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[FINI] Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

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Mélinda Warren

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    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 30 mercredi 01 février 2012, 22:34:50

Un petit sourire éclaira les lèvres de Mélinda quand la senseï se mit à rire. Le fait est que Mélinda se sentait délicieusement bien sur le corps ô combien tendre et chaud de cette femme. Elle avait eu son orgasme, et son membre flottait dans ce trou de plaisir humide, tandis que ses yeux contemplaient la belle tête de la femme. Mélinda ne pouvait pas dire qu’elle l’aimait, car la jeune vampire était bien trop prétentieuse et hautaine pour éprouver de tels sentiments envers d’autres, mais elle ne pouvait pas dire non plus que Yamagashi la laissait de marbre. Étrangement, elle se mettait à éprouver une relative forme d’affection, et même de respecter, pour une simple humaine. A tel point que l’idée de quitter en lui prélevant un peu de sang ne traversa pas du tout l’esprit de la vampire, qui se sentait pleinement rassasiée.

« Comblée, ma belle. Épuisée, aussi, avoua la femme.
 -  Naturellement… » acquiesça avec fierté la vampire.

Yamagashi alla alors l’embrasser avec tendresse, ravivant en Mélinda ce désir de ce corps parfait, désir qui ne s’était jamais réellement tari, son membre étant après toujours en elle, et elle en frémit, soupirant silencieusement. Yamagashi ne semblait pas si épuisée que ça, vu qu’elle alla, après l’embrasser sur le slèvres,s e promener sur sa tête. Mélinda tourna la sienne en soupirant, sentant la belle senseï se glisser dans ses cheveux, fourrant son nez dans ses mèches, ses lèvres à hauteur de son oreille, pour l’encourager.

« Mais pas encore rassasiée », lâcha-t-elle subitement.

La vampire sourit tendrement, révélant ses petites dents pointues, avant de passer sa langue sur ses lèvres.

*Que me prépares-tu donc, ma belle humaine insatiable ?*

Yamagashi s’allongea, et Mélinda s’allongea également, à côté d’elle, son membre sortant de son intimité. Elle lui caressa tendrement sa poitrine, faisant sourire Mélinda. Un joli sourire de plaisir, et la senseï lui fit l’une des plus agréables propositions qu’elle eut jamais entendue. Elle pencha légèrement la tête, la rendant encore plus mignonne et belle à regarder.

« Qu’est-ce que tu en dis ? Devant ou derrière ? »

Sur le coup, un sourire éclaira les lèvres de Mélinda. Ainsi donc, la senseï n’était pas opposée aux sodomies ? Paradoxalement, ceci n’étonnait nullement Mélinda, et elle réfléchit. Elle posa pour cela un doigt devant ses lèvres, comme une petite fille en train de réfléchir à une sucrerie à acheter. Ses beaux yeux brillant d’innocence et de douceur oscillaient entre le regard de la prof’, et sa poitrine.

« Hummm… Je crois que je me suis suffisamment occupée de ce trou-là », fit-elle en caressant avec le bout de sa verge les lèvres vaginales de la senseï.

Elle glissa ensuite une main, la posant tendrement sur les belles fesses de Yamagashi, et la pressa avec envie, approchant le bout de ses doigts de sa croupe, avant d’approcher ses lèvres pour embrasser l’un de ses seins à hauteur de son téton, le suçotant goulûment.

« Je ne voudrais pas que l’autre soit jaloux… Et ton corps est tellement beau que je me sens obligée de l’honorer en chacune de ses extrémités. »

Mélinda releva la tête pour voler un baiser sur les lèvres de la jeune prof’. Elle prolongea ensuite le baiser, se blottissant à nouveau contre elle, et ne tarda pas à se redresser, regardant le bureau de la prof’. Elle lui adressa un sourire amusé, se mettant à califourchon sur elle.

« Je crois qu’il vaut mieux un endroit plus solide que ces tables, non ? Suis-moi… »

Se redressant, Mélinda guida Yamagashi en la tenant par la main, l’amenant vers son bureau, et l’incita à se mettre à quatre pattes sur le bureau. Il était suffisamment large pour leur permettre de s’allonger. Seuls les pieds pourraient éventuellement dépasser, et Mélinda observa pendant plusieurs secondes sa professeur, avant de sauter à l’arrière du bureau.

Elle ne pénétra pas tout de suite Yamagashi, sentant que le postérieur était un endroit sensible, et préféra le préparer. Se mettant à genoux, elle posa ses mains sur chacune des fesses de Yamagashi, et lécha tendrement sa croupe, glissant sa langue à l’intérieur, remontant dans cet espace étroit, son nez se faufilant également entre ses fesses chaudes et tendres. Elle déposa plusieurs baisers, continuant ce petit manège pendant une ou deux minutes, avant de progressivement utiliser ses mains. Se relevant un peu, Mélinda finit par écarter les fesses de Yamagashi sous ses caresses, titillant et léchant le timide petit trou de la femme, avant de se relever, et d’y glisser lentement un doigt, le remuant dans cette partie étroite et chaude. Son autre main, elle, alla se promener sur son corps, palpant son dos, se glissant sur son estomac, et elle alla même, tout en remuant son doigt, jusqu’à pencher son corps pour embrasser la femme au milieu du dos.

Cette préparation dura un certain temps, jusqu’à ce que Mélinda libère le fondement de sa professeur, et que son membre retrouve une érection qui s‘était un peu affaiblie après avoir joui à trois reprises. Même pour une vampire comme elle, le sexe était quelque chose de très éprouvant. Une bonne manière de retrouver toute sa libido et sa puissance aurait consisté à mordre la prof’ pour lui prendre son sang, mais elle s’y refusait. Elle retourna placer ses mains sur son postérieur, massant ses fesses, son membre frottant l’entrée de sa paroi.

« Tu te sens prête, ma beauté ? » lança-t-elle, comme pour la narguer.

Elle enfonça ensuite, doucement, son membre dans son postérieur, grognant un peu. Avec ses doigts, elle avait veillé à dilater un peu les parois, afin de faciliter la pénétration anale, mais ça restait toujours assez difficile et périlleux. Enfin, il fallait bien que ce le soit, après tout. C’est ce qui constituait le plaisir de la sodomie, selon Mélinda, cette souffrance extrême qu’on ressentait, mêlée à un plaisir pervers.

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Yamagashi Hitomi

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 31 jeudi 02 février 2012, 01:00:27

Le bureau. Faut-il que je sois conne pour ne pas y avoir pensé plus tôt ? D'un autre côté je n'ai pas vraiment l'esprit logistique depuis quelques temps. Combien ? Je ne sais pas. Quelques minutes, une heure, une éternité. Je n'ai pas le temps d'y penser. Je suis Mélinda jusqu'au bureau et me laisse guider comme un pantin. À quatre pattes sur le bureau ? Dommage que la salle soit déserte.

Vraiment dommage, la plupart des hommes en apprendraient beaucoup en la regardant faire. Mélinda prend le temps de cajoler mes fesses, des les flatter de tendres attentions. Je frissonne quand elle les écarte. Le contact de sa langue chaude et humide sur mon petit trou m'arrache un cri surpris. Je n'ai pas l'habitude qu'on s'abaisse à prendre si bien soin de moi. Ça chatouille. Tout mon corps vibre et je ne peux m'empêcher de rire, le souffler encore court.

Un nouveau frisson, plus intense remonte dans mon dos. Je me mords la lèvre inférieure en sentant le doigt de Mélinda se glisser dans mon anus. Une sensation dérangeante crispe mes doigts sur le bureau. Je prends de grandes inspirations pour détendre totalement mon corps. Elle le caresse toujours, de sa main libre et de ses lèvres. Je petits rappels plaisants, comme pour étouffer ce qui ne le serait pas.

« Tu te sens prête, ma beauté ? »

Je ne sais pas si je suis vraiment prête. En tous cas je le plus qu’avec tout ces jeunes hommes qui se contentent de m’écarter les fesses. Cela suffit amplement me faire soupirer de désir.

« Oui. »

Son gland se glisse entre mes fesses pour pousser contre mon petit trou juste assez dilaté. Le gland brûlant de Mélinda, suivit de son sexe dur et infatigable. Elle force lentement le passage. ma main se plaque contre la table, cherche à tâtons quelque chose à saisir. Ça fait mal. Je sais que ça va passer, que ça va devenir bon. Mais qu’est-ce que ça fait mal au début !

