Prison Break

Sans trop réaliser comment, pourquoi, quand ni quoi que ce soit, Agathe vit poindre entre ses seins le visage d'une jeune femme. Afin de ne pas l'étouffer sous sa poitrine, elle prit la peine - et ce malgré les assauts brutaux et fermes mais si bons de celui qui la labourait - de se maintenir non seulement sur les genoux mais aussi sur les mains, de sorte que la nouvelle venue ait plus de place.
De la même façon, une jeune fille se mit à arpenter le sexe du camméraman de sa bouche et de sa langue. On poussait une troisième verge dans la direction de la bouche de la pauvrette et elle ne se fit pas prier, l'enfournant goulûment dans son gosier, hurlant plus fort sa jouissance, malgré cette virilité dans sa bouche. Entre deux allers et venues de sa bouche sur cette superbe fierté, elle réussissait à articuler des encouragements à ses deux bourreaux délicieux et même à en demander plus.

Réussissant à se maintenir sur une seule main, elle fit glisser celle qu'elle avait ainsi libéré vers l'intimité de la jeune femme sous elle...

Vans n'y aller pas de main morte, et tout en culbutant sa superbe croupe, il glissa une main le long de son dos, avant de venir claquer sa fesse, toute offerte à ses désirs. Mais il n'en resta pas la, et tout en ramenant cette main agile et perverse, il la laissa glisser le long de son canyon, pour qu'un doigt aventurier se pose sur sa petite entrée, la titillant simplement pour le moment.

Erika, quant a elle, prenait entre ses lévres, le premier seins d'Agathe, le suçotant, l'aspirant, alors que sa langue venait flatter son téton qui était deja si fiérement dressé, le mordillant méme, ses mains massant le second, pour ne pas rater la moindre occasion d'exciter encore plus en avant, cette sublime nouvelle dans leurs jeux pervers.

Le Colonel, toujours objectifs en main, fit un tour de salle complet, filmant tout les protagonistes de la scéne, finissant par viser le sol devant lui, ou se trouvait maintenant Sylvia, qui coulissait ses lévres sur son membre durcit, de voir une soumise aussi ouverte aux nouveautés.

Kennet, lui, soupira quant il sentit la bouche de la Blonde sur sa queue, mais il la laissa guider le rythme, préférant savourer que d'imposer. Erika soupira de plaisir, tandis qu'elle faisait de méme, sa main se glissant vers l'intimité de la Prisonniére, pour la caresser, prendre entre deux doigts son clitoris enflé, et le faire gentillement vibrer.

La claque qui résonna sur ses fesses fit encore gémir la jeune prisonnière de plaisir et elle crut perdre pied en sentant les caresses nouvelles que lui faisait subir son premier bourreau. Elle n'avait pas l'habitude qu'on la prenne par cette autre voie mais cette idée et son désir si grand ne faisait que la griser davantage.
Se redressant légèrement, elle abandonna un moment la verge qu'elle maintenait jusqu'alors dans sa bouche et, arrachant sa poitrine à la bouche de la jeune femme sous elle, elle vint faire glisser cette superbe queue entre ses deux seins rebondis, donnant des coups de langue lorsque ses mouvements le lui permettaient sur le gland.
Elle pouvait ainsi gémir et crier de plaisir à loisir, sans pour autant négliger l'un de ses trois partenaires : la main de l'inconnue sur son clitoris la rendait folle, et, pour se "venger", elle réussit à la faire remonter légèrement, de sorte qu'elle enfonça, dans le vagin de sa partenaire, son index tandis que son pouce titillait son clitoris.

Agathe était décidément bien plus réceptive que les autres lors de ces traitements spéciaux... Certes le produits y était pour beaucoup dans son laissé allé, mais elle devait vraiment aimer ça, pour en accepter autant, avec une seule dose dans le sang... Mais qu'importe, pour le moment, les trois hommes profitaient pleinement du spectacle, et des trois soumises qui étaient activent sur leurs queues tendu.

Vans, toujours derrière Agathe, continué d'aller et venir, sentant son membre coulisser a merveille, aidé par l'humidité ruisselante de la prisonnière... Son doigt, qui jusqu'à présent etait resté réserve a l'entrée de son anus, entra alors d'un coup sec, doublant ainsi les pénétration, mettant au même rythme le doigt et sa queue, avec un sourire qui en disait long sur le plaisir qu'il prenait a utiliser la délinquante.

Kennet, le sexe bien installé entre les seins doux de la jeune femme, donné des coups de reins, pour accentuer l'effet de frottement et pouvoir offrir le gland brulant aux lévres gourmande, il posa alors sa main dans sa chevelure d'or, et la forca parfois a bien le prendre en bouche, pour subtilement la relacher, et reprendre ses coups de hanches... Soupirant, souriant, lubrique... Des mots comme "chienne", ou "salope" fusaient parfois entre ses lévres déformés de plaisir.

Finallement, le premier a craquer fut le colonel, qui ecarta brutalement Sylvia, approchant son membre brulant du visage d'Agathe pour de nouveau se répendre sur elle, en gémissant comme un loup... Il  finit de lacher ses derniers jets de semence, et essuis biensur son membre sur la joue couleur satin... Une fois fait, il oblige donc la jeune sylvia, a venir donner quelques coups de langue, sur cette catin des plaisirs....

