et soudain, le Vert sût ce qu'il voulait.
Ensemencer Mère. L'emplir de sa propre sève afin que son ventre bourgeonne, parce que la perspective de savoir Mère pleine de lui brouillait l'esprit d'idées perverses et tordues.

Dans un râle rauque et bas, Avenger éjacula en elle. Puissamment, généreusement. Sa main qui tenait les cheveux de Mère avait fait encore partir un peu plus en arrière la tête de cette dernière tandis qu'il s'était fiché en elle dans un dernier et impressionnant coup de butoir qui lui avait fait l'effet d'un piston endiablé. Il sentait entre deux éclairs de plaisir leurs fluides mêlés couler le long de son membre, le long des jambes de Mère. Il lui sembla même percevoir le bruit de la chute liquide sur le sol et il resta figé ainsi un moment, sans comprendre pourquoi.
L'orgasme lui avait fait l'effet d'un coup de poing en plein estomac et le parfum entêtant et suave des effluves de Mère n'avait pas sû lui faire oublier ce goût amer dans la bouche. Quelque chose en lui n'allait pas et l'espace d'un bref instant, il lui sembla que le souffle hurlait à lui en vriller les tympans.
La voix de Mère le tira de ses pensées et lui fit plaisir. Apparemment, elle avait aimé l'accouplement qui l'avait pourtant fatiguée et maintenant, elle voulait dormir et le voir retourner dans son cocon.
Il ne partagea pas le baiser qu'elle lui accorda brèvement et préféra tourner les talons pour obéir docilement.
"Comme un bon fils", pensa t'il avant que ses yeux ne regardent la serre qui par endroits était endommagée. Comment était-ce arrivé alors que Mère était si soigneuse ? Ah, oui : un homme avait tenté de tuer Mère. Qui était il, cet homme ? Avenger n'était pas sûr de savoir mais un élément incongru lui apporta la réponse. Un petite flaque de fluide nourricier qui gisait à terre, probablement issu de la fleur dont il était sorti. Cette surface lui renvoyait son image masquée, qui se brouilla pour laisser la place à l'homme responsable du carnage de ses soeurs plantes et de l'agression de Mère.

La colère qu'il ressenti fît frissonner l'ensemble de la végétation et ses poings se refermèrent avec assez de force pour faire craquer ses phalanges. Devant lui, l'image de l'homme se superposait à son propre reflet pour ne plus faire qu'un et cela ne fît que renforcer sa colère et le bruissement craintif de la serre. Avenger ne comprenait pas pourquoi il s'assimilait à ce meutrier et cela le mettait dans une rage folle. Il allait dormir. Oh oui... dormir et laisser Mère et ses soeurs le bercer, le rassurer. Mais il ressentait la peur chez les plantes, la méfiance à son égard. Quelle soeur craignait ainsi son frère ?
Mère saurait le rassurer, bien sûr ! Alors il se tourna vers elle mais fût pris d'une vision d'horreur : le meutrier aux rayons était là, tout contre Mère qui ne semblait pas le voir, pas le sentir alors que pourtant il s'apprétait à la tuer !


"Tue."

Le souffle avait raison. La vision fantômatique -car s'en était une- le regarda avant de se préparer à frapper Mère au ventre, là ou Avenger espérait avoir déposé sa graine. C'était hors de question que cet humain lève la main sur Mère ! C'était un crime contre la toute-puissante Nature !

"Empêche moi, si tu peux."

Alors Avenger chercha à l'empêcher de porter atteinte à Mère. Sûr de tirer sur un corps solide et non pas sur une illusion dûe à son esprit perturbé, il tendit la main qui libéra un rayon rageur qui vint dissiper le fantôme menaçant...
Mais qui percuta Mère au dos.
Le fantôme revint tout près de Mère pour le narguer et Avenger fonça vers le corps de sa génitrice pour régler une fois pour toute le problème. Il savait que son rayon n'avait pas été assez puissant, qu'il était à court de force pour tuer où même blesser à l'aide de ce pouvoir. Mais à la main, personne ne l'empêcherait d'abattre son adversaire. Même si cette image fantôme s'était superposée à celle de Mère, l'éclipsant tout à fait.
Tant pis, il étranglerait tout le monde et déjà ses doigts se refermaient sur une gorge tendre.

