Simple douche [PV : Marcus]

[hrp : Je sais que c'est un peu n'importe quoi, mais j'avais pas d'idée... >< Je t'ai malgré tout laissé le choix d'être le propriétaire du savon et du jet d'eau allumé, ou un autre! J'espère que ca convient... ^^"..]

La cachette, le mensonge et la fuite étaient au rendez-vous depuis maintenant quelques jours. Les serviteurs du manoir dans lequel vivait la comtesse étaient en état de panique; premièrement, la mère décède et deuxièmement, la fille disparaît. Les Daelys portaient-ils, sans le savoir, une malédiction? Si le goût d’aventure et de découvertes le sont, alors oui, Heilayne était maudite en ce sens. Elle c’était fait passer pour une jeune lycéenne vivant de ses propres « moyens » voila quelques jours, à l’auberge, il fallait donc qu’elle passe quelques temps dans le dit lycée pour plus de réalisme. Comme ça tombait bien, Heilayne rêvait de se laisser glisser sous les jets d’eaux chaude, les laisser glisser librement sur son corps, leurs trouver cachette parfois en entrouvrant les lèvres, c’était toujours un pure délice, la douche. Donc, d’un pas à la fois assuré et hésitant, la comtesse de Daelys se dirigea vers l’école, gloussant silencieusement. À peine eut-elle foulé le hall d’entrer que tout semblait inconnu à ses yeux. Une réceptionniste, des élèves se tenant mains dans la main ou parfois, main ou il ne faut pas, des baisers échangés, des rires, aussi. Ce n’était pas l’amour qui l’intriguait, mais plutôt ; les hommes. Jamais, de toute sa vie, elle n’en avait vue avant les quelques jours précédents. Ils étaient si intrigants… Sans même porter plus d’attention là ou il ne faut pas, Heilayne entama le pas, demandant quelques fois son chemin pour mieux se rendre à destination. Ses habits étaient encore les même; robe brune, moulante et courte, bande de soie lui enlaçant les bras et la poitrine, petites chaussures beiges et quelques fleurs de cerisier blanches déposées avec soin dans sa chevelure. Elle qui aimait la diversité, elle c’était conformée à la banalité pour ses vêtements. Au lieu de traîner des dizaines de bagages, elle avait préféré ne rien amener, être libre comme l’air. L’air, parlant de lui. En ouvrant la porte, une bouffée d’air étouffante se fit aussitôt sentir; aah les joies des douches! Entrant en refermant rapidement la porte derrière elle pour conserver la petite brume apaisante, Heilayne se dirigea vers les bancs, se déshabillant en moins de temps qu’il faut pour dire « Caoutchouc ». Naturellement pudique et réservée, Daelys accota un de ses bras contre sa poitrine et, de sa main libre, cachait son intimité. Elle ne savait qui était là, elle ne savait non plus qui pouvait arriver, et c’était bien ça qui l’apeurait, qui la gênait.

Traversant un petit muret qui bloquait la vue entre les bancs ou déposer les effets personnel et les douches, un sourcil ce leva sur le doux visage de la comtesse. Un jet d’eau était ouvert, mais personne ne se trouvait là. Curieuse, elle se rapprocha de la douche ouverte, se penchant même pour ramasser un savon. La personne qui avait été la, ou qui l’était toujours mais avait été chercher quelque chose? l’avait sans doute échappée. Ramassant la barre de savon du bout de ses doigts, son regard de noisette se glissa sur les quelques craques, passant même les doigts de sa main libre sur le petit objet mousseux. Sa position était assez gênante, si elle s’en apercevait. En petit bonhomme, sous un jet d’eau, les yeux rivés sur un savon ne lui appartenant sûrement pas et sa chevelure lui tombant sur le visage sans gêne. Il y avait une explication à ça; Heilayne était complètement tombée lunatique.

Un jeune homme de 17 ans ne peut éternelement échapper aux lois de son pays d'accueil, il fallait donc qu'il aille au lycée. Rien de bien amusant il va s'en dire, rester assis tout une journée dans une salle, lire les passages qu'on lui demande, résoudre des problemes inutiles avec des baignoires et des fuites... Une futilité d'existence que notre jeune loup ne comprend pas, a son age, il devrait apprendre un metier dans son monde, se défendre contre les marchand d'esclaves qui déploient des hordes de chasseurs derriere ceux qui comme lui ne sont pas sauvage, probablement pour se servir de leur force extraordinaire pour les champs...

Mais ce monde est loin, sa vie semble etre ici, depuis le temps, il n'a pas trouver de passages retours pour rentrer dans son monde, enfin, il n'a pas vraiment cherché un moyen de rentrer dans son monde car il n'en avait pas envie, sur ce monde tout le monde lui souris franchement, ne cherche pas a découvrir qui il est, ne tente pas de lui mettre les fer... Non, la relative indifference de ce monde le rend heureux, il peut vivre une vie simple en compagnie d'humain sans craindre d'etre rafler une nuit, de devoir tuer ceux qui tentent de l'asservir. Vivre... C'est magnifique, vivre comme tout le monde, dans un monde tranquille, sans conflit insséceant.

