Nous avons un probléme !

- Mais, Vivi ...

La femme jeta un regard noir à Ishtar, assise à l'autre bout de la longue table, face à elle. Depuis maintenant une demi-heure, Ishtar ne cessait d'être en désaccord avec la jeune femme, qui faisait des pieds et des mains pour convaincre Ishtar. Mais la jeune fille ne voulait rien entendre : elle voulait voir Bastet. Elle repoussa son assiette, boudeuse et légérement provocante, tandis que Vivi assenait un coup de poing magistral sur la table, faisant trembler chaque chose posée dessus. Ishtar recula, craintive, voyant que celle qu'elle considérait comme sa mère était en colère.

- Ishtar, je ne veux plus te voir ici ! tonna t'elle. Monte dans ta chambre, et restes-y jusqu'à nouvel ordre !

Son visage était tellement froncé qu'Ishtar n'insista pas. Mais elle garda cependant, au fond d'elle, une sensation d'injustice. C'était injuste qu'elle ne puisse pas voir Bastet, son chat, sous prétexte qu'il devait se reposer. Il avait eu un accident, et s'était cassé deux pattes : depuis, il était immobilisé dans sa pièce, sa chambre bien à lui, un endroit tout aménagé pour son confort. Ishtar se leva, jetant sa serviette sur la table, et sortit en claquant la porte. Elle ne comptait pas monter dans sa chambre, non, elle avait une toute autre idée en tête. Vivi, en cet instant, l'énervait au point qu'elle voulait tout faire pour la mettre en rogne. Elle grimpa dans sa chambre, fouilla dans son armoire pour en extirper un costume.

Celui de la célèbre Esmeralda. Elle eut un sourire heureux, et enfila cette robe [ http://images2.fanpop.com/images/photos/4300000/Dancing-Esmeralda-esmeralda-4390184-800-1136.jpg ]. Puis, sans réfléchir, elle ouvrit sa fenêtre et se jeta par dessus bord. Elle atterrit sur le muret de son jardin, et sauta de l'autre côté, dans la rue. Ah, Vivi ne voulait pas qu'elle aille dans les rues qu'elle nommait interdite à cause des fréquentations étranges ? Et bien elle irait, na ! Vite, elle courut vers ces endroits maudits. Vivi ne voulait pas qu'elle y aille, elle le savait, mais pour quelle raison , déjà ? Elle ne s'en souvenait plus. Elle se dirigea donc vers ses rues, d'un pas doux et calme, et se stoppa vivement en se souvenant.

Elle n'avait pas le droit d'y aller car c'était le terrain de prédilection des marchands d'esclaves. Elle eut un tressautement. C'était ici que Vivi s'était fait attraper par un homme étrange, et qu'elle s'en était sortie de justesse, se teignant les cheveux et changeant tout pour ne plus se faire attraper. La jeune fille jeta un oeil vers les rues, autour d'elle, et fit demi-tour, s'éloignant de cet endroit.

"Le" terrain de prédilection des esclavagistes était peut être un peu fort. le seul esclavagiste que Don connaisse pour l'instant a avoir accès a ce monde était lui. Et vu les précautions qu'il y prenait pour s'assurer l'exclusivité de l'endroit il serait très rapidement informé de la concurence et allait la torpiller avant qu'elle ne s'établisse...Mais ce soir Don ne se trouvait pas dans le quartier où se trouvait Ishtar mais devant une grande batisse. Derrière lui se trouvait une dizaine d'hommes qui portaient des feutres, ils faisaient partie de la mafia locale. Leur donner quelques filles soumises pour leur marché de proxénétisme donnait parfois ce genre de petits avantages. Il était là pour récupérer un du.

Il pleuvait dehors a grosse goute, Don portait un feutre et un imperméable, un large cigare dans la bouche et les mains gantées, tout comme ses hommes qu'il dominait de deux bonnes têtes. Le colosse se tourna vers les siens et il lança avec une voix de commandement

"Souvenez vous de la consigne : On se rend chef des lieux, une fois que c'est fait vous prenez la part de votre boss, mais vous me laissez la ou les filles que je demanderais. C'est clair ?"

Les mafieux hochèrent la tête alors que Don frappait trois lourds coups a la porte. Tombant nez a nez avec Vivi. Devant elle se trouvait un homme de deux mètres au teint bronzé et aux yeux noirs. Impossible que celle ci oublie qui il était.

