Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'esclave du lycée [Meat Doll]

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Mélinda Warren

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L'esclave du lycée [Meat Doll]

dimanche 22 janvier 2012, 01:33:35

« Vous devriez pas être en cours ? »

La voix de l’homme fit sortir Mélinda de la contemplation passionnante de ses ongles. Assise sur la terrasse d’un café, elle releva la tête pour voir l’homme d’affaires passer en grommelant. Elle ne dit rien, l’un de ses camarades, ou esclaves, préférant s’en charger.

« Va t’faire mettre, sale con ! » grommela-t-il, ponctuant sa phrase d’un élégant doigt d’honneur.

L’homme ne répliqua pas, préférant soupirer sur la jeunesse, avant de se faufiler dans sa voiture. En soupirant, Mélinda contempla son soda, et continua à le boire. Elle portait son uniforme scolaire, comme le reste de sa bande, mais n’avait aucune envie d’aller au lycée. Les cours prenaient normalement à huit heures, une heure d’autant plus indécente qu’il faisait aujourd’hui beau, et passablement chaud. Quel enfant normalement constitué aurait envie d’aller s’ennuyer en cours à huit heures du matin ? Quand bien même Mélinda avait plusieurs siècles dans les pattes, elle restait encore une vampire jeune. Il était donc 10h30 quand l’homme avait fait cette réflexion.

« Et on fout quoi, aujourd’hui ? demanda l’un des garçons.
 -  J’serais pas contre l’idée de retourner nous amuser dans le dortoir des pétasses du lycée, avança la punk du groupe, une femme avec des piercings dans le nez, du noir autour des yeux, et des vêtements troués et cloutés.
 -  C’était marrant, ouais… » avança l’un des hommes.

Ils réfléchissaient entre eux, et Mélinda les écoutait. Elle était arrivée à Seikusu depuis plusieurs des semaines, afin de trouver un air différent d’Ashnard, de son harem, des rivaux et des concurrents, et elle s’amusait plutôt bien. La Terre était un monde bien différent que Terra, bien plus attirant pour elle. Elle avait constitué un petit cercle d’esclaves, usant de ses charmes, aussi bien physiques que vampiriques, pour les soumettre. Il était toujours plus gratifiant d’avoir une petite armée personnelle, quand bien même cette armée se réduisait à cinq ou six lycéens désœuvrés.

« Nan, répliqua Mélinda, je veux pas qu’on retourne s’amuser à brûler des jupes, faire exploser des toilettes, et tout ce genre de trucs. C’est puéril, et ça ne m’amuse plus.
 -  Mais… tenta d’argumenter l’un des hommes.
 -  La ferme, Takeshi ! fulmina-t-elle.
 -  Je m’appelle pas Take…
 -  Tu porteras le nom que je voudrais que tu portes ! » trancha Mélinda.

Devant cet acte de rébellion, ses si beaux ongles se transformèrent en griffes, et s’enfoncèrent dans la table. Le dénommé Takeshi du jour déglutit faiblement, et préféra baisser les yeux, plutôt que de continuer à s’attirer les foudres de cette femme. Elle avait beau être belle, elle avait déjà montré ce qui se passait quand on la désobéissait. Mélinda réfléchissait donc à une nouvelle façon de s’amuser, sans trop s’en faire. Cette ville recelait de possibilités nouvelles, mais elle en avait assez des enfantillages de sa bande de frustrés. Mélinda recherchait autre chose, et elle espérait que cette ville lui offrirait l’opportunité d’assouvir ses fantasmes.

« On fait quoi, alors ? demanda l’un des lycéens.
 -  Hum… » réfléchit silencieusement Mélinda.

Elle chercha ce qui lui faisait vraiment plaisir. Boire du sang ? Oui, mais c’était assez éphémère, et elle ne pouvait pas non plus boire toute la journée. Non, ce que Mélinda aimait surtout, c’était affirmer son pouvoir. Elle n’obtiendrait rien d’inédit de la part de sa bande, et une idée commença à germer dans son esprit. Une idée qui fit se dessiner sur ses délicates lèvres un petit sourire.

« Nous allons retourner au lycée, trancha-t-elle en se redressant.
 -  Hein ?
 -  Mais pourquoi ? »

Mélinda les fustigea du regard, et les hommes se ratatinèrent.

« Je crois qu’il faudra que je vous apprenne prochainement ce qu’est l’obéissance… Mais, avant cela, nous allons nous promener un peu dans les rues. Nous ne retournons pas au lycée tout seul. »

Interloqués, les membres de la bande suivirent notamment la vampire, dont les longs cheveux descendaient le long de son dos. Cette dernière passa par un parc municipal et finit par apercevoir une délicate femme assise sur un banc. « Femme »… Elle ressemblait plutôt à une adolescente assez isolée, timide et fragile, et un sourire carnassier apparut sur le visage de Mélinda, révélant ses canines pointues et blanches. Elle tourna la tête vers ses acolytes, désignant du nez la jeune fille.

« Vous la connaissez, celle-là ?
 -  Non… Mais elle a l’air foutrement bonne ! Enfin, pas autant que vous, bien sûr, rectifia l’homme.
 -  Vous voulez qu’on fasse comme avec celle dans les toilettes ? jubila à cette idée un autre lycéen.
 -  Nan, répliqua pensivement Mélinda, même si ça y ressemble. Tu as bien ta chaîne et ton collier dans ton sac, Nasaki ? » dit-elle en tournant son beau regard vers l’un des hommes.

Ce dernier sursauta, et fit glisser son sac à dos, révélant des instruments qu’on ne risquait pas vraiment de trouver chez un lycéen modèle… Mais un lycéen modèle ne sècherait pas ses cours, après tout, non ? Il hocha la tête, acquiesçant silencieusement.

