Premier jours, première punition [Helena Ashnard]

vous voyez dans les manga les jeunes fille qui dorme sur le dos, la couverture presque par terre, le ventre à l'air , avec la bouche grande ouverte, bavant un petit peu sur le côté et une espèce de ronflement tout mignon sortant de la bouche, ben c'est moi ce matin dans le lit.

- Angelina, il est l'heure de se réveiller. ♥

Mmm ... laisse moi ... deux minutes dis-je à moitié réveillée.

- Tant pis pour toi (rire).

Je sentis deux gros truc mou se presser contre ma tête, m'étouffant petit à petit, signale d’alarme dans ma tête je me mets à ouvrir les yeux et gigoter pour saisir les deux machin et je sens une peau douce, je gigote plus avant qu'Alice ne se pousse, mon souffle court, les joues rouge de honte devant l'attitude de ma petite-fille et surtout sa méthode de me réveiller.

Tu n'as pas de pitié envers ta grand-mère, user de tes .. tes ... ta poitrine pour me tuer !

Alice se mit à rire, décidément  je ne comprendrais pas les jeunes d'aujourd'hui, une fois relevé je vis qu'elle n'avait pas dormit en nuisette mais toute nue, ce qui eut tôt fait de me faire rougir davantage.

De ... Depuis quand ma petite-fille dors toute nue ... met ... met quelques chose au moins, par pitié !

- Angelina si tu continue on va être en retard pour les cours. Sans compter qu'il faut que j'ajuste ta tenue.

Ha oui, j'avais presque oublié le jour fatidique, la rentrée pour moi, j'allais devoir rester assise dans une salle remplit de jeune personnes comme Alice, en espérant qu'ils ne soient pas aussi joueurs que cette dernière.

- La douche est prête vient vite, comme ça on va économiser l'eau.

*soupir* J'arrive, j'arrive.

La douche fut plus calme, chaque caresses étaient rendu, mais encore une fois Alice imposa son rythme décidant que l'on avait assez barbotés, visiblement le lycée impose un rythme bien trop vite à mon goût.

- Allez enfile moi ta tenue. ♥

Là ce fut en enfer, première fois pour moi de porter des sous-vêtements sans armature métallique, ce qui rend mes gestes moins précis, sans oublier le réglage des bretelles qui n'a rien de marrant, vient ensuite la chemise, chose qui à mon époque était trop chère et les femmes n'en portaient pas trop, après il y eut les collants, je connaissait un peu, Alice avait décidé de me faire porter des collant noire, qui irait à merveille avec mes chaussures de lycéenne, la jupe me fit rougir comme un coquelicot, depuis quand on portait des jupes aussi courtes.

- Angelina arrête de tripoter ta jupe.

Elle est trop courte !

- Non elle est conforme à celle du lycée. Il reste juste la cravate.

Ce dernier élément me surprit, la cravate allait certes pour les hommes, décidément le monde avait bien changé en moins de soixante années.

Nous prîmes le métro, c'était assez gênant de se voir lorgner, surtout par les personnes qui avoisinaient mon âge réel. une fois sortie du métro, nous arrivâmes, après cinq minute de marche à pied, devant les portes du lycée, Alice partie rejoindre sa classe me laissant seule, me souhaitant une bonne journée.

Un vent facétieux passa sous ma jupe, me poussant à un réflexe qui attira les regard, les filles se moquait de moi qui tentait de cacher un maximum mes jambes avec cette tenue faites pour au contraire les montrer.

C'est alors que la sonnerie retentit, flûte j'allais être en retard, pour le premier jours cela donnais et puis cette jupe qui est décidément trop courte, si quelqu'un pouvais m'aider à en avoir une plus longue cela serait idéale.

La chaleur du soleil eut tôt fait de rendre ma tenue chaude, je défis ma cravate pour déboutonner le premier bouton histoire que de l'air passe et me rafraichisse un peu, cette journée commençait vraiment mal.

C'est alors que je vit une personne, une surveillante vu sa posture, je me mis à marcher rapidement vers elle en l’interpelant, enfin elle m'entendis et attendis que j'arrive vers elle.

Excusez moi madame c'est mon premier jours et je ne sais pas dans quel classe je suis. Je me nomme Angelina Fuwasa et je doit être en toute première années ici.

je ne savais pas alors que cette femme allait me reprocher d'avoir retiré ma cravate et déboutonné mon bouton, tout ce que je faisais entre temps c'était tirer un peu sur ma jupe pour la descendre un peu, j'aurais mieux fait de porter la tenue d'hivers là elle aurait été plus longue.

