Quand le chien errant doit s'occuper d'une heure de colle [Harmonie]

Voilà une toute nouvelle journée. C'est, encapuchonnée, que Heine devait aller s'occuper de son premier boulot sur terre. Il ne gagnait malheureusement pas assez d'argent, et était donc obligé de faire des petits boulots. Lui qui normalement est quelqu'un de nomade, et donc ne vit jamais au même endroit, a dût se payer un appartement, pas très cher. Il ne savait pas vraiment pourquoi il avait fait ça, surement pour avoir une accroche. Rien qu'une petite. Il désirait avoir un endroit " à lui " où il pourrait se reposer. C'était la belle vie, non ? Enfin bref, le métier qu'il avait décidé d'exercer était celui de.. pion. Oui, vous avez parfaitement entendu. Il allait être un simple pion de lycée.

C'était sa toute première journée. Et pour lui donner un peu ses marques dans l'enceinte de l'endroit, la directrice avait décidé qu'il devait tout simplement s'occuper d'une fille qui venait d'être collé. Trois longues heures de colles. Comment on peut avoir autant d'heures comme ça ? Trois heures ! Ils allaient surement resté pendant la nuit. C'est ainsi que Heine marcha tranquillement en direction du lycée, sous le crépuscule. Le soleil couchant dans le dos, l'albinos marchait jusqu'au portail, voyant les lycéens partir en courant. Ils avaient l'air pleins de vies, ça lui donnait un peu de baume au coeur.

Certains le regardaient, comme émerveillé. Normal, Heine avait retiré sa capuche et tout le monde pouvait observer le fait qu'il soit un Albinos. Ses cheveux blancs comme la neige, son teint blanc et ses yeux rouges carmin. C'était assez rare de voir ce genre de personne, alors c'était tout à fait normal qu'ils soient intéressé. Rapidement, il monta les marches pour rentrer dans la fameuse classe. Il quitta son manteau pour le poser sur la chaise du grand bureau qui était normalement destiné au professeur.

Heine était habillé de façon assez.. mh. Il portait un t-shirt sans manche, qui lui moulait pas mal le torse, ainsi qu'un simple pantalon de tissu, tenu par une ceinture grise. C'était ce qu'il portait parfois sous son manteau. Il poussa un petit soupir d'exaspération. Pourquoi avait-il décidé de devenir surveillant ? Un simple pion ! Il méritait d'être le directeur plutôt. Ah ah ah ! Narcissique en plus. De toute façon, on s'en fout. Il prit place à son bureau avant d'attendre que l'élève arrive.

Tout cela ne lui disait rien de bon. Il avait froid. Si froid. Les divers couloirs de l'école ne lui rappelait pas de bons souvenirs. Pourquoi ? Car cela ressemblait aux divers couloirs qui parsemé Bright Dawn, l'hôpital psychiatrique où Heine avait passé la plupart de ses années. C'était vraiment énervant, et le coeur du chien errant battait un peu plus rapidement que d'habitude. Il sentait que quelque chose de spécial allait arriver. Mais quoi ? La peur. Il avait peur. C'était étrange. Il avait même peur d'avoir de nouvelles hallucinations ! S'il voyait tout d'un coup la personne qu'il devait surveiller comme un Zombie ? Tuerait-il la dite personne de sang-froid ? Il ne savait pas. Il ne savait plus.

Il frappa de son poing sur la table, énervé. L'école lui paraissait malsaine. Même si les lycéens semblaient tous très heureux et gentil, il avait peur. Il sentait que quelque chose approchait de la salle. Quelque chose. Quelqu'un. Il ne savait pas. Ses sens de dragon slayer étaient particulièrement en éveil. Le silence se faisait lourd. L'école était maintenant vide. Il écouta le vent qui sifflait dehors. Le silence était trop lourd. Il n'aimait pas ça. Il avait.. peur. Peur. Peur d'être seul ici, là. Il ferma les yeux, sa respiration se faisant légèrement haletante, il secoua sa tête pour reprendre ses esprits, avant de déglutir.

