Rencontre avec un être étrange... |PV :Gerfaut|

La sang d'elle, le sang de la créature.... Du sang d'elle puis de la créature... Dans les landes deux choses combattait l'un était une créature fabuleuse que l'on nomme un dragon et l'autre était une jeune femme à la longue chevelure rose. Cela faisait un long moment qu'ils combattaient, la jeune femme chantait en même temps de jouer de la musique. Cela semblait être son moyen de combattre car plus le son de sa guitare et de sa voix devenait saccader plus les attaques de magie semblait devenir plus rapide et plus forte, des flammes, de la glace, de la terre attaquait la bête qui soudain frappa de sa longue queue de lézard la jeune femme qui vola plus loins et sa guitare revollant plus loin. Elle lâcha un cri de douleur et du sang coula de son ventre ainsi que de sa tête. Elle trembla et la bête lâcha un cri féroce et se mit en position pour lâcher un jet de flamme...

La jeune femme se releva avec difficulté et commença à chantonner un douce mélodie et lorsque le jet de flamme arriva vers elle un mur d'eau se forma devant elle, se qui ressortait du coté de la jeune femme était de la chaleur intense... Elle trembla et lorsque le feu arrêta et commença à chantonner d'une façon étrange et soudain du ciel on aperçut les nuages s'assombrirent et le vent se lever, la jeune femme voulait se débarrasser de cette créature et rapidement, elle allait épuisser ses dernieres forces pour la faire fuir ou la tuer...

Une pluie s'abattit sur la terre sèche et le vent devint assez fort et forma une tornade qu'elle mélangea avec le feu et l'eau et s'abattit sur la créature qui supporta la douleur et s'envola pour fuir, et lorsqu'elle disparue la tempête arrêta et les nuages sombres disparurent et laissa le temps normal et inquiétant de cette partie de Terra revenir. La jeune femme trembla et s'écroula au sol, une douleur envahissant son ventre et ses magnifiques yeux bleu cherchèrent sa guitare et lentement elle rampa vers celle-ci, lâchant des râles de douleurs.

-Je n'aurait jamais du passer par les landes...Argh... J'ai mal... Si seulement quelqu'un serait là...

Lentement la tête de la jeune femme tomba contre terre et elle trembla.Sa main poser sur sa blessure.

 

Les nuages s’amassaient à l’horizon, il pleuvrait d’ici la fin de la journée, le crépuscule tomberait d’ici trois bonnes heures. Enfin, de toute manière il faisait toujours relativement sombre dans cet endroit des landes dévastées. Il devait donc se dépêcher de rejoindre une de ses planques dissimulées à des endroits stratégiques avant que la pluie ne se mette à tomber, et vu les nuages, ce serait carrément un orage, et violent qui plus est.

Le maître des oiseaux jura et talonna sa monture qui accéléra le rythme. Dans une petite heure, il serait à l’abri, parce que si le jour, on pouvait voir pas mal de bestioles dangereuses, la nuit, c’était pire, et être dans une des planques d’Harfang était sans doute le meilleur moyen de se trouver en sécurité.

Ils s’agissaient d’abris dont il était l’auteur, des abris de voyageurs, chacun était une sorte d’abri creusé dans la terre, comme de petites cavernes, juste assez grandes pour abriter deux chevaux et le même nombre de personnes atour d’un feu de camp, ainsi qu’une petite provision de bois. Oh, bien sur, rares étaient les fois ou les voyageurs restauraient la réserve de bois, mais il ne perdait pas espoir en la bonté des voyageurs. Il ne faisait pas toutefois assez confiance pour ne pas cacher une réserve de secours.

Perdu dans ses pensées, confortablement installé sur sa selle, il fut tiré de sa méditation par une sorte de tourbillon localisé et le vol d’une créature, une vouivre sans doute, qui s’en allait à tire d’aile. Mais cela ne l’intéressa pas outre mesure. Ces bestioles n’étaient pas téméraires, et une fois blessées assez gravement, elles fuyaient le combat, mais elles n’abandonnaient pas, elles revenaient généralement à plusieurs, et pour quiconque ne le savait pas et restait un moment sur place, c’était généralement mortel, et ce, autant pour les blessés que pour les biens portant. Pour avoir vu les restes d’un de leur festins, tout et n’importe quoi y passait, tant que ça avait de la chair.

Etant donné la peine que la bête avait à voler, il estimait avoir une bonne heure et demie avant son retour, dans le pire des cas, il avait une bonne demi-heure. Il se dirigea donc vers le lieu de la tornade localisée, il fouilla les décombres, il y avait du sang noirâtre, celui de la vouivre, et un autre sang, il le goutta rapidement avant de le recracher, ce sang là était humain. Mais où était le corps ?

Un oiseau de proie, un faucon blanc, fondit vers un coin de l’endroit et vint se poser sur le bras que l’homme tendait devant lui. Accroché à un des serres de l’animal, un morceau d’étoffe. En voyant cela, il émit une série de cris aigus accompagnés de claquement de langues ressemblant à des claquements de bec auxquels le faucon répondit.

