Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Quand D. a une touche avec une déesse.[réservé]

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D. La maudite

Je fuie un paladin de l'Ordre Immaculée, non pas qu'il puisse me faire un quelconque mal, mais il était ors de question pour moi de l'affronter, en sachant qu'il combattrait jusqu'à la mort et que je devrais le tuer et ainsi déséquilibrer la balance des âmes.

Après trois heures de course j'ai réussi à le semer, il avait une armure certes imposante, mais le défaut est dans le fait que les branchages gênes facilement leurs mouvements, je vis le ciel retirer son teint bleuté pour endosser son manteau d'étoiles. Les landes se firent fraiches et je demanda à Artemis de m'enrouler d'une cape, la carte en question se transforma en cape et m'enroula d'une cape de voyageur, masquant mon visage et la moindre parcelle de peau.

C'est alors qu'un coup me vint à la tête je fit un roulade en arrière, pour éviter de très près le coup, je n'avais aucune raison de combattre des adversaires que je savais puissant, mais lent. Ce n'était que cinq orcs, rester calme est primordiale face à ce genre de créature.

Chaque coups fut évité au millimètre près, rendant le combat magnifique, ayant la sensation que le combat était un rapport de force entre la brutalité des orcs et ma valse.

Pour chaque coups qui me ratais, un coups frappait les articulations des agresseurs, je ne comptais pas les tuer, mais les immobiliser, bien sûr je transpirais sous l'effort et la concentration, mais n'avait aucune fatigue, en apparence.

Après une cinquantaine d'assaut, j'eus le souffle court, les orcs étaient paralysés et ne pourraient pas se lever avant cinq bonnes heures. Je savais pertinemment qu'ils ne m'attaqueraient pas. C'est alors qu'une vision s'imprègne devant mes pupilles, même en fermant les yeux, je voyais cette femme tomber dans le vide. C'était une des anciennes âmes avec qui j'avais fait un contrat.

La vision se brisa, j'étaie davantage en sueur et ma main droite était sur ma poitrine, au niveau du coeur. Ce genre de chose arrivait fréquemment et cela annonçait une perturbation dans le cours du temps.

Je fis le vide dans mon esprit en écoutant les âmes célestes, mais elles se turent, cela annonçant l'arrivé d'un être divin ou de haute puissance. J'étaie tellement concentré que je ne vis pas une demoiselle approcher.

« Modifié: lundi 14 juin 2010, 17:19:17 par D. La maudite »
De la sagesse vous aurez une vue dépassant celui de l'être mortel.

De l'harmonie vous pourrez entendre la voix de bien des créatures aussi mauvaise soient-elles.

De l'union nait le pouvoir de détruire toute les barrière qu'elles soient magique, physique et même divine.

De son utilisation vous devrez vous soumettre à la condamnation suprême.



Voilà les règles de la vrai magie, regroupant toute les autres et les sublimant d'une lumière et des ténèbres les plus intenses et sombres.

Chryséis

Dieu

Re : Quand D. a une toucha avec une déesse.[réservé]

Réponse 1 lundi 14 juin 2010, 09:42:23

Chryséis regardait un portrait de sa mère. Elle la trouvait si belle, rayonnante, heureuse, mais bien ronde parce qu'elle la portait, au moment où le portrait fut dessiné, dans son ventre. Chaque seconde qu'elle la regardait, c'était toujours la même question qui lui trottait dans la tête; est-ce qu'elle devait l'aimer pour lui avoir donné la vie ou alors devait-elle la haïr pour l'avoir abandonnée dans ce monde cruel sans le moindre support à lequel s'accrocher? Sans famille pour la supporter ou sans ami pour la protéger. Elle soupira au bout d'un moment, serra le portrait contre sa poitrine, comme si elle serrait la personne qui s'y trouvait, puis le déposa sur sa table de nuit et quitta son temple. Un seul coup d'oeil vers le ciel et elle prit son vol, tel un oiseau qui faisait un piqué vers les cieux, comme si ceux-ci étaient en réalité le sol. Pivotant un moment sur elle-même pour choisir une destination, elle sourit avant de s'envoler vers le désert.