Et la porte s'ouvrit. Son coeur rebattait normalement. Sa peur était partie. Il avait eu comme un flash d'une seconde. Il regarda en direction de la porte pour voir qui entrait..

une semaine que j’ai repris les cours, j’y suis allé presque tout les jours, et me voilà collée! J’avais loupé une journée de cours, épuisée après ma nuit passée avec Kishi. Cette ange m’avait vraiment pompé toute mon énergie. et puis le lycée m’avait gardée jusqu’à 23h. Et ça c’était avant de me faire attaquer par un monstre, de me faire sauver par un ange, suivit de l’épisode Kishi. Non vraiment trop d’émotions en une soirée!

  après ça aller l’expliquer au lycée sans qu’il vous prenne pour une folle, bon bien sur la partie sexuelle est plausible mais pas valable pour ne pas aller en cours! Suite à ça je me suit bien pris la tête avec mes professeurs et pour le coup il m’ont pas loupé! 3heures de colles, 3heures d’ennuie mortel! Et cette fois ci je sortirais du bahut bien après 23heure. Autant dire que le surveillant n‘a plutôt pas intérêt à me prendre la tête!

et dire que quand j’était à Tôkyô, j’allais en cours quand je n’avais rien à faire d’autre, c’est-à-dire jamais. Et les heures de colles ne faisait pas parties de mon vocabulaire. Mais bon papa n’est plus là et il ne veut absolument pas m’aider pour les problèmes que j’aurait dans cette ville quel ingrat! Déjà qu’il me fait vivre seule dans le trou du cul du monde, si en plus je doit faire des heures de colles je ne vais vraiment pas tenir bien longtemps!

papa. Je l’avais eu au téléphone hier, il était furieux de savoir qu’après seulement 1 semaine dans cette établissement j’avais déjà des soucis. Quel hypocrite! Il ne se souciait pas de ça avant! Il était l’heure et plus les minutes avançaient, plus j’étais  de mauvaise humeur. Je marchai donc à pas lourd vers ma salle de colle. De plus en plus énervée. Je vais peut être essayer de partir avant. Peut être que le surveillant voudra me laisser partir contre quelques billets.

Je suis arriver devant la porte et la seule chose dont j’ai envie c’est de prendre mes jambes à mon cou et partir le plus loin possible de cette endroit pourris remplie de pourris! Je fini par ouvrir la porte et je vois un homme, plutôt jeune. Mais attend un peu… il est tout blanc! Bof encore un campagnard qui veut ce donner un style. Il a simplement du mettre des lentilles rouges et s’être teint les cheveux. Je ne daigne même pas le regarder, ni lui dire bonjour. je suis bien trop de mauvaise humeur pour être polie et souriante. Je vais donc m’assoir sur un table en face de lui. Le regard dans le vide en espérant que ces 3 heures passe le plus vite possible!

Finalement, la porte c'était donc ouverte. Une jeune femme entra, qui semblait assez.. énervée. Ça n'étonnait pas vraiment le chien errant. Il fallait l'avouer, trois heures de colles comme ça, c'était tout de même tout simplement la.. mort. Comprenez-là, elle devait surement partir faire une tonne de choses à faire, comme par exemple faire les boutiques, aller au chiotte, aller voir ses copains, se faire violer par un démon possédant huit tentacules puis se faire sauver par un ange, ce genre de trucs quoi. Bien-sûr, le truc, c'est que l'albinos s'en foutait complètement. Elle avait pas qu'à faire la zouaf en classe ou coucher avec un magnifique chevalier royal. Non mais.

Elle arriva sans même dire bonjour. ça tombe bien, Heine ne lui avait même pas adressé un seul coup d'oeil. Elle alla s'asseoir sur la table en face de lui, le regard dans le vide. Le jeune chien errant s'en foutait complètement d'elle. Il posa les deux coudes sur la table avant de soutenir sa tête, regardant dans le vide. Il ne lui adressa pas non plus un seul sourire, pas un bonjour, pas un regard. Elle était simplement là pour faire son heure de colle, pas question qu'Heine lui parle ou l'aide à faire passer ses trois heures plus vite qu'elles ne devraient. Les heures de colles sont faite pour être chiante. Ça lui apprendra à recueillir un ange chez elle avant de le faire boire jusqu'à qu'il soit saoul. Faut leurs apprendre à ces jeunes.

