[FINI] Vampire, vous avez dit vampire ? [Iruka Seishi]

(J’croyais que tu m’avais déjà retiré ma culotte x) J’ai du halluciner !)

La jeune Princesse vit et fit plusieurs choses assez inédites pour elle. Elle vit pour commencer le vampire se mettre à rougir, ce qui la fit légèrement sourire. Un vampire faisant preuve de timidité, c’était assez surprenant, non ? Dans les livres, les vampires étaient tout, sauf timides. Ils étaient mystérieux, ils étaient séducteurs, ils étaient ténébreux, ils étaient cruels, ils étaient sauvages, mais timides ? L’image la surprit pendant un petit chapelet de secondes, lui rappelant combien les apparences pouvaient être trompeuses. Elle n’eut toutefois pas l’occasion de se pencher longuement dessus, car le vampire l’incita à le masturber avec sa main.

Sur le coup, Alice eut peur de lui faire mal, mais, à entendre les soupirs du vampire alors qu’elle emprisonnait sa verge et glissait ses doigts dessus, il n’avait pas spécialement l’impression de souffrir… Curieux ! Elle savait qu’un sexe d’homme, c’était une chose très sensible, et ça avait d’ailleurs été sa première leçon d’autodéfense de la part de ses instructeurs. Quand un homme cherche à l’attaquer, viser en priorité l’entre-jambes ; succès assuré ! Elle commença à remuer un peu plus rapidement sa main. Le sexe d’Iruka étant assez humide, elle se glissait dessus, et elle finit par trouver un malin plaisir à serrer ses doigts dessus en le promenant, sentant son membre réagir en conséquence, délicieusement grossir dans la paume de sa main. Elle fut interrompue de ses actes quand le vampire l’embrassa, et Alice en soupira de surprise, répondant assez maladroitement à son baiser, ses joues devenant légèrement écarlates.

*Huf ! songea-t-elle. C’est fatigant, de remuer ainsi le bras !*

Sentant probablement sa fatigue passagère, Iruka s’écarta d’elle, et la poussa, l’envoyant atterrir au milieu du lit.  Iruka se mit à quatre pattes, et elle sentit un frisson la parcourir, esquissant un sourire devant ce ‘‘prédateur’’ qui marchait vers elle, ne pouvant s’empêcher de jouer le jeu.

« Oh oui, soupira-t-elle, viens donc me chercher, ta petite proie t’attend… »

Il glissa sa tête entre ses jambes, attrapant sa culotte, et elle en gémit, le sentant tirer dessus. Sa tête se retrouva ainsi à hauteur de ses pieds, et il décida de satisfaire les fantasmes de puissance de la Princesse, les léchant tendrement. De petits frissons de plaisirs parcoururent le corps de la Princesse, qui, à vrai dire, aimait bien qu’on s’occupe de ses pieds. Elle sentit la langue du vampire se promener sur cette partie de son anatomie, la chatouillant, lui donnant envie de sourire, mais lui procurant également des bouffées de chaleur et de plaisir. Sa langue se faufilait dans les petites ouvertures entre chacun de ses doigts, et elle se permit un long soupir de soulagement, s’étalant sur son lit, avant de sentir sa langue se promener le long de sa jambe, la faisant frissonner.

« Han ! » lâcha-t-elle brusquement.

Il lui annonça que l’heure était venue de s’unir, et elle ne pouvait qu’être d’accord. Iruka posa ses mains sur ses épaules, et elle le regarda, son cœur bondissant en elle, avant de le sentir poser ses lèvres sur ses seins, déposant de délicieux baisers sur son téton, qui la firent frémir. Il souleva un peu ses seins, avant de les relâcher, la laissant branlante et heureuse. Son membre frottait contre son intimité, et elle se mordilla les lèvres. Par l’Enfer et tous les dragons dorés, mais qu’attendait-il donc pour la prendre ? Ne voyait-il pas dans quel état la jeune Princesse se trouvait ? Elle fut tentée de l’inciter à ne pas y aller par quatre chemins. Le trou était là, en face de lui, bon sang ! Qu’il vienne donc la prendre, elle n’attendait que ça ! Iruka lui expliqua alors qu’il attendait qu’elle vienne, et elle se demanda comment est-ce qu’il voulait qu’elle fasse ça. C’est lui qui avait le membre qui poussait !

