un sauvetage inatendu [ pv Mach Bonin]

ce jour là lili sortait de l'antre de sa maitresse pour retourner chez elle, le soleil commençait à se coucher et il fallait qu'elle sorte des quartier de la toussain, habillé d'un haut en top avec un décolleté plongeant, une mini jupe comme à son habitude, un petit string, des bas remontant à mis cuisses et des chaussures ressemblant à des rangers.  habituellement elle ne rencontrer pratiquement aucun problème dans ces quartier juste quelques allusion salace, mais rien de bien grave.

mais au bout de 10 minutes de marche alors qu'elle était presque sortie de ces quartier mal famé, elle fut bloquer par une bande de loubard, devant elle une armoire à glace de 2 mètres de haut et de chaque coté deux autres individus, moins grand mais baraqué et munie de barre de fer qui bloqué le passage, lili s'arrêta net.

alors mademoiselle... on c'est perdu...   

elle à peut être besoins d'aide...

non merci... je sais ou je vais

ah ah ah ... ok mais le passage n'est pas gratuit ma petite...

pris de panique lili commença à reculer et était prête à lancer un sort d'onde de choc, quand elle sentit ses poignet être empoigné et ramener dans son dos.

AAAAAH ... lachez moi noooon...

elle sentit ensuite la froideur du métal sur ses poignets, comprenant que l'on venait de lui passer des menottes, elle fut ensuite retourné et 3 autre personnages était là 2 obèses qui devaient peser dans les 150 kilos chacun et un maigrichon, lili avait de plus en plus peur, menotté elle ne pouvait pas se défendre et avait largement compris les intentions des loubards.

là... doucement ma petite ont vas bien s'occuper de toi cette nuit.

non détacher moi... au secours... à l'aide...

les larmes commencèrent à noyer ses yeux quand elle sentit les main baladeuse des loubards lui toucher les cuisses, les fesses, son entre jambe, ses seins et son dos.

mmmmh qu'elle belle petite...

... arrêter... pitié... laisser moi partir...

mais ses supplication ne servait à rien puisque elle se sentit soulevé et l'armoire à glace la pris sur son épaule comme un sac à patate.

aller ont y vas les gars... ont vas bien s'amuser ce soir ah! ah! ah!...

Mach était revenu dans le quartier de la Toussaint, peu de temps auparavant, se disant que s'était l'endroit parfait pour lui pour passer inaperçu parmi tant de brigands. Bien sur la vie n'y était pas rose, mais, cela, il le connaissait bien, et n'avait donc eu aucun mal à s'y habituer. De plus, s'était la zone de la ville, où il pouvait aisément trouver ce qu'il voulait en munitions, explosifs, ou armes, avec les trafics y régnant. D'ailleurs ce soir là, le jeune homme sortait d'un de ses revendeurs, où il avait fait le plein de munitions pour son pistolet seulement, lorsqu'il vit à la périphérie de son champ de vision un groupe de voyou en action.

Il ne comptait pas s'en mêler, pensant dans un premier temps à un regroupement pour une descente sur une bande rivale.  En effet, même s'il avait regardé que brièvement le petit groupe, il avait pu discerner huit hommes. Leur tournant alors le dos, et s'apprêtant à s'éloigner, c'est à ce moment là, au premier pas fait, qu'il entendit la voix d'une jeune femme appeler à l'aide. Mach ne l'avait pas vu derrière l'armoire à glace qui leur servait visiblement de leader. Il s'arrêta alors, réfléchissant à ce qu'il devait faire. Intervenir signifiait bien entendu s'attirer des ennuis, mais vouloir les éviter signifiait il pour autant laisser une demoiselle en détresse.

Lâchant un léger soupir, Mach se tourna alors pour faire face à la bande. La brute avait déjà prit la jeune femme sur ses épaules, à la façon d'un sac de pommes de terres, et le reste de sa bande se mit en marche. Il ne fallut cependant pas longtemps pour que le soldat, expert en discrétion se faufilent derrière eux, au moment où ceux ci prenaient la parole. Ceux ci avaient prévu de s'amuser avec la jeune femme, mais, l'homme n'eut pas le temps de finir ses propos, qu'un bruit sourd se fit entendre derrière lui. Lorsqu'il se retourna alors, il put voir que le bruit venait du fait que le corps d'un de ses hommes était au sol, alors qu'un homme dont le corps était dissimulé par une cape se tenait derrière lui

- Et que diriez vous de jouez avec moi dans un premier temps ?