Le vol, c'était ce qu'elle aimait. Son enveloppe charnelle était poussée par l'adrénaline car il n'était guère conçu pour voler, et donc le plaisir n'en était que plus grand. Chaque virage lui titillait l'estomac, chaque tonneau ou saut périlleux augmentait son excitation et chaque fois où elle reposait le pied sur le sol, ce n'était que du plaisir qu'elle ressentait. Mais ce qu'elle aimait également, c'était observer le monde dans son ensemble, de repérer chaque dérangement qui se produisait chez les mortels et de pouvoir y assister sans être dérangée par quelque force magique que ce soit. Ses souhaits de contemplation furent exaucés, car son regard se porta sur un petit pan du territoire appelé "les landes dévastées". Sa vision de faucon lui permit d'assister à une formidable démonstration d'arts martiaux extrêmement développés.

Fascinées, elle assista à un enchainement impressionnant d'esquive, de feintes non-agressives et d'une exploitation parfaite de l'endurance naturelle. Elle voyait là un petit bout de femme combattre avec une souplesse et une agilité remarquable cinq gros nigauds de colosse d'Orcs des plaines sombres. Ah, elle ne les connaissait pas vraiment, mais leurs capacités de combattants l'avaient impressionnés, surtout pour la brutalité et la puissance de leurs techniques de combat.

S'ils n'étaient pas les agresseurs, elle aurait presque été tentée de les aider, en souvenir du temps où elle se bagarrait amicalement avec les membres de cette race, mais elle opta plutôt pour absorber leur énergie vitale lentement, pour les fatiguer un peu. Les Orcs, comme les bêtes, étaient d'une endurance hors du commun, et il fallut cinq bonnes heures aux efforts conjugués de la déesse et de la jeune demoiselle pour les épuiser suffisamment pour qu'ils tombent au sol. "Ce que j'aime chez ces créatures, c'est leur capacité à se battre comme s'ils ne ressentaient jamais la fatigue, jusqu'au moment où leur corps les lâche..." S'amusa-t-elle.

Elle posa alors pied à terre, tout doucement et avec une grâce elfique, sa réfléchissante Claymore brillant de mille feux à cause du soleil qui la frappait de plein fouet. Un sourire joyeux illumina le visage de la jeune déesse et elle se permit d'approcher de la démarche souple que les servantes d'Hermès lui avaient enseignées
You shall experience the meaning of my Wrath!

D. La maudite

Re : Quand D. a une toucha avec une déesse.[réservé]

Réponse 2 lundi 14 juin 2010, 10:19:23

Je fis très attention au moindre signe des étoles, mais rien ne vint. Je sentis à se moment une drôle d'émanation qui pompait l'énergie des orcs, mais je n'arrive pas à retrouver la source de se pouvoir qui semblait soit trop faible, soit beaucoup trop fort.

Je me demandais bien où pouvais se trouver cette personne, il fallait pour cela trouver un moyen de l'obliger à sortir de sa cachette et définir si la personne serait nuisible ou non. Pour cela très simple.

Je formule dans ma tête l'incantation pour libérer un puissance caché.

*** O Matriarssa laisse moi sombrer dans les ténèbres.***


Un aura bleuté apparut autour de mon corps, me rendant encore plus sensible et une zone semblait vide de tout mouvement, c'est justement la preuve que l'intrus se faisait discret. C'est alors que je coupe toute source de magie.

- Bonne soirée pour une promenade, n'est-ce pas ?

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Chryséis

Dieu

Re : Quand D. a une toucha avec une déesse.[réservé]

Réponse 3 lundi 14 juin 2010, 17:48:14

-Bonne soirée pour une promenade, n'est-ce pas?

Amusée par l'audace et le courage de cette belle demoiselle, la déesse continua de s'approcher de celle-ci de sa démarche lente, certes, mais assurée, l'observant avec une fascination non dissimulée. Il était si rare de voir quelqu'un se battre avec un calme et une retenue de puissance aussi élevé, et elle était fort jolie, en plus; bien plus intéressante que ces femmes au foyer soumise à l'homme qu'elles avaient commis l'idiotie d'épouser en espérant avoir une belle vie à leur coté, avant de se rendre compte, au final, qu'ils ne sont que des bons à rien, fainéants et ivrognes. Elle s'immobilisa à un petit mètre d'elle avant d'ouvrir la bouche pour prendre la parole, et, d'une voix douce et amusée, elle se lanca.