Il y avait bel et bien quelqu’un, mais de l’autre côté des décombres, il dut donc faire le tour, pour trouver une jeune femme étendue sur le sol, sans doute inconsciente, serrant dans sa main un instrument semblable à une grande cithare. Vu la flaque de sang, c’était moche, très moche, sans soin, elle ne passerait sans doute pas la nuit, se vidant de son sang, et même si elle survivait, elle mourrait plus tard d’une infection de la plaie. Il ne pouvait pas la laisser là, ce n’était pas humain.

Cette expression le fit sourire, il n’était pas humain mais l’était plus que certains. La mettre sur le cheval ce serait risqué pour sa santé, il préféra alors créer une sorte de civière que le cheval tirerait. Lui il fermerait la marche pendant que son faucon ouvrirai la marche. Mais des battements se firent entendre. Trop tard. Dans ce langage spécial qu’il utilisait pour lui parler, il glissa la bride dans les serres fermées du faucon et déposa ses vêtements sur la jeune fille, la forçant à lâcher la cithare étrange, pour la garder au chaud, se retrouvant en caleçon dans les plaines pendant que sa jument suivant docilement et aussi vite que possible sans risques pour sa passagère. Il éviterait ainsi de déchirer ses vêtements en se transformant.

Il voyait distinctement les créatures approcher, au nombre de deux, la plus grosse était blessée, l’autre de carrure inférieure venait pour venger le blessé. Ce ne serait pas facile. Il banda son arc et lâcha autant de volée de flèches qu’il put, visant les membranes de leurs ailes pour les déstabiliser. Une fois qu’ils furent trop près pour qu’il puisse décocher plus de deux volées, il posa l’arc et étendit les bras, peu à peu, il se sentit grandir, ses plumes faisant de même, se transformant en une sorte de faucon gerfaut géant. Un oiseau de proie de près de quatre mètres cinquante d’envergure. D’un point de vu taille il semblait plus proche d’un roc que d’un faucon, mais il restait distinctement un faucon, un maitre des cieux, harcelant les deux vouivres réduisant la membrane de leurs ailes en charpie.

Quand les vouivres rompirent le rang, il chercha à crever les yeux de ces saletés avant qu’elles ne fuient. Il récupéra entre des serres son arc et ses flèches, ainsi que l’étrange cithare à laquelle la jeune femme semblait beaucoup tenir, puis se dirigea vers le camp ou il avait envoyé le faucon et sa monture.

Relativement épuisé par la lutte, il prit néanmoins la peine de faire un feu, de faire chauffer de l’eau et y mettre des bandes de tissu qu’il prit dans une sacoche de selle en même temps qu’un petit nécessaire d’herbes dans de toutes petites bourses. Il en mit quelques unes dans l’eau chaude, le tissu désinfecterait ainsi la plaie. Il posa aussi son manteau de voyage à coté de l’âtre pour le réchauffer.

Maintenant, il était en position délicate, il devait nettoyer la plaie et pour ça, étant donné l’emplacement de la blessure, lui retirer le haut, mais dans ce genre de situation, on se retrouve forcé d’agir ainsi. De sa dague, il déchira le vêtement, il ne pouvait pas risquer un mauvais mouvement pour le lui retirer délicatement. A l’aide des bandes de tissu, il désinfecta la plaie et lui banda l’abdomen, remontant volontairement plus haut pour ne pas la mettre mal à l’aise et cacher ses atouts dont la nature l’avait gâtée. Il la rallongea confortablement sur la civière et la couvrit de son manteau bien chaud. Ses plumes et la proximité du feu lui suffirait largement, la fraicheur de la nuit ne le tuerait pas, et au pire, il dirait se caler contre sa monture pour rester au chaud. Mais il préférait rester éveillé, pour surveiller. Il partirait chercher de quoi les nourrir à l’aube.

L'inconscience, qu'elle merveille c'est un êtat qu'on se retrouve pour diverse cause et que dans certains cas d'inconscience nous pouvons revoir notre vie, hélas beaucoup pense que c'est la mort comme Xephira, elle pensait que tout était finie et qu'elle irait dans les cieux et qu'elle pourrait voir l'être tant aimé...

Mais hélas, la vie fait souvent des miracles et elle n'est pas morte et c'est ainsi qu'elle se réveilla en s'assoyant d'un coup sec. Mais elle eut un douleur et s'écroula encore au sol et elle toucha son ventre et le senti une bande qui recouvrait sa blessure. Elle trembla, elle avait mal... Si elle sentait la douleur cela voulait dire qu'elle était vivante,malheureusement.

Elle avait un manteau sur elle, tien ce n'était pas à elle!? Ses yeux de la couleur du saphir cherchèrent la personne l'ayant emporté et soignée et son regard se posa sur cette chose à coté. Qu'est-ce que c'était que sa! La jeune femme fut un peu affolée en voyant la bête, mais elle se calma rapidement, c'était un Terranide. Pourtant les Terranides avaient plus de point ressemblant au humain, mais lui semblait ressembler plus à un bête enfin, si on prend attention au plume ce doit être un oiseau. Dans le plan de Terra, il ne faut vraiment s'étonner de rien...

