Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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William Dolan

E.S.P.er

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vendredi 01 octobre 2010, 12:47:53

       Akisa Yuri est une élève du lycée de Seikusu. Des cheveux noirs, des yeux noirs, une taille dans la moyenne des jeunes filles japonaises et une aptitude à l’inconscience assez prononcée. Elle est interne dans l’école puisque ses parents ont acceptés de l’y placer en accord avec ses vœux. Agréable à regarder sans être un avatar de la beauté, la jeune fille est assez ouverte et à un succès certain auprès de la gente masculine. En clair une fille des plus banales qui n’aurait même pas due être évoquée dans notre histoire. Pourtant, elle en est la charnière centrale.

       -Je te jure que j’ai vu un meurtre sous mes yeux, s’exclama Akisa à sa meilleure amie qui semblait avoir des difficultés à la croire.

       -Si c’était le cas tu serais déjà roulée en boule sous ta couette Aki’, rétorqua son ami en fourrant quelques livres dans son casier.

       Ça faisait bien depuis le début de la journée scolaire qu’Akisa tentait de convaincre sa confidente qu’hier soir elle avait vu un homme se faire entrainer dans le bois de Seikusu par deux malabars. La curieuse enfant s’était ensuite cachée derrière un tronc d’arbre pour voir ce qui allait se passer. Des voix s’étaient élevées, l’une calme et l’autre apeurée, puis un gémissement étouffé… et plus rien. Akisa n’avait osé regarder qu’après avoir pris la décision de s’enfuir à toute vitesse avant qu’il ne lui arrive la même chose qu’au pauvre homme qui ne devait sans doute plus être de ce monde. C’est en s’enfuyant, alors qu’elle était à bonne distance du danger qu’elle avait croisé un regard. Le regard d’un homme habillé en costume et qui la fusillait de ses yeux verts. Mais le pire, c’est qu’elle avait reconnu cet homme…

       -Il faut croire que je suis plus courageuse que j’en ai l’air, se rengorgea-t-elle. D’ailleurs je compte aller voir la police après les cours pour témoigner de ce que j’ai vu : monsieur Dolan impliqué dans une affaire de meurtre.

       -Qui ?

       -Dolan ! L’avocat pourri ! Il est passé à la télé vers 22h dans un reportage sur la criminalité.

       -Connais pas. Sans doute un vieux dégueulassa qui transpire comme un porc enfermé dans un sauna.

       Akisa ne sourit même pas à la blague de son amie et elle ne chercha même pas à la détromper. En fait, elle braquait des yeux exorbités sur un homme qui venait d’apparaitre à l’angle du couloir. Mais, il n’y a pas qu’elle qui le regardait, ce qui laissait penser que ce n’était pas le fruit de son imagination. L’homme était plutôt élégant dans son costume noir aux reflets vert nacrés. Des mèches sombres pendaient de chaque côté de son crâne et des mires émeraudes brillaient à travers le verre de ses lunettes. Akisa resta figée sur place alors que l’homme se dirigeait vers elle d’une démarche sereine. A tout moment, elle s’attendait à ce qu’il sorte une arme et la tue sur place, mais ce scénario ne se produit pas, et le jeune homme arriva à sa hauteur où il la salua avec un sourire de circonstance.

       -Mademoiselle Yuri, commença-t-il d’une voix charmeuse. Je m’appelle William Dolan et j’aimerais échanger deux mots avec vous si vous me le permettez.

