Un mauvais tour ! [PV]

Aëris avait passé sa journée à voler dans la forêt comme à son habitude. Elle était assez contente d’elle. Elle avait réussi à faire en sorte que toute une famille se perde. Elle entendait encore les pleures des enfants. Quels sales gosses ! Son plaisir avait été gâché quand ils avaient finalement réussi à sortir de la forêt mais ils avaient dû y passer la journée. Ah décidément, jouer les pestes avec les humains, elle adorait ça ! Ça la mettait toujours en joie. Elle les détestait tant.

Le soir tombait à présent, elle allait bientôt pouvoir prendre sa forme originelle. Mais elle devait attendre que la nuit soit totale. C’est à ce moment là, qu’elle emmagasinait un maximum d’énergie. Et elle en avait besoin. Elle avait du utiliser son pouvoir de télékinésie pour envoyer un garde forestier à l’autre bout de la forêt, il aidait un peu trop les gens. Elle se demandait où il pouvait être à présent. Elle haussa les épaules. Le feu follet s’en fichait.

Elle alla jusqu’à la rivière. Malgré son statut de créature, elle devait quand même manger et boire. Mais la quantité comme la fréquence de ses repas différaient de ceux des humains. Elle ne mangeait qu’une fois tous les deux ou trois jours là où les humains doivent le faire trois fois par jour. C’était la même chose pour l’eau.

Arrivée à la rivière, elle prit sa forme humaine version grande taille soit 1,55 m. Elle la trouvait plus pratique pour boire. Sa version lilliputienne risquait de se noyer. Elle s’agenouilla au bord de l’eau et utilisant sa main comme une coupe, elle s’abreuva.

Elle vit à quelques mètres d’elle, un chapeau. Quel drôle de truc ! Les humains portaient toujours des choses bizarres à commencer par les vêtements. Elle n’en portait aucun. Aëris n’en avait pas besoin, la lumière qu’elle produisait lui tenait suffisamment chaud pour qu’elle s’en passe. Elle ne portait aucuns bijoux ou autres quolifichets. Ses seuls ornements étaient ses délicates ailes de libellules transparentes aux reflets bleu-vert.

Elle regarda le ciel. Il était encore paré de rouge-orange. Il faudrait une bonne heure encore avant que la nuit soit totale. Elle soupira et se pencha à nouveau sur le cours d’eau pour boire.

    Aaaah la chasse à l'ours ! Rien de mieux que de tuer du poilu pour décompresser ! Il suffit d'avoir les ingrédients, c'est à dire un chapeau de chasseur, une carabine de gros calibre pouvant blesser voire tuer la bête, une bonne vieille hache pour le combat au corps à corps s'il devait avoir lieu, et du mieil en quantité pour attirer le monstre. Le vieux Thorfin avait fait tranquillement ses courses, enfin il possédait déjà les armes et n'avait eu qu'à voler une grande quantité de miel.


     Le géant était venu tôt dans la mâtiné dans le sous bois des alentours de la ville de Seikusu espérant trouver comme un idiot des ours environnant la ville. Il n'y avait aucun animal de la sorte au japon, et surtout pas assez près d'un zone urbaine mais l'intelligence n'était pas ce qui frappait chez Thorfin, si ce n'est par son absence. Après une longue journée à balancer à tout va des litres de miel et à tirer sur de petits oiseaux en vain.


    Rageant de son échec il avait finalement découvert une petite rivière où il s'était abreuvé, puis avait décidé de se cacher dans les buissons en attendant qu'un animal vienne se désaltérer ou même qu'un ours brun viennent pêcher dans ce cours d'eau. Sa bêtise lui fit oublier son chapeau sur la rive, puis le géant s'endormit dominé par l'ennui.


    En se réveillant, il aperçut devant lui, à quelques mètres une jeune fille nue penchée sur les flots. Ne sachant pas s'il était encore dans son rêve, et sans même se le demander, il se déshabilla libérant son corps et les plis des graisses, mais surtout son immonde et énorme sexe. Laissant se diffuser une odeur nauséabonde autour de lui, il accourra vers la petite en tenue d'Ève.


