Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'esclavage n'est pas l'apanage des terranides ... [Hiro]

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Hermès / Agnès

L'Olympe semblait bien calme, ce soir... Les divinités helléniques avaient presque toutes quittés leurs quartiers, batifolant à leur gré. Zeus, fidèle à lui même, était dans les lits d'une de ses amantes d'un soir. Héra, épouse de Zeus et reine des autres dieux, avait de nouveau fugué sur Terre, fuyant .. à vrai dire je ne sais pas ce qu'elle fuyait, je n'ai jamais vraiment compris cette déesse. Arès, quand à lui, se trouvait dans l'un de ses temples, sans doute à dresser une nouvelle de ses prêtresses. L'Olympe paraissait bien vide, sans eux... Me sentant un peu seule, et n'ayant plus grand chose qui me retenait là, je me décidais à prendre un petit moment pour prendre l'air. Direction : les rues de Terra.

La nuit était fraiche, mais pas assez pour m’empêcher de porter une robe légère, aux bretelles fines et au décolleté discret. Rouge, la robe, dans les même tons de couleur que ma chevelure... Je me promenais tranquillement dans les rues, je prenais mon temps, regardais autour de moi, souriais aux gens. L'ennui pointait le bout de son nez à chacun de mes pas, mais je n'y accordais pas beaucoup d'attention. Je savais à quel point le destin pouvait être capricieux, c'était dans l'ordre des chose. Oui, je m’ennuyais un peu, même ici. Jusqu'à ce que ma route croise celle de cet homme...

De long cheveux, lisses et noirs, aussi obscure que la nuit, qu'aucun reflet ne venait éclaircir. Ils masquaient à moitié ses yeux, ces deux prunelles froides, impérieuses, qui me fixaient sans scrupules. Seuls le doux sifflements du vent se faisait entendre, mais au fond de moi j'avais l'impression qu'ils me disaient "Obéis-moi"... Lorsque je me rendis compte que je le dévisageais moi aussi, je me mis à rougir, et baissa aussitôt mon regard, gênée par ma propre audace. Nous avancions en sens inverse, et lorsque nous nous croisâmes, je sentis son épaule percuter durement la mienne, me faisant perdre l'équilibre. Je me retrouvais à quatre pattes, près de ses pieds, ma main massait mon épaule, ça me faisait un peu mal, mais j'adorais ça... Une douce chaleur envahissait mon corps, une sensation accru par ma position qui me faisait sentir soumise, c'était enivrant, et si agréable...

Je-je suis désolée... je ne vous avais pas vu... monsieur...

N'était-ce pas ma faute, si je n'avais pas fait suffisamment attention pour pouvoir l'éviter ? Je n'y pensais plus, à vrai dire, je me sentais tellement bien que j'aurais pu dire n'importe quoi... D'une main ferme et autoritaire, mes cheveux se firent agripper, et il me releva sans problème, avant de planter son regard glacial dans mes yeux bleues doux et docile. Je le laissais me dominer, et j'aimais beaucoup ça... Je l'entendis me dire qu'il allait devoir me faire payer ce que j'avais fait, mon sang se mit alors à bouillonner en moi, je sentais que j'allais passer un excellent moment en sa compagnie... Voyant que je ne lui offrais pas de résistance, il me dit qu'il voulait m'emmener chez lui, profiter de moi, et jouer à des jeux dont la seule évocation me faisait pâlir d'envie. Il me disait avec ironie que j'allais adorer, s'il savait à quel point j'étais impatiente... A en croire le sourire malsain qui étirait ses lèvres, il aimait me voir abandonner toute volonté. J'en profitais alors pour prendre un air un peu abattu, des larmes faisaient étinceler mes yeux, je me montrais aussi docile qu'un animal dressé... Cette réflexion me fit frissonner d'envie.

Oui... tout ce que vous voudrez...

D'une voix devenue tremblotante, comme brisée par l'émotion, j'ajoutai pour la forme.

Mais... s'il vous plait, ne me faite pas de mal...