Dans l’esprit d’Alice, l’idée d’utiliser ses jambes s’empara d’elle, presque sans qu’elle eut besoin d’y penser. Plusieurs secondes passèrent, le temps qu’elle interprète et comprenne l’idée, puis elle posa une main sur la nuque du vampire, s’appuyant dessus, une lueur de malice brillant dans ses yeux.

« Je n’aurais jamais pensé à me faire pénétrer ainsi, mais, puisque tu y tiens… »

Utilisant ses jambes, elle les redressa, et les enroula autour du bassin de l’homme, et utilisa ses mains et ses dernières pour pousser dessus, plaquant le corps de l’homme contre elle. Elle y alla de toutes ses forces, et son sexe se faufila en une ou deux secondes dans son intimité, filant dans les profondeurs. Le résultat ne se fit naturellement pas attendre, et un cri violent s’échappa des lèvres de la Princesse, qui bascula la tête en arrière sous cet impact.

« Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahh !!! » rugit-elle.

Sentir ce membre en elle était quelque chose de terriblement délicieux, et elle remua son bassin, l’enfonçant dans le lit.

« Allez, allez, Iruka, remue-toi ! Je veux le sentir bouger en moi ! »

Dans toute la vie d’Alice, c’était sa seconde pénétration, et elle lui semblait encore plus délicieuse que la première. Son corps avait bouillonné d’impatience en attendant ce moment libératoire.

Le plaisir faisait son pleins. Je me sentais désireux, je voulais le corps de la demoiselle rien que pour moi. Lui faire voir le septième ciel était une chose importante désormais. J'allais lui montrer ce qu'un être de la nuit savait faire. Je ne savais trop par quoi commencer alors nous cessions les préliminaires pour passer aux choses sérieuses. Lui donnant idée pour se faire pénétrer. Je me positionnais juste comme il faut pour qu'elle fasse cela rapidement. Je me souvenais de ma première fois, il y a de ça, des millènaires, c'était flou d'ailleurs. La demoiselle est morte depuis mais bon... Je revoyais en elle son portrait... Une douceur dans l'âme..
Une main se posa derrière ma nuque, ses jambes s'enroulant autour de mon bassin, j'aimais la position actuelle et lui faisais comprendre par un gémissement plus un lèchement de mes lèvres via ma langue. Elle tira un peu sur moi pour alors me faire rentrer en elle, là un cri se faisant entendre. Un cri de plaisir, de bonheur, je souriais doucement à la demoiselle puis alors ouvris les yeux pour la voir toute haletante, excité.

« Allez, allez, Iruka, remue-toi ! Je veux le sentir bouger en moi ! »

Le fait qu'elle me tutoie me rendais heureux, je lui souris pour alors lécher son cou et joindre une de mes mains à une des siennes et lui dire.

«  Votre intérieur est tout simplement royal.. J'ai l'impression que vos parois même me donnent droit à des caresses, il fait une chaleur étouffante et bouger ne fera qu'empirer les choses, mais j'ai tellement envie dites moi... Désirez vous que je jouisse plus tard en vous... ou sur vous ? Que nous ne nous intérrompions pas plus tard... Puis aussi... Combien de fois désiriez vous le faire ? »

Je commença donc à faire de légers vas et viens pour attiser sa soif de plaisir. Mon membre était compressé par sa paroie intime, je sentais la chaleur m'envahir, j'étais au paradis en elle. Je soufflais doucement pour ne pas perdre mon rythme puis alors cageola sa jambe droite pour sourire tout en ne me stoppant pas. J'aimais tout ça d'elle, je lui offrais la plus douce des attentions, y allant avec panache, sans me retenir.