Le boulot de surveillante était plein de bonnes surprises et de rencontres intéressantes, j'adorais ce travail, en fait je n'avais pas vraiment l'impression de travailler. De toute façon réprimander les gens était quelque chose que je faisais pour le plaisir en temps normal, alors en plus être payée pour ça, j'étais au paradis. Bon théoriquement mon travail était aussi d'aider les élèves, mais j'avais décidé de les aider à devenir d'obéissants petits chiens. Je déambulais à la recherche de ma première victime de la journée lorsqu'une véritable perle vint d'elle-même me trouver.

C'était assez amusant de la voir avec un chemisier déboutonné, laissant entrevoir son décolleté tout en étant en train de rougir à cause de sa jupe qu'elle essayait de baisser, chose qui commençait à faire découvrir sa culotte d'ailleurs. J'ai esquissé un sourire et j'ai sorti un petit carnet dans lequel je me suis mise à griffonner, puis j'ai pris un air sévère en lui tendant un billet de colle. Je lui ai ensuite fait la morale :

"Tu aurais du t'habiller convenablement avant de venir narguer une surveillante dans cette tenue, nous ne sommes pas dans une maison de passe ici, tâche de t'en rappeler. Ce soir les clubs de baseball et de ping pong ont des matchs, je te colle deux heures après la fin des cours pour ranger tout le matériel et faire des devoirs supplémentaires. Et estime toi heureuse j'aurais pu être moins gentille."

Sans lui laisser le temps de protester je m'en suis allée ailleurs, j'attendrais cette petite ce soir et j'avais déjà quelques idées de mauvais tours à lui jouer. La soirée serait passionnante et elle allait apprendre à ses dépends que quitte à s'habiller comme une catin je pouvais aussi lui apprendre à en devenir une. Le reste de la journée a été horriblement ennuyeux, visiblement les élèves n'avaient pas envie de me contrarier aujourd'hui, dommage.

Cela faisait cinq minutes que j'attendais la petite de ce matin, le match venait de se terminer et nous étions seules dans l'école. Mais j'allais faire durer le plaisir, y aller progressivement avec elle, je l'attendais donc dans le club de ping pong, avec un peu de matériel "pédagogique".

JE me trouva impliquer dans une terrible quiproquo où la demoiselle n'avait visiblement pas le temps, ni l'envie d'écouter mes excuses, sans compter que ses remarques me firent légèrement rougir en me ratatinant un peu, moi qui voulait juste trouver la salle, je venais me faire rabaisser par une femme qui semblait être très à cheval sur les règles.

Je vis la demoiselle partir, prenant le temps de me rhabiller convenablement, même si la sensation de la jupe courte m’embêtait au plus haut poings, il avait fallut aller à l’administration pour demander la salle de ma classe, j'ai voulu expliquer la situation à la secrétaire, mais visiblement les deux étaient de mèche, ne voulant pas retirer mes deux heures de colles et me conseillant vivement de les faire histoire que cela ne soit pas marqué sur le bulletin.

La mâtiné fut désastreuse, la classe eut tôt fait de rire de mon retard, le professeur n'aidant en rien à cette ambiance que l'on pouvait qualifier d’exécrable, ce fut presque en larmes que je rejoignit Alice le midi, elle était vraiment la seule à vouloir me comprendre.

L'après-midi ce fut le club de jardinage, comme il n'y avait pas beaucoup de personne ils eurent tôt fait de me trouver des tâches à faire, j'ai aimé aider le club, planter des fleurs, sentir leurs parfum, couper les pousses malades, tout le monde était chaleureux avec moi, ne prenant pas les rumeurs qui circulait déjà sur moi comme des vérités.

Puis vint le soir, heure fatidique où j'allais faire le ménage, ce n'est pas tellement ranger qui me fait peur, mais le fait que ce soit avec cette horrible femme, je pris la carte que la secrétaire m'avais passé.

Alors le club de ping-pong doit se trouver sur la deuxième à gauche *Je fis tourner la carte à 180°*ou est-ce à droite.

Il va vraiment falloir que je demande à Alice de m'apprendre à lire cette carte. Je saisis la porte à gauche et l'ouvrit, mauvaise pioche c'était un placard, une pile d'affaires me tombèrent dessus, je poussa un cris avant d'être recouvert du linge. Rapidement je le plie à la va vite et le range, bourrant suffisamment pour fermer la porte, puis je prend la porte de droite, l'ouvrant et ne restant pas sur la trajectoire d'un quelconque objet.

ne voyant rien tomber je regarde et croise le regard de la femme, visiblement elle était encore plus en pétard que ce matin, sans doute ce demandait-elle pourquoi j’agissais ainsi, par pitié qu'elle ne me donne pas d'autre heures, j'entre et incline le buste.

Je m'étaie un peu perdue.

S'en suivit un rire nerveux.

Je commence par quoi madame  ?