Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Au Cabaret Voltaire [pv: Watari Kito]

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Adelheid Friedrich

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Re : Au Cabaret Voltaire [pv: Watari Kito]

Réponse 30 samedi 23 janvier 2010, 02:25:26

   Dans un état trop faible pour envisager toute riposte, Frig se laissa faire. Elle n'avait jamais pleurer autant en toute une vie, et ceci la fatigua beaucoup. Mais au moins elle se sentait mieux, c'était ça l'important, même si elle sentait toujours ce vide béant en elle qui la dévorait toujours de plus en plus. Un peu comme un cancer du cœur à un stade avancé, qui aurait commencé à toucher tous les autres organes aux alentours. D'ailleurs, elle n'en revenait pas de ce qu'elle avait dit et pensé lors de ces dernières minutes. Pour la première de sa vie elle avait avoué ses « pêchés » inavouables, à qui que ce soit. En même temps, faire avouer son addiction à un drogué n'est jamais une mince affaire.

   La jeune fille eut du mal à faire arrêter ses sanglots, tentant toujours de les retenir (aussi difficile soit-il). Encore une futile réaction typiquement humaine. Quelque chose qui rend humain, justement. Mais il y a beaucoup de choses qui font un être vivant, beaucoup de choses, aussi variées qu'elles soient. Il n'y a pas besoin d'avoir honte. Enfin... quand on est seul, sur le moment, c'est plus facile... quoique non. C'est un peu comme si on était son propre parpaing... On coule... sous nos larmes, nos carences, et nos maux. Sans jamais pouvoir remonter à la surface. Mais seul, il n'y a pas besoin de supporter le regard des autres, ni de se demander ce qu'on pense de vous. En contrepartie, on ne fait rien pour se bouger ni pour tenter d'améliorer les choses. Futile logique humaine...

   Adelheid profita de ses mains de libres pour essuyer ses larmes qui coulaient encore sur son visage de porcelaine, tandis que Watari vint l'enlacer. Ses muscles se crispèrent et chaque contacts qu'ils eurent lui donna des frissons, bien qu'ils soient agréables. Mais elle avait encore du mal à digérer ces dernières minutes qui se s'étaient écoulées comme quelques secondes, voir quelques heures. La compagnie lui faisait le plus grand bien, elle devait l'avoué. Elle laissa enfin la parole à Watari, après avoir dit tout ce qu'elle avait à dire. De toute façon, elle n'avait plus rien à ajouté, et ne voudrait rien prononcer avant un moment. La jeune nordique l'écoutait, il ne lui en voulait pas. C'était l'une de ses plus grandes craintes: se faire rejeter pour ce qu'elle était réellement. Or, il ne la repoussa point. Elle n'avait donc plus ce poids à supporter. Une raison de plus pour se décontracter...

   Au final, Adelheid se retrouva face à lui après ce qui lui semblait être un genre de déclaration. Ne sachant trop que répondre, elle se contenta de le regarder dans les yeux, un peu comme perdue. Et ne comprenant pas trop ses paroles, elle le regarda agir. Ainsi elle put découvrir deux cornes sur son crâne. D'abord, la réaction en fut pas immédiate. C'est après quelques secondes de réflexions qu'elle se rendit enfin compte que ce n'était pas normal. Enfin, rien n'est normal, voyons! Mais pourtant, cela ne la choquait pas plus que ça, au début... Mais ensuite elle réalisa que c'était humainement impossible. À moins d'avoir affaire à...

- Non, je n-ne comprends pas...

   Quelqu'un qui n'est pas humain. Mais où est le mal? Nul part. Tout s'est bien passé, pourquoi ça ne continuerait pas...? Ce n'était juste qu'un détail... anodin. Oui, anodin. Enfin... c'est ce que Frig pensait vraiment à travers cette lueur d'étonnement qui animait ses yeux. Mais quelque chose ne la rassurait point.

- S'il vous plait... relevez-vous...

   Le voir à genoux la mettait dans une situation embarrassante. Elle affichait un air compatissant avec une pointe de douceur. Rien ne devait changer, après tout.