A la place de s'occuper de la jeune femme, il repensa à tout ce qui c'est passé avant qu'elle n'arrive. Ce drôle de sentiment, cette boule au ventre. Étrangement, rester seul dans cette classe lui a quasiment fait perdre tout ses moyens. Dès que la jeune femme était entré, tout était redevenu normal. Il était redevenu calme et posé. Ce n'était surement pas grâce à la jeune femme directement, mais bien indirectement. Comment allez se passer la suite ? Heine ne lui avait donner aucun travail à faire. Et pour cause, il ne la regardait même pas, lui adressait pas la parole. C'est simple, pour lui, elle n'existait pas.

Et de toute façon, il devait penser à autre chose. Il avait eu comme un flash, lors de cette scène d'angoisse. Qu'a t-il vu lors de ce flash ? il ne le savait pas lui même. C'était étrange, trop étrange. Cette foutue boule au ventre. Il ne savait plus ce qu'il avait vu lors de cette seconde. Même pas une couleur. Pourquoi ne se souvenait-il pas de ça ? Il en avait marre. Il en avait assez. Il était légèrement stressé, mais qu'importe. Il espérait aussi que les trois heures soient rapide, il n'avait rien d'autre à faire.

ce type était vraiment bizarre. Il était complètement indifférent à ma présence dans cette sale. Et je déteste être transparente! Il n’a même pas retenue le faite que je ne l’ai pas salué, un surveillant digne de son nom m’aurais déjà réprimandé pour mon manque de politesse. Il donne plus l’impression d’être en colle avec moi plutôt que de devoir me surveiller.

le plus surprenant dans tout ça c’est qu’il ne m’a même pas regardé. J’étais dans ce lycée depuis une semaine et je sentais déjà tout les regard posés sur moi: de jalousie pour les filles et de désire pour les garçons. Autant dire que ce type était vraiment bizarre. Ce doit surement être le genre de mec qui veut ce donné un style désintéresser. Il sera obligé de me regarder un moment où à un autre.

le temps passait et il n’avait toujours pas posé ne serait-ce qu’un petit regard sur moi. Et je commençais à perdre patience sur ma chaise. il avait le regard complètement vide comme un mort vivant… mort vivant? Mais attend un peu si il faut s’en est un! Il aurait pris la place du surveillant…et…et…. Je sais pas mais les morts vivant c’est dangereux et ça mange les humains! Mon dieux pourquoi moi! Je commençais à m’agiter toute seule du style vraiment pas discret et n’importe qui de l’extérieur m’aurait pris pout une folle, mais j’était tellement persuadée que mes doutes étaient fondés  que tout cela m’était complètement égal.

  je me levai brusquement tapant mes mains sur la table. Puis mon bras droit ce leva pour le pointer de mon doigt accusateur. J’avais un peu peur de ce que j’allais faire, je voulais pas le mettre en colère et puis de toute façon s’il m’attaquait  je n’avais crier pour que l’on vienne à mon secours. Enfin j’espère.

 « toi! Le mort vivant! Je t’ai reconnue démon! Et ne crois pas que tu pourra me manger facilement !»

il me regarda sans aucune expression sur le visage, il n’était même pas choqué de mes paroles. Son visage exprimait plutôt un visage de quelqu’un qui vient de voir un fou mais qui préfère l’ignorer. Et d’un coup je me suis sentie toute bête, et si j’avais eu tord?[/b]

 « mais heu….je….t..t’es pas un mort vivant? Tu veux pas me manger…. Mais…mais… »

L'ennuie. Voilà ce que ressentait pour l'instant le jeune dragon slayer. Rien ne lui important là, maintenant. Il devait simplement s'occuper d'une foutue heure de colle, de trois longues heures. Rien de plus, rien de moins. Il n'allait tout de même pas lui adresser la parole. La vérité, c'est qu'il s'en foutait mais alors plus que normalement. La jeune femme serait partit sans faire les trois heures, il n'aurait rien dit. Elle fait sa vie après-tout, ce n'est pas lui qui allait dicter sa méthode pour vivre sa vie.

