Une danse [ Pv ]

http://www.youtube.com/watch?v=tXKHjQ07QDs

Les débuts d'hiver étaient décidément bien frileux. La déesse remonta sur son épaule la manche de son manteau en fourrure blanche, sentant un vent frileux se faufiler sous ses vêtements. Elle attrapa de sa main gantée de dentelle le verre rempli de whisky posé sur la table à ses côtés. Elle était la seule à oser boire sur la terrasse, affrontant la météo coriace de l'hiver, qui annonçait un noël pressant. Noël ... Une triste fête qui reflétait bien la société chrétienne actuelle. Elle se contenterait de fêter le solstice d'hiver, et rien d'autre. Elle but une gorgée, doucement, laissant l'alcool envahir son palais et brûler ses papilles. Cette boisson la réchauffait avec bonheur. Elle eut un soupir, un sourire, et remua ses cheveux noirs mal coiffés et volumineux. Oh, elle ne ressemblait plus tellement à une déesse maintenant. Tout juste à une humaine. C'était sûrement mieux, sans doute, que de semer la terreur et chercher sans cesse la haine.

Elle n'en revenait même pas d'avoir envisagée des plans machiavéliques envers son propre fils pour récupérer une once de puissance. Les temps étaient finis ... Elle n'avait guère de prêtresse, elle n'avait presque plus de pouvoir. Juste sa force, son agilité et son art du combat. Elle but à nouveau une gorgée, et ferma les yeux. Elle se sentait quelque peu fatiguée.

En ces temps, elle ne se représentait même plus comme une déesse. Juste comme une femme qui buvait du whisky relativement souvent. Quelle tristesse. La place publique était vide, il faisait froid ... Elle frissonna à nouveau. La vie avait bien changée ... Elle se leva doucement, et entra dans le café. Un bal s'y tenait. L'atmosphère changea radicalement : elle venait de quitter un vent frisquet et un silence sinistre pour entrer dans une bulle de chaleur, emplie de rire et de piano. Elle eut un petit sourire, et retourna dehors aussitôt. Elle attendrait de récupérer avant d'entrer pour danser. Elle s'alluma tranquillement une cigarette, appuyée contre le mur, admirant ces gens heureux qui dansaient au rythme d'un piano voluptueux, un petit sourire sur les lèvres.

L'Olympe, et ses temples a perte de vue, ses pretresses et ses sujets, ses dieux... Un monde a part, une prison dorée a qui ne sait pas y trouver son propre interet, ou ne voulait plus se battre a chaque instant pour garder sa place parmis eux. Ares lui, etait voué au combat, depuis toujours. Inpenssable pour lui d'abadonner son statut, sa fierté bien trop importante et son ego démesuré ne pourraient le supporter. Regardant sur son globe de Vision, le Dieu de la guerre avait le regard vrillé sur une image des plus... Interessante. Un mince sourire apparut sur le visage du guerrier, quant enfin il eu confirmation de l'identité de "l'humaine" qu'il regardé depuis maintenant un petit moment.

L'ensemble des Dieux Olympiens se demandaient ou elle avait bien put passer... Si il lui etait arrivé quelque chose, ou si le groupe assassin de Dieux avait finit par l'avoir. Mais plus important encore, Arés l'avait retrouvé en premier. Bien avant les soit disant chasseur, bien avant Artémis et Appolon, les deux fofolles... Mais trés vite son sourire disparait sous le masque grabatére et austére du Dieu des Guerres... Que faisait elle la? A quoi jouait elle parmis les mortels? Hera, Reine de l'Olympe, se trouvait en bas, parmis les fourmis de ce monde, pour jouer les mannequins, et les princesses de bal... Il en fut quelque peu déçu... Certes il ne portait pas véritablement Héra dans son coeur, mais, depourvu de coeur d'une part, et ne portant personne dans ce dernier d'autre part, il respecté celle qui etait capable de mettre un peu de pression sur le Vieux Zeus. La Reine des Dieux, perdu au milieu des misérables Mortels, la vie devait y étre triste pour qu'elle en arrive a cela.

Mais une idée germa dans la téte du Guerrier. Certes, Héra et lui n'ont jamais été trés proche, et pourtant, il avait assés de fierté pour tenter de ramener la Reine a la raison. Il etait pour lui inconcevable de le dire aux deux incompétants qu'etaient Artémis et Appolon, si bien qu'il lui revenait le devoir de reprendre et d'arracher aux mortels, la déesse. Il interpella les servants, leurs indiquant alors de preparer une chambre supplémentaire au temple de la guerre, en vue de la reception d'une convive de marque... Il ne faisait pas cela par gentillesse, mais par pure apport personnel. Ramener Héra au bercail lui serait bénéfique, et il pourrait ainsi compter sur le soutien de la Reine dans le future. Mais encore fallait il la sortir de ce monde la. Projet ambicieux.