« Allez me la chercher, mettez-lui la chaîne autour du cou, et ramenez-là à mes pieds. »

Les instructions étaient lancées, et les lycéens, après s’être regardés, se mirent en marche vers la jeune fille.

DC d’Alice Korvander.

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Meat Doll

Re : L'esclave du lycée [Meat Doll]

Réponse 1 dimanche 22 janvier 2012, 19:54:49

Cela faisait déjà quelques jours que Meat n'avait plus de maître, le dernier l'avait lâchement abandonnée dans un parc et elle commençait à réaliser qu'il ne reviendrait pas la chercher. En plus de cela, ce maître n'avait pas beaucoup plu à Meat, trop gentil, trop gêné à l'idée de montrer sa face sombre au grand jour, trop hésitant et pas super beau. Elle avait dû le pousser constamment pour qu'il daigne remplir un peu son rôle, alors que normalement l'esclave n'a qu'à obéir bêtement, elle n'aimait pas vraiment faire ce genre de choses. Mais tout ceci n'avait plus aucune importance vu qu'elle ne le reverrait probablement jamais.

Cette partie du parc était un peu à l'écart, hormis ceux qui cherchent à se cacher ou à faire de choses louches personne n'y venait jamais. Elle aurait bien été ailleurs mais ... Le seul petit problème, c'est qu'elle avait insisté pour être menottée au banc pendant que le maître allait faire la fête et ça faisait déjà deux jours qu'elle attendait là. Oh, elle avait bien essayé de se débarrasser des menottes mais, c'est que c'est vachement solide ces trucs là et ça ne s'ouvre pas avec un trombone. En témoignent les quelques bouts de métal tordus à ses pieds.

Elle avait donc passé deux jours à ruminer sur son excellente idée de se faire attachée par un incompétent complet, non pas que cela lui déplaise mais, être attachée sans rien à faire ou subir c'est quand même un petit peu chiant à la longue. Sans compter que passer deux jours dehors ça met vos habits dans un sale état et ça vous donne une odeur assez désagréable.

"ATCHAA !!!"

Et un gros rhume ...

Ainsi, elle n'avait même pas remarquée le petit groupe de lycéens qui venait d'arriver. Elle ne remarqua leur présence que lorsque deux hommes se placèrent devant elle avec une chaîne et un collier dans les mains. Tout à coup son regard s'illumina, regardant fixement la chaine. Enfin de nouveaux maîtres ? En plus ceux là semblaient savoir exactement ce qu'ils voulaient, parfait. Ils se regardèrent, perplexes, se demandant probablement quel était le problème de la jeune fille qui les fixaient de la sorte et échangèrent quelques mots à voix basse :

"Qu'est ce qu'elle a celle là ? On dirait une clocharde et elle a l'air aussi tarée que Mélinda dans son genre."

"Ta gueule ! Et si elle t'entends tu feras quoi gros malin ? T'as envie de te faire couper les couilles ? Je suis sûr qu'elle en serait capable et pour bien moins que ça !"

"Toi ta gueule, elle est trop loin pour entendre quoi que ce soit et je maintiens que cette fille n'est pas normale ! Regarde comment elle fixe la chaine, elle doit être complétement à l'ouest."

"Bon file moi ça, je vais m'en charger !"

Le deuxième homme arracha la chaine et le collier des mains de son coéquipier, visiblement exaspéré par son inaction et peut être aussi de peur que Mélinda s'impatiente, il ne voulait pas être punit à cause de la faute d'un autre. Puis il passa le collier autour du cou de Meat qui était aux anges et il s'en alla chaîne en main, forçant Meat à se lever pour le suivre. Jusqu'à ce que les menottes se tendent et que l'homme, qui ne s'y attendait pas, se retrouve sur les fesses. Son compère fut partagé entre la surprise et l'envie de pouffer de rire, qui devenait de plus en plus irrésistible malgré le regard noir que lui lançait l'autre. Puis il soupira avant de dire :

"Tu n'avais pas vu les menottes ? T'es si négligeant mon pauvre ! Par contre, si on pouvait avoir une pince pour virer ça ..."

Aussitôt dit, aussitôt fait, une pince de bonne taille fit son apparition dans les mains de celui qui l'avait souhaité à voix haute. Il fut de nouveau surpris, cherchant du regard la personne qui aurait pu la lui glisser dans les mains, puis en bon idiot utile qu'il était il se contenta de couper la chaine des menottes pour rapporter l'esclave à sa nouvelle maîtresse. Lorsque Meat se retrouva face à Mélinda, elle comprit instinctivement que c'était elle qui commandait et sans en attendre l'ordre elle se mit à quatre pattes devant elle, frottant sa joue contre l'une de ses jambes.

Mélinda Warren

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Re : L'esclave du lycée [Meat Doll]

Réponse 2 lundi 23 janvier 2012, 00:26:45

Les beaux yeux de Mélinda fixèrent attentivement la scène. Elle nota par conséquent que la lycéenne ressemblait à une espèce de junkie qui n’avait pas du prendre une douche depuis quelques heures, déjà. Elle était également, fait assez curieux, que Mélinda n’avait pas noté initialement, attachée sur le banc. Qui l’avait attaché là ? Et depuis combien de temps ? Avoir ses vêtements sales, elle n’y était pas depuis quelques heures. Tandis que les bons-à-riens qui lui servaient de sous-fifres hésitaient, et parlaient probablement d’elle, la vampire se contentait de réfléchir sur cette femme, et sur ce qu’elle pourrait lui faire. A sa petite surprise, la femme ne protesta nullement quand on lui passa un collier autour du cou, et Mélinda crut même lire dans ses yeux de la gratitude.