Xephira regardait la créature et elle posa sa main sur son ventre et analysa la créature à nouveau...  Et on aperçut sur ses douces lèvres un magnifique sourire apparaître et elle parla de sa voix mélodieuse en disant :

-Merci beaucoup...Je me nomme Xephira...

Les yeux de la jeune femme analysait toujours la créature, disons que s'était rare qu'elle puisse voir un Terranide si près d'elle.

L’aube se levait et le terranide aviaire se redressa, il avait peu dormi. Le maitre des oiseaux n’avait pas cessé de guetter, l’odeur du sang avait obligé harfang à éloigner de manière plus ou moins violente les prédateurs et les charognards. De plus, au court de la nuit, il avait du faire tomber la fièvre que manifestait la gamine. Mais là, l’aube pointait, et lui, il devait aller chercher de quoi nourrir la jeune femme, et se nourrir par la même occasion. Il airait pu tuer l’un des prédateurs, mais cela aurait posé d’autres problèmes, en ramenant plus de bestioles carnivores ou nécrophages à cause de l’odeur de la chair fraîche.

Mais au moment où il se décidait à partir, il vit la gamine aux cheveux rose se redresser d’un coup, ses traits se durcir et retomber sur la civière, il la voyait trembler, l’effet de la douleur. Il ranima alors un peu le feu et mit le reste de son outre à chauffer. Et y ajouta quelques herbes dedans pour infuser le liquide. Cela permettrait de calmer la douleur. Elle perdrait le contrôle de ses membres une petite heure, mais ce n’était qu’un simple effet secondaire. Et ce n’est pas lui qui tenterait quoique ce soit. Profiter d’être en position de force n’était pas une option pour lui. Pas avec les humains, contre ex, il était presque toujours en position de force dès le départ.

Alors qu’il s’affairait il sentit se poser sur lui le regard de la jeune fille. Il commença par l’ignorer avant de se pencher vers elle et observer l’état des bandages. Il faudrait bientôt les changer, mais avant il avait le temps d’aller chercher à manger. Mais avant tout, calmer la douleur. Le liquide était à ébullition, il était temps de rajouter d’autres plantes. Il émietta une racine et la rajouta. Le liquide prit une teinte brune. Normal. Il ouvrit l’outre de secours et versa le liquide brulant. Après un peu d »évaporation, il obtint un liquide assez froid pour être bu sans se brûler.

-Merci beaucoup...Je me nomme Xephira...

Il ne répondit pas, ce n’était pas la politesse qui l’étouffait. Il entendit les paroles de la jeune fille, et quand il lui répondit, ce fut d’un ton sec.

« on ne s’attaque pas seul à une vouivre sans être sur de la tuer. Dons au moins à deux. Tiens. Bois ça. C’est pour faire cicatriser la plaie, ça calmera la douleur, mais ton corps ne te répondra plus pendant une petite heure. Juste un effet secondaire. »

La boisson qu’il avait versé dans ne petite gamelle ressemblait à de la boue et sentait très mauvais. Le gout était à la hauteur du reste.

La jeune femme n'arrêtait pas de regarder la créature. Elle ne semblait pas très amicale... Elle attendit et il lui adressa la parole.

« on ne s’attaque pas seul à une vouivre sans être sur de la tuer. Dons au moins à deux. Tiens. Bois ça. C’est pour faire cicatriser la plaie, ça calmera la douleur, mais ton corps ne te répondra plus pendant une petite heure. Juste un effet secondaire. »

Elle eut un froncement de sourcil, qu'elle ignoble personne, parler de la sorte à une femme qui venait de revenir de l'avant mort... Pfft, les gens de nos jours... La jeune femme prit la gamelle et sentie l'odeur, elle fronça les sourcils à nouveau l'odeur était nauséabonde comme l'apparence y était horrible.

Son regard qui semblait doux qu'elle que secondes avant qu'il lui avait adressé la paroles semblait être devenue plus sombre et lentement elle ferma les yeux et but le contenue de la gamelle, qu'elle horrible goût... Elle frissonna et sentie une étrange sensation qui lui parcourut le corps, elle posa la gamelle, son corps commençait à réagir et lentement elle se sentie engourdir.

Son corps s'allongea et lentement elle commença a ne plus sentir ses jambes, elle essaye de les bouger mais aucune réaction ne vint. Elle essaya de bouger ses bras mais plus rien ne réagit, même pas sa bouche. Et lentement elle ferma les yeux, elle était consciente, mais son corps réagissait plus. Elle rouvrit les yeux et fixa le Terranide.

La moue qu’elle fit ne l’étonna pas outre mesure. Il n’avait jamais vu quelqu’un réagir autrement en buvant cet immonde breuvage, lui-même l’avait testé plusieurs fois et avait du faire la même tête. Quand à l’étape suivante, être prisonnier de son propre corps. Un moment horrible à passer. Se sentir en corps étranger.