Il se decida pour prendre une forme la plus humaine possible. Faisant retomber son aura au maximum, il s'afficha dans un costard sombre, une chemise blanche, et une cravate tout aussi sombre. La pince cravate etait frappé de l'éffigie de la guerre. Le Dieu garda tout de méme son apparence, ses cheveux blanc immaculé faisant contraste avec sa tenue, ses yeux bleu glace reflettant qui il etait. Il etait fin pret, et dans un halo de lumiére, il disparut, pour se rendre sur Terra, a proximité du lieu de cette petite féte ridicule qu'organisé les mortels. Assez loin de la Déesse, mais suffisement proche pour la rejoindre rapidement, ce qu'il fit.

Il l'aperçut de loin, et ne put retirer son sourire de ses lévres... La déesse avait changé, méme sous ses traits d'humaine, il pouvait constater les changements. La chevelure, son aura, son caractére... Héra n'etait plus que l'ombre d'elle méme. Approchant rapidement, il fit en sorte que la cigarette disparaisse dans un brasier, sans bruler les doigts fins de la fumeuse, prenant sa main pour l'emmener a l'intérieur, sans un mots de plus, l'enlacant et commencant alors a danser tout contre elle, les yeux dans les siens, le visage assez proche pour n'entendre qu'elle...

"Drole d'endroit pour te retrouver..."Mere"."

Il avait lancé l'appelation avec une touche ironique. Méme si techniquement, Hera l'avait enfanté, il ne l'avait jamais considéré comme sa mére, mais plus comme une Reine, méme si il ne la respectait que pour son caractére, et son physique trés avantageux... N'avait elle pas été incestueuse avec Zeus? Un rire legers, il la fait pivoter, la reprend contre lui, et recommance...

"Que fait donc la Déesse que tu es, parmis ces mortels si pitoyable?"

Un cavalier galant, c'était ce qu'elle avait pensée au tout début, quand l'être l'avait attrapée pour l'emmener esquisser quelques pas. Même si sa cigarette avait disparue, effacée dans le vent, elle ne se serait pas doutée que ce soit un dieu Olympien qui l'amène en ces lieux. Surtout Ares, pour tout dire. Ares l'emmenait donc danser parmi les humains, dans une atmosphère mondaine, où la cigarette et le parfum se mélangeait à la transpiration des danseurs. C'était bien étrange, pour tout dire. Enfin, en tout cas, elle ne s'en trouvait pas déçue ou même ennuyée. Elle dansait, c'était déjà ça. Ares venait de lui éviter de mourir de froid, il avait chassé la froideur qui désirait épouser sa peau, pour l'emmener virevolter au son d'un piano dont le sol aigu - aïe ! - sonnait faux.

Mais c'était son regard, évidemment, son regard, qui l'avait attirée. Qui lui avait mis la puce à l'oreille. Un regard si "troublant" qu'elle avait reconnue son fils tout de suite. Qui d'autre portait autant de violence, qui d'autre avait l'iris couverte de haine, et les paupières abîmées par le combat et l'intensité de la vie ? Arès, sans aucun doute. Hera pris bien son temps avant de répondre aux interrogations de son cher fils, et le suivit dans sa danse, avant de répondre avec sa voix devenue si humaine et douce.

- Quel honneur, ce cher Arès s'inquiète pour moi ... ironisa t'elle gentiment en esquissant un sourire, tandis qu'elle profitait d'un instant pour ôter son manteau qui commençait à lui coller à la peau, faisant profiter les gens d'une délicieuse robe noire, si simple qu'elle était une insulte pour une déesse de son nom. Eh bien, si tu veux une réponse ...

Elle eut un léger sourire, et tourna sur elle même, revenant contre lui, pour repartir de plus belle, suivant le rythme du piano.

- Je ne suis plus rien, mon Cher, et c'est cela la triste vérité. Zeus a ses nymphes, les dieux ont leurs prêtresses, et tu sais pertinemment à quel point je méprise les prêtresses. Des êtres faibles ... Je détesterais en posséder une.

Elle eut un léger rire, le regard rempli d'une légère assurance, tandis que le rythme s'accélérait, mais qu'elle ne fatiguait pas pour autant. Ses pieds touchaient à peine le sol, et elle restait digne, dans son allure, de son statut de Reine des Dieux

- Alors je traîne ici, je danse, je m'amuse ... Que reste t'il à faire ? Certains humains sont de bons amants, je t'assure ! Peu, mais ... il en subsiste !

Nouveau rire, nouveau sourire. La musique changea, et elle profita pour respirer un instant.

