Une anguille et un géant. PV Don

Hiroko, plus énergique tes poings et pense à les ramener près de ton corps, sinon ton adversaire va les saisir et te faire une prise pour t'immobiliser.

Oui père.

J'avais de la chance aujourd'hui mon père est là, suite à l'arrestation d'un gros trafiquant de drogue n'ayant aucune attache aux Yakuzas, il avait reçu une journée de repos, pour décompresser, il en a profité pour me dispenser de cours et m'amener dans un dojo, le sol en parquet étant pour lui le meilleur support pour tomber et savoir qu'une chute fait mal.

Cela fit bientôt trois heures que mon corps subissait sans le moindre relâchement, les assauts de mon père, il me ménageait car il n'y allait pas franchement, sinon je n'aurais aucune chance ne serais-ce que de le toucher, il préfère augmenter le niveau au fil des progrès que je fais.

C'est alors qu'il arrête de combattre.

C'est tout pour aujourd'hui, tu n'as pas besoin de te justifier à l'administration, je l'ai fait, va prendre une douche dans le gymnase, tu sais comment est ta mère quand elle te vois revenir en sueur. Tu devras y aller en courant, en ayant le droit à une petite pause en marchant quand tu verras le toit du bâtiment.

Je m'exécute, mon corps est un peu endoloris, mais cela me faisais un bien fou de me battre contre mon père, restait  savoir si je serais assez en forme ce soir pour tenter d'améliorer l'électrokinésie, mais pour l'heure il était temps de courir.

C'est ainsi que je fis l'aller en courant, dans ma tenue de sports, trempé de sueurs, tout comme mon visage et mes cheveux, une bonne douche était une merveilleuse idée.

J'entre dans le gymnase et me dirige vers la première douche pour femme, cela serait marrant de me tromper, mais pas pour les garçons, ils ont toujours peu d'humours.

J'allume la lumière et retire mes vêtements, prenant une serviette, une culotte noire, un soutient gorge de la même couleur et une magnifique robe bleu marine.

Je met tout ça sur une des séparations des douches, puis je fouille dans mon sac pour sortir savons et shampoing, je retourne dans la cabine et tourne les robinets, c'est lune des seules ouches où l'eau peut être réglé, je met l'eau chaude et commence à me savonner en chantonnant.

Haaaa ... Rien de mieux après une journée qu'une bonne douche.

Mais déjà dans les douches sans vraiment le savoir se tramait un sombre acte mené par un homme a la peau sombre. La petite lycéenne n'avait pas eu de chance, elle était tombée lors de la permanence de Don dans un créaneau ou ni les clubs, ni les classes n'avaient sport, il avait alors soudainement éteint les lumières et lui était tombé dessus sans qu'elle comprenne quoi que ce soit, et s'occupait a présent de la prendre sans vergogne sous la douche, écrasant son petit corps frèle sous ses cent cinquante kilos de muscles, ne se préoccupant que peu de sa virginité, celà faisait bien une demi heure que celle ci était sa chose. Pendant les quinze premières minutes elle avait crié a s'en décrocher la machoire, mais personne n'était venu a son aide et elle s'était cassée la voix a essayer de faire celà, depuis ce qui sortait de sa bouche n'étaient plus que de petit râles a chacun de ses coups de bassin. Il allait bientôt finir par se vider en elle, après quoi il la ramenerais dans sa camionette où elle irait augmenter le nombre d'esclaves en sa possession. Il avait bien hâte, surtout qu'il sentait les forces de la gamine faiblir entre ses bras, signe qu'elle allait bientôt s'évanouir.

Jouissant soudainement en elle, elle poussa un petit couinement avant de s'étaler au sol, dépourvue de toute force physique alors que Don se retirait, bien content de son acte, il allait récupérer la gamine dans ses bras quand soudain les lumières s'allumèrent.

*Et merde ! Quelqu'un viens !*

Heureusement qu'il y avait plusieurs parois dans ces douches derrières lesquelles il pouvait se cacher, il fit silence et jeta un coup d'oeil discret derrière la paroi avant de loucher sur celle qui venait d'arriver. Une étrangère était rare au japon, vu ses cheveux elle devait être americaine ou européenne, il ne voyait que son postérieur, mais celà lui suffisait a supputer que sa poitrine devait être a des proportions de rêves. Il saisit la jeune fille evanouie et sortit discrètement de la douche, ses bruits de pas couverts par l'eau qui s'écrasait. Arrivée là il la jeta sans plus de cérémonie a l'arrière de sa camionette insonorisée avant de lui passer un collier et des chaines, Don n'avait toujours pas mis le moindre vetements mais il savait qu'il n'y avait personne qui le verrait (Et puis il avait vérifié, sur le coup)

Don était ici car il avait un travail de surveillant a mis temps pour le lycée, ce travail venait avec de nombreux avantages non négligeable, une présence pour le moins innocente sur les sols de l'école mais également...un passe partout lui permettant d'avoir accès a ces douches, de les laisser ouverte ou bien de les fermer...Et il allait jouer avec ceci.

