The big bad wolf ( Pv Don)

Immédiatement après que Dorian ait commencé ses mouvements de hanches d'une force considérable, j'hurlais sous la douleur que cela engendré. Le sentant rentrer et venir avec vitesse et force, chaque coup de butoir étant une torture insoutenable. Comment en étais-je arriver là ? Je laissais mon esprit partir dans ses pensées. Je revis la scène du restaurant, l'accident avec mon plat, qui ne devait pas être un accident en fin de compte. Le retour à l'appartement vidé de toute mes possessions, l'offre de cet homme. Dorian, un humain sympathique en apparence mais qui possède une âme noire. Qu'est ce qui le poussait à faire celà ? Quel plaisir pouvait il prendre à dominer ainsi sans vergogne ?  Je revins à la réalité quand je sentis ma queue se faire tirer et qu'on me criait l'ordre de l'appeler " maître". La respiration saccadée par les mouvements puissants de Dorian, j'hurlais aussi fort que je pouvais.

"VA TE FAIRE ! JE NE SUIS PAS TON CHIEN ORDURE ! "

Maitre par ci, maître par là...Pour qui se prenait il ?  Dire le mot " maître" reviendrait à dire non à ma liberté et à lui obérir corps et âme. Le seul fait de penser à cela me répugnait, devenir une esclave...Je repensais à ces marchés présents sur Terra où l'on pouvait apercevoir des femmes mais aussi des hommes misent à la vente telles de vulgaires marchandises. Mais jamais, au grand jamais je n'aurais crû avoir affaire à un marchand d'esclave. Et surtout pas ici sur Terre.

"T'en a pas marre ? Laisse moi ! "

Encore des supplications et encore ce rythme qui s'accélérait et qui engendrait un surplus de gémissement et de crie de douleur.  Je commençais à douter, devrais-je dire ce qu'il attend, renoncer à ma vie, à ma liberté et enfin finir avec ce calvaire ? Je réfléchissais rapidement tandis que les larmes recommençaient à rouler le long de mes joues. Un mot, je n'avais qu'à dire un mot. Je déglutis et prononça difficilement ce mot tant attendu pour cet homme.

"Maître..."

Voilà, par ce mot, je venais de signer mon arrêt. Et au fond de moi, je sentais que je n'étais pas au bout de mes supplices. J'hurlais plus fort en sentant ces coups de reins, mon corps étant en sueur. Quand celà allait-il s'arrêter ?

Don eut un sourire alors qu'il l'entendait crier et donna des coups de hanches des plus soutenus, il avait bien de quoi humilier un minimum Shad si elle continuait et elle ne voulait surement pas qu'il fasse celà pour son propre bien. Mais il le ferait de toute façon car un jour où l'autre il continuerais a lui enseigner qu'elle devait résister a tout. Avec un sourire empli de délice, il se pencha sur Shad pour lui murmurrer avec délice

"Non, tu es ma chienne."

Fit il avec humour alors qu'il la ramenait contre lui et lachait sa queue pour passer a nouveau sa main sous son Tshirt mouillé et empoigner un sein et léchait son cou, asseyant Shad sur lui alors qu'il lui donnait de grands et puissants coups de reins de plus en plus fort. Il lança avec une voix pleine de méchanceté

"Tu le sais dès le moment que tu es née, c'est a ça que tu aspire vraiment, c'est a ça que tu sers, c'est ton but dans la vie, me servir et servir tes autres maitres."

Fit il alors qu'il continuait son avancée en elle de plus en plus fort. Et finalement il l'entendit depuis ses lèvres, il sentit sa résistance s'éffondrer et il n'était qu'a deux doigt de la briser

"Oh, ça mérite une récompense ça..."

Fit il alors qu'il se dégageait d'elle pour la laisser tomber au sol, lui laissant croire que tout était fini...Mais ce fut avant que Shad ne sente les mains se poser sur ses fesses et le sexe de Don titiller son autre entrée.

"Sois donc récompensée."