Il avait dans ses bras, la Reine de son Royaume, celle qui avait été l'epouse de Zeus, la mégére, dansant tout contre cette beauté, qui sentait l'humaine a plein nez desormais. Quelle decéption, méme pour lui, qui s'était immaginé qu'elle etait venue sur Terra, afin de reprendre un peu de force et de courage, peut étre méme à rassembler des humains, pour les fidéliser a son temple... Mais cela n'etait rien de tout cela... Elle etait en exil. Si... Humaine desormais. Il continua a la faire danser, dans un rythme soutenue, se souvenant de ses immenses féte organisé du temps de l'antiquité, ou la musique malgrés tout, etait bien meilleurs que celle d'aujourd'hui. Le Dieu guerrier garda ses yeux dans ceux d'Hera, cherchant a trouver une once de masquarade a ses histoires... La Reine ne pouvait avoir abandonnée... Il connaissait bein sa "mére", il la savait plus renvancharde que cela, plus battante... Lui ressemblant parfois. Mais aujourd'hui, elle avait totalement abandonnée, se resignant a vivre parmis ces insectes d'Humains, qui ne servaient que de jouets aux Dieux.

La musique finit par cesser, avant de doucement entammer un autre Morceau. Il la laissa respirer quelques seconde, prenant deux verres au passage d'un serveur, lui lançant un regard Mauvais, si bien que l'employé ne demanda pas son reste. Il tendit la coupe de champagne a sa Reine. Il la regarda, detaillant sa tenue... Elle portait une robe qui lui allait a merveille, epousant ses formes toujours aussi attisantes, dans un noir mystérieux, la rendant enigmatique, méme pour une humaine. Tandis qu'il but une gorgée, il approcha son visage du sien, murmurant a son oreille...
"Tu te trompe lourdement si tu crois ne plus posseder le moindre pouvoir en Olympe... Zeus reste un bon toutou sous ta poigne, le Vieux a peur de ce que tu es..."

Il se recula, finissant d'une traite son verre, avant de reprendre la main de la Reine, la menant sur la piste a nouveau, la collant encore a lui, dans une danse plus douce que la précédente. Son corps epousa le sien, il sentait méme la poitrine de la Déesse sur son torse, et ne put retenir un sourire amusé et lourd de sens. L'allusion sur les amants ne lui avait pas echappé, et tandis qu'il glissait une main le long de son dos, pour venir la poser juste au dessus de ses fésses, il reprit ses murmure legers, au creu de son oreille..

"Ne te voile pas la face... Les humains n'y connaissent rien en terme de plaisir... Aurais tu deja oublier les bienfaits d'un Dieu? Souhaites tu y regouter auprés de l'un d'entre eux? Je peux toujours organiser ca, Oh ma Reine"

Il rit doucement. Il devenait lui aussi ironique. Méme si il ne voulait l'avouer, il etait déçue de voir cette femme terriblement seduisante par son caractére inflexible, que de la retrouver ici, lui mettait du baume au coeur... Méme si le siens etait irrécuppérable. Il la fit a nouveau pivoter, la penchant alors en arriére, s'approchant d'elle en se penchant, ses lévres juste contre les siennes, a la limite du contact.

"En Olympe, tu aura des amants... De l'alcool. Des fidéles aussi. Tu sais bien que peu de monde de resiste, a quoi bon te melanger avec ces étres la?..."

Sa main derapa alors légérement, venant froller le fessier sublimement epousé par sa robe noir.

Une danse des plus énigmatique se jouait sur cette scène. La déesse se laissait aller aux bras d’Arès, connaissant bien les jeux de cet être si puissant, et ne lui opposait pas tellement de résistance. Arès était, après-tout, un des dieux les plus dangereusement séduisant de l’Olympe, et elle avouait elle-même qu’elle le trouvait des plus attirants. C’était un jeu, chaque mouvement était un doux jeu. Alors, pourquoi s’en priver ? Elle ne répondait à ses remarques que grâce à des sourires plus ou moins dessinés, et ses longues mains restaient tendrement accrochées au dos du dieu de la guerre, caressant son vêtement et devinant sa colonne vertébrale. Mais elle ne se laissait pas faire pour autant, elle possédait un esprit fichtrement contradictoire, et une envie persistante de jouer avec les gens, que cette personne soit un dieu, ou non.

Profitant d’un instant, elle se détacha de lui, attrapa sa main, et revint en tournant, son dos collé contre le torse d’Arès, une de ses mains enserrant celle du dieu, tandis que l’autre venait toucher la nuque d’Arès. Elle dansa contre lui, non pas de manière vulgaire, mais sensuelle, comme elle le faisait souvent, puis se retourna brusquement pour lui faire face, son visage proche du sien.

- Les bienfaits des dieux, tu dit ? Ma dernière aventure avec une déité datait de Zeus, mon cher, et je t’assure que j’ai connu mieux ici bas …

Elle eut un petit sourire, à nouveau, et passa sa main doucement dans la nuque de son cher fils, tandis que l’autre agrippait le bas de son dos pour ne plus s’en décrocher. Elle approcha doucement ses lèvres de celles d’Arès, les effleurant doucement, sans prononcer d’autres mots pendant un moment. Elle sentait sa nuque qui chauffait, et ses cheveux lui tenaient chaud, mais préférait ignorer cela, maintenant son regard incandescent plongé dans celui de son fils, avec toujours une pointe d’amusement dans le regard.