Dans son esprit, Mère n'existait plus et cet homme qu'il voyait entre ses mains l'avait tuée. Alors il allait lui faire comprendre son erreur, s'enfonçant un peu plus férocement dans la sienne....

Poison Ivy

Créature

Re : "Elles n'aiment pas être en cage" [Sentinel Prime]

Réponse 16 jeudi 02 février 2012, 22:40:41

Après cette étreinte, Ivy se sentait tout de même légèrement fatiguée, suffisamment pour baisser sa garde. Avenger venait de jouir en elle, et, ce faisant, elle était persuadée qu’il allait sagement retourner dans son cocon, apaisé, ses doutes envolés. Elle, de son côté, entreprit, de s’asseoir au milieu de son trône, et laissa plusieurs tentacules s’enrouler autour d’elle, rentrant en communion avec la Nature, avec la serre, avec ses plantes, évaluant les dégâts. Sa forêt avait souffert des agissements de Prime, et ce n’était que justice que ce dernier soit mort. Sa petite forêt ne lui permettrait toutefois jamais de changer les choses, mais des idées commençaient à émerger dans son esprit. L’éco-terrorisme, attaquer des raffineries industrielles, ne lui apporterait rien. Il y en avait bien trop, et, de toute manière, les détruire ne ferait qu’endommager encore plus la nature, que l’abîmer davantage. Si elle détruisait une centrale nucléaire, elle risquait de créer des zones radioactives qui porteraient sur les humains. Il lui fallait donc trouver autre chose, et exploiter au mieux son dernier enfant. De ce qu’elle savait, il était virtuellement invincible. Les balles et les explosions ne lui faisaient rien, il pouvait voler rapidement, et disposait d’une force surhumaine. De plus, l’image de Prime était connue sur toute la planète. Il y avait sûrement là de quoi jouer.

Un frémissement parcourut alors ses plantes, ce qu’elle ressentit, mais traîna à l’identifier. Une menace qui enflait, mais ne venait pas de l’extérieur. Les pompiers, les ambulances, la police, ils étaient tous dehors, à s’occuper des sinistres, et les médias filmaient la scène du carnage. Plusieurs interviews parleraient initialement de Poison Ivy, mais on les oublierait rapidement pour se concentrer sur Sentinel Prime, sur son ancienne identité. C’est en repensant à lui qu’elle identifia alors la source du problème, mais à peine eut-elle le temps d’y penser que quelque chose explosa dans son dos…

Sonnée, Ivy tomba sur le sol, et sentit Avenger jaillir vers elle, se mettant à l’étrangler. Elle n’eut même pas le temps de se relever ou de réagir qu’elle sentait un étau d’acier se serrer autour de sa gorge, lui coupant le souffle, l’empêchant de parler. Un vent de panique s’empara de son corps, et des tentacules jaillirent alors, s’enroulant autour des bras d’Avenger, mais sans parvenir à le déloger. Sa poigne était trop forte, ses bras en acier trop solides pour que de simples plantes les repoussent, et Poison Ivy sentait l’air lui manquer. Dans un sursaut, elle posa une main sur le poignet du Vengeur, et utilisa ses propres tentacules. L’une fila le long de son bras rapidement, et se faufila dans sa bouche. Il rejoignit rapidement son cerveau, car il était impensable qu’un de ses bébés ne pose la main sur elle. Le tentacule s’enfonça délicatement dans le cerveau d’Avenger, et agit, provoquant une sorte d’arrêt cérébral des fonctions motrices du corps d’Avenger. Un tel acte était possible en raison des modifications génétiques qu’il avait subi, et son corps s’immobilisa alors, la relâchant.