Mais il faut se laver de temps en temps, surtout apres le sport. C'est donc apres avoir fait une bonne après midi d'exercice, surpassant ses homologues masculins, que Marcus parti se doucher dans les douches publiques de l'enceinte. La plus part des lycéens refusaient de se doucher sur place par pudeur mais le jeune homme s'en moquait éperduement. Il se lava dans un calme complet, les douches étaient vides de toute présence humaine, selon son odorat, mais il avait envie de soulager un besoin pressent, évidement rien ne l'empecher de s'épancher dans la douche, cependant, notre lycan a une pointe de savoir vivre. Il a donc enfilé une serviette et est parti droit dans les toilettes.

A son retour, il entendait l'eau qui tombait de maniere irréguliere, une autre personne était ici, qui? Bof, il s'en moquait, les douches étaient publiques. Il retira sa serviette et la racrocha pour qu'elle seche sur le radiateur alors qu'il entrait dans la piece blanche immaculait. Une femme nue, a genoux dans sa douche, les yeux ruisselant d'eau et la peau couleur neige qui se fondait presque dans le sol blanc tellement il était pale et neigeux. Mais bon, on va pas rester a revasser longtemps devant la jeune femme qui était en train de prendre une douche sous son jet et avec son savon et ses effets...

Je ne veux pas me montrer grossier ma demoiselle, mais pourriez vous le rendre mon savon, mon jet et mon éponge?

Sans aucune pudeur, il avencea vers elle et se placa de toute sa stature devant la jeune brunette sans meme savoir qu'elle était contesse ni rien. Il attendait simplement qu'elle lui rende ses affaire, si elle voulait des affaires de bains, il suffisait de demander. Dans un élan de gêne, Marcus déclara

Si... si vous voulez, finissez avec j'attendrais que vous vous soyez lavé...

[Hrp : Omg… Le post risque d’être nul, pardon, je voulais absolument répondre mais ma tête joue contre moi; gros mal de crâne T_T]

Son corps se figea subitement, les épaules légèrement reculées et la tête encore plus penchée vers l’avant. Quoi?... Le propriétaire de la douche n’était pas parti…? Gloussant légèrement, Heilayne se redressa très, très lentement, serrant un peu ses doigts sur le savon précédemment ramassé. Sans faire face à son interlocuteur, elle se contenta de rester dos à lui, trop gênée de dévoilée encore plus de son corps habituellement si pudique.

« je… Hmf… R..Retournez-vous… »

Passant délicatement les doigts de sa main libre contre son bras, la jeune femme commença à le masser un moment, toujours sous le jet de la douche. Sa chevelure se faisait plus rebelle que jamais; ses mèches glissaient dans son visage, ses épaules, sa poitrine, son dos et ses hanches. La rougeur commença à venir teinter son visage ou plus précisément, ses joues, prouvant sa gêne. Tout en tournant légèrement sa tête pour pouvoir voir derrière elle, Heilayne tendis le savon derrière elle, dans son dos. Les hommes… Qu’elle créature étrange… Agissaient-ils tous de la même façon? Pensait-il tous de la même façon? Elle ne le savait encore, ses rencontres avec la gente masculines ne c’était résumé qu’à deux ou, maintenant, à trois. Ses doigts se serrèrent fortement contre le savon de son interlocuteur. S’il avait été le bras d’une personne, ça faisait très longtemps que cette même personne aurait crier de douleur tellement elle serrait fort.

« Je suis désolé… »
Souffla-t-elle tout bas pour finalement répondre après le long silence qui c’était installé. « Je croyais que les douches étaient vides… Je… Je ne voulais pas vous voler ou.. q..quoi que ce soit… » Un petit soupire sorti par la suite de ses douces lèvres rosées légèrement entrouvertes, tentent bien que mal de retrouver son assurance perdue. Subitement, un cri sorti de ses lèvres; la température de la douche avait chutée. La pompe avait sauté? Peut être, ou peut être simplement que les étudiants avaient tous pris leurs douches très chaude et, maintenant, il n’y avait plus d’eau chaude… Ne prenant même pas la peine de fermer l’eau, Heilayne n’eut que le reflex de se tasser, glissant un peu sur le sol savonneux; s’adossant contre le mur de justesse, face à Marcus. 

Sans doute très géné, la jeune contesse fugitive se releva d'un bloc et resta comme tétanisé au son de la voix de Marcus, comme si il était la mort en personne et qu'il venait de lui annoncer que c'était la fin. La raideur de la jeune femme s'expliquait par sa gêne et aussi par la pointe angoissé qui sortait de ses paroles, comme si l'homme était une créature mistérieuse et inconnue pour elle. Enfin bon... Elle demanda timidement un demi tour au lycan, la belle affaire! Puisque c'est ce qu'elle désirait, probablement a cause de sa gene extreme de se sentir épier, il obéit dans un grognement dédaigneux et lui laissa tout le temps de se laver. Peut etre trop de temps. Lorsqu'elle s'excusa, pensant passer pour une voleuse ce fut un éclat de rire qui tinta la voix de notre jeune homme, un rire amusé mais loin d'etre méchant.

