Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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"Vous êtes libéré de prison.. sans passer par la case départ."[Gwynedd]

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Anthéa

Libre. Après un nombre incalculable de mois, d’années enfin libre. Le succube ne fint pas l’éclat de rire quand enfin ce maudit sorcier rendit l’âme. D’un mouvement sec elle le fit basculer sur le coté tandis que toute la maison semblait être secouée par un tremblement de terre. Mort le sort qui gardait le démon emprisonné sous son pouvoir disparaissait. Sur ses jambes Anthéa  jeta un dernier coup d’œil méprisant à la carcasse encore tiède avant de tourner le dos définitivement à celui qui avait été son maître. Rapidement la créature fit le tour de la bâtisse qui s’avérait être un endroit arrangé avec goût. Chaque pièce recelait des meubles massifs et ouvragés, une bibliothèque aux étagères blindées de livres en tout genre, une chambre à coucher avec un lit immense. Ce salaud aurait pu lui en faire profiter au lieu de la sauter à même le sol depuis des lustres… Il avait bien fait de crever celui-là tout compte fait, elle y avait peut être été pour quelque chose puisqu’elle lui pompait toujours autant d’énergie sans prendre en compte la faiblesse due à la vieillesse.
Elle haussa les épaules puis se fournit dans l’armoire du défunt. Une chemise blanche, un pantalon de toile noire… pas de chaussures. Bon, elle se contenterai de ne pas sortir complètement nue dans la rue. Il fallait partir au plus vite, sa survie en dépendait. Elle coiffa sa longue chevelure et sorti de la maison sans un seul regard en arrière.


Une fois dehors elle fut frappée par l’abondance.  C’était tentant, trop de chair, trop d’humains, trop d’opportunités… La faim la taraudait tellement qu’à peine éloignée d’une dizaine de mètres de la maison elle jetait son dévolu sur un grand brun aux allures d’agent de change. Il était si facile de l’attirer dans son giron. Il suivit hypnotisé par la voix de la dévoreuse jusqu’à la maison de son défunt maître. Là, elle l’entraîna jusqu’à la chambre ou il put lui donner ce qu’elle convoitait. Une fois repue et lui épuisé elle se rhabillait satisfaite d’avoir enfin connu autre chose que le sorcier. Le laissant ronfler dans le plumard Anthéa  repartit guillerette. Etant rassasiée pour un temps elle pouvait parcourir les rues sans avoir à attirer les regards et les convoitises.

D’un pas léger le succube s’amusait à voir le monde autour de lui. Une ville grouillant d’hommes et de femmes, autant de partenaires potentiels, une réserve vitale qui paraissait presque inépuisable. Il fallait en choisir un ou une et là Anthéa se trouvait confrontée à trop de choix. Pendant des années elle avait tiré son essence vitale d’un seul homme, après son premier casse-croûte son réflexe était de s’en choisir un nouveau dans la perspective de le garder un certain temps. En plus il lui fournirait un gîte, hors de question pour Anthéa de ne pas dormir à l’abri même sur le sol mais  dans le confort d’une maison. Elle souriait en pensant à sa nouvelle vie, à cette liberté enfin elle allait en profiter et se régaler.


Mais une chose pourtant se révéla à elle. Les gens regardaient ses pieds. Elle marchait pieds nus. Quand elle en eut assez de se faire remarquer à cause de ça elle passa son bras à la première greluche qui pouvait chausser la même taille à sa portée tout en soufflant doucement quelques mots gentils à son oreille. Déjà pour la rassurer et pour permettre à son charme d’opérer pour qu’elle la suive bien docilement à l’écart ou elle pourrait la détrousser.


« Bonjour mademoiselle, vous pouvez m’aider sûrement, vous êtes si bonne, je me suis perdue, vous pouvez me venir en aide n’est ce pas ? »

Du succube émanait une aura de désir  de confiance, de chaleur humaine à laquelle il était difficile de résister. Une fois suffisamment à l’écart dans une ruelle Anthéa  renifla comme une erreur. Elle se mettait donc en face de sa victime en fronçant les sourcils.  Mais à ce moment là seules les chaussures l’intéressaient le reste passait au second plan.