"Bonsoir ma chère Vivi."

Fit il alors qu'il maintenait la porte ouverte et que les hommes entraient dans la riche demeure

"Je suis venu te récupérer."

Lança l'esclavagiste avec un sourire démoniaque

Le visage de Vivi : http://www.chiboard.com/index.php?t=47252


Vivi était encore énervée par toute cette agitation. C'était évident. Ishtar était une gamine insolente, et elle qui trouvait cela habituellement adorable sentait bien, cette fois, qu'elle était énervée. Elle ordonna, sur les nerfs, à tout ses serviteurs de tout ranger. Elle ne se sentait pas à l'aise, depuis peu, et savait bien que tout n'allait pas pour le mieux entre elle et Ishtar. La veille, elle lui avait demandé le nom de son père, et Vivi avait faillie s'étrangler. N'entendant aucune réponse, Ishtar ne lui avait pas parlé pendant plusieurs jours. Et elle savait bien qu'un jour, elle aurait des comptes à rendre à cette gamine. Mais pour le moment ... Elle poussa un long soupir et se dirigea vers sa chambre, changeant sa tenue. Elle adopta une longue robe noire avec des arabesques blanches brodées, et se fit un chignon à la hâte.

Et elle entendit sonner.

Et elle n'entendit aucun serviteurs ouvrir.

Elle descendit, rageuse, les escaliers, et ouvrit la porte. Un choc. Elle avait l'impression de recevoir un poids sur la poitrine. Elle ne recula cependant pas, et laissa les hommes entrer sans problème. De toute façon, il l'aurait retrouvée un jour ... Elle passa sa main sur son front, le visage inerte. Elle poussa un long soupir en entendant ses paroles, et fronça les sourcils.

- Tu te trompes, tu ne me reprendras pas. répondit-elle d'un ton cinglant.

Elle claqua des doigts, et deux serviteurs tremblants vinrent fermer la porte derrière Don. L'air était frais, et Vivi attrapait facilement froid. Elle se frotta les bras, regardant l'agitation autour d'elle. Qu'importe, qu'ils prennent tout, elle avait suffisamment d'argent pour se repayer par la suite une demeure identique. Elle jeta un regard noir de colère à Don, avec une pointe de défi, qui laissait entendre au marchand d'esclave qu'il allait en entendre des vertes et des pas mûres ...

Don regardait ce visage qui avait vieilli en même temps que lui pendant qu'elle était loin de lui. Il était encore un peu plus jeune que ça quand il l'avait prise, peut être même que des enfants. Mais a présent elle était devant elle en temps que femme épanouïe et non en temps qu'esclave épanouïe et ça, Don avait très peu de chance de le tolérer, regardand Vivi dans les yeux avec ce même sourire angélique qui trompait si bien depuis tant d'années. Les hommes du Don n'attendirent pas son avis et ils se mirent a se déployer dans la maison comme prévu, ignorant Vivi alors que deux mafieux fouillaient les terranides au portes pour voir si ils avaient des armes et les poussèrent hors du grand hall. L'esclavagiste regarda la jeune femme dans les yeux et il éclata de rire

"Quelle autoritée. Il fallait me le dire que tu aimait dominer, peut être était ce pour ça que tu couinais quand je m'occupait de ton cas."

L'esclavagiste posa son manteau sur un porte manteau et lança a Vivi avec un ton placide

"Vois tu, je ne vais pas me contenter de te reprendre. je vais également en profiter pour te faire signer un acte propriété qui me titulatisera comme propriétaire légal de cette maison ainsi que de tous tes biens. Tu emmenera comme ça un peu de toi avec moi. Après tout ça reste entre nous n'est ce pas ?"

Lança l'esclavagiste avec autorité

"Je me souvenais pas que tu était rousse. Ca change un peu. Mais dis moi autre chose."

Fit il alors qu'il approchait de Vivi a pas lent, si elle ne reculerais pas il se collerais a elle.

"Il me semble que tu était enceinte jusqu'aux yeux la dernière fois qu'on s'est vu ? Où est donc mon enfant ?"

