Des chemins qui se croisent...[PV Rubber Doll]

Mach était de retour sur Terra, cette fois avec l’intention de se détendre. Chose qui était cependant peu banal, qui cherchait souvent à enchaîner les contrats, même s’il s’accordait souvent des moments de plaisirs. Ainsi, cette fois, s’est pendant quelques jours qu’il comptait bien faire une pause. Il cherchait en fait tout simplement à se mettre au vert, puisque sa dernière mission lui avait attiré des ennuis sur Seikusu, et il était à présent recherché. Par conséquent, le seul  moyen qu’il avait réellement était de changer de monde et y rester suffisamment longtemps pour que l’affaire l’incriminant ne passe aux oubliettes.

Dans son appartement, il n’avait cependant pas grand-chose, car faire des réserves de produits périssables était bien vain quand on ne savait pas combien de temps ce dernier ne serait pas occupé, que cela soit par ses missions sur Terra ou parce qu’il était sur Terre. Ainsi, le jeune homme, le lendemain de son arrivée à Nexus, dut sortir pour faire quelques courses Il s’habilla alors de façon classique, ressemblant tout de même toujours à un militaire. Mais, cette fois, il n’aurait à prendre que son poignard, les armes à feu étant prohibées s’il se souvenait bien. Il plaça alors ce dernier à la ceinture avant de sortir.

Ses pas le conduisirent naturellement sur la Place Publique, où se rassemblait chaque jour un marché. Mais, bien entendu, avec le contexte actuel, les principaux commerçants étaient des vendeurs d’esclaves. Cependant, Mach n’y fit pas attention, pour éviter de se laisser attirer par une belle demoiselle et en oublier la raison première de sa venue ici. Ainsi, le jeune homme se dirigea alors vers les quelques rangées destinées aux produits alimentaires pour pouvoir faire son choix..

Mais, à peine fut il arrivé dans celui-ci qu’une personne attira son attention. Pourquoi ? Alors que la plupart des passants, quelque soit leur race, étaient en tenue classiques passant presque inaperçu dans la foule, celle-ci était vêtue d’une combinaison en latex. Et cela en surprit le jeune homme, autant que cela attira l’attention, autant que celle d’autres personnes d’ailleurs. Surtout que cela faisait un moment qu’il n’avait pas vu ce genre de tenue, ou du moins hors de certains clubs sur Terre.

- Je ne savais pas qu’ils étaient fans de ce genre de trucs sur Terra aussi !

Murmura le jeune homme, sans quitter la demoiselle des yeux. Celle-ci lui donna alors l’impression de déambuler dans les rues sans réel but, bien qu’il ne put déceler si elle en était tout simplement honteuse, de s’exposer ainsi aux regards, ou perdu à la recherche de son chemin.

- Vous avez besoin d’aide ?

Demanda t il alors à la jeune femme, de façon calme, quand celle-ci arriva à son niveau.  Ce n’était pas forcément dans ses plans, mais, il verrait ce qu’il ferait une fois qu’elle lui aurait répondu.

La maitresse avait couper mes cheveux la couleur rousse qu’elle me donnais souvent aillant laisser place a un roux si pale qu'il en paraissait presque blanc... Je n'aime pas cette couleur, mais c'est la maitresse qui a décidé.. Donc je n'ai pas le choix.. J'ai fait un bêtise j'ai bouger pendant la nuit. Alors qu'elle dormais sur mon ventre, je croyais qu'elle allait me battre.. Mais la punition a été différente de ce que je pensait.

En effet elle m'avait bien fouetter, mais ca j'en avait l'habitude... Non elle m'avait envoyer purement et simplement sur la place de Nexus.. Mais cet endroit me faisait peur sans elle... C'est si grand il y a tellement de monde, j'ai peur de la foule, je n'en ai plus l'habitude, je rencontre mes clients, mes amants, par petite groupe ou alors dans le noirs.

Sauf que la tout le monde me regarde, parce que j'ai ma tenue complète de Latex. J'ai aussi ce petit masque de vinyle devant ma bouche, mes cheveux court montre plus que d'habitude de la combinaison que je porte.. A mon coup un petit collier en cuir noir avec les initial et les armoiries de la maitresse.

Elle ne m'a donner aucun ordre, elle ne m'a rien dit, elle m'a juste pousser dans cet endroit... Je ne le connais pas cet endroit et je n'ose demander mon chemin, mes talon haut claquant doucement sur le sol... Je marche sans savoir ou aller.. J'ai peur, peur de ne plus jamais retrouver ma maitresse... J'ai presque les larmes au yeux.
Par taj faite qu'elle me pardonne sans elle je ne saurais plus vivre.. Je n’aurais plus de raison de vivre.