Je n'en pensais pas un mot. Qu'il me domine et me brutalise, c'était ce que je désirais ardemment...
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Hiro

E.S.P.er

Re : L'esclavage n'est pas l'apanage des terranides ... [Hiro]

Réponse 1 mercredi 26 octobre 2011, 18:40:03


Arkan, un simple paysan qui avait du mal à joindre les deux bouts, comme environ 45% de la populations Nexusienne – 3 % sont plus riches que n’importe quel homme d’affaires sur Terre et le reste (52%) vivent sous le seuil de la pauvreté – avait toujours recherché à pouvoir enfin devenir plus riche, pouvoir au moins travailler sans perdre de l’argent et, comme beaucoup d’autres personnes, il se devait de faire des choses peu honorables pour pouvoir manger convenablement. Au moment où il avait vu cette femme, la voir aussi soumise, il n’avait simplement envie de la traiter comme il s’était senti traité toute sa vie, comme un moins que rien.

Arkan n’était pas le genre d’homme qui croyait à l’inégalité entre êtres vivants, il croyait en effet que personne ne devait être soumis à une autre, et voyait d’un mauvais œil le marché florissant d’esclaves à Nexus. Il croyait tellement à la liberté des hommes que, si il avait fait à cette femme ce qu’il avait eut l’intention, il lui aurait probablement donné tout son argent, comme excuse.

Une fois chez lui, il balança la femme aux cheveux rouges sur le lit, descendant ses pantalons, découvrant un bon membre qui commençait à durcir. Puis, soudain, alors qu’il regardait la jeune femme étendue sur son lit, la tête basse, l’air résignée, il eut une sombre idée… Elle devait bien rapporter un petit montant pour un esclavagiste, et comme il avait besoin de pièces d’or… Remontant ses pantalons, il lança à la jeune femme

J’ai changé d’avis, viens avec moi.

C’est pour cette raison que j’avais été réveillé par un de mes valets, en plein milieu de la nuit. Laissant le paysan poireauter à l’intérieur avant de les recevoir, je ressortis dans la cour, intérieure, laissant apparaître une verdure dans le désert qu’était cette ville, puis, au centre de tout ça, il y avait une chaise confortable, noire, d’un côté de l’endroit dont le sol était recouvert de marbre blanc. Ladite chaise regardait de l’autre côté de cette ‘’pièce’’ légèrement surélevée par rapport au reste, comme si elle dominait cet endroit.

M’installant confortablement dans ce fauteuil de roi, une jambe par-dessus l’accoudoir, je fis entrer les deux personnes.

Après quelques explications, l’homme me fit comprendre qu’il avait trouvé cette femme et, qu’après réflexion, il voulait la vendre, car il avait du mal à pouvoir se nourrir… Aucune sympathie face à cet homme, il n’était ni l’un de mes clients, ni un employé, cependant, la femme qu’il souhaitait me vendre avait toutes les qualités d’une bonne esclave.

Sans dire un mot, je lui fis signe d’approcher. Une fois près de moi, je la regardai de la tête aux pieds avant de lui faire signe, à l’aide de mon index, de tourner sur elle-même. Voilà bientôt quatre ans que j’avais pris les reines, de force, à mon paternel, et depuis encore plus longtemps que j’apprends les ficelles du métier, je connais donc la valeur d’une esclave, simplement en la regardant bouger.

Ça va, retourne vers ton maître.

Souriant en coin, je la regardai retourner, tête basse, vers l’homme qui l’avait amenée ici. Levant légèrement le menton, je plantai mes yeux de glaces dans ceux du paysan.

Combien veux-tu?

Eh bien, j’avais pensé à 40 000…

Éclatant de rire, je tapai une fois dans mes mains, laissant ma tête basculer vers l’arrière. Reprenant ma position confortable, je regardai mon interlocuteur, un petit sourire en coin, avant de lancer :

25 500, pas une seule pièce d’or de plus.

C’était beaucoup moins que ce qu’il m’avait proposé, mais ça restait que c’était plus que deux ans de travail acharné dans sa minuscule parcelle de terre, voire peut-être même trois. N’importe quel marchand m’aurait craché au visage avant de repartir avec leur bien, mais il n’était pas marchand et accepta ma proposition.

Laissant mon serviteur lui remettre une bourse, qui contenait la somme décidée, et le ramener vers l’extérieur de ma résidence, je regardai droit dans les yeux la jeune femme, ma nouvelle esclave. Je ne pouvais pas la mettre en vente sans la connaître et faire ce fichu rapport…

Quel est ton nom?