*Bon… Au moins, on n’aura pas à la dresser. Le dressage, c’est souvent pénible, et inutilement fastidieux.*

N’ayant pas remarqué qu’elle était menottée, l’un de ses sous-fifres s’étala sur le sol. Le regard de la vampire se fronça. Se tourner en ridicule n’était pas vraiment quelque chose qu’elle appréciait, loin de là, mais elle le lui ferait comprendre après. Sa colère passagère se dissipa quand elle vit une pince apparaître comme par magie, et elle commença à comprendre. La Terre était un monde assez différent de Terra, en ce sens que la grande majorité des Terriens n’avaient aucun talent particulier, si tant est qu’ils interprétaient les facultés de Mélinda comme paranormales. Cette jeune femme devait probablement venir de Terra.

*Une  compatriote… Il va falloir que je te fasse visiter, alors, ma poupée…*

Ses hommes parvinrent à détacher la femme du banc, et l’amenèrent en tirant dessus. Elle n’opposa aucune résistance, et, quand elle fut devant Mélinda, elle alla même se mettr à quatre pattes devant elle, frottant sa tête contre sa jambe. Un sourire de plaisir pur parcourut alors les belles lèvres de la vampire, qui glissa sa main dans les cheveux de la femme, pour les caresser. Elle arrêta bien vite, en constatant qu’ils étaient poisseux, comme si elle ne s’était pas lavée plusieurs jours, et en pesta, une moue désapprobatrice se passant sur ton visage.

« Il va falloir commencer par te laver. Je veux bien d’une chienne, mais il faut au moins qu’elle soit propre ! Avant de m’occuper de ça, j’ai autre chose à régler… »

Son regard se tourna vers l’homme qui était tombé par terre, mais son beau regard n’avait rien de doux et attirant. Acéré, il se plongea dans ceux de l’homme, qui sursauta, un frisson de terreur le traversant. Mélinda sembla alors se téléporter, utilisant sa grande vitesse de vampire pour se mettre devant lui. Ses griffes jaillirent de ses doigts, et s’enfoncèrent dans le pantalon de l’homme, coupant le tissu, coupant celui du sous-vêtement, pour s’enfoncer très légèrement dans son membre, sur ses testicules, son pouce frottant sa précieuse verge. Les yeux exorbités de terreur du lycéen se posèrent sur ceux de Mélinda, qui se mit à parler sur un ton sourd et colérique.

« Est-ce que tu te crois dans un cirque ?
 -  Je…
 -  RÉPONDS PAR ‘‘OUI’’ ou par ‘‘NON’’’ , espèce de demeuré !
 -  N-No… Non… Non, Mé… »

Le coup vint sans prévenir. L’autre main d’Alice cingla la joue de l’homme, qui poussa un hurlement, trois zébrures rouges enlaidissant sa joue. Il s’écroula sur le sol, face contre terre, et le pied de Mélinda alla autoritairement se poser sur sa tête.

« Je ne suis pas ta copine, sale rat ! Appelle-moi ‘‘Maîtresse’’, à défaut de trouver un autre terme permettant d’exprimer toute la différence qu’il y a entre une Reine pure et évoluée comme moi, et un primate de singe arriéré comme toi ! Compris ?!
 -  O-Oui, Maîtresse…, murmura-t-il, des larmes coulant sur son visage.
 -  Je me fous que tu aies une copine, des sœurs, des frères, un Papa et une Maman-chéris que tu adores embrasser. Tu es à moi, sale vermine !  Maintenant, si jamais tu recommences à te prendre pour un clown, je m’assurerai que tu puisses avoir une candidature dans un cirque sans problème. Les unijambistes, ça remporte toujours un certain succès, non ? Maintenant, broute !
 -  Bro… ?
 -  Le jour où j’aurais besoin d’un perroquet, fulmina Mélinda, je te le ferais savoir ! Broute l’herbe, allez, dépêche-toi, ou j’essaierai de voir si tu as vraiment une cervelle ! »

Terrorisé, le jeune homme s’exécuta, et Mélinda, après plusieurs secondes, libéra sa tête, et retourna vers son esclave. Elle attrapa sa chaîne, et tira dessus.

« Toi, tu es ma chienne, alors, tu restes à quatre pattes. Si tu sais parler, donne-moi ton nom, que je sache au moins qui tu es. Et lèche l’un de mes pieds. Montre-moi que tu es heureuse d’être ma chienne.
 -  Maî… Maîtresse ? demanda ensuite l’un de ses larbins.
 -  Oui ?
 -  Qu’est… Qu’est-ce qu’on va faire d’elle ? »

Mélinda sourit en devinant la bosse qui devait se former dans son pantalon. Elle regarda l’esclave.

« Ce qu’on va faire ? C’est assez simple : on va faire de la philanthropie.
 -  De la… ? Que voulez-vous dire, Maîtresse ? rattrapa l’un des esclaves.
 -  Le lycée est un lieu où tous les jeunes vivent. Ce devrait être un lieu de vie et d’épanouissement personnel, un endroit fait pour s’amuser, mais, chaque fois que j’y vais, je me fais chier comme un rat mort. Et vous avez entendu les grandes personnes, non ? Il n’est pas normal que nous ne soyons pas au lycée, alors, nous allons y retourner, en compagnie de notre petite chienne, et offrir à ces jeunes désœuvrés et assommés par les cours une occasion de réellement profiter de la vie. Rassurez-vous, mes petits, vous aurez l’occasion de lui passer dessus également. Tu peux arrêter de brouter. »

Le jeune homme malmené se releva, passant une main sur son sexe endolori, ravalant ses larmes. Mélinda constata avec regret qu’il ne s’était pas fait dessus. Devenait-elle trop gentille sur Terre ? C’était une perspective qui la terrorisait, et elle regarda sa chienne, puis l’homme qui avait été malmené.

