Dompter un tigresse [Kyoko]

Les journées se calmaient ces temps ci.

Bleiz n'avait pas eus de travail sérieux depuis des mois. Il se contentait de quelques chasse de monstres et de protections de marchands. Pas un seul combat ni un seul défi intéressant depuis tout ce temps. Il avait en lui un trop plein d'énergie tel qu'il ne pouvais plus rester dans son habitation.

Ses affaires lui avais permis de ce payer un petit pied-a-terre tranquille en ville. Un endroit sobre loin des trop riches et des trop pauvres. Mais ce soir il voulais revenir au lieu de ces débuts de mercenaire. Il allait ce promener dans les bas-fonds.

Il errait sans but cherchant quelquechose à faire. Peut-etre ramener une jolie fille dans une chambre d'auberge. Aller chercher les ennuis pret de petits voleurs, ou aller boire un verre à la taverne. Il ne savait pas mais il comptait bien s'occuper ce soir.

Parce qu’elle avait été envoyé pour faire les courses, Kyoko se retrouvait à errer dans les bas fond qui constituait un raccourci parfait entre le marché et la maison. Parfait jusqu'à ce que deux grands gaillards viennent perturber sa route. Elle n’était même pas arrivée au marché que les ennuis lui faisaient déjà face.

Le plus grand s’approcha avec cette lenteur qui permet de bien faire monter la peur chez l’individu qui allait servir de victime, la tigresse en l’occurrence.

- Allons ma belle, si tu nous donne ce qui pèse trop lourds pour tes petits bras, on te laissera tranquille. C’est promis.

Bien sûr, elle n’en crue pas un traître mot, son regard lubrique infirmait sa phrase plus vite que n’importe qu’elle parole. Kyoko voulu crier  à l’aide mais à peine commença t’elle à parler que son bourreau lui envoya le revers de sa main sur la joue. Le silence c’est tellement plus agréable.

- Ah, j’avais prévenu qu’il fallait être gentille, du coup on va être obligé de changer de ton. Personne ne viendra t’aider de toute façon.

En même temps, personne ne vient en aide à une esclave, surtout dans ce genre de quartier.

Bleiz sortait d'une auberge sympathique mais manquant de compagnie féminine. Il allait ce résoudre à rentrer chez lui quand son regard capta une superbe terranide tigre se baladant dans les bas-fonds.

Apparemment la jeune fille ne semblait pas vraiment à sa place dans cet endroit. Ces yeux reflétait l'innocence et la soumission. Une esclave à n'en point douter. Elle marchait dans cette ruelle sans faire attention à ce qui l'entourais.

Bleiz ne fut pas le seul à remarquer et bientôt deux raclures s'approchèrent et lui bloquèrent le passage. Ils dirent quelque chose que bleiz ne compris pas mais les regard appuyés vers les formes de la terranide (qui, il fallait bien l'avouer était plus que plaisante) laissait facilement comprendre ce qu'il lui voulais.

La terranide allait répondre quand il la gifla d'un revers de main. Il n'en fallait pas plus à Bleiz pour réagir. Il n'aimait pas les gens violents comme eux. Il s'avança vers eux et se racla la gorge pour faire comprendre qu'il était là avant de parler.

Messieurs, je vous demanderais de quitter les lieux en laissant cette dame tranquille.

Les deux hommes se retournèrent, puis se regardèrent en souriant. Cela fit rire intérieurement Bleiz. Il devaient etre apparus dans le coin pendant sa longue absence et donc ne pouvait pas connaitre son visage. S'ils savaient qui il était il partirai sans faire d'histoire. Bleiz fut tenté de ce présenter pour les faire partir mais ces messieurs avaient besoin d'un leçon.

Ecoute gueule d'amour. Tu vas partir avant de te faire mal ok ? Moi et mon pote vaut mieux pas nous chercher.

Bleiz sortit la petite provocation juste suffisante pour démarrer les choses.

En effet il serait stupide de chercher deux individus aussi moches et malodorant que vous.