Laissa alors entendre l'homme d'un ton assez confiant et arrogant, alors qu'il lançait un regard froid et menaçant à l'armoire à glace qui portait la jeune femme. Beaucoup aurait d'ailleurs prit son intervention comme suicidaire, puisqu'il était seul et désarmé face à sept bandits armés de diverses armes contendantes, le huitième étant déjà KO étalé sur le sol, dans une position indiquant clairement qu'il avait été prit par surprise. Mach aurait d'ailleurs sans doute put prendre ses camarades de la même façon, mais il avait trouvé plus amusant, et que cela serait sans doute plus défoulant, de les prendre à la loyale, en leur faisant face. Leur compagnon servant donc simplement de mise en garde

alors qu'ils marchaient tous en direction de leur planque, les loubard se retournèrent en entendant un bruit sourd d'un corps tombant au sol, alors qu'il c'était tous retournés lili ne voyait rien à ce qui se passait, sa tête était à l'opposer de l'action derrière l'armoire à glace, quand elle entendit un homme parler demandant au loubard si il ne voulait pas jouer avec lui un premier temps.

putain mec... t'es barge...

il à buter Bobi...

et bien messieurs je crois que nous avons un vaillant, montrer lui ce qu'il en coute de jouer les héros...

sur ces mots 5 des loubards s'avancèrent vers Mach, barre de fer et couteaux à la main, il restait l'armoire à glace qui tenait lili et le gringalet en retrait, lili avait juste compris que quelqu'un avait tuer l'un d'entre eux.

Mach venait d’éliminer un des brigands s’en prenant à la jeune femme, et avait naturellement attiré l’attention de tous les autres. Il alla même jusqu’à les provoqué, sans pour autant montrer ses mans. Ses adversaires étaient clairement en colère, et leur propos ne tardèrent pas à suivre, et l’exprimer. Au moins, il avait attiré leur attention suffisamment pour que ceux-ci décident de riposter. Mais, ils ne le firent pas tous, puisque seulement cinq des sept hommes s’avancèrent barre de fer à la main. Ceux-ci se rapprochaient d’un pas lent, comme si cela pouvait inquiéter Mach.

Celui-ci ne broncha donc pas, les laissant venir, ce qui lui permettrait de mieux les surprendre, et sans doute leur faire peur quand il passerait vraiment à l’action. Son regard s’était un peu calmé, et suivait la progression de la petite troupe, qui s’était placée en arc de cercle autour de lui, tenant visiblement fermement leur armes de fortunes.

- Ben alors mon gars, on a peur tout à coup ?
- On fait plus le malin tout à coup n’est ce pas ?

Dire certains des brigands se rapprochant de lui pour n’être plus qu’à un mètre. C’est alors que le premier tenta de frapper, puisqu’il semblait avoir la barre la plus longue. Mais l’orientation de son coup vertical était des plus prévisibles, et Mach n’eut aucun mal à l’esquiver, tout en se rapprochant de son assaillant. Sortant alors son poing de sous sa cape, il décocha un coup d’une force assez phénoménale dans le menton de l’homme, qui fut soulevé du sol pour être ainsi projeté quelques mètres en arrière. Un bruit franc avait aussi indiqué à ses camarades que leur compagnon avait surement la mâchoire en miette, alors que ce dernier gisait toujours au sol, le hasard voulant qu’il ait atterri aux pieds de l’armoire à glace.

- Espèce de….

Dit l’un des brigands voulant frapper à son tour, mais Mach était lancé et se trouvait déjà sur lui, attrapant d’une main la barre de fer pour la bloquer, alors qu’il donnait un coup dans l’estomac de la brute. Celui-ci se plia en deux suite à l’attaque, et la douleur lancinante parcourant son abdomen. Le soldat en profita pour forcer sur la barre et le désarma, en jetant le bout de ferrailles à quelques mètres.

C’est alors qu’il ne vit pas venir la barre qui le frappa à l’épaule, la douleur naissante le fit grimacer, mais, il ne lâcha pas un mot, alors que ses assaillants ne cessaient de l’insulter. Mach se retourna alors pour parer le second coup, en empoignant le poignet de l’homme cette fois. Il se servit alors de son élan pour obliger son captif à se déplacer et recevoir le coup suivant de son camarade à sa place. Mais, Mach ne fut pas assez rapide, pour que le coup de barre frappe sa cible en pleine tête, et celle-ci se contenta de briser le bras de son camarade, qui lâcha par la même occasion son arme.