Vivi gardait le visage fermé, ne lui laissant même pas le plaisir de répondre, ou de montrer le monde signe de rage, se contentant de reculer pour ne pas le sentir à nouveau contre elle. Cela raviverait des souvenirs atroces qui la ferait grimacer . Il en serait trop heureux, évidemment ! Elle l'écouta donc placidement, calant sa main contre son menton, regardant autour d'elle. Qu'ils emportent tout ! Elle avait une bonne couverture désormais, et se fichait de ce qu'il pouvait bien faire avec sa demeure. Tant qu'il la laissait tranquille, elle et sa fille, elle voulait bien faire le maximum. Elle passa sa main dans sa nuque, se préparant à répondre. Et au moment même où elle allait ouvrir la bouche, une des personnes dans la maison brisa un vase. Le bruit résonna dans toute la pièce.

Ce fut à cet instant précis qu'Ishtar poussa la porte, violemment, les yeux écarquillés.

- Vivi ... ?

La jeune femme ouvrit de grands yeux en fixant Ishtar, et aussitôt sentit son coeur exploser dans sa poitrine. Non, elle aurait mieux fait de rester hors de tout ça, elle aurait mieux fait de partir ! La jeune femme n'eut qu'un réflexe, et c'était celui d'une bonne mère, digne de ce nom. Elle se précipita sur Ishtar, la poussant hors de la maison.

- Enfuis-toi, Ishtar !

Elle referma la porte sur la petite, ébahie et étonnée, immobile devant cette grande porte fermée, tandis que Vivi collait son dos contre la porte, faisant face à Don, la respiration haletante, affolée. Elle lui jeta un regard suppliant au possible, toujours plaquée contre la porte, tentant de lui barrer momentanément le passage. Au loin, on entendait les pas rapides d'Ishtar, qui courait pour s'enfuir.

- Je t'en supplie ... Laisse-la tranquille ...

L'esclavagiste sourit. Pour le moment la jeune femme ne laissait paraître aucun signe de sa chute imminente mais il savait que bientôt elle allait craquer. Tout le monde craque. Il suffit de tirer sur la corde sensible. Pour le moment la mère n'avait surement pas encore réalisé ce qui se passait, comme dans des situations extrèmement choquantes comme celles ci, on avait du mal a prendre conscience que ce qui était en train d'arriver était bien en train d'arriver. C'est alors que Vivi le contourna pour se précipiter vers la porte. Ishtar ne put voir qu'un grand homme de dos habillé d'un feutre et d'un ciré qui lança

"Tiens je crois avoir le début d'une réponse."

Lança t'il avant de s'avancer vers Vivi a pas lents mais décidés tandis qu'elle se plaquait contre la porte pour l'empecher de passer. Don lança avec un sourire angélique

"Non en fait. Celà n'arrivera pas. Et tu es la première a le savoir."

Fit il avant d'étaler Vivi d'un revers de main, la gifle fusant sur sa joue avec la force d'un ours avant de crier a deux de ses mafieux.

"Qu'est ce que vous attendez ?! Rattrapez la !"

Les deux yakuzas se précipitèrent vers la porte et se mirent a courir a l'exterieur. Don se pencha et empoigna Vivi par ses cheveux avant de lancer

"Je veux des hommes dehors, si vous voyez cette jeune fille, enfermez là dans une pièce surveillée."

Don traina Vivi jusque dans le grand salon sans trop de délicatesse avant de tirer sur sa robe jaune pour la lui ôter

"Combien de temps ne nous sommes nous pas vus ? N'es tu pas contente de notre réunion de famille ? J'espère que tu n'a pas oublié..."

Fit il avant de la retourner et d'arracher sa culotte, laissant arborer sur sa fesse droite le sceau de l'esclavagiste imprégné dans sa chair au fer rouge

"...A qui tu appartiens ?

- Hideux personnage !

Légèrement sonnée, à la base, et incapable de répondre, Vivi réagit ensuite aux actes et paroles de l'esclavagiste. Elle ne se priva pas, bien au contraire, de mettre une gifle à Don, tout en sachant pertinemment que cela ne blesserait pas le colosse. Elle le savait trop bien ... Elle eut une grimace rapide, tandis qu'elle attrapait la housse d'un canapé - une sorte de morceau de tissu épais brodés de manière orientale - pour s'en vêtir de manière archaïque. Elle garda sa main rouge et chaude du coup se reposer sur le canapé, sur lequel elle grimpa rapidement, conservant contre elle le tissu. Il avait réussi à la décoiffer, faisant voler ses cheveux dans tout les sens, et ses yeux affolés n'avaient de cesse de tomber autour de son visage devenu si pâle, contrastant avec ses joues rougies par la rage et la crainte.