   Elle était étrange, elle possédait des ailes transparentes, mais une lumière vive et chaude émanait d'elle. Sans se poser de question, et n'ayant d'oeil que pour le corps de la fée, il l'attrapa sans qu'elle n'ait eu le temps de s'enfuir et la plaqua sur le ventre au sol. Alors qu'elle était étendue par terre, il s'allongea carrément sur elle, colla son gros sexe sur ses petites fesses et s'exclama :


"Mais qu'est ce qu'une petite fille mignonne comme toi fabriques ici?

En tout cas, on va bien s'amuser, guhhuhuhu !"

Alors qu’elle allait se relever une main l’empoigna. Elle cria, en vain. Aëris ne comprenait pas ce qui se passait, ni ce qui lui arrivait. Tout à coup, elle se retrouva face contre terre et sentit un poids énorme peser sur elle. Elle entendit un rire énorme au-dessus d’elle.

« Mais qu'est ce qu'une petite fille mignonne comme toi fabriques ici ? En tout cas, on va bien s'amuser, guhhuhuhu ! »

Un homme l’avait plaqué au sol. Il empestait, c’était horrible ! Elle avait envie de vomir. Elle se tortilla pour tenter de se dégager mais il ne fallait pas rêver. Il pesait beaucoup trop lourd. Elle avait l’impression qu’elle allait étouffée.

Elle sentait qu’il était nu sur elle. Ce détail la frappa. Les êtres humains s’habillaient toujours pourquoi celui-ci était-il nu ?

Elle aurait bien voulu l’envoyer valser à l’autre bout de la forêt mais elle avait déjà utilisé son pouvoir. Impossible de recommencer avant demain, au moins, et dans la mesure où elle arriverait à emmagasiner assez d’énergie ce qui était très mal parti. Elle ne pouvait pas non plus se transformer. Si elle prenait le risque de changer d’apparence, elle craignait de se faire écraser. Elle était coincée. Elle ne pouvait pas bouger et ne pouvait pas non plus s’enfuir. Cela la mit dans une rage noire mais une colère impuissante.

« Bougez-vous de là espèce de vieux bouc ! Laissez-moi partir ou vous  le regretterez ! Vous m’étouffez ! Dégagez de là ! »

Crier et pester étaient les seules choses qu’elle pouvait faire face à la masse de chair et de graisse qui la surplombait.

   Thorfin rigolait. Il hurlait d'un rire pervers et satisfait en donnant des coups de reins sur les fesses de la petite Aeris, collant son gros sexe sur son doux arrière-train. Les effets se faisaient sentir, son pénis se gonflait prodigieusement, devenant rouge, et parcouru de larges veines mauves : il se dressait fièrement, se frottant aux fesses de la jolie fée.


    Sans que le géant ne se demanda ce que c'était que ces ailes transparentes qui s'étalaient dans le dos d'Aëris, il maintenant la petite fille au sol. Le vieux barbare commença alors à caresser doucement, mais sans délicatesse son dos et ses cheveux avec ses grosses pattes rugueuses.


« Bougez-vous de là espèce de vieux bouc ! Laissez-moi partir ou vous  le regretterez ! Vous m’étouffez ! Dégagez de là ! »


   Thorfin grogna à ce mot, et donna une grande claque sur les fesses de la petite d'un air rageur.



"Petite salope, t'vas voir ce qu'vais te mettre, et t'y pourras rien faire ! Guhuuhuuhu.."


   Gueula-t-il avant de lâcher un rire glauque en s'imaginant les ignominie qu'il allait faire à la l'être féérique. Il ramena une main à son sexe, maintenant parfaitement dur, et lorsqu'il l'eut en main, écarter les fesses de la fée pour découvrir son intimité, cachée sous les fesses et son anus. Après quelques tentatives vaines pour l'enfoncer dans le vagin de la fée, tellement son sexe était imposant comparé au corps enfantin d'Aëris, il donna un grand cou de bassin et la pénétra de tout le long de sa verge


AarrH...

« Aïe ! »

Le géant lui avait donné une fessée magistrale. Ses fesses blanches et délicates n’avaient pas du tout appréciés le traitement. Elle non plus.
 