Hermès / Agnès

Re : L'esclavage n'est pas l'apanage des terranides ... [Hiro]

Réponse 2 jeudi 27 octobre 2011, 10:18:20

L'homme semblait beaucoup apprécier de me voir ainsi, soumise et terrifiée, il se lécha même ouvertement les lèvres devant moi. Je fus ensuite tirée de force, jusqu'à son appartement, un petit taudis miteux, avec un lit bon marché sur lequel il me jeta sans ménagement. Comme un simple jouet avec lequel il allait s'amuser, et ça m'excitais follement de me faire traiter comme tel... Il dégaina alors sa virilité sous mes yeux, avide de m'utiliser pour soulager ses désirs, mon excitation grimpa encore d'un cran. Ho oui, je ferais tout pour le soulager... Alors que je m’apprêtais à m'emparer de son membre durci d'excitation, à lui offrir les sensations qu'il désirait, mon ravisseur le rangea soudainement, apparemment troublé par ses pensées. Ce que ça pouvait être frustrant...

Il me prit de force, et m'emmena dehors, il avait apparemment de meilleurs projets pour moi. Oh, vraiment ? J'avais hâte de le découvrir, ça me donnait sacrement envie... Je me sentais frustrée que l'on n'ai pas pu continué nos petits jeux, dans l'intimité de sa chambre, mais qu'importe, les désirs de cet homme passait avant les miens. Je me demandais bien où est-ce qu'il comptait m'emmener, et ce qu'il comptait faire de moi...

Je fut amener à une grande maison, d'apparence très luxueuse, et nous fumes accueilli par des gardes à l'entrée. Qu'est ce que c'était que cet endroit ? Si c'était aussi surveillé, c'était surement que quelqu'un de dangereux ou de recherché y vivait. Ce genre d'homme avaient généralement des airs autoritaire, dominateur, voir tyrannique, c'était souvent des gens puissants... et j'adorais servir les gens puissants, ils avaient le don de me rendre folle...

Les vigiles nous menèrent à l’intérieur, et après une longue attente un homme en smoking bleu vint enfin nous accueillir. Je me tenais en retrait, pendant que les deux hommes discutaient, mais je pouvais tout de même entendre quelques bribes leur conversation. Le mot "esclave" était au centre de leur attention, je l’entendais à plusieurs reprises. L'homme en bleu me demanda de tourner, cherchant sans doute à me détailler un peu mieux, et je m’exécutais sans rechigner. Cette idée de me faire vendre, comme un objet qui passe de main en main, était des plus excitantes, et l'aura d'autorité qui émanait de lui n'était pas pour me calmer, au contraire...

La transaction se déroula finalement sans encombre, et l'homme qui m'avait amené ici s'en alla avec une bourse pleine d'or. Il venait de faire une sacrée affaire, tout de même, trouver une fille dans la rue et en tirer autant d'argent... J'entendis alors mon "propriétaire" s'adresser à moi.

Quel est ton nom?

Je-je m'appelle A...

Je marquais un temps de pause, hésitante. Je n'allais tout de meme pas prendre le risque de révéler mon identité à cet homme, ce serait une catastrophe s'il apprenait mon statut de déesse, une catastrophe pour moi, mon culte, et l'honneur de tout les Olympiens se ferait bafouer à la suite... Non, je ne pouvais pas lui donner mon nom véritable.

Amandine, je m'appelle Amandine ... Monsieur.

Mes yeux parcouraient l'ensemble de la pièce, appréciant du regard le luxe qui s'y trouvait, avant de me rendre compte qu'il me regardait avec intensité. Penaude, je baissais la tête, fixant timidement le sol marbré. D'une voix légèrement tremblante, où l'on pouvait percevoir l'angoisse, je lui demandais.

Que comptez-vous faire de moi ? ... Monsieur.
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Hiro

E.S.P.er

Re : L'esclavage n'est pas l'apanage des terranides ... [Hiro]

Réponse 3 vendredi 28 octobre 2011, 18:58:08


Je regardais ma nouvelle acquisition, passif, alors qu’elle me dit, non sans hésitations, comme si elle ne voulait pas que je sache, son nom. Me levant, je marchai jusqu’à elle. À peine une longueur de bras nous séparait, alors qu’elle baissait légèrement la tête, en signe de soumission. Une bonne chose que c’était, puisque je n’aurais pas à la dompter, mais je pouvais quand même m’amuser un peu avec elle. C’est à ce moment qu’elle me demanda ce que j’allais faire d’elle.