«  AH....Votre corps m'aspire... J'ai l'impression que votre intimité m'aspire et ne veux plus que je sorte... »

Je continuais inlassablement, m'enfonçant de plus en plus en elle, ma respiration se faisant forte. Je me posta proche de son cou pour embrasser celui-ci, mes dents grattant sa peau... Sûrement une douce envie de morsure...

Oui, cet homme devait être une espèce de moine conçue pour faire preuve d’un calme imperturbable. Alors qu’Alice était littéralement en feu, lui se mit à lui parler, lui demandant si elle voulait qu’il jouisse en elle, ou hors d’elle, et combien de fois elle voulait qu’il le fasse. Diantre ! Était-elle vraiment en état de répondre à une question pareille ? Il devait sûrement avoir une longue expérience, pour être à ce point capable de se contrôler, mais ce n’était pas le cas d’Alice, qui était entièrement soumise à son plaisir. Il la pénétrait, et sa raison s’était envolée, laissant place à un torrent ardent, une espèce de lame de fond qui avait fait voler en éclat ses réserves et sa raison. Impossible de réfléchir, de penser, de dire quoi que ce soit.

Il la pénétrait, mais y allait avec douceur, comme s’il avait peur de lui faire mal, avouant que sa beauté l’inspirait. Qu’il se remue, alors ! Impatiente, Alice se mordilla les lèvres, soupirant. Comme c’était bon ! Oh, par tous les dragons, si c’était bon, là, de sentir ce membre dur en elle, s’enfoncer en elle, explorant son intimité. Elle mouillait abondamment, à chacun des mouvements du membre tendu du vampire, et lui griffait le dos et la nuque sans vraiment s’en rendre compte, appuyant dessus.

« Ohhh !  Haaaan, hmmmmmm… Oh oui, oui, allez, allez, plus fort, plus profond, oui, oui, là, aaaaaahhhh !! »

Alice se répandait en délicieux cris de plaisir, exprimant tout son bonheur, tout son plaisir, utilisant ses jambes pour que le vampire se remue, s’enfonce en elle, l’explore dans toutes les profondeurs de son corps. Alice bouillonnait, une véritable chaudière, alors qu’il faisait nuit, que le froid s’était insinué dans ses quartiers. Paradoxalement, elle n’avait jamais eu aussi chaud, et essaya tant bien que mal de lui répondre.

« Bai… Baisez-moi, putain ! Joui… Haaaaaaaaaaaannnnn ! Jouissez partout, partout, partout, partout, répéta-t-elle, sans avoir la force de dire autre chose. Partout, partout, oh oui partout, partout, hummmmmm… »

Elle continuait à se serrer contre lui, son corps rythmant contre le sien, en cadence. Qu’est-ce que c’était bon ! Comment avait-elle fait pour passer des années dans l’ignorance la plus complète d’un tel plaisir ? C’était à peine concevable, tant c’était bon ! Elle le sentait s’enfoncer en elle, se glisser dans les profondeurs de son trou de plaisir, sentant vaguement ses dents se frotter contre son cou. Voulait-il la mordre ? Au risque de la mettre dans un état léthargique ? Malheureusement, la Princesse n’était pas vraiment en état de refuser quoi que ce soit, tant elle était heureuse, tant elle se sentait transportée au loin.

Plaisir de la chaire, je me sentais bien en sa présénescence, son corps unis au miens. Je n arrivais plus a penser normalement mon esprit étant ailleurs. Je donnais des coups de reins avec plaisir et joie. Je m'enfonçais dans son être, ses parois souvrant et se compressant contre mon membre dur comme fer. Mon souffle glace se percutant contre sa peau dénudé. Je soupirais lui montrant mon plaisir et la satisfaction. Mon regard sur sa nuque, j'en désirais plus. Gémissant, je posa mes mains sur ses atouts pour les malaxer, n'hésitant pas a presser ceux ci. Je ne disais rien me laissant emporter par cette douceur. Je lui dit doucement suite a tout ses cris et autorisation. 