-Est-ce ainsi que tu t'adresses à une déesse, belle mortelle? Demanda-t-elle en s'approchant encore un peu.

Elle leva lentement le bras et fit glisser un doigt le long de la colonne vertébrale de la jeune femme, remontant lentement son dos pour ensuite lui retirer son capuchon. Aucun mortel ne pouvait se voiler devant un dieu, et même si elle était impressionnante et certes exceptionnelle, même la jeune D ne pouvait se masquer, bien que le capuchon en lui-même ne gênait point la déesse, qui pouvait "voir" tout ce qu'elle désirait voir. Elle apprécia un moment la couleur sombre des cheveux de sa nouvelle favorite, favorite qu'elle ne venait tout juste de rencontrer mais dont le talent ne l'avait laissée indifférente, puis recula.

- Je ne suis pas ici pour te faire du mal, bien au contraire. Ton spectacle a grandement comblé mon regard. Laisse-moi te regarder, que je puisse voir qui est ma nouvelle préférée. Attention, pas de coup fourré ou tu risques de te retrouver bien vite dans le coin le plus sombre du Tartare.
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D. La maudite

Re : Quand D. a une touche avec une déesse.[réservé]

Réponse 4 lundi 14 juin 2010, 19:39:29

Je vis la personne enfin dans mon champs de vision, il s'agissait d'une femme, sa tenue semblait pour le moins spéciale, même un bon tailleur n'aurait pas conçus un vêtement aussi audacieux dans la mise en valeur des formes et surtout de la poitrine.

-Est-ce ainsi que tu t'adresses à une déesse, belle mortelle? Demanda-t-elle en s'approchant encore un peu.

Un dieu, ou plutôt une déesse dans ce cas présent, rien que ça. Je sais pertinemment les règles à respecter, pour avoir été dans la peau d'une prêtresse pendant plus de cinquante ans. Cela semblait tenir la route, la puissance d'un dieu est bien plus puissant que la mienne et elle pouvait m'écraser à tout moment comme un vulgaire cafard.

Je me laisse faire, sentant son doigt parcourir mon dos, laissant apparaitre des frissons, mais je ne fit aucun commentaire sur son attitude, il serait dommage d'abimer le corps que j'ai promit de prendre soin. Mon visage fut enfin à découvert, laissant voir ma chevelure et mes yeux où se reflétait un calme inhumain. Pouvait-on qualifier une personne comme moi d'humaine ? sans doute non.

- Je ne suis pas ici pour te faire du mal, bien au contraire. Ton spectacle a grandement comblé mon regard. Laisse-moi te regarder, que je puisse voir qui est ma nouvelle préférée. Attention, pas de coup fourré ou tu risques de te retrouver bien vite dans le coin le plus sombre du Tartare.

Je demande à Artemis de reprendre sa forme, avec lenteur, pour ne pas effrayer la déesse ou lui indiquer des intentions qui ne serais pas mienne. Une fois la cape retiré, je me trouvait en robe blanche et je m'incline comme les prêtresse de Diane.

- Excusez mon impolitesse noble déesse, je ne pouvais savoir que votre seigneurie errait  sur ses terres désolée. En quoi puis-je vous servir ?

Les dieux aimaient souvent la flatterie, mais surtout la franchise, chose qui ne dérogeait pas à ma phrase qui était sincère et calme. Bezarius voulut intervenir, mais je l'en dissuade énumérant les catastrophes que pouvaient faire un dieu d'un simple claquement de doigt, seul un fou ou un autre dieu peut oser les combattre.