Te vendre… Mais c’est encore trop tôt. J’ai envie de m’amuser un peu avec toi auparavant.

Oui car, jusqu’à ce que quelqu’un ne vienne me l’acheter, j’en étais le propriétaire, et je me disais qu’elle pourrait être très utile pour mon confort…

On dirait bien que tu as eut une mauvaise nuit… Elle ne s’est probablement pas passé comme tu te l’imaginais, mais c’est ça Nexus, toutes les jolies filles mal protégées finissent en esclave, surtout comme jouet sexuel.

Me détournant de la jeune femme, et attrapant son bras au passage, je la forçai à me suivre dans le sous-sol du bâtiment, une pièce sans grands meubles; une petite table de bois, quelques chaises, et un fauteuil noir, reflétant toute l’horreur qui aurait pu y retrouver. Chose caractéristique de cet endroit, comme à l’entrée de mon manoir, le fauteuil était entouré, du coté droit comme du gauche, de deux statues de deux mètres de marbre noir, représentant le dieu de la mort, Charon.

Cette pièce était en fait mon terrain de jeu, où je m’amusais avec mes nouvelles proies, avant de les envoyer dans l’un ou l’autre des bâtiments qui me servaient d’entrepôt à esclaves. Allant m’asseoir dans le grand fauteuil, je regardai la jeune femme, le menton légèrement relevé et le sourire malsain aux lèvres.

Si tu ne veux pas d’ennuis, viens ici et occupes toi de moi.

Je la regardai, satisfait, s’approcher, et poser ses genoux au sol. Rien ne m’était plus jouissif que de voir une femme soumise à mes moindres caprices, la regarder avoir peur de faire une erreur, avoir peur des conséquences de celles-ci.

Bon sang, ce que j’adorais mon rôle d’esclavagiste!
 

Hermès / Agnès

Re : L'esclavage n'est pas l'apanage des terranides ... [Hiro]

Réponse 4 samedi 29 octobre 2011, 13:12:20

A l'entente de mon prénom, l'homme au long cheveux blond s'avança de moi, suffisamment proche pour que je puisse distinguer ses yeux derrière le reflet de ses lunettes. Un regard dans lequel je m'étais perdue, aussi glacial et dangereux que le blizzard... Duquel je fus tirée lorsqu'il m'annonça vouloir s'amuser avec moi, pour ensuite me vendre en tant qu'esclave. Une proposition des plus plaisantes, qui me fit sourire intérieurement. Ce sera avec grand plaisir que je m'y conformerais...

On dirait bien que tu as eut une mauvaise nuit… Elle ne s’est probablement pas passé comme tu te l’imaginais, mais c’est ça Nexus, toutes les jolies filles mal protégées finissent en esclave, surtout comme jouet sexuel.

Je laissais échapper un sanglot incontrôlé (bien évidemment simulé) comme pour donner du crédit à ses propos. Je ne connaissais pas beaucoup la vie ici, sur Terra, mais je ne doutais pas de ses paroles, le fait que cette homme m'avait vendue sans manifester la moindre hésitation en était la preuve. Je me doutais que pour beaucoup de personne, cela pouvait faire basculer leur vie dans un cauchemar sans fin... mais pas pour moi, je ne m'en plaignais pas, et je dirais même que j'adorais ça...

Je me sentis tirée de force par le bras, traînée dans des escaliers où je failli perdre l'équilibre. Il me tenait fermement le bras, sans même prendre la peine de me lancer un regard, sans même me dire un mot. Je n'étais qu'une esclave, à ses yeux... Et la manière dont il me traitait me plongeait dans une douce euphorie. Nous arrivions enfin à destination, une salle à l'atmosphère sombre et inquiétante, meublée avec le strict nécessaire. Deux grandes statues se tenait de part et d'autre d'un fauteuil, au visage qui me semblait étrangement familier... Inconsciemment, je murmurais.

Charon...

Charon ! Ils représentaient Charon, passeur du Styx et Dieu de la mort ! Prise d'une peur panique, je ne me controlais plus, mes genoux fléchirent, me retrouvant alors à genoux face au siège et aux statues. J'étais très étonnée de savoir qu'un mortel lui vouait un culte au point d'en avoir des statues... Et encore plus étonnée d'être tombée sur lui ! C'était l'un des rares dieux à me faire aussi peur, pour le comprendre il aurait fallut le côtoyer assez pour le connaître autant que moi, et... et... c'était quelque chose dont je me serais bien passée...