Doucement je laisse échapper un petit soupire, j'ai peur de ne pas pouvoir la revoir.. Un homme pourtant vins me parler, levant mon regard brouillé vers lui, il put voir mon bandeau sur mon visage... Je sens les larmes perler doucement a mes paupières, doucement je secoue la tête de droite a gauche, en fait je n'ai pas besoin d'aide, je veux juste retrouver ma maitresse, mais la foule me fait peur.

Poussant un petit couinement de peur, je vins doucement me coller au jeune homme, enfouissant mon visage dans le torse de l'homme, mon corps couvert de latex tremblait doucement. Je semblait terrorisée et je l'était vraiment en fait.. J'avais peur que ma maitresse ne me veuille plus et il y avait trop de monde, beaucoup trop...

« Tr... trop .. de monde. »

Ma voix était étouffée sous le masque de vinyle...  Mes doigts s’accrochèrent doucement au vêtements de l'homme, la je ne voyait plus les gens ca allait un peu mieux. Respirant doucement je laisse son odeur cacher celle des autres... Je me demande si il voudra jouer avec moi, la maitresse n'a pas dit que je ne pouvais pas... Mais c'est peu être cela la punition, se laisser toucher par n'importe qui.

Ayant fini ses courses, Mach s’apprêtait à rentrer, bien qu’il devait pour cela encore traverser quelques rangées d’étals du marché. S’est d’ailleurs dans l’un d’eux, qu’il remarqua la jeune femme en tenue de latex complète, qui attirait bien entendu l’attention, mais aucune aide ne venait à elle. Alors que pour Mach, qui finit par croiser son regard, surprit une nouvelle fois par le fait de voir le bandeau sur sa bouche, ne manqua pas de voir que cette dernière avait peur, même si on pouvait se demander de quoi ? Cependant, pour Mach, cela semblait évident. Sans doute qu’un homme, ou une femme d’ailleurs, ne se jette sur elle pour en abuser ou la mettre sur la section réservées aux vendeurs d’esclaves.

Ainsi, il s’en approcha calmement, attirant donc une partie des regards, certains accusateurs, d’autres simplement indifférents. Accusateurs, car ces personnes avaient directement pensé au fait que le jeune homme allait chercher à s’amuser avec la demoiselle. Alors que pour le moment, il se contenta de lui demander si elle avait besoin d’aide. Celle-ci tourna alors son regard vers lui, sans se montrer pour autant plus rassurer de voir quelqu’un se porter à son secours, puisque d’une certaine façon cela y ressemblait un peu. Elle se contenta alors de répondre par un hochement négatif de la tête, laissant supposer à son interlocuteur, que son bâillon l’empêchait de parler

- Tu n’as rien à craindre de moi tu sais ! Je n’ai pas l’intention de te faire du mal Je ne suis pas un esclavagiste si tu préfères cette formulation..

Dit-il pour la rassurer, sans que cela ne semble fonctionner. Oh bien sur, il avait déjà travaillé pour eux dans le passé en ramenant des esclaves, mais jusqu’à présent, il s’était cantonné à ramener des Hommes, que les nobles achetaient pour faire les travaux pénibles, à moins que l’acheteur soit une femme ou ait des gouts particuliers bien sur.

 Puis, sans trop savoir ce qui effraya davantage la jeune femme, celle-ci s’avança et vint se blottir contée le jeune homme, manquant de le surprendre à nouveau. Et elle s’y installa confortablement, alors qu’elle se mit à pleurer silencieusement, et agripper d’une main les vêtements de Mach. Cette dernière qui ne semblait pas vouloir d’aide, bredouilla alors quelque chose à travers son bâillon, et ne semblait soudainement pas refuser celle de ce jeune homme. Des mots qu’elle prononça, le mercenaire ne comprit que « Trop de monde », et en déduit qu’elle devait avoir peur de la foule. Mais, avant de répondre, il l’enserra de ses bras doucement, comme on pouvait réconforter quelqu’un de triste.

- Et bien, on n’a qu’à aller dans un endroit plus calme ! Tu as une maison quelque part où je pourrai te raccompagner ?

Demanda t il calmement, baissant le regard pour le pose sur la chevelure courte de la jeune femme. Il n’avait toujours pas bougé, et se contenter de caresser le dos de l demoiselle pour apaiser ses craintes et tristesses. Il s’était dit que la faire reculer l’aurait sans doute inquiéter davantage, et avait donc décidé de la laisser bouger elle-même pour lui répondre, et éventuellement se mettre ensuite en route vers son lieu de résidence.