" Je vais.... Vous rendre légère.... Je vais vous remplir comme jamais.... Nous allons aller au septième ciel... Ensemble..... Et demain nous nous réveillerons.... Ensemble..... "  

Je voulais juste lui dire que je veillerais sur elle. Sans rien dire je donna de plus grands coups de bassin, mon pénis s'enfonçant de plus en plus jusqu'à aller taper contre son utérus. Je soupira pour alors mordre sa chaire. Buvant très légèrement, je faisais ça essentiellement pour que la morsure soit pure plaisir. Je léchais la plaie pour lui dire.

" Hum.... Il y a un moyen de.... Éviter la fatigue et la mort... Mais.... C'est a la base interdit.... Mais pour vous je veux bien tenter.... Dites moi.... Accepteriez vous de devenir un vampire.... Pendant 24h.... ? "

Je lui faisais part de ceci désirent voir sa réaction. Je voulais quelle devienne comme moi pour voir ce sur ça fait...

Elle ne prit pas vraiment conscience qu’Iruka était en train de la mordiller, pensant juste qu’il l’embrassait. A dire vrai, Alice était plutôt absorbée par la pénétration du vampire pour songer à autre chose. Le lit remuait délicieusement sous leurs mouvements, sous l’impulsion des coups de rein du vampire, et c’était une sensation délectable, ô combien délectable ! Alice se régalait follement du plaisir vif et ardent qu’elle ressentait, ce qui, naturellement, se ressentait dans ses cris haut perchés. Les cris devaient aisément se faire entendre dans les autres pièces, mais personne ne venait les déranger. Au Château Royal, il y avait toujours quelqu’un pour surveiller la Princesse. Elle l’avait compris à chaque fois qu’elle avait essayé de se cacher, jeune, dans des endroits improbables, en étant toujours, tôt ou tard, retrouvée par un garde ou un servant.

Le vampire continuait ses mouvements, gagnant de l’amplitude à chaque fois, et la Princesse laissait faire, n’ayant guère la force d’opposer la moindre réaction. Il lui murmura alors une proposition à l’oreille, et, malgré le fort état d’excitation de la Princesse, elle sentit un frisson, mais qui n’était pas de plaisir, la parcourir instantanément. Ne disait-on pas dans les livres que les vampires étaient de fins séducteurs ? Faire d’elle une vampire ? Un monstre de nuit ? Altérer son sang précieux, le sang des Korvander ? Erwan lui-même n’avait cessé de mettre en garde contre toute maladie sanguine, toute altération du code génétique si particulier de ses descendants, de manière à ne pas perdre cette qualité intrinsèque que le dragon d’Or reconnaissait constamment. La panique s’empara d’Alice, qui essaya de se contrôler. Le vampire était sûrement excité pour proposer quelque chose d’aussi impensable et d’aussi dangereux, et Alice décida de réagir.

« Vous… Han… Ne… Ne racontez pas n’importe quoi… »

Elle inversa alors les rôles, bien décidée à mettre du large entre le vampire et son cou, tout en sachant que, pour devenir vampire, elle devait nécessairement boire le sang du vampire, ce qu’elle ne comptait nullement faire. Lõara, sa fidèle servante, avait-elle donc à ce point raison quand elle affirmait que les hommes cherchaient toujours à obtenir d’elle plus que de raison en la déstabilisant ? Il fallait le croire. Alice se retourna donc, se dressant au-dessus du vampire, et s’empala sur son membre, avant de poser un doigt sur les lèvres du vampire, des mèches de cheveux en sueur glissant le long de son visage, qu’elle balaya d’un mouvement d’épaules.

« Vous… Vous savez ce qu’on dit sur la gourmandise, hum… Con… Contentez-vous de me baiser, Iruka, c’est tout ce que je veux ! »

Elle remua alors rapidement, s’empalant sur son membre, le sentant glisser dans son trou, sa mouille glissant le long de ce dernier.