Et puis, finalement, elle fit quelque chose de complètement crétin. Elle le pointa d'un doigt accusateur, avant de le traiter de mort-vivant, lui disant qu'il ne la mangera pas aussi facilement. Toute personne normalement constituée aurait beaucoup rigolé à cette "blague" mais pas l'albinos. Non. Il avait tout simplement pitié d'elle, là. Poussant un soupir d'exaspération, il ne daigna même pas lui répondre.

Lui ? Un Mort-vivant ? Il ne parlait pas, soit, il avait la peau blanche, soit, il avait les yeux rouges, soit, les cheveux blancs, soit, mais il ne ressemblait pas a un PUTAIN De mort-vivant. Il avait du sang de partout ? - Car le zombie boit comme un goret - il a des van's? - car le zombie est coool - non ! Alors qu'elle vienne pas le faire chier avec cette saloperie d'histoire de mort-vivant ! D'un coté, il avait été plusieurs fois appelé comme ça, mais c'était surtout dû au fait qu'il n'avait jamais essuyé une seule défaite, jamais jamais au grand jamais.

Après quelques secondes de silence digne des plus grands films comique avec le petit bruit de criquet en fond, elle remarqua son erreur avant de dire quelques petites choses sans importance.

Bien-sûr qu'il n'était pas un putain de mort-vivant. Mais difficile de lui expliquer, elle semblait assez idiote. Ou pas, il ne la connaissait pas véritablement. Poussant un nouveau soupir, il reporta son attention à la fenêtre, regardant dehors.

il n’avait pas du tout réagit du tout, mis à part un soupir, certainement d’exaspération. Je venais de l’insulter et de choses l’une: soit il s’énervait car je venais de le traité de mort vivant, soit s’il en était vraiment bah il m’aurait mangé nan? Mais ni l’un ni l’autre. Cela me mis encore plus mal à l’aise et je ne savais plus du tout. J’étais complètement figée sur place le doigt toujours pointé dans sa direction.

lui il semblait déjà ailleurs, le regard plongé ver la fenêtre. Il semblait si concentré et pas s’ennuyer du tout. Sa m’énervais beaucoup mais en même temps je voulais savoir ce qui le rendait si pensif pour ne pas me calculer du tout. Ce type était vraiment étrange, de part son physique mai aussi sa façon d’être. Tout chez lui ne collaient pas. Cependant c’était plutôt intéressant de voir ce qui ce cachait là-dessous.

Je me lève donc m’avançant doucement vers le bureau, il ne le remarque même pas. Je me met juste devant son visage car je suis sur que même si je lui parle il ne répondra surement pas. Et c’est bien connue la proximité facilite le langage, enfin quoique avec lui j’en suis pas sur à 100%. Le truc c’est qu’il est assit et moi debout je me baisse alors à son niveau, là il est obligé de réagir.

 « hey! T’es bizarre toi! Je sais que tu n’es pas un mort vivant mais tu réagit comme tel! Tu es sur d’être surveillant? »

cette fois il à plutôt à me répondre. Bon c’est vrai que j’ai un peu peur de sa réaction, pourvue qu’il ne s’énerve pas de toute façon si c’est le cas ça serait une bonne raison pour partir!

Que devait-il faire dans pareil situation ? Rien. C'était l'ennuie la plus totale. Il ne savait pas vraiment quoi dire, quoi faire. Il n'allait rien dire de toute façon, à quoi cela servirait, hein ? Il s'en foutait d'elle, ce n'était pas comme s'il la connaissait. Remarque, il ne connaissait encore personne ici, alors bon, ce n'était pas le principal problème. Il avait remarqué qu'elle était arrivé près de lui, mais n'y avait pas réellement porté attention. Si elle veut s'approcher, qu'elle le fasse. C'est sa vie après-tout, il n'en avait rien à faire.

Finalement, elle se plaça juste devant son visage. Lui cachant la vue. Elle lui demanda alors s'il était vraiment un surveillant, car il n'était pas un mort-vivant mais réagit comme tel. Si elle savait vraiment c'qu'était un mort vivant, elle saurait que le dit mort vivant serait déjà sauter sur elle et serait déjà entrain de la dévorer. Alors non, il ne réagissait pas comme un mort-vivant. Il n'était pas gentil, mais pas méchant. C'était comme ça, y avait pas à tortiller du cul pour chier droit, elle avait qu'à s'y faire non mais.