Quand Gerfaut compris que cela faisait effet, il s’approcha du corps de la jeune femme, se mit à sa hauteur et approcha son visage du sien avant de dériver vers son oreille et lui murmurer de façon sadique dans le creux de l’orifice auditif :

« Tu es à ma merci la plus complète. Dans l’état dans lequel tu es je peux faire ce que je veux, même abuser de toi si l’envie m’en prenait. Tu ne pourrais pas me résister. Et ce, quoique tu fasses.» Son ton changea, redevenant sec, et il s’éloigna son visage du sien, content de son effet. « Ne t’en fais pas, ce n’est pas mon but. Mais réfléchis à la confiance que tu portes aux inconnus, gamine. Je vais juste te placer au fond de l’abri pour que l’on ne te voit pas. C’est pour ta propre sécurité. Je vais chercher de quoi manger pendant ce temps, si je ne suis pas revenu avant que tu puisses à nouveau bouger, je te conseille de changer tes bandages. Mais je vais faire aussi vite que possible. »

Il tourna les talons et se glissa, arc en main et couteau de chasse à la ceinture, hors de l’abri, il avait bon espoir de trouver au moins un lapin, deux dans l’idéal. Il avait besoin d’un ou deux morceaux de fourrure ou de peau tannée pour rafistoler certains vêtements. Il tâcherait d’être de retour avant. Avec un œil d’aigle et un faucon comme allié, je laisse au lecteur imaginer la vitesse déconcertante à laquelle on capture un lapin. En fait, le plus long fut le trajet, le temps d’arriver dans un terrain propice à la chasse, presque un bon quart d’heure allez, un bon quart d’heure retour.

Mais sur le retour, il y avait quelque chose qui le tracassait, comme si il y avait un problème mais qu’il ne savait pas quoi. Il envoya donc son compagnon en reconnaissance pendant que lui accélèrerait le pas et porterait le couple de lapin qu’il avait eu. Quand le faucon revint et confirma les problèmes, il accrocha les lapins à sa ceinture par les oreilles et prit en main son arc, encochant une flèche sans bander l’arc.

Quand il arriva à l’abri, il y avait un cheval de trop, un cheval qu’il ne connaissait pas. Cela se confirma quand il zyeuta dans l’abri. Rien qu’à l’odeur il comprit que cette créature était un orc. Celui-ci semblait étonnamment chétif dans la pénombre. En s’approchant à pas feutrés, il vit la chose en train de reluquer la blessée encore prisonnière de son propre corps. Il n’avait pas remarqué le maître des oiseaux dans son dos qui tendait l’arc en ramenant la corde au niveau de sa joue, il était en train de rouler ses braies sur les chevilles. Le porc. Sans sommation, il décocha la flèche au niveau de la nuque. Mais plus prompt que lui fut son faucon. Celui-ci lui laboura le bras avant de lui tenter de lui crever les yeux, et quand dans la lutte, celui-ci se retourna, Harfang lui décocha une flèche dans l’entrejambe et finit pas trainer la carcasse encore vivante du demi orc dehors. Il le laissa là pendant que son compagnon aviaire le tuait à petit feu.

Il d’approcha de la jeune fille et d’une voix inquiète, il lui demanda comment elle allait, bien qu’il pensât qu’elle soit incapable de répondre. Oui, pour la première fois sans doute, il avait été inquiet, ou du moins, assez pour que cela se reflète dans sa voix.

[HRP : si tu penses que j’en fais trop dis le, je me suis juste permis de pimenter la situation, si ça te vas pas, je peux modifier la fin en enlevant cette scène]

 

|Non sa me déranger pas ^^ Et juste pour te dire, cette semaine je répondrait moins vite vue que la semaine j'ai moins de temps d'informatique et les balistes fonctionne pas alors je les fait moi même et je fait souvent des erreurs =S |

 
La jeune femme réalisa son erreur, avoir bu se liquide surtout avec un inconnu… Qu’elle idiote elle était et en plus elle semblait pensée que tous était forcement bon, mais elle se sentie mal… Surtout quand le Terranide s’approcha d’elle et pencha son visage juste devant le sien et alla ou son oreille et lui murmura dans celle-ci d’un ton sadique:
 
 « Tu es à ma merci la plus complète. Dans l’état dans lequel tu es je peux faire ce que je veux, même abuser de toi si l’envie m’en prenait. Tu ne pourrais pas me résister. Et ce, quoique tu fasses.»  [/b ]
 
Si elle aurait pu bouger, elle aurait tremblée et si elle avait pu parler, elle aurait surement sortie un juron…

 
 « Ne t’en fais pas, ce n’est pas mon but. Mais réfléchis à la confiance que tu portes aux inconnus, gamine. Je vais juste te placer au fond de l’abri pour que l’on ne te voie pas. C’est pour ta propre sécurité. Je vais chercher de quoi manger pendant ce temps, si je ne suis pas revenu avant que tu puisses à nouveau bouger, je te conseille de changer tes bandages. Mais je vais faire aussi vite que possible. » [/b ]