Lâchant alors celui-ci, qui se tint alors son bras meurtri, Mach fonça vers le quatrième assaillant, faisant toujours abstraction de sa douleur à l’épaule, qui au mieux ne ferait qu’un hématome, et au pire, la lui aurait démise. Mais, s’était un soldat entraîné, et donc capable de surmonter cette douleur. Esquivant alors le coup suivant de l’homme qui semblait encore plus remonter d’avoir vu trois de ses camarades mit hors combat, ou du moins partiellement, s’ils parvenaient à reprendre leurs esprit avant que Mach n’en ait finit avec eux, et libérer la jeune femme. Son coup fut un coup de genoux dans le ventre de l’homme, alors qu’il lui passait à côté avant de le pousser d’une main pour qu’il tombe face contre terre au sol.

Le cinquième profita alors du déséquilibre momentané de Mach pour le faucher et l’envoyer au sol dans un rouler bouler de quelques tours. Il avait tout de même suivit ce dernier, pensant le frapper au moment où il se stabiliserait, Mach le surprit en reprenant le contrôle de ses mouvements, et tournant sur lui-même pour faucher les jambes de l’agresseur, qui tomba alors à la renverse, frappant violemment la tête contre le bêton du trottoir. Le déserteur se releva alors, regardant les cinq hommes souffrir le martyre, ou étant simplement inconscient. A croire qu’ils n’avaient jamais vraiment du se battre avant ce jour, surtout que ceux qu’il n’avait à peine que toucher au ventre se le tenait toujours.

- Bon, je suppose que c’est votre tour maintenant ?

Dit il en regardant froidement l’armoire à glace et l’homme freluquet qui se tenait à ses côtés. Il fit quelques pas vers eux, levant sa main gauche à son épaule droite pour se la masser un peu et ainsi atténuer la douleur. De ce fait, il avait aussi découvert une partie de son corps, laissant voir son uniforme militaire, et un couteau rangé à la ceinture de Mach.

elle entendait les pas des 5 brigands s'éloigner lentement de leur boss, se demandant qui pouvait bien s'intercaler seule face à ces malfrats.
entendant par la suite les malfrats lui parler et quelques secondes plus tard des bruit de coup sourd de coup tomber, le sons d'une barre de fer qui fend l'air, des hurlement, des insultes, quand d'un coup elle vit un des loubard tomber lourdement au sol prêt de l'armoire à glace, le visage en sang et tomber dans l'inconscience ou mort elle ne le savait pas. encore quelques échange puis plus un bruit, entendant le mystérieux inconnu demander à l'armoire à glace si c'était son tour.

elle se sentie être descendu par les bras puissant du boss, et pousser en direction du gringalet, lili en profita pour se retourner et voir enfin la personne qui était sens doute en train de la sauver.

tiens Teddy, garde la moi au chaud, je vais m'occuper de lui...

ok... ok boss ...

lili vie enfin celui qui allait peut être la sauver, il n'était pas bien grand mais les corps inanimée ou se tordant de douleur prouvait qu'il savait se battre, son sauveteur avait un visage faisant ressortir la souffrance, il n'avait pas du rigoler tout les jours dans sa vie, apparemment c'était en militaire ou un ancien militaire vue les habit qu'il portait, bien musclé vue la taille du bras qui dépassait d'une sorte de cape pour ce masser l'épaule.
le combat entre les deux homme allait bientôt commencer et la peur de lili montait, se demandant comment tout sa allait finir.

Après en avoir fini les cinq hommes de mains de l'armoire à glace, Mach se dirigea vers lui, prenant délibérément la parole pour le provoquer. Et cela sembla fonctionner, puisque l'homme à la musculature importante descendit la jeune femme de son épaule, pour la passer, avec une certaine violence à son camarade gringalet. Celui ci, par sa corpulence, ne pourrait donc pas la porter comme son camarade, ne pouvant qu'au mieux la maintenir en place. Pendant ce temps là, son supérieur prit la parole, et s'avança vers l'ex-soldat, pour finalement s'en occuper lui même. Son acolyte, lui n'était pas sur de vouloir rester dans les parages quand il vit l'état de ses camarades.

- Si tu penses en être capable !

Provoqua une nouvelle fois Mach pour s'assurer que son adversaire ne se débinerait pas au dernier moment. Ce qu'il ne fit pas, et lança le premier coup de poing. Bien entendu, l'homme en face de lui l'esquiva assez aisément, surtout que la colère de l'homme rendait ses mouvements plus prévisibles. Mais, le coup suivant, du second poing frappa Mach a niveau de l'abdomen, l'envoyant voler sur quelques mètres.