- Je ne te crains pas, mets toi ça dans le crâne ! répliqua t'elle avec un visage plus haineux que jamais.

C'était à moitié vrai. Vivi était une femme de caractére, et elle avait pour habitude de ne pas se laisser faire.

 - Je n'appartiens à personne. J'ai ma propre vie, maintenant. Laisse nous, pitié ...

Elle serra plus fort le tissu contre elle, le regardant avec un regard rempli de colère, avec une pointe de supplication. Elle ne savait pas si cet homme serait capable de faire du mal à sa propre fille. Evidemment, elle avait peur pour elle même, mais surtout pour Ishtar qui, pour le moment, courait à vive allure, se cachant en haut des arbres du mieux qu'elle pouvait pour échapper à ses assaillants.

La main de Don saisit Vivi a la gorge alors que celui ci ne désserait pas sa poigne, il n'arrivait pas a comprendre déjà comment elle avait réussi a y échapper vu son gabarit mais elle ne le pourrait plus cette fois, il la tira a nouveau par les cheveux avant de la trainer sur la table du salon alors que son visage qui arborait a présent une marque rouge sur sa joue était crispé de colère, sa main se fit plus pressante sur sa gorge alors qu'il lançait avec un ton froid et détaché.

"Je vois que tu as oublié tes leçons. Je vais devoir te les rappeller."

Fit il alors que celui ci étallait Vivi sur la table d'un second revers de main bien plus puissant que le premier. Il déboutonna son pantalon et attira la jeune femme vers lui alors qu'il lui enlevait sans trop de mal sa robe en la lui arrachant.

"Tu m'appartiens esclave, quoi que tu puisse en dire. Ce n'est pas toi qui décide, c'est moi, ton maître. Tout ce que tu as a faire de ton coté..."

Fit il alors qu'il entrait en elle de manière brutale

"C'est OBEIR !"

Lança t'il alors qu'il la prenait, couchée sur le ventre sur la table du salon, retenant ses poings et bougeant ses hanches avec violence.

Pendant ce temps les deux mafieux arrivèrent près du parc et l'un lança a l'autre.

-Ecoute, il y a une sortie a ce parc, toi tu la surveille, moi je vais inspecter les lieux.

Il ne fallut pas bien longtemps pour appercevoir Ishtar dans sa robe voyante perchée sur un arbre, il la braqua de son arme

-Allez ma belle tu descend ou JE te descend.

- Tu n'en serais pas capable ! répliqua Ishtar d'une voix grinçante.

Elle lui tira la langue, et aussitôt bondit hors de son arbre, plus rapide et habile que jamais. Elle ne comptait pas se laisser faire par quelques hommes aux allures de mafieux ! Ces gens ne lui voulaient pas du bien, c'était certain. D'ailleurs, le plus méchant d'entre eux était avec Vivi. Cette pensée la fit frissonner, tandis qu'elle atterrissait sur le sol, et commençait à courir à nouveau. Vivi possédait, tout de même, un grand parc. Elle pouvait se dissimuler là où bon lui semblait. Elle courut donc entre les arbres, vive comme l'éclair, avant de sauter à nouveau sur un arbre, pour se reposer dans ses branches en attendant que ses hommes reviennent.

Il n'y avait pas lieu de se questionner, mais d'agir. Et Ishtar en était convaincue. Ces hommes étaient des plus dangereux. Elle passa sa main dans le trou fait dans l'arbre, et en sortit un baton creux, dans lequel des petits piques enduits d'un produit trouvé sur le marché pour endormir les esclaves étaient incrustés.

Un premier homme arriva. Elle lui tira une fléchette dessus.

__


- AAH !

Vivi sentit violemment l'homme entrer en elle, et serra les poings et les dents violemment. Ah, cette sensation ne lui avait pas manquée, décidément ! Alors, tandis que son entrejambe recevait les coups de butoirs violents de Don, elle s'efforçait de ne pas lui faire le plaisir de réagir. Non, il y prendrait trop de plaisir ... C'était inconcevable. Elle rejeta violemment son visage en arrière, sentant les coups raviver des souvenirs atroces, et le fixa.

