Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le "Non" n'est pas une réponse [PV: Ikitsu Naomi]

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Hiro

E.S.P.er


Une limousine, ce n’étais pas vraiment pas ma tasse de thé, mais comme ce n’était pas moi qui payais pour le tout, donc ça pouvait aller. Je savourais un bon verre de scotch alors que l’homme devant moi fumait un cigare, tapotant nerveusement le bras de la luxueuse banquette en cuir de la voiture. Il devait être 6 heures du matin. Pour ce genre de transaction, on se devait de ne pas trop éveiller les soupçons.

Vous savez, monsieur Atayoshi, je me demande si nous n’allons pas trop loin, nous privons des jeunes vies de leur liberté…

Je souris en coin en me reprenant un peu de cet alcool coloré cuivre.  Prenant cependant un nouveau verre, que j’allais servir à mon interlocuteur, je de façon posée

Monsieur le Maire… Khoga… Vous saviez très bien ce en quoi nous nous embarquions dans ce genre de business. Il est trop tard pour reculer…

Le maire prit alors le verre que je lui tendais en hochant de la tête. Je tournai la mienne vers le bâtiment sombre, qui était à quelques blocs d’où nous étions garés. Un homme sortit dudit bâtiment avant de marcher vers la limousine, regardant de part et d’autres, avec une mallette et un sac de sport… Deux millions par esclave et notre client avait acheté deux hommes et six filles, pour un grand total de seize millions, soit huit pour moi, et huit pour notre cher maire. Pourquoi avais-je besoin de lui? Pour qu’il ait quelque chose à perdre s’il devait à faire une enquête sur les hommes qui constituaient la police, et qui gardaient généralement l’entrée avec une voiture de patrouille qui « vérifiaient la vitesse des voitures dans le quartier ». Oui, les forces de l’ordre de Seikusu était désormais mes gardes du corps personnels, plus besoin de ternir mon image en me concentrant sur les Yakuzas.

L’homme ouvrit alors la portière pour venir s’assoir dans la banquette entre moi et le maire, la voiture décolla alors pour un endroit inconnu.

Messieurs, voilà comme vous avez demandé. Sept virgule cinq millions pour chaque, et un million en billets marqués.

Je souris en coin en voyant le visage du maire changer d’expression.

Un million en billets marqués pour que vous mettiez dans un endroit bien précis, préférablement un endroit qui fabrique de la dope, et vous ferez entrer la police dans cet endroit, ainsi on jettera un os aux médias et tout le monde sera content. En plus, on aura le champ plus libre. Oh et une dernière chose, Chauffeur!

La voiture s’arrêta dans un grand crissement de pneus, j’ouvris soudainement la porte puis attrapa l’homme qui avait fait le deal avec notre client, puis le jetai en dehors avant de sortir mon fidèle pistolet.

Persone ne doit savoir que nous sommes impliqués dans cette affaire, et toute fuite éventuelle est rejetée immédiatement. Désolé, ce sont les affaires.

Je tirai alors trois balles dans le corps de l’homme avant de lancer une rose sur le corps inerte,refermer la porte et de faire signe au chauffeur de décoller. Un petit sourire satisfait aux lèvres, je fit signe de s’arrêter, et je débarquai après avoir serré la main du maire, de le remercier pour le cigare que je venais tout juste de prendre puis parti avec le sac de sport sur le dos, marchant tranquillement dans les rues de Seikusu,  avec les vêtements que j’apprécie plus que tout; chandail noir, manteau d’automne mauve, pantalons noirs et chaussures Prada noires. Mais je devais rapidement les troquer contre un complet noir et blanc, mon déguisement d’avocat.

Après une dure journée au travail, j’avais un peu le goût de célébrer cet argent facile que je m’étais fait plus tôt dans la journée, je suis donc parti dans un petit bar dans le centre ville. Il n’était pas huppé, mais il avait un certain luxe, où le trois quart des gens fumaient des cigares et buvaient du scotch en rigolant entre amis. J’étais donc seul, un verre de whiskey à la main, je regardais le chef de la police, qui était à ma botte, comme tous les policiers, dire qu’il avait une piste sur un important vendeur de cocaïne qui sévissait dans les alentours du lycée.

Ça  m’a fait sourire, cette mascarade qui partait simplement de moi. Après ça, on dira que derrière chaque grand homme, se cache une femme, mais je me cache derrière ceux de Seikusu, agissant dans l’ombre pour plonger ce monde dans les ténèbres, l’amener à ma botte, petit à petit.