Si tu ne veux pas d’ennuis, viens ici et occupes toi de moi.

La voix autoritaire de mon maître me tira de mes pensées. Je n'avais même pas remarqué qu'il s'était installé sur le fauteuil. L'avais-je fait attendre ? Peut être pas, mais je ne le savais pas... Quelle sotte je faisais !

Oui, monsieur... maître... ?

Ma voix était hésitante, comme si je doutais de par quelle bout le prendre. En fait, je ne savais ni son nom, ni comment il souhaitait que je l'appelle... Mais cela ne changeait rien au fait qu'il m'avait donné un ordre. Toujours à genoux, je m'avançais lentement en sa direction, soucieuse de pleinement le satisfaire. À quatre pattes devant lui, je levais mes yeux dans sa direction, lui adressant un regard où l'on pouvait percevoir ma dévotion. J'en devenais folle, c'était tellement bon de se sentir soumise... Mes doigts se posèrent sur ses cuisses, que je frottais doucement, je montais avec malice, jusqu'à couvrir sa virilité avec la paume de main, par dessus le tissu de son pantalon. La virilité de mon nouveau maître...
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Hiro

E.S.P.er

Re : L'esclavage n'est pas l'apanage des terranides ... [Hiro]

Réponse 5 lundi 31 octobre 2011, 14:14:45


Sa réaction face aux statues ne m’avait pas échappée; elle connaissait ce Dieu, et semblait même en avoir peur… Au fond, ce n’était pas si pitoyable, étant donné que ce Dieu était celui de la mort, et donc, avoir peur de la mort est tout à fait normal, bien que certains, comme moi, ont accepté l’idée qu’ils ne pourraient vivre éternellement et donc qu’ils doivent finir par mourir. Je ne savais pas à quel point j’étais dans l’erreur, et que la femme, à genoux devant moi, était une Déesse.

Souriant en coin, alors qu’elle caressait, de ses doigts fins, mon membre au travers du tissu, je posai ma main sur sa joue, la glissant tranquillement sur celle-ci.

Tu connais bien ta mythologie terranide, très chère Amandine, content d’avoir pu trouver un esprit éveillé dans un corps aussi bien formé… Au fait, je ne suis pas Ton sieur, mais bien ton maître, appelle moi comme tel.

Fermant les yeux, je la laissai me caresser les pantalons encore quelques instants et, n’y tenant plus, je me décidai à les déboutonner, laissant sortir mon membre, qui commençais à peine à gonfler tombant mollement d’un côté comme de l’autre, dépendamment de quel côté je bougeais.

Alors qu’elle allait le prendre en main, j’attrapai son poignet  d’une main et de l’autre sa gorge. Toujours assis, je la lançai légèrement plus loin, la laissant retomber sur le sol, assise.

Non. Avant que tu commences à t’occuper de moi, montre moi que je ne me suis pas trompé en t’achetant.

Les coudes sur les accoudoirs en cuir noir rembourrés, les mains jointes devant ma bouche je regardai la jeune femme, soumise, se relever, la tête basse. Je n’avais pas l’habitude de maltraiter mes esclaves, car ça fait baisser leur prix, et donc mon profit, mais elle me plaisait bien, celle-ci, et je commençais à croire que je pourrais peut-être la garder pour moi, histoire d’avoir une esclave personnelle, qui me serait à moi, rien qu’à moi.


Hermès / Agnès

Re : L'esclavage n'est pas l'apanage des terranides ... [Hiro]

Réponse 6 mercredi 02 novembre 2011, 08:58:27

Par des gestes tendres, je pressais langoureusement la virilité de mon maitre, laissant parfois mes doigts glisser légèrement dessus, la caresser, l'effleurer. Un petit sourire en coin était venu s'afficher sur ses lèvres, et ses mains caressaient mes joues, douce, chaude, que la situation faisait légèrement rougir. Il appréciait mon traitement, et me le montrait, j'étais aux anges, je me sentais si bien... Mais je me gardais de le lui montrer, affichant une expression contrainte et quelque peu attristée, celle d'une femme soumise qui a conscience que le moindre faux pas lui attirerait des ennuis bien pire encore. Il semblait serein, et la simple idée d’éveiller son courroux me paraissait... jouissive, juste pour le voir s'emporter, qu'il ai envie de passez ses nerfs sur moi, c'était si tentant... mais non, il fallait que je me retienne, je devais éviter de trop me laisser aller. La priorité était aux désirs de mon maitre...