- Dites-moi qui vous êtes... s'il vous plait...

   De ses deux mains elle attrapa une main de son interlocuteur qu'elle porta à ses lèvres, avec un petit air implorant.
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Watari Kito

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Re : Au Cabaret Voltaire [pv: Watari Kito]

Réponse 31 dimanche 24 janvier 2010, 00:09:26

La réaction d'Adelheid avait quelque chose de touchant pour Watari, voir cette femme lutter si bravement pour retenir ses larmes malgré que celles ci soient déjà en train de couler, le genre de faits d'armes qu'on peut attendre d'une femme forte et belle comme elle. Il avait libéré son coeur et a présent elle se sentait mieux, il le savait. Le contact du corps froid de Watari la fit frissoner, il le ressentit très bien mais c'était le genre de frisson que les femmes appreçiaient de ressentir. Il se sentait grimper dans sa confiance et pour celà il il sentait que cette discussion avait été une victoire pour lui. Ses yeux le cherchèrent pendant toutes ses phrases et lors de la phrase finale, ils finirent par le trouver. Watari se découvrit devant elle et la réaction d'Adelheid fut mitigée alors qu'elle reculait Evidement, elle était totalement perdue et a la foi surprise de le découvrir, tout comme lui avait été surpris et perdu de découvrir la vie dans ce monde et les nombreux liens qui le reliaient a leur réalité. S'approchant d'elle après qu'elle lui ait permis de se relever et elle voulut prendre sa main, les yeux dans les yeux ils se regardèrent alors qu'elle la portait a ses lèvres. Watair pris le temps qu'il fallait pour la rassurer de son regard doux avant lancer avec un ton calme.

"Je ne suis rien de plus qu'un voyageur. Je viens d'un monde bien différent de celui ci, ou les gens de mon espèce sont traqués et tués."

Bien sur c'était vrai, mais le dire ainsi lui permettait de montrer la confiance qu'il avait en Adelheid et la rassurer a ce sujet

"Je ne suis rien de plus qu'un habitant de ce monde fort lointain et qui ait renié les préceptes des miens pour aimer cette vie plutôt que pour la détruire, et plutôt que d'aimer la vie, j'ai choisi de vous aimer vous Adelheid. Vous m'avez confié sans crainte vos plus profond tourments, vous possédez a présent dans votre main, l'épée Damoclès, celle qui pourra me tuer a n'importe quel moment si vous le désirez. Je vous ais donné mon plus grand secret, accepterez vous celui ci comme un dédomagement ?"

Fit il alors qu'il avançait contre elle et passait sa main libre sur la joue de la jeune fille.

"Depuis que je vous aie vu dans ce bar Adelheid, je savais que je vous aimerais."

Ses lèvres s'approchèrent de celle de la norvégienne alors qu'elles murmurraient

"A présent que vous savez toute la vérité, me repousserez vous, ou accepterez vous mes sentiments ? Car a moins de me repousser entièrement, jamais je ne pourrais les tuer."

Il était sincère sur le moment. C'était bien le problème de Watari.
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Adelheid Friedrich

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Re : Au Cabaret Voltaire [pv: Watari Kito]

Réponse 32 dimanche 24 janvier 2010, 21:47:13

   Enfin, Adelheid réussit à retrouver un air paisible. Ce qui était dur après « tout » ce qui s'est passé. M'enfin, elle s'était maintenant calmée, c'était le plus important. Elle écoutait chaque parole de Watari, emprisonnée dans ses yeux bleus. Et même emprisonnée entre rêve et réalité. Mais pourtant ce n'était pas un rêve. C'était même loin d'être un rêve. Voilà pourquoi Frig se résolu à croire tous ses propos, au point où elle en était... Elle ne pouvait plus nier grand chose après tous ces « évènements » qui ont comme bouleversés une vie trop banale parmi tant d'autres, au milieu de l'insouciance.