Mais ce soir, c’était repos, alors je pouvais bien faire la fête un peu. Après mon troisième verre de whiskey, je remarquai une femme au bar, à la carrure fine, mais possédant quand même une certaine musculature, elle devait faire un peu de sport, à mon avis.

Je me levai alors pour aller m’assoir aux côtés de la femme puis lui sourit, mon verre de whiskey encore dans les mains.

Bonsoir,  comme j’ai vu que vous étiez seule, je me suis dit que vous auriez peut-être besoin de compagnie,  je vous offre quelque chose à boire?


Ikitsu Naomi

Re : Le "Non" n'est pas une réponse [PV: Ikitsu Naomi]

Réponse 1 samedi 14 mai 2011, 01:35:13

Aujourd'hui avait été une mauvaise journée pour moi, très mauvaise même. Nous étions, moi et mes élèves en plein cours dans une petite forêt qui longe de lycée, je les faisaient courir afin d'améliorer leur souffle. Il faisait particulièrement beau, en plus c'était le dernier cours de la journée pour moi et je pourrais profiter de la fin d'après midi pour me reposer au soleil. Mais c'était sans compter sur ces foutues crises, brusquement à la fin du cours j'en ai sentie une arriver. Il ne restait que quelques minutes de cours mais j'ai dis aux élèves de s'en aller, ils ne sont pas fait prier bien entendu et ils m'ont laissés seule. Juste après que la porte des vestiaires fut claquée, je me suis effondrée tandis qu'un jet de cyprine inondait ma tenue de sport, dégoulinant le long de mes cuisses jusqu'au sol.

Pour la première fois, ma crise me provoqua d'étranges délires, mais j'étais tellement déboussolée que je ne m'en suis même pas rendue compte au départ. Je voyais plusieurs élèves entrer dans les vestiaires, ils me demandaient si ça allait, puis ils se sont mis à rire en me voyant ainsi. Ils parlaient de moi comme l'ont parle d'une prostituée, pas d'une professeur, mais ce qui m’inquiétait c'est que j'avais aimé qu'ils me parlent comme ça. Puis ils ont commencés à me toucher, toujours en riant en se moquant de ma détresse de mon incapacité à réagir, ils me disaient des choses du genre :

"Et bien professeur, je savais que vous fantasmiez sur nous mais pas à ce point là, vous êtes toute trempée ..."

"Arrête ce n'est plus notre prof, nous devons le respect aux profs, comment veux tu respecter ça ? Elle ne ressemble même plus à un être humain, on dirait une chienne en chaleur."

"Et si on en profitait pour adopter une petite chienne les gars ? Tu l'imagine venir à quatre pattes devant toi pour te faire une petite gâterie ?"


Ils se sont alors déshabillés avant de me retirer mes vêtements, puis j'ai sentis leurs mains sur mon corps, impossible pour moi de dire combien ils étaient. Puis j'ai poussé un cri lorsqu'un premier glissa son sexe entre mes fesses, dans la foulée un second glissa le sien entre mes cuisses. Ils commencèrent à aller et venir brutalement et à ce moment j'avais complétement perdu la maitrise de mon corps, j'avais complétement perdu contre la succube. Puis j'ai ouvert les yeux, couverte de sueur et de cyprine, toujours habillée, toujours seule, tout cela n'était qu'un long rêve dont le réalisme était assez déconcertant.

J'ai quitté le lycée dans un état pitoyable, je puais la sueur et la cyprine à plein nez et avec la peur au ventre, peur d'être découverte. Malgré la situation je me suis quand dirigée vers un bar proche de chez moi, j'avais besoin d'oublier mes problèmes. J'y suis restée toute la fin d'après midi et la soirée, j'avais bu plus que de raison et je voulais être seule, j'avais déjà dû rembarrer trois ou quatre gars depuis que j'étais arrivée. L'avocat ne fit pas exception, à peine eut il terminé sa phrase que je me suis empressée de répondre d'un ton sec, sans l'avoir vraiment écouté :

"J'ai assez bu et j'ai besoin d'être seule, d'ailleurs je m'en vais."