       L’amie de la dénommé Yuri, poussa sa collègue en avant. Visiblement, elle ne voyait qu’un charmant jeune homme qui voulait discuter seule à seule avec sa meilleure amie. Bien loin d’être jalouse et au contraire ravie qu’elle ne finisse pas vieille fille, elle l’encouragea et décocha un sourire éclatant à l’avocat qui se força à le lui rendre. Akisa qui semblait toujours atterrée, se laissa conduire par le gentleman sous les ricanements provocateurs des filles qui assistaient à la scène.
       Dolan entraina la jeune fille dans une salle de classe vide et ferma la porte derrière eux. Son sourire et ses bonnes manières s’envolèrent aussitôt. William était de très mauvaise humeur. Il s’était fait grillé par une idiote d’étudiante pendant que ses hommes supprimaient un important témoin d’une affaire sur laquelle il avait été engagé. L’avocat avait donc dû bloquer son après-midi pour aller dans un lycée minable rempli d’adolescentes bourrées d’hormone qui lançaient des œillades à tout ce qui était masculin. C’est donc dans cette humeur noire qu’il désigna une chaise à Yuri et lâcha un « Assis ! » sec et autoritaire. La jeune fille s’exécuta sans se faire prier et le regarda avec une anxiété croissante. Pendant presque dix minutes, William lui tira les vers du nez pour savoir ce qu’elle avait vu de la scène du meurtre. Puis, lorsqu’il était clair que son témoignage consistait effectivement un danger pour lui, il se plaça devant elle et se pencha légèrement pour que son regard soit au niveau du sien.

       -Ce que vous avez vu, miss Yuri, pourrait vous causer beaucoup de tort si vous en parlez, révéla l’avocat d’une voix sinistre. Témoignez et vous mourrez ! –La jeune fille sursauta sur sa chaise – Dites quoique ce soit à la police et vous mourrez ! Répandez la rumeur et vous mourrez ! Je vous conseille d’oublier cette affaire et de reprendre votre vie normale.

       La lycéenne se mit alors à sangloter sous le poids de ces menaces. Toujours impassible, William écrasa une larme sur sa joue et lui caressa gentiment le visage.

       -Inutile de pleurer, le choix vous appartient. Vous pouvez vous retirer maintenant.

       La jeune fille ne se le fit pas dire deux fois et sortit en trombe de la salle sans tenter de ravaler ses sanglots… Elle n’allait rien dire. William avait été assez convaincant et sans doute aussi efficace qu’une bande de Yakuza qui l’aurait tabassé pour s’assurer de son silence, ou même la supprimer tout simplement. Après tout, c’était sa faute si cette étudiante l’avait vu et il aurait été injuste qu’elle meurt pour une erreur qu’il a commise. William lui avait fait un peu peur mais c’était pour son bien. Entre ça et se faire liquider dans une ruelle sombre, l’avocat estimait qu’il n’avait pas perdu son temps ici. D’ailleurs, il ferait mieux de décamper avant que les surveillants de ce lycée ne s’étonnent qu’un étranger fasse pleurer des étudiantes.
« Modifié: vendredi 01 octobre 2010, 15:29:11 par William Dolan »

Yuna Bell

Re : Une bonne action (pv)

Réponse 1 vendredi 01 octobre 2010, 20:02:58

C'était une journée assez banal, Yuna se leva à dans les alentours de cinq heures du matin, cela était essentiel pour être prête à faire un peu la police pour que les demoiselles prennent leurs douches sans que les garçons n'aient certaines envie qui pouvait engendre un mini chaos localisé, la dernière fois en date ce fut les savons et bassines qui firent du ménage chez les voyeurs, les plus chanceux n'eurent pas grand chose, mais les moins bon durent faire un détour à l'infirmerie.

Par chance les lycéens ne semblaient pas connaitre Burning Snow, le surnom que la noble portait quand elle était contrainte de faire actrice pornographique, les jeune femmes étaient souvent fasciné par le look un peu rétro de la demoiselle, mais aussi par une sensation de froideur cachant une tendresse sans égale. Une fois les douches et la restauration des élèves faite, elle partie faire son tour dans les couloirs.

Rien que l'espace d'une matin elle réussit à choper un petit groupe de personne n'ayant rien à faire dans les locaux, pire que ça, elle intercepta un dealer et le pria gentiment de quitter l'établissement de ne plus se trouver dans les alentours du lycée, Yuna n'est pas du genre à se battre, elle préfère régler le problème avec sa diplomatie.