   Trop touchée par le discours de Watari, elle crut qu'elle allait reperdre sa paisibilité si durement gagnée. Et elle crut bien, parce que son expression passa du calme au doute, et du doute à l'incertitude. Et ainsi elle découvrit qui il était... Elle attendait ce moment depuis si longtemps (enfin... oui...).

- Je n'ai absolument aucune raison de vous rejeter. Absolument aucune.

   Ceci dit, Adelheid passa ses bras derrière sa nuque et se mit sur la pointe des pieds afin de pouvoir l'embrasser à nouveau. C'était une manière d'illustrer ses derniers mots, en quelque sorte. Elle l'embrassa avec toute la tendresse qu'elle pouvait extérioriser à travers ce geste. Une fois que leurs lèvres se séparèrent, elle lui chuchota:

- Si je voulais me débarrasser de vous, vous l'auriez déjà compris depuis longtemps. Vous êtes toujours le même pour moi, et c'est tout ce qui importe. Et moi aussi, je... je...

   Frig se rabaissa pour ne pas que ses pieds doivent subir un long supplice, toujours en regardant l'homme dans les yeux. Les lèvres tremblantes, c'est après quelques instants d'hésitations qu'elle fini par dire:

- Jeg... elsker... deg...

   C'était la première fois que ces trois mots sortirent de sa bouche. Trois mots nordiques. Trois mots facilement devinables en ce contexte. Adelheid se surprit elle même par cette réplique. Même sous le poids de la gêne, elle réussit à maintenir son regard dans celui de Watari. Un regard implorant une réponse, un geste, n'importe quoi.
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Re : Au Cabaret Voltaire [pv: Watari Kito]

Réponse 33 dimanche 24 janvier 2010, 22:10:17

Plus aucune ombre ne planait a présent sur le couple sinon celle qu'il était. Il avait tout de même gardé sa profession secrète car après tout, un ninja ne se qualifierais jamais en temps que tel, il était au mieux une ombre, au pire rien du tout. Watari attendait ce moment depuis fort longtemps et a présent qu'il avait écarté les nuages noirs au dessus de leur têtes ils allaient pouvoir profiter de leur toute nouvelle relation alors que Watari gardait ses yeux dans les siens, vibrant d'émotion, ils voulaient dire tant de chose et il ressentait dans le regard de la norvégienne la gratitude et le calme de la paix retrouvée tandis qu'ils s'embrassaient a nouveau, enlaçant ses hanches de ses bras, cherchant ses lèvres des siennes et fermant les yeux pour que leur bouches se rencontrent et se sentent alors que ses mains caressaient doucement son dos. Leur baiser fut des plus passionés et Watari brulait de continuer a explorer cette bouche de ses lèvres alors que les mots  enflammés quittaient sa bouche. Watari sourit alors qu'il caressait la joue de la jeune fille et lui lançait avec toute l'assurance et la bontée dont il était capable

"Je vous aime aussi, Adelheid."

Watari avait encore une fois répété cette phrase qu'il avait tant dit a tant de femmes avant Adelheid. Ce n'était pas sa première aventure et a chaque fois qu'il l'avait dit, il l'avait dit du fond de son coeur, avant d'être capable de le redire avec la même efficacité a d'autres le lendemain. La raison était que Watari ne se limitait pas a aimer une femme, il aimait les femmes. Et Adelheid était tout aussi bien que ses précédentes conquêtes un anneau a sa bague. Ce vouvoiement qui restait entre eux depuis qu'ils s'étaient rencontrés n'était pas près de s'en aller, plus que d'avoir l'air d'être étranger l'un a l'autre il mettait surtout en place tout le respect et tout l'amour qu'il avait pour elle en la vouvoyant il l'élevait au dessus du commun des mortels et en faisait son unique.

Il lui rendit un nouveau baiser et pendant qu'il l'embrassait le ninja se dit que c'était le moment où jamais pour avancer, ses mains passèrent comme une caresse sur la cuisse de la jeune fille, caressant celle ci avec douceur a travers le collant tandis que de son autre main il caresait sa hanche.


"Il n'y a rien chez vous qui ne me rende fou. Merci Adelheid, merci de m'accepter pour ce que je suis."