« Frappe-là, intima-t-elle, défoule-toi sur elle. Utilise ta ceinture. Si tu es suffisamment convaincu, je te laisserai l’occasion de vérifier si ton membre est toujours efficace. Je souhaite qu’il le soit, sinon, tu ne me seras plus d’aucun intérêt. »

Le lycéen s’exécuta, retirant son pantalon, attrapa la ceinture, et roua de coups le corps de la petite chienne, y trouvant visiblement un plaisir assez pervers. Son regard se vrilla de plaisir, et son sexe malmené forma une belle bosse. La petite esclave fut entièrement déshabillée, et les coups de la boucle s’attardèrent sur son délicieux cul rebondi.

« Baise-là, maintenant.
 -  Par quel trou ? demanda fiévreusement l’homme.
 -  Pose encore une question idiote, et je te fais bouffer la langue. Ma patience est à bout… »

Sans attendre plus longtemps, le lycéen s‘exécuta rapidement, et s’enfonça dans le fondement de la chienne, la prenant par les fesses, sans vraiment se soucier de lui faire mal, et remua son membre en elle pendant un certain nombre de secondes, venant assez rapidement. Il répandit son sperme en elle, avant de se retirer, poussant des soupirs de plaisir.

« Bien ! Maintenant, nous allons au lycée. Une dernière précision, ma petite chienne. Tu as le droit de me parler, si l’un de mes ordres te paraît confus, ou pour me complimenter. C’est tout. Si quelqu’un te tripote sans mon autorisation, et si je ne dis rien, alors laisse-toi faire. Après tout, tu es destinée à être le plaisir commun de toute une communauté de jeunes gens frustrés, sourit-elle. On va commencer par t’offrir une bonne douche…. Si on se dépêche, on arrivera pile au moment où les sportifs auront fini leurs entraînements matinaux. »

Mélinda se mit donc en route, tirant sur la chaîne. Une dernière idée lui vint cependant en tête.

« Habille-toi un peu. Je sais que tu es capable de faire apparaître des objets. Que tu sois à quatre pattes est déjà suffisamment suspect comme ça, mais je ne veux pas que des pervers libidineux te touchent. Tu es réservée au lycée, et au lycée uniquement pour le moment. »

DC d’Alice Korvander.

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Meat Doll

Re : L'esclave du lycée [Meat Doll]

Réponse 3 jeudi 02 février 2012, 01:04:37

Il était à prévoir que la déesse aurait bientôt droit à un bain, sans doute un bain qui n'aurait rien de classique vu le genre de maîtresse que Meat avait trouvée et c'était tant mieux. Elle en eut vite la certitude en regardant l'un des larbins de sa nouvelle maîtresse faire rabaisser plus bas que terre. Le regard de cette femme, le ton qu'elle employait pour s'adresser aux autres, la facilité avec laquelle elle violentait ses victimes, tout chez elle plaisait à Meat et aurait fait passer ses précédentes maîtresses pour des débutantes. L'esclave était déjà toute excitée à l'idée de prendre bientôt la place du pauvre homme, elle ne savait pas encore que ça allait venir bien plus vite que prévu. Puis ma nouvelle maîtresse revint vers moi, me demandant mon nom, je lui ai simplement répondu :

"Je ne mérite pas d'avoir de nom maîtresse, appelez moi comme vous le voudrez."

Sitôt ceci dit, je me suis mise à exécuter son ordre, me penchant devant elle pour aller embrasser ses chaussures avant de les lécher servilement. Tout en léchant ses pieds j’espérais qu'elle allait me piétiner moi aussi mais, elle ne le fit pas, pourtant je remuai mes fesses exprès pour lui faire envie, je voulais qu'elle me donne la fessé mais elle ne fit rien. Pendant que je léchais elle parla de mon avenir, visiblement elle envisageait de faire de moi une sorte de sextoy pour ados frustrés. J'osai à peine imaginer, une école entière rien que pour moi, j'osai à peine imaginer la honte que je pourrai éprouver à me faire prendre par des centaines d'élèves. Le pied de la maîtresse s'éloigna de ma bouche et ma langue continua de remuer dans le vide quelque temps, cherchant à tâtons le pied de ma propriétaire tandis que mon regard vers elle se faisait on ne peut plus explicite.

Lorsqu'elle ordonna à l'homme qu'elle avait attaqué de me battre, j'ai soudainement compris qu'elle ne prendrait même pas la peine de me frapper elle-même, signe de mépris ultime pour une esclave. Ainsi je ne valait même pas la peine qu'elle me frappe, j'avais rarement été autant méprisée et j'adorais ça. Puis les coups se mirent à pleuvoir, la boucle de la ceinture claqua contre le bas de mon dos, mes fesses et mes cuisses, laissant des bleus aux endroits qu'il frappait. Il y allait de toute ses forces, prenant plaisir à se défouler, arrachant mes vêtements jusqu'à ce que je me retrouve nue pour frapper de plus belle. Mes larmes se mirent à couler toutes seules, je gémissais comme si chaque morsure de la ceinture sur ma peau était un coup de rein entre mes cuisses.

Lorsqu'elle lui ordonna de me prendre, il s'exécuta immédiatement, me sautant littéralement dessus mais, sa soif de violence n'était pas étanchée et il n'avait pas juste envie de se vider. Ainsi il plaqua sa main sur ma bouche tout en me pinçant le nez avec deux de ses doigts pour me priver d'oxygène et me murmura à l'oreille :

"Montre moi à quel point ma bite est irrésistible pour m'exciter, sinon tu vas vite étouffer."

Chose que je fit immédiatement me cambrant et gémissant comme une vraie petite catin, je passais ma langue entre ses doigts et j'écartai les cuisses en signe de soumission. Puis je me suis allongée sur le ventre sous son poids, caressant ma poitrine tandis qu'il allait et venait de plus en plus vite alors que je commençai à manquer d'air. Heureusement pour moi il fut rapide à venir, souillant mon anus de son foutre chaud et me laissant reprendre mon souffle. J'ai ensuite rampé misérablement aux pieds de ma maîtresse, attendant docilement ses prochains ordres. Elle me donna alors un certain nombre de consignes, ainsi que la suite du programme, respectant sa volonté de ne parler que pour lui montrer ma reconnaissance ou pour demander des précisions, je lui ait dis :

"M-merci maîtresse, une vilaine chienne comme moi ne vous mérite pas, merci de vous occuper de moi."