- On fait moins le malin hein ? Avec moi se ne sera pas comme avec ces gugusse.

Dit l'homme un sourire aux lèvres, montrant clairement qu'il était assez fier de sa force. Mach devait reconnaître, quand force brute, ce dernier devait l'égaler, voir plus, mais, il ne semblait pas avoir de cervelles.

- Cela rend le combat d'autant plus intéressant !

Dit Mach en se relevant assez lentement, sans que son opposant ne cherche à l'en empêcher, comme la logique l'aurait voulu. En effet, frapper un homme à terre aurait été plus simple pour lui, et il n'aurait pas risqué de regretter de ne pas l'avoir fait finalement. Mach s'avança alors vers l'armoire à glace plus déterminer, et frappa, en échouant, car visiblement son adversaire était aussi habile que fort. Ainsi, les échanges de coups se firent sans qu'aucun ne parviennent à toucher l'autre jusqu'au moment où Mach fit une feinte, et attrapa le bras de l'homme pour l'immobiliser avant de lui faire perdre l'équilibre en frappant dans une jambe.

L'armoire à glace se retrouva alors à genoux devant le soldat qui d'un violent mouvement rapide et sec, cassa le bras qu'il tenait toujours en le tordant violemment dans le dos. S'en suivit un coup de pied dans le dos, qui fit basculer le loubard face contre terre

- Alors, tu en as assez ? Et toi le gringalet, si tu ne veux pas subir le sort de tes camarades, tu devrais peut être lâcher cette femme et en profiter pour filer, car tu es le prochain, tu sais ?

Dit Mach, à l'attention de l'armoire à glace dans un premier temps, avant que son attention se tourne vers le dernier homme des brigands, qui retenait prisonnière la demoiselle. Son regard à lui était d'ailleurs emplie de peur, alors que Mach le regardait assez méchamment pour le forcer à siller et s'enfuir à toute jambes.

voyant l'armoire à glace avancer vers l'inconnue bien décidé à lui faire payer ce qu'il venait de faire à ces hommes, donnant un premier coup de poing dans l'air puisque son sauveur l'esquiva, mais le second coup atteint l'estomac et lili vit son sauveur être projeté à quelques mètres de là et atterrir lourdement au sol, elle avait mal pour lui.

non... laissez le!!!

ferme là garce, le boss vas lui régler son compte... ah! ah! ah!

voyant son sauveur se relever avec difficulté, une fois debout plusieurs coups s'enchainèrent, jusqu'au moment ou l'inconnu attrapa le bras du chef des brigands dans son dos et qu'il lui cassa, entendant bruit sourd d'os briser, l'armoire à glace crier autant qu'il le pouvais sa douleur mais les coups de pied qui suivirent le firent taire.

le sauveur se tourna alors vers le gringalet en lui demandant de partir avant qu'il ne s'occupe de lui, ce qu'il fit s'en attendre détalant aussi vite qu'il le pouvait, laissant lili avec les menottes aux poignet.

hey... attend les menottes!!!

mais celui ci avait déjà tourner au détour d'une ruelle, lili se retourna donc vers son sauveur, un peut apeuré de ce qui venait de se passer.

merci monsieur... d'être venue à mon secours, je ne sais pas se qui me serait arriver si vous n'étiez pas intervenue.

bien sur elle savait se qu'ils avaient l'intention de faire d'elle, mais il ne valait mieux pas donner des idées, elle ne le connaissait pas et même si il lui avait sauver la vie, sa ne voulait pas dire qu'il lui voulait du bien.

j'espère qu'il ne vous ont pas fait trop mal?
dite moi vous pourriez les fouiller l'un d'eux doit avoir les clef des menottes, en espérant que se ne soit pas le gringalet qui est partie avec.

Durant le combat qu'avait livré Mach face à l'armoire à glace, le soldat avait entendu la jeune femme se défendre, et prendre la parole pour tenter de le protéger. Bien sur, cela n'avait rien changé, mais, un sourire était apparut sur le visage de l'homme, lorsqu'il se redressait. La captive s'inquiétait pour lui, alors qu'il n'y avait pas de raisons de s'en faire. Après tout celle ci aurait pu tomber entre des mains encore plus dangereuses. Mais, cela eut pour effet de motiver un peu plus Mach, qui ne tarda pas à prendre le dessus sur son opposant. Il lui cassa finalement un des bras avant de le mettre par terre, le rouant de coup suffisamment de coup pour qu'il ne se relève pas.