Le plus grands des deux qui avait en fait juste la taille de Bleiz s'approcha et l'empoigna par le col

Répete voir ce que t'as dit ?

puis tout alla très vite. de sa main gauche bleiz bloca la main qui tenais son col. Il fit un léger pas en arriere pour déséquilibrer son agresseur et le frappa à la pomme d'adam avec deux doigt. Le grand suffoqua sous l'effet du coup et bleiz, d'une torsion du poignet qu'il tenais toujours le fit tomber en avant.

Espèce de sale  enc...

L'autre homme qui avait sorti un couteau en fonçant sur bleiz n'eus pas le temps de finir sa phrase. Bleiz fit un pas de coté pour éviter l'attaque portée vers son ventre, attrapa le poignet de l'homme, et en lui tordant le coude, lui enfonça son propre couteau dans la cuisse. Les deux hommes repartirent sans demander leur reste. Peut-etre étaient-ils suffisamment intelligent pour ne par chercher plus d'ennuis.

Bleiz ce tourna vers la jeune fille qui semblait terrifiée.

Bien le bonjour mademoiselle. désolé que vous ayez eus à souffrir d'un tel spectacle mais certaine personne ne comprenne que la violence.

Elle ce radoucis quelque peu.

Je me présente je m'appelle Bleiz

Alors qu’elle s’apprêtait à voir son argent disparaître dans les poches des deux loubards et à devoir passer un moment en leurs si charmantes compagnies, quelle ne fut pas sa surprise de voir débarquer un preux chevalier à sa rescousse. Bon, il n’était peut-être pas chevalier, mais elle, de toute façon, n’était pas princesse…

Le nouvel arrivant provoqua les deux vauriens qui se mirent en tête de répondre. Ce fut une mauvaise idée car le chevalier réussi avec adresse à retourner la situation en sa faveur avec une rapidité qui provoqua l’admiration de la tigresse. Cependant elle conservait une certaine peur. Kyoko n’aimait pas la violence et était quelque peu mal à l’aise dans la situation présente.

- Bien le bonjour mademoiselle. Désolé que vous ayez eus à souffrir d'un tel spectacle mais certaine personne ne comprenne que la violence.

L’homme se montrait poli et sa façon de parler montrait une certaine éducation, il ne devait donc pas être du même acabit que les deux types qui venaient tout bonnement de s’enfuir.

- Je vous remercie Messire. C’est moi qui suis désolée, si je n’étais pas aussi gourde vous n’auriez pas eu à employer la force. J’espère ne pas avoir trop perturbé le fil de votre journée.

Pour un peu elle excuserait le comportement de ceux qui voulaient lui faire du tord.

- Je me présente je m'appelle Bleiz.

Si les deux vauriens n’avaient pas comprit que Bleiz était un homme connut dans la cité, c’était également le cas de la jeune esclave qui venait d’arriver peu de temps auparavant. Aussi ne releva t’elle pas son nom comme elle aurait sûrement du le faire.

- On me nomme Kyoko, enchantée Messire Bleiz. 

Elle réfléchit un court instant, cet homme l’avait sauvé d’une bonne correction, que ce soit celle des loubards ou celle de son maître qui n’aurait pas accueilli le fait qu’elle ait perdu l’argent avec un grand sourire. Qu’elle se fasse violer, ce n’était pas si grave, mais l’argent, ça, c’était plus important.

- Y’a-t-il quoique se soit que je puisse faire pour me faire pardonner de vous avoir entraîné dans cette mauvaise blague ?

Tout ce qu’elle espérait c’était ne pas devoir lui donner une compensation financière. Tant qu’elle revenait avec les courses chez son maître le reste lui importait peu.

A sa demande il répondit aussitôt saisissant la bal au rebond.

Et bien je m'ennuie en ce moment et un peu de compagnie ne me ferait pas de mal. Que diriez vous de venir boire un verre avec moi ? C'est moi qui invite bien sur.