«  Haaa !... Doucement !... Haaa ! »

Je sens son sexe palpiter, presque paniquer à cause de l’anneau qui le serre. Pour elle comme pour moi le chemin du plaisir est pavé de douleur. Je sens mes cuisses s’engourdir au moment où le bassin de Mélinda rencontre mes fesses. Elle est entrée tout entière en moi. Le pire est passé. Elle recule, presque jusqu’à se retirer, puis revient.

La chaleur de sa verge envahit mes entrailles. Tous mes muscles au-dessous de la taille se détendent peu à peu. Mon cul lui laisse plus de liberté, dont elle profite pour accélérer lentement. Ses cuisses viennent caresser les miennes, ses bourses frôlent mes lèvres intimes, encore débordante de sa semence. Bientôt la douleur n’est plus qu’un bruit de fond, sourd et lointain. Un leitmotiv qui passe pour me dire que je suis une dépravée.

Au point où j’en suis - où nous en sommes - je me moque bien d’être jugée. Je me tape une de mes élèves, une mauvaise élève en plus. C’est la troisième fois que l’encourage à me prendre en classe. Deux fois sur des tables, une sur le bureau que je partage avec la plupart de mes collègues. Comme les tables ils va finir souillé de sueur, de sperme et de cyprine. Et nous hurlons ensemble notre plaisir depuis tout ce temps.

Mélinda est bien trop belle, trop jeune et trop experte pour être honnête. Sans compter ses dents pointues, ses ongles étrangement griffus, et son membre viril qui n’en finit pas de sa dresser pour moi. Si j’ai fait un trait sur tous ces détails, je me fous bien de l’avis de ceux qui pourraient nous surprendre. Plus rien ne compte à part elle.

On m’a déjà sodomisée violemment, parfois timidement, ou avec précaution. Mais personne n’a pénétré mon cul avec autant de tendresse. Une tendresse qui cède lentement place à l’excitation. Le sperme s’écoule lentement entre de mes cuisses, poussé par les va et vient de Mélinda. je me sens sale, perverse, et le plaisir n’en est que plus intense.

Mélinda Warren

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 32 jeudi 02 février 2012, 13:32:08

« Oui. »

Un mot simple, léger, rapide, une tendre autorisation. C’est avec un sourire ravi que Mélinda entama donc ses mouvements, n’ayant jamais douté que Yamagashi l’autoriserait. La vampire tâcha ensuite de se concentrer ; généralement, avec ses esclaves, elle s’enfonçait rapidement, ne se souciant guère de les faire souffrir, mais, ici, l’estime naturelle qu’elle éprouvait pour sa senseï l’amenait à réfléchir différemment. Il était hors de question de la faire souffrir, impensable de la martyriser en se glissant douloureusement en elle. Elle y allait donc lentement, tout en sachant que la senseï ne pourrait que souffrir, mais pas de manière excessive. Mélinda avait bien veillé à préparer le terrain, à exciter suffisamment sa prof’, et à dilater son petit trou, pour qu’elle n’ait pas mal.

Néanmoins, au fur et à mesure que Mélinda forçait le passage, elle sentait sa senseï gesticuler, se cramponner à son bureau, sentait une certaine tension, s’insinuer dans son corps, tension qui ne demanderait qu’à se relâcher.

«  Haaa !... Doucement !... Haaa ! finit-elle par dire.
 -  Ne… Ne t’en fais pas, ma belle… » l’assura Mélinda.

Yamagashi influait vraiment sur elle. Dans d’autres situations, elle aurait eu mille répliques différentes, tout en accélérant naturellement sa pénétration, mais aucune remarque sarcastique ne lui vint à l’esprit, et elle continua à s’enfoncer, jusqu’à ce que les parois de la prof’ daignent suffisamment se tendre et s’écarter pour que son membre puisse se faufiler. Son membre s’enfonça jusqu’à la garde, et les mains de Mélinda, posées sur les cuisses de la belle rousse, firent poindre des griffes assez petites, frottant cette masse de chair. Heureuse, oui, comme elle se sentait heureuse, à dominer ainsi sa prof ! Elle sentit une ivresse jouissive la saisir en la voyant, là, à quatre pattes sur son bureau, ployée devant elle.

Alors, elle commença ses mouvements, commença à remuer en elle, s’insinua dans les profondeurs de son corps, remuant son membre, ses mains continuant à frotter ses cuisses, ses testicules heurtant son intimité, et le corps de Yamagashi finit par remuer de concert. La belle vampire se fondait dans ses belles fesses, ce cul délectable, et elle en poussa un long soupir, comme pour exprimer son plaisir. Elle donna un nouveau coup, avant de reprendre.

« Je… Hum… Tes fesses sont… A l’image du reste de ton… Corps » acheva-t-elle dans un soupir.

Elle se devait bien d’admettre que Yamagashi avait un cul de rêve, doux et étroit. Elle continuait ses rythmes, et commença à remuer l’une de ses mains. La sodomie, c’était l’un des grands plaisirs de Mélinda, et elle tenait à ce que la senseï le sache, et le lui faisait savoir en remuant son membre en profondeur, l’amplitude de ses mouvements s’accroissant de plus en plus, ainsi que ses soupirs et ses cris. Elle lui donna alors une petite gifle sur les fesses, comme pour lui rendre la monnaie de sa pièce, et poussa un cri de plaisir. C’était tout simplement délicieux ! L’érection de Mélinda était revenue en force, aussi belle qu’avant ses deux jouissances dans le vagin de la plantureuse rousse.

« Tu… Dis-moi que tu ai… Que tu adores ça… »

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Yamagashi Hitomi

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 33 samedi 04 février 2012, 00:18:58

Le sexe de Mélinda  me torture délicieusement. Peu de femmes aiment la sodomie, moins encore l'avoueraient. Je ne le crie pas sur tous les toits mais j'aime ça, surtout quand c'est aussi bien fait. Les amants dont j'ai l'habitude sont pour la plupart des élèves. Les jeunes filles n'ont pas à tâtonner bien longtemps pour savoir comment me faire vibrer. Pour les jeunes hommes c'est une autre histoire. Ils ont beau être excités ils ne savent généralement pas y faire. Au final je me retrouve à faire des heures sup' en tant que professeure.

Je ne renie pas le plaisir que je prend à maîtriser la situation, mais parfois je préfèrerais me laisser simplement porter. C'est le cas en ce moment. Pour la première fois j'ai exactement ce que je recherche en la matière. Du vagin à l'anus il y a un monde. le premier est si sensible, si accueillant, alors que le deuxième n'est pas vraiment fait pour le plaisir. C'est tout l'intérêt de la chose. La sensation instinctive de mon corps pénétré, envahi comme il ne devrait pas l'être.

En soi cela n'est pas plaisant, et c'est paradoxalement là que se trouve le plaisir. Certaines y voient la douleur et peut-être la violence. Pour moi, la sodomie est synonyme de paresse. À quatre patte sur ce bureau étroit, je n'ai pas assez de marge pour vraiment répondre aux mouvements de ma partenaire. Je la laisse faire tout le travail. Je n'ai même pas à retenir la douleur tant elle est douée. Ni le plaisir animal, primaire, que mon propre sexe m'imposerait.

« Tu… Dis-moi que tu ai… Que tu adores ça…
- J’adore ça. »

Je ronronne comme une chatte paresseuse sous les caresses qu’elle exige. Du moins je le ferais si les coups de reins de mon amante ne rendaient pas son souffle court. Je ferme les yeux pour mieux apprécier nos ébats. Je la sens en moi, je l’entends soupirer et crier. L’image de la fenêtre en face de moi n’est vraiment pas à la hauteur. Car je ne trouve pas tout mon plaisir dans ce que mes sens me rapporte. Dans ce cas, où je peux bien le puiser ?

Je ne le puise pas : je le fabrique. Sous mes paupière close je vois la salle de cours. Je me vois à quatre pattes sur cette table. Je ne manqua aucune image, aucun détail. je vois sa poitrine se gonfler à chaque respiration, l’énergie qu’elle met à enfoncer son sexe en moi. Je vois ses mains agrippées à mes hanches. Sa petite fessée m’a prise au dépourvue, mais ce n’en était que meilleur.

« Haaa... Mélinda... Ça n’a jamais été aussi bon ! »

Elle me fait oublier tous ces branleurs qui ont pris mes fesses pour le trou d’une poupée gonflable. Pourtant elle ne se gêne pas. Son membre s’engouffre en moi jusqu’au bout. Son bassin claque contre mes cuisses, ses bourses contre mes lèvres intimes. C’est bon parce que je veux que ce le soit. À force de le chercher au fil du temps et de mes ébats, j’ai dressé mon plaisir comme le plus obéissant des chiens de cirque. Et avec elle je n’ai pas à le siffler bien longtemps pour qu’il accoure.