Je me suis aussitôt levée, direction la sortie du bar, je ne voulais pas donner une chance aux éventuels profiteurs qui voudraient abuser de ma temporaire faiblesse. J'ai marché vite, mais d'un pas mal assuré jusqu'à mon appartement au bout de la rue, je m'y suis engouffrée, sans fermer la porte à clé, je ne le faisais jamais. De toute façon qui entrerait dans une maison occupée ? Je me suis fait couler un bon bain bien chaud et en attendant qu'il se remplisse j'ai pleurée. Je me sentais pitoyable de me retrouver dans de tels états, je puais la cyprine à des kilomètres, la sueur idem. Je voulais juste que tout redevienne comme avant, même l'alcool ne m'aidait pas à oublier, je n'arrivais pas à me débarrasser de mes problèmes quoi que je fasse. Il y avait bien une solution : céder à mes pulsions et devenir une succube à part entière, mais c'était hors de question. Je me suis glissée dans le bain après avoir jeté mes habits par terre avec négligence, puis je me suis endormie, la tête posée sur le rebord de la baignoire.

Hiro

E.S.P.er

Re : Le "Non" n'est pas une réponse [PV: Ikitsu Naomi]

Réponse 2 dimanche 15 mai 2011, 04:17:14


La jeune femme m’avait tout simplement et tout bonnement envoyé paître et était parti sans mot de plus. On ne me dit pas non… Surtout d’une manière aussi cavalière, je ne pouvais pas laisser quelque chose de ce genre arriver sans envoyer un message clair à la jeune femme. Généralement, je l’aurais simplement touché et dit clairement ce que je voulais, mais la manière qu’elle avait refusé était totalement déplacée, je me devais donc de faire de sa vie un enfer.  Je me levai donc tranquillement, après qu’elle ait disparu de ma vue, puis la suivit de loin.

Une fois rendue chez elle, je rebroussai le chemin, allant chercher une paire de jumelle dans ma voiture, puis retournai  sur un toit, près de l’appartement ou la jeune ingrate habitait. Elle était dans son bain, n’avait pas pris la peine de fermer la porte de la chambre de bain. Après quelques minutes, elle n’avait pas bougé, c’était donc le temps d’agir.

Comme j’allais déverrouiller la porte avec un vieux truc qu’on m’avait appris, en tournant la poignée, la porte s’ouvrit, tout bonnement. Eh bah, celle là n’avait pas peur des entrées par effraction. Bref, j’entrai dans la chambre de bains et, comme constaté, elle dormait. Oh, oui, j’aurais pu la violer dès maintenant, mais  ce ne serait pas très sage, si je voulais ma vengeance, je me devais de savoir à qui j’avais à faire. Comme ça, je pourrais donc mieux ajuster l’humiliation que je souhaitais lui réserver.

J’allais donc dans sa chambre,  farfouillant dans ses affaires. Dans un sac à main, je trouvai un petit porte-monnaie où il y avait ses cartes. Elle s’appelait donc Ikitsu Naomi. Bon, il était vraiment temps que je rentre chez moi, si je ne voulais pas faire de vague.

En refermant délicatement la porte, sans bruit, je ne pus réprimer un sourire malveillant. Oh oui, elle allait y goûter, cette salope. Marchant tranquillement dans la rue, en direction de ma voiture, je sortis mon petit flacon puis, avant de prendre une gorgée de l’alcool, je me retournai vers la demeure de la jeune Naomi en levant mon flacon.

Venez boire à la coupe de la destruction…

Je pris alors une gorgée. Genghis Kanh, souverain mongol.  C’était mon héros, il voyait quelque chose qu’il appréciait, et le prenait, tout simplement. Un peu comme moi dans le fond.

Au retour à la maison, je me mis en tête de faire mes devoirs sur cette jeune femme. Le lendemain, je me rendais sur le lieu de travail de la jeune Naomi, le lycée de Seikusu où elle travaillait comme prof de gym.

La particularité de ce lycée, c’est qu’il y avait des téléviseurs  partout dans le bâtiment. Après les avoir contemplé, je réalisai que c’était pour diffuser des annonces du directeur ou des adjoints, dans tout l’endroit… Particulier comme approche, quoiqu’efficace.

Je continuai à l’espionner, à la regarder agir, ses habitudes, ses endroits fétiches, les chemins qu’elle empruntait simplement pour trouver le meilleur moyen de la piéger. Il va sans dire que je m’étais déguisé différemment à chaque fois, pour être bien sûr qu’elle ne me reconnaisse pas. Pour le moment, je n’avais trouvé aucune manière de l’humilier, mais ça allait venir…   



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