Lui sussura t'il avec douceur au creux de l'oreille
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Adelheid Friedrich

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Re : Au Cabaret Voltaire [pv: Watari Kito]

Réponse 34 mardi 02 mars 2010, 21:50:43

- j'étais persuadée d'avoir répondu, mais... manifestement non... mes plus plates excuses -

   Il était impossible d'aller en arrière, ni de renoncer à ce qui allait ce passer dans un futur proche, voir très proche. Mais pour rien au monde Frig ne déclinerait cette invitation à passer aux choses un peu plus sérieuses. Elle savait comment la nuit allait se terminer, mais à chaque pensée envers cette « fin », elle avait une boule au ventre. Une raison pour ne pas penser au futur, pour « pouvoir savourer l'instant présent à sa juste valeur », comme elle le disait souvent. La question qui lui venait en tête actuellement était « Que dois-je faire...? ». Elle n'avait aucune idée de part où commencer, ni comment... Mais elle chassa ces idées de sa tête pour se laisser guider par ses intuitions.

   Les choses se mettaient en place peu à peu, mais cela ne faisait que commencer. Sous ses caresses invitantes, elle sentait son pouls s'accélérer. Pour se calmer quelque peu elle dut se mordre légèrement le bout de la langue, et elle crut que si elle avait mordu plus fort, elle aurait été capable de plier la barre qui retient son piercing.

   Ses lèvres vinrent quitter la bouche de son amant pour descendre dans son cou, baisant cet endroit si sensible qu'elle n'avait pas encore goûté, ses mains toujours dans la nuque de Watari. Cela ne faisait que commencer, et Frig voulait que ce moment dure le plus longtemps possible, voir mieux, ne finisse jamais.

   Décidée à lui offrir plus, elle glissa une de ses mains dans le bas de son dos et ouvrit l'unique fermeture qui faisait tenir en place sa jupe, qui tomba à ses pieds, dévoilant un shorty-porte-jarretelles noir maintenant encore ses bas. Sa peau était d'une pâleur à en faire envier ces nobles dames du siècle dernier, quoiqu'un peu menue. Ou selon certain, cette blancheur était même effrayante, c'est au choix.

   Frig se relâcha momentanément de son étreinte et fit glisser ses mains sur son torse, puis le poussa à reculer afin de le forcer à s'assoir sur son lit. Elle s'assit à revers sur lui et l'embrassa de plus belle, entre passion et tendresse, tandis que ses longs doigts fins jouaient habilement avec la cravate de Watari, avant de l'enlever et de s'attaquer aux boutons de la chemise. Le visage empourpré, elle plongea son regard d'ébène dans le sien encore une fois. Elle-même ne savait vraiment ce qu'elle faisait, mais qu'importe. La première intuition est toujours la bonne.
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Re : Au Cabaret Voltaire [pv: Watari Kito]

Réponse 35 mardi 02 mars 2010, 23:48:11

-Hj-pas de soucis :), c'est un peu cours désolé. -Hj-

Adelheid semblait alors décidée a prendre les choses en main elle même, et il décida donc de la laisser faire, comme elle semblait définitivement parée et bien plus réchauffée que lorsqu'il s'était battu contre les brigands ou quand elle avait observé sa véritable identitée. La soirée s'annonçait passionante, et Watari eut été bien fou de ne pas être excité a la vision de ce qui allait se profiler, le ninja la laissa donc dominer l'échange pour le moment, surement demanderais t'on a celui ci de revenir un peu plus tard pour être celui qui guiderais Adelheid vers le sentier des plaisirs inconnus et faire d'elle une femme. Il avait hate de faire ça, a présent que plus rien ne pourrait les empecher de se lier l'un a l'autre. Il laissa la norvégienne a présent réchauffée un peu l'envoyer sur le lit avant de la laisser grimper sur lui et de l'embrasser tandis que ses propres mains remontaient dans ses cheveux et qu'il sentait les doigts fins d'Adelheid ouvrir sa veste avec lenteur. Son visage était devenu adorablement rouge alors qu'elle le regardait comme pour obtenir des instructions et Watari saisit son menton entre deux de ses doigts pour lui sussurer a l'oreille doucement.