Se dirigeant a pas feutrés vers les séparations des douches, Don se baisse et récupère discrètement les vetements que la foudroyante avait préparé pour après la douche ainsi que la serviette avant de se diriger vers son linge sale et récupérer tout ça également, faisant bien attention a ne rien laisser pour qu'elle se vétisse avant de disparaître.

Elle aurait alors le choix : sortir dans le gymnase et passer dans la rue jusque vers le dojo entièrement nue, ou rester chercher des vetements...Et il était presque sur de ce qu'elle allait faire.

Il attendais celà avec impatience.

Je baisse mon buste pour savonner mes jambes, que c'est agréable de se masser les muscles sous une douche à la bonne température, il n'y a pas un bruit, rien de plus normale, à cette heure tardive, tout les clubs étaient fermés, seul le gymnase restait ouvert, pour ceux et celles voulant faire un peu de sport avant d'aller dans les dortoirs ou rentrer chez eux.

Après le savon, je saisis le shampoing, senteur des bois, mon préféré. Je me lave les cheveux, quand mon oeil droit me pique, aussitôt je le mouille abondamment, ça pique mine de rien.

Je voulus saisir ma serviette, mais ne la trouve pas, je mouille mes cheveux pour chasser tout le shampoing, constatant que mes affaires ont disparu, je ne panique pas, sans doute des plaisantins qui veulent  s'amuser un peu.

J'ouvre la porte de la cabine et ne vois pas mon sac, merde alors, je cherche s'ils auraient laissé au moins un haut, mais rien, pourtant ce n'est pas faute d'avoir cherché, je me mis à réfléchir, il ne me restait plus beaucoup de possibilité, c'est frustrant, je sens mon électricité se concentrer au bout de mes doigts et souffle un bon coup, pour me calmer et faire refluer les décharges, cela serait mauvais de faire disjoncter le gymnase.

Je sors de la douche, prenant soin d'éteindre la lumière avant de sortir, on ne sait jamais, puis je regarde dans le couloir, rien. C'est trop silencieux, on devrais quand même entendre ses idiots se mettre à brailler qu'ils ont récupérer mes sous-vêtements.

Je me dirige vers la réserve où sont entassés les outils pour pratiquer le sport, avec de la chance il y aura des vêtements de sport à ma taille, tant pis si je sort en tenus de judo ou en ballerine.

Effectivement, la salle de sport était l'endroit le plus plausible pour trouver des vetements, et a cette heure tardive il y avait peu de chance que quelqu'un passe dans le coin. Don s'y était rendu immédiatement et avait verouillé la porte menant aux casiers des vetements grâce a son passe partout avant de quitter les lieux, même si par un moyen ou un autre, la jeune étrangère tentait de rentrer il faudrais encore ouvrir les casiers. Mais Don avait encore une dernière touche d'ambiance a ajouter a sa chasse. Se dirigeant vers l'office du concierge, il ouvrit le boitier du transformateur et eut un sourire pervers...Dans la nuit tout pouvait arriver. Tirant sur le levier, il fit sauter les plomb de l'établissement, laissant l'americaine dans le noir le plus complet de salles éclairées uniquement par les fins rayons de soleil de la fin de journée...Créer une ambiance était primordial pour la suite des opérations, il se sentait comme une panthère noire, se cachant dans les profondeurs de la nuit pour attraper sa proie, il voulait l'entendre crier, il voulait la sentir frissonner de peur alors qu'il se faufillerais derrière elle, tel deux animaux de chasse, tous les deux nus, tous les deux ne pouvant se fier qu'a leur sens les plus primaire, ils se poursuivraient et se chasseraient...Jusqu'a ce que ça soit le prédateur qui finisse la proie, peu importe les cornes de la gazelle. Elle ne pouvait rien contre ses crocs.

Don était encore loin de se douter qu'il avait affaire a une ESPER, mais néanmoins il restait prudent, peut être que cette étrangère a la voluptueuse poitrine et aux mensurations de rêve était une experte du combat au corps a corps, auquel il n'avait a répondre que sa grande taille et ses muscles. Néanmoins il avait vaincu des adversaires bien plus inateignables, alors il ne se faisait pas d'illusion quand a la jeune fille...Il l'aurait, comme toutes les autres avant, c'était pour ça qu'il était un prédateur, et elle une proie. Le téléphone de l'école ne marchait pas sans une carte, et elle n'avait pas de portable. Bien sur elle pouvait sortir dans la rue, mais soyons honnète, qui sortirais dans la rue entièrement nue ? Don laissait cette échapatoire improbable tout en sachant très bien que la jeune femme ne la prendrais jamais, rien que pour la faire souffrire un peu plus.