Nous nous sommes enfin mises en route, direction le lycée et ma nouvelle vie d'objet sexuel, j'avais hâte d'être là bas pour servir ma propriétaire. Mais elle me donna un ordre que je ne pouvais pas satisfaire, mon visage se décomposa littéralement et je lui ait annoncé avec une voix triste et confuse :

"J-je ... Je ne peux pas maîtresse, je n'ai pas le pouvoir de faire apparaitre des vêtements par moi-même. Mon pouvoir est de donner à mes maîtres le pouvoir de faire apparaitre les objets et les créatures de leur choix, ils peuvent aussi modifier mon corps ou le leur. Il vous suffi de les imaginer et de souhaiter les voir apparaitre sur moi pour qu'ils deviennent réalité. Je m'excuse pour mon incompétence maîtresse. Et ... Hum ... Dois-je faire apparaitre uniquement ce que vous souhaitez vous ou bien d'autres personnes peuvent elles profiter de mes pouvoirs maîtresse ?"

Mélinda Warren

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Re : L'esclave du lycée [Meat Doll]

Réponse 4 jeudi 02 février 2012, 13:32:15

Ce n’était clairement pas une humaine. Peut-être une magicienne ? Dans tous les cas, cette curieuse femme intriguait Mélinda. Elle venait de Terra, et savait que cette jeune fille ne devait venir que de Terra, vu qu’elle pouvait faire apparaître des objets selon la volonté de ses maîtres. Ce pouvoir omnipotent s’éloignait des magiciens. Une Déesse ? Elle décida de chasser ces questions de son esprit. Cette jeune femme était sa chienne, et c’est tout ce qui comptait. Elle lui expliqua, avec un regard de chien battu, qu’elle ne pouvait pas concevoir elle-même des objets, mais ne pouvait le faire qu’à travers la volonté de Mélinda.

*Soumise jusqu’au bout des ongles… songea Mélinda. Bah, ce n’est pas pour me déranger !*

Elle tendit sa main pour caresser les cheveux de son esclave. Bizarrement, elle ne pouvait s’empêcher de vouloir la faire souffrir. C’était curieux… Plus elle voyait son corps, ses courbes, ses formes, plus elle avait envie de la frapper. Elle avait bien souvent envie de battre des gens, mais elle sentait quelque chose de supplémentaire avec cette femme, et, en voyant ses laquais, elle comprit qu’ils ressentaient la même chose, ce qui la fit sourire.

« Très bien, petite chienne. Fais donc apparaître une laisse et un collier. Toi, tu vas l’attacher, fit-elle en désignant l’un de ses larbins, avant de répondre à sa question. Seuls les hommes ou les femmes à qui je te donnerais provisoirement pourront faire apparaître les objets de leur choix. En somme, pars du principe que tous ceux à qui je ne refuse pas explicitement de te toucher sont potentiellement des maîtres provisoires. »

Les explications étaient simples à comprendre. Elle comptait faire de cette petite poupée, non pas son esclave privilégié, mais celle de toute une communauté spécifique, à l’exception d’éventuels éléments nuisibles. Pendant ce temps, son larbin attacha Meat Doll avec le collier, veillant à serrer fort, sans pour autant devoir l’étrangler.

Avec ces objets, la femme ressemblait encore plus à une chienne, et Mélinda saisit le bout de la laisse, puis sortit du parc, marchant vers le lycée. En chemin, bien des gens les regardèrent, interrogatifs, envieux, certains la pelotant. Certains furent toutefois un peu plus insistants, confirmant implicitement ce que Mélinda pensait : cette femme devait laisser s’échapper des espèces de spores naturelles qui agissaient sur le cerveau, et donnaient naturellement envie de la battre. Que ces spores influent aussi sur le cerveau vampirique de Mélinda signifiait que cette femme était effectivement tout, sauf une simple humaine. Néanmoins, s’il était tentant de laisser des passants la battre, elle n’en avait pas le temps, et elle s’occupa du premier qui en eut cette initiative, utilisant ses larbins. Ses hommes frappèrent l’homme d’affaires qui s’était mis à côté de sa chienne, lui tirant autoritairement les cheveux, un sourire vicieux aux lèvres. Sa tête rencontra violemment le coffre d’une voiture stationnée à proximité, puis le bitume, tandis que son attaché-case fut pris. La serrure fut brisée, ses précieux documents éparpillés au loin, et, à l’aide d’un couteau, ses vêtements furent déchirés. Le malheureux termina sa course la tête la première dans une poubelle, et ses esclaves prirent son portefeuilles, s’adjugeant ses cartes de crédits et ses liasses de billets.

Outre ce petit incident, rejoindre le lycée ne fut pas très difficile. Mélinda passa par une entrée annexe, menant directement au gymnase et aux terrains de sport. Comme elle s’y attendait, les sportifs étaient encore là, jouant au football sur la pelouse qui servait lors des évènements sportifs. Il y avait plusieurs gradins, et des vestiaires. Parfait. Entre-temps, une nouvelle idée avait germé dans l’esprit de Mélinda. Elle voyait les deux équipes de footballeurs s’entraîner à faire des passes et des tirs aux buts, et un sourire se dessina sur ses lèvres.