- Et je reste ici, juste pour le plaisir de voir un dieu me demander de le suivre, ajouta-t-elle en haussant un sourcil, légèrement provocatrice.

Elle s’éloigna à nouveau, tournant sur elle-même avec une vivacité digne de son rang, et revint brusquement contre lui, l’agrippant, comme pour lui laisser entendre qu’elle ne comptait pas le laisser s’échapper facilement.

La Danse devenait un balais terriblement sensuel, et la salle, méme parmis les danseurs, jettait des regards aux deux divinités, qui s'étaient lancés dans des gestes delicats, mais tellement sous entendut... Ares regardait cette Reine, a l'allure humaine avec une étincelle dans les yeux. Oui, Hera etait belle, n'etait elle pas leurs souveraine a tous? Sans nul doute que Zeus avait été fou de laisser partir une femme telle qu'elle, mais le Vieux n'avait jamais rien comprit a ce qu'il valait mieux pour lui. Hera etait son garde fou, la plupart des Dieux ne s'etaient pas encore rebellé contre le Maitre de l'Olympe, uniquement parce qu'Hera avait reussi a les amadouer, ou simplement a les calmer. Sans elle a ses cotés, Zeus finirait un jour par perdre de sa splendeur, au profit d'une autre divinté plus maline que lui.

Certes, la place de Maitre du Panthéon etait alléchante, méme pour un solitaire comme Ares, mais finalement, il se contantait de son rang. Parmis les douzes premiers, il etait l'un des plus puissants... C'etait ainsi, les humains ne pouvaient vivre sans la guerre ni la vengeance... Et tout cela jouait en sa faveur. Zeus sans Hera etait faible, et il etait dans l'interet de l'Olympe de retrouver rapidement sa Reine... Sans quoi une guerre de pouvoir aller bientot avoir lieu... Mais cette guerre la, n'etait pas du tout au gout du patron des Guerriers.

Il sentit alors le dos cambré d'Hera, tout contre son torse, ne s'empechant pas un demi sourire, devant admettre qu'il apprécié le contact, et il fit tout pour le garder le plus longtemps possible... Hera etait de plus en plus troublante, et il comprenait desormais pourquoi Zeus l'avait prise pour épouse... La Danse ne s'arretait plus, et ils etaient maintenant seuls dans leurs bulle... Elle ondulait, il caressait, elle s'aggripait, il souriait... Il sentait ses lévres si proches des siennes, mais resta sans bouger, continuant sa danse, ainsi collé a elle.. Ses main la tenait fermement, ne la laissant partir de sa poigne, que pour mieux la reprendre ensuite. Tout ce petit jeu avait un gout de seduction, ou Ares plongea totalement... En cette heure là, il etait sous le charme de celle qu'il appel, Sa Reine.

"Zeus dis-tu?... Zeus est un vieux sénil, qui ne pense qu'a son bon plaisir... A part se tranformer en Taureau pour dragouiller une mortelle, il est bien incapable d'autre chose..."

Il sourit, s'affichant comme un véritable opposant au Dieu des Dieux... Il l'avait toujours affiché, et de nombreuse fois il avait été mit à l'ecart des douzes. Mais Ares reste Ares, le Dieu de la Guerre etait craint et respecté parmis les siens, et on le connait comme un étre belliqueu et rebel. Ses mains continuer de courir le long du corps de sa Mére, avant qu'elles ne s'arrétent... L'une au creux de ses reins, qu'il maissait doucement, l'autre enlacant la main d'Hera, son regard Bleu glace dans celui de la Reine... Avec un demi sourire, il frolla lui aussi ses lévres, son souffle chaud venant frapper le visage sublime de la Déesse en cette soirée...

"Si tu continue ainsi, ce n'est pas en Olympe que je te raméne, mais dans ma couche... Mére."

Il lui sourit d'un air de défis. Avant de reprendre doucement ses pas, l'entrainant avec lui, gardant sa main enlacé dans la sienne, avec presque... De la tendresse. Sans le lui avouer, Ares, en ce moment méme, se laissait aller a la seduction de la Reine, un peu trop méme... Elle etait belle, sublime méme, et étrangement, il ne pouvait plus détacher son regard d'elle... Avait elle jeté un sort, ou etait ce l'ambiance? Ou... Tout autre chose?

Sans attendre plus, il l'embrassa alors, tout en continuant de danser, coller a la magnifique Divinité dans ses bras.