- Ah ... ça ne ... m'avait pas manqué ... grinça t'elle.

Tout son corps recevait les mouvements de hanches de l'esclavagiste, et Viv, qui sentait le contact de la table - peu confortable - contre son dos, s'efforçait de ne pas se crisper. Elle se savait faible face à ce genre de situations. Et il le savait aussi.

-Hj-Attention a l'importance du contexte. Tu es au japon pas a Nexus le taux de criminalité est le plus bas au monde et le coup de ta sarbacanne sortant de l'arbre fait clairement capilotracté. On vois bien qu'elle est juste là parce que tu le voulais vu que les arbres avec un tronc creux possédant des choses a l'interieur y'en a des masses au japon -Hj-

Mais c'est qu'elle se foutait de lui cette petite conne !Sortant son arme il se rappella des consignes du boss qui étaient de ne pas abimer la fille. Une bonne balle dans la jambe aurait bien pu faire l'affaire mais ça aurait trop endomagé la prise et c'était lui qui aurait payé, il le savait, au lieu de ça il lui courut après tout en tirant a coté d'elle d'elle une ou deux fois pour lui faire peur. Au bout d'un moment un bruit clair de sarbacane retentit.

Sauf que tirer sur un homme en noir au beau milieu de la nuit était bien plus complexe que de tirer sur une fille a la robe chatoyante au beau milieu de la nuit. L'unique fléchète rata donc sa cible alors que l'homme se remettait a sprinter, une jeune fille contre un mafieux entrainer, la course risquait d'être courte.

****

"Ca faisait un moment n'est ce pas ? Après tout quel père serais si je n'honnorait pas la mère de ma fille après tant d'absence ?"

Fit Don alors qu'il ne se génait pas pour la prendre ici et maintenant tandis que les mafieux commençaient a déballer tout ce qu'il y avait a prendre et lui lançaient parfois des regards effarés. Sans honte, il était en train de violer la maitresse des lieux sous le regard de ses domestiques et des subalterne du Don, il lança avec autorité

"Rassemblez moi toutes les servantes féminines de la maison, pour les masculins vous me les assomez et les ligotez fermement."

Fit Don, continuant a donner des ordre tandis qu'il s'occupait de Vivi, l'attirant contre lui pour la prendre de dos, ses mains écrasant ses seins entre ses mains

"Mais je suis bien content, nous avons une belle fille. Tellement content que je serais capable de t'en faire une deuxième."

Les mouvements de bassin de l'esclavagiste se faisaient de plus en plus insupportables alors qu'il accellerait la cadence.

- Elle était effectivement là parce qu’elle l’y avait entreposée auparavant, elle cache beaucoup de choses un peu partout dans le parc -

Vivi eut une grimace de frayeur en entendant les ultimes paroles de Don, et eut un soubresaut à nouveau. Elle sentait son intimité ravagée, frappée par les coups de bassin de l’esclavagiste, violent et atroce. Les dents serrées, elle encaissait chacun de ses mouvements. Mais il avait l’air de savoir que la poitrine de la jeune femme était une des parties les plus sensibles du corps de la jeune femme. Si bien qu’elle sentit un immense frisson traverser son epiderme tandis qu’il posait ses mains dessus.

Elle remuait tant bien que mal, voulant sortir de cette situation, humiliée, mais se contenta de courber l’échine. Si elle se montrait trop violente, les coups tomberaient trop facilement, et Ce serait pire que tout. Elle se savait faible face à ce monstre.

- Ne fais rien à Ishtar … supplia-t-elle dans un soupir.

___


Effectivement, c’était fichu. La jeune fille courait, bondissant presque sur le sol, voulant échapper à ces infâmes créatures. Elle grognait et bouillonnait intérieurement. Qui était cet homme ? Que lui voulait-il ? Elle sentait des questions agripper son esprit, de plus en plus sauvagement tandis qu’elle tentait d’échapper à son assaillant. Elle voulut tourner la tête vers lui et …

SPLATCH !

La course d’Ishtar se termina dans la bassin au milieu des poissons. Elle toucha le fond vaseux, et remonta à la surface, s’agrippant aux bords du bassin, crachant de l’eau. Elle releva les yeux vers l’homme, le visage rempli de rage. Elle reprit son souffle lentement, ses mains s'agrippant aux herbes folles.

