Balade en mer [PV Lili Ivanes]

La façon dont j'utilisais sa bouche laissait penser qu'elle ne servait à rien d'autre que ça, s'engouffrant profondément dans sa gorge jusqu'à en occupé la moindre parcelle, à ce moment elle n'aurait pas réussit à respirer même si nous étions en dehors de l'eau. Les parois de sa gorge serrer ne laissait pas beaucoup de place aux vas et viens, en contrepartie la sensation était bien plus stimulante pour moi qu'ont aurait pu le penser et je sentais sa langue glissait sur une partit de l'imposant membre.

Un peu ce courage, c'est bientôt terminé

Dans un autre contexte cette phrase aurait pu être rassurante mais là elle ne terminé en rien le calvaire de la pauvre petite Lili qui était il fallait le dire terrorisée. Mon pénis continuait à s'enfoncer dans sa gorge, au plus profondément possible à l'aide de violents coups de reins, sans même me soucier une seconde de ce qu'elle pourrait ressentir, elle était entre mes mains une véritable marionnette vivant pour mon seul plaisir. Mais il fallait faire vite, l'épuisement était bien présent et le manque d'air se faisait urgent.

Gémissant, criant de plaisir, mes mouvements allaient au plus vite qu'ils le pouvaient et je sentais mon bas ventre se réchauffer ça allait venir, encore un peu, juste un peu... mais il fallait que je me dépêche je ne pouvais pas faire marche arrière. Oui il fallait que je fasse au plus vite, Lili suffoquait vraiment mais il n'était pas question pour autant qu'elle s'évanouisse avant que je ne finisse.

D'ailleurs ce moment arriva vite d'une part parce que l'excitation touchait à son comble mais aussi parce que je savais que si je ne le faisais pas vite elle mourrait noyé.

Hum !! oui, ça vient... je vais te remplir...

Un cri de plaisir plus grand que les précédant surgit avant de sentir un bien être m'envahir... quelque seconde plus tard je commençais à éjaculer dans sa gorge, lui faisant comprendre le sens du mot remplir...

En effet j'en noyait sa gorge d'une quantités qui aurait pu écoeurer n'importe qui, bien que quelque chose me disais que cela ne devait pas tant lui déplaire au fond. Pendant de longue seconde je remplissait sa gorge ainsi, sans lui laisser aucun répit, donnant l'impression que cela ne s'arreterais jamais et que je serais capable d'en déverser encore et encore des litres... mais heureusement pour elle je n'étais pas capable d'en déverser autant et les dernières gouttes coulaient en elle.

Reprenant doucement mon souffle mes mains se posaient sur ses joues déformer par le membres encore présent en elle.

Si tu en recrache ne serais qu'une seule petite goutte... je te garde avec moi et te ferais subir tout ce que tu viens de vivre pendant encore des heures et des heures...

Je pris évidement un malin plaisir à la terroriser mais aussi à ne pas retirer mon membres tout de suite, le laissant à l'intérieur de sa gorge jusqu'à ce qu'elle est le temps de tout avaler, mais aussi jusqu'à ce qu'elle soit totalement épuisé du manque d'air...

Mon but était simple, lui laisser croire que je la laisserait mourir maintenant que je m'étais bien amusé avec elle, et la voir ainsi dans le désespoir m'amusait terriblement... Je continuais d'ailleurs jusqu'à ce qu'elle atteigne ses limite, et ce n'est qu'à ce moment que le long pénis qui avait perdu un peu de sa taille glissa en dehors de sa gorge, jusqu'à enfin quitter l'extrémité de ses lèvres.

Le calvaire allait désormais se terminer pour la jeune Lili, mon membre disparut complètement et sans perdre un instant je remonta vers la surface, avec son corps dans mon bras que je déposa immédiatement à l'intérieur de son bateau. Ses mains étaient toujours attaché derrière son dos...

Quant à moi je ne repartie pas tout de suite dans l'océan, je montais à mon tours sur le bateau et m'assit à côté de Lili en attendant patiemment qu'elle reprenne ses esprits... après tout ce temps passé sous l'eau sans pouvoir broncher elle devait surement en avoir des choses à dire...et j'étais curieuse de voir sa réaction maintenant qu'elle était à l'air libre.