Entendre son propre fils insulter ainsi Zeus était un plaisir. Non pas qu’elle détestait son mari, mais elle ne l’adorait pas pour autant. Il la trahissait, et, comme tout le monde le savait, si Zeus demeurait, c’est parce que la colère d’Hera était la pire chose qui pouvait tomber sur une personne. Même les dieux la détestaient quand elle était en rogne. L’avoir comme ennemie relevait du suicide pur. Mais ici, il n’était pas question de haine et de rage, et la déesse le sut en entendant les dernières paroles d’Arès et en sentant son baiser. Elle encercla alors de ses bras le cou du dieu, ne se décrochant pas de lui. Un sourire se dessina tout de même en son for intérieur, tandis qu’une bouffée de chaleur envahissait ses poumons. Elles se recula doucement, admirant cet être face à elle, son regard retrouvant sa puissance de déesse, et elle laissa un sourire naître sur ses lèvres. Elle secoua un instant sa crinière noire, non sans lâcher son fils, passant ses doigts le long des lèvres d'Arès.

- Dans ce cas, continuons …

Elle l’embrassa à nouveau, éprise. Qu’il soit son fils l’importait peu - Zeus était son frère, après tout - sachant qu’en ce moment, elle était avec le dieu de la guerre, si craint et respecté. L’excitation liée à l’interdit monta en elle, et elle dévisage le visage de ce dieu, toujours avec un petit sourire. Autour d’eux, la danse continuait, les danseurs dévisageant ce couple incestueux avec une certaine gêne - après tout, c’était une soirée BCBG, et ce genre de signes extérieurs ne plaisaient pas - , tandis qu’Arès et Hera continuaient de danser.

La déesse, amusée, reprit sa précédente place, tournant pour coller son dos contre le torse de son fils, se mouvant de manière plus explicite.

- Je ne me permettrais pas de refuser une telle invitation, fils, lança-t-elle d’un ton amusé.

Cette soirée etait decidement riche en... Surprise. Le Dieu de la Guerre, au bras de la Reine d'Olympie, qui l'embrassait avec une passion devorante. Voila qui ferait rire certain, tandis que d'autre y verraient un moyen pour l'un ou l'autre d'arriver a ses fins... L'alliance entre ceux deux la etait dangeureuse pour Zeus, ou pour tout autre divinités... La puissance des armées du Dieu Guerrier, renforcé par la puissance de la colére légendaire d'Hera. Cela fit sourire Ares, qui finallement, n'avait pas pensé une seule seconde a cela, il avait juste était prit dans la toile de seduction dans laquelle ces deux là c'etaient jetés. Toute l'assistance avait ainsi put voir le manége sensuel du couple, entre danse subtilement erotique, et baiser tendrement sauvage, les dés etaient jetés... La réponse de la Déesse laissa Ares sous le charme... Avait il deja trouvé cette femme aussi belle que ce soir? Non, sans nulle doute. Il etait venu ici dans l'espoire de la ramener a son Mari, et il ne la voulait plus que pour lui desormais...

"Si tu veux continuer, ne compte plus sur moi pour m'arreter... Mére..."

Il sourit, ses yeux se plissant de malice, sous son sous entendut plus que compréhensible... Oui, il la voulait, il la desirait, ardement, ici et maintenant, alors qu'elle revenait l'embrasser avec une fiévre peu comune.. Hera avait un don pour ce qui etait d'enflammer les hommes, plus particuliérement les Divinités. Si seulement les mortels qui etaient passés entre ses bras s'etaient rendut compte de leurs chance.. Mais non, ils ne le sauront jamais.

Elle reprit ses mouvements de hanches contre son torse, dans des mouvements de plus en plus sulfureux... Il sourit, posant ses lévres au creu de son cou, ses mains se glissants vers ses hanches, qu'il aggripa solidement, se collant un peu plus a elle, son entre jambesvenant alors frotter sur son sublime fessier galbé... Il ajouter lui aussi du mouvement, alors qu'il sentait la chaleur les envahir, ignorant sublimement les autres convives de cette soirée d'Aristo.

"Mais peut étre ne vais je pas étre capable d'attendre l'arriver a ma couche si tu continue ainsi..."

Il mordit doucement sa peau, morsure qui se tranforma en baiser, une de ses mains venant alors froller son seins droit par dessus sa robe noir, pour redescendre enlacer sa taille fine...

La déesse eut à nouveau un petit sourire, et passa sa main dans sa chevelure noire, sensuellement, tandis qu’elle continuait de danser. Elle eut un petit soupir en sentant la morsure, ce qui entraîna une rotation rapide sur elle-même, afin qu’elle se retrouve face à Arès. En un instant, elle le captura contre elle, l’embrassant avidement, avec une fièvre montante. Comment se faisait-il qu’elle désirait tant son fils, ce dieu violent et ravageur, qui ne lui avait causée que des soucis auparavant ? Comment en était-elle arrivée à ne pas envisager qu’il disparaisse ? Elle le voulait contre elle, avec elle, et ce pour cette nuit, et aucune autre. Sa dernière remarque arracha un sourire à la déesse, qui pris l’air de réfléchir un moment. Attendre serait aussi impossible. Elle ne s’imaginait pas se calmer, elle était prise dans une tornade ardent, et ne voulait pas s’arrêter.