- Mais vous me voulez quoi ?! grogna-t-elle en serrant les poings, fixant l'inconnu d'un regard dur, tandis que l'eau ruisselait sur sa peau.

Les ordres sont les ordres !

Cria le mafieu alors qu'il saisissait la jeune fille par le poignet, tordant celui ci et lui passant des menottes avant de la tirer vers lui.

Les coups de bassin de l'esclavagiste s'accelleraient en même temps que sa respiration alors qu'il faisait aligner les terranides devant lui avant de sussurer a Vivi d'une voix suave.

"Tu n'as jamais dit a tes esclaves que tu était une esclave ? Et tu croyais pouvoir régner sur eux sans qu'ils ne se doutent de rien ?"

Don continua ses mouvements de bassin tandis qu'il se sentait proche de la fin il passa ses mains sur les hanches de Vivi pour s'enfoncer entièrement en elle sans aucune douceur et avec de plus en plus de rapidité.

"Observe a présent comme ils te regardent avec des yeux avides..."

Ricana t'il alors qu'il se cabrait pour une dernière fois et se déversait en elle dans un râle, se libérant de Vivi avant de la laisser sur la table du salon. Il remonta son pantalon d'un air tranquille comme si rien ne s'était passé et se tourna vers ses hommes

"Cadeau pour la soirée. Faites comme chez vous. Tout ce que je veux c'est que vous la fassiez taire."

Fit Don alors que ses mafieux arrivaient et commençaient a saisir Vivi, l'un d'entre eux lui plaça sa propre petite culotte dans la bouche alors que ses gars commençaient a lécher ses seins, qu'un d'entre eux entrait en elle et que l'autre remplissait son autre entrée, la baisant littéralement par tous les trous. Ils en aurait surement pour plusieurs heures

Don voulait le silence car il ne voulait pas que sa fille vois ce spectacle en arrivant et il referma la porte lorsque ses deux hommes amenèrent Ishtar, trempée jusqu'a l'os devant lui. L'esclavagiste lança

"Elle n'a rien ?"

Les mafieux répondirent que non. La vision de la jeune fille aux vetements élégants et trempés raviva immédiatement la libido de Don qui, bien qu'elle ne se dressa pas, serait prête pour la suite des évenements.

"Bien. Vous pouvez aller rejoindre vos camarades."

Fit il avant de saisir Ishtar par le bras et de l'enjoindre a venir avec elle, sa poigne était ferme et il ne la lacherais pas.

"Laquelle est ta chambre ?"

Lança l'esclavagiste alors qu'ils avançaient dans les couloirs.

-Hj-Je peux avoir une descrption complète d'Ishtar a ton prochain post ?Considère aussi qu'on a atteint ta chambre.-Hj-

Tandis que Vivi restait aux proies des hommes de Don, se défendant du mieux qu’elle le pouvait - ce qui n’était, malheureusement, pas assez  vu le nombre et la force de ces types - Ishtar se contentait de grogner. Trempée jusqu’aux os, elle ne voulait que le calme. Un mal de tête grimpait dans son crâne, et cet homme sordide ne lui plaisait pas du tout. Mais alors pas du tout. Elle fut contrainte, vu sa poigne, de suivre Don, mais ce fut en baissant la tête et en grognant, comme à son habitude. Elle ne voulait que voir Vivi, elle voulait que tout aille mieux, que ce méchant bonhomme les laisse tranquille.

Elle lui montra du doigt sa chambre, boudeuse. C’était une vaste pièce, au plancher propre. Des peintures égyptiennes peuplaient les murs, tandis que son lit était un immense baldaquin aux tons chauds. Un endroit dans lequel elle se plaisir à se réfugier. Le lit vide de Bastet reposait au pied du lit, et une armoire immense mangeait presque un mur de cette pièce. Des piles de livres, de vêtements reposaient sur le sol.

- Mais vous avez fini, oui ? S’énerva-t-elle en récupérant son bras qui, jusque là, était maintenu par Don.

Elle se massa le poignet. Elle portait toujours autant de bijoux, un collier de type égyptienne et une grande toge blanche éclatante. Elle était pieds nus, et portait deux bracelets de chevilles en or. Ses cheveux noirs étaient décoiffés, et son khôl mouillé dégoulinait sur ses joues, qu’elle frotta en sentant ses yeux la piquer.