A genoux devant lui, positionnée entre ses jambes, j'aurais fait n'importe quoi pour lui faire plaisir... Et la légère exaspération, à peine perceptible mais bien réelle, avec laquelle il libéra son membre me tracassait un peu. M'étais-je montrée trop peu entreprenante à son gout ? N'avais-je pas assez stimulé ses sens ? Était-il mécontent de moi ? Autant de question qui ne cessèrent de m'assaillir, j'étais comme obsédée par l'idée de satisfaire au mieux mon maitre, et un éventuel échec me semblait plus cruel que n'importe quelle torture. Ma dépendance à l'asservissement entravait ma sagesse et perturbait mon jugement, ce que je remarquais avec un certain regret. C'était un état contre lequel je ne pouvais pas grand chose, dans lequel je sentais mon gout à la soumission s'emparer de ma raison, légèrement, et seul un moment de calme et de tranquillité pouvais me faire émerger.

A la vue de son membre à peine tendu, sur lequel mes caresses ne semblaient pas avoir eu un quelconque effet, je me dis que je devrais surement donner le meilleur de moi même pour espérer satisfaire mon maitre... mais il ne m'en laissa pas l'occasion. M'agrippant avec fermeté, la gorge étroitement serrée, il me projeta en arrière, sans que son regard froid et autoritaire ne cesse de me fixer. J'adorais ça, me faire balloter comme une poupée de chiffon que l'on agite au gré de nos envies... Et ses yeux ! D'une rigueur implacable, qui semblait m'hypnotiser et me pousser à lui être soumise comme jamais...

Je... je suis désolée... maitre...

C'était la seule chose qui me venait à l'esprit, m'excuser, pour la simple et bonne raison que s'il m'avait projeté en arrière, c'était que j'avais fait quelque chose de travers, non ?Je me relevai doucement, évitant les gestes brusques. La tête baissée, aussi honteuse et soumise que je pouvais l’être, je n'osais pas croiser son regard, préférant fixer le sol à mes pieds.

Il voulait que je lui montre qu'il ne s'était pas trompée en m'achetant ? Je ne comprenais pas vraiment la remarque qu'il venait de lancer... Enfin, je me doutais que c'était de mes éventuelles qualités qu'il parlait, mais, je ne voyais pas trop quoi faire... J'aurais pu me prosterner devant lui, montrant ainsi à quel point je lui serait soumise et fidèle, ou bien lui montrer mes talents de danseuse, ôtant mes vêtements au rythme de mes déhanchements sensuels... Mais après réflexion, cela me semblait bien maigre, comme activité. Et j'avais eu une meilleur idée...

La plupart des esclavagistes prenaient grand soin de leurs marchandises, non pas par charité mais parce qu'à la moindre blessure, elles perdaient beaucoup de leur valeur. C'était quelque chose de très important, pour ces gens avide de profits. Et mon maitre serait très satisfait d'apprendre que je me débrouillais bien dans ce domaine, peut être ? Qui ne tente rien n'a rien, après tout...

Je me rassis par terre et commença à parcourir un peu la pièce, marchant à quatre pattes, en quête d'un objet qui pouvait faire l'affaire. Je ne tardai pas à trouver mon bonheur, qui gisait au sol, un objet assez tranchant pour mener à bien ce que je comptais entreprendre. Après avoir bien mis en évidence aux yeux de mon maitre la paume de ma main, je fis une profonde entaille dessus. Alors que le sang ruisselait de cette plaie, souillant l'objet, gouttant au sol, et formant même une petite flaque rouge vif, j'usais de mes pouvoirs pour refermer la plaie, aussi facilement que si je clignais des yeux, et éponger le sang qui restait sur ma paume.

Je ne sais pas comment c'est possible... mais à chaque fois que je me blesse, j'ai l'impression que mon corps se soigne tout seul...

Je m'efforçais de paraitre un peu hésitante, comme si je parlais d'un sujet que j'ignorais. Qu'il ai conscience de mon pouvoir était suffisant, je ne voulais pas qu'il sache que je le maitrisais complétement, c'était le genre de chose qui attirait indéniablement les soupçons...
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Hiro

E.S.P.er

Re : L'esclavage n'est pas l'apanage des terranides ... [Hiro]

Réponse 7 vendredi 04 novembre 2011, 21:34:00


Au début, je ne comprenais pas ce qu’elle voulait faire, alors qu’elle marchait à quatre pattes, comme si elle cherchait quelque chose qu’elle avait échappé. Intrigué, je la regardais attraper un morceaux de pierre pointue avant de se taillader la main avec la dite pierre.