Jusqu’à ce qu’elle aperçoive un lieu. Une porte. Rapidement, elle entraîna Arès hors de la piste de danse, l’embrassant toujours, et elle ouvrit la porte avec fracas. On ne se soucierait pas d’eux, tant pis s’il n’y avait pas de clé. Ils entrèrent rapidement, et la déesse ferma la porte sans faire de bruit, puis analysa rapidement les lieux.

Un bar, des tabourets, des fauteuils en cuir, des tableaux de Véronése. C’était un salon privé, et un des plus chics. Elle réprima un frisson d’excitation, et jeta un regard amusé à Arès, le maintenant contre elle.

- La solution s’offre à nous, mon cher, lança-t-elle en faisant claquer sa langue contre son palais.

La musique se faisait encore entendre, ainsi que les bruits de la pièce à côté, tandis que la déesse se logeait tout contre le dieu, entreprenant de lui embrasser et de lui mordiller le cou, ses mains se maintenant dans le dos d’Arès, le griffant presque.

L'attirance devenait de plus en plus difficile a supporter, tandis qu'autours deux, les gens commencé a parler de scandale... Qu'importe l'opinion de ces mortels, en un geste, il aurait put tous les abattres, ou les immoler par le feu. Mais en cet instant, il etait totallement absorbé par Hera, sa mére, sa Reine. La reponse dans son baiser etait fougueuse, presque suplliante, ils leurs fallaient rapidement trouver un lieu, pour calmer ce feu, qui avait prit naissance dans leurs corps, voir méme.. Leur Coeur. Hera, l'ammena alors dans un petit salon a l'ecart de la grande salle. La Porte ne possédait pas de verrou, qu'importe, cela était d'autant plus excitant... Elle se colla de nouveau a lui, son cou prit d'assaut pas les lévres sensuels de la jolie Divinité. Il avait tellement chaud...

"Un endroit parfait..."

Il l'avait dit dans un soupir... ALors que doucement, il passa une main dans le dos de la déesse, lui degraphan lentement la robe, avant de se resigner, sourire aux lévres.. La musique se faisait en effet encore entendre, et il repit la danse la ou ils l'avaient laissé, mais ici, plus besoin de se tenir, ou du moins d'essayer.. Dans un baiser a la limite du correct, il jouat de sa langue avec la sienne... Il savait qu'avec Hera, il pourrait rester lui méme, se laisser aller... Elle etait le feu qu'il avait besoin en ce moment... Cela devait sans doute expliquer pourquoi ils en etaient la..  non?...

Il murmura alors tendrement a l'oreille de sa mére...

"Danse pour moi, Magnifique Reine..."

Il se recula, la regardant toujours, desserant le noeud de sa cravate, tout en s'installant sur le fauteuil en cuir.. La musique etait parfaite, Hera etait sublime, le lieu propice a ces deux étre que tout oppose habituellement... Mais, les opposés ne s'attirent ils pas?... Arés sourit, ne voulant pas penser plus loin, de peur de devoir se reveler quelques vérité qu'il ne souhaitez pas entendre... Pas Encore.

Une danse ? C’était à la limite de l’incorrect pour tout ces gens si bien tenus dans la salle à côté. Mais, ici, dans ce salon chic et si présentable, il n’était plus question de correct ou d’incorrect. Il était question d’un feu destructeur et dangereux. Soit, il souhaitait une danse, il l’aurait ! La déesse, aussitôt, se posa contre le bar, comme pour prendre son élan, et commença à se mouvoir. Elle ressemblait à une flamme. Une flamme forte et brûlante. Elle avançait, reculait, tout en bougeant avec une sensualité sans vulgarité. Sa robe, ouverte à l’arrière encore, manquait de tomber sur le sol à chaque mouvement, mais elle retenait ce morceau de tissu pour l’instant.

Pour l’instant … Hera était devenue une autre. Elle n’était plus humaine. En l’espace de ce temps, elle redevenait la valeureuse, la guerrière, la dangereuse Hera, qui faisait trembler l’Olympe. Elle faisait mine de s’approcher d’Arès, pour mieux reculer par la suite, et ne se privait pas de faire danser chaque parcelle de sa peau. Sa chevelure noire la suivait dans chaque mouvement, et ses yeux incendiaires semblaient plus que jamais remplie d’un sentiment qui vous donnait envie soit de vous approcher, soit de vous reculer, au choix. Si vous aimez le danger …

Elle faisait aller ses bras le long de ses jambes, de ses cuisses, sur sa poitrine. Ses jambes, agiles, retenaient son corps qui ondulaient. Ses lèvres retranscrivaient des sourires effacés. Ses doigts remuaient avec tendresse. Elle était une autre … Elle ne cessait de fixer le dieu, le maintenant sous son emprise, lui jetant des regards explicites et foudroyants, agitant sa bouche pour réclamer de nouveaux baisers.