Toujours de dos, il saisie le savon qui était maladroitement tendue par la jeune femme et se retourna, sans baver devant ses courbes entrainantes. Il récupera la place, enfin il s'y aprétait quand le cri de surprise et le bond sur le coté de la douche de son interlocutrice l'informa qu'il n'y avait plus d'eau chaude.

C'est vraiment pas mon jour...

Sans plus attendre, presque comme si elle n'existait pas, Marcus avanca dans le box et coupa l'eau froide qui ruisselait sur son bras avant de se tourner d'un bloc vers la jeune femme et de saisir sa trouse de toilette qui était posé sur un rebord haut de la piece. Saisissant un peinge il se pencha sur la jeune femme avachi contre le mur et regarda sa tignasse enmélé. Tendant la main a la jeune femme, il lui saisie le bras et la releva sans douceur, mais sans non plus la démembrer.

Maintenant ne bougez pas, vos cheveux sont en piteux état, vous avez fait des galipettes dans la paille pour les mettre dans un tel chaos?

Sans ajouter mot, le jeune homme passa dans le dos de la femme aux cheveux emmélé et les mis tous dans son dos, dévoilant sa poitrine legerement caché  ainsi que le creux de ses hanches. Mais ou est le probleme? Il est derriere elle, il ne voit rien donc pas de soucie a se faire. Enfin c'est son point de vue. Lentement, il posa son peigne sur le sommet du crane de la jeune femme et descendit tout en douceur, chassant l'eau et les noeuds de ses cheveux en appliquant un coup plus rude quand il sentait une resistance.

Mais elle va grelotter si ca continue. Vraiment, on prend une douche dans un box qui est déja pris et en plus on laisse sa serviette sur le banc. Dans un soupir de dépit, il l'abandonna, parti saisir sa serviette et la lui tendi alors qu'il reprenait sa place dans son dos pour continuer a démeler sa longue chevelure.

Vous n'etes pas tres organisé pour une femme. On dirait que vous n'avez jamais mis les pieds en dehors de votre chambre de toute votre vie.

Marucus était loin de se douter que sa remarque était vrai, mais bon, que voulez vous on a pas tous un don de voyance.

« M..Mes cheveux, hmf..? Je ne les détachent jamais...»

Sans même avoir le temps de passer sa main dans sa longue chevelure couleur bois, le jeune inconnu, propriétaire de la douche qu’elle avait accidentellement volée commença à tirer ses mèches vers l’arrières, les laissant glisser sur son dos tout en dévoilant sans gêne son corps blanc comme neige. Affreusement gênée, Heilayne croisa les bras contre sa poitrine tout en déposant ses mains sur chacune de ses épaules, n’osant ni bouger, ni respirer trop fort. Sérieusement, les hommes étaient bizarres… Mais à la fois, ils étaient gentils. Bien qu’elle n’ait pas sortie très souvent de chez elle, à vrai dire, qu’elle n’ait jamais sortie de chez elle, elle devait l’avouer; les hommes étaient comme les femmes, simplement… Un peu plus… direct? Oh, c’était sûrement juste parce que ceux qu’elle avait rencontrés l’étaient, peu importe, Heilayne était tel un bambin sortant du ventre de sa mère; elle ne connaissait vraiment rien à rien du monde extérieur et il fallait le dire, c’était effrayent… Comment pouvait-elle se dire comtesse alors qu’elle ne sait absolument rien d’autrui? Un petit et triste soupire sorti sans le vouloir de ses lèvres, prouvant sa déception. Déception d’elle-même… Puis, encore une fois, son corps se raidit, ouvrant grands les yeux à la remarque suite à celle faite sur ses cheveux. Galipette…Dans la paille…?! Ses joues se tintèrent d’un rouge, sautant l’étape rosée. Sans répondre, Daelys ne fit que mordiller sa lèvre inférieure, se retenant de ne pas s’enfuir en courrant; ça aurait été bien son genre à vrai dire. Toujours aussi silencieuse, elle laissa Marcus la quitter, glissant par manie sa main dans sa chevelure encore un peu mêlée. Cette douceur qu’il avait de lui peigner la surprenait, vraiment… Après s’être fait relevée rudement, elle avait tout de suite pensée qu’il en aurait fait de même pour ses cheveux, enfin, les brosser sans grande attention, mais non, au contraire.