L'annexe est plongée dans le silence, Don se tapit dans l'ombre et écoute les pas de la jeune femme pour voir sa prochaine destination, il tend l'oreille sans faire de bruit, excité au maximum par cette chasse a la femme qui trouverait une délicieuse fin, il ferait grimper en elle l'adrénaline, il ferait grimper en elle la peur, jusqu'a ce qu'elle le supplie presque de venir la violer...

Il n'y avait qu'a attendre...

J'arrive devant les casiers, j'ouvre la porte, du moins j'essaie, fermé. C'est alors que les plomb sautent, bah, en Amérique il y en a souvent, alors pourquoi pas au Japon et puis le soleil émet encore assez de lumière pour me permettre de voir ce que je fais.

Bon les casiers sont fermés, comment ses ouvrir.

Je regarde partout et trouve un banc et un extincteur, l'un allant faire un bruit pas possible et l'autre assez dangereux pour geler mes membres. J'ai aussi le choix d'attendre que quelqu'un vienne, mais la première question qu'ils vont me poser c'est ce que je fais à poil dans un établissement public, trop réfléchir ça donne mal au crâne.

Sans plus attendre, je me dirige d'un pas léger vers le tableau d'alimentation, puis je vois la porte, je tente de la pousser, visiblement personne ne l'a fermé, si je n'avais d'autre choix que de sortir, ben je devrais y aller, par chance l'air n'était pas froid et une amie se trouvait à à cent mètres, je n'aurais qu'à lui emprunter quelque fringues, les laver et les lui rendre demain.

Je regarde le disjoncteur et vois que la manette était baissé, je la relève, voyant le courant repartir. Je vois un pièce par terre, je la prend et la jette en l'air.

Pile je reste, face je pars.

Je la laisse tomber et voit : Face. Je soupir.

Mère va me tuer, mais bon.

Je passe la porte et part en sprintant vers la maison de l'amie en question, je jette des graviers à sa fenêtre et elle me demande pourquoi je suis toute nue dehors, je lui demande de me jeter des fringues pour que je puisse rentrer chez moi habillée.

La robe est très sexy, trop sans doute, elle me donne aussi des chaussures à talon plat. J'enfile le tout, elle ne m'avait pas donné de sous-vêtement, tant pis, à moins d'un gros coup de vent, personne ne s'en douterai.

Je marche donc dans la rue en direction de chez moi.

...Il était pourtant sur d'avoir fermé a clef le local du gardien. Mais apparement ce n'était pas le cas, et cette petite idiote était plus futée qu'elle ne le paraissait...Elle savait que le disjoncteur se trouvait ici et a présent elle...Elle quittait l'établissement dans cette tenue ! Don écarquilla les yeux et ouvrit la bouche avant de la refermer, son visage créa un rictus des plus déplaisant, figé entre la colère et le rire. Cette petite avait du cran ! Elle ne risquait certes pas de se faire agresser sur le chemin vu l'heure mais tout de même...Rageant, il se précipita vers sa camionette pour rentrer dans celle ci, passant au siège avant il enfila un pantalon et se mit au guidon il entendait pleurnicher a l'arrière de la camionette insonorisée via le mirador et tapa contre la paroi.

"La ferme !"

Les gémissements se turent alors que Don empoignait son guidon, on eut dit que pendant quelques secondes il était prêt a l'arracher. Cette petite avait défié ses règles du jeu. Il détestait quand tout ne se passait pas comme il l'avait prévu. Mais en même temps il adorait ça. Cette peste mettait son esprit macabre au défi de trouver de meilleures façons de la surprendre, eh bien soit. Rapidement il découvrit en avançant un peu sa camionette au coin de la rue où est ce que son plan avait péché, il n'avait pas prévu qu'une amie habite si près du gymnase. Il avait bien envie de passe rendre une visite chez son "amie" et la forcer a la rappeller pour qu'elle revienne, mais le lancer de gravier contre la fenètre lui informa qu'elle avait surement des parents a la maison, il aurait bien tenté de la prendre par surprise si celà avait été sa proie principale et ce malgré la présence de parents, mais il n'allait pas tenter le diable. Pour le moment il allait se contenter de la prendre en filature via la camionette. Bien qu'il savait déjà comment cette escapade allait se finir, il voulait voir celà de ses propres yeux...

On était après les cours, bien après les cours. Tous les regards se tournaient vers Hiroko quand celle ci avançait dans les rues de par sa tenue légère et ses formes généreuse...Vu le quartier où elle se rendait...Oui celà n'allait pas tarder. Le soleil était presque couché quand un coup d'épaule "malencontreux" la poussa dans une ruelle

-Eyh salut princesse

Devant elle un petit gang de cinq adolescent plutôt musclés venaient d'accoster la jeune femme, l'encerclant assez rapidement.