"Ne vous en faites pas mon coeur, il n'y a pas de règles dans le jeu de l'amour."

Fit Watari alors qu'il l'embrassait a nouveau et que ses mains descendaient de ses cheveux pour ses épaules, puis de ses épaules sur ses hanches tandis qu'il se mettait a défaire le corset de la norvégienne, plus vite elle serait nue, plus vite il aurait le loisir d'admirer ce que la nature lui avait donner, il était follement impatient, mais prenait son temps et faisait en sorte de ne pas la brusquer alors qu'il faisait celà il frottait sa jambe contre la sienne et s'était mis en tête de lécher le lobbe de son oreille tandis qu'ils se tenaient là, torse contre torse, soupirants d'excitation.

Bientôt...Leurs vétements ne les protègeraient plus.
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Adelheid Friedrich

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Re : Au Cabaret Voltaire [pv: Watari Kito]

Réponse 36 jeudi 04 mars 2010, 21:45:53

- Pas grave (: toi aussi t'auras le droit à du cours, mais j'en ai un peu marre de recommencer à cause de ma connexion internet -

   Son rythme cardiaque s'accélérait, et sous la force des baleines du bustier; Frig crut qu'elle allait s'étouffer. Or, quelques doigts s'étaient faufilés dans le but de délier le corset, et elle put le sentir.  Lorsque le nœud fut défait, ce corps emprisonné se sentait plus libre et l'air gagnait avec plus de facilité ses poumons. Le corset se déserrait, se laissant lentement glisser sur ses flancs, et dévoilant toujours plus sa peau blanche comme l'albâtre, n'ayant jamais vu un rayon de soleil. Chaque expiration se transformait en langoureux soupir et se faisait de plus en plus insistants; Adelheid ne voulait que lui, là, maintenant, tout de suite.

   Une fois fini avec le dernier bouton de sa chemise, ses mains remontèrent sur son torse et se posèrent sur ses épaules afin de débarrasser Watari de ce qui risquait plus de les encombrer dans la suite des évènements. Frig l'embrassa derechef dans le cou, se liant à lui comme le lierre se lie à la pierre. Chaque contact physique était de plus en plus torride, et le climat se réchauffait assez vite.

   Sous cette pression, elle s'écarta un peu de son partenaire, et positionna ses mains à la base du busc de son corset, et d'un coup sec, décrocha les ergots des deux baleines pour complètement ouvrir son haut par devant, et de s'en débarrasser. C'était tellement plus simple ainsi... On pouvait maintenant voir sa poitrine plutôt avantageuse et d'une pâleur exquise sans pour autant entrer dans le vulgaire. Adelheid esquissa un sourire empli de tendresse à son amant. Se mettre à nue ne la dérangeait pas, elle n'a jamais été du genre pudique ni quoique ce soi. Au contraire, le fait que Watari soit la première personne à découvrir son corps lui faisait grandement plaisir, et elle espérait qu'il soit tout aussi heureux qu'elle.
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Re : Au Cabaret Voltaire [pv: Watari Kito]

Réponse 37 dimanche 07 mars 2010, 12:07:27

Il pouvait sentir son coeur battre la chamade, malgré celà, Adelheid restait dans son optique de dominante de la partie. On pouvait dire que la norvégienne réussissait a rester "cool" en toute circonstance, surement du a ses origines nordiques. Malgré que leurs deux corps soient aussi froids que de la glace, l'alchimie de leur amour les rendait brulants et fievreux. la peau blanche d'Adelheid, bien qu'il en connaisse l'origine peu glorieuse lui faisait un effet non négligeable et ajoutait a l'impression de puretée que donnait la jeune femme tout en y ajoutant par sa conduite un petit coté provoquant qui déployait un charme fou. Pas une seconde il ne regretta d'avoir commencé a la courtiser surtout pour avoir réussi a la ramener de son coté aussi vite. Il devait remercier les petites frappes pour celà. Sans eux celà aurait surement pris plus longtemps pour la séduire. La passion dans les gestes de la norvégienne le consumait entièrement et il se sentait facilement emporté dans le torent de désir que représentait son étreinte. C'était un peu comme si son corps n'avait jamais connu que la nuit, et qu'il allait apporter en elle le soleil grâce a ce qui allait se produire sous peu. Car Watari avait bien l'intention d'aller jusqu'au bout également.