Fit il alors qu'il entrait en elle a nouveau

"Alors, est tu heureuse de servir un si bon maître? "

A peine avais-je cru que tout était fini que je le sentais forcer ma deuxième entrée. Deuxième entrée qui n'avait pas du tout était préparée pour un tel act. J'hurlais alors que je sentais ce membre imposant se frayer un chemin dans ma voie rectal. Je ne pus répondre à sa dernière question immédiatement. J'hochais la tête affirmativement, de toute façon c'était cette réponse qu'il attendait et rien d'autres.  Ma queue frola les jambes de Dorian, enfin je veux dire de mon "maître" avant de se placer entre les miennes. Montrant ainsi la peur que j'éprouvais en ce moment. J'abaissais les oreilles et laissa ma tête tombait sur le sol, attendant que cela passe. Jetant de temps à autre un regard à Dorian qui se tenait derrière moi avec pour vue ma croupe relevée.
Je relevais immédiatement la tête en sentant les premiers mouvements, griffant d'un geste le sol sur le coup, tremblant de tout mon corps sous les assauts impulsifs.
Non, je n'aimais pas "cette récompense" pas du tout. Mes oreilles bougèrent de temps à autre, mes mains se crispaient sur le sol, et ma queue était maintenant plaquée contre mon ventre. Je rspirais difficilement, ayant la respiration saccadée. Il était sans doute en train de prendre du plaisir, or ce n'était pas mon cas.

Celà étant fait, Don n'avait plus grand chose a faire pour achever d'user au maximum la jeune louve, s'enfonçant a petits coups un peu plus délicats cette fois, il finit finalement par être assez profondement enfoncé pour commencer ses mouvements de va et viens, il jeta un regard dans le couloir de l'immeuble qui était a présent allumé, il pouvait le voir a travers l'entrebaillement de la porte, ils avaient surement reveillé les voisins, les murs de ces immeubles étaient en carton pate. Pour l'instant aucun d'entre eux n'avait eu le courage d'ouvrir la porte, et nous étions au japon, aucun n'en aurait surement jamais le courage, tous étaient intègres et bien trop honnètes pour venir aider Shad, cette considération lui procura un élan d'adrénaline et il décida qu'il était temps de laisser l'entrée de service pour revenir s'occuper de l'entrée principale, sortant sa verge de Shad, il la repénétra presque instantanément de l'autre coté tandis que ses coups de reins se faisaient aussi violents qu'auparavent

"Bien, a présent tu écoute ce que je dis, si je ne te le demande pas tu ne m'adressera plus la parole que par des aboiement, est ce clair ? Je veux t'entendre aboyer quand je te pose une question, ou quand je m'occupe de toi, et si je ma question ne peut pas être répondue par oui ou par non, a ce moment là tu me parlera. Tu as compris ?"

Fit il alors qu'il accelerit ses mouvements de bassin comme il ne l'avait jamais fait, il la repris sur ses genoux et cette fois ci alors qu'une main palpait ses seins, l'autre força Shad a regarder ce qu'il était en train de lui faire, la vision de sa colonne de fer, entrant et en elle, légèrement ensanglantée et couverte de cyprine serait ce qui acheverais la destruction de sa sanitée, il lança

"Alors dis moi, qu'est ce que ça te fait de savoir..."

Fit il alors que son mouvement arrivait a son paroxisme

"...Que tu va porter l'enfant de ton maître ?"

Et il vint en elle, se deversant et faisant bien en sorte qu'elle assiste a ce moment, n'attendant que sa réponse pour la laisser tomber au sol

J'écoutais ses ordres, aboyer voilà ce qu'il voulait que je fasse, enfin comme je devrais parler dorénavant. C'était vraiment à être réduit comme un animal, j'avais honte, horriblement honte. Bien sûr personne n'était venue m'aider. Maudit humain égoïste...
Je  fermais les yeux alors qu'il m'obligea à le voir jouir en moi, je relevais les oreilles en attendant sa question. Portée son enfant ? C'était bien la dernière chose que je voulais !  Je restais là, tremblante, les yeux enfin ouverts à regarder la scène. Voyant mon flut de cyprine mélangé au sperme de cet homme, un mince filet de sang rejoignant ce mélange.