Fronçant les sourcils, la première pensée que j’eus fut orientée vers le commerce. Qu’est-ce que les clients diraient lorsqu’ils verraient que mon produit avait une cicatrice encore fraîche? Cependant, ce fut à ce moment précis que quelque chose de surprenant, même pour moi, arriva, la blessure disparut, aussi rapidement qu’elle était arrivée.

Elle s’était rapprochée de moi afin que je voit bien sa main, propre, sans aucune blessure, avant de m’expliquer qu’elle était née comme ça, mais qu’elle n’avait jamais vraiment eut le contrôle de ce pouvoir… Une ESPer, probablement.


C’était inespéré, cette femme était née avec une police d’assurance, une garantie contre tout dommage physique! Là, elle venait de me prouver qu’elle valait beaucoup plus que ce que j’avais pu payer.

Tu es bien consciente que maintenant, tu viens de me donner le feu vert pour te faire tout et n’importe quoi? … Tu me rapporterais beaucoup, si je décidais de te vendre.

Cependant, l’idée de la garder me tentait bien aussi, n’ayant jamais vraiment eut d’esclave à moi, les esclaves avec qui je me suis amusé ne m’étaient que prêté, le temps que je les vende pour finir par en trouver une autre… J’aimerais bien la garder avec moi, elle, comme elle était spéciale.

À moins que je ne te gardes ici, comme jouet… Je suis sûr que tu aimerais ça, tu as l’air d’adorer te soumettre à l’autorité d’un meneur, j’ai raison? Réponds moi franchement, et je te ferai ce qui te fera envie…

Un petit sourire malicieux aux lèvres, avait pris ses joues en otage dans ma main droite, la forçant à me regarder. Simplement l’idée que cette femme, si séduisante et sensuelle soit-elle, serait à moi pour subir toutes mes envies, jusqu’à sa mort, me plaisait tellement que ma hampe, qui jusque là n’avait été que très peu émoustillée par les attentions de la Déesse se mit à enfler légèrement, progressivement.


Hermès / Agnès

Re : L'esclavage n'est pas l'apanage des terranides ... [Hiro]

Réponse 8 samedi 05 novembre 2011, 10:13:43

Lui donner carte blanche pour le laisser faire tout et n'importe quoi ? S'il savait que c'était là tout ce que mon corps réclamait, avec une ardeur silencieuse, mais bien réelle... Et puis, c'était tout de même la moindre des choses qu'il me soumette à ses caprices, dans la mesure où il était mon maître, et que j'étais sa propriété. N'est-ce pas ? J'étais devenue en l'espace de quelques instants son jouet personnel, et le comble était que j'adorais ça...

Il me menaça de me vendre, ce qui ne me fit pas peur, au contraire. L'idée était plaisante en soi, de me faire passer de main en main, comme un banal outil que l'on prête ou qu'on loue. J'avais l'intime sensation que je n'existais que pour ça, pour être cet objet que l'on soumet à ses moindres désirs... Rien que d'y penser, je me sentais tellement bien, à la limite entre l'excitation et l'euphorie...

Mais je doutais un peu qu'il veuille effectivement se débarrasser de moi comme ça, surtout après lui avoir montré que je serais toujours aussi saine quelque soit les plans qu'il avait pour moi... Oui, il pouvait faire absolument ce qu'il voulait de moi, et rien ne me ferais plus plaisir que de me plier à ses exigences, et qui sait ce qu'il aurait envie de me faire... J'avais vraiment hâte de le découvrir, j'étais sûre que je ne le regretterais pas.

À moins que je ne te gardes ici, comme jouet… Je suis sûr que tu aimerais ça, tu as l’air d’adorer te soumettre à l’autorité d’un meneur, j’ai raison? Réponds moi franchement, et je te ferai ce qui te fera envie…

Je sentais une vague d'excitation faire vibrer mon corps lorsqu'il m'affirma être en mesure de m'offrir ce qui me plaisait... D'après ce qu'il me dit, il semblerait qu'il ai parfaitement compris mes impressions à ce sujet... J'adorais cette sensation de savoir que mon corps et mes actes étaient entre les mains fermes et autoritaires d'une personne supérieure, dominatrice... Que j'étais soumise à la volonté du plus fort, à sa volonté. Ça me donnait follement envie...