« Viens, ma chienne. »

Elle ne lui en dit pas plus, et s’avança vers le terrain. Les regards se tournèrent progressivement vers ces deux femmes. Il n’y avait pas de supporters, ni de pom-pom girls. Ce n’était qu’un simple entraînement, après tout. Les pom-pom girls devaient répéter ailleurs, mais elles auraient aussi droit à leur visite. Le regard des sportifs oscilla sur la femme qui était attachée, alors que Mélinda s’aventurait sur le terrain de football.

« C’est qui, celle-là ? demanda l’un des sportifs.
 -  Elle, je la reconnais ! C’est Warren, celle qui a cassé le portable de l’autre conne !
 -  Belle et autoritaire, elle irait bien dans mon lit ! »

Quelques rires gras résonnèrent aux oreilles de Mélinda, qui ne dit rien, se contentant d’un petit sourire poli. Ils étaient bêtes, stupides, arrogants. Des animaux. Et c’était précisément ce qu’elle voulait. Elle s’avança vers eux, un sourire amusé aux lèvres.

« Je n’irais dans le lit de personne pour le moment, Messieurs ! En revanche, je tenais à vous présenter… Ma petite chienne. Comme vous le voyez, elle aurait bien besoin d’une bonne douche, mais je me suis dit qu’elle risquait de s’ennuyer, à prendre sa douche, toute seule…
 -  Ça, c’est sûr ! confirma l’un des adolescents.
 -  Voilà pourquoi je me suis dit que les vestiaires de mâles tels que vous iraient très bien. Néanmoins, je ne tiens pas à oublier que vous êtes des sportifs dans l’âme, soit des gens qui aiment la compétition. »

Les sportifs n’ajoutèrent rien. Les spores de son esclave devaient commencer à faire effet, et Mélinda poursuivit, décidée à leur montrer à quel point l’esclave était obéissante. Elle tira d’un coup sur la laisse, un coup sec qui déstabilisa sa chienne, la faisant tomber sur l’herbe, et en profita pour plaquer rapidement et violemment son pied sur sa tête.

« Mange ! Mange l’herbe, vilaine chienne, montre-leur à quel point tu es obéissante ! » clama-t-elle.

Elle s’exécuta, et Mélinda regarda les sportifs, les voyant observer les lèvres de la femme, en train de brouter. Pour leur offrir une meilleure vue, Mélinda finit par retirer son pied, s’aventura dans le dos de la jeune femme, et frappa son derrière, n’y allant naturellement pas de main morte.

« Comme vous le voyez, cette jeune femme est une créature servile, docile, et obéissante, propre à exécuter tous vos fantasmes d’adolescents, ceux que vous n’osez pas exprimer en public. Si vous voulez profiter d’elle en déchaînant toute votre imagination, vous devrez commencer par montrer que vous en êtes capables. Arrête de brouter, toi, dit-elle à l’intention de son esclave, et fais-moi apparaître des sangles et des cordes. Vous, ajouta-t-elle vers ses larbins, vous allez l’attacher à la cage. »

Les larbins acquiescèrent, et, après plusieurs minutes, leur esclave se retrouva au milieu de la cage de but, bras et jambes écartés, chaque membre étant retenu par des cordes et des sangles. Son corps était élevé par rapport au sol, et ses mains touchaient la barre transversale. Les sportifs étaient subjugués, conformément à ce que l’espérait Mélinda, et elle alla récupérer un ballon, la posant sur le point de penalty.

« Ce qui va suivre est très simple. Chacun à votre tour, vous allez tirer de toutes vos forces vers ces buts. Ceux qui atteignent le corps de ma chienne auront le droit de prendre une douche avec elle. Les autres n’auront qu’à aller se rhabiller. Qui commence ? »

Les sportifs se regardèrent entre eux, et l’un finit par se lancer. Il courut vers la balle, et tapa dedans. Le ballon s’envola à toute allure, et heurta violemment l’esclave à l’estomac. Bras croisés, Mélinda se mit à les observer, un sourire amusé sur ses belles petites lèvres.

DC d’Alice Korvander.

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Meat Doll

Re : L'esclave du lycée [Meat Doll]

Réponse 5 jeudi 02 février 2012, 16:31:51

Meat fit comme sa maîtresse lui demanda, faisant apparaitre une laisse et un collier devant elle. Et tandis qu'un de ses esclaves lui passait celui-ci autour du cou, sa maîtresse lui expliqua ceux qu'elle devait considérer comme ses maîtres. Puis le petit groupe se mit en marche, l'esclave essayait de suivre sa maîtresse du mieux qu'elle pouvait mais, marcher à quatre pattes sur un aussi long parcours est particulièrement éprouvant. Bien vite elle eut mal aux genoux et fut fatiguée, alors lorsque des passants les forçaient à s'arrêter la petite chienne pouvait souffler un peu. J'éprouvais un plaisir malsain à sentir les regards des passants sur moi et sur ma maîtresse, je m'occupais de faire le spectacle, bougeant mes fesses de droite à gauche et tirant la langue comme un petit chien. J'étais rouge de honte et mon cerveau avait censé de fonctionner, je me contentais de satisfaire ma maîtresse au maximum sans penser à rien. Après deux jours d’abstinence, voir toutes ces bosses à travers les pantalons des passants me faisait envie, je m'imaginais déjà attachée sur une place, offerte à la foule et à cette pensée mon intimité commença à perler.

Lorsque nous sommes arrivées au stade, deux équipes de foot s'entrainaient, soit 22 joueurs et tous semblaient intéressés par la petite chienne. Brusquement la laisse se tendit et je fut mise à terre avant de sentir le pied de ma maîtresse m'écraser le visage contre le sol, j'ai poussé un petit couinement de surprise et de douleur, puis j'ai brouté l'herbe comme me l'ordonnait ma propriétaire. Ensuite elle retira son pied et alla me mettre la fessée devant tout le monde, avant de m'ordonner d'arrêter. On m'ordonna alors de faire apparaitre cordes et sangles et bien vite je me suis retrouvée attachée dans les buts, incapable de bouger, tandis que Mélinda ordonnait aux joueurs de tirer de toutes leurs forces sur moi. Le premier tir me retourna l'estomac, le second me coupa le souffle, un autre m'écrasa la main contre la transversale. Et vers la fin, alors que j'étais sonnée et endolorie un joueur cria :

"Hey j'ai une idée ! Visez sa vessie !!!"