Son simple regard fixa l’homme qui la déplaça au fond de la caverne et elle le regarda partir. Elle ferma les yeux, le temps passa et elle attendit et commença à sentir une odeur bizarre, elle ouvrit les yeux, la seul chose qui lui obéissait. Elle aperçut un orc. Elle eut peur, si seulement elle aurait pu parler, elle l’aurait enflammée… Il l’observait et elle trembla et elle ferma les yeux, l’horreur, elle savait se qu’il allait faire… Qu’elle horreur elle était à la merci de cette créature infâme… Pourquoi avoir bu cette boisson… Elle n’aurait jamais dû… Elle commença à le sentir près et elle attendit un bruit de flèche qui se fit décocher et l’orc lâcha un cri, de douleur ou de fureur…? Elle ouvrit les yeux et aperçut l’orc se tordre de douleur, un faucon blessant l’orc et une flèche transperça cette partie intime de l’orc. Elle vue le Terranide approcher et tirer la bête en dehors de la caverne, lentement la jeune femme pu sentir son corps et des larmes s’écroulèrent de ses yeux.
 
Ses yeux se dirigèrent vers la personne qui l’avait aidé et sauver à deux reprises. Et d’une voix inquiète qui surprenait la jeune femme il lui demanda  si elle allait bien… Elle se mit à trembler et  la voix de la jeune femme se fit entendre en un murmure mélanger avec la tristesse et la peur.:
-Ne partez…plus…Just…e qu’a se que je me…rétablisse… S’il vous plait
 
Les yeux de Xephira était apeurée et fixait le Terranide, d’habitude elle aurait pu faire face à tout danger avec sa voix et sa musique, mais sa faiblesse l’avait blessée et en plus l’avais forcé à boire se liquide dégoutant.  Instinctivement la jeune femme leva la main vers la créature, elle tremblait et lui fit un triste sourire et sa main retomba au sol, elle commençait à peine à reprendre les mouvements de son corps, l’effet secondaire s’estompait.

Il vit, quand il lui parla, son corps tremblait et de ses yeux perlaient de fines larmes et elle tenta d’articuler quelques mots, dans une voix empreint de tristesse et de peur. Toutefois, il ne comprit pas très bien ce qu’elle voulait dire, sans doute à cause de la boisson. Il ne chercha pas à comprendre ce qu’elle avait dit. Si c’était important, elle le répèterait. Mais une chose était sure, il ne la laisserait plus seule.

Lorsqu’elle tendit la main vers lui avec ce sourire d’une tristesse à couper le souffle, son premier reflexe fut de lui sourire en retour. Le sourire le plus réconfortant qu’il puisse donner, accompagné des mots suivant :

« Je ne pars pas, je vais juste préparer le repas. »

Avant de partir, il déplaça à nouveau la civière pour lui permettre de se trouver près du feu et de le voir travailler les lapins pour le repas. Le temps qu’elle finisse de reprendre pleinement possession de son corps, il avait vidé, lavé et dépecé les deux lapins.

Il piqua le plus gros sur une broche improvisée et commença à le faire cuire. L’autre, il en découpa des bandelettes de chairs qu’il ferait sécher pour une partie, et qui servirait de repas à son compagnon ailé pour l’autre. Enfin, il tendit une lamelle de chair fraîche à la jeune fille et désigna le faucon Gerfaut de la main.

« C’est lui qui t’a sauvé en m’alertant, récompense le avec ça , il appréciera. » Il émit une suite de cris aigus et de claquements de langue lui firent venir le faucon sur le rendort de cuir qu’il portait à l’épaule, puis il déposa l’animal sur un montant de la civière. De là ou elle était elle pouvait donc observer la beauté sauvage de l’animal.

« Il n’est pas dressé, c’est un ami, il ne fait ce que je lui demande que s’il le veut bien. Lors ne le prend pas pou un de ces pauvres faucons de nobles. » Il sembla hésiter un court instant avant de rajouter d’autres mots. « Xephiria, je vais répondre à ta naïveté par ma confiance. Je m’appelle Tessh’ktket, on me nomme le maitre des oiseaux, ou tout simplement Gerfaut. »

A la façon dont il prononça son nom, la jeune femme ne serait ans doute pas capable de le répéter, mais qui sait…

|Je vais arranger les baliste en fin de semaine, j'ai vraiment un problème avec TT_TT Pour que sa soit clair que ce sont mes paroles je vais mettre un : ** Avant mes phrases |

 L’homme lui adressa un sourire, un sourire qu’il essayait de rendre doux et réconfortant. Puis il lui adressa la parole avec des paroles qui pouvait très bien aller avec se sourire :

« Je ne pars pas, je vais juste préparer le repas. »

Il déplaça la civière près du feu, et placer pour qu’elle puisse le voir travailler sur le gibier. La jeune femme commençait à se sentir mieux et pouvait commencer à bouger, mais elle ne devait pas faire de mouvement brusque. Tout d’abord sa main vint sur ses cheveux roses et elle les caressa doucement, elle ferma ses yeux et lâcha un doux soupir de découragement.

Avec misère elle s’assit, touchant son ventre, ses bandelette semblait remplie de sang, elle eut un air triste, si elle aurait été plus alerte… Jamais elle n’aurait eu cette blessure. Elle fut sortie de ses penser, lorsqu’une belle longue lanière de chair fraîche se présenta devant elle, elle regarda le Terranide et la prit… Pourquoi il lui donnait cela? Elle allait lui poser là question, mais il parla pour éclaircir la jeune femme en même temps de désigner son faucon.