Il allait l'inviter à le suivre quand les deux hommes qu'il avait corrigé revinrent...avec quelques amis. En tout, une demi douzaine de personne peux recommandable était entre Bleiz et la taverne qu'il comptait visiter. Il analysa la situation. Il pourrai tenir tête à ses hommes à mains nus mais ça prendrai du temps et risquerai d'exposer la belle kyoko. Sa main toucha la garde de son fauchon, mais il rechignai à faire couler le sang. D'abord parce que même dans un coin pareille ça pouvait lui etre reproché plus tard, mais aussi car ce n'était pas la meilleur méthode de séduction connue.

Il réfléchissait tandis qu'il reconnu l'un des hommes qui lui faisait face. Il l'avait croisé quelquefois dans cette rue. Il se mit à le dévisagé en souriant. Et l'effet ne mis pas beaucoup de temps à prendre. Car l'homme le reconnus.

B...B...BLEIZ !

Les autres hommes ce retournèrent vers lui pour voir s'il parlait vraiment de l'homme qu'ils avaient en face d'eux. Ils le regardèrent à nouveaux d'un regard terrifié. Bleiz en remis une couche

Bien messieurs. Je me serais bien amusé avec vous mais comme vous pouvez le voir, je suis accompagné en ce moment. Serait-il possible de remettre cela à plus tard ?

Les hommes se regardèrent entre eux, puis sans prévenir, partirent le plus vite qu'il le purent.

Bleiz se retourna vers la belle tigresse en souriant. Elle allait parlé quand il la pris de vitesse.

Si c'est pour vous excusez de m'avoir attiré des ennuis, je vous arrête car ce genre de chose sont plutôt courante dans ma vie et comme vous pouvez le voir, j'ai finis par me faire connaitre dans ce coin.

Il reprit aussitôt

Si en revanche vous comptiez me remercier, je vous ai déjà dit comment le faire alors si vous voulez bien me suivre, je connais un endroit charmant.

En guise de remerciement l’homme souhaitait un peu de compagnie. Elle pouvait facilement lui accorder un peu de temps n’étant pas pressée. Elle s’apprêtait à accepter sa demande quand de nombreux hommes, dont parmi eux ceux qui avaient été chassé, virent jouer les trouble-fêtes. En voyant un si grand nombre de personnes venir s’opposer à son sauveur, elle eut un peu peur et regretta vivement d’être passée par ce quartier.

Et puis la situation changea radicalement, elle pensait qu’ils allaient attaquer mais au lieu de ça l’un d’entre eux cria le nom de Bleiz et les autres se mirent à le dévisager. Au final la petite trouve prit ses jambes à son cou et s’enfuit loin d’eux. Apparemment, il était connu dans le coin pour passer pour quelqu’un de fort et à qui il ne faut pas chercher des noises.

Elle tenta de parler pour une fois de plus s’excuser de l’avoir embrigadé dans une histoire dont il aurait sûrement pu se passer mais il l’en empêcha et lui rappela qu’il souhaitait simplement avoir sa compagnie au tour d’un verre. Et bien puisque de toute façon ça n’entrait pas en infraction avec les ordres de son maître…

Elle s’accrocha à son bras rassurant et lui lança :

- Je vous suis Messire.

Je vous suis messire

Dit la jeune tigresse en s'accrochant à son bras. Un contact si proche avec cette fille était bon signe pour Bleiz car il ne comptait pas s'arrêter là. Les formes de la belle lui donnaient bien des idées.

Vous pouvez m'appelez simplement Bleiz. Allons-y!

Il la mena à une petite auberge. Un lieu simple mais qui étrangement aux autres endroits des bas-fonds, était tranquille. L'aubergiste était un homme fort, un ancien soldat, dont Bleiz s'était fait l'ami. Leur deux réputations suffisaient à empêcher les fauteurs de trouble de trainer ici. Ce qui permettait aux autres résidents plus pacifique de s'y reposer. Prostituées en pause, mendiant, gamins des rues, ils trouvaient tous un refuge temporaire ici.

Bleiz fit un signe au patron qui, en voyant la fille qui l'accompagnais lui fit un clin d'œil qui lui fit comprendre qu'il pouvait prendre la plus belle table. Ils s'assirent avec Kyoko et Après avoir lui avoir demandé ce qu'elle voulait boire, le commanda à l'aubergiste avec un thé.