Après cela tout les ballons se concentrèrent sur mon bas ventre, plusieurs fois je fut à deux doigts de me relâcher et de m'uriner dessus, puis lorsque j'ai vu que Mélinda semblait attendre que je craque, j'ai arrêté de lutter. Le dernier ballon fut le bon, il frappa pile poil au mauvais endroit avant de tomber au sol, puis je me suis vidée, rouge de honte et n'osant pas regarder mes maîtres en face qui riaient bien fort. Ils s'avancèrent alors vers moi, seuls trois d'entre eux ne m'avaient pas touché, ce qui voulait dire que 19 mâles en rut allaient me faire prendre ma douche. Ils détachèrent d'abord les liens qui retenaient mes bras, pour que je tombe la tête la première dans l'herbe, puis ils détachèrent mes jambes en rigolant, avant de me trainer par les cheveux jusqu'aux douches.

Je ne comprenais plus grand chose à ce qu'il se passait, j'avais perdu ma maîtresse de vue et on m'avait balancé dans les douches. L'un des joueurs qui avait compris mes pouvoirs en regardant Mélinda m'ordonna de faire apparaitre un énorme gode en savon, qui apparut immédiatement dans sa main. Un jet d'eau chaude fut dirigé vers mes fesses, tandis que l'homme s’approchait avec le gode en main avec un sourire pervers. Puis il le rentra brutalement dans mon anus, faisant des vas et viens qui produisait de la mousse en abondance, avant de le ressortir et de m'ordonner sèchement :

"Maintenant pète !"

Rouge de honte, je me suis exécutée et en forçant un peu j'ai réussi à lâcher mes gazs, faisant au passage de jolies bulles de savon. Les joueurs éclatèrent de rire, disant que son idée était géniale et me forcèrent à refaire la chose encore et encore, pendant ce temps, certains avaient pris du savon et s'occupaient de ma poitrine ou de mon ventre. Tout les joueurs s'étaient dénudés et commençaient à se frotter contre moi, certains me demandaient de les masturber ou de leur faire une fellation tandis que mes fesses leurs servaient à faire des bulles. Puis les choses sérieuses ont commencées, le gode fut remplacé par le sexe d'un des joueurs, mon intimité aussi fut prise d'assaut, les mains se baladaient sur mon corps, certaines me pinçaient ou me frappaient. Je ne savais plus qui était qui, chaque seconde semblait être une éternité et j'étais à bout de force, au bout d'un moment, je me suis évanouie, sentant les joueurs redoubler d’efforts alors que je perdais connaissance.

Mélinda Warren

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Re : L'esclave du lycée [Meat Doll]

Réponse 6 jeudi 02 février 2012, 22:40:21

Les coups ne tardèrent pas à affluer. Après le premier, les autres lycéens y allèrent de bon cœur, et Mélinda les observait en souriant, amusée. Ils se battaient presque pour pouvoir tirer le premier, et les coups faisaient mouche la plupart du temps. Bras croisés, la vampire observait la scène, tout en remarquant que l’un de ces larbins avait sorti une espèce de caméra, la tenant à une main, filmant la scène. Elle fut brièvement tentée de le stopper, puis haussa les épaules. La Terre était un monde vivant perpétuellement dans l’image et le film, un monde où les Terriens adoraient filmer leur actes, et parler de ce qu’ils faisaient. Au moins il y aurait un film plus intéressant à voir sur YouTube que des gens filmant leurs chats. Elle pouvait déjà imaginer la playlist, en dix chapitres, et sortit de ses pensées en entendant quelque chose claquer. Elle reporta son attention sur la séance de tir aux buts, et vit que le ballon avait heurté la transversale, parvenant toutefois à atteindre Meat à la main. Ils tiraient avec conviction, utilisant les ballons d’entraînement, mais, malheureusement, quelques-uns, trop excités, échouèrent. L’un tira à plusieurs mètres, le ballon heurtant le poteau. Un autre réussit à faire un poteau rentrant, la balle rebondissant sur la surface interne du poteau pour frapper l’esclave dans les cotes.

En définitive, sur les 22 joueurs, seuls 3 avaient échoué. Les derniers avaient eu l’idée de se concentrer sur son bas ventre, et un sourire amusé avait éclairé les lèvres de la vampire. Comme quoi, il ne fallait pas sous-estimer la propension de l’humanité à la cruauté, et à l’idée de faire souffrir les autres. Les joues écarlates, la chienne se mit à uriner, et on vit de petits traits traverser ses jambes, donnant de nouvelles idées à Mélinda. Elle n’allait néanmoins pas les expérimenter tout de suite. Il fallait laisser les footballeurs s’amuser un peu. Elle les laissa faire, les laissa la détacher, la tirer par les cheveux, la traînant dans les vestiaires, les suivant. A l’entrée, elle se tourna vers ses larbins.

« Veillez à ce que les trois qui ont échoué ne viennent pas nous importuner. Toi, fit-elle en désignant celui qui filmait, tu continues à filmer. »

Les laquais de Mélinda obtempérèrent, et restèrent à l’extrémité des vestiaires. Après qu’ils eurent rossé un peu le premier des trois perdants, les deux autres décidèrent de rester dehors, ne pouvant qu’entendre les cris et les rires amusés des sportifs. Mélinda, de son côté, se mit dans un coin, afin de ne pas être éclaboussée, tandis que les sportifs se concentraient autour de l’esclave. Elle fit apparaître une espèce de gode en forme de savon, qu’on lui glissa dans les fesses, avant de lui ordonner de péter. Un soupir traversa les lèvres de Mélinda.