Il avait toujours eu cette intention, mais contrairement a ces petites frappes il n'avait jamais pensé une seule seconde qu'il pourrait l'obtenir autrement qu'en séduisant Adelheid et qu'elle consente a lui offrir ses faveurs. Il était un gentilhomme après tout, il ne prenait jamais ce qu'on ne voulait pas lui offrir, et ne supportait pas de voir souffrir une femme...Mais il fallait dire ce qui était, son comportement était des plus illogiques. Car il provoquerais sans aucun doute de la souffrance a Adelheid, elle était encore jeune et inexpérimentée, et amoureuse qui plus est a présent. Lui, était amoureux de toutes les femmes et ne pouvait se contenter d'une seul. Il arrivait un moment, si leur relation s'approfondissait, où elle devrait faire face a cette vérité. Il y avait néanmoins toujours l'option où Watari ne lui laissait pas entendre qu'il voyait d'autre personnes et continuait a lui rendre visite fréquement, ce qui était plein d'avantages pour lui...

Alors qu'elle se liait a lui il remonta ses mains dans sa nuque qu'il caressa lentement tout comme son dos, promettant de revenir au corset plus loin tandis qu'il laissait vadrouiller son nez dans son cou et y poser de chastes baisers. Plongeant celui ci dans ses cheveux avant de lui mordiller doucement l'oreille pour continuer a faire grimper le torrent, il fut débarassé de son haut alors que de ses yeux bleux aciers il regardait le regard sombre de l'étrangère fondre sous le sien. Il se sentait ce soir, le plus chanceux des hommes alors qu'il avait séduit une femme dont l'âme autant que le corps étaient magnifiques. Il sentait que cette première nuit serait aussi magique pour elle que pour lui, passant ses mains le long de ses épaules pour l'electriser, il la vit alors s'écarter et dégager son corset pour arborer a présent sa poitrine qui laissa un moment de blanc a Watari pendant lequel il eut tout le loisir de l'admirer tandis qu'elle lui souriait tendrement, passant les mains autour de ses hanches a présent nu, il la pressa contre lui alors qu'il l'embrassait passionement, ses mains caressant ses hanches au fur et a mesure qu'il la serrait contre lui, torse contre poitrine, il sentait son excitation attendre des sommets alors que, bien malgré lui, la norvégienne pouvait déjà sentir les effets qu'elle faisait sur lui grâce a sa proximitée soudaine avec le ninja.

Celui ci la fit doucement basculer sur le lit et la regarda amoureusement tandis qu'il passait sa main sur sa joue et la descendait doucement, caressant son sein droit, tout d'abord de manière pudique, plus osées, son doigt s'arretant parfois au sommet de la courbe sur l'extrémitée de ceux ci tandis que de son autre main, il s'affairait a défaire son bas.


"Comme vous êtes belle, Adelheid"

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Adelheid Friedrich

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Re : Au Cabaret Voltaire [pv: Watari Kito]

Réponse 38 mardi 23 mars 2010, 21:46:44

- Rolala qu'est-ce que je gère pas x( -

   Er dette en drøm? Ja og nei...

   Jamais Frig n'aurait pensé que tout irait si loin... si vite. Tout aurait put finir avec un simple « Au revoir, à bientôt peut-être », et jamais ils ne se seraient revus, à son plus grand désespoir. Ce scénario est beaucoup plus courant dans la vie réelle, il faut l'avouer. Mais il y a toujours des exceptions à tout, la preuve. Pour une fois, elle se sentait vraiment chanceuse, car ce n'était pas dans ses habitudes de rencontrer des gens biens.