Le plaisir atteignait des sommets. Elle et moi nous n'étions plus qu'une personne. Unit par nos membre. Le mien ayant pénétré dans le sien, telle est la logique de ce monde. Je soupirais d'aise sentant la chaleur de son corps entourer et compresser mon pénis. Chaques mouvements de ma part devenait un vrai casse tête, mais au fond qui procurait tant de bien. Je soufflais quelques paroles celle-ci me répondant d'un air non pas indigné, mais l'air qu'elle devait absolument répondre. Elle me disait que cela étais des bêtises, puis alors profita de l'action pour monter sur mon corps, faisant basculer le sien dans l'autre sens; ma personne devenant le soumis...
Je fixais son regard entendant ses paroles qui me dirent en gros de me taire, sans rien dire, je continuais de gémir pour me laisser aller. Mon corps se mettant à suer comme le sien, dégageant une odeur qui malgré tout n'était pas désagréable, rendant nos peaux brillantes, mais surtout très glissantes.

«  Le sang des vampires agit comme un virus... Il s'infiltre puis corrompt les autres cellules, les rendant vampiriques si on peut dire...AH... Mais cela, c'est uniquement lors de grosses transfusions de sang... A petite dose, il permet de soigner des blessures, par contre, à une dose précise, le sang transforme le vôtre en celui d'un vampire, pour vous donner tous ses attributs... Vous devenez vampire de manière temporaire, votre sang actuel n'étant nullement effacé... Seulement changé... Mais une fois le temps écoulé, vous retrouvez votre sang, pur, comme avant la transfusion... C'est un moyen souvent utilisés pour sauver des vies importantes, d'où l'interdiction... Mais bon... Comme vous voulez, ce n'étais que pour vous faire ressentir ce que l'on ressent quand on est vampire...  »

Je lui suçotais le cou tendrement, lui offrant un autre suçon, passant ma langue sur sa peau humide, continuant à donner de grands coups de reins pour l'aider. J'aimais cette sensation de joie, de chaleur intense. Si ça ne tenait qu'à moi, j'aurais voulu être humain uniquement pour pouvoir ressentir ça plus souvent...
Je lui soufflais doucement dessus puis alors embrassa ses seins lui offrant mille et une attention. J'adorais ça. Ses atouts étant vraiment bon à mon goût.

«  Vous êtes vraiment sublime... Jamais je n'avais goûté tel plaisir. Pourrais-je un jour revenir dans votre royaume pour vous passer le bonsoir ? Ou bien, après ceci, serions nous de parfaits inconnus, amants d'un soir ? Quoi qu'il arrive... J'aurais toujours votre odeur sur ma peau... Car vous êtes une femme de choix... Au sang délicieux...ainsi qu'à la jouissance d'ailleurs... »

Par la suite, je repris possession de ses lèvres pour doucement parcourir son dos de mes mains froides voulant la faire frissonner. Sans rien dire; je continuais ainsi, désirant la faire devenir folle

Comme elle se sentait bien, assise sur lui ! Elle entendait le lit rebondir au fur et à mesure qu’elle dansait sur lui, y éprouvant un plaisir immense, loin d’être feint ou simulé. Ses longs cheveux blonds remuaient dans tous les sens, et, quand la main du vampire se posait sur sa poitrine, elle la serrait tendrement, continuant à hurler et à gémir en sentant le membre tendu du vampire s’enfoncer dans sa chair.

« Aaaaaaaaaaaaah !!!! Oh, Iruka, haaaaaa !!! »

Il continuait à parler, visiblement imperturbable, mais c’en était bien trop pour Alice, qui était dans un autre monde. En transe, elle dansait autour de ce membre tendu et énorme, mouillant comme jamais. La seconde pénétration de sa vie… Quelle joie immense ! Elle écoutait le vampire, entendait ses angoisses, mais était totalement incapable de lui répondre. Elle se contentait de se laisser faire, et ne tarda pas à s’abandonner au plaisir. Dans un ultime cri, Alice obtint un nouvel orgasme, sentant sa mouille exploser autour du membre d’Iruka, glissant sur son corps, filant sur le ventre et les draps, mais cela ne l’arrêta pas pour autant, et elle continua à remuer sur lui, avant de glisser ses mains pour attraper les cheveux d’Iruka.