*Qu’elle idiote je suis… Laissez une personne, un homme en plus me touchez les cheveux et me voir nue…*

Soupirant encore une fois, Heilayne déposa sa main sur son visage, chassant quelques mèches rebelles tombées sur celui-ci. Sans même qu’elle ait le temps de dire « ouf », le jeune inconnu revint derrière elle, accompagné d’une serviette qu’elle prit rapidement même, d’une poigne un peu sèche sans le vouloir, l’enroulant autour de sa poitrine en l’attachant à la même hauteur. Malgré le fait qu’elle ne soit plus tout à fait nue à présent, ses joues restaient toujours d’un rouge vif, par chance, Marcus était dans son dos; il ne pouvait pas voir sa gêne, sa grande gêne. Ça aurait empiré le cas!

« Eh bien… Ce n’est pas totalement faux… »

Souffla-t-elle tout doucement et d’un ton de voix intimement bas, le regard rivé devant elle. Bien sûr, elle était déjà sortie de sa chambre; elle vivait dans un très, très, très grand manoir, mais ce n’était qu’un détail insignifiant car au bout du compte, sa phrase restait véridique et avait, à première vue, touchée la jeune femme qui avait laissé tombée la raideur de son corps, les épaules légèrement abaissées et la tête de même. L’une de ses mains se glissa contre sa nuque, la massant du bout de ses doigts tout en tentent de ne pas se mettre dans les jambes pendant qu’il lui peignait les cheveux. Pourquoi avait-elle dit ça…? Pourquoi l’avait-elle avouée..?

«Pourrais-je... savoir votre nom? »

Pinçant un peu les lèvres sous sa question indiscrète, Heilayne vint fermer les yeux, le visage encore plus rouge qu’il ne l’était déjà…

Marcus prenait en effet tout le temps nessaicaire pour ne pas blesser la jeune femme, tiens comment s'appelle t'elle au juste? Enfin, elle se présentera quand elle jugera le moment opportun. Lorsque le jeune homme tendis la serviette, il remarqua le far la contesse qui avait piqué dans le rouge et risquait de finir en cramoisi, mais par bienscéance, il ne l'avait pas relevé ouvertement, souriant a part lui meme en recommenceant a peigner ses cheuveux

Vous devriez éviter de passer vos doigts sur votre nuque tant que je n'ai pas fini, sinon ca risque d'etre tres douloureux.

Les noeuds apparents étaient presque tous retiré, maintenant, le lycan lui brossa les cheveux, les peigna plutôt, par en dessous, la phase la plus délicate car la plus douloureuse en cas de noeud épars. Mais sa chevelure fine était un don du ciel, jamais il n'avait peigné telle matiere si agréable au touché, on eut dit de la soie, mais avec un petit quelque chose en plus.

Vous demandez mon nom? Les convenances d'usages veulent que l'on se présente avant de demander le nom de l'autre, enfin c'est la coutume dans mon pays. Je me nomme Marcus, mais vous pouvez m'appeler Marc si jamais mon nom vous parrait trop étrange.

Sur ces denriers mots, le jeune homme quitta a nouveau sa voleuse de douche pour aller chercher des élastiques, malheureusement, dans ses affaires il n'y avait pas de quoi nouer sa chevelure et faire une tresse ne l'enchantait guere. Elle restait dos a lui, les fesses legerement voilé par sa longue chevelure soyeuse et brillante. C'était comme un tableau, mais le nu de ce tableau montrait une tres grande gene. Peut etre qu'il était resté trop près d'elle pendant trop longtemps, ou alors qu'il avait énnoncé les mauvaises paroles. Allez savoir, il ne pouvait pas se douter de ce qui se passait dans la tete de cette charmante créature.

Passant les bras sur ses épaules, le loup la fit pivoter pour planter son regard noir d'encre dans le seins. Elle était bien plus belle avec la tignasse mise en place derriere ses oreilles. Souriant d'un air satisfait, Marcus attrapa une petit meche qui était passé derriere l'oreille de l'interéssé et la fit passer devant elle, la laissant tomber le long de ses courbes.

Voila, là vous avez une tete correcte!

Cette exclamation venait du fond du coeur, il était passé de la fille de "the ring" a la reine de Nexus, avec quelques années et formes en plus. C'était donc un travail dont il était tres fier.

Mais si vous n'avez jamais quitté votre chambre, je suis donc le premier homme nu que vous rencontrez... Je dois vous avouer que c'est assez génant de se dire ca...

Et pas qu'un peut, il se retenais de rougir, mais surtout prenait pleinement conscience qu'elle avait une vue d'ensemble sur son corps et surtout sur ce qui se situe en dessous de la ceinture. Pitié pas d'erection, ca le rendrait vraiment mal a ce moment la... Et voila, ca commence. Marcus se senti rougir en cachant sa masculinité grandissante, rouge de honte d'avoir une telle réaction en se rendant compte qu'il est nu devant une tres belle femme. Mais le pire c'est qu'elle pourait s'en ofusquer et lui coller une sacré baffe...