Bientôt Mélinda va jouir une fois de plus. Elle va me remplir de sperme jusqu’à ce que j’en déborde. Rien que d’y penser je sens déjà que je vais jouir moi aussi. Mais c’est elle qui mène le jeu. Cette fois j’ai le temps. Je sais très bien ou nous allons, mais je la laisse me guider. Après tout ce n’est que justice : elle fait tout le boulot et moi j’en profite. Tu es vraiment une feignasse, Hitomi... Une belle feignasse égoïste et dépravée.

Mélinda Warren

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 34 samedi 04 février 2012, 12:11:19

Mener la danse, c’est tout ce que Mélinda aimait. Que ce soit dans le domaine du sexe, ou dans sa vie en général, elle n’aimait rien de plus que contrôler et diriger ce qu’elle faisait. Et c’est précisément ce qu’elle faisait avec Yamagashi en ce moment. C’était d’autant plus gratifiant que la senseï était une forte tête, une femme autoritaire, belle, expérimentée, qui n’avait rien à envier aux esclaves de Mélinda, bien au contraire. Explorer son fondement était par conséquent un plaisir encore plus intense, et elle ne se lassait décidemment pas de le faire. Son sexe tendu se faufilait dans cet antre étroit, la déchirant, écartant les parois, simplifiant chacun de ses mouvements. C’était douloureux, même pour Mélinda. Son sexe souffrait, à se mouvoir là-dedans. Néanmoins, la dose de plaisir que la vampire ressentait était telle qu’elle n’avait nullement envie de s’arrêter.

« J’adore ça », confessa la sensei.

Un sourire vorace éclaira les lèvres de la vampire, qui donna un autre coup de rein. Elle sentait effectivement la femme vibrer de plaisir, vibrer d’un bonheur qui ne tendait qu’à être satisfait. Mélinda continuait à grogner et à soupirer. Une sodomie, ça demandait de l’effort, et son membre était si dur si épais qu’il était assez difficile de confortablement se plaire dans cet anus dilaté. Elle donnait des coups rapides, son corps rougissant sous l’effort, la sueur s’écoulant de ses longs cheveux. Plusieurs de ses mèches filèrent devant ses yeux, à chaque fois qu’elle continuait à remuer son corps, le remuant avec une frénésie palpable. Rien n’était trop excessif pour cette humaine qui bouillonnait sur le bureau. Mélinda eut un bref coup d’œil pour le bureau où, impatiente, elle s’était tenue pendant plus d’une demi-heure, et un sourire de fierté éclaira ses lèvres. Elle avait toujours ce qu’elle voulait. Comment résister aux charmes de cette belle vampire ? A son sourire innocent ? A ses grands yeux enfantins, à la silhouette fine et délicate de son corps ?

Elle donna de nouveaux coups de reins, oscillant entre des caresses griffues sur le corps fin, délicat et doux de la senseï, et des gifles sur son derrière. Ses mains remontaient ainsi sur ses cotes, glissant sur son dos. Elle s’appuya avec une main sur le postérieur de la femme, afin de pencher l’autre, et pouvoir caresser brièvement ses cheveux, glissant ses doigts dans les mèches de cheveux, les caressant, les relevant, avant de les relâcher, et de recommencer de plus belle à jouer dans son fessier. Qu’il était bon, ce cul ! S’y promener, s’y glisser, le farfouiller dans les profondeurs, c’était un véritable bonheur !

« Haaa... Mélinda... Ça n’a jamais été aussi bon ! avoua alors Yamagashi, ce qui arracha un nouveau sourire de satisfaction aux lèvres de Mélinda.
 -  É… Évidemment, parvint-elle à lancer. Ton petit cul est… Est si merveilleux… »

Elle ponctua cette affirmation par un nouveau coup de rein, retirant son membre, pour le remettre de plus belle, ne laissant que le bout à l’intérieur de son fessier, le glissant d’un coup, se délectant des hurlements et des gémissements de sa prisonnière. Oh, comme ce devait être douloureux pour elle ! Des esclaves avaient déjà parcouru son fondement, dans des lieux secrets et intimes, et elle savait ô combien une sodomie était un exercice difficile. C’était, au moins pour elle, justement cette souffrance qui la menait au plaisir suprême, mais elle accompagnait généralement ses petits plaisirs d’une relative forme de mise en scène, se mettant une laisse autour du cou. Dans ses fantasmes masochistes, Mélinda était généralement aussi soumise, mais, malheureusement pour ses partenaires, souvent des esclaves, elle les tuait ensuite. Qu’un esclave sodomise et qualifie sa maîtresse de « petite chienne », ce n’était pas très concevable. En fermant les yeux, Mélinda s’imagina à la place de Yamagashi, se rappelant sa dernière sodomie, dans ses luxueux appartements au cœur d’Ashnard, dans une salle remplie de tapis et de rideaux, où elle était prise sur le sol par un esclave. Cette image la fit frémir, et, quand elle rouvrit les yeux, elle continua à donner des mouvements encore plus forts, faisant remuer la senseï.

« Haaaan !! Ha !!! » éructait-elle, de sa belle voix.

Le dernier coup fut si fort que le corps de Yamagashi ne put le supporter. Elle glissa, et s’étala sur le bureau, rapidement rejoint par Mélinda. La vampire tomba sur le dos de Yamagashi, allongée sur elle, son membre toujours glissé en elle. Une ou deux secondes après, Mélinda continuait ses mouvements, collée à sa senseï, et en profita pour glisser ses mains sur le devant du corps de la jeune femme, en plaçant une sur l’un de ses seins, l’emprisonnant entre ses doigts, et glissant l’autre près de son intimité. Elle s’appuya sur le sein de sa prof’ pour poursuivre ses mouvements, jouant dans les profondeurs de son fessier, embrassant sa nuque, sa tête se faufilant dans ses cheveux. Heureuse, heureuse, comme elle se sentait joyeuse ! Le corps en sueur de cette femme l’enivrait, sur le point de la rendre folle, et elle continuait à se mouvoir en elle, lui mordillant parfois la peau.

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 35 lundi 06 février 2012, 01:39:46

Mélinda est de plus en plus avide, presque acharnée. Ses coups de boutoir m'arrachent des cris. Ça fait tellement mal que la douleur elle-même me donne du plaisir. Ma mauvaise élève est déchaînée. Je l'ai ramenée au rang d'animal sauvage assoiffé de sexe. Je cède bientôt, m'affalant sur la table. Son membre tendu est propulsé encore plus loin et plus vite par le poids de son corps, qui tombe sur le mien. mais je n'ai pas le temps de souffler qu'elle se glisse sous moi. Je me retrouve encore une fois à quatre pattes, mais face au plafond.

Je n'ai jamais fait ça, et toute cette paresseuse liberté d'imaginer, d'habiller le plaisir, vole en éclat. Mais ce n'est pas nécessairement plus mal. Je suis dois forcer sur mes bras et mes jambes pour rester au-dessus d'elle. Une épreuve d'endurance alors que ses coups de reins me malmènent. La douleur et l'effort me font trembler. je sens les mains de Mélinda sur ma peau, son souffle et ses lèvre dans mon dos, sur ma nuque.

C'est un supplice, ou un  délice. Je ne distingue plus la douleur du plaisir. Tout deviens trop violent et trop long. Je la croyais sur le point de jouir mais elle plus insatiable que jamais. c'est incroyable. N'en a-t-elle jamais trop ? Ou seulement assez ? Entre ces émotions contradictoires et ces pensées dérangeantes, je commence à prendre peur. Mon amante si particulière m'inquiète de plus en plus. Mais c'est surtout de moi-même que j'ai peur. Je suis à bout de forces, je souffre, et pas uniquement de mon pauvre cul ravagé. Tous mes muscles commence à tirer.

Pourtant je bouge. J'agite mon bassin pour décupler les sensations. Est-ce que je veux la faire jouir plus vite ? Ou prendrais-je finalement du plaisir à me faire maltraiter ainsi ? Je ne sais pas, je n'arrive pas à me décider. Rien que pour ça j'ai envie que ça s'arrête.

« Ha !... Mélinda !... Pitié ! »

Je dois serrer les dents, respirer pour supplier. Je sens les larmes qui coulent de mes yeux.