Exaspéré, il poussa un nouveau soupir avant de finalement ouvrir ses lèvres pour parler.

« J'suis bien un surveillant, sinon j'me serai pas fait chié à venir ici, tu crois pas ? »

Il continuait de la fixer, les yeux dans les yeux. Ses yeux rouges carmins étaient fixaient dans les prunelles de la jeune femme. Même si elle était attirante, ses yeux ne reflétaient pas une quelconque envie de plaisir charnel, ou bien d'attirance. Mais plus un soupçon de colère mêlé à une légère pincée de Haine. Non, il n'était pas du genre à lorgner sur les gens comme ça.

[Post pourri, désolé ^^"]

il avait enfin ouvert la bouche, il était finalement humaine. Il semblait exaspéré par ma personne, en même temps je le comprend il à surement du me prendre pour une folle ou pour une parfaite idiote, ou encore pour les deux à la fois sans doute. Il me dit que c’était vraiment un surveillant, il était légèrement agressif. Mais en même temps cela ce fait qu‘il se fichait complètement de moi.

Cette situation commençait à devenir légèrement insupportable pour moi: qu’on m’aime ou qu’on me déteste je ne laisse pas les gens indifférent et cet homme était en train de me provoquer! Il repoussa un soupir Alors comme ça je ne t’inspire rien que de l’ennuie? Tu vas voir mon grand, tu vas voir de quoi je suis capable pour éveiller un peu d’intérêt chez. Et combiens d’hommes aimeraient être à ta place à cette instant.

il me regardait de ces yeux rouge d’albinos. Son regard n’exprimait rien, pourtant moi j’avais l’impression de me noyer dans ses yeux si profond. Houla houla c’est moi qui dois lui faire de l’effet et pas l’inverse! Mais c’est vrai qu’il était plutôt mignon. Son teint tout blanc, ses yeux rouges, son attitude nonchalante… tout son personnage était étrange, et c’est bien connue tout se qui sort de l’ordinaire m’attire  inlassablement.

je m’assit sur son bureau, j’était encore proche de lui, si proche que mes pieds qui ne touchaient plus le sol pouvait atteindre ses jambe à lui. J’ouvrit quelques boutons de mon chemisier histoire de l’appâter un peu; après tout, tout les hommes sont pareils! Je prit un petite mon boudeuse en me baissant un peu pour bien laisser apparaitre mon magnifique décolleter.

 « Eh bien monsieur le surveillant… je ne suis pas à votre gout? » 

Finalement, elle semblait ne pas vouloir arrêter de lui parler. En effet, seulement quelque secondes après avoir parler, la jeune femme prit place sur SON Bureau. Il rêvait ou bien ?.. Elle venait de s'asseoir directement sur le bureau, comme ça ! Ses jambes ne touchaient même plus le sol ! Mais à quoi pouvait-elle bien penser à ce moment ? Ne daignant même pas jeter un coup d'oeil, ses yeux furent attirer, suite au bruit des boutons de son chemisier. Attend... était-elle sérieuse ? Heine écarquilla légèrement un oeil en la voyant faire.

Mais à quoi pouvait-elle bien penser ? Elle ne déboutonna pas entièrement son chemisier, son but était de faire un magnifique décolleté qui avait eu le don d'attirer l'oeil du dragon slayer. Néanmoins, il retira son regard pour le détourner et regarder par la fenêtre. Il toussa légèrement, avant de déglutir. Qu'avait-elle vraiment en tête ? Elle voulait qu'il lui parle, ou quelque chose d'autre dans le même genre ? Ou peut-être son idée était plus perverse ?

Le jeune homme porta son poing vers sa bouche pour tousser un peu, histoire de faire passer la gêne. Il ne préférait pas donner de nouveau coups d'oeil vers se décolleté plongeant qui ne demandait qu'à être regardé, histoire de ne pas donner à la jeune femme ce qu'elle veut. Heine avait sa fierté, et pas question qu'une lycéenne arrive à le faire déchanté comme ça avec un simple décolleté, aussi beau et plongeant soit-il !