Ce ne fut que vers la fin que, d’un geste, elle se décida à faire tomber sur le sol sa si belle et si simple robe, se révélant en dentelles et bas noirs devant son cher fils, avec toujours ce sourire provocant, prenant une pose tendre, l’invitant à venir. Non non, elle ne bougerait pas … ce serait lui, et lui seul qui viendrait la prendre.

Il s'installa confortablement sur ce fauteuil en cuir, la regardant se reculer, jouer de son corps méme durant sa préparation. Il remarqua alors combien Hera etait belle... Attirante, et pleine de sensualité. Comment, pendant tous ces siécles passés avec elle en Olympie, il n'avait put ressentir pareil desir que celui qu'il avait ce soir... Souriant, il la regarda alors bouger, sensuellement, ne manquant pas une miette de ce spectacle sublime qui s'offrait devant lui. La Reine, SA Reine etait enfin de retour. Il avait un sourir rayonnant... Oui, il la retrouvé enfin, celle qui menait Zeus a la baguette, la sublime Reine qu'il etait impossible de dompter... Beaucoup y avait laissé leurs amour propre. Mais ce soir, oui ce soir elle etait la plus belle, de toute et de loin.

Son corps ondulait a la perfection, ses cheveux bougeait au Rythme de cette musique, tandis que sa peau ne se devoilé qu'a peine, avant de se voir revétir a nouveau par le tissus. Il sentait grimper son excitation, alors qu'elle jouait de ses doigts le long de ses formes, de ses lévres, l'invitant a venir les capturer, les seduirs... Arés, se sentait conquit, totalement, avant qu'il ne reste subjugué quant elle s'arreta, en dessous affriolant et en bas... Le sombre lui allait decidement a merveille... Il se redressa alors, et s'approcha, conquerant, de celle qui l'attisé sans méme le vouloir. Il caressa d'abord son epaule, avec beacoup de douceur, comme pour prendre conscience qu'elle etait réelle, avant de descendre une des bretelles de son soutiens gorge... Il avait les yeux dans les siens, son sourire n'etait plus la... Il etait bien trop eprit pour jouer desormais... Peu a peu ses doigts parcouraient le corps de la Reine, passant sur l'autre bretelle, qui subit le méme sort que la premiére... Elle avait les epaules dégagaient, et il embrassa sa peau, respirant son parfum delicat, sans faire  un autre geste...

Il la desirait, c'etait certain, mais voulait patienter... Cette chance serait peut étre l'unique. Autant au profiter toute la nuit.... Il passa alors sa mains sur sa nuque, l'attirant contre lui, l'embrassant sans hate, dans un baiser qui ressembait presque a un baiser amoureux... Son autre mains passa derriére, retirant l'ultime attache de son soutiens gorges, qui tombat au sol, devoilant sa superbe poitrine aux yeux petillants du Dieu Guerrier... Il descendit alors ses lévres le long de son cou, par des baiser langoureux, avant de passer sur sa clavicule, sa langue longeant son chemin, et enfin, il perçu le premier sein... Il jouat d'abord, l'embrassant tout autour de l'auréol de chair, sans toucher a la pointe durcit, mordillant par moment la peau de ce valon... Ses mains descendirent aussi, a hauteur de ses hanches, pour la garder contre lui.

Il se mit alors a genoux devant elle, mettant ses seins a hauteur de son visage, tandis qu'il passait ses lévres sur l'autre, jouant ainsi de droite a gauche, pour enfin sucoter sa pointe de chair... Une de ses mains s'occupa de l'autre qui n'etait pas sous les assauts de sa bouche. Le prenant entre ses doigts, le massant tendrement... Il releva alors le visage vers le sien...

"Tu... es incroyablement belle... Ma Reine."

Il était clair qu’Hera n’avait plus l’habitude d’autant d’attentions. Elle avait presque oubliée à quel point le fait qu’un homme vous serre contre lui avec envie et patience était bon. Elle avait même oubliée la saveur de ces douces caresses, de ces tendres baisers. Le sexe était bâclé, actuellement, et jamais un humain ne lui avait fait ressentir de pareilles choses. Elle laissa tomber son haut sombre, sans chichis ni timidité, et rendit son baiser haletant au dieu, qu’elle désirait en cet instant plus que n’importe quelle chose. Elle se sentait devenir brûlante, c’était presque affolant.

Arès avait cet art, cette manière peu commune de vous toucher que chaque fois que ses doigts effleuraient la peau de la déesse, elle ressentait tellement de frissons qu’elle avait peur de tressaillir. C’était un dieu, après tout. Il suffit, un instant, qu’il ose descendre sa bouche pour qu’elle se morde délicatement la lèvre inférieure, conquise. Oh, que cela lui manquait ! Que ces attentions lui faisaient du bien ! Elle eut un soupir, sentant sa nuque trembler, tandis qu’elle gardait sa main dans la nuque du dieu, la caressant doucement. Il savait y faire, avec elle.