« Je... Ha !... Je... N’en peux plus ! »

Mélinda Warren

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 36 lundi 06 février 2012, 14:00:55

La brave senseï semblait exténuée, à bout. Elle était comme une vulgaire poupée de chiffon que Mélinda agitait et malmenait, utilisant sa constitution de vampire pour remuer le corps de la femme autour de son membre. Elle ne pouvait s’en prendre qu’à elle-même, après tout. N’était-ce pas elle qui avait nargué Mélinda ? Elle qui lui avait dit qu’elle ne serait pas capable de faire mieux que ces mammifères imbéciles qui composaient sa classe ? A plusieurs reprises, Yamagashi l’avait nargué, soit par simple goût de provocation, soit parce qu’elle avait été provisoirement déçue. Dans tous les cas de figure, elle méritait ce qui lui arrivait, et Mélinda était on ne peut plus heureuse, on ne peut plus satisfaite. Perforer les fesses de la senseï lui procurait un plaisir incommensurable, mais la voir dans cet état d’impatience était encore plus gratifiant.

« Ha !... Mélinda !... Pitié ! » se mit-elle à gémir.

Souriant malicieusement, Mélinda entreprit à nouveau de changer de position. Elle redressa son corps, et se retrouva en somme en position assise, Yamagashi assise sur elle, la virilité tendue et assoiffée de la vampire dans les fesses. Elle plaça ses mains sur les jambes de Yamagashi, s’en servant pour continuer à la faire glisser le long de son sexe, ses seins frottant le dos de la senseï. Elle l’avait supplié, sur un ton qui avait effectivement tout de la supplique. La pauvre devait vraiment être à bout.

« Je... Ha !... Je... N’en peux plus ! » insista-elle.

Les dents de Mélinda allèrent mordiller tendrement son cou, sans chercher à s’enfoncer dans sa peau. Elle pouvait le sentir. Mieux que son corps en sueur, que ses muscles tendus, elle sentait le sang bouillonner dans les veines de Yamagashi. Un véritable volcan de désir. La vampire devait réellement commencer à se forcer pour ne pas lui sucer le sang, et continuait en ce sens à malmener le cul de Yamagashi, ressentant à la fois un plaisir immense, et une frustration aussi grande, à l’idée de ne pouvoir goûter à son cou merveilleux. Comme elle rêvait d’enfoncer ses belles canines dans sa peau… Mais elle ne devait pas succomber à cette tentation. Oh non ! Elle se mordilla les lèvres, ayant également du mal, et continua à remuer son membre dans son fondement. Elle sentait sa jouissance sur le point de venir, et se retenait pour empêcher une éjaculation rapide et intense. Elle soupira longuement, gémissant, grognant, et embrassa à nouveau le corps de Yamagashi.

« Hnn… C’est… Oh… Han… Je-je l’adore, ce petit cul… »

Mélinda fut tentée de jouir dans son fondement, mais elle se dit que Yamagashi apprécierait sans doute de sentir sa virilité dans son intimité. Elle tira alors sur les jambes de Yamagashi, la soulevant suffisamment pour retirer son membre de son anus. Mélinda poussa un petit cri en sentant son membre partir de ses fesses, et allongea Yamagashi sur le bureau. Sans vraiment lui laisser le temps de se reposer, elle retourna glisser son membre dans son intimité humide, devant lui procurer des ondes de plaisir. Un sourire ravi éclaira les lèvres de Mélinda, qui se balança sur elle pendant un certain nombre de secondes.

Encore une fois, elle aurait pu jouir ainsi, mais elle choisit de prolonger le plaisir. Elle se mouvait délicieusement en elle, sentant le corps chaud et bouillonnant de Yamagashi, et elle se déplaça brusquement, posant une main sur le postérieur de sa senseï, afin de l’emmener avec elle. Mélinda alla alors atterrir sur le fauteuil de la senseï, s’enfonçant dedans, laissant Yamagashi s’empaler sur elle, ses jambes filant à gauche et à droite de la vampire. Cette dernière posa ses mains sur les hanches de sa prof’, et embrassa les seins de Mélinda, souriant.

« Allez, allez, Yamagashi, déferle ta frustration sur moi. Vas-y, empale-toi sur moi, hann… Ma queue… Elle n’attend que ça ! »

Mélinda devait relativement vulgaire, tant elle était excitée. Des mèches de cheveux glissaient devant son visage, des cheveux collés par la sueur.

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Yamagashi Hitomi

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 37 mardi 07 février 2012, 17:54:03

La douleur ne s'en va pas avec le membre de Mélinda, mais au moins elle me laisse pousser un soupir de soulagement. Elle n'a pas joui mais cette fois je ne vais pas faire la fine bouche. La sodomie : ça fait aussi bien quand ça s'arrête. Pourtant ma jeune amante est toujours aussi vorace. Elle ne me laisse qu'une seconde pour souffler, puis s'enfonce à nouveau dans mon vagin. La souffrance de mon pauvre cul n'est qu'une impression persistante. La plaisir que je sens revenir en moi est bien plus fort.

Je ne comprends pas trop comment je me retrouve à cheval sur elle, dans ce fauteuil qui ne me paraît plus trop grand. Je me laisse tomber sur elle, aussi ramollote qu’un poulpe. Après le tremblement de terre qui m’a littéralement ravagée, je suis sur un nuage. Un petit nuage dont je caresse les seins pour gagner du temps. Mais ce petit nuage veut laisser éclater sa tempête.

« Allez, allez, Yamagashi, déferle ta frustration sur moi. Vas-y, empale-toi sur moi, hann… Ma queue… Elle n’attend que ça ! »

Je me penche sur elle pour écarter délicatement les cheveux plaqués sur son visage. je les passe même derrière ses oreille, comme si je la coiffait. Puis prend tendrement sa tête entre mes mains pour la guider jusqu’à mon visage. Je l’embrasse langoureusement, je fais durer le plaisir. Ce n’est qu’une pause, sa verge n’est pas seule à attendre. Quand nos lèvres se quittent ce sont nos regards qui se rencontrent.

« Appelle-moi Hitomi. »

Je joue des cuisses pour faire monter et descendre mes lèvres intimes le long de sons membre. D’abord lentement, puis un peu plus vite. J’ai à peine repris mon souffle que l’effort et le plaisir reviennent à l’assaut. Je dois bientôt me cramponner au dossier du fauteuil pour rester stable. Chaque coup de boutoir que je m’inflige me fait un peu plus oublier la douleur persistante de mon anus.

« Han!... C’est ça ?... Mélinda !... C’est ça... Que ta queue attend ?... »

C’est aussi ce que j’attendais, mais pas ce que je veux le plus. Bien sûr c’est avec plaisir que je la ferais jouir encore, avec délice que je la laisserais me remplir encore de sperme. L’ardeur avec laquelle je m’agite ne doit pas lui laisser le moindre doute. Il y a tellement de choses à faire avec une queue et je les adore toutes. Je voudrais ne faire que ça, finir toutes mes journées remplie et recouverte de semence et de sueur.

Mais il me manquerait quelque chose. Une chose que j’adore et qu’aucune verge au monde ne peut comprendre. Je dois sacrifier un peu mes mouvements pour me pencher. Mes lèvres rencontrent finalement le front de Mélinda, puis mon visage part s’enfouir dans ses cheveux trempés de sueur.

« J’adore ta queue, Mélinda... Mais j’ai - Ha !... J’ai à peine eu le temps... De goûter ta chatte... »

Je me redresse pour la chevaucher plus furieusement. Le fauteuil grince tellement que j’ai peur de le casser. Cela dit ce n’est pas mon soucis principal. Après tout ce que nous avons dit et fait, je ne pense pas être la seule sur le point de jouir. Et ensuite, j’espère pouvoir glisser ma langue entre ses cuisses, lui rappeler qu’une femme n’a pas besoin de queue pour en faire vibrer une autre.

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 38 mercredi 08 février 2012, 08:28:57

Sentir Yamagashi sur elle fit frémir Mélinda. Yamagashi était une belle femme, plus grande que la vampire, et elle se sentait délicieusement écrasée sous elle. Sans hésitation, la senseï alla s’asseoir, et commença par pudiquement rabattre les cheveux en arrière de Mélinda, la faisant frissonner. Elle avait l’impression d’être une espèce de jeune fille recevant de tendres caresses de la part de sa mère, et elle devait avouer que c’était assez agréable, d’autant plus que son membre allait bientôt être emprisonné dans un anneau gluant de chair, l’intimité de sa senseï, qui alla lui offrir un délicieux baiser, auquel Mélinda répondit sans hésitation, gémissant dans la bouche de la femme. Elle répondit à son baiser avec envie, et la senseï finit par obéir.

« Appelle-moi Hitomi », lâcha-t-elle alors.

Hitomi… Mélinda en sourit. Elle connaissait donc le prénom de sa prof’, ce qui était sans doute le signe qu’elle éprouvait énormément d’affection pour elle, suffisamment pour qu’elle demande à l’appeler par son prénom. Un petit sourire se dessina sur les lèvres de Mélinda.