C'est en partie pour cela qu'elle est apprécié son style noble va de paire avec les valeurs du lycée qui sont la prestance, l'intelligence et la bonne éducation. Mais les heures de colles surveillé par Yuna ne sont pas une partie de plaisir, car la noble se montre cinglante envers les élèves méritant cette punition, mais elle n'ira jamais jusqu'à faire pleurer une personne.

Elle se mit justement à discuter avec un élève qui était en train de mettre de la super-glue sur le cadenas d'une personne avec lequel il avait eu un léger différent, c'est fous ce qu'une jeune lycéenne ayant un jolie corps peut causer des évènements involontaire comme deux garçons convoitant le derrière de la jeune femme, car il avait été question de ça.

- Puis-je savoir ce que vous comptez faire jeune homme ?


- Gasp !!! Mais rien.

L'élève tenta de fuir, mais il se fit retenir par le col et la noble lui susurra à l'oreille.

- Vous allez me retirer la colle dans les plus bref délai et repartir dans la classe de cours que vous n'auriez jamais du quitter pour des histoires de vengeance ou ne je sais quoi d'autre, sinon je vous mettrais une heure de retenue en étant seule avec moi, est-ce bien clair ?

L'élève savait pertinemment qu'être seule avec la noble n'était pas bon du tout et il passa cinq minutes à retirer la colle, le garçon a qui appartenait le casier arriva et voulut lui casser la figure, seulement en voyant le regard de Yuna, il opta pour ne pas faire de vague et s'éclipser rapidement.

Yuna était ainsi, les personnes ayant des soucis pouvaient se confier à elle qui était un vrais coffre fort à secret, quand aux personnes en faute elles priaient pour ne pas avoir la noble comme surveillante pour leurs heures de retenues et surtout  pour qu'elle ne sache pas les bêtises qu'ils ont bien put engendrer.

Une fois son tour dans les couloirs fait, Yuna allait rejoindre la salle des surveillants, quand une jeune fille sortie d'une salle et la percuta, la noble anticipa le geste et se fit douce pour calmer la jeune fille, mais quelque chose clochait, la lycéenne semblait avoir peur de quelque chose, aussi Yuna se mit à l'encadrement de la porte et vit l'avocat, elle se racla la gorge pour marquer sa présence.

- Pourrais-je savoir qui vous êtes, il me semble que nous n'avons pas besoin d'avocat dans notre établissement, aussi je vous prierais de bien vouloir me suivre pour m'expliquer la raison votre présence dans le lycée et pourquoi un élèves vient de quitter cette salle en pleurant, suivant vos explication je me verrais contrainte de prendre les mesures nécessaire.

Yuna avait dit "avocat", apparemment Dolan avait la tête de l'emploi.
« Modifié: vendredi 01 octobre 2010, 20:12:08 par Yuna Bell »

William Dolan

E.S.P.er

Re : Une bonne action (pv)

Réponse 2 samedi 02 octobre 2010, 12:11:51

       William s’apprêtait à sortir de la salle de cours lorsqu’il tomba nez à nez avec une dame. Oui. Une dame, et non une de ces adolescentes boutonneuses. Dans un lycée, c’était la dernière personne qu’il pensait rencontrer, mais il faut dire que l’image qu’il se faisait d’un lycée était très puérile et négative. Dolan comme tout jeune noble de Nexus n’avait jamais été dans un lycée terrien ou même n’importe quoi qui s’en rapproche. Il avait eu un précepteur comme tous les enfants de sa condition et n’appréhendait pas le concept d’école.
       L’avocat haussa un sourcil lorsqu’elle lui adressa la parole. Ce n’était pas le fait qu’elle ait su qu’il était avocat. Elle avait peut-être vu son nom dans un quelconque article, ce qui n’était pas un bon début puisque la presse le détestait cordialement. Ce qui l’étonnait, c’est qu’elle lui parle comme s’il était un élève récalcitrant. Bien que charmante, la jeune fille n’avait aucun pouvoir sur Dolan, à part peut-être l’effet de ce regard magnétique qu’elle dardait sur lui. Et en plus, elle le menaçait. Cette fois, c’était trop comique pour que William garde son sérieux. Il gratifia donc la jeune fille d’un sourire et s’exprima sur un ton qui montrait bien qu’il ne la prenait pas du tout au sérieux.