-Mes potes et moi on a vu comment tu te baladais et on s'est dit qu'on pourrait peut être te donner une leçon sur les vetements qu'une jeune fille de chez nous doit porter quand elle sort dans la rue.

Ses congénères se mirent a glousser. Don se gara et observa discrètement la scène depuis les vitres de sa camionette, enfilant un Tshirt, si ça dégénérait il serait là...

Serait elle capable de foudroyer ces cinq voyous musclés après une journée sévère d'entrainement face a son père ? Aurait elle la force ? Ils allaient voir ça...

Un coups me pousse dans une ruelle, je ne panique pas, il fallait bien que des idiots veuillent profiter de ce corps, en Amérique cela arrivait souvent, d'où mes entrainements pour me défendre toute seule. D'un rapide coups d'oeil je regarde le groupe, cinq, cela allait être dur, en meilleur forme cela aurait été plus facile.

Autant essayer de la faire gentille, je souris en disant d'une voix calme.

Ha bon aujourd'hui c'est pas le carnaval ? Juliette m'a encore fait un mauvais coups, désolée du dérangement que je cause, j'étaie justement en train de partir chez moi pour me changer.

Je concentre mon électricité dans mes mains et tente gentiment de passer, un des gaillard me gêne et tente de me repousser, mais je saisis sa main et lui envoie un décharge. Tous sont surpris un moment.

- Faite gaffe les gars, elle a un tazer.

Je profite de leurs stupeur pour me glisser dans le vide crée par le mec électrocuté, il n'allait pas en mourir, je n'étaie pas assez concentrée pour faire une décharge mortelle et utiliser l'électrokinésie, pour ma part, ne sert pas à tuer, mais à se défendre.

Je sors de la ruelle et court sur la rue principale, là où il y a plus de chance de croiser une personne et donc diminuer les chance que le groupe vienne m'enquiquiner, cela dit ils allaient sans doute attendre un peu avant d'attaquer de nouveau.

Il me suffit juste de prendre la cinquième à droite et je serais en sécurité chez moi. Restait à trouver une excuse valable pour ses fringues, ma mère allait me dire que cela n'est pas descent et elle aura parfaitement raison.

Don observait la scène de loin alors qu'il avait mis sa camionette en stationnement, baissant légèrement la vitre, il n'entendit pas le type crier qu'elle avait un tazer sur elle, mais en revanche il vit le jeune homme tomber par terre, pris de convulsions qu'on ne peut éprouver qu'au contact d'un tazer. Et Don était bien placé pour savoir qu'elle n'avait pas de Tazer, son costume n'avait même pas de poche...Ils avaient affaire a une ESPER. Heureusement qu'elle avait rencontré ces abrutis avant, sinon il aurait pu se prendre une décharge, néanmoins a son contact, tout comme les autres ESPER avant elle, elle perdrait ses pouvoirs et serait donc completement a sa mercie, elle ne savait apparement pas se battre, c'était donc le moment idéal de frapper, il regarda son porte monnaie a la recherche de cette carte qui était toujours utile tout en regardant le gang, finalement ceux ci décidèrent qu'ils n'avaient pas dit leur dernier mot et se jetèrent a la poursuite de la jeune femme. Tant de tenacité était bon, mais la jeune fille avait l'air de tenir bon. Elle était surement près de chez elle. Devait il les empecher de faire plus de dégats, ou bien allait il les laisser voir si ils arrivaient a arrêter la fille ?

Toujours était il que Don mit le contact de sa camionette pour se placer en aval de celle ci, ainsi si elle réussissait a nouveau a passer les malfrats il pourrait la récupérer avant qu'elle n'arrive chez elle, la jeune femme était dans la rue principale après tout, elle avait encore une bonne trotte a faire au milieu de tout le monde.

Le groupe quand a lui ne perdit pas la face, peu importe qu'Hiroko alla dans une rue publique ou non, celà n'avait au final que peu d'importance pour eux, ils allaient d'ailleurs la rattraper comme ça

-Nobuhiro ! Est ce que ça va !?

-Cette fille...la laissez pas partir...

-T'inquiète pas mon vieux ! Cette salope va payer ! Watari reste ici avec lui.

Les loubard a présent plus que trois se mirent a courir après la jeune femme qui elle avait d'autres problèmes...

En effet la rue principale était noire de monde ! Elle pouvait a peine voir devant elle, c'était la fin des cours, l'heure de la sortie de bureau, et des lycée, aussi un paquet de gens laissaient leurs yeux glissaient sur elle, et pas que leurs yeux...Au prix d'une bousculade elle pouvait parfois sentir des mains étrangères caresser ses fesses avant de disparaître dans le néant...Des Stalker, un mythe du japon que ces agresseurs qui profitaient des foules pour tripoter des jeunes filles, pretextant le monde qui innondaient les trotoirs...Soudain une main se referma sur son col

-Jte tiens !