« Très bien, Hitomi. Allez, viens, ma grosse queue n’en peut plus d’attendre ton superbe trou… »

Oh, que ça faisait du bien, d’être vulgaire ! Mélinda se sentait salie, avait l’impression d‘agir comme une vraie dévergondée, et elle devait bien avouer que c’était très excitant. Hitomi alla donc s’empaler sur elle, et Mélinda en poussa des frissons de plaisir, se calant sur la chaise, tendant son dos pour apprécier le contact de ce corps. Elle en ferma les yeux, basculant sa tête en arrière, sentant tout son corps se détendre, alors qu’Hitomi s’empalait avec talent sur elle. Elle tendit l’une de ses mains pour pincer son postérieur, le malaxant tendrement.

« Han!... C’est ça ?... Mélinda !... C’est ça... Que ta queue attend ?... lui demanda-t-elle.
 -  Oh, oh oui, oui, ouiiii, Hitomi ! Han putain, ce que c’est bon, hmmm… »

Hitomi ne se trompait pas sur cette question. Sentir son membre être emprisonné ainsi était quelque chose de tout simplement délectable. Elle ne parvenait pas à s’en lasser, sentant de longs frissons de plaisir la parcourir, remontant dans les profondeurs de son corps. Mélinda en soupirait longuement, folle de plaisir, se sentant transportée au loin. Elle embrassait quand elle le pouvait les seins de la senseï, plaçant ses mains sur le bas de son dos, afin de sentir le corps doux et trempé d’Hitomi. Elle promenait ses griffes, la sentant gémir, la sentant embrasser son front, la sentant ensuite parcourir son cuir chevelu de baisers. Oh, cette femme la rendait folle ! Elle était tellement excitante, tellement attirante, si… Si irrésistible ! Elle sentit Hitomi se faufiler dans ses longs cheveux, et Mélinda frémit, avant qu’elle ne lui parle à nouveau.

« J’adore ta queue, Mélinda... Mais j’ai - Ha !... J’ai à peine eu le temps... De goûter ta chatte... »

Un sourire éclaira les lèvres de Mélinda à cette idée. Elle bascula sa tête en arrière, et la regarda avec un regard emplis de désir.

« Fais… Fais-moi jouir, ma… Ma belle, et… Tu auras le droit de goûter à t-tout… Ma pe… Ma petite chatte, mon j-j-joli cul, t-tout »

Pour l’instant, Mélinda était dans l’impossibilité de satisfaire la requête d’Hitomi, tant sa virilité la faisait souffrir, tant son érection la démangeait. Il fallait au moins qu’elle se débarrasse de ça, et aida un peu Hitomi à remuer sur son bassin, utilisant ses mains, jusqu’à pousser un cri de plaisir, fermant les yeux, se plaquant contre le dossier du fauteuil, sentant tendrement son orgasme venir. Elle en sentit presque même l’air lui manquer, hoquetant à chaque giclée de sperme dans la chaude et humide cavité de la professeur. Elle se dandina sur le fauteuil, éjaculant avec plaisir pendant de longues et de longues secondes, utilisant ses mains pour aider Hitomi à remuer son corps. Elle rouvrit faiblement les yeux, et poussa un autre cri en jouissant une nouvelle fois. Mélinda ferma les yeux, sentant un long frisson parcourir son corps, et s’enfonça contre le dossier de la chaise.

« Oh, si c’est bon… Laisse-moi profiter de ce moment, Hitomi, de ton corps sur moi, en moi… »

Mélinda soupira longuement à nouveau, fermant les yeux, caressant le corps d’Hitomi, puis rouvrit les yeux, et alla embrasser les seins et la peau d’Hitomi, léchant doucement sa belle peau. Elle finit par s’extirper de la chaise, poussant Hitomi sur le bureau, et ferma les yeux, rétractant son membre rapidement. La vampire s’avança ensuite vers la senseï, en profitant pour lui montrer son postérieur en marchant de manière sensuelle, avant de monter sur le bureau, s’allongeant de profil à côté d’Hitomi.

« Je te laisse décider ce qui t’intéresse le plus en premier… Ma belle chatte n’attend que toi pour s’occuper d’elle, et mon petit cul également… Choisis donc, Hitomi… »

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 39 jeudi 09 février 2012, 16:15:06

« Fais… Fais-moi jouir, ma… Ma belle, et… »

Et le reste est sans importance pour l’instant. La faire jouir ? Je ne veux que ça. Cette expérience sexuelle aura été l’une des plus surprenantes et intenses de ma vie. Je n’ai offert ma « petite fleur » qu’à dix-neuf ans, ce n’est pas si loin après tout. Mais je ne pense pas avoir grand-chose à envier à celles qui n’ont pas attendu. J’en connais assez pour savoir que je suis en train de vivre quelque chose d’exceptionnel. Pour savoir qu’elle est exceptionnelle. Et je compte bien lui plaire jusqu’au bout.

Je me déhanche furieusement sur elle. J’ondule comme un serpent charmé par une flûte endiablée. Les mains de Mélinda, crispées sur mes hanches, donnent plus d’amplitude à mes mouvements. Je sens son sexe vibrer en même temps que tout son corps. je joue du bassin, d’un côté puis de l’autre, pour presser son membre en moi chaque fois qu’il s’enfonce ou s’échappe. Et bientôt mes efforts portent leurs fruits. Sa semence chaude se répand en moi, lançant un frisson qui me dresse les cheveux sur la tête et fait trembler tout le reste de mon corps.

« Oh, si c’est bon… Laisse-moi profiter de ce moment, Hitomi, de ton corps sur moi, en moi… »

Je me penche, voûtée comme un bossu, pour l’interrompre d’un baiser. Tait-toi, pauvre idiote. Je suis au septième ciel. Ne gâche pas tout en me laissant imaginer que je t’ai abandonnée en route. Je remue encore mes hanche un petit moment pour inviter les dernière giclées de sperme à venir me réchauffer de l’intérieur. Les derniers frissons s’évanouissent, nous laissant toutes deux tassées sur le fauteuil. Je me redresse pour la laisser jouer avec mon corps. Mes mains accompagnent les siennes qui glissent sur ma peau, montent parfois caresser son visage dont les lèvres flattent ma poitrine.

Finalement nous quittons le fauteuil pour le bureau. Je m’y étale de tout mon long, comblée comme rarement dans ma vie. Je suis repue sous la ceinture, ce qui n’est pas courant. Bien sûr quand il s’agit de sexe j’ai de l’appétit. Je ne suis pas très sophistiquée mais il m’en faut beaucoup. Heureusement la grande majorité de mes partenaires, hommes ou femmes, a su me contenter. Cette fois c’est différent. Je sens que c’est déjà presque trop, qu’en continuant sur cette lancée je risque de trouver la chose moins intense. Mélinda le sait peut-être quand elle contourne le bureau avec grâce et déhancher pour m’y rejoindre. Elle s’allonge à côté de moi.

« Je te laisse décider ce qui t’intéresse le plus en premier… Ma belle chatte n’attend que toi pour s’occuper d’elle, et mon petit cul également… Choisis donc, Hitomi… »

En baladant mon regard sur son corps je remarque que son membre viril a disparu. Elle est redevenue une jeune femme. Je lui sourie en quittant le bureau, que je contourne en laissant une main couler le long de son corps.

« Honnêtement je ne sais pas. »

Est-ce que j’hésite entre l’un et l’autre ? Non : je cherche comment les avoir tous les deux, tout de suite. Un vrai problème de physique, assez compliqué pour une littéraire comme moi. Parvenue au bout du bureau je me penche pour embrasser le ventre de Mélinda. Mes mains passent sous ses cuisses alors que je lui adresse un sourire taquin.

« Mais je devrais pouvoir trouver. »

J’empoigne ses cuisses fermes, encore brûlantes et couvertes de sueur des efforts qu’elles ont fournis. Je tire Mélinda au bord du bureau pour l’embrasser dans le cou, puis sur la poitrine, et ainsi de suite alors que je m’accroupie. Vu de plus près le problème reste entier, mais j’ai plus de mal à me concentrer. L’arôme qui s’échappe de sa petite fente, mêlé ceux du sperme et de transpiration, me fait tourner la tête. je lève les yeux une dernière fois vers son visage, ma langue passe sur mes lèvres avec gourmandise. Puis je plonge.