La jeune détenue essayait d'analyser la situation, son corps la tiraillant délicieusement, sentant son corps se laisser meurtrir par cette sublime verge. Il y avait d'abord la jeune femme sous elle, qu'elle doigtait d'une main, se maintenant de l'autre car le bougre dans son dos n'y allait pas de main morte, enfin de hanches mortes. Cette même jeune femme jouait avec son clitoris, elle sentait cette main frôler parfois l'endroit de la pénétration de la verge gonflée de son tortionnaire.
Ensuite il y avait celui qui glissait sa verge entre ses deux seins gonflés et tendus, à l'image de toutes ces hampes ici. Enfin, une jolie blonde qui s'occupait du premier qu'Agathe avait sucé. Six...

_Han...! le cri/gémissement lui avait échappé tandis que le doigt de celui qui s'occupait de son intimité avait pénétré cette porte jamais franchie jusqu'alors.

De son côté, l'homme qu'elle tenait par sa poitrine, prenait un peu les rennes et la forçait à se montrer plus... linguistique. Elle ne se fit pas prier, se prêtant volontiers à ce jeu. Le premier qu'elle avait touché écarta brutalement le visage de la blonde qui le suçait et déchargea sa semence une nouvelle fois sur le visage d'Agathe, semence qui coula jusque sur sa poitrine et que l'inconnue s'empressa de lécher.
Agathe en voulait encore...

_S'il vous plait, plus fort... Plus fort !!

Ses mains se crispaient tandis qu'elle entrait un second doigt dans l'intimité de la jeune femme sous elle, son pouce jouant toujours avec le clitoris de cette dernière.
Suçant plus goulûment la verge de celui qui coulissait entre ses seins et qui lâchait quelques insultes du bout des lèvres, elle se redressa un peu, cambrant encore le dos, sentant la pénétration en elle à la fois plus profonde et plus brutale. Elle haletait, gémissait, criait...

_Encore...!

Sa bouche allait d'une verge à l'autre, embrassant au passage la seconde femme blonde, tandis que la troisième, toujours sous elle, commençait à gémir de plaisir sous les doigts de fée de la prisonnière.

Agathe devenait de plus en plus gourmande en ce qui concernait les attentions de ses tortionnaires, et les trois hommes ne lâchaient plus leurs sourires, se regardant comme des conspirateurs, continuant de profiter des formes de cette petite trainée, qui comblait plus que nécessaire leurs attentes.

Vans, dont le membre enflé de plaisir au plus profond de la chatte d'Agathe, sortie alors, n'oubliant pas de donner une ultime claque sur la fesse de la demoiselle. Les deux autres firent de même, se reculant, et regardant leurs nouvelles petite chienne soumise réclamer encore, et encore. Leurs sourires en dirent long sur leurs envies qui allait suivre... Vans, Prenant Agathe par les cheveux, la fit alors se lever, pour la placer a quatre pattes, au dessus d'Erika, en une position des plus lubrique, un 69 tellement beau a contempler pour ces messieurs... Kennet, se penchant prés du visage souillé de la jeune femme, sourit, tout en la regardant.

"Tu va devenir la petite chose de ces deux demoiselles... Tu devra les faire jouir, encore et encore, jusqu'à que nous mettions fin a ce petit jeu... Il n'y a pas de Limite, excite nous, lâche toi complètement, et si nous sommes satisfait, alors nous t'offrirons de nouveau ce que tu attend..."

Il se releva, et glissa son membre le long de sa joue... Comme la promesse d'une longue nuit de pénétrations...

"A toi de jouer, Chienne"

Les trois Hommes s'installèrent sur les sièges qui se trouvaient éparpilles dans la pièce, et allumèrent tous une cigarette, voulant prendre un pied d'enfer, a voir ces trois jeune femmes s'adonner au plaisir saphique...

Alors que son plaisir arrivait à son point culminant, elle sentie son "partenaire" (particulier) sortir sans douceur d'elle, en omettant pas de lui glisser une nouvelle claque forte et sonore sur la fesse, ce qui eut de tirer - encore - un cri à la prisonnière.
Tous les hommes reculaient, Agathe les regardait faire, hagarde, tremblante de plaisir, de désir et de frustration mêlée.
Elle hurla en se sentant soulevée par le cheveux, avant qu'on ne la jette au-dessus de la jolie brune.

_Tu va devenir la petite chose de ces deux demoiselles... Tu devra les faire jouir, encore et encore, jusqu'à que nous mettions fin a ce petit jeu... Il n'y a pas de Limite, excite nous, lâche toi complètement, et si nous sommes satisfait, alors nous t'offrirons de nouveau ce que tu attend...

Agathe déglutit, c'est vrai que toutes deux étaient superbes, même si elle n'aimait que les hommes, elle avait déjà fait quelques tentatives féminines, comme ça, pour... Voir ?
La verge encore humide vint caresser sa joue, elle frissonna. Oui, elle en voulait encore, alors elle n'avait pas trente six milles solutions, et puis ces deux femmes étaient réellement... bonnes.

_A toi de jouer, Chienne

Agathe vint glisser sa tête entre les cuisses de la jeune femme brune. Elle pouvait sentir d'ores et déjà l'odeur de l'excitation et le tissu rouge, tâché par son fluide... Cette pensée excita davantage la jeune femme qui finit de déshabiller la complice de ses tortionnaires. Levant la main vers la blonde, elle l'invita à s'allonger à côté, en angle droit à cette droite qu'elle formait avec la brune. De sa main gauche, elle vint titiller l'entrée de cette dernière, tandis qu'à grandes lampées elle s'abreuvait à la plus merveilleuse des sources. sa main droite, quant à elle, trouvant l'intimité de la blonde, se contentait de la caresser à travers le tissu.