Sa verge entière continue de racler ma gorge en profondeur, je peux sentir ces veines palpiter contre les parois de ma gorge quand elle s'enfonce jusqu'à la garde, ma mâchoire me fait toujours un mal de chien et je parle même pas de ma gorge qui me brule sous ces vas et viens brutaux.
Je l'entends me dire d'être courageuse, que c'est bientôt terminé.
Je n'attends que ça, que ça se termine le plus vite possible et qu'elle me remonte enfin à la surface, mais est-elle vraiment honnête ou me dit-elle ça pour que je garde espoirs et que je continue à assouvir ces désirs?
Allez savoir, mais ce que je sais, c'est que je me sent faiblir de secondes en secondes et cette sadique de sirène doit le sentir puisque me tenant toujours la tête fermement, elle accélère la cadence de ces vas et viens.
Ma gorge chauffe encore plus, ma poitrine me brule alors que je ne peut pas recracher le gaz carbonique qui est dans mes poumons, je commence vraiment à suffoquer, ma poitrine est prise de convulsions de plus en plus brutaux, je tire sur le lien qui entrave mes poignets à m'en faire mal, je commence vraiment à paniquer et me demande si cette fois elle vas me redonner de l'air à temps.

Je l'entends me dire que sa viens et qu'elle vas me remplir.
Elle fait encore quelques rapide vas et viens avant de s'enfoncer jusqu'à la garde, écrasant mon petit nez contre son bas ventre.
Je sent alors sa queue palpiter, puis tressauter et prendre encore un peut plus d’ampleur dans ma gorge avant de sentir de puissantes et abondantes giclées de foutre chaud, épais et gluant éclabousser ma trachée et remplir mon estomac alors qu'elle pousse un grand cris de plaisir qui doit s'entendre dans tout l'océan.
Alors qu'elle m'avait prévenue qu'elle allait me remplir, je ne pensais pas que c'était au vrai sens du terme, les hommes et autres créatures mâles aimant bien sortir cette phrase avant de jouir ne déverse en générale qu'une certaine quantité, même abondante elle est loin de pouvoir vraiment remplir quelqu'un.
Mais avec cette sirène c'est différant, j'ai l'impression qu'elle ne s'arrête plus, lâchant durant de longues secondes de grosse salve de sperme directement dans mon estomac à chaque fois que sont membre tressaute.
Ci bien que quand enfin son braquemart est pris de dernier soubresaut, j'ai l'estomac lourd, distendu, comme si j'avais vraiment trop mangé.

Ma poitrine me brulant toujours et gardant espoir qu'elle me libère dans les prochaines secondes comme elle me l'avait dit, je tente de reculer ma tête mais ce n'est pas ce qu'elle veut visiblement puisqu'elle retiens ma tête avant de venir poser ces mains sur mes joues.
Puis elle me dit en reprenant son souffle, sa grosse verge entravant toujours ma gorge, que si je recrache ne serait ce qu'une seule petite goute de son sperme, elle me garderait avec elle et me ferais subir à nouveau tout ce que je viens de vivre pendant encore des heures et des heures.
Levant mon regard pour croiser le sien, celui ci l'implorant d'arrêter.
Je la vois sourire, un sourire sadique avant que mes yeux commence à se révulser, prise de spasmes violents, je me sent mourir, perdre conscience.
Juste avant de perdre vraiment connaissance, je sent sont membre sortir de ma gorge puis sombrer dans le chaos.