*Des animaux…*

A plusieurs reprises, elle fit péter des espèces de bulles de savons, amusant beaucoup la masse qui grognait autour d’elle, puis ils décidèrent de passer aux choses sérieuses. On la massait avec du savon, on répandait du shampooing sur ses cheveux, en profitant pour caresser avidement sa belle chevelure, et les sexes tendus laissèrent place aux mains. Ils étaient finalement tous nus, et la sueur montait en même temps que l’eau. La bouche de son esclave se retrouva occupée bien des fois, tandis que ses mains se promenaient sur les membres des footballeurs. On s’attaqua à son bassin, on souleva ses jambes pour se branler sur ses pieds, on frotta ses cheveux, jouissant dedans, et Mélinda regardait le spectacle, souriante, heureuse. Une véritable tournante. Le sperme se mit à couler sur le sol, tandis que les insultes et autres cris fusaient de part et d’autre.

« Han, tu aimes ça, ma salope, hein ?!
 -  Frappe-là bien, ouais, vas-y, ma cocotte ! Je sens que tu aimes ça ! »

La séance se poursuivit pendant un certain temps, et Mélinda vit les yeux de la femme se fermer, alors que le sperme glissait sur son corps, mais cela n’arrêta nullement les hommes. Ils la secouaient tellement que ses mains remuaient presque toutes seules, et, même quand elles cessèrent de serrer les membres pour continuer les masturber, les footballeurs utilisèrent leurs mains pour jouir. Mélinda les laissa faire, sans chercher à aucun moment à les stopper, et elle incita même quelqu’un à continuer quand ce dernier, après avoir joui, tenta de retourner dans les vestiaires. La vingtaine d’hommes la baisèrent solidement, et l’esclave finit finalement au sol, les hommes fermant un cercle autour d’elle, se masturbant sur son corps. Les giclées de sperme l’éclaboussèrent ici et là pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que les footballeurs se sentent un peu plus calmes.

« Ça, c’est ce qui s’appelle remonter le moral des troupes…
 -  J’crois qu’on y a été un peu trop forts, les mecs, lança un autre. On l’a tué sous nos virilités ! »

Meat n’était pas morte, bien sûr, mais semblait dans un état assez vaseux. L’eau continuait à couler sur son corps, la nettoyant. Les footballeurs commencèrent à se retirer, et Mélinda les laissa passer. Elle rappela ses laquais, et ordonna qu’on glisse sa chienne dans une serviette, afin de l’essuyer et de la nettoyer. Quand elle fut plus ou moins propre, son collier lui fut remis autour du cou, et Mélinda la tira à nouveau. Épuisés, les sportifs regardèrent les deux femmes passer, donnant parfois quelques tapes amicales aux fesses de la chienne en souriant.

« Oubliez pas de nous envoyer le film !
 -  Je compte bien le diffuser sur toutes les boîtes mail du lycée, répliqua Mélinda. Que chacun sache que ce jour est décrété en mémoire des joies lycéennes. Et tout ça, ma petite chienne, c’est grâce à toi ! »

Elles sortirent des vestiaires, et Mélinda se tourna vers l’un de ses larbins.

« Où sont les pom-pom girls ?
 -  Elles répètent dans le gymnase, expliqua l’un de ses laquais.
 -  Je suis sûre que ma petite chienne a très envie d’aller les voir, et je suis sûre qu’elles auront très envie de voir que leurs footballeurs chéris se sont défoulés sur toi, plutôt que sur elles. Allez, on y va ! »

Sous ce ton autoritaire, ses hommes obéirent, et marchèrent. On conduisit ainsi Mélinda et sa chienne dans l’un des gymnases. A l’intérieur, au centre, on pouvait effectivement entendre les pom-pom girls chanter et se trémousser dans une chorégraphie attirante. Elles portaient de courtes tenues bleues et blanches avec des bottes blanches.

« Go ! Go ! Seikusu, go ! go ! »

Mélinda s’approcha, et éteignit la musique rythmée qui vibrait à côté. Les regards se tournèrent vers elles.

« Qu’est-ce que vous faites ?
 -  Oh non, pas encore Miss Warren… Il faut toujours qu’elle fasse chier son monde, putain ! »

Mélinda ne tarda pas à parler, désignant sa petite chienne.

« Je tenais à interrompre vos entraînements pour vous présenter cette petite garce, qui a fait ce que vous rêvez toutes de faire, mes chéries : forniquer avec tous ces beaux mâles en chaleur pour qui vous vous trémoussez à chaque compétition. »

Il y eut des soupirs et des cris, des hésitations, et Mélinda leur montra la vidéo filmée par son larbin. Il y eut des cris horrifiés, des regards mauvais, des froncements de sourcils vers cette femme, alors qu’on entendait les hommes crier et jouir.

« Petite salope… s’exclama une pom pom girl en envoyant son pied la frapper au ventre. Tu aimes bien prendre nos mecs, hein ?! Espèce de grosse truie, comment as-tu OSÉ faire ça à mon Bryan ?! »

Furieuse, ravalant ses larmes, la pom pom girl alla saisir un balai, et le retourna, le tenant par la manche, tandis que Mélinda se mit à parler.

« Cette femme est à vos désirs pervers, Mesdames. Elle peut faire apparaître les objets de votre choix si vous le lui demandez. Vengez donc vos humiliations sur son corps… »

Avec le balai, la pom pom girl le glissa dans l’intimité de l’esclave, tandis que d’autres l’entouraient, invectivant et frappant la femme avec leurs pieds, frustrées et furieuses, l’insultant de tous les noms. Le balai s’enfonçait douloureusement dans son intimité

DC d’Alice Korvander.

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