C'est ainsi que le combat se termina, puisqu'après s'être débarrassé de leur chef, le dernier membre du gang ne tarda pas à accepter la suggestion de Mach et détaler à grand pas, laissant leur proie derrière elle. Celle ci semblait en tout cas avoir reprit de la bête, puisqu'il ne lui fallut pas longtemps pour prendre la parole en se tournant vers le fuyard, lui réclamant les clefs des menottes en vain. Laissant donc cette idée de côté, elle se retourna vers le jeune homme qui l'avait sauvé avant de le remercier et dire qu'elle n'aurait pas su ce que le groupe de brigands comptait faire d'elle. Sur ce dernier point, Mach doutait qu'elle ne le sache pas, puisqu'il était assez évident que ceux ci allaient sûrement profiter de ses charmes. Et même lui l'avait comprit. Il lui sourit donc avant de répondre.

- De rien. Alors là, allez savoir ce qu'une bande d'hommes en rut peut avoir en tête ?

Répondit-il d'un sourire amusé, alors qu'il se rapprochait d'elle dans le but de la libérer. Bien qu'il n'avait pas les clefs, il avait une idée de comment se débarrasser des menottes. Mais avant qu'il ne pu l'appliquer, la jeune femme reprit la parole pour lui demander comment il allait, puisqu'il avait prit un coup tout de même, voir deux. Avant d'enchaîner sur la demande, s'il pouvait s'occuper de fouiller les corps de brigands étalés sur le sol dans le but de trouver la clef, en espérant que cela ne soit pas le gringalet qui l'ait. Mach en doutait, et pensait plutôt que se serait le leader qui aurait ce genre de chose. C'est pour cela, qu'il revint sur ses pas pour s'accroupir aux côtés de l'homme, laissant apparaître l'étui de son pistolet partiellement visible par l'absence d'une partie de la cape sur cette zone du corps, vu ce que Mach était en train de faire.

- Ne vous inquiétez pas, je risque jusque d'avoir quelques hématomes, mais, rien de bien sérieux....

Dit il ne finissant pas sa phrase, puisque ce qu'il s'apprêtait à dire se retrouvait à présent inutile, puisqu'il venait de s'emparer des clefs, et se redressa donc. Il se dirigea alors vers la jeune femme, et y passa dans le dos pour pouvoir la libérer des étreintes des menottes. Cela ne prit que quelques instants, et  il laissa celles ci tomber au sol, avant de les ramasser, se disant que cela pourrait lui servir après tout, surtout avec la clef allant avec. Ainsi, il les accrocha à sa ceinture, pendant que la jeune femme se massait les poignets de nouveaux libres.

- Au fait que fait une jeune fille dans un quartier si peu fréquentable en plein milieu de la nuit ?

Demanda t il calmement, portant de nouveau son attention sur la jeune femme qu'il venait de libérer de l'emprise de ses ravisseurs.

l'entendant répondre à ses remerciements et sous entendre les intentions des brigands, il ne fallait pas être dupe pour savoir ce qu'ils avaient l'intention de faire à lili.
elle le vit s'approcher alors qu'elle venait de lui demander de fouiller les poches des brigands à la recherche de la clé des menottes, elle le vit s'arrêter et se retourner fouillant les poches de l'armoire à glace tout en lui répondant qu'il n'allait avoir que quelques hématomes, lili remarqua alors qu'il venait de s'accroupir, qu'il avait à sa ceinture un étui de revolver, était-il armé? dans ce cas pourquoi ne l'a-t-il pas utilisé contre les loubards? une question très étrange que ce posait lili.
mais elle vit celui ci se relever et s'approcher pour passer dans son dos et défaire enfin ces menottes qui lui faisais mal aux poignets.

merci.

enfin les menottes enlever lili se massa les poignet quelques minutes, écoutant la question de son sauveur qui lui demander ce que faisais une jeune fille dans un quartier si peut fréquentable en plein milieu de la nuit, lili massa toujours ses poignet et regardant le sol lui répondit.

je... rentrais de chez une copine et... voyant l'heure j'ai voulut couper par ces quartiers pour... éviter de faire un détour.

sa réponse était hésitante, ramenant son regard sur le visage de son sauveur à la fin de sa réponse, pas certaine de ce qu'elle devait lui répondre, mais elle ne pouvait pas lui dire qu'elle sortait de l'antre de sa maitresse qui lui apprenait les joie de la luxure et la magie noir.
espérant que celui ci ne se doute de rien au mensonge qu'elle venait de lui dire, elle enchaina.

bon et si nous sortions de ce quartier avant que d'autre malade ne débarque... marchons ensemble...

finissant en lui faisant un large sourire, alors qu'il se mettait en route lili lui demanda.

et vous que faisiez vous dans ce quartier en plein milieu de la nuit?