Même s'il est modeste, j'apprécie beaucoup cet endroit pour sa tranquillité. Quand on est mercenaire, c'est toujours sympathique d'avoir un ou deux endroit ou ce poser.

L'aubergiste arriva avec leur commande, plus une petite assiette de friandise préparées par sa femme.

Mais j'en oublis les politesses. Parlez moi de vous, que faites vous dans la vie ?

L’homme lui précisa qu’il souhaitait qu’elle l’appelle par son prénom et l’emmena dans une taverne. Cet établissement avait ça de particulier qu’il était assez paisible et tenu par un grand gaillard. Les deux hommes se connaissaient et l’aubergiste leur présenta une bonne table. Après avoir passé leur commande pour eux deux Bleiz se tourna vers Kyoko et expliqua son attachement pour l’endroit. Elle y apprit qu’il était mercenaire, ce qui expliquait en parti l’attitude des hommes fuyant devant lui.

On leur apporta leur commande ainsi que des douceurs faites maison et Bleiz posa une question à la tigresse. Kyoko ne doutait pas un instant que l’homme qui se tenait près d’elle ne sache qui elle était, une simple esclave. Elle était Terranide et ses habits trahissaient sa position sociale. Elle porta son thé au lait à ses lèvres avant de daigner répondre en faisait comme si l’homme ignorait tout de sa condition.

- Pour tout vous dire, je suis servante à titre gratuit pour un banquier de Nexus. Mon rôle consiste à m’occuper au mieux de l’intendance de sa demeure, satisfaire ses moindres caprices et de temps en temps me perdre dans les bas fonds afin de me faire sauver par un preux chevalier…

Malheureusement il n’y avait pas grand-chose de plus à dire. Elle aurait pu paraître amère en racontant ça, mais Kyoko ne voyait pas sa situation d’esclave comme mauvaise. Bien traitée et en sécurité chez son banquier véreux. Elle ravala quelques gorgées de thé avant de reprendre.

- Ma vie est bien simple en fait, elle vous parait sûrement monotone à vous qui êtes mercenaire. Vous avez dut beaucoup voyager non ?

lorsqu'elle prononça le terme "servante à titre gratuit" Bleiz compris qu'il eus affaire à une esclave. Bleiz n'aimait pas beaucoup l'esclavage, c'était pour ça qu'il avait quitté son ancien employeur. Il n'aimait pas l'idée qu'on prive à quelqu'un son droit le plus simple d'être libre de faire ce qu'il veut. Mais il comprenais que pour certain, cette vie était toujours mieux que de mourir de faim. Aussi ne jugea-t-il pas la terranide

Il souris quand elle l'appela "preux chevalier". Dans son enfance Bleiz avait toujours voulu qu'une jolie fille l'appelle de cette manière. Lorsqu'elle défini sa vie comme monotone elle lui demanda également s'il avait beaucoup voyagé.

Oh vous savez, beaucoup de gens dans mon métier donnerai tout pour avoir une vie monotone. Moi j'oscille entre les deux. Je mène une vie aventureuse quelques mois, puis je profite de l'argent récolté pour vivre dans la monotonie durant un temps, et je recommence.

Il lorgna légerement sur sa poitrine avant de reprendre

Oui j'ai tout de même beaucoup voyagé. C'est toujours agréable de voir de nouvelles choses et de rencontrer de nouvelles personnes. Surtout quand je rencontre des créatures aussi belles que vous

Dit il dans un clin d'oeil

Suite à sa demande il lui expliqua comment il vivait. Et puis elle le vit regarder sa poitrine. Il est vrai qu’à ce niveau là, dame nature n’a pas été radine avec elle. En temps normal la tigresse n’est pas gênée par les regards des autres, mais d’habitude elle ne prend pas de thé avec eux non plus. Elle senti ses joues se réchauffer.