Cria le punk qui assistait le chef des voyous et qui passait difficilement son bras a travers deux personnes avant de tirer d'un seul coup...

Arrachant le kimono avec.

La foudroyante devait agir aussi vite que l'éclair, elle avait a présent plusieurs solutions pour cacher sa nudité, rester dans la foule qui s'écartait sous sa vision dénudée...Ou bien courir sur la route là où se trouvait la foule et se rendre visible aux yeux de tous.

La foule me cache un moment, sentant des mains se poser sur mon fessier, je ne dis rien, continuant d'avancer quand une main saisit mon col et je me trouve  nu, le mec ayant le kimono dans les mains, aussi ni une ni deux je me retourne, pousse les deux personnes et donne un coup de pied au punk, un cri se fit entendre, le pauvre gars aurait mieux fait de surveiller ses partie génitales au lieu de me poursuivre, je prend kimono et part en courant, Cachant du mieux que je peux mon corps en plaquant simplement mon vêtement contre ce dernier pour cacher ma poitrine et mon intimité, laissant mes fesses à l'air libre.

J'entends deux autres me suivre, visiblement ils ne veulent pas lâcher l'affaire, je prend une ruelle à gauche, une toute petite ruelle et me retourne, les deux personnes débarquèrent et semblèrent sur d'eux-même. Je me concentre et je rassemble l'électricité entre mes mains, faisant des arcs bien visible.

Flee before I get angry, boys.

- Qu'est-ce que tu nous parle, on va te péter la gueule et te violer pour ce que tu as fait à Nobuhiro, qui sait s'il te laisse en vie après ça.

J'attend qu'ils s'approchent et pose ma main sur un réverbère, le surchargeant l'ampoule qui explose et projette des bout de verres, je profite qu'ils se protègent pour leurs donner un coups sous le menton, l'un avec mon poing droit, suivit de l'autre avec mon talon gauche, les mettant à terre, j'enfile de nouveau le kimono, il était déchiré à quelques endroit, il fallait juste que je rejoigne la maison et que je passe la soirée à le recoudre. Décidément cette journée est chargé en problème.

Je ressort de la ruelle et le type qui c'était prit un coups dans les partie sembla d'un coup moins sur de lui, l'effet de groupe, tout seul ce sont de vrai pétochard, il devait bien se douter maintenant, que lui seul ne servirait à rien et pendant son analyse je pris de nouveau la poudre des scampette me faufilant dans la masse plus rapidement, tenant les pans du kimono, pour le tenir et cacher les partie arrachées.

La course allait se finir assez rapidement, en effet Don en avait assez de courir a droite et a gauche et avait assez vu ce que Hiroko pouvait faire. Le grand gaillard réfléchit un instant en la voyant repartir, son kimono était pratiquement en miettes, mais ces abrutis n'avaient pas pensés a déchirer le tissu pour la laisser entièrement nue, ce qui aurait causé bien plus de commotion que celà et aurait rendu la fuite et le déplacement de la jeune femme impossible puisque la foule aurait paniqué en voyant celà et elle n'aurait pu se faufiller. Il avait appris le pouvoir de la jeune femme, il avait également appris qu'elle savait se battre. a présent deux choix s'ouvraient devant lui :

1°)Il l'interceptait maintenant, épuisée et harassée, lorsqu'il la toucherais son pouvoir ne marcherais pas et il pourrait en faire ce qu'il voulait, simple et facile.
2°)Il abandonnait la chasse pour le moment, après tout maintenant qu'elle avait tant attiré l'attention sur elle c'était risqué de continuer...Il choisirait un autre moment pour frapper, si possible dans les mêmes conditions que la précédente mais choisirait un moment que la jeune fille n'aurait pas prévu.

Soudain alors qu'il continuait a suivre de loin il eut une idée, regardant dans les affaire de la jeune femme il trouva deux objets essentiels : son portable, et ses clefs. Le premier lui fournirait des renseignements et le second l'empechait de rentrer chez elle si ses parents n'étaient pas là. Don se détendit et gara sa camionette dans la rue où se rendait Hiroko. C'était bien simple.

1°)Ses parents où affiliés étaient là, et a ce moment là il remettrait la chasse a plus tard avec sagesse, laissant passer un peu de temps et étudierais le contenu des possessions de la jeune fille -Hj-J'aurais besoin d'une description de tous les objets qu'Hiroko avait dans ses poches/sac a main ainsi que ce que Don pourrait apprendre en lisant ses SMS et les contacts sur son portable)-Hj-
2°)Ses parents n'étaient pas là et elle ne pouvait pas décement rester sur la pelouse de sa maison a bronzer. Le jeu du chat et de la souris allait continuer.