Ivy resta allongée plusieurs secondes, reprenant son souffle, et entreprit lentement de se redresser. Ses yeux continuaient à s’animer, mais le tentacule d’Ivy était toujours dans sa bouche. Elle le récupéra lentement, et le fixa, essayant de comprendre ce qui avait pu se passer. Est-ce que Prime était revenu ? Non, c’était impossible… Elle réfléchit rapidement. Immobile, Avenger était sans danger, mais il ne le resterait pas longtemps.

*C’est sûrement un réflexe inconscient… Il faut que j’en sache plus…*

Elle se rapprocha de lui, et de nouveaux tentacules jaillirent du plafond, et s’enroulèrent autour d’Avenger et d’Ivy, tandis que la femme se colla contre l’homme. Les tentacules s’enroulèrent autour d’eux et entre eux, tandis que des piques jaillirent, des espèces de lianes qui s’enfoncèrent dans leurs peaux. Les tentacules les enveloppèrent totalement, et Ivy embrassa l’homme, utilisant ses plantes et sa conscience répartie sur eux pour pouvoir « communiquer » avec l’esprit de Green Avenger. Ce fut bref, presque instantané, mais elle comprit que l’homme luttait inconsciemment, entre son ancienne personnalité, et la nouvelle, et qu’il était au bord de la schizophrénie. Le plus sage était sans doute de le tuer, de s’en débarrasser pour de bon, mais Ivy hésita. Elle avait besoin de lui, besoin de ses capacités pour réussir, et elle décida de lui parler.

Leurs esprits étaient reliés dans une espèce de vision psychédélique. Les tentacules les coupaient du monde, absorbant leurs sens, simplifiant cette espèce d’échange un peu surréaliste. Tout devait être noir dans ce que voyait Avenger, l’obscurité absolue, et la voix de sa Mère se fit entendre.

« Tu as tenté de me tuer, mon enfant. Tu as porté la main sur moi, tu as essayé de m’étrangler, et tu m’as fait souffrir. Un enfant ne devrait pas blesser sa mère. En toute logique, je devrais te punir en t’abandonnant, en te reniant, mais tu n’es pas un enfant normal, mon bébé. Tu as du le remarquer. Il est temps pour moi de t’expliquer ce que tu étais, et ce que tu es devenu. »

Poison Ivy prenait naturellement un risque, mais elle savait qu’elle ne pourrait jamais totalement réussir à l’asservir. Une part de Prime résistait encore en lui, car il trouvait que Prime était plus intéressant qu’Avenger. Il fallait donc qu’elle se débrouille pour lui montrer que Prime, ou ce qu’il croyait être Prime, n’était qu’une erreur, un être imparfait.

« Il y a en toi de mauvaises voix, mon enfant. Avant que je ne te trouve, tu étais semblable à ces autres humains qui pullulent à la surface de notre belle planète. Un être exceptionnel, aux idées nobles. Tu entendais lutter contre l’injustice et le Mal, ou tu croyais lutter contre ça. Tu arrêtais les petits délinquants, les criminels, les voleurs à la tire, et tu pensais agir pour le bien commun. Ce n’était qu’un mensonge. »

Tout en lui parlant, des images se mettaient en marche, s’implantant dans ses esprits. Il vit l’ancien lui, Sentinel Prime, fondre sur des voleurs, les arrêter, mettre fin à une course poursuite, arrêter des gangsters, des trafiquants.