- Mon Dieu, ce thé est trop chaud il me semble…

Le genre d’excuse vieille comme le monde, un peu comme ceux qui prétendent avoir une poussière dans l’œil alors qu’ils versent une larme. L’homme reprit sa conversation en lui glissant un compliment accompagné d’un clin d’oeil. Elle ne peut s’empêcher d’avoir un rire amusé.

- Remarquez, il n’est pas toujours nécessaire de faire de lointain voyage pour voir de belles choses. Je n’ai fait que sortir de chez moi et je suis tombé sur vous, preuve que le beau n’est pas si loin que ça.

Il fallait bien l’avouer, la jeune femme n’était pas insensible aux charmes de son sauveur. Il était non seulement gentil mais aussi très bel homme. C’est suffisant pour être attiré non ?

Tiens tiens! Il s'était attendu à ce que la jeune fille rougisse et réfute son affirmation. au lieu de ça elle souriait et lui renvoyais son compliment. Bleiz vis là un coup à jouer.

Il appela le patron de l'auberge et demanda un pichet de vin. Il se tourna à nouveau vers Kyoko et lui refit un autre clin d'oeil.

Et sinon il me reste deux question à vous poser. Qu'étiez vous sorti faire ? Et dans combien de temps devez vous êtres rentrées ?

Il prononça ses dernières phrases en frôlant légerement le dessus de sa main.

Kyoko vit que Bleiz commanda un pichet de vin. Une fois chose faite elle eut droit à un nouveau clin d’œil. Chose qui fit sourire de plus belle la jeune femme.

Et puis il lui posa deux questions, la première lui sembla un peu étrange, avait il l’intention de l’aider dans son travail ? Elle senti sa main se faire frôler par celle de Bleiz. Elle ne la retira pas le moins du monde et répondit à ses questions comprenant le sous-entendu évident, qu’elle n’avait pas l’intention de contrer.

- Et bien, je suis venue faire le marché pour mon maître, je dois rentrer avant la nuit. Comprenez, mon maître pense que lorsque le soleil se couche les rues deviennent trop dangereuses pour nous.

Il faut dire que dans la journée les rues sont tellement plus sûres…

L'après-midi commençais tout juste, la nuit ne tomberai pas avant de nombreuses heures.

Avant le nuit ? Mais vous avez tout votre temps alors.

Il tendis sa jambe et frôla la sienne en plongeant son regard dans le sien. Ses caresses sur sa main commencèrent à remonter vers son bras.

Que diriez vous dans ce cas d'aller prendre un derniers verre dans un endroit plus tranquille

Il fit un signe à l'aubergiste qui compris tout de suite et lança la clef d'une chambre et il se leva prêt à accompagner la belle en direction de la chambre.

Certes, elle avait du temps devant elle. L’envoyer faire les courses pendant le restant de l’après midi était une façon comme une autre pour le Sieur Despia d’avoir la paix dans son manoir. Ce qu’elle faisait réellement de ce temps lui importait peu. C’est donc sans aucune frayeur qu’elle accueilli la proposition de son hôte.

- Dans un coin tranquille…évidemment, j’en serais ravie.

Il eut droit à un sourire des plus engageant et elle se leva à son tour. Kyoko se raccrocha à lui comme plus tôt mais en étant, tout de même, bien plus proche.

- Je vous suis Bleiz !

Il la fit monter les escaliers devant lui, en profitant pour observer les courbes sensuelles de son corps ainsi que sa queue animal.

Arrivé en haut des escaliers il ouvrit une chambre du couloir. La chambre était assez simple mais bien décorée. La fenêtre donnait vus au delà des bas-fonds et permettait même de voir le marché. Le lit était bien spacieux et semblait confortable. Sur une table à coté reposais une autre bouteille de vin et deux verres que l'aubergiste prévoyant avait déposé juste après qu'il lui ai donné la clef.

Bleiz invita Kyoko à entrer. Il déposa son manteau sur un crochet et ce retrouva en chemise sans manches devant elle. Il s'assit sur le lit et prit la bouteille de vin.

Assiez toi kyoko. Fait comme chez toi dit-il abandonnant le tutoiement.