Rien a craindre de lui.. hoo mais je n'ai pas peur de lui.. Je n'ai pas peur d'un homme seul, juste je ne suis plus habituée a être au milieu de la foule.. Pas quand je ne couche pas avec eux... Le plus souvent quand je suis entourer d'autant de personne c'est au milieu d'un gang-band et souvent je suis celle qui satisfait tout ces être masculin.
Ce n'était pas esclavagiste, alors qu'était t'il ? Un humain normale, cela faisait longtemps que je n'avait plus parler a un vrai humain.

C'était agréable de sentir la présence de quelqu'un prés de moi, cela me rassurais toujours, de sentir la chaleur d'un autre compte. Ce bras qui entoure son corps qui me rassure, qui me met a l'aise en fait.. C'est si agréable si plaisant.

Qu'un instant mes pleure s’apaise.. Se calme. Cette main qui caresse me tira un soupire de contentement.. C'était si bon, si doux de sentir cette main, je ne voulait pas bouger, j'adore les caresses, comme un chien qui viendrais les demander.. C'est si doux. J'adore la douceur, mais ma maitresse m'en donne si peux, c'est cela qui me donne tant de plaisir, ces quelque caresse son tous ce que je demande.

« Oui.. calme. »

Encore une fois ma voix est étouffée par le bâillon, mais cela ne me gène pas, doucement je relève mon visage barbouillé de larmes, vers lui... Je ne semble pas être dangereuse, je ne le suis pas d'ailleurs.. je serais bien incapable de me battre de toute façon.

« Nulle par ou aller. »

C'est vrai tant que la maitresse ne me rappelait pas je ne saurais pas retourner chez moi, dans mon visage naquit une petit question.. Une question troublée, je voulais aller loin du monde..

« Chez...toi ? »

L’étreinte ne cessa pas, et la réaction de la jeune femme, qui se calma tout de même, semblait au contraire en demander davantage. Serait-elle en manque d’affection ? S’était bien possible, mais, le jeune homme ne pouvait le deviner, et se contenta de continuer. En effet, la jeune femme ne se décolla nullement de l, sans doute de peur de retrouver ses angoisses. Mach laissa donc sa main la caresser, remontant parfois sur sa tête pour la passer dans ses cheveux courts. Mais bien sur, leur pose attirait l’attention, avec des regards de tous types, mais Mach s’en fichait.

La jeune femme reprit la parole, même si cela fut étouffé par la bâillon. Elle souhaitait donc être au calme, et il allait donc l’y emmener.  Mais, encore fallait-il savoir où la conduire. Ainsi, une nouvelle question était sortit de sa bouche, et la demoiselle lev la tête pour le regarder et lui répondre. Il put ainsi voir qu’elle avait cessé de pleurer, et Mach vint passer ses doigts sous ses yeux pour lui ôter les traces de larmes alors qu’elle lui disait qu’elle n’avait aucun endroit où aller.

- h bon ? … Tu t’es échappé d’un stand d’esclavagiste donc…. Je me trompe ?

Demanda t il un peu surprit alors que la tenue de la jeune femme semblait bien aller dans ce sens en tout cas. En tout cas, la réponse qu’elle apporta, sous forme de question juste après, alla dans l’idée que Mach eut à ce moment là.  Il lui sourit donc avant de répondre.

- Ok, je t’amène chez moi et tu pourras y rester autant de temps que tu le souhaites !

Répondit-il en souriant, le regard baissé plongé dans celui de la jeune femme. Il s’apprêta alors à rompre l’étreinte pour pouvoir la guider avant de lever les mains pour les placer dans le cou de le jeune femme. Il fit cependant cela avec douceur et lenteur pour ne pas l’effrayer en lui faisant penser qu’il allait l’étrangler. Non, son but était tout simple, retirer le bâillon de la demoiselle.

- Se sera bien mieux pour parler, n’est ce pas ? En plus de paraître moins étrange aux yeux des gens !

Dit-il toujours avec le sourire, avant de glisser le morceau de cuir dans une poche, même s’il ne savait quoi en faire. Il rompit alors l’étreinte, mais prit une des mains de la jeune femme pour pouvoir la guider dans les rues. Se mettant alors à marcher lentement, le duo finit par quitter la place publique pour se retrouver dans les rues, certaines étaient plus engorgées que d’autres, mas, Mach veillait à ne pas trop s’éloigner de la jeune femme.

- Au fait, quel est ton nom ? Moi s’est Mach.

Dit le mercenaire en tournant la tête momentanément pour regarder la jeune femme. Puis, ils finirent par arriver aux pieds d’un immeuble propre, mais pas spécialement luxueux, et Mach s’arrêta.

- Voilà nous y sommes !

Dit-il avant d’ouvrir la porte de ce dernier et faire montée son invitée jusqu’au troisième étage. Une fois la porte de son appartement ouverte, il s’écarta et fit signe à la demoiselle d’entrée avant de le faire soi même.