       -Comme vous voudrez, mademoiselle la surveillante. J’espère tout de même que vous ne préviendrez pas mes parents.

       William, accompagné de son arrogance, sortit donc de la salle et se mit sagement à côté de la jeune femme afin qu’elle l’emmène où bon lui semble. En fait, il n’y avait pas que l’amusement qui le poussait à obéir à cette femme. Elle n’avait certes aucun pouvoir direct sur lui mais elle pouvait tout de même lui causer du tort en appelant la police, par exemple. Elle pouvait porter plainte contre lui ou déclencher toutes autres procédures judiciaires qui n’aboutiraient jamais et ne serviraient à rien, mais le fait que la police vienne chercher William Dolan pour effraction dans un lycée n’allait pas faire du bien à son image de marque.

       -William Dolan. Enchanté, annonça-t-il subitement en inclinant légèrement la tête.

       La politesse aurait voulu qu’il se présente avant mais la requête de la surveillante l’avait quelque peu déstabilisée. Lorsqu’il se fut rattrapé, il commença à la fixer, signe qu’il souhaitait qu’elle fasse preuve de la même politesse à son égard. A savoir, se présenter.

Yuna Bell

Re : Une bonne action (pv)

Réponse 3 samedi 02 octobre 2010, 12:58:13

Peut être que pour  William, Yuna le prenait au même niveau qu'un élève, mais c'était tout le contraire en vérité, elle n'allait pas faire comme beaucoup de personne n'ayant pas reçu une bonne éducation et le saisir par la peau du coup pour le jeter hors de l'établissement, elle se devait d'agir avec un minimum de courtoisie, même si pour la surveillante l'avocat méritait de se faire mettre dehors à coup de pied aux fesses, mais cela manquerait de finesse, cela n'irait pas à une femme distinguée comme la noble.

Elle ne fit rien quand Dolan se permit de se mettre à côté d'elle et ne rigola point en entendant l'avocat se mettre à se moquer avec style de la noble, Yuna n'était pas du genre à rire quand on enfreignait une règle et le règlement stipulait bien que toute personne étrangère à l'établissement, chose qu'il semblait avoir oublié de faire, car la surveillante avait regardé il y a peu la liste des visiteurs.

Enfin elle eut le droit de savoir qui était la personne en face d'elle, par pur principe et courtoisie, elle fit de même.

- Yuna Bell, enchanté monsieur Dolan, maintenant que les présentation sont faites veuillez me suivre.

La surveillante conduisit William dans une salle qui était utilisé par les surveillants et le comité de discipline, la salle est grande, en sont centre six table rectangulaire forme un U, sur le mur de droite prolongement la porte se trouvait un téléphone, la pièces était vide de tout objets superflu.

- Veuillez vous assoir monsieur Dolan, nous avons à parler.

Elle attendit que l'avocat aille s'assoir pour prendre une chaise et se mettre en face de lui, l'interrogatoire allait commencer.

- D'abord j'aimerais savoir la raison de votre présence dans se lycée, ensuite pourquoi vous ne vous êtes pas signal à l'accueil et enfin pourquoi une lycéenne vient de quitter la salle, où vous n'aviez aucun droit d'y être, dans un état qui me donnerais la légitimité d'appeler la police. Aussi si vous ne voulez pas passez du rang d'avocat à accusé, il est dans votre intérêt de me fournir des explications convaincantes.