Je ne sais combien de temps je suis resté inconsciente, mais je me réveille en sursaut comme si je venait de faire un affreux cauchemars, toussant et recrachant de l'eau, je respire à nouveau, ma poitrine me fait encore mal, je suis allongé, j'ouvrent doucement les yeux et vois le ciel bleu ainsi que le soleil qui m'éblouis.
J'ai encore les mains attaché, mais au moins je suis à la surface, respirant profondément, je sent des renvoies remonter le long de ma gorge, je les retiens jusqu'au moment au ou c'est trop, vomissant la crème pâteuse que la sirène à déverser dans mon estomac. Du fait d'être allongé, le premiers renvois de sperme me recouvre le visage et s’étale jusque dans ma chevelure, levant la tête, le deuxième et les autres renvoies s'étale sur ma poitrine, mon ventre, mon entre jambe et une partie de mes jambes, je me sent sale, maculer de ce foutre gluant et collant, mais je ne pouvais pas le garder, je sent qu'il en reste mais le trop plein à été éjecté.
J'ouvre à nouveau les yeux et vois que ma tortionnaire est en face de moi assise, elle me regarde en souriant.

Mais... Mais pourquoi tu m'as fait ça? Pourquoi tu m'as fait souffrir comme ça? Je ne t'ai rien fait? Détache moi maintenant!!!

Je lui demande sur un ton quelques peu rageur.

Quel spectacle humiliant... voila qu'à présent elle rejetait tout ce qu'elle venait d'avaler en se vomissant dessus, je lui avait pourtant dit que si jamais elle recrachait ne serait-ce qu'une seule goute ce serait loin d'être fini pour elle... heureusement pour la jeune fille j'en avais eu assez pour aujourd'hui et je comptais la relâcher pour de bon.

Regarde moi ça c'est dégoutant... rien que pour cette vision que tu viens de m'offrir je devrais te punir... mais tu as de la chance, je commence à me lasser de toi à force.

La pauvre jeune fille était de toute façon essoufflée, épuisée, jamais elle ne pourrait continuer à en subir plus sans devenir complètement folle, elle en avait déjà beaucoup trop subit. Son regard foudroyant avait beaucoup de mal à cacher son sentiment de peur encore présent.

Mais... Mais pourquoi tu m'as fait ça? Pourquoi tu m'as fait souffrir comme ça? Je ne t'ai rien fait? Détache moi maintenant!!!

Depuis quand on a besoin d'une raison pour s'amuser ? Tu es juste passé au mauvais endroit au mauvais moment et j'en ai profité... rien de plus, et à ta place je me calmerais un peu... si tu continue à m'agacer tu va retourner faire pleins de jolies petites bulles...

Lentement je la détachais, je n'avais plus aucune raison de la retenir captif désormais, puis en la voyant penché ainsi je ne pouvais m'empêcher de me moquer de son sort... c'était plus fort que moi.

Alors... comment vont tes fesses ma petite Lili ? Je te proposerais bien un peu de pommade... mais je n'en ait pas tu vois !

C'était là mes dernière parole à son égard avant de lui balancer les rames en pleines figure et repartir au fond des océans sans qu'elle ne puisse recevoir plus de réponse à ses questions... il n-y en avait de toute façon aucun, elle n'avait été pour moi qu'une distraction parmi tant d'autre, un jouet que l'ont laisse de côté une fois qu'il ne nous amuse plus, alors y avait-il vraiment besoin de faire tout un discours sur ce qui venait de se passer ? Néanmoins avant de me jeter à l'eau je pris le temps de lui adresser une dernière fois la parole... ce n'est pas parce qu'elle avait le droit de repartir désormais que je ne devais pas m'amuser encore un tout petit peu...

J'y pense... tu va devoir rentrer chez toi toute nue, je garde tout tes sous-vêtements comme trophée... tout simplement parce que ça va terriblement m'amuser de penser à tout ces regards posés sur toi dans la rue... j'en rigole d'avance.

Plongeant en arrière d'un bond gracieux, je regagnais l'eau qui était mon milieu naturelle, cette histoire était maintenant terminée alors que le soleil se couchait lentement pour offrir un de ces ciels de couleurs orangé et somptueux.

Et surtout fait bien attention lorsque tu remet les pieds sur la plage la prochaine fois... sache que je guette toujours au fond de l'eau, jamais très loin ma petite Lili...

M'éloignant de la petite barque, je regagnais le large vers un repos bien mérité car mine de rien, j'étais moi aussi épuisée de m'être autant divertie.