Toujours en massant sa nuque du bout de ses doigts, Heilayne les retira aussitôt qu’il ait fait la remarque. Stupides manies, comment pouvait-elle se retenir de partir en courrant sans se détendre…? Le contact humain était bien, oui, très bien… c’était tellement un sentiment difficile à expliquer, elle qui avait habitude à être seule et à compter ses connaissances dans le 0, elle n’aurait jamais crue que la solitude pouvait être aussi pesante comparé à ce qu’elle vivait. Des situations cocasses, amusantes et gênantes, bien que ce soit assez bizarre; c’était plaisant, dans un sens. « Pardon… » Laissa-t-elle simplement échappée entre ses lèvres pour prouver sa malhabileté.

« Étrange? » Levant un sourcil, Heilayne tourna un peu la tête, passant sa main dans sa chevelure enfin terminée d’être peignée. Le minois interrogateur, elle ce contenta de sourire finalement, arquant un peu la tête de côté. « Mon nom est dix fois plus long que le vôtre, alors bizarre? Bien sûr que non! Hm… » Mordillant un peu sa lèvre inférieure sous un second secret dévoilé, la comtesse inspira un peu, tentent de garder et son calme, et son sourire. « Je dois dire que… Hm… La situation me.. Gêne… Et mes manières sont un peu… Hrm… Je suis Heilayne… Vous pouvez dire Hei, puisque mon prénom à moi aussi, est étrange »

Un peu bousculée en se faisant pivoter sur elle-même, Heilayne tentait de fuir le regard de Marcus, le visage toujours rouge de gêne. Ses bras étaient toujours croisés au niveau de sa poitrine, l’une de ses mains posée sur le haut de sa serviette, histoire de la retenir, au cas où elle penserait à glisser le long de son corps si lisse. Reculant un peu sa tête lorsqu’elle vit la main de son interlocuteur s’approcher, Hei se retint, figeant un peu et rougissant encore, bon sang… Qu’est-ce qu’il commençait à faire chaud…!

« Ah oui?... Oh, merci! Je dois… vous payez pour ça…? »

Arquant un peu la tête de côté, Heilayne vint finalement réussir à fuir le regard du loup, le laissant balader de gauche à droite, mimant de détailler les murs de la douche. Parfois, ses yeux trahissaient la volonté de la jeune femme, se laissant balader sur le jeune homme en face d’elle sans toute fois retrouver ses yeux. Comment allait-elle payer? Bien sûr, elle pourrait lui dire qu’elle allait aller chercher de l’or avec une petite compensation pour le temps que cela allait lui prendre, elle n’était pas sur sa terre, alors… Quelques jours pour aller prendre l’or et quelques jours pour revenir lui donner, ouf…!

« n..nu? Hrm… » Sans faire exprès, le regard noisette de la comtesse s’abaissa, apercevant le membre de son interlocuteur virilement dressé. Affreusement gênée, Daelys releva la tête d’un coup sec, posant ses deux mains sur son visage en tentent de cacher la rougeur qui avait atteint sa couleur maximale…! C’était sans doute… De sa faute…! Tout bas, d’un ton intime, Heilayne marmonna en répétition les mêmes paroles, bégayent même.
« d..désoler je.. je suis désolé.. vraiment.. désolé.. je… dé..hrm…désol..é… Je suis vraiment… »

Heilayne... Elle trouvait son nom étrange, mais Marcus avait comme le sentiment de le connaitre, ce n'était pas la consonnance de Terre... Mais alors, elle venait de Terra! Sans doute, mais pourquoi son nom était il aussi famillier a son oreille? Cette question resta en suspens car elle demenda si elle devait le payer et surtout comment. Si notre jeune homme n'avait pas état a ce point géné il aurait peut etre un peut moins hésité et lui aurait bien vite répondu, évitant de dévoiler sa petite faiblesse et de passer pour le gros pervrs du coin. Trop tard, elle a remarqué son erection, il est foutu. S'attendant a en récolter une bonne, il fut tout a fait surpris de la voir écarquiller les yeux en balbutiant des excuses.

Je... Vous n'avez pas a vous excuser... c'est pas votre faute... Et je ne demande aucun salaire... Contesse Heilayne.

Il avait enfin mis la main sur son nom, cette femme avait fait polémique dans la moitié de Nexus, sans raison apparente elle avait fuit le confort de la noblesse et s'était évaporé dans la nature. Une grosse prime était offerte a qui aurait la chance d'y mettre la main dessus et le courage de la ramener chez elle en un seul morceau. Mais cette chasse n'avait pas interesé le loup a l'époque, pourquoi il s'en interesserait aujourd'hui? Toujours est il que le regard porté sous la ceinture de la princesse mis le jeune homme des plus mal a l'aise lui aussi, son teint commencait a virer au rouge, il fallait qu'il parle, vite sinon il risquait de se retrouver dans l'incapaciter de bouger un muscle, tétanisé par la gêne.

Vous avez fait un long chemin depuis Nexus vous aussi apparemment, je ne suis pas d'ici, et par premier homme ce n'est pas vraiment la vérité puisque je ne suis pas tout a fait humain... Enfin, je suis pas un monstre pour autant rassurez vous...