« C’est lui qui t’a sauvé en m’alertant, récompense le avec ça, il appréciera. »

Elle eut un sourire et regarda la magnifique bête. Elle avait toujours aimée ses créatures,  Ces oiseaux sont si magnifiques et fier,  volant fièrement dans le ciel.

« Il n’est pas dressé, c’est un ami, il ne fait ce que je lui demande que s’il le veut bien. Lors ne le prend pas pour un de ces pauvres faucons de nobles. »

Elle eut un sourire, si elle aurait voulue ou plutôt pu, elle aurait voulue caresser la tête de l’animal, mais ils n’auraient pas apprécié. Elle fixait l’homme-bête, il semblait vouloir dire de quoi mais il y pensait, surement pour savoir si il devait lui dire ou non….

« Xephiria, je vais répondre à ta naïveté par ma confiance. Je m’appelle Tessh’ktket, on me nomme le maitre des oiseaux, ou tout simplement Gerfaut. »
La jeune femme ne savait pas si elle devait le prendre bien ou mal, elle n’était pas si naïve que sa… Enfin oui, mais elle avait juste eux l’impression qu’elle pouvait lui faire confiance… Lentement elle murmura son nom pour essayer de bien le prononcer…

**-Tess….Kneck? Nyuuooh… Gerfaut…

La jeune femme fixa le faucon et elle lui tendit la lanière de chair fraîche, ses yeux bleu observait la bête et avait un doux sourire sur ses lèvres. Et regardait la créature, elle trembla encore et posa sa main sur son ventre, elle devras changer ses bandelettes. Elle regarda Gerfaut et elle parla de sa douce voix :

**-Auriez-vous d’autre bandelette pour bander ma blessure?

Il sourit devant l’essai à peine dissimulé de prononcé son prénom. Personne n’y était arrivé, mais tout le monde avait tenté avant de se rabattre sur Gerfaut. C’est d’ailleurs à cause de cela qu’il avait du adopter des surnoms, ou plutôt, on lui avait attribué des surnoms. S’il portait le nom de maitre des oiseaux, c’était parce que plus d’un l’avait déjà vu parler avec ces nobles animaux, si il portait le surnom de Gerfaut, c’était à la fois pour son compagnon et ses plumes, quand à harfang et bien, le silence de ses tirs et l’empennage de ses flèches.

Le faucon approcha timidement son bec dans un premier temps, puis plus téméraire, il attrapa le morceau de chair fraîche et l’engloutit. Sans s’envoler, il battit des ailes, dorme de remerciement. Ce remerciement fut complété par une sorte de mordillement du doigt, il semblait vouloir en demander d’autres. Gerfaut soupira et en donna plusieurs à la gamine pour qu’elle continue de le nourrir.

Auriez-vous d’autre bandelette pour bander ma blessure?

Il vérifia dans sa sacoche de selle qu’il avait détaché, et dépité se retourna vers la jeune femme aux cheveux roses lui signifiant qu’il n’en avait pas d’autres. Il regarda ce qu’il pourrait utiliser, non, il n’avait rien. La meilleure solution était alors de réupérer les ancien bandages et de les désinfecter dans de l’eau bouillante.

« J’en ai pas, on va réutiliser les bandages, reste sous mon manteau, enlèves les et passe les moi, je vais les nettoyer. » Il suspendit une outre au dessus du feu, retirant le lapin encore un peu saignant, le posant sur un morceau d’étoffe. Il prit quelques herbes et les jeta dans l’outre et attendit qu’elle lui donne les bandages.

« En tout cas, il vous aimes bien. » Il désigna le faucon. « Je peux compter sr les doigts d’une main le nombre de fois où il a réclamé de la viande à quelqu’un d’autre que moi. »

En attendant les bandelettes, il sortit un couteau de chasse et commença à découper les pièces du lapin pour que ce soit plus facile à manger.

Le faucon approchait son bec avec méfiance de la chair et puis rapidement se saisit de la chair qu’il engloutit telle un petit glouton, la jeune femme afficha un sourire et regarda Gerfaut, son attention revint sur le faucon car il semblait mordiller son doigts, le Terranide lui donna d’autre lanière de chair pour qu’elle puis-ce continuer à nourrir l’oiseau.

Après avoir posé sa question pour savoir s’il avait d’autre bandelette il alla vérifier dans sa sacoche sur sa selle, il eut un air déçue et regarda Xephira, il semblait ne plus en avoir… Et voila un nouveau problème… Bon, elle pensa à se qu’elle pouvait utiliser, mais disons le, il fut plus rapide qu’elle pour trouver une solution

« J’en ai pas, on va réutiliser les bandages, reste sous mon manteau, enlèves les et passe les moi, je vais les nettoyer. »

Il commença à arranger le feu, enlever le lapon et y mettre une outre au dessus du feu. Le lapin fut poser sur un morceau d’étoffe et il mit des herbes dans l’outre.