Mes mains sont toujours sur ses cuisses, les gardant ouvertes. Mes lèvres se posent sur les siennes, les embrassent comme elles le feraient de sa bouche. Je donne quelques coups de langues, mordille, remonte vers son clitoris pour que personne ne soit oublié. Mélinda doit se demander ce que j’attends pour utiliser mes mains. Je ne tarde pas à répondre en poussant ses cuisses vers le haut. Son bassin suit le mouvement sa tendre petite fente m’échappe, remplacée par ses fesses magnifiques. J’y enfouie mon visage pour aller chercher du bout de la langue son petit trou.

Soudain l’idée me vient. Je fait rouler Mélinda sur le flanc, libérant je lance à l’assaut de son intimité. Je masse ses lèvres, titille son petit bouton de plaisir. je guide sa jambe encore levée sur mon épaule pour libérer ma deuxième main, que je glisse entre ses fesses. Je m’accorde le temps d’un regard, toujours aussi excitée.

« Désolée, ma belle, je n’ai jamais su choisir. »

Puis je replonge, courbée comme une clé de sol pour garder toutes mes cibles à portée. Je lèche sa petite fente, lape comme un animal son nectar enivrant. Au creux de son cul parfait, mes doigts pressent tendrement contre son petit trou pour dégager le passage en douceur. Elle frémit, soupire sous mes caresses. Elle est à moi, rien qu’à moi. j’en fait ce que je veux, et je ne veux que lui donner du plaisir.

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 40 jeudi 09 février 2012, 20:45:07

« Honnêtement je ne sais pas », finit par avouer la senseï.

Sous cet aveu, un sourire de plaisir et de fierté traversa les lèvres de Mélinda. Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle avait éjaculé avec son appendice masculin, mais chaque éjaculation avait été pour elle une véritable libération, une incroyable jouissance. Oh, qu’est-ce que ça avait été bon ! Et, pourtant, elle avait beau avoir joui trois ou quatre fois, elle se sentait toujours aussi excitée. Fatiguée ? Un peu. Même pour une vampire, Hitomi était difficile à satisfaire. Elle n’avait pas encore épuisé Mélinda, mais cette dernière sentit qu’elle risquait de sécher tous ses cours demain, le temps de dormir au moins dix heures pour que son corps se remette. Elle décida d’y penser à plus tard, frissonnant en sentant les doigts d’Hitomi caresser ses jambes.

« Je comprends tout à fait, ma belle… » confessa Mélinda.

Elle continua à se promener autour de Mélinda. Diantre, ce que cette femme était torride ! Elle excitait follement la vampire, et cette dernière sentait son appétit sexuel revenir en flèche, alors qu’Hitomi tournait autour d’elle, comme une prédatrice. Un petit frisson la parcourut. Inverser le rôle habituel que Mélinda avait l’habitude de jouer, c’était très plaisant ! Elle se sentait dans la peau d’une petite proie face à cette prof qui la caressait, et se tenait face à elle. La vampire était gracieusement allongée sur le dos, son corps offert en tous ses points à Yamagashi, et Hitomi se pencha. Un frisson parcourut Mélinda. Allait-elle embrasser sa fleur ? Non, et un soupir s’échappa des lèvres de Mélinda quand Hitomi choisit d’embrasser le joli ventre de la femme.

« Hum… Oh, Hitomi… soupira Mélinda, de doux soupirs de plaisirs s’évadant de ses lèvres.
 -  Mais je devrais pouvoir trouver. la rassura Hitomi, reprenant sa précédente phrase.
 -  Je… Je n’en doute pas, ma belle… N’hésite pas à… A prendre ton temps », poursuit Mélinda en fermant délicatement les yeux.

Sa fleur se mettait à produire son nectar habituel. Sans son membre masculin pour absorber l’essentiel de sa mouille, elle sentit sa cyprine glisser de ses lèvres, remuant faiblement les jambes. Elle sentit les doucereuses mains de cette femme se faufiler sur ses jambes, se posant sur ses cuisses, tirant le corps de la vampire le long du bureau. Elle en gémit, ses pieds basculant dans le vide. Elle les releva pour les enrouler autour de son bassin, et sentit Hitomi embrasser son cou, ses joues, son menton, ses seins, la faisant gémir à chaque fois.

« Tu… Haaa… Tu vas me… Me tuer d’impatience, Hi… Hum… Hitomi…] »

Elle mordilla l’un de ses doigts, tendant l’une de ses mains pour caresser les cheveux trempés d’Hitomi. La senseï semblait aussi épuisée que Mélinda, et ce qu’elle faisait là devait tenir de l’exploit pour une humaine. Mélinda en fut flattée. Elle devait vraiment exciter Hitomi pour la mettre dans un tel état ! En même temps, la petite vampire n’était pas surprise. N’était-elle pas tout simplement magnifique ? Et aussi endurante que belle ? Oh, elle adorait littéralement faire l’amour à Hitomi ; il était logique que ce soit réciproque. Mélinda sentait bien que ce ne serait pas sa dernière fois avec cette prof’, et qu’elle risquait de la voir souvent.

Elle desserra ses jambes en la sentant glisser, à grands coups de succulents baisers, sur son si doux corps, les mains de Mélinda continuant à se glisser dans les cheveux d’Hitomi. Elle retourna entre ses cuisses, ayant complètement électrisé Mélinda. Son intimité continuait tendrement à laisser s’échapper quelques filaments de sa délectable mouille, et, dans sa tête, Mélinda en était presque à supplier Hitomi d’approcher ses lèvres pour y goûter.

*Allez, allez, misérable humaine ! Ne vois-tu donc pas dans quel état tu me mets ? Putain, de quel droit oses-tu me mettre dans cet état, MOI, Mélinda Warren ! Moi, qui t’offre ma fleur ! De quel droit oses-tu me faire patienter ainsi ? Raaaah, je ne sais si je veux la tuer ou la baiser jusqu’à en crever !*

Mélinda se contentait de délicatement gémir d’impatience, devant cet affreux supplice, qui n’était pas volontaire. Hitomi ne savait juste par quel bout commencer, et Mélinda pouvait aisément comprendre. A choisir entre son délicieux petit cul qui ne demandait qu’à être caressé et embrassé, et sa fleur humide, le choix était relativement difficile. Caressant l’un de ses seins avec l’une de ses mains, la vampire regarda la masse de cheveux d’Hitomi, écartant ses jambes autant qu’elle le pouvait. Hitomi releva la tête, et Mélinda ne dit rien, n’ayant pas besoin de parler. La prof alla enfin plaquer ses lèvres sur son intimité, et le corps de Mélinda se tendit d’un coup. Ses yeux se fermèrent, et un soupir de plaisir s’échappa de ses lèvres.

« Hoooooooooooooooooooo ! »

Elle sentit Hitomi l’embrasser l’aidant à écarter ses cuisses. Mélinda ne faisait pas encore un grand écart, mais s’en rapprochait, posant le plat de ses pieds sur les rebords du bureau, remuant lentement son petit corps excité. Sa tête baignait sur la masse de ses cheveux, et elle abreuva Hitomi d’un étrange mélange entre sa cyprine et son sperme qui était resté, serrant ses cheveux, les caressant, fourrant ses ongles pointus dans cette longue crinière de feu pour gratter sa peau. Le plaisir qui monta ne suffit toutefois pas à combler l’insatisfaction de la vampire. Hitomi ne voyait-elle donc pas qu’elle n’avait pas besoin de veiller à écarter ses jambes pour que Mélinda le fasse instinctivement ? Au même moment, elle sentit les mains d’Hitomi agir, et Mélinda poussa un petit cri en sentant son bassin se soulevant. La bouche avide de la senseï alla se promener sur une autre partie de son anatomie, son joli cul. Le nez d’Hitomi se glissa dans sa fente, et Mélinda en frémit, tendant rapidement une main pour se toucher, ne pouvant retenir le plaisir qui explosa en elle quand elle sentit la langue d’Hitomi se promener sur son petit trou.

Devenue une espèce de poupée de chiffon, Mélinda fut ensuite allongée de côté, et Hitomi passa alors aux choses sérieuses. Elle souleva l’une des jambes de Mélinda, qui la posa au-dessus de l’épaule d’Hitomi,s’papuyant dessus, sentant ses lèvres revenir vers son intimité.