Dans tous les cas les loubards semblaient avoir abandonné.

Je me dirige vers la maison, par chance mère est là, il faut dire que depuis qu'elle est marié, elle ne travaille que le matin dans un magasin de tissus, en tant que conseillère, la chance me souris aussi, si les gamins m'ont prit le portable, il n'y verrait rien d'autre que des image d'animaux et de la musique, un portable ont peut toujours se le faire prendre, aussi laisser des numéros de téléphone, alors que l'on connait sur le bout des doigts ceux des ami(e)s, cela ne sert à rien, aussi la liste des contacts est vide. Pour la boite de réception, j'efface les messages après lecture, les seule restant étant de la pub pour un nouveau magasin de vêtements, une invitation à un club de boxe pour une séance gratuite et un prof me demandant de ne pas oublier de lui rendre le devoir de japonais demain dans son casier.

De toute façon j'allais changer de formule et résilier celui en cour, le plus marrant ce serait que ses idiots tente d'ouvrir la porte de la maison avec les clé, ce n'étaient rien d'autre que des récupération trouvé par terre, une sorte de collection à dire vrai, notre maison est équipé d'une serrure à clé, mais à défaut il y a possibilité de l'ouvrir avec un code à dix chiffres, c'est un système que père a installé au cas où, bon après fallait se rappeler le code.

Le sac contient mes affaires de sports, il y a quelques livres de cours, ouais bon avec l'odeur de la transpiration cela va donner, mes papiers étaient resté à la maison, donc pas le soucis de les refaire, tout ce que les voleurs pouvaient savoir c'est que je transpire beaucoup, que je ne suis pas une flèche en cours, mais que je suis loin d'être bête, comme mon attitude guillerette peut le faire croire.

Je rentre et mère est là, me regardant.

Mais qu'est-ce qui s'est passé ? Pourquoi tu es dans cette accoutrement.

J'ai juste fait de mauvaise rencontre, mais cela va aller, j'ai juste perdu quelques vêtements et le portable mais rien de bien ...

Je vais appeler ton père, prend une douche et attend moi dans le salon, il va falloir en discuter et savoir ce qui c'est vraiment passé.

Et c'était repartie, mère est un peu trop mère poule, elle faisait la même chose quand une personne avait prit mon ruban pour me le rendre par la suite, le pauvre c'était fait aligné.

Pff, vraiment qu'elle journée de merde.

Maison pour le moins technologique...Don regarda sa proie lui échapper. Tout celà ne serait évidement que partie remise, regardant la jeune femme taper le code sur l'entrée de la maison, ne lui avait on jamais dit que ce genre de sérrures ne marchaient pas ? Il suffisait de mettre un peu de produit spécial sur les touches et souffler pour voir quelle étaients les numéros de la combinaison en voyant lesquels arboraient une empreinte digitale. Si ils changeaient de mot de passe tous les jours ou toutes les semaines, il y avait surement un moment ou, après plusieurs non cambriolage, on finissait par oublier. C'était bien une jeune fille très...Décevante. Pas parce qu'elle ne présentait pas de défi, mais plutôt parce qu'elle semblait maître dans l'art de décevoir ses prédictions. Néanmoins il y avait plusieurs choses que Don savait malgré ses précautions. Il alluma le portable et le fouilla immédiatement avant de partir. Rien de vraiment exceptionnel a l'interieur de celui ci...Aucun numéros dans la liste de contact, soit le portable était neuf soit elle connaissait tous les numéros par coeur...Nah, ça voudrais dire qu'en plus d'être un génie elle n'avait jamais la flemme de taper le numéro intégral de chacune de ses connaissance...En parlant de connaissance, Don regarda l'historique des appels, que tous ne pensaient pas a effacer et nota chacun d'entre eux sur un morceau de papier avant de briser la carte sim sur son tableau de bord. Ainsi la police ne pourrait pas remonter jusqu'au téléphone. Le peu de SMS qu'elle avait lui apprirent qu'elle faisait de la boxe, qu'elle aimait bien les vetements, et qu'elle avait un devoir a rendre. Toujours bon a prendre.

L'esclavagiste mit le contact et décampa de la rue avant de se poser chez lui, attrapant la lycéenne par les cheveux, il la tira vers un gibet dans lequel il bloqua la jeune fille avant de sortir un fer a animaux et lui appliquer sur la fesse droite, la marquant a vit de son enseigne, la jeune fille hurlant a la mort alors qu'il la jettait dans un cachot et retournait dans son salon étudier les affaires de sport. Il s'arrêta sur le soutien gorge et regarda la taille de celui ci. Il y avait une différence de taille entre les tailles japonaise et étrangères, les japonaises taillant bien plus petit, si jamais les tailles étaient americaines, il pourrait limiter l'endroit où elle faisait ses achats dans les boutiques d'import exports americains, les boutiques qui faisaient également des soutien gorge de sport n'étaient pas a prescrire.