« En tout cas, il vous aimes bien. Je peux compter sur les doigts d’une main le nombre de fois où il a réclamé de la viande à quelqu’un d’autre que moi. »

Elle eut un sourire et regarda le faucon, Lentement elle resta sous le manteau et elle enleva ses bandelette du son ventre, une vilaine plaie s’y trouvait. Elle ne put qu’exprimer qu’une face de dégout. Lorsque toutes les bandelettes furent enlevées elle les donna à Gerfaut. Elle n’osait pas bouger, de peur que la blessure s’ouvre ou qu’elle aille plus mal, sur ses lèvres il y avait toujours se petit sourire niais et elle fixait Gerfaut et regarda le faucon, cette bête majestueuse et si mystérieuse… Elle regarda par la suite Gerfaut et elle lui demanda :

**-Pourquoi rester-vous ici avec moi? Vous auriez pu me laisser dehors ou même m’abandonner à mon sort lorsque j’était sous l’effet du médicament….?

Gerfaut ne répondit pas la question de la jeune fille. Il prit les bandages qu’elle lui tendait et les plongea dans l’eau bouillante ou macéraient certaines herbes aux propriétés désinfectantes, puis il lui tendit une cuisse de lapin. La chair était un peu ferme, mais juteuse.

« Mange prudemment, vu la position de ta blessure il faudrait pas que ça s’aggrave, mais tu as besoin de reprendre des forces. »

Lui-même attaqua sa portion, lui faisant rapidement un sort. Puis il sortit une petite pipe qu’il bourra, il commença à fumer, s’amusant à faire des ronds de fumée au dessus du feu. Il restait silencieux, à fixer les flammes. Enfin, il parla de nouveau :

« Pourquoi je t’ai sauvé hein ? Je ne le sais pas vraiment, c’est un peu mon passe temps, j’aime trop les contrées du chaos, elles me le rendent bien, mai j’aide les voyageurs, je construis des abris, calme les ardeurs combatives de certains prédateurs, je propose mes services pour escorter les voyageurs. Entrer dans les terres du chaos, c’est un peu comme entrer dans mon fief. Même si je ne contrôle pas tout, je tâche de rendre sûrs les chemins sans tuer trop de créatures, je fais juste en sorte de les garder loin des sentiers battus je dirai. Enfin bon, peu importe. » Il expira un beau rond de fumée. « Ou alors c’est par pitié, qui sait... »

Il vida de l’eau froide  dans l’outre d’eau bouillante pour refroidir le liquide où macéraient les bandes de tissus. Elles n’étaient pas forcément très propres, mais au moins, elles étaient désinfectées. Il les essora et s’approcha de la jeune fille aux yeux de saphir.

« Je pense pas que ce soit facile de se bander soi même correctement. Mets-toi de dos, je vais le faire. Pendant ce temps, tu pourrais peut être me dire comment tu t’es foutu dans ce merdier, qu’en penses-tu ? » Une pause, il se dirigea vers un coin de l’abri et revint avec cette étrange cithare qu’elle tenait dans la main quand il l’avait touvée. « Ah, tiens, je crois que ça t’appartient. Désolé, j’ai cassé une corde sans le vouloir. »

[Si tu acceptes que Gerfaut s’occupe de bander la plaie, alors je te laisse signaler qu’il le fait. ]

Le Terranide, prit les bandages et les mit dans l’eau bouillante, il ne répondait pas à sa question. Bon elle devra alors rester dans l’ignorance la plus total. Comme c’est ennuyant,  il lui tendit un morceau de viande et elle prit ce morceau, la chair semblait un peu ferme mais faut pas se plaindre, elle allait quand même le manger.

« Mange prudemment, vu la position de ta blessure il ne faudrait pas que ça s’aggrave, mais tu as besoin de reprendre des forces. »

La jeune femme commença à manger, lentement et savourant la viande qui lentement remplissait son ventre, elle sourit et l’homme parla.

« Pourquoi je t’ai sauvé hein ? Je ne le sais pas vraiment, c’est un peu mon passe temps, j’aime trop les contrées du chaos, elles me le rendent bien, mai j’aide les voyageurs, je construis des abris, calme les ardeurs combatives de certains prédateurs, je propose mes services pour escorter les voyageurs. Entrer dans les terres du chaos, c’est un peu comme entrer dans mon fief. Même si je ne contrôle pas tout, je tâche de rendre sûrs les chemins sans tuer trop de créatures, je fais juste en sorte de les garder loin des sentiers battus je dirai. Enfin bon, peu importe. Ou alors c’est par pitié, qui sait... »

La jeune femme mangeait tranquillement, sans trop regarder se qu’il faisait, elle ne faisait que l’écoutait simplement. Puis elle le vue s’approcher d’elle avec les bandages, ils ne semblaient pas très propres, mais au moins ils étaient désinfecter et mieux qu’avant d’être mit dans l’eau

« Je pense pas que ce soit facile de se bander soi même correctement. Mets-toi de dos, je vais le faire. Pendant ce temps, tu pourrais peut être me dire comment tu t’es foutu dans ce merdier, qu’en penses-tu ? »

Il s’absenta et revint avec sa cher guitare, elle eut un grand sourire et il dit :

« Ah, tiens, je crois que ça t’appartient. Désolé, j’ai cassé une corde sans le vouloir. ».