Heine avait quand même sa propre fierté, qui a été construite suite à de nombreuses victoires et de nombreux entraînements. Il avait résisté aux pires tortures facilement, juste pour ne pas flancher devant quelqu'un. Ce n'est pas une charmante jeune femme bien faite qui va le faire changer d'avis ! Il n'était pas là pour mater des seins - Math et Dessin, HAHAHA - mais pour la surveiller, et rien d'autre.

c’est bien ce que je pensais! Aussi étrange soit-il ce surveillant reste un homme comme un autre. Et évidemment mon chemisier pigeonnant avait attiré son attention. Je le vit même peut mal à l’aise et détourner son visage du coté de la fenêtre avant de tousser. Même si cela fut furtif il y a quand même eu une petite réaction de sa part

si cela aurait été le contraire j’en aurais déduis qu’il était gay et je ne l’aurais pas embêter plus longtemps. Mais nan, et cela titillait  encore plus ma curiosité, finalement on peut en tirer quelque chose de lui. Et puis il faut bien ce l’avouer aucun hommes ne me résiste! haha haha!!! Bon je dérape un peu là.

quoi qu’il en soit je n’étais pas prête de le laisser tranquille notre cher surveillant. Il n’était pas question d’aller jusqu’au bout pour le moment mais juste de le provoquer un petit peu. Je me relevais alors le voyant encore une fois détourné son regard vers la fenêtre. Que pouvait-il y avoir de si intéressant dehors surement rien de mieux que moi.

je passe alors derrière lui mes bras passe autour de son cou, puis glisse le long de son torse pour venir le caresser. Mes seins sont complètement écrasés sur son dos et j’approche ma bouche tout près de ses oreilles pour lui susurrer quelques mots. Avec ça il ne peut pas résister plus long, ou alors ce serait un supplice pour lui.

 « monsieur le surveillant… laissez moi vous divertir, vous risquez de vous ennuyer à rester seul dans votre coin. »

Oui.. Il avait sa fierté. Pas question qu'on arrive à le faire changer d'avis. Il n'était pas là pour ce genre de choses, jamais de la vie. Lui qui avait résisté à une hallucination permanente sans devenir complètement fou, selon ses souvenirs en tout cas, et qui est capable de tenir droit et fier tout en restant dans un monde digne des plus grands jeux d'horreurs.. Pourquoi la jeune femme arriverait-elle à le faire flancher ? Disons qu'il n'est pas habitué à ce genre de choses, et il ne savait donc pas vraiment comment réagir. Bien-sûr, la jeune femme était particulièrement attirante, il n'y avait pas photo, mais il n'était pas là pour ça, et il lui donnerait pile ce qu'elle veut. Il n'était pas quelqu'un de faible, non ! Mais tenté, oui.

Tenté. Il l'était. Même si c'est normalement quelqu'un de froid et replié sur lui-même, ce que fait la jeune femme le perturbe assez. Heureusement, son visage gardait la même expression, ou en tout cas presque la même, ne montrant pas la totalité de la confusion et de la gêne qu'il avait. Et heureusement d'ailleurs ! Dire que fasse à une jeune femme belle qui lui fait des avances, il est tenté.. Et si c'était un démon, une succube, hein ? T'y penses mon petit Heine ?!

Et comme si ça suffisait pas, elle glissa alors derrière lui. Le dragon slayer ne le sentait pas vraiment, même s'il regardait toujours par la fenêtre, histoire de ne pas la regarder. Et là, c'est le drame. Voilà qu'elle venait de se coller à lui, comprimant sa poitrine contre son dos, ses bras passant par son cou, et ses mains glissant sur son torse pour le caresser. De plus, elle venait d'approcher ses lèvres vers son oreille pour lui murmurer qu'elle voudrait le divertir. Il avait les joues légèrement plus rouge, ne sachant pas vraiment quoi faire, quoi dire. Cette scène était d'ailleurs assez excitante, vu que c'était la première fois qu'on lui faisait de telles avances, et une bosse commençait à apparaitre sur son pantalon, pas très grosses étant née d'un début d'erection, mais néanmoins visible, toujours contre sa volonté.

Il avait les mains crispés sur ses cuisses, gêné, ne sachant pas vraiment quoi répondre. Il avait assez de volonté pour résister, mais avec beaucoup de difficulté. Si elle continuait comme ça, il ne pourra plus du tout résister, il le savait. Il continua de regarder la fenêtre de son air désintéressé, la légère rougeur de ses joues trompant néanmoins sa gêne apparente. Qu'allait elle faire, maintenant ?