La bagarre était terminée, et Mach venait de libérer la jeune femme de l'emprise de ses menottes. Il n'avait d'ailleurs pas gardé le silence, et poser une nouvelle question à la demoiselle, qui le remerciait de nouveau. En effet, ce n'était pas prudent pour une jeune femme, surtout quand elle aussi jolie, de se promener seule dans un quartier si peu fréquentable. Celle ci avait alors répondu qu'elle sortait de chez une copine, et qu'elle avait boulu prendre un raccourci pour rentrer chez elle. Ce qui montrait qu'au moins, elle connaissait le danger du secteur, mais ne l'avait tout de même pas assez prit au sérieux, pensant sans doute qu'elle parviendrait à échapper aisément aux brigands.

Puis, le regard des deux personnes se croisèrent à nouveau, quand l'ancien soldat revint devant elle. Le visage de Mach était redevenu calme, et on n'aurait sans doute jamais pensé qu'il avait été l'auteur de ce carnage à lui tout seul, et sans se servir de ses armes. Il n'avait pas cherché à savoir, si la demoiselle lui avait mentit ou non, bien que sa voix parue un peu hésitante. Mach avait mit cela sur le stress que venait de subir celle ci. La seule question qu'il se posait été quelle genre de copine celle ci pouvait avoir dans ce quartier ?

La jeune femme reprit alors la parole pour suggérer de se mettre en route avant que d'autres brigands ne se manifestent. En effet, cela pouvait être un risque si l'homme qu'ils avaient laissé filer allait chercher d'autres camarades, et revenir encore plus nombreux pour s'opposer à Mach. Bien qu'il faudrait être stupide pour penser le trouver encore là une fois qu'il aurait pu trouver du renfort. La dame avait donc proposé de marcher ensemble, sans doute aussi pour que l'ancien soldat lui servent de garde du corps pendant le trajet.

- Vous avez raisons, mieux ne vaut pas trainer là. Qui sait ce qui peut nous tomber dessus, sans compter que bien que sonner, ceux là pourraient se relever aussi.

Dit l avant de lancer un regard à la bande d'homme couché sur le bitume, et en sale état. En tout cas, ils se mirent en route côte à côte, alors que la demoiselle lui souriait, comme si à présent, toutes craintes s'étaient envolées. Elle ne tarda pas à reprendre la parole d'ailleurs, demandant ce que son compagnon à présent, venait faire dans ce quartier.

- Disons que je suis venu faire quelques emplettes d'objets qu'on ne peut trouver qu'ici.

Dit il calmement, alors qu'ils arrivaient déjà dans une rue bien plus fréquentée et donc plus sûre que celle où il se trouvait. Il se demanda d'ailleurs comment il pourrait continuer la conversation, sans qu'il n'aborde des sujets qui pouvaient gêner sa camarade. Lui n’était pas entré dans les détails, pour ne pas non plus effrayé de nouveau la jeune femme, qui aurait sans doute paniqué, s’il lui avait dit, qu’il était allé acheter des munitions, et ainsi se trouver placer dans la catégorie dans les méchants de tout à l’heure.

alors qu'il continuaient de marcher cote à cote, le sauveur répondit à sa question en lui disant qu'il était dans ce quartier pour faire des emplettes que l'on ne pouvait trouver que dans ce quartier, lili se demandait bien qu'elle genre d'objet il avait bien put venir acheter ici, vue la mauvaise fréquentation de ces quartiers sa ne pouvait être que des armes ou de la drogue. 

peut importe ce qu'il était venue faire ici, il lui avait sauver la vie ou du moins éviter de passer une mauvaise soirée à se faire labourer sans ménagement, sortant enfin de ces quartier glauque, lili en voulut en savoir plus sur ce mystérieux sauveur, voyant que celui ci n'avait pas l'air de vouloir pousser la discutions, elle pris les devant.

tiens au fait avec toute cette mésaventure, je ne me suis pas présenté, moi c'est lili...

lui dit-elle tout en le regardant et lui faisant un grand sourire, la manière qu'il avait eu de mettre ces loubard au tapis l'intriguait aussi, ce n'était pas couramment qu'elle voyait un homme se battre, surtout pour elle.

ou avez vous appris à vous battre de la sorte monsieur?

mais à force de marcher, ils arrivèrent en face de la maison de lili, s'arrêtant au portillon ou l'on voyait un petit jardin avant de pouvoir atteindre la porte d'entrée, lili se retourna face à Mach.

voilà c'est ici... nous sommes arrivées...

alors qu'elle voyait que son sauveur était près à s'en aller, elle ne put s'empêcher de vouloir le remercier en lui offrant au moins quelques choses à boire avant qu'il ne reparte.