Venant de jouir, elle était un peu plus lucide, et plaqua son visage entre ses seins, lui arrachant des soupirs de plaisir. La Princesse consentit enfin à répondre à sa question, sentant entre ses doigts les cheveux trempés du vampire.

« Hummm… Le plaisir, Iruka… Vous revoir… Ce sera toujours un… Haaaaannn… Un plaisir, oui, mais, mais… La prochaine fois, évitez de… Évitez de passer par la fenêtre ! »

Elle continua à se laisser prendre par lui, le rejetant sur le lit, et alla se presser contre son corps, l’embrassant tendrement, avant de se redresser, continuant à s’empaler. Électrisée, la Princesse avait bien du mal à sentir la fatigue venir, alors que sa cyprine continuait à affluer, et que ses cris devaient résonner dans tous ses quartiers.

Alice le regarda en souriant, caressant sa joue.

« Bel Iruka… Je… Haaaaannn ! Je crois que vous avez… Que vous avez pour de bon changé ma, ma, ma… Ma conception des vampiiiiiIIIIiiiires ! »

Elle soupira à nouveau, se sentant venir une nouvelle fois. Elle glissa des mèches de cheveux derrière son corps, et, progressivement, son corps commença à se détendre, à cesser de remuer. Sa poitrine se soulevait lourdement, et elle regarda le vampire en souriant, posant ses mains à plat sur son torse.

« Vous êtes quelqu’un de délicieux, Iruka… »

Le plaisir était incroyable, le lit tremblait à chaque montées descendus de la demoiselle, elle sautillait de nombreuses fois. Je sentais mon membre tendu comme une barre de faire écarter sa chaire interne à chaque coups. L'impression était que tout le temps, j'ouvrais son intimité comme si c'était sa première fois. Un plaisir infini je dois admettre. Je laissais les grincements du lit se faire, moi me concentrant sur la demoiselle en elle même. Son corps était divin, sa peau douce comme une peau de bébé, un parfum envoutant, son sang s'ajoutant à celui-ci, un vrai délice pour mes narines. Mes sens étaient tous en éveil et vint le moment où... La demoiselle se laissa jouir, mon membre se retrouvant noyé dans ce flot divin. Sans rien dire, je la laissa faire, celle-ci caressant mes cheveux avec tendresse tout en me répondant clairement.
Par la suite, elle continua de gémir et remuer jusqu'à finalement atteindre une belle et seconde éjaculation, décidément, l'instant était magique, sa cyprine coulait à flot, sans s'arrêter une seule seconde. Mon ventre ressentait cette chaleur, je sentais le liquide se rependre sur moi. Sans rien dire, alors que la demoiselle semblait en avoir assez, je la fit basculer sur le côté me remettant sur le dessus en missionnaire.
Mes mouvements furent bref, je sentais ma jouissance venir à grands pas, alors je ne me fit pas prier, accélérant au maximum. Par la suite je lui dit à l'oreille d'une voix suave.

«  Obtenez mon être... Ma jouissance et soyez réchauffé par cela... Prenez tout, sans en perdre une goutte... »

Suite à ces mots, je me mis à la pénétrer si fort, que mon gland cogna violemment contre son utérus. Je m'enfonçais en elle le plus profondément possible pour la sentir mais lui faire sentir cela. Ce fluide brûlant qui se déversait en elle. Son tunnel de plaisir devait bientôt en être imbibé, mais pour moi, pas suffisamment. Je me retira doucement pour alors sourire et lui dit.

«  Tenez... »

Devant elle, à genoux, ma respiration haletante, je posa ma main sur mon membre et le branla rapidement pour lui donner droit à une deuxième jouissance. Je la fixais dans les yeux, par moment, je m'abaissais pour l'embrasser tendrement, puis alors je me plaça bien sur son ventre, montrant l'objet prêt à rejouir une seconde fois. Par la suite, je relâcha un cri grave de plaisir, celui-ci accompagné d'un jet puissant. Ce jet de sperme éclaboussa son buste, s'étalant sur ses seins mais aussi son visage. Je repris doucement mon souffle pour sourire satisfais de moi. Je lui dit alors doucement.