« J’ai perdu mes chaussures, vous me donnez les vôtres. » Intimait le démon de but en blanc. Le regard vert vissé dans celui de la jeune personne qu’elle dominait d’une bonne tête. La main toujours solidement refermée sur le bras, un sourire enjôleur aux lèvres elle attendait d’obtenir ce qu’elle voulait.

Gwynedd

Gwynedd avait finit son travail pour la semaine, il faut dire que le jeune homme avait toujours de l'avance sur ces devoirs, ce qui n'était pas le cas de bien des camarades de sa classe, c'est d'ailleurs en partie pour cela que la classe ne l'apprécie pas du tout, mais il est depuis un moment habitué à se méprit qu'il prenait pour de l'envie. Comme il ne faisait pas bien chaud, il prit le temps de se doucher et de faire tout ces petites combines pour mettre en avant son côté féminin. Une personne frappa à la salle de bain.

-Tu n'as pas un rendez-vous à 16 heure

On entendit un juron, comme quoi il avait tous de même un léger travaille à fournir sur la différence de réaction entre un homme et une femme, il finit sa toilette en trente minute, montre volée en main, enfila un haut blanc, avec par dessus une robe, quand aux sous-vêtements il hésita un moment et prit une culotte, preuve que son travestissement n'est pas fait à moitié, il se mit un ruban vert pomme dans les cheveux pour ce faire une petite queue de cheval, un peu de fantaisie n'a jamais tué.

- Bon j'y vais, n'oublie pas de laisser la fenêtre ouverte aux cas où.
- ok mais si j'attrape la grippe tu devras aller prendre ta douche avec les filles.

Gwynedd avala sa salive, car même pour lui ... surtout pour lui, se faire prendre dans les douches des filles signifiait subir leurs colères et ce n'est pas une partie de plaisir ... enfin ça dépend de la fille.

Il prit une veste blanche, juste pour se protéger de la pluie au cas où ce dernier venait à tomber.

Il se mit à courir vers un restaurant, quand une drôle de femme vint l'accoster, le pouvoir de Anthéa ne fit que se coupler à l'altruisme du travesti qui n'eut plus assez de faculté de penser pour poser des questions ou même se méfier. Mais il avait toujours du mal à parler de part son manque de participation oral en classe.

- B ... Bien sur ! Je peut vous aider en ...

Il n'eut même pas le temps de finir que la succube qu'il connaissait très bien, c'était celui où on avait recensée le plus grand nombre de viol ou tentative de vol dans le coins "calme" de Seikusu. Il était donc rien de plus normal de voir tout le monde fuir cet endroit comme la peste, chose qui allait servir à Anthéa, c'était que personne n'oserait venir aider le pauvre jeune homme des griffe de la demoiselle, même si par un caprice la succube en viendrait à le tuer, d'ailleurs les policiers classes souvent les meurtre dans cette rue comme "sans suite." Pratique non ?

« J’ai perdu mes chaussures, vous me donnez les vôtres. »

C'est à ce moment précis que Gwynedd comprit que cette personne était dangereuse, comme tout autre personne le serait en entravant une possible fuite et en disant d'un ton peu amical sa demande, mais le jeune homme n'était pas un bagarreur et puis à quoi bon taper une personne qui serait capable de vous clouez contre le mur les bras pendant à dix centimètre du sol, aussi se montra-t-il compréhensif.

- Tant que vous n'agressez personne d'autre pour ça, cela me convient.

Il avait parlé d'une voix détendue et féminine, il était habitué à se faire chahuter, dans ce cas là, seul le lieux et la demande changeait, mais rien de plus. De sa seul main disponible, il retira ces chaussure de lycéenne et les tendit à Anthéa, restait à savoir si elle allait en rester là ou pas.
« Modifié: mercredi 31 mars 2010, 15:45:07 par Gwynedd »

Anthéa

Bien habituée à obtenir ce qu’elle désirait la démone parue toutefois un peu surprise par l’empressement détaché de cette jeune personne à lui donner les chaussures. C’était décevant quelque part de ne pas avoir à lutter pour ça.

Sa main sur le poignet  se détendit. Qu’est ce que c’était que cet énergumène ? Ignorant la paire de ballerines le succube s’approchait plus près et se mit à renifler Gwynedd. Après l’odeur de savon, u parfum plus familier parvenait jusqu’à elle. Comment est-ce que le succube avait pu se faire gruger par un artifice si minable ? Elle n’avait pas songé qu’un mâle puisse se déguiser en fille, et la motivation pour le faire lui échappait totalement si bien que sa curiosité l’emporta un instant sur le reste.