... euh... vous voulez rentrer quelques minutes pour vous désaltérez?
c'est le moins que je puisse faire après être venue à mon secours.

Le duo nouvellement formé après le sauvetage de la jeune femme, se dirigeait vers la sortie du quartier de la Toussaient, et donc une zone bien plus calme et sure pour la demoiselle. En effet, pour lui qu'il soit à un endroit ou un autre, cela ne changerait rien à sa situation. Mais, il se gardait de répondre de façon exhaustive aux questions de la demoiselle, devenue bien plus gaie à présent, comme si ses péripéties n'étaient qu'un vieux souvenir. Ainsi, lorsqu'ils arrivèrent dans le quartier un peu plus chic, comme le montrait l'entretien des rues et l'éclairage bien plus lumineux de celles ci. Lili prit alors la parole pour se présenter, faisant un grand sourire à Mach, regardant ce dernier comme si elle cherchait à scanner chaque élément de son corps, grandement dissimulé par sa cape.

- Enchanté Lili, moi s'est Mach.

Répondit-il calmement, sans que la jeune femme ne puisse vraiment savoir s'il avait répondu à son sourire ou non. Cela ne l'empêcha pas de poser une nouvelle question, visant à savoir cette fois où il avait pu apprendre à se battre comme il l'avait fait face à la bande de brigands.

- Ma tenue ne te donne pas une petite idée ? Enfin, je pourrais dire sans trop exagérer, que s'est mon passage dans l'armée qui m'a apprit à me battre. Même si contre ces gugusses, je dirai que cela revenait plutôt à un entraînement léger.

Répondit il calmement, cette fois ses propos accompagnés d'un sourire, comme s'il voulait que la demoiselle conserve quelques doutes sur la véracité de ses propos. Mais au bout d'un moment, le tandem arriva devant une maison avec un petit jardin devant. Celle ci semblait assez bien entretenue, et en s'arrêtant devant le portillon, Lili prit la parole pour dire qu'ils étaient arrivés.

- Et bien, je crois que je vais pouvoir vous....

Commença t il à dire, avant que la jeune femme ne l'interrompe pour l'inviter à entrer. En effet, elle lui proposa de venir se désaltérer en guise de remerciement. Elle bafouilla d'ailleurs un peu, par peur que Mach refuse sans doute.

- Cela ne sera pas de refus, et puis, je ne veux pas non plus que vous pensiez avoir une dette en vers moi, si je refusai cette façon de me remercier.

Dit il calmement attendant maintenant que la jeune femme l'invite véritablement à entrer. Il rajouta tout de même pour ne pas que la demoiselle se méprenne.

- En plus vous êtes d'agréable compagnie, alors profitons en pour discute un peu plus.

son sauveteur s'appelait donc Mach comme il lui avait dit et il avait appris à se battre à l'armée, lili se traitant intérieurement de sotte puisqu'elle aurais du s'en douter vue les habit qu'il portait, entendant Mach lui dire que ces loubards n'était qu'un entrainement léger, alors qu'elle lui avait proposer de le remercier en lui proposant un boisson rafraichissante, celui ci ne refusa pas disant qui ne voulait pas qu'elle est une dette envers lui si il refusait cette offre, enchainant en la flattant qu'elle était d'agréable compagnie et qu'il voulait en profiter pour discuter.

lili ouvrit alors le petit portillon du jardin, satisfaite qu'il accepte, l'invitant à la suivre.

je vous en prit Mach suivez moi...

celui ci marchait derrière elle, sentant sa présence et ces bruits de pas, arrivé à la porte d'entrée, elle sortie ses clés et l'ouvrit, rentrant tout d'abord.

allez y rentré...

une fois rentré elle referma la porte à clé juste derrière.

enlever votre cape et installez vous dans le sofa... 

alors qu'elle se dirigeait vers la cuisine.

qu'est ce que vous voulez boire?