Il réduisait la piste, petit a petit, amenuisait les possibilités au maximum...Les livres de cours lui apprirent bien plus que ce qu'il pensait, tout d'abord il trouva dans ses affaires scolaires l'outil indispensable de tout étudiant : l'emploi du temps. Dans le cas où il ne trouvait pas celui ci, puisqu'elle semblait avoir tendance a aimer tout garder de tête, il n'aurait qu'a se renseigner le lendemain grâce a son poste d'étudiant pour savoir quels professeurs donnaient ce genre de cours...

Ou il pourrait aller plus vite, car a l'interieur des reliures des cours et sur les controles se trouvait le nom de la jeune femme : Hiroko Suzuki, en dernière année...Bien bien. Il n'aurait qu'a taper sur le registre pour connaitre l'emploi du temps complet de la jeune femme, le métier de ses parents, son adresse, son dossier scolaire et ses anciens bulletins. Don ricana. Elle croyait peut être lui échapper, mais rien qu'avec ce qu'il avait c'était largement suffisant...Il selectionnerais le moment sur son emploi du temps qui semblait le plus propice..Et frapperais a nouveau.

Qu'elle attende....Et elle verrait

-Hj-Bravo tu m'a échappé pour le moment je te laisse continuer le sujet en mettant une nouvelle situation propice, toi qui avait plusieurs trames au début tu va pouvoir les exploiter.

Ou alors reviens dans la douche -HJ-

-HJ- Le plus marrant c'est qu'elle n'a pas encore comprit que tu la pistais.XD Je dois avouer que tu es vachement ingénieux et que tu as de bon rôle.^^ -HJ-

Le soir j'ai fais un rapport détaillé à père, qui prit les mesures pour que mon portable et ma carte sim soit désactivé dans les plus bref délais, il me demanda par la suite mon emploi du temps, je ne l'avais plus, mais tout était dans ma tête.

J'utilise le portable de père pour informer mon amie que je lui rendrais ses vêtements après-demain, inventant un mensonge crédible.

Le matin, je pris mon petit déjeuné, mère ne partant que dans une heure, père était partie très tôt, il n'aimait pas ce qui c'était passé et suspectait que je sois victime d'une agression prochainement, il allait sans doute essayer de brouiller un maximum les pistes remontant à lui, de toute façon personne ne pouvait savoir qu'il était militaire, car il touchait aux armes nucléaires et donc son dossier et protégé par le secret militaire, par contre une personne pouvait savoir en lisant mon dossier, que mon père était dans la police.

Je pris le bus comme chaque matin, c'était bondé de lycée qui comme moi allaient en cours, au moment de sortir une personne voulut me saisir, d'un coup de machette avec ma main, il me lâcha.

Je fis un tour dans la salle des professeurs, rendant le devoir de japonais, bon il était pas parfait, mais j'aurais la moyenne au minimum.

La cloche sonna et je partie en cours de chimie, le temps fila à vive allure, puis en allant au prochain cours, un surveillant nous dit que les professeurs de math, d'anglais et de sports étaient malade, ce qui voulait dire que nous avions notre journée de libre, c'était chouette, une fille de ma classe m'aborda.

Et si on allait faire les magasins, puis du karaoké ?

Ainsi nous fûmes cinq à faire un tour au centre commerciale, cela tombait bien, j'allais pouvoir m'acheter de nouveaux vêtements pour compenser la perte du vol. Nous allons au magasin que la mère de Shuko, une rousse fêtards, tient. il y avait pour toute les tailles et tout les prix.

Tu pourrais rester là un moment, avec les autres fille ont va chercher de quoi manger, tu prendras quoi.

Ce que vous voulez.(sourire)

J'étaie donc seule avec la mère de Shuko, je pris quelques vêtements pour les essayer, certains juste pour le plaisir d'essayer d'autre pour les acheter, sans doute. Je file vers les vestiaires, refermant le rideau derrière moi en faisant pendouiller de l'autre côté une pancarte marquée "Occupé".

-hj- Merci c'est gentil -HJ-

Don regarda la fiche et rit grassement quand il lut que le père d'Hiroko était dans la police. La police japonaise était une police campagnarde qui ne sévissait pratiquement jamais, après tout le japon était le paix qui avait le taux de criminalité le plus bas du monde. Quel genre de policier mettait des serrures a codes a dix chiffres qui devaient peut être être changés toutes les semaines ?!Cette personne avait surement quelque chose a cacher, et celui ci ne se priva pas de spéculer. Un americain au japon...Le FBI ? Le FBI serait il a ses trousses pour son réseau de trafic d'humain ? Celà l'embetterais enormement. Se reposant sur sa chaise, il se mit a reflechir d'avantage. Ce père payerais surement une petite fortune pour que sa fi-fille ne tombe pas entre les mains des traficants...Surement de quoi largement valoir une offre de Yakuza mais pas forcément de noble terran. Et puis il se méfiait des americains, le japon était un pays calme, mais c'était eux qui avaient appris a jouer aux héros. Et il redoutait des coups d'action héroïque.