Pour l'heure il fallait savoir la raison de cet accostage pour le moins unique, rare était les dieux rencontrant un mortel.
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Chryséis

Dieu

Re : Quand D. a une touche avec une déesse.[réservé]

Réponse 5 mardi 15 juin 2010, 07:13:58

Elle s'était inclinée devant la Déesse de la colère. Ce geste l'aurait autrefois fait rougir si elle n'était pas accoutumée à cela avec le temps. En tant que fille d'Arès, ses servantes lui accordaient également cette sorte de respect et elle trouvait autrefois cela très agaçant, et elle avait dû faire de grand effort pour ne pas détruire le temple de son père. Remarque, si elle avait dû le rencontrer pour accéder à son titre de déesse à part entière, c'était justement pour cette raison qu'elle n'avait pas détruit son foyer olympien.

Au bout d'un moment à la regarder inclinée, la déesse poussa un léger soupir et puis la releva gentiment en lui remontant les épaules. Ce simple touché lui procura un étrange frisson, car il était si rare qu'elle touchait les gens, puisqu'habituellement, elle se retrouvait devant des hommes en rogne et des femmes désireuse de se venger. Un tel calme de la part de cette demoiselle ne pouvait que la rendre très heureuse, car il lui permettait de faire de même. Elle passa gentiment une main sur le visage fin de D. et lui sourit avec toute la tendresse qu'elle pouvait avoir en considérant le rôle qu'elle jouait dans ce triste monde en guerre.

-Oh, ne fais pas tant de manières. Je ne suis pas l'une de ces divinités désagréables qui agissent comme s'ils étaient toujours chez eux. Ici, il n'y a que toi et moi. Je suis Chryséis, déesse de la colère, de la vengeance et des rancunes, fille benjamine d'Arès, qu'il a conçu avec l'une de ses prêtresses, ainsi que la patronne des Némésis.

La jeune femme s'était lancée sans même le savoir dans cette présentation, sans même interroger, du moins pour l'instant, sa nouvelle cible. Elle désirait provoquer un rapprochement entre elle et cette mortelle, juste pour voir si elle remplissait ses critères, ce qu'elle avait jusqu'à maintenant prouvé avec un succès détonant

-Ton calme face à l'attaque de ces orcs a causé chez moi une certaine réaction, car tu agis complètement à l'inverse de ce qui me nourrit... et personnellement, tu me causes une certaine joie. Me dirais-tu ton nom?
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D. La maudite

Re : Quand D. a une touche avec une déesse.[réservé]

Réponse 6 mardi 15 juin 2010, 09:05:44

Je reste un moment inclinée attendant le jugement de la divinité, mon esprit était calme et ma magie apaisé, j'aurais pus très facilement utiliser la puissance passive de la nature, tellement mon calme embaumait les lieux, même une elfe aurait eut du mal à rester aussi serein.

C'est à se moment que les mains de la déesse se posèrent sur mes épaule, je put percevoir un léger frisson de la part de mon interlocuteur, avaient-elle peur de moi ou n'était-elle pas habitué à ce genre de geste. Je ne pouvais le savoir et me relève en restant toujours aussi vide de sentiments froids, cherchant à connaître cette déesse davantage, sans dépasser la limite entre cette entité et mon statut de simple mortel.

J'entendis le moindre de ses paroles, gravant à jamais les informations qu'elle me procurait de son propre chef,  aussi je pris la peine de répondre à la question que la déesse venait de formuler.

- Vous donner mon nom vous apporterait le malheur, on me surnomme D. la maudite, mais vous pouvez m'appeler Armina, c'était mon surnom dans ma première vie.

Je baisse les yeux, me rappeler toutes les vies vécus n'était pas quelque chose de bien joyeux, tout les jours il fallait rompre les liens pour certains ou les garder intacte, cela n'était jamais aisé et il ne fallait pas commettre la moindre erreur, par chance ce corps appartenait à une orpheline.

- Vous disiez que je vous causait une certaine joie, cela me réjouit, malgré le fait que je ne puisse vous nourrir par mes actions, car comme vous l'avez dit plus tôt mes actions vont à l'inverse de vos attributs divine.


Je baissa la tête pour montrer la sincérité de mes paroles, parole étant toujours calme, posée et dont le poids de chaque mots avait été pesés avec sagesse.
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