Je le regardais droit dans les yeux, une expression tendre et docile sur le visage, qu'il me maintenait fermement. Il tenait à ce que je le lui affirme ? Que je lui montre explicitement l'effet que ça me faisait ? Très bien... Je pris en main sa verge qui semblait se dresser de plus en plus, je la sentais encore délicieusement malléable entre mes doigts. Je lui susurrais alors, d'une voix douce et soumise, un peu comme si j'avais été surprise à pécher.

Oui, c'est exact, vous avez raison à ce sujet... J'aime me sentir soumise, je dirais même que j'adore ça, et...

Mes joues prirent une teinte rosée, comme honteusement gênée par ce que je venais d'avouer. Ne sachant que faire, mes mains entamèrent un lent massage sur le membre viril de mon maître, que je caressais et pressait avec douceur, sur toute sa longueur... Je baissais un peu la tête, ma chevelure rouse dissimulant légèrement mon visage, maintenant. Je n'osais pas lui avouer que j'adorerais qu'il me brutalise, ni qu'il me violente, qu'il se laisse aller sans aucune retenue sur mon corps qui lui était offert...

Je vous serais entièrement dévouée, je me plierais à la moindre de vos volontés... Je suis toute à vous, faite de moi ce que vous voulez...
Pour tout contact, je vous invite à plutôt me PM sur mon compte principal, Lydia !

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Hiro

E.S.P.er

Re : L'esclavage n'est pas l'apanage des terranides ... [Hiro]

Réponse 9 mardi 08 novembre 2011, 18:55:51



Je semblais avoir visé juste; cette Amandine aimait se faire dominer, se sentir comme le simple objet, une petite chienne bien domptée. Soit, si c’est ce qu’elle voulait, c’était ce que j’allais faire… D’ailleurs, même si elle ne l’aurait pas voulu, j’aurais agit ainsi.


Suite à sa confession, elle me demanda de faire ce qui me plaisait d’elle, pas mal tout ce qui pouvait me passer en tête… Ma main attrapa brutalement le haut de sa gorge, sans trop serrer, puis la força à lever la tête. Bon sang, j’aimais être brutal! Malheureusement, je n’avais pas trop eut la chance de l’être ces derniers temps, me défouler me ferait un bien fou.


Je n’avais pas l’intention d’attendre ton accord, petite chienne. Mais avant, tu dois mériter ce traitement, non? Si tu aimes tant que ça être soumise, aussi bien que j’en tires un peu de plaisir moi aussi…


Je parlais comme si tout ça ne me plaisait pas, comme si je ne tirais aucun plaisir à faire de cette rouquine tout ce que je voulais, tout ce que son corps auto-regénérateur me permettait de lui faire, ce qui était tout à fait faux, mais j’aimais bien jouer les martyrs. Lui faisant dos, après l’avoir relâché, je retournai m’asseoir sur mon trône, si on peut appeler ce siège confortable ainsi, avant de lui faire signe d’approcher.


C’est décidé, tu es et restera ma petite salope personnelle, le gentil toutou qui fera tout ce que je voudrai, quand je le voudrai. D’un simple claquement de doigt, tu devras répondre… Maintenant, viens t’occuper de ton maître, et si je suis satisfait de tes traitements, je vais te faire plaisir.


Un petit sourire en coin naquit sur mon visage. Je n’avais même pas commencé à exploiter le plaisir d’avoir une esclave à son maximum, que déjà j’adorais ça… Comment ai-je pu me passer des services d’une femme dans ce genre, alors que je payais des hommes pour qu’ils me les ramènent, pour finalement les vendre au plus offrant? Celle-ci, je n’aurai pas peur de me donner, pour ne pas faire diminuer son prix; elle ne sera pas en vente, ou pas de si tôt.


Si j’avais su que c’était une déesse, qu’aurais-je fait? La vendre pour un profit qui me permettrait d’arrêter la vente d’esclave ou encore la garder enchaînée ici, par orgueil de pouvoir dire que je possédais une déesse? Bon sang, ça aurait été un choix très dur, mais je ne le savais pas.


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