Rasurez vous, rassurez vous, c'est plutôt lui qui essaye de se rassurer là! C'est pas elle qui a de la mouille plein les cuisse, mais bien lui qui se trouve dans une situation de profonde gene dont aucun gentleman n'aime jouir. C'est des plus embarassant, surtout que maintenant qu'elle a remarqué ca, elle risque de ne plus en détaché son regard. La gigne....

Les mains toujours déposées sur son visage pour cacher et sa gêne, et ses yeux, Heilayne ne savait ou donner de la tête. Dans un sens, elle avait envie de se laisser tomber au sol pour encore plus se cacher, la tête entre ses bras et dans l’autre, elle avait envie de paraître digne de son rang, digne de sa fierté… Mais, comment agir dans une situation aussi délicate? Elle devait paraître routière, mais son éducation ne lui avait jamais permis d’en imiter, et encore moins son expérience de vie! Déboussolée, quelques excuses continuaient toujours de sortir des lèvres de la comtesse, devenant de plus en plus inaudible par contre. Ses mains se retirèrent lentement de sur ses yeux, ne cachant maintenant que ses joues, la prunelle de ses yeux dirigée sur son interlocuteur, sans pour autant le regarder dans les yeux; elle était bien trop gênée…C’était tel une éclair lui traversant le corps, lorsqu’il l’appela Comtesse. Ses yeux s’écartèrent et, rapidement, ses mains vinrent se déposer sur le torse de l’homme, visiblement sous le choc.

« C…Comment est-ce que tu,… Comment est-ce que vous savez qui je suis?! »

Les yeux aussi gros que des 25cennes, la jeune femme resserra un peu ses mains sur la peau du jeune homme, en oubliant presque sa nudité si… gênante. Ce n’est qu’en bougeant un peu qu’elle pu le ressentir; elle s’était rapprochée pour poser ses mains sur son torse, résultat… Elle sentait une petite, non.. hm… Grosse? Enfin bref, contre sa cuisse! Par chance, il reprit parole et elle pu faire mine de rien, comme si elle ne savait pas ce qui était légèrement collé contre elle…!

« Mh, pas humain?... Comment est-ce possible?... Il… Existe des créatures, sur ce monde?... Vous n'avez pas l'air si effrayant...»

Le minois interrogateur, Heilayne vint arquer la tête de côté, retrouvant son calme, bizarrement. Son regard vint enfin retrouver celui de Marcus, toujours affreusement gênée bien entendue, à voir la couleur de son visage, mais aussi, très curieuse. Tout ce qu’elle savait à propos du monde extérieur était la plus part de leurs bâtiments, les herbes, puisqu’elle était soigneuse et d’autres petites choses faisant partie de son éducation. Il devenait de plus en plus intrigant, cet homme! Ou enfin, cette créature, peut être pourrait-il lui apprendre quelques choses de la vie de routier, encore s’il en est un…!

Allons donc, Marcus n'était pas assez géné d'avoir une erection en face d'une femme, completement nu, il fallait qu'elle en rajoute, qu'elle s'agrippe a son buste en se rapprochant de lui. Qu'elle colle sa cuisse contre sa masculinité, merci de me mettre dans l'embaras songea t il  au fond de lui meme. Meme si elle lui parlait, il avait du mal a décroché son attention de cette chair tiede qui frottait contre la partie la plus sensible de son corps, n'osant pas reculer par pur puérilité, évidemment dans sa tete, reculer voudrait laisser penser qu'il est homosexuel, c'est débile, mais c'est un homme en meme temps qui le blamera?

je suis de Terra, les chances pour que je sois simplement humain sont minces, c'est comme ca que j'ai appris votre nom et votre statut, mais la photo est tres mauvaise comparé a la réalité, si vous me permetez ce compliment.

Qui croirait qu'il était en réalité un loup? Son ton, ses compliments, on aurait dit un parfait courtisant, mais contrairement aux hommes de cour, c'était des plus naturel chez lui, il ne cherchait pas a se faire mousser en attirant un regard, un sourire ou un gloussement d'approbation, il savait juste manier sa langue et en faisait profiter celles qui le méritaient le plus naturellement du monde

Par contre ma demoiselle, je vais vous demander de vous reculer un peux, cette situation et cette trop grande proximité est au moins aussi génante pour vous que pour moi.

Son regard descendit sur la poitrine de la jeune femme qui était dangereusement pres de son torse et par dela son décoleté a cause de la serviere, il pointait son membre appuyé contre sa chair tendre et douce qui constituait sa cuisse. Elle était rouge, lui aussi, une personne entre sans savoir de quoi il en retourne, il les laisse en amoureux, alors que contrairement au tableau, ils ne sont pas ensemble, mais monstrueusement gêné l'un l'autre.