« Désolée, ma belle, je n’ai jamais su choisir, expliqua-t-elle, arrachant un gémissement de plaisir des lèvres de Mélinda.
 -  Gour… Gour-mande, hum… J’aime ça ! »

Mélinda se retrouva ainsi avec ses deux parties intimes satisfaites, tant son intimité, par la bouche d’Hitomi, que son postérieur, par ses mains. Elle sentait les doigts d’Hitomi titiller son anus, afin de s’y glisser, et elle en trembla de désir à cette idée. Des doigts, c’était toujours différent d’un bon gros sexe masculin, mais ça ne serait pas pour lui déplair,e loin de là. Hitomi n’avait même pas encore commencé la sodomie que Mélinda mouillait sans retenue, sans pouvoir réussir à se contrôler. Cette femme la rendait tout simplement folle ! Elle devint un simple objet de désir entre ses lèvres et ses doigts, glissant à nouveau l’une de ses mains pour caresser ses cheveux, les empoignant, les tirant dessus, tremblant et gémissant. Ce n’était désormais plus elle qui menait la danse. Elle ne pénétrait plus Hitomi en se délectant de l’impatience que cette dernière manifestait, elle ne se faufilait plus dans son petit cul, elle lui avait laissé prendre le contrôle. Jamais elle n’aurait pu penser que ça s’avérait excitant, aussi excitant. Elle en poussa de nouveaux soupirs, jouant avec les cheveux d’Hitomi, poussant des soupirs. Dominatrice à outrance, Mélinda pouvait aussi s’avérer, dans certaines situations, une petite soumise. On n’était pas un bon maître, après tout, si on ne savait pas se mettre dans la peau d’un esclave.

« Hum… Oh oui, oui, oh, vas-y, vas-y, Hitomi, hummmm… N’aie pas peur de me faire mal, défonce-moi mon vilain petit cul avec tes doigts ! »

Elle remuait sur place, excitée, nerveuse, impatiente, continuant à serrer entre ses doigts les cheveux d’Hitomi, avant de les relâcher, griffant le bureau, avant de pincer l’un de ses seins, gémissant et soupirant de plaisir.

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 41 vendredi 10 février 2012, 16:16:44

« À tes ordres. »

Je force un doigt dans son petit cul déjà offert, puis plonge ma langue entre ses lèvres intimes. J’ai déjà goûté au nectar d’une autre femme mêlée à la semence d’un homme. Est-ce parce que je le sais ? En tous cas quand les deux viennent de la même personne, la goût est indéfinissable. Tout comme l’effet. Ma langue plonge en elle avec une avidité qui me surprend moi-même. Les gémissements plaintifs de Mélinda ne sont pas pour me calmer.

Malheureusement je dois abandonner sa petite fente pour reprendre ma respiration. Ma main libre vient combler le vide. Deux de mes doigts s'enfoncent tendrement en elle. Mais la tendresse ne lui suffit pas, elle l'a dit elle-même. J'appuie ma tête contre sa cuisse, ne manquant pas de baiser et mordiller sa peau douce. Je fait vriller mes doigts dans ses orifices, je les agite frénétiquement pour compenser leurs faiblesses. Il ne sont pas aussi gros qu'une verge, et ne peuvent aller aussi loin.

En revanche ils peuvent écarter, fouiller, explorer les parois douillettes mieux qu'aucune queue ne pourrait le faire. En les sentant bouger au travers de sa chair je réalise enfin que je suis en elle. Je force un autre doigt dans l'anus de Mélinda pour la malmener de plus belle. Mes mains bougent tellement vite qu'on pourrait croire que je la frappe. Comme si je voulais me venger de son interminable sodomie dont la douleur se fait encore sentir. Mes assauts de plus en plus acharnés ne semblent pas lui déplaire, mais ils la font glisser sur le bureau.

« Où tu vas comme ça ? »

Je l’allonge à nouveau sur le dos pour la suivre. Ma main droite fouille toujours son irrésistible petit cul, alors que je lance la gauche vers l’un de ses seins. j’empoigne sa chair ferme, écrase son tétons durci par le plaisir. Ma langue replonge vers ses délicieuses lèvres dégoulinantes. Je n’ai pas assez de mains. Je voudrais être partout en elle, et sur elle, pour la rendre aussi folle que moi.

« À ton tour, Mélinda ! Dit-moi que tu adores ça ! »

Je mets plus de force à chaque retour de mes doigts dans son petit trou. Finalement je n’avait pas besoin de toutes ces acrobaties. Nous avons toutes deux tant mouillé sur ce bureau que c’est une vraie patinoire. Mon bras glisse et prend chaque fois un peu plus d’élan.

« Crie-le pour moi ! »

Puis je reviens à son intimité. Le baiser que je lui donne rendrait jalouse la bouche de Mélinda si elle pouvait le voir. Mes lèvres se pressent sur les siennes, ma langue les franchit pour caresse les parois chaudes et humides. Je ne m’éloigne que pour mordiller ses lèvres intimes et son clitoris, que je ne peux que frôler du bout du nez. Ma main s’échappe de sa poitrine, puis descend s’occuper de son petit bouton d’or.

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 42 vendredi 10 février 2012, 22:17:11

« À tes ordres » acquiesça Yamagashi.

Mélinda sourit, et poussa un soupir en sentant un doigt se glisser entre ses fesses pour la perforer. Chacune de ses intimités étaient désormais occupées par les doigts experts d’Hitomi, et Mélinda se laissait délicieusement aller, continuant à mouiller, remuant légèrement sn corps. Elle retira ses doigts des cheveux d’Hitomi, sentant une poussée d’hormones si forte qu’elle dut en faire jaillir ses griffes, éraflant à nouveau le bureau, soupirant longuement. Mélinda glissa ses doigts sur le bureau, sentant sa cyprine et celle d’Hitomi, avec un mélange de sueur et de sperme. Son corps remuait longuement et rapidement.

« Ah… Ah… Haaan… » s’extasiait Mélinda.

Elle sentait les doigts d’Hitomi se glisser en elle, farfouillant dans les profondeurs de son corps. Diantre, si c’était bon ! Elle ne parvenait pas à s’en lasser, et subissait une telle vague de plaisir qu’elle ne pouvait que bredouiller, peinant à reprendre ses esprits. Le plaisir sexuel était toujours aussi fort, mais son vagin, lui, était quelque chose de totalement naturel. Inversement, son pénis avait été une création génétique et magique, et, psychologiquement, Mélinda avait toujours été plus sensible aux plaisirs sur son vagin, que ceux sur son pénis. Elle subissait donc avec un plaisir non feint ce qu’Hitomi lui faisait, cette dernière parvenant à contenter tant son joli cul, que son intimité. Ses lèvres n’étaient pas en reste, embrassant et mordillant son aine, continuant à la rendre folle. Oh oui, c’était bien ce qui se passait ; cette Terrienne la rendait complètement folle !

Le corps de Mélinda glissa sur cette flaque. Hitomi y allait si fort, avec une telle passion, que le corps de la vampire bougeait presque tout seul. Sa tête rebondissait contre le bureau, et elle se sentit chavirer. Hitomi la retint, la repositionnant sur le bureau.

« Où tu vas comme ça ? lui demanda Hitomi.
 -  Là où tu veux que j’aille… » souffla Mélinda entre ses lèvres.

Hitomi retourna à l’assaut, une main toujours posée dans les fesses de Mélinda, mais l’autre alla désormais s’attaquer à l’un des seins de la vampire. Ses doigts imprégnés de sa cyprine tachèrent sa poitrine, et Mélinda sentit un frisson de plaisir la traverser. Mélinda poussa un cri, et frappa sur le bureau, se sentant au bord du vertige. Elle se sentait tellement bien ! La vampire était tellement heureuse, tellement éloignée, se sentant voguer au loin. Elle devenait une petite poupée de plaisir entre les mains et les lèvres d’une femme experte, sentant sa langue se glisser dans son intimité, faisant remuer les jambes de Warren. Mélinda mouillait abondamment, soupirant.

« À ton tour, Mélinda ! Dit-moi que tu adores ça ! » ordonna Hitomi.

Plus facile à dire qu’à faire… Yeux clos, Mélinda se dandinait sur le bureau, et attrapa la main d’Hitomi, suçotant ses doigts, les absorbant entre ses lèvres, passant sa langue dessus, mordillant ses doigts.

« Oh putain, Hitomi… Tu… Oh, bon sang, oh oui, oui, j’adore ça ! J’ADORE ! Si c’est bon, si tu savais à quel point j’adore ça !
 -  Crie-le pour moi ! » insista Hitomi.

Relâchant sa main, Mélinda continuait à mouiller, et se mit donc à crier, retournant placer une main sur les cheveux de Yamagashi, les caressant.