Toujours était il qu'il n'avait toujours pas la fille pour le moment, aussi décida t'il de se renseigner un peu plus sur les parents, notament sur ce qu'il pouvait apprendre sur la mère, le père étant au pire un agent du FBI, celui ci pourrait très facilement remarquer une camionette ou un type bizarre roder dans le coin et lui tomber dessus abraracourcix sans même un mandat, pas besoin de mandat si on a un permit de port d'armes. Pas quand sa propre fille était impliquée. Il se renseigna également sur ce qu'il pouvait apprendre via internet, un éventuel Facebook/twiter/blog de la jeune fille, de la mère, ou improbable, du père, et éventuellement payer un hacker pour s'infiltrer un peu dans les dossiers de celle ci et de sa famille. Celà les lancerais également sur une fausse piste si le Hacker se faisait avoir. Il allait très certainement mettre la main sur elle.

Il referma l'ordinateur portable où il avait consigné toutes les informations qu'il avait trouvé et se dirigea vers sa cave pour reveiller la lycéenne qu'il venait de capturer et la violer a nouveau avant de partir se coucher.

Le lendemain, Don se rendit naturellement a l'école pour son travail de surveillant intérimaire, a chaque fois qu'il le put dans ses devoirs il jeta un oeil a la jeune fille, mais seulement si il lui arrivait de passer dans le coin, il ne fallait pas que celle ci la remarque, il put observer d'ailleurs qu'un des délinquant fréquentait la même école qu'Hiroko qui l'avait envoyé dans les chou sans attendre.

Don consulta la liste des professeurs absents et s'apperçut que sa proie avait un après midi de libre...Plein d'occasion de frapper, encore plus si elle était accompagné d'une amie. Il entendit une amie lui parler de faire les magasins et se rendit dans le coin des boutiques : le centre commercial, tournant autour des boutiques qu'il avait localisé.

Pour le moment il ne frapperait pas...A moins d'un imprévu, c'était trop risqué ici...Surtout dans ce magasin...Peut être si elle s'éloignait...Peut être demain aussi...Toujours était il que si jamais l'occasion ne se montrait pas, il téléphonerais au hacker sous numéro inconnu, et lui demanderais de hacker l'ordinateur du père pour faire une copie des fichers de la manière la plus discrète possible et retracerais d'autres informations...

Tout viendrait a point...Maintenant il fallait attendre.

Je fit l'essayage des vêtements, certains ayant des coupures mettant en avant ma poitrine et mes fesses, celui là je n'allais pas l'acheter, trop osé et puis cela n'allait pas avec mon caractère, je pris au final une robe noire assez moulante, pour réduire la taille de la poitrine, tombant jusqu'aux genoux, pour me permettre de courir sans être trop aguicheuse, vint ensuite l'essayage de lingerie, la mère de Shuko avait juste la taille qu'il me fallait, le plus marrant c'est que c'était une erreur de commande à la base. L'ensemble était noire et garnit de dentelles florale, c'est mignon et comme elle me fit un prix, je l'ai acheter.

Les filles ne revenaient pas, c'était bizarre, puis elles vinrent, avec des sandwichs. D'après ce qu'elle me disaient les magasins commençaient à fermer, la mère de Shuko expliquait qu'aujourd'hui les magasins devaient fermé plus tôt, pour une raison qu'elle ne connaissait pas.

Aussi le groupe partie faire un tour pour aller faire du karaoké, manque de chance, le magasin était exceptionnellement fermée pour cause de travaux suite à d'importante dégradation. Aussi nous réfléchissions à une autre activité possible, c'est là que s'arrêta notre balade, tous voulait au final rentrer chez eux pour faire le devoir de science qui était à faire pour demain, je l'avais fait en avance et donc je me mis à flâner dans le centre commerciale, toute seule, les magasins ouverts ne m'intéressait pas, l'un était une armurerie, je déteste les armes, cela peut tuer sous un coups de colère ou en étant maladroit, il y avait la pharmacie, je fis un rapide tour pour voir les médicaments, mais surtout les essences, je vis de l'encens, mais il ne fallait pas dépenser son argent inutilement.

Les autres magasins n'étaient pas intéressant du tout, aussi je pris le chemin vers le lycée, j'allais aller au réfectoire, histoire de grignoter quelque chose.