Elle eut un air triste et prit sa guitare puis elle se mit dos à Gerfaut et elle dit en même temps de lever, son chandail, assez pour qu'il puisse penser sa plaie sans problème. :

-Je voyage beaucoup depuis qu'elle que temps, entre la terre et Terra et j'ai prit un portail pour arriver ici, car c'était l'endroit le plus proche pour me diriger à Nexus... Et lorsque je marchait tranquillement, la bête m'a attaquer... Peut-être était-je trop près de ses petits? Je sais pas...Mais j'ai pas eu le choix de me défendre avec ma magie et voila se que sa à donner à la fin, il ma griffer...

Elle soupira et une fois que Gerfaut eut finie de bander la plaie... elle regarda sa guitare et enleva la corde briser, lorsqu'elle seras chez elle, elle la réparera...

Pourquoi tant de tristesse dans son regard ?  Etait-ce seulement la de tristesse à cause de la guitare ? Etait elle aussi importante pour elle ? Enfin bon, cela n’importait que peu. Pour se laisser bander, elle se tourna et releva son haut. Dans son dos, il remit les bandages en place, les serrant un peu plus. Pendant qu’elle parlait.

-Je voyage beaucoup depuis quelques temps, entre la terre et Terra et j'ai prit un portail pour arriver ici, car c'était l'endroit le plus proche pour me diriger à Nexus... Et lorsque je marchait tranquillement, la bête m'a attaquer... Peut-être était-je trop près de ses petits? Je sais pas...Mais j'ai pas eu le choix de me défendre avec ma magie et voila se que sa à donner à la fin, il ma griffer...

Un soupir s’échappa des lèvres de la demoiselle quand elle enleva la corde cassée.

« Je suis vraiment désolé de l’avoir brisée. » Il avait prononcé cela d’un ton presque compatissant. Il comprenait car il aurait sans doute pris mes choses comme elle si la corde de son arc avait été cassée.

Le récit de son voyage était des plus laconique, et cela ne l’aidait pas beaucoup mais il reconnaissait une chose, elle s’était conduite comme une idiote, on ne se baladait pas tranquillement dans ce genre d’endroit, c’était un coin dangereux !

« Il va falloir mettre quelques petites choses au point je pense pour ta survie. Te montrer aussi insouciante, ce serait du suicide. Je peux t’enseigner certaines choses que je sais mais toi, veux tu apprendre ce que je te propose de savoir pour ta propre sécurité ? »

Il proposait cela, mais ne faisait pas d’illusions, tout le monde avait décliné son offre jusqu’à présent, et la jeune femme ne ferait sans doute pas exception. Oh bien sur, ce ne serait que de la théorie, comme savoir si l’on est sur le territoire d’un carnivore, comment se soigner en cas de besoin,… etc. en bref, il lui proposait de lui transmettre la base pour la survie.

« Par contre, je n’enseigne pas ça à n’importe qui, alors qi cela t’intéresse, j’aimerai en savoir plus sur toi, comme une sorte d’évaluation, tu ne penses pas que cela soit normal ? »

Il était pet être trop gentil, cela ne lui ressemblait pas.

« Je suis vraiment désolé de l’avoir brisée. »

Il semblait compatissant, oui sans doute. Cette guitare était comme une partie d'elle elle y tenait beaucoup, si elle devait briser aucun autre instrument de musique serait pareil...

« Il va falloir mettre quelques petites choses au point je pense pour ta survie. Te montrer aussi insouciante, ce serait du suicide. Je peux t’enseigner certaines choses que je sais mais toi, veux tu apprendre ce que je te propose de savoir pour ta propre sécurité ? »


Un grand sourire survint sur ses lèvres, un peu d'enseignement de la part de ce Terranide pourrait l'aider... Elle était trop habituer au calme de la terre et se défendait moins lorsqu'elle est sur Terra et cela était un véritable problème. Elle allait parler mais Gerfaut parla à nouveau.

« Par contre, je n’enseigne pas ça à n’importe qui, alors qi cela t’intéresse, j’aimerai en savoir plus sur toi, comme une sorte d’évaluation, tu ne penses pas que cela soit normal ? »

Normal...Elle sourit et elle dit :

-Bien sure que j'accepte que vous m'enseigner, je suis une personne tout à fait ordinaire sauf que je peux utiliser la magie élémentaire, telle que le feu,le vent,l'eau et la terre...

Elle eut un petit rire, elle avait dit tout cela d'un ton si naturel, comme si savoir utiliser les 4 magie élémentaires était normal et on pouvait en voir beaucoup. C'était rare de voir une personne manipuler 4 éléments, car les gens sachant utiliser la magie sont généralement capable que d'utiliser une magie... Enfin bon, la jeune fille se leva et s'étira un peu, faisant attention à sa blessure. Elle caressa sa longue chevelure rosâtre et fixa Gerfaut, attendant une quelconque réaction ou parole.