Il avait eu tout le temps du monde pour se rincer l'oeil discrètement pendant la montée vers la chambre. Mazette, il n'avait pas fait de la demi mesure le jour où il avait engrossé sa mère, elle avait ses meilleurs attours tout en gardant son teint exotique qu'il lui avait conféré. Don sentait qu'il allait beaucoup s'amuser avec elle, mais d'abord comme il le faisait toujours il allait jouer avec sa nourriture avant de la manger, celà ne servirait a rien de prendre Ishtar ici et maintenant il allait attendre le moment opportun. Souriant, il regretta soudainement l'idée de la chambre alors qu'une bien meilleure popait dans sa tête, il lança a Ishtar

"Ecoute moi, c'est juste un mauvais moment a passer. Je sais que tu ne va pas aimer ce que je vais te dire, mais il est temps que tu sache la vérité."

Fit Don avec un ton cérémonieux tandis qu'il tapait dans ses mains comme si il venait de se rappeller de quelque chose.

"Ah, mais regarde toi tu es toute trempée. Ecoute viens, prend une douche, je te raconte tout ça."

Lança t'il alors qu'il ouvrait la porte pour la faire sortir et la faire se diriger vers la salle de bain. L'homme lança avec un ton calme

"Je m'appelle Dorian Garan, je suis comme tu peux le voir un étranger tout comme toi, la raison derrière celà est que je suis un agent d'interpol. Et ta mère Vivi, ou devrais je dire "Anastasia", est une criminelle sur laquelle nous essayons de mettre le grapin depuis des années."

Fit il avec un ton neutre tandis qu'il continuait vers la salle de bain il enchaina

"Tu ne t'es jamais demandé d'où venait tout cet argent ? Eh bien il viens de réseau de mafia que ta mère a elle même confectionné, j'était chargé de l'enquête au moment ou je l'ai rencontrée, il y a de ça plus d'une quinzaine d'année. Nous étions a ce moment là très intimes. Après quoi j'ai découvert le pot aux roses et "Anastasia" avait fui, enceinte de plusieurs mois, emportant son enfant avec elle. Mon enfant."

Il posa une de ses mains rugueuse sur son épaule et lança

"Je sais que celà semble difficile a croire, mais je suis ton père Ishtar. Et depuis toutes ces années, je n'ai eu de cesse de lutter pour te retrouver."

Il ouvrit la porte de la salle de bain, vérifiant bien qu'il n'y avait pas de fenètre et enjoignit sa fille de lui donner ses vetements pour qu'il les néttoie pendant qu'il lui raconte l'histoire, a travers la porte. Le mensonge de Don était parfaitement crédible jusque là.

Neeeuh ? La jeune fille écarquilla les yeux, visiblement choquée. Sa mère, une tueuse ? Cet homme, son père ? Non, non, sa vie n’était pas un roman, tout de même. Vivi lui avait toujours dit que son père était mort il y a bien longtemps, et qu’il n’avait pas été tendre avec elle. Au vu des bleus qu’elle portait, Ishtar ne s’était pas posé de questions. Mais là, cette homme se disait … son père. Elle le regardait, les yeux écarquillés. Son seul réflexe fut de fermer la porte de la salle de bain derrière elle, le laissant dans sa chambre. Elle se plaqua contre la porte, respirant violemment. Elle passa ses mains sur ses joues, retirant tout ce maquillage coulé, et ferma les yeux.

Mentait-il ?

Elle se savait naïve et parfois influençable, malgré son caractère bien trempé. Elle retira ses vêtements mouillés, se séchant avec une serviette éponge, et la mit d’ailleurs en tremblant autour de son petits corps fins. Elle ouvrit la porte, lui jeta ses vêtements et la referma aussitôt, sans aucune douceur. Elle était un peu chamboulée, il fallait l’avouer …

- Vous me mentez ! Je n’ai aucune raison de vous croire !! Cria-t-elle par derrière la porte. Vivi n’est pas une tueuse !

L’idée que cet homme soit son père n’était pas impossible, même si ishtar avait du mal à y croire pour le moment. Mais Vivi n’aurait pû tuer personne. Elle en était sûre et certaine. Elle faisait une confiance aveugle à Vivi.