« Petite salope, t'vas voir ce qu'vais te mettre, et t'y pourras rien faire ! Guhuuhuuhu... »

Cette phrase ne lui disait rien qui vaille. La peur succéda à la colère. Une peur qui s’amplifia en entendant le rire malsain de l’homme vautré sur elle. Elle sentait quelque chose d’énorme et dur contre ses fesses. Elle gigotait de plus en plus dans une tentative désespérée de s’enfuir.
 
L’homme lui écarta les fesses et tenta d’introduire la chose énorme en elle. Aëris ne savait pas ce qu’il voulait faire. Le sexe lui était inconnu. Cette forme humaine n’était pas sa forme réelle. Par conséquent, elle ne connaissait rien à ce corps. Il tenta plusieurs fois d’introduire son membre mais la taille était disproportionnée par rapport à son sexe.
 
Finalement, sans autre forme de délicatesse, Thorfin la pénétra brutalement, d’un seul coup. Aëris hurla. Elle n’avait jamais connue une douleur pareille. La fée avait l’impression qu’il lui déchirait le corps en deux. Elle souffrait le martyr mais l’homme, lui, semblait apprécier. Le feu follet laboura la terre avec ses ongles cherchant à s’agripper à quelque chose pour se soustraire à cette torture. Les larmes avaient inondé ses beaux yeux. Mais l’homme était trop fort, trop lourd pour elle.

    Ah, la sentir se débattre, crier en vain, quel bonheur ! Savoir qu'elle ne pouvait rien faire, qu'elle est totalement à sa disposition, à son bon vouloir. L'intérieur était serré, trop serré, c'était surement une novice, Thorfin rigolait ravi de lui prendre sa virginité. Il donnait de gros coups de bassin, tel un porc, enfonçant son énorme sexe dans le petit vagin de la jolie petite fée.



    D'un coup il se retira, maintenant toujours la petite au sol puis la retourna. S'asseyant sur le torse de la petite il approcha son sexe de sa bouche, le tapotant sur son visage.


"Allez vas y suce la, ça va te plaire !"
 

  Il remuait son immonde sexe, énorme et puant, sur le visage angélique de l'être féérique. Ses grosses pattes touchait tout le corps de la belle, sa poitrine menues, son sexe malgré tout mouillé, sa peau fantastiquement douce. Son regard était fou, sa visage rouge, il haletait : il faisait vraiment peur.


    Enfin, s'impatientant et s'agaçant, il fit ouvrir la bouche à la petite grâce à ses doigts, et quand il y parvint, il enfonçant son sexe dedans. Il semblait trop gros pour elle, et elle devait ouvrir totalement la bouche pour le faire rentrer

Aëris hurlait de douleur sous les assauts de l’homme et de sa verge trop importante pour son propre sexe. Elle savait qu’elle saignait même si elle n’en connaissait pas la raison exacte. Elle pensait que la pénétration avait dû déchirer ses chaires. Cela n’était pas totalement inexact mais c’était surtout la rupture violente de son hymen qui avait provoqué le saignement.

Lorsqu’il se retira d’elle, la fée espéra que c’était terminé et qu’il allait la laisser s’en aller. Quelle erreur ! Il la bascula, dos au sol, et se rassit sur elle. Son sexe énorme juste devant son visage. Le feu follet tourna la tête autant qu’elle le pouvait pour échapper à son contact mais, là aussi, c’était peine perdue. Elle sentait le membre sur sa joue, près de sa bouche.

« Allez vas y suce la, ça va te plaire ! »

Quoi ? Mais qu’est-ce qu’il racontait ? Aëris n’avait aucune idée de ce qu’il voulait mais elle le comprit vite ou plutôt il le lui fit comprendre. Il réussit à lui ouvrir la bouche malgré ses tentatives pour le mordre et il engouffra son sexe dans la bouche de la fée. Elle eut l’impression qu’elle allait étouffer. La verge était une fois de plus trop importante pour la bouche de la fée. En plus de cette impression d’étouffement, sa bouche, les commissures de ses lèvres la faisait atrocement souffrir. Elle tenta de secouer la tête pour rejeter le membre du pirate mais elle n’y arrivait pas. Elle sentait en plus les grosses pattes de l’homme sur sa peau, sur ses seins. Cela lui faisait horreur et l’homme la terrifiait. Elle essaya de se soustraire une dernière fois du sexe de Thorfin en lui donnant un coup de dent.