- Arès…

Elle savait bien que ce genre de chose, elle ne les vivrait qu’une fois, sûrement. Arès était si unique, que l’avoir prés de vous relevait du miracle. Et l’avoir contre vous, en train de vous embrasser la poitrine avec tant d’attention que vous n’en revenez pas, c’était tout autre chose. Personne ne s’en rendait vraiment compte. Elle sentit son cœur s’accélérer brutalement, et la chaleur monter entre ses cuisses. Elle n’avait pas de mots à prononcer, juste une respiration et des battements qui devenaient destructeurs.

Sa peau etait brulante, sous ses baiser, il semblait pouvoir se bruler a chaque instant, tandis qu'il prenait le temps de decouvrir ses seins, de les saluer, avec ses lévres avides de désirs pour elle, pour son corps, son coeur. Ses mains, remontérent alors de part et d'autre de ses hanches, de sa poigne delicate, alors qu'il prenait entre ses dents, l'un des tetons durcit de la Reine... Sa langue donnait également des acoups, le frappant de haut en bas, a mesurequ'il relaché sa morsure... Tout etait fait avec douceur et tendresse, melant la fougue habituelle du Dieu dans ses mains, qui cherchaient absolument a caresser le plus de centimétre carrés de cette peau douce et soyeuse.. Il respirait son parfum, s'en imprégner, alors que doucement, il la poussa vers l'un des tabouret de Bar derriére eux, la laissant s'y poser, la regardant simplement avec un doux sourire...

Ses mains, se saisirent alors de son ultime dessous, de chaque coté, pour venir le faire glisser le long de ses longues jambes fines, le laissant rejoindre le reste des affaires sombre deja au sol... Il venait de devoiler l'intimité d'Hera... Il avala péniblement sa salive... Un instant qu'il n'avait jamais éspéré, et qui pourtant, etait en train de se derouler... Il prit alors doucement sa jambes droite, et ses lévres de posérent sur ses bas, a hauteur de sa cheville, qu'il embrassa, remontant lentement vers sa cuisses... Sa progression etait méticuleuse, et tandis qu'il approchait de son objectif, ses yeux se plantérent dans ceux de sa sublime compagne... Se soir, il etait decidé a lui faire connaitre de nouveau, les plaisirs que savent donner les Dieux... Lui en particulier..

Ses lévres s'arrétérent au niveau de l'aine de sa Mére, tandis que sa min massait doucement son autre jambes, suivant le méme parcours que sa bouche... Il faisait durer le plaisir, soufflant sur son intimité, la frollant, embrassant juste a la naissance de sa vulve, la taquinant... Il sourit, et sans qu'elle ne s'y attende, sa langue vient enfin rejoindre son jardin secret... Il ecarta de son arme buccale, les deux lévres inférieure, les agacant, les aspirants, les mordillants, devoilant doucement son clitoris... Avec une infime tendresse, il le prit alors entre ses lévres, et le sucota, sa langue donnant des coups irrégulier pour creer la surprise, et ainsi ajouter a son bon plaisir... Il voulait, que jamais elle n'oublie cette instant... Jamais.

Sans faire d'histoires, la belle se posa sur le tabouret, toute excitée par les bienfaits que lui procurait Arès. Le froid du cuir se réchauffa automatiquement quand le corps brûlants d'Hera s'installa. Une Hera qui n'avait plus de retenue, qui ne voulait qu'une chose. Impatiente, certes, mais elle restait partagée entre l'envie, la pulsion, et la patience. Elle voulait, certes, savourer l'instant, mais elle ne se sentait pas capable de réfréner son impulsivité légendaire. Ces attentions méticuleuses faisaient frissonner chaque parcelles du corps de la déesse, et elle sentait que jamais sa peau n'avait été aussi sensible.

Elle qui se sentait habituellement à l'aise dans ce genre de situations, demeurait tout de même gênée. Un dieu n'était pas un humain, et depuis bien longtemps elle n'avait pas goutée au plaisir qu'ils procurent. Mais ce soupçon de gêne s'envola quand elle sentit la bouche d'Arès à l'entrée de son intimité. Elle se crispa, agressée par les sensations perdues de ce genre de choses si délicates et doucereuses. Sa main, immédiatement, se posa dans les cheveux d'Arès, non pas pour le maintenir, mais pour trouver une attache.

- Arès ... répéta t'elle dans un souffle.

Elle sentait tout son corps qui, brusquement, prenait feu, et s'allumait. Sa respiration devint chaude et plus violente, et ses mains habiles s'agrippaient aux cheveux et à la nuque du dieu, tandis qu'elle sentait monter en elle des sensations qu'elle ne pensait plus jamais rencontrer. Elle sentait des remous dans son ventre, son cœur, son corps, et sa peau se recouvrait de frissons, à intervalles irrégulières, tandis qu'elle soupirait délicieusement.