«  Vous aussi vous êtes délicieuse... Vous resterez dans mon esprit à jamais et un jour je reviendrais vous rendre visite soyez en sûr...  Impossible de ne pas résister à une demoiselle si alléchante que vous.... Princesse... »

Je la pris dans mes bras l'embrassant doucement pour alors attendre de voir si on dormais ou si nous allions continuer.

Le sexe d’Iruka était d’une dureté à toute épreuve, se faufilant en elle avec fureur. Les rôles s’inversèrent une nouvelle fois, Alice se retrouvant sous le corps du vampire, son corps se balançant en rythme, au fur et à mesure que le vampire la prenait, s’enfonçant violemment et loin en elle. De véritables coups de butoir qui lui meurtrissaient les reins. D’exquises sensations de plaisir remontaient le long du corps de la Princesse, qui poussait des soupirs et des gémissements. Le plaisir l’écrasait comme un immense poing, et elle était entièrement soumise à l’homme, lui griffant parfois le dos en s’appuyant dessus, le sentant danser en elle, son membre glissant le long de son intimité, la mettant dans un indescriptible état de plaisir.

Iruka s’enfonça loin en elle, et elle poussa un cri, qui fut coupé, l’air lui manquant. Elle le sentit jouir en elle, se relâchant d’un coup. Pendant quelques secondes, elle avait senti dans le corps d’Iruka une immense tension, alors qu’elle avait ses mains sur son dos couvert de sueur, avant qu’il ne se relâche. Assez rapidement, le vampire se redressa, et se masturba énergiquement, son sperme et la cyprine d’Alice s’écoulant de son intimité meurtrie. Faiblement, elle se redressa, et ferma les yeux en sentant des taches l’éclabousser. Le sperme chaud et collant d’Iruka heurta son corps, dessinant une espèce de curieuse ligne le long de son ventre, atteignant ses lèvres, passant par le creux de ses seins, et filant le long de son estomac. Une sorte de signature… Alice caressa machinalement l’une de ses seins, regardant du bout des doigts, absente, le sperme blanc. Elle l’approcha de ses lèvres, curieuse, lorsqu’Iruka lui parla, et elle le regarda.

« Vous aussi vous êtes délicieuse... Vous resterez dans mon esprit à jamais et un jour je reviendrais vous rendre visite soyez en sûr...  Impossible de ne pas résister à une demoiselle si alléchante que vous.... Princesse... »

Elle lui sourit délicatement. Un sourire satisfait, alors qu’il la serrait lui. Elle caressa lentement le dos du vampire, pendant de nombreuses minutes, reprenant son souffle. Avec Gauvain, elle avait été jusqu’à la sodomie, mais elle hésitait à poursuivre jusque là. C’était une zone assez sensible de son anatomie, après tout, et, la dernière fois, elle avait bien mis une ou deux semaines avant de ne plus avoir définitivement mal à son postérieur.

« Tu seras toujours le bienvenu, Iruka, sois-en certain », répondit Alice en l’embrassant tendrement.

La Princesse sentit toute son énergie l’abandonner, ne laissant plus qu’une forte chaleur s’insinuer dans son corps. Elle respirait lourdement, et embrassa Iruka sur la joue, caressant son torse.

« Faire l’amour avec un vampire, c’est très excitant, avoua-t-elle, mais mon pauvre corps est à bout… »

Elle lui sourit confusément, et se laissa glisser sur les couvertures, commençant à les tirer. La nuit, il faisait extrêmement froid dans le royaume, et Alice avait pris l’habitude de toujours dormir sous les couvertures, même si son corps, pour le moment, bouillonnait. Elle regarda Iruka, le sperme de l’homme continuant à orner son corps, glissant le long de son corps.

« Tu peux dormir avec moi, ne t’en fais pas… On ne te fera rien », l’assura-t-elle en souriant.

Sur ces mots, Alice alla se faufiler dans les couvertures, sentant la fraîcheur de ces dernières, et ne tarda pas, au bout de plusieurs minutes, à s’endormir paisiblement.