EDIT: j'ai oublié de mettre une blague dans mon post. Alors, c'est l'histoire d'un gars qui tombe des escaliers et qui meurt, elle est mortelle hein ? Ok, je sais où est la porte..

mon petit jeu commençait à faire bouger les choses. Je le voyait de plus en plus mal à l’aise. Le pauvre devait bouillonner et pourtant il faisait tout pour garder son aire désintéresser. Mes mains continuaient à le caresser lentement puis elle remontèrent vers son visage pour lui caresser doucement sa fine bouche et enfin passèrent dans ses cheveux. Je le voyait rougir et son corps commençait à chauffer, ses mains étaient toute crispées sur ses jambes. Il allait bientôt craquer ce n‘était qu‘une question de temps.

à un moment je m’aperçut qu’une petite bosse au niveau de son entrejambe s’était crée, petit coquin! On ne peut pas aller contre les réactions de son corps. J’était très amusé de voir cela, finalement cette heure de colle est plutôt amusante. Je me remis face au surveillant, le sourire au lèvre, mes mains caressent toujours son visage. Je m’assoit à cheval sur lui. Je sens sa bosse grossir encore un peu plus au contact de mon corps.

 « petit cachotier…. Votre corps à l’air d’être de mon avis! Il semble qu’il veuille aussi s’amuser avec moi…

je déboutonnai entièrement ma chemise, maintenant il pouvait aisément voir mon soutien-gorge rouge et noir. Mes dessous étaient plutôt sexy aujourd’hui. Je devais normalement allée travailler après les cours, cette heure de colle était vraiment mal tombée. Enfin j’allais surement me rattraper ce soir. Même si ce moment ne sera pas rémunéré.

 « alors monsieur le surveillant… vous allez jouer avec moi? » 

Ah bah non. Finalement, je ne prend pas la porte, et je reviens pour faire le narrateur sur cette réponse là aussi. Je vous ai manqué ? Non ? Bah tant mieux, vous allez me supporter encore longtemps, bande de petit con et surtout TOI {Insérer ici le nom}. Enfin bref, passons aux choses sérieuses, non ? Enfin bref, voilà qu'Heine devait résister au charme de la jeune femme. C'était très très difficile, vu qu'elle le chauffait comme pas possible. Pour vous donner un ordre d'idée, sachez qu'il est plus difficile de résister au charme d'Harmonie que de calculer la distance Paris - New York en volant, en battant des fesses. J'espère que ça vous parle. Et bonne chance à celui qui va essayer... qui va essayer de résister à son charme bande de taches !

Voilà qu'elle commençait maintenant à caresser son visage. Il continua à regarder par la fenêtre, ne sachant pas vraiment quoi dire. Finalement, elle se mis alors à cheval sur lui. Heine sentait le corps de la jeune femme contre sa bosse qui prit un peu plus d'ampleur. Elle lui dit alors que son corps semblait vouloir s'amuser avec elle. Oui, c'était vrai. Mais il ne fallait pas qu'il faiblisse. Elle ouvrit alors entièrement son chemisier, dévoilant son soutien-gorge assez.. Sexy, il fallait le dire. Elle lui demanda alors s'il voulait jouer avec elle.

Oh et puis merde, marre de résister. Elle l'avait trop chauffé, il n'en pouvait plus. Finalement, il tourna sa tête pour la regarder, avant de l'embrasser fougueusement. C'était ça sa réponse. Il glissa même sa langue entre ses lèvres pour aller jouer avec la sienne. Dieu que le goût de ses lèvres était délicieux. Il glissa ses deux mains sur ses bras, avant d'en glisser une vers sa poitrine qui lui faisait tant envie. Il commença alors à la masser, l'autre main s'occupant de lui retirer son chemisier.

