une mission pour Anastasia [PV Don]

Assise sur un chaise Anastasia examinait une photo: un homme brun plutôt grand d’une trentaine d’années à vue d’œil. Sur la table un fichier avec d’autre photo de lieu. Anastasia soupira, elle qui pensait qu’on l’avait envoyer ici pour l’éloignée de sa famille et de son travail, apparemment ils ne pouvaient pas se passer de ses services. Il faisait nuit Anastasia s‘apprêtait à partir. Elle chargeait ses armes mis un manteau et sortie. Il commençais à faire froid, l’hiver arrivait sa robe noir en laine arrivait juste au dessous de ses genoux, ses collant noir opaque caché la pâleur de sa peau et la protégeait de cette froideur hivernal. Elle avait mis un jolie bonnet qui se mariait à merveille avec sa belle chevelure blonde. Elle marchait tranquillement dans la rue se remémorant les évènements de ces derniers jours. Effectivement son père l’avait appeler il y a de sa 2 jours. Un homme un certain Don était soupçonné de faire du trafic d’esclavagisme avec des jeunes femmes, ce qui n’arrangeait pas du tout bon pour les affaire de cette grande famille mafieuse, car en plus du trafic d’armes et de drogue son père excellait aussi dans le trafic d’être humain et de prostitution. Il se trouvait que ce Don était en ce moment dans la même ville qu’Anastasia, alors simple coïncidence ou véritable calcul de son père, un ordre est un ordre auquel elle allait obéir comme tout les autre. Sur les différentes informations qu’elle avait put obtenir il y avait ce bar où la cible avait l’habitude d’aller. La jeune femme était très excitée çà l’idée de reprendre du service cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas put s’amuser un peu avec ses armes. Cependant la mission de ce soir était plus du repérage qu’autre chose, mais elle espérait tout de même que ce Don lui résisterait un peu

Elle arrivait bientôt devant ce fameux bar « l’Amiral » situé dans un quartier assez mal famé de la ville plutôt reculé de tout, un lieu  composer pour en majorité par des hommes, des rustres et des sauvages pensa Anastasia. Se bar avait la réputation de faire du double service: à première vue un simple lieu de détente. Mais le mot détente ici prend tout son charme ici effectivement le patron avait la réputation de loué les services de jeune femme qui pour quelque minute ou quelque heures vendait leur charme à des hommes sales et dégoutant pour la plupart. Mais ici ce n’était pas les hommes qui l’a dégoutait le plus mais plutôt ces filles qui était assez faible pour s’être mise dans cette galère de plus elle était habituer avec son père à ce genre de fille, et même des chose bien pire….

Lorsqu’elle entra bien évidement tout les regard était fixé sur elle. Elle examina le lieu il y avait en tout une dizaine de tables, toute plaines, un escalier menant à l’étage c’est la qu’il devait y avoir les chambres, un homme sur scène jouait de l’accordéon, elle cherchait discrètement du regard sa cible. Elle l’aperçut au comptoir, il ne semblait pas accompagné. Elle ne devait pas s’approché trop vite de lui, elle allait pour l’instant l’observé. Elle repérait une table pas trop loin non plus du comptoir et demanda une vodka. Elle apprécia particulièrement cette alcool plutôt fort à la première gorgée puis de plus en plus délicat et puis surtout cela lui faisait beaucoup pensé à sa Russie natal.

L’homme ne semblait pas l’avoir vue, il était encore plus imposant qu’en photo. Il ne semblait pas pour autant dangereux il avait l’air plutôt paisible au contraire, il riait avec le bar man et avait l’air plutôt inoffensive. Mais mieux vaut ne pas se fié au apparence. Elle ne faisait que l’observer pour le moment, plusieurs choix s’offrait à elle: soit elle attendait qu’il parte pour le suivre, soit elle attendait qu’il soit saoul pour passer à l’attaque où dernière option elle attaquait directement en le charmant afin de voir si véritablement il marchait sur les plate bande de son père.

Anastasia avait malheureusement échoué depuis longtemps dans l'art du camouflage et n'était absolument pas passée inaperçue aux yeux de Don qui lui aussi se tatait un peu pour aller la voir tout en faisant mine de ne pas l'avoir remarquer. De nombreux détails avaient fait que Don s'était interessée a elle dès qu'el leétait entré, et c'était ça qui l'avait perdue : Son sens de la mode. Bien sur elle était très belle et très mignone, mais ça n'en faisait pas directement une ennemie si ? Eh bien ce qui avait frappé Don c'était tout d'abord le fait qu'elle soit étrangère, tout comme lui, fait très rare au japon, où il s'attendait plus a voir des yeux bridés, les cheveux blonds, le teint nordique rappellait les pays scandinaves mais sans qu'il sache ce qu'elle était. La vodka acheva de la mettre sur le chemin. Une petite fille pareille capable de s'enquiller de la vodka, c'était définitivement louche. Certes elle était majeure dans son pays mais elle oubliait qu'au japon la majoritée tombait a 21 ans...En reparlant de ça il avait entendu parler d'une sorte d'espione voire d'une assassine qui travaillait pour la mafia russe, mafia qu'il avait récement envahi de ses prostituées bon marchées et surtout fidèles...La constatation qu'une proie aussi juteuse, non seulement par sa beautée mais également par ses talents et la valeur qu'elle aurait auprès de son père le fit presque transporter d'extase. Il en oublia presque le danger immédiat.

Le temps devait être correct maintenant, il s'avança vers la table d'Anastasia et s'y assit d'un air assuré, un sourire aux lèvres, un peu charmeur.

"Excusez moi mademoiselle, je n'ai pu m'empecher de remarquer que vous étiez seule, et occidentale. Je sais a quel point il est dur de venir dans un pays étranger sans trop d'attaches, alors je me demandais si vous aimeriez boire avec moi. Speak english ? Parlez vous français ?"

Le début de la conversation s'était déroulée en japonais, le reste dans les langues sus nommée...Don jouait littéralement avec le feu, elle pouvait le supprimer quand bon lui chantait mais...Mais malheureusement il connaissat les règles de ce genre de mafia, elle exigeait un travail discret. Tant qu'il y aurait des gens dans le bar, il ne risquait rien.

Anastasia continua à boire quand tout à coup la cible approcha. Était-il tombé dans le piège ou faisait-il exprès de jouer le jeu peu importe la jeune fille devait continuer de jouer à la simple touriste. Il avait approcher le sourire au lèvres. Il parlait un japonais parfait déplus  il semblait aussi parler le français et l’Anglais. C’était bien notre homme, ce n’est pas donné à tout le monde de pouvoir parler plusieurs langue de plus il semblait plutôt sur de lui, tellement sur que la beauté de la jeune fille ne l’avait pas impressionner le moins du monde. Elle sourit elle aussi à son tour commença alors une conversation hypocrite car elle savait très bien que sa finirait pas dégénérer

«  ansiez-vous je vous en prit , vous avez l’yeux! Je viens tout droit de Moscou et comme vous avez put le remarquer je parle couramment le japonais, c’est très gentil de votre part de vous souciez de ma bonne intégration dans ce pays. J’ai cru remarquer que vous aussi vous n’étiez pas japonais je me trompe .»

Pour le moment Anastasia devait rester le plus conciliante possible, il fallait absolument qu’elle garde sa couverture et attaquer ici directement aurait été une grave erreur de débutant.

Don sourit. Elle venait de Moscou ainsi ?Il avait détaillé un peu ses vetement avant de s'asseoir. A première vue elle ne cachait pas d'armes a feu sur elle, elle aurait un peu de mal a les passer dans la robe sans qu'il les voit. Elle devait donc compter sur la bonne vieille corde a linge et les lames russes pour l'occire, si tel était son but. Don continua a sourire comme un idiot maitrisant parfaitement la situation. Il ne devais pas encore sembler a Anastasia qu'il l'avait trompée, ou bien il risquait serieusement de compromettre sa couverture.

"Ah la russie, il y fait bien trop froid pour moi, mais oui vous avez l'oeil, je suis brésilien."

*Brésilien du coté de Nexus oui...*

Pensa t'il, mais vu sa couleur de peau c'était l'origine ethnique qui lui collait le mieux et Anastasia ne pouvait surement même pas commencer a imaginer le monde s'étendant au dessous de Seikusu . Le visage fendu d'un nouveau sourire, il lui versa un verre de Vodka ainsi qu'a lui même et porta le sien au niveau de sa bouche.

"Portons un toast, le japon est toujours comme un petit pays étranger de toute façon. Est ce vrai qu'en Russie vous éclatez le verre que vous venez de boire cul sec au sol ?"

Il faisait la conversation, étalait sa culture, jouait celui qu'il jouerais d'habitude, il ne se forçait pas après tout.

"Je m'appelle Dorian."

Brésilien? Voyez-vous. Sur toute les informations qu’elle avait eu au sujet de don, ses origines lui étaient encore inconnue d’ailleurs ces origine brésilienne devait être un mensonge. Anastasia s’en moquait il pouvait bien mentir de toute façon elle l’aurait et au bout du compte il cracherait le morceau. Il souriait toujours de son petit sourire niais et proposa à la jeune fille un verre. S’il voulait la saouler c’était mal partie Anastasia tenait très bien l’alcool beaucoup mieux que la plupart de ses compatriote homme. Don commença à étaler sa culture il était pour le moins cultiver il connaissait même quelque traditions

« hoo mais je vois que vous connaissez quelques us et coutume de mon beau pays »

Et en signe d’approbation elle bu son verre cul sec et le fracassa au sol en riant. Personne ne remarqua c’était tellement la cohue dans ce satané bar, cela lui permettais aussi de voir que si elle passait à l’attaque personne ne le remarquera. Il s’était donné le nom de Dorian. Légèrement semblable à Don: plus de toute c’était bien notre homme.

« je me nomme Anastasia. Ravie de vous rencontrer Dorian »

Inutile pour elle de donner un faux nom Anastasia était bien assez rependu pour qu’elle ne le cache

C'était le plus plausible, après tout le bresil n'était pas connu pour être un pays super civilisé, mais il l'était déjà un peu plus que Nexus. La remarque narquoise d'Anastasia ne passa pas inaperçue, elle jouait grassement sur des stéréotypes de son pays pour lui faire croire qu'elle rentrait dans le jeu. Dorian rentra également dans le jeu et éclata de rire tout en se tapant sur les cuisses. Il n'y croyait pas, pas le moins du monde. Le verre s'écrasa sans que personne n'y prette attention, et elle lui donna son nom. Il ignorait le nom de code de l'assassin, mais peu lui importait. C'était son nouveau nom a présent, si ce n'était pas l'ancien il n'en avait que faire, son vrai nom elle le revelerais sous la torture.

"C'est un endroit un peu bruyant, et si nous sortions prendre l'air ?"

Ils savaient tous deux où ils voulaient en venir. Don avait presque l'âge de son père. Mais celà ne le génait pas le moins du monde. Souriant il entraina Anastasia vers la sortie du bar et l'emmena vers sa camionette

"Nous pourrons faire plus ample connaissance chez moi..."

C'était a double tranchant, Anastasia pouvait le tuer ici et maintenant, mais elle n'aurait jamais plus d'informations si elle le faisait, en revanche le suivre, c'était prendre le risque qu'il magouille contre elle...

L’homme avait bien remarquer que le verre se brisa sans que personne ne le remarque.il lui fit alors la proposition de prendre l’air. Excellente idée, dehors elle sera plus libre de ces mouvement. Avant même qu’elle n’est eu le temps de répondre Don l’entraina dehors. Anastasia avait soigneusement caché une arme sous sa robe elle pensai que bientôt elle devrais s’en servir. Cependant au lieu de commencer à marcher il l’emmena vers ce qui semble être son moyen de transport une vieille camionnette le stéréotype même du kidnappeur il lui proposa d’aller chez lui. Anastasia ne pouvait refuser sa demeure devait être l’endroit ou elle trouverais le maximum d’info sur lui

«  avec plaisir »

Elle monta donc dans la dite camionnette, il démarra Anastasia restait impassible toujours souriante. Cependant il fallait quelle commence à lui posé quelque question de toute façon la fausse bonne humeur ambiante aller bientôt laisser place à tout autre chose

« mais dite-moi c’est un gros véhicule que vous avez là? C’est pour le travail? »

Elle était montée dans la camionette, elle était pratiquement a lui pour le moment, il aurait bien voulu la souler un peu plus pour l'avoir a sa mercie mais il n'allait pas tenter le diable : elle était russe, elle devait surement avoir eu de la vodka dans son biberon quand elle n'était qu'une nourissonne. Il devrais utiliser des méthodes moins catholiques...Déjà elle commençait a lui poser des questions.

"Eh oui, c'est pour le travail. Je déménage souvent de gros colis voyez vous..."

Ce n'était même pas un mensonge a proprement parler vu que les colis qu'il déménageait avec ce camion étaient en règle générale très gros...Anastasia allait d'ailleurs bientôt s'y trouver si elle ne faisait pas gare, il mit sa main dans sa poche droite et sa main gauche sur le guidon tout en conduisant la voiture

"Mais parlez moi de vous anastasia, ca fait longtemps que vous êtes ici ?Qu'est ce qui vous emmenne au japon ?Vous êtes bien jeune pour voyager seule non ?Vos parents sont d'accord?"

Comme on en était au jeu des questions personnelles, autant en apprendre le plus possible sur elle...Elle avait l'air assez arrogante pour croire qu'elle pourrait s'en sortir, alors elle ne lui mentirais surement pas. Peu lui importait qu'un cadavre en sache autant sur elle.

[encore désolé >.<]

Des colis hein? Plutôt intéressant cet homme avait la prétention de dire la vérité en utilisant simplement les bon mot cependant Anastasia n’était pas bête elle savait exactement de quoi il parlais et lui devait également se douter qu’elle n’était pas dupe. Anastasia remarqua pendant qu’il lui parlait que don mis sa main dans sa poche. Inutile de s’affoler pour le moment mais prudence tout de même. Il lui posa à son tour quelque question. Elle joua également le même jeu que lui. Anastasia pouvait faire l’innocente longtemps elle attendait simplement le bon moment pour passer à l’attaque.

« hoo vous savez mes parents ont l’habitude avec moi j’aime partir à l’aventure et puis il n‘ont pas le temps de s‘inquiété pour moi ils sont tout les deux très occupé dans leur travail. De plus ma mère est japonaise alors je suis venu ici pour rendre visite à ma famille »

Soudain elle eu une idée. Elle regarda souriant

«  mais c’est vrai que je ne suis pas très rassurer. J’ai entendu parler d’un malade qui enlevait des filles pour leur faire subir bon nombre de supplices. Et qui après soit les tuer soit les prostituait. C’est vraiment horrible. Vous en avez entendu parlez? En tout cas je suis rassuré d’être tombé sur quelqu’un d’aussi bienveillant que vous »

Don remarqua qu'elle avait tilté a propos de sa main mais ne fit rien. C'était bien ce qu'il attendait d'une tueuse a gage, il ne l'aurait pas avec des coups comme ceux ci, il relacha la poignée du tazer dans poche et se laissa aller au rythme de la conduite tout en écoutant les commérages d'Harmonie qui lui parlait de sa mère.

"Ah je vois, c'est pour ça que vous aviez ce petit air japonais."

Qu'il ne remarquait que maintenant...Comme quoi. Elle lui parla par la suite d'un malade et Don eut un sourire invisible. Elle savait pourquoi elle était là et elle se fichait de lui. Mais ils allaient bientôt être deux a jouer a ce petit jeu.

"Effectivement, les rues ne sont pas sures, c'est un vrai coupe-gorge"

Lança t'il pour laisser sous entendre qu'il savait a présent il n'y avait plus d'équivoque possible. Les deux étaient au courant que l'autre savait...Qu'allait il se passer ?

Sa dernière phrase était un appel à faire éclater la vérité. Ils étaient comme deux enfant qui ne veulent plus joué à la maitresse. Anastasia leva doucement sa robe du coté droit, normalement il ne pouvais voir ce coté là et pour le distrait s’apprêtait à lui faire la tant attendue révélation. Elle lui sourit doucement d’un sourire hautain de quelqu’un qui vient démasquer l’autre

« le plus embêtant dans l’histoire c’est que ce psychopathe n’arrange pas nos affaire. Vous voyez les femmes en Russie nous les avons toutes mais ici au japon vos petite affaire nous ennuie au plus au point monsieur don »

Elle dit cela en sortant son arme à une vitesse incroyable pas si incroyable que sa finalement puisqu’elle avait été entrainer à sa depuis toute petite

« bon on va arrêter la comédie, n’Est-ce pas? Je pense que vous comme moi sommes des pitre acteur. Alors maintenant on va aller chez vous et vous me sortirez tous ce que je veux savoir. Et il ne vous arrivera rien. Vous avez beau être costaud vous ne pouvez rien face à mon arme alors vous allez m’écoutez attentivement n’Est-ce pas? »

En vérité elle n’avait aucune intention de le laisser en vie et sa c’était les ordre de son père si la mission venait à déraper ce qui venais exactement de ce passer. Il faut dire que la jeune fille l’avait un peu fait exprès car ce qu’elle attendait le plus c’était un peu d’action

Don se laissa pointer avec une arme tout en gardant un oeil sur la route et ne fit rien, il sourit simplement avant de passer sa propre ceinture de sécurité et de lancer a Anastasia tandis qu'elle le lui parlait

"Certainement, je suis conscient des problèmes de votre famille en russie et je suis très honoré qu'ils envoient pour faire le travail un de leur membre les plus précieux. Et puis je n'ai pas vraiment le choix n'est ce pas ?"

Don lui souriait de manière inquiétante, lui montrant qu'il était loin d'avoir abattu toutes ses cartes, il était toujours assuré comme au premier instant malgré l'arme pointée sur lui, et celà n'était pas bon, il était intelligent, il savait qu'elle obeissait aux ordres, il savait aussi qu'elle n'aurait aucun scrupule a le tuer une fois qu'elle ait eu ce qu'elle voulait. Alors pourquoi sourire.

"Je vous écoute, je vous écoute. Mais pour l'interêt de l'histoire, je vais vous dire les deux erreurs que vous avez faites : la première, malgré votre talent, vous manquez cruellement d'experience."

Don sourit avant d'enchainer

"Secondement, on ne braque pas une arme sur le conducteur."

D'un seul coup Don dérapa, envoyant le camion sur le coté d'un geste completement incontrolable pour repousser Anastasia sur le coté du camion, qu'elle soit attachée ou non, Don en profita pour la frapper dans le ventre de toutes ses forces avec ses 150 kilos de muscles et l'élan de la voiture. Si ce n'était pas assez pour l'assomer elle en mourrait. Le camion s'écrasa sur le coté près d'un reverbere, sans pour autant tomber sur le coté, il en profita pour récupérer l'arme et immobiliser Anastasia si elle n'était pas déjà inconsciente.

Ne avait une arme pointé sur lui et qui pouvait s’abattre à tout moment mais cela ne semblait pas l’inquiété le moins du monde. Ce qui agaçait beaucoup la jeune fille. Il la coupa même et parla avec plein d’ironie semblait être résolue à ce rendre mais Anastasia savait pertinemment que c’était faux et ça l’énervait encore plus. Il osa même lui dire qu’elle manquait d’expérience, elle ne l’écoutait était à bout de nerf quand soudain il donna un grand coup de volant Anastasia lâcha son arme comme propulser.

*merde je me suis fait avoir bêtement*

Ne rabaissant pour autant pas sa garde et cherchant des yeux son arme elle sentie comme venue de nulle part une insoutenable douleur dans le ventre.

« harrrguue!!!! »

Jamais on ne l’avait frappé aussi fort. Elle savait dorénavant qu’elle était en danger, cet homme était prés à tout. Anastasia était sonnée par la douleur mais pas inconsciente alors à demi dans les vape elle ouvrit la portière et rampa telle un animal sa douleur au ventre était moins forte mais toujours douloureuse ce qu’il l’empêchait de se lever. Elle sortie alors de son sac son téléphone. Elle allait tenté d’appeler du secoure.

Un pied ganté ecrasa la main dela jeune femme pour l'obliger a lacher son téléphonne, celui ci roula par terre et Don saisit le téléphone d'un geste non chalant avant de le glisser dans une boite aux lettres. Si on cherchait la jeune fille, on croirait qu'elle était retenue captive dans cette maison. Il se tourna vers Anastasia et sourit lentement.

"Tu es vraiment une assassine ? Te faire avoir comme ça, c'est une honte pour tes parents. Tu ne crois pas ?"

Lança Don alors qu'il la soulevait, la douleur devait déjà la rendre folle, celui ci donna un coup de pied dans son camion légèrement cabossé, les deux roues revinrent sur la route, il l'avait prise par la gorge, pour l'emepcher de se débattre plus.

"Sais tu pourquoi je n'ai pas hésité une seconde ? J'avais un grand nombre d'autres plans, mais pourquoi celui ci en particulier qui risque d'abimer mon gagne pain ?"

L'esclavagiste sourit alors qu'il l'étranglait dans le but de lui faire perdre connaissance.

"Parce que je sais que ton père payera une fortune pour te revoir."

Ce fut la dernière chose qu'Anastasia se rapella avant d'ouvrir a nouveau les yeux, attachée au niveau de la gorge par un collier en fer, en sous vetements. Don assis devant elle.

"Ah, tu es reveillée."

Don s'approcha d'Anastasia

"Je t'ai fouillée pendant ton sommeil, tu n'a rien pour me tuer ici. Répond a mes questions, et je ne t'abimerais pas trop avant de te rendre a tes parents. Est tu la seule envoyée par les russes ? Que me veulent ils ?"

La tentative de téléphoné fut veine effectivement don vint lui écraser la main elle lâchât son téléphone dans un cri de douleur sous le poids de l’homme. Et effectivement Anastasia se sentait honteuse de s’être fait prendre aussi facilement son père en l’apprenant serait surement très en colère. La douleur était intenable mais le jeune femme luttait pour rester consciente. Il l’a prenait alors par la gorge il lui était impossible de se débattre. Cette homme voulait donc une rançon c’était la dernière chose qu’elle entendit avant de s’évanouir sous la pression de ses bras musclé sur sa gorge.

Combien de temps s’est-il passé depuis qu’elle avait perdu connaissance. Elle était maintenant dans une sale, par le cou à une chaine et en sous-vêtement. Quelle humiliation. Don demanda si j’était seul. Quel idiot. Anastasia riait elle n‘avait pas peur de répondre à ses question puisque de toute façon cet homme aller mourir!

« hahaha que tu es bête! Tu viens de signer ton arrêt de mort. Sache que je ne suis jamais seul, ma famille ne travail pas seulement en Russie et il y a bien longtemps que ma famille c’est aussi implanté au japon. Si tu avait bien sagement arrêté ton trafic, nous t’aurions épargner, seulement après ce que tu viens de faire c’est fini. »