« Qui croyais-tu qu’il aidait en arrêtant des petits voleurs, des criminels ? Personne, en réalité. Les victimes ? Il ne faisait que leur montrer qu’il était inutile d’avoir confiance en la police, qu’il valait mieux faire justice soi-même. Les criminels ? Il les envoyait en prison, il leur montrait que, tant qu’ils n’avaient pas à le craindre, lui, ils pouvaient narguer la police. La société ? Des gens comme ça ne font que prouver à la société son inefficacité. En réalité, cet homme n’aidait que lui-même. Tu dois en prendre confiance, mon fils, car cet homme-là, c’était toi. Et je t’ai sauvé, je t’ai donné une véritable cause. Ceux que tu croyais défendre, mon enfant, ces victimes innocentes, commettent toutes un génocide qui dépasse de loin de simples vols à l’étalage. Chaque jour, l’humanité contribue sciemment à détruire notre monde, et, ce faisant, à se détruire elle-même. Regarde par toi-même, mon enfant. »

L’image se mit à changer, et Ivy lui montra des images déchirantes. Elle lui montra la Nature en train de se décomposer… Des éléphants s’effondrer sur le sol d’une savane massacrée, des jungles entières disparaître dans les gouffres d’abominables monstres en acier, des requins par milliers se faisant traquer et abattre pour nourrir les ventres des consommateurs. Elle lui montra les tours en acier noirâtres des usines, la fumée nocive qui s’en échapper, elle lui montra des cimetières d’ordures, des caddies flottant dans une eau marron, elle lui montra la mort mécanique de la société industrielle, l’assèchement des montagnes, le dépérissement de la nature, des lacs entiers devenus de simples bancs de terre. Elle lui montra la banquise se morceler, les ours polaires mourir à petit feu, elle lui montra les arbres périr, elle lui montra les carcasses de satellites flottant dans l’espace, preuve ultime de l’arrogance humaine, en allant jusqu’à polluer l’immensité du cosmos. Elle lui montra les cascades disparaître, les animaux mourir, elle lui montra les humains suffoquer, les bidonvilles, les tribus africaines disparaître, la souffrance des peuples indiens qui voyaient leurs arbres être soufflés par des industriels, les tas d’ordures, l’insouciance généralisée, elle lui montra comment la bêtise humaine avait mené la Terre au bord du gouffre.

« Vois ce monde, Avenger, vois ce monde, et vois comment des gens comme Prime ont mené le mauvais combat. Vois comme ils étaient dans l’erreur, et comprends notre cause. Cesse d’avoir foi au fond de toi envers ces humains imbéciles. Ils ne comprennent rien. Leur histoire le prouve. Ils ne connaissent que la violence ou la force, et n’agissent que sous la contrainte. Alors que leur monde se meure, ces derniers s’amusent à faire des films dessus, des documentaires ! A se faire des bénéfices ! Vois comme ils sont arrogants ! Comme ils sont prétentieux ! Comme ils se moquent de ce qu’ils font subir à leur terre génitrice. Il est temps pour eux de passer des accords réellement constructifs, et c’est ce à quoi nous nous attellerons. Tu seras mon arme, Avenger, le bras vengeur de la Nature qui amènera son fils indigne à retrouver la raison. L’Humanité est la plus belle création de la Nature, mais elle est si belle qu’elle se croit supérieure à elle. Demain, Avenger, oui, demain, nous écrirons ensemble une nouvelle page de l’Humanité, celle où elle se réconciliera avec la Nature. Nous sauverons le monde d’une mort certaine. N’est-ce pas ce pour quoi tu as toujours lutté ? »

Elle cessa son étreinte, et les tentacules se retirèrent. Ivy laissa plusieurs secondes s’écouler, regardant son fils, et lui offrit un délicat sourire, avant de l’embrasser.

« Je sais pourquoi tu m’as attaqué, mon enfant. Tu m’as attaqué, parce que tu doutes de toi, et de la justesse de notre cause. Sache que tu dois avoir confiance en ta Mère. Tu es le meilleur de mes fils, mais tâche de ne pas l’oublier. Tâche de ne pas te croire supérieure à moi, comme l’Humanité le fait avec la Nature. »

(Perso’, je trouve que Ethnicolor 1 constitue un bon fond musical pour la vision d’Ivy de la Nature ^^)
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


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