Quand Mach répondit à la question de celle qui allait devenir son hôte pour quelques instants, ne sachant pas combien de temps il allait rester, Lili prit un air hébété, comme si la question qu'elle venait de poser avait eu une réponse évidente dans la tenue que portait Mach. En tout cas, cela fit sourire le jeune homme alors que la demoiselle ouvrait la porte de sa demeure et l'invite à la suivre. Et bien qu'il aurait pu se faire discret, dans le sens où ses pas n'auraient produits aucun son, il ne le fit pas, se disant que cela aurait peut être inquiéter Lili si elle avait noté la nuance. Cela aurait sans doute pu même la surprendre, quand en se retournant pour s'assurer de sa présence, elle l'aurait tout de même vu face à elle.

Une fois rentré dans la résidence de la jeune femme, suivant toujours ses requêtes, ou invitations, puisqu'elle ne les dit pas sur le ton de l'ordre, Mach retira sa cape pour la pendre au porte manteau présent dans le Hall. Il décida aussi de se désarmer, puisqu'il n'avait pas de raisons précises de craindre quoi que se soit de la jeune femme, ou du moins rien qui ne nécessite un port d'armes. Puis, alors qu'il se dirigea vers le salon, Lili allait vers la cuisine avant de se tourner vers lui pour lui demander ce qu'il voulait boire.

- La même chose que vous me conviendra très bien :

Dit il en regardant la jeune femme qui lui tournait à présent le dos, et il devait avouer qu'il la trouvait jolie. Mais, il se contrôlait assez pour ne pas laisser paraître l'excitation qu'il aurait pu avoir. Une fois dans le salon, et attendant qu'on le serve, Mach était resté debout et contemplait la décoration.

- Vous vivez toute seule dans cette maison ?

Demanda t il, continuant son inspection. Mais, il avait levé légèrement la voix pour s'assurer que malgré la distance Lili l'entende, et puisse lui répondre.

alors qu'elle l'avait vue enlever sa cape et ces armes pour les pendre au porte manteau, elle pouvait maintenant contempler ces bras musclé avec les qu'elle il c'était débarrasser des loubards, alors qu'elle lui avait demander ce qu'il voulait boire, celui ci lui avait répondu qu'il prendrait la même choses qu'elle.
se retournant, rentrant dans la cuisine et aller jusqu'au frigo, qu'elle ouvrit pour en sortir du jus d'orange frais, le posant sur la table, pour ensuite se diriger vers une des commodes ou ce trouver les verres et en prendre deux pour eux aussi les poser sur la table, alors qu'elle remplissait les verres, elle entendit la voie de Mach lui demander si elle habitait seule dans cette maison.
alors qu'elle avait fini de remplir les verres elle en pris un dans chaque main et revenue dans le salon, voyant que Mach était rester debout, elle lui tendit le verre et lui répondant.

tenez, c'est du jus d'orange.
non je n'habite pas seule ici, je suis beaucoup trop jeune pour avoir mon propre chez moi, c'est la maison de mes parents, mais il ne sont pratiquement jamais là.

lili se dirigeant vers le sofa et si assis, prenant un gorge de sa boisson, était encore un peut jeune et elle ne pensait pas encore à serrer ou croiser les jambes en présence d'autre personne, si bien que là elle avait les jambes quelques peut écarter et de là ou se trouvait mach, il pouvait facilement voir le string de lili et son entre jambe, sa mini jupe ne cachant pas grand choses une fois assise, elle continuer tout de même de l'interroger.

vous pouvez vous asseoir...

lui dit-elle avec un sourire, alors qu'il avait l'air de se demander si il devait s'asseoir ou non elle commença à la questionner.

... et sinon combien de temps vous avez passer à l'armée?

alors qu'elle reprenait une gorger de sa boisson, elle enchaina.

vous êtes fort, courageux et habile, peut d'homme aurais eux le courage de venir aidé une femme dans ce genre de quartier, ils y en à même qui auraient payer le chef des brigand pour pouvoir participer au festivité...

lili c'était griller toute seule en lui disant sa, alors qu'elle avait dit plus tôt qu'elle ne savait pas du tout ce qu'ils comptaient lui faire, là elle avait quand même dit ouvertement qu'elle savait très bien ce qu'il allaient lui faire mais en plus qu'elle connaissait assez bien le quartier pour connaitre les activité qui si déroulé, bien sur qu'elle savait ce qui se passait dans ces quartier puisqu'elle dormait des fois chez sa maitresse et pouvait entendre la nuit des cries de femme se faire sauvagement violer par des brigands ou des gangs. essayant de se rattraper sur ce qu'elle venait de dire en espérant qu'il n'y face pas attention.

... euh... je veut dire que... et sinon qu'est ce que vous contiez faire ce soir si vous ne m'aviez pas sauvé? 

lili fini son verre de jus d'orange en écoutant les réponses de Mach.