« Hrm.. Je devrais faire plus attention la prochaine fois… »

Marmonna-t-elle tout bas, pour elle-même, bien qu’à la distance qu’il y avait entre elle et Marcus, il avait très bien pu entendre. Une seconde vague de gêne envahit la jeune comtesse lors du compliment, abaissant rapidement la tête pour, encore une fois, fuir son regard. Qu’est-ce qu’ils faisaient là? Dans une douche, à parler de ci et de ça, sans même se soucier de la délicatesse de la situation! Du bout des lèvres, Heilayne le remercia pour le compliment, ne trouvant autre chose à dire que cette simple formule de bonne manière. Il n’y avait néanmoins rien d’autre à dire, non? Un ‘’Vous aussi’’ aurait été de mise, mais déjà là, la gêne l’empêchait de bien parler et la situation de bien agir, alors de se rappeler les bonnes manières…

Tout son corps, une seconde fois se raidit d’un bond. Trop… Près?... Sa tête se releva, le minois interrogateur et constata, à son tour, qu’elle était presque collée contre l’homme. Ses yeux s’ouvrirent grands et sa bouche de même, en forme de cœur, se retournant d’un coup. Ses mains posées sur ses bras, croisées contre sa poitrine, les yeux clos, ses dents martyrisaient ses douces lèvres rosées. Si on ne la connaissait pas, on aurait bien pu croire que ce qu’elle venait de faire quelques secondes plus tôt, c’était le courtiser, mais bon sang, elle n’était pas comme ça! Que pouvait-il penser d’elle maintenant? Une jeune duchesse vaguant de terres en terres histoires d’aguicher le plus d’hommes possibles? C’était tellement embarrassant...! Ses doigts commencèrent à se serrer fortement sur la peau blanchâtre de ses bras, les martyrisant eux aussi, comme sa lèvre. Le corps blême de la jeune femme tremblait grandement, non pas de froid mais de toutes ses émotions qui s’enchaînaient dans sa tête. S’excuser? Elle n’arrêtait pas de le faire depuis le début de leur rencontre! Il fallait passer à autre chose, changer un peu le sujet, car à cette vitesse, Heilayne ne pourrait que partir en courant…!

« Qu’es… » Toussant un peu pour se donner courage, elle reprit. « Qu’est-ce que vous êtes… alors?... »

La jeune femme était visiblement déçue qu'il la reconnaisse, mais elle n'était pas insensible a sa cour, ce qui était un peut normal vue la maniere douce qu'il avait de s'y prendre, surtout naturelle. En effet, appeler une belle femme, un charmant bouton de lys dans un jardin de rose était naturel pour lui. Ce qui l'était moins, c'était qu'elle lui pose un baiser sur son compliment, il en rougissait que davantage, mais avant qu'il ne puisse répondre, elle se tourna, montrant son dos et ses cheveux bien peigné. Ses doigts sur ses bras, limites a transpercer sa chair, elle semblait pleurer.

Je ne suis pas totalement humain, je prefere ne pas parler du reste.

Sur ces mots, il s'avanca dans son dos, mettant sa timidité et sa gêne, surtout sa gêne en fait, de coté et l'enlaca pour la décrisper, il lui souffla dans le creux de son cou

Ne vous abimez pas vos bras de la sorte, je vous ai dis que vous étiez belle, je suis sur que votre sang l'est aussi, mais pas la peine de m'en apporter la preuve. Allons détendez vous, on est dans une douche, pas devant des seigneurs qui pourraient mal interpreter un simple merci.

il parlait clamement et d'une voix douce, se voulant rassurant, mais il avait oubilé un détai dans l'histoire, sa membrure frottait maintenant ses fesses bombé et d'une grande douceur malgres la serviette, qui ne les couvrait pas entierement d'ailleurs

Un simple hochement de tête vint approuver les dires du loup. Il ne voulait pas en parler et elle ne voulait pas le forcer, donc, la meilleure des choses était de ne rien dire du tout sur ça, bien que sa curiosité était grande, trop grande… Malgré tout, c’était le seul sujet auquel elle ce devait de s’accrocher pour ne pas tomber dans les vapes tellement la situation lui était gênante. Si on les voyaient et la reconnaissait, s’en était fini d’elle. Comment le roi allait réagir? Lui, de nature si cruelle… À cette simple pensée, Heilayne gémit une petite plainte, n’osant laisser son imagination aller plus loin sur le comment elle devrait payer. Déjà, en quittant sa demeure, elle avait violée beaucoup de règles sans le savoir, elle ce devait d’être une épouse parfaite, et au lieu de ça, elle rêvait d’aventure, de découvertes et de savoir. Pour une comtesse, c’était assez perturbant… Perdue dans ses pensées, Heilayne ne remarqua pas tout de suite le contact humain contre elle, les yeux toujours clos et le corps tremblant.