Il était légèrement sauvage, mais qui pouvait lui reprocher ? Il en avait maintenant envie, il avait tout simplement envie d'elle. Cette heure de colle allait être beaucoup plus agréable que ce qu'il pensait. La main qui venait d'enlever son chemisier glissa alors vers son dos, avant d'aller masser sa fesse de la même manière que sa poitrine. Son fessier était aussi divin que le reste de son corps. Elle était vraiment belle et attirante, il fallait l'avouer. La bosse prit d'ailleurs légèrement plus d'ampleur. Il continua toujours à l'embrasser, et jouer avec sa langue.

hahahah je suis vraiment la meilleure! Oui vraiment aucun homme ne me résiste, non aucun, ni même les femmes et surement les animaux aussi. Je suis sur que même le pape en personne ne pourrait ignorer mes avance. Je suis définitivement irrésistible. Quel sentiment de puissance j’adore sentir les hommes craquer sous mes caresses, eux qui se croient si supérieurs! Cependant je doit admettre que celui là m’avait donné assez de difficultés. J’ai du me démener pour arriver à mon bute. Hmmm soit il a beaucoup d’expérience, soit les femmes n’ont jamais été sa priorités.

je savais qu’une fois sur ses genoux il ne pourrait plus résister. Mes fesses frottant contre sa petite bosse avait du l’exciter au plus au point, et avec mon chemisier entièrement ouvert son regard devait naturellement se porter sur moi. Et bien évidemment j’avais raison, il détourna son regard de la fenêtre pour me regarder. Mes yeux furent plongés dans son regard froid et ses yeux anormalement rouge mais si hypnotisant.

il m’embrassa violement, cela m’amusa. Hahaha il avait du se retenir si longtemps le pauvre au moins maintenant il allait pouvoir en profiter. Je sentie sa langue pénétrer ma bouche pour venir caresser la mienne. Mes bras passèrent autour de son cou puis dans ses cheveux. Je me collais un peu plus à lui en continuant à l’embrasser, quelques fois je mordillais un peu sa lèvre inférieur pour revenir prendre possession de sa bouche.

je sentais depuis le début que ma poitrine lui faisait follement envie, alors il ne mit pas longtemps pour venir la malaxer avec ardeur. Il retira mon chemisier et je sentait son autre main caresser mes fesses. Sous ces délicieuses caresses mon corps ce frotta naturellement au sien , et je sentais son érection prendre de l’ampleur.

 « enfin…monsieur le surveillant! Je crois que nous allons bien nous amuser touts les deux! »

Qu'ils allaient bien s'amuser ? Ah. Oui, ça c'était sûr. Cette heure de colle allait être particulièrement agréable, que ça soit pour elle ou pour lui, il n'y avait vraiment rien à redire sur ça. C'était sûr et même certain. Ils allaient prendre tout deux du plaisir, et donc c'était le principal. En tout cas, elle pouvait se vanter d'être particulièrement attirante. Sa main malaxait toujours sa poitrine, qui lui faisait tant envie depuis qu'elle avait commencer à enlever son chemisier. Dieu qu'il avait attendu ce moment avec impatiente. Son autre main s'occupait, quant à elle, toujours de sa magnifique paire de fesses, si douce au touché. Dieu qu'elle était attirante, belle, charmante.

Elle avait glissé ses mains dans son cou pour pouvoir profiter du baiser. Après qu'elle ait parlé, Heine l'embrassa une nouvelle fois, plus "sauvagement". Il avait envie d'elle, c'était sûr, certain et ça ce voyait comme le nez sur la figure. L'envie était donc là, et l'envie semblait être aussi chez la jeune femme. Ce qui promet donc une excellente heure de colle, que ça soit pour elle, que pour lui. Dire qu'il était là normalement, en pensant se faire chier.. Voilà qu'il avait une ravissante créature sur les genoux, qui l'avait chauffé comme pas possible. Curieuse rencontre, hein ?

La main qui caressait ses fesses se glissa à l'intérieur de son bas, pour la masser plus sérieusement. De plus, sa main commença alors à prendre son bas entre deux doigts, avant de le relever, histoire de frotter le tissu contre son intimité, et l'exciter un peu plus. La main s'occupant de sa poitrine glissa vers l'agrafe du soutien-gorge, avant de lui enlever, puis de masser sa poitrine de façon experte. Son pouce titillait légèrement son téton, alors qu'il prenait à nouveau possession de ses lèvres, la bosse prenant lentement plus d'ampleur

« Oui, je crois aussi.. »