« Aaaah ! C’est… C’est BON ! Encore, Hitomi, encore ! Ooooh, continue, oui, là, là, hannnn… Dans mon cul, OUIIIIIIIIIIIIIIIIII !!! »

Ce cri venait du fond de sa gorge. Mélinda sentait qu’Hitomi insistait beaucoup sur cette sodomie, probablement pour essayer de faire ressentir à la vampire ce qu’elle avait elle-même ressenti quand Mélinda s’était placée dans son derrière. Mélinda se sentait ainsi comme une espèce de volcan en éruption. Allait-elle avoir un nouvel orgasme ? Tout indiquait que ce dernier serait imminent. Ses cris jaillissaient avec fureur, Qu’on ne soit pas encore venus voir ce qui se passait tenait réellement de l’exploit.

DC d’Alice Korvander.

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Yamagashi Hitomi

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 43 dimanche 12 février 2012, 13:45:20

Je sens que demain matin mes bras se feront sentir. Mais elle crie, elle hurle même pour en avoir plus, plus vite et plus fort. Moi qui me vante d'épuiser mes partenaires, je suis tombée sur plus insatiable que moi. Mes doigts sont à présent plus à l'aise dans son anus. Je martyrise ce magnifique petit cul avec toute l'énergie qu'il me reste. Est-ce que ça suffira ? Je commence à avoir peur de ne pas la satisfaire. Chaque fois que j'ai forcé le rythme elle en a redemandé. J'ai l'impression de courir un marathon dont la ligne d'arrivée recule devant moi.

Elle n'oserait quand même pas me faire un coup pareil ? Je déteste décevoir, et avec tout le plaisir qu'elle m'a donné j'aurais l'impression de la trahir. Mais je fatigues de plus en plus. J'ai beau redoubler d'ardeur je me sens faiblir. Et si j'avais vraiment eu les yeux plus gros que le ventre cette fois ? Si je n'étais pas à la hauteur ? Mon bras commence à me faire mal, à trembler sous le poids de l'effort. Sa petite fente ruisselle comme une fontaine. Je sens les filets de liquide chaud courir jusque sous mon menton. Elle aime ce que je lui fait.

Mais ça ne suffit pas à me rassurer. Je dévore sa délicieuse petite chatte avec l'avidité d'un animal affamé. Je harcèle sont clitoris du bout des doigts, et l'abandonne parfois pour les joindre à ma langue. Je suis à bout de souffle pourtant je refuse de m'arrêter une seconde pour respirer. Est-ce que c'est ce que les hommes ressentent quand ils ont une "panne" ? Je les plains, je crois même que je les comprends un peu. Cette impression d'avancer à reculons est l'une des pires choses que j'ai ressenties. Et si mes craintes se confirment rien ne pourra me consoler ou me rassurer. Ça aura été le meilleur coup de ma vie, et j'aurais irrémédiablement foiré en bout de course.

C'est quoi ce défaitisme ?! Ressaisit-toi, Hitomi ! Pour une fois que ma raison est déraisonnable il faut bien que je l'écoute. Si Mélinda croit me faire peur... C'est un peu réussi, je dois dire. Son expérience, et surtout son endurance, me donnent le vertige. La dernière fois que j'ai fini dans cet état il y avait au moins... Je sais plus, mais on était nombreux. Mélinda est toute seule, et prête à exploser. Je ne vais pas laisser tomber si près du but !

Je ne serais sans doute pas capable de lever mon bras gauche pendant une semaine. Si je ne passe pas cette semaine à dormir pour me remettre. Je ralentis quelques secondes, le temps de reprendre un peu de souffle et de faire l'état des lieux. Pas brillant. Je me lance dans un dernier tour de piste. Un troisième doigt se glisse dans son anus, et j'accompagne ma langue de deux autres. Le temps de me frayer un passage dans sa petite fente humide ma langue remonte vers son clitoris.

Je le lèche, le suçote et le mordille tour à tour. Mes doigts explorent les parois de son vagin à la recherche du frisson qui lui fera enfin lâcher prise. Heureusement que ma bouche est occupée, sinon je crois que je l'engueulerais copieusement. C'est qu'elle est en train de me détruire moralement ! Elle crie, elle frémie, mais bordel est-ce qu'elle va finir par jouir ? Ou est-ce que je dois rappeler tous mes élèves en renfort ?

Mélinda Warren

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Re : Conflit d'autorité [Yamagashi-sensei]

Réponse 44 dimanche 12 février 2012, 14:49:20

Hitomi avait l’air de vider ses tripes. Tant mieux. Mélinda n’en demandait pas moins. Elle voulait l’épuiser, l’éreinter, lui montrer que faire l’amour avec elle n’était pas quelque chose d’anodin. Follement excitée, Mélinda la sentait se forcer, la sentait amplifier ses mouvements. Hitomi ne parlait pas, mais son corps suppliait. Ses doigts l’appelaient à avoir son orgasme, le plaisir se mélangeant désormais à une certaine forme de frustration, d’impatience, et de souffrance. L’humaine était-elle à bout de forces ? Force était toutefois d’admettre que Mélinda n’y avait pas été de main morte avec elle. Elle avait labouré son corps, mais la jeune vampire avait tellement joui que l’orgasme n’allait tout de même pas venir facilement. Même une vampire pouvait s’épuiser, et la petite Mélinda était couverte de sueur, rouge un peu partout. Epuisée, elle l’était également. Comment une simple petite Terrienne avait pu la mettre dans cet état ? Mélinda n’arrivait presque plus à bouger, laissant Hitomi la bercer, au fur et à mesure que le temps passait.

« Hu… Aaaaahhh… » gémissait Mélinda.

Elle sentit Yamagashi s’arrêter légèrement, soufflant longuement, avant de reprendre, violemment et douloureusement. En sentant trois doigts se glisser dans son cul, la vampire poussa un cri strident de douleur, sentant une larme glisser sur sa joue, alors qu’elle continuait à mouiller, enserrant entre ses doigts la tête d’Hitomi, serrant ses cheveux. Elle utilisa son autre main pour s’enfoncer dans l’intimité de Warren, les enfonçant rageusement, rapidement, la martelant, la faisant souffrir de plaisir. Oh oui, c’était aussi insoutenable que délicieux ! Mélinda se sentit fondre, gémissant, soupirant, et finit, tant bien que mal pour Hitomi, par s’abandonner au plaisir.

Un ultime cri, presque une forme de glapissement, Tout son corps se tendit d’un coup, la faisant fondre, la faisant disparaître. Son esprit se dilua dans son corps, et elle soupira, crachant sa semence, sentant tout son corps partir. Le plaisir s’évanouit en grande partie, s’atténuant énormément, ne laissant plus qu’une vague sensation de soulagement, de détachement. Des frissons traversaient tout le corps de Mélinda, qui relâcha la tête d’Hitomi, sentant une vague de fatigue la saisir. Heureuse, oh, qu’elle se sentait heureuse ! Ça n’avait décidément rien à voir avec ce qu’elle ressentait en éjaculant. C’était… C’était bien plus intense, bien plus profond, et elle se sentit divaguer, allongée sur ce bureau, incapable de dire quoi que ce soit, de formuler le moindre remerciement à l’intention d’Hitomi.

La vampire ignorait l’heure qu’il était, mais elle était sûre d’une chose : elle ne s’amusera pas avec ses esclaves ce soir. Mélinda commença faiblement à se redresser, mais ses mains glissèrent sur le bureau trempé, la faisant choir sur Hitomi. Elle s’écrasa dans un soupir sur elle, renversant la brave senseï sur le sol, avec Mélinda restant sur elle, sa tête à hauteur de son épaule. Un soupir profond traversa les lèvres d’Hitomi, qui posa une main sur son ventre, caressant tendrement sa belle peau.

« Qu’est-ce que tu es chaude et douce, belle Hitomi… finit par soupirer, au bout de plusieurs minutes, Mélinda, l’embrassant lentement dans le cou et sur l’épaule. Tu es ma prof’ adorée… »

Mélinda Warren soupira, fermant les yeux. Son petit derrière lui faisait mal, mais elle se sentait si sereine et apaisée qu’elle s’en souciait peu, et continua à embrasser sa joue, caressant lentement et tendrement le corps d’Hitomi. Là encore, Mélinda laissa un certain temps s’écouler, avant de finir par relever la tête, reprenant, décidée à offrir une offre à Hitomi.

« Je suis tellement heureuse, Hitomi, que je vais te laisser décider comment tu veux que je sois dans tes prochains cours… Une vilaine élève que tu devras punir, ou une bonne et sage élève qui méritera d’être récompensée ? Quelle facette de ma personnalité t’attire le plus, Hitomi ? »

Pour Mélinda, il allait naturellement de soi qu’elle s’occuperait encore du corps d’Hitomi, et que cette dernière s’occuperait encore du sien. Hitomi venait de confirmer pourquoi Mélinda venait se reposer et se divertir sur Terre. Les Terriens étaient si fascinants !

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

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