« Ne...Ne dites pas ça… C’est gênant… »

Laissant échapper cette petite phrase entre ses lèvres, dans un souffle, Daelys vint ouvrir les yeux, fixant un instant les bras autour d’elle. Bizarrement, elle ne le repoussa pas et ne lui donna aucun coup de coude pour le faire décoller. Depuis qu’elle c’était « échappée » de son manoir, il avait été la première personne compréhensive avec elle, comment le remercier? Un coup de poing ne serait pas le bienvenue en tout les cas! Son corps se détendit très légèrement, tentent de paraître un peu moins crispé et raide qu’elle l’était; bien que c’était assez dur de se détendre complètement, surtout avec le membre de son interlocuteur lui caressant les fesses et son souffle lui caressant le cou.

« Vous êtes très gentil… avec moi… mais, y a-t-il anguille sous roche? Je me sens… Un peu mieux mais vous savez, comme je me suis ‘’échappée’’ de chez moi… Je n’ose faire confiance à qui que ce soit… »
Laissant une pause s’installer dans sa phrase, la tête de la jeune femme se tourna très légèrement pour pouvoir porter son regard sur l’homme derrière elle ou plutôt, collé contre elle. Ses bras restaient croisés contre sa poitrine et ses mains posées sur ses bras, sans pour autant les martyriser cette fois, ne faisant qu’y trouver repaire.
« Pourrais-je vous faire confiance, Marcus…? »

Me demander si je suis une personne de confiance est pas le mieux a faire. Une personne mal intentionné dira oui et vous piegera, fie toi a ton instinct, c'est ce que je me dis en croisant quelqu'un, je vous conseille la meme maxime, si vous me pensez digne accordez moi votre confiance, vous acez déja la mienne vue que je vous ai révélé mon véritable nom et mon origine, meme ma nonhumanité.

Sur ces denrniers mots, le jeune homme desseré un peut son étreinte, me fait de se retrouver contre les fesses a moitié découverte de la contesse avait fait monter du sang dans un muscle qu'il valait mieux laisser au repos a ce moment précis, mais peut importe, son érection était un compliment en soit, preuve qui la trouvait attirante et qu'elle conservait un charme monstrueux malgré sa réserve, ou plutôt grâce a cette réserve. Sans comprendre pourquoi, il l'embrassa dans le creux du cou, rougissant de son geste il chercha a toute allure un pretexte alors que son sexe palpitait d'envie.

C'est... pour vous prouver ma confience en vous...

Peuh confiance, tu parle! L'annimal en lui cri pour se liberer et sauter sur cette femelle qui est des plus attirante, mais il est humain, c'est une humaine, pas une louve, alors il attendre et la conquierera comme il se doit aupres des dames de la cour, avec classe et distinction, meme si au niveau de la ceinture il y a un simulacre de rapport sexuel des plus dérangeant car le moindre mouvement de l'un comme de l'autre donne plus de sensation a la chair tendu du lycan.

(cours désolé >.<)

« Je préfère vous le demandez… Et puis, votre réponse me prouve que je fais bien de vous faire confiance, alors je suis heureuse! »

Le sourire aux lèvres, Heilayne gardait la tête légèrement tournée vers son interlocuteur. Sa gêne semblait un peu passée, mais il restait toujours cette petite couche rougeâtre apposée sur ses joues, prouvant sans le vouloir que, malgré tout, elle se sentait timide face à lui. Ses cheveux lui tombaient sur le corps et un peu dans le visage d’une manière rebelle, elle qui ce doit de toujours les gardés noués en présence d’homme, c’était fichu…! Mais… Ne l’avait-il pas vu nue? C’était beaucoup plus loin que la voir les cheveux dénoués, donc, moins ‘’dangereux’’ comme aurait dit sa mère. L’un de ses bras se desserra de sur sa poitrine pour se laisser tomber le long de son corps, approchant ses doigts de la main de Marcus, la frôlant très légèrement. Était-ce la vapeur des douches qui lui faisait perdre la tête? Normalement, la comtesse aurait du partir dès le début, mais non, au lieu de ça, elle était restée. Elle était même blottie dans les bras de son interlocuteur, lui frôlant la main du bout de ses doigts en allant finalement trouver refuge sur son avant-bras.

Eh bien, elle n’était pas la seule à perdre la tête fallait-il croire, surtout suite au baiser dans le creux de son cou! Son corps se raidit un peu sous le contact de ses lèvres contre sa peau, laissant sortir un petit soupire d’aisance entre ses lèvres, sans le vouloir. Son autre main, déposée sur son propre bras à elle alla se déposer contre sa bouche, le visage encore une fois rouge. Son corps était raide, ses cuisses serrées l’unes contre l’autre et, une petite vague de chaleur l’avait enveloppée, que ce passait-il?! Devenait-elle folle?!

« C..confiance..? M…merci… »
Dit-elle très, très bas, d’un ton véritablement intime. Malgré sa main posée sur ses lèvres suite au petit soupir, elle avait bien pu se faire comprendre, du moins, espérons. De toute façon, ce n’était pas bien important, même si… Un remerciement, c’est toujours important, non?

[Hrp : Tant fait pas, c'est bien assez pour me donner de l'inspiration ^^]