Son visage frôlait celui du jeune garçon, reniflant humant son odeur avec délectation.  Elle le dévorait des yeux, cherchant  à comprendre, à analyser ce phénomène. Mais ce faisant le succube dégageait de nouveau une aura grandissante. Excitée par la curiosité Anthéa plaquait presque le garçon contre le mur comme pour attendre une réaction.
Puis elle fit un geste, juste pour savoir, juste pour vérifier, juste pour s’amuser. Sa main libre alla se glisser sous la jupe pour aller tâter l’entre jambe et y trouver l’attribut qui prouvait la nature de l’humain.

« Mais on est cachottier à ce que je vois.. »

Susurrait-elle lentement tout en laissant sa main sur l’endroit. Elle brûlait d’envie de savoir pourquoi cet humain se travestissait, la question ne tarda pas en effet et poussée par sa nature Anthéa commençait une discrète stimulation tout en attendant la réponse.

« Un garçon habillé en fille, tu peux m’expliquer ? » 

Gwynedd

Gwynedd avait du mal à voir le visage de la demoiselle, sa vue étant défectueuse aux objets trop près. Il restait calme, il savait ce qui risquait de lui arriver si la personne en face était un tueur en série. Le travesti tenta de s'occuper un peu l'esprit, jusqu'au moment où la succube se mit à renifler la peau du jeune homme, il se demanda même s'il avait oublié de se laver avec le savon de lavande, mais après mur réflexion il l'avait fait, alors pourquoi cette femme reniflait vec autant d'insistance.

Quand Anthéa s'approcha davantage du travestit se dernier ne fut plus en condition pour pouvoir tenter une fuite, il ne pouvait pas bouger craignant d'une certaine manière pour sa vie, c'est bizarre, vouloir de temps à autres mettre fin à sa vie et pourtant ne pas laisser les autres faire de même avec votre vie.

Puis Gwynedd poussa un cris de surprise avec un sursaut en sentant la main chaude et la succube sur son membre qui réagissait déjà au pouvoir de la demoiselle et ce n'était pas finit, aussi tenta-t-il de se défaire de l'emprise de Anthéa, mais il était clair qu'il était en position de faiblesse et la "stimulation" de la succube fit pousser un petit gémissement de la part du travesti, il faut dire que personne n'avait fait ce que la succube avait en tête.

« Un garçon habillé en fille, tu peux m’expliquer ? » 

Il se demanda à cet instant s'il devait dire la vérité ou non des deux côté il se fera raillé, mais il semblait que la succube s'impatiente et augmente sa prise sur le membre du jeune homme.

- C'est pour ... C'est pour mieux comprendre le monde ... avoir un autre point de vue.

Il se tut car il ne voulait pas en dire davantage, c'était déjà assez gênant de se faire coller contre le mur par une personne, alors si en plus il avait une vue plongeant sur sa poitrine, je ne vous dis pas comment il rougissait. Comme quoi les livres ne servent qu'à la théorie.

Anthéa

Un autre point de vue... Intéressant. La succube parue un instant captivée par ce que le jeune travesti venait de lui dire.
Un autre point de vue...
Il cherchait à comprendre la nature des femelles sans doute, mais les motivations qui le poussait à le faire lui semblaient un peu obscures. Cela ne l'empêchait pas de rester tout près du jeune homme déguisé, sa main se faisant plus douce elle stimulait le membre viril sans se lasser des effets que cela provoquait sur lui.

Le désir grandissait, la démone irradiait de son pouvoir. Sa voix se fit plus douce, son regard enjôleur.


"Ce que tu ressens en tant que mâle ne te satisfait pas ?"

La question n'avait rien de moqueur ou de méprisant. Anthéa brulait de comprendre. C'était en comprenant la nature humaine qu'elle serait susceptible de mieux la contrôler. Là elle se radoucissait sans pour autant lâcher son emprise. Son visage si proche du joli minois de Gwynedd Anthéa déposa un fin baiser sur une de ses pommettes rougies.  Sa main agile se glissa à l'intérieur de la culotte pour se saisir du fourreau épais qu'elle manipulait plus ardemment.

"Alors ? N'est ce pas agréable ?"


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