   Cependant, Adelheid n'en savait pas long sur Watari. Mais elle s'en moquait, car elle en savait assez pour pouvoir l'aimer. Pour le moment, elle était persuadée qu'ils n'avaient jamais eu personne dans leur vie, mais elle devait se faire à l'évidence que pour le cas de Watari, c'était impossible. Totalement impossible, oui. Mais l'insouciance de la jeune femme la persuadait du contraire, car c'est mieux ainsi, pour elle, et pour lui. Jamais elle ne l'imaginerait avec une autre, cela va de soi, car il est tout à elle, et elle est tout à lui. Qu'il soit humain ou non, qu'importe, l'amour reste l'amour. Mais si un jour son rêve bohème finissait par se terminer, Dieu sait ce que la jeune nordique fera...

   Maintenant allongée sur le lit, Adelheid se laissait dominer, toujours avec plaisir. Elle avait toujours tout l'honneur de pouvoir contempler son amant de là où elle est, même si dans cette situation c'était plus lui qui pouvait la contempler... Alors que beaucoup d'autres filles de son âge son extrêmement pudique, Frig ne l'a jamais été. Se mettre nue ne la gêne pas, surtout pas devant Watari, bien au contraire. Cela lui faisait extrêmement plaisir qu'il puisse la voir sans aucun de ses atours, puis principalement parce qu'elle lui plaisait, tout simplement.

   La jeune nordique sentait une boule dans son ventre. Un peu comme un mélange de gêne et de stress. Il n'y avait pas de quoi, pourtant, mais c'était nerveux. C'était sûrement du au fait que son amant se mettait à jouer avec son corps tout en se débarrassant de ses derniers vêtements. Sentant ses doigts atteindre parcourir une zone sensible de son anatomie, elle fut parcourue d'un frisson chaleureux. C'était encore une sensation inconnue pour elle. Sous de tels mots, elle ne savait que répondre.

- E-Embrassez-moi... encore une fois...

   Frig du réfléchir à deux fois avant de sortir des mots compréhensibles pour Watari. Étant un peu emportée ailleurs, elle aurait bien pu parler son dialecte nordique sans s'en rendre compte. Mais elle était décidée à ne pas laisser tomber le vouvoiement, même dans une telle situation. Elle se sentait étrangement apaisée et excitée à la fois, abandonnant son corps à la merci de son concubin.
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Re : Au Cabaret Voltaire [pv: Watari Kito]

Réponse 39 mardi 22 juin 2010, 21:05:19

"Vos désirs sont des ordres...Adelheid..."

Sussura Watari alors qu'il passait ses mains le long de ses jambes, descendant celles ci comme une plume...Prolongeant son baiser avec autant de passion qu'il le put. Il ne ressentit aucune tension en Adelheid...Ce qui l'intrigua autant que celà l'excita, n'avait elle pas peur de lui ? N'avait elle pas peur de ce qui allait s'ensuivre ? Il allait peut être pouvoir monter le niveau d'un cran...Comme rien ne semblair refroidir la belle norvégienne, sa bouche se dirigea vers son oreille dont il mordilla le lobe, sa main baladeuse continuant a caresser la courbe de son sein tandis qu'il la distrayait de son objectif principal...Il allait se faire un peu plus offensif, dans un soupir il lui lança au coin de sa nuque...

"Laissez vous emporter...Je vous emmene avec moi..."

Lança Watari avec délice alors que sa main commençait a caresser le bas de son ventre avant de se diriger vers son intimitée et de commencer lentement a exciter celle ci, collant son corps contre le sien pour entendre le coeur d'Adelheid battre contre le sien, il leva les yeux vers elle comme pour lui demander la permission.

"Que ressentez vous ma mie ?"

Fit le diable cornu alors qu'il passait le dos de sa main doucement le long de sa joue, caressant celle ci et plongeant ses yeux bleux dans son regard noisette qu'il eut sur le champ envie de dévorer, sa main s'aventura dans ses cheveux, les peignant tout en continuant a exciter son interêt plus bas...

"Me laisserez vous vous emmener avec moi?"

Demanda doucement Watari.
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