" Rien..."

Comme si j'allais sauter de joie ! Déjà que j'avais de folles envie de sauter par la fenêtre afin de mettre terme à ce martyre. Je fermais les yeux,. J'étais épuisée et anéanti, ma respiration étant toujours autant saccadée et mon coeur tapant brutalement dans ma poitrine. Il fallait que je calme, mais plus j'essayais, plus cela empirait.  Dans tous les cas, vu mon état, je ne pouvais plus me défaire, ni même riposté. Étant à la merci de Dorian, maintenant qu'allait il se passer ? Allais-je être vendue à des nobles excentrique au marché des esclaves sur la grande place publique ? La seule chose qui me réjouissait était que j'allais retourner sur Terra. Terra ma terre natale. A moins qu'il me laisse ainsi dans mon ancien appartement mais la première hypothèse était la plus adéquate. Que je hais les hommes...

Don s'étira un peu et regarda Shad comme on regarde un travail bien fait, il remonta son pantalon sans aucun cas de conscience et enleva son Tshirt mouillé pour le balancer dans l'appartement alors qu'il sortait de sa poche quelque chose qu'il gardait sur lui depuis qu'il avait fait monter Shad dans l'appartement et qu'elle allait avoir le déplaisir de découvrir. Don a présent torse nu se posa un peu le temps de laisser a la jeune fille le temps de contempler toute l'intensité de ce qui venait de se passer avant finalement de se lever et de poursuivre le plan comme prévu, Shad sentit se refermer autour de son cou ce qui était sans aucun doute un collier de cuir similaire a ceux qu'on passe aux chiens tandis qu'il y clipsait une laisse assortie , il passa devant Shad et elle le vit ranger un gros pistolet a l'avant de son pantalon, le cachant dans son pantalon tandis qu'il lançait a Shad

"Allez debout."

Fit il alors qu'il attendait patiement que Shad se dresse sur ses pieds, ne semblant pas vouloir lui donner d'autres vetements que son Tshirt mouillé a travers lequel on pouvait tout voir, Une fois que ce fut fait Don sourit a Shad et tira celle ci vers la porte et la lumière.

L'humiliation finale.

En sortant de l'appartement tous les locataires étaient là en train de fixer Don torse nu qui sourit alors qu'il tirait Shad.

"Oh, vous avez été reveillé par notre petite revision de cosplay ? Ne vous en faites pas, nous baisserons le volume la prochaine fois, pas vrai Fido ?"

Lança t'il a Shad en tournant son regard vers le sien, il montra clairement que la réponse qu'il attendait était ce qu'il n'avait toujours pas reçu, l'abboiement, il allait rester là aussi longtemps qu'il le fallait a laisser les gens la regarder jusqu'a ce qu'elle le fasse.

Et si jamais elle tentait d'appeller a l'aide, il avait son magnum, faire des trous dans ces pecores ne le dérangeait pas, l'immeuble lui appartenait, il s'occuperais de couvrir tout ça.

Une fois que le dilemme de Shad trouva une réponse il la descendit vers la voiture

Je restais un moment prostrée, le regard vide, la tête baissée vers le sol. Je revins sur terre en sautant une matière froide se coller à mon cou. Un collier ? Ce salaud me mettait un collier tel un vulgaire chien ! Je bougeais un peu la nuque et manqua de laisser échapper un léger grognement de douleur. Je saisis le collier en cuir, tira légérèement dessus afin de le mettre en place car une de ses partelles rentraient dans la peau  de ma nuque et aussi par la même occassion,  juger de sa résistance.  Je soupirais en me levant. Par chance le tee-shirt caché jusqu'à la hauteur des cuisses, bien que par son état, il ne servait à rien.

Nous sortâmes et là, ce fut l'humilation totale. Gardant la tête baissée honteuse et mal à l'aise, je la relevais en entendant l'autre indirect de Don. Je fis un tour rapide des locateurs, jeunes, vieux, ils en avaient de toutes sortes. Appeler à l'