La voix de Yuna ne tremblait pas, montrant que ce qu'elle venait de dire pouvait réellement se passer, Yuna avait assez d'argent pour poursuivre en justice un avocat réputé comme Dolan, même si ses fin de mois seraient difficiles.

William Dolan

E.S.P.er

Re : Une bonne action (pv)

Réponse 4 samedi 02 octobre 2010, 21:44:24

       Bell… Ce nom lui disait quelque chose et c’était bien normal. En effet, les nobles se connaissaient tous entre, ou du moins, leurs noms. William n’avait jamais eu affaire avec la famille Bell mais il savait qu’il s’agissait d’un nom de la noblesse de Nexus. Vu que les aristocrates se mariaient entre eux et qu’ils n’étaient pas légion, toutes les familles étaient liées d’une manière ou d’une autre. C’était la moindre des choses que de connaitre la famille. Enfin, William était tout de même à cent lieues d’associer la noblesse de Nexus avec ce nom « Bell » qui semblait assez commun sur terre. Au mieux, il pouvait toujours subodorer qu’elle n’était pas originaire du Japon.

       William suivit donc la jeune fille jusqu’à une salle de conférence assez austère. Il s’assit ensuite, comme on lui ordonna sans se départir de son sourire. Il ne se moquait pas d’elle. L’avocat était tout simplement amusé par le zèle de cette surveillante qui prenait son rôle tellement au sérieux. Trop peut-être, d’après ce qu’elle venait de dire. Elle exagérait un peu mais c’était peut-être des mots qui dans le vocabulaire du juriste était plus choquants que pour une personne non initié.

       -Vous y allez fort mademoiselle Bell, glissa-t-il. En effet, je ne devrais pas être dans ce lycée sans autorisation, mais vous pouvez m’inviter à le quitter quand vous le voulez, aussi l’intervention des forces de l’ordre est aussi inutile que ridicule. La violation de propriété n’est pas crime et je ne pense pas risquer grand-chose. Si vous avez du cœur à l’ouvrage et beaucoup de chance, vous pourriez peut-être m’infliger une petite amende symbolique. Aussi j’aimerais que vous évitiez de me menacer.

       William profitait un peu de ses connaissances du droit mais c’était de bonne guerre. Entrer dans un lycée sans autorisation n’était rien d’autre qu’une infraction au même titre que griller un feu rouge ou faire un léger excès de vitesse. Miss Bell pouvait oublier les procès et autres. Par contre, pour la police, c’était toujours une chose qu’il n’apprécierait que moyennement. Et ce n’est pas parce que ces braves messieurs allaient lui passer les menottes et l’emmener au poste. Non, il allait simplement venir, constater qu’ils sont inutiles et repartir, mais le mal serait fait. Les journaux s’empresseraient de casser du sucre sur son dos grâce à cette affaire. Le pouvoir des médias est tel que même Dolan avait appris à l’anticiper.
       Le juriste se donc repositionna dans sa chaise et accepta finalement de répondre à la question. Plus ou moins…

       -Je suis venu pour voir une étudiante du nom d’Akisa Yuri et je n’ai pas pensé à me présenter à l’accueil parce que je ne savais pas que ce lycée était aussi bien gardé, avoua-t-il en dardant son regard vert sur Yuna. J’ai simplement discuté avec elle, mais les jeunes sont très émotifs comme vous devez sans doute le savoir. Ce qui explique son état qui, j’en suis sûr, est passager.

       Bien entendu, il n’allait pas en dire plus car cela pourrait être dangereux. Yuna pouvait toujours interroger son élève, si elle avait un brin de jugeote, elle ne trahirait pas son secret. D’autant plus qu’elle avait vu un reportage qui parlait du grand méchant Dolan. Un reportage que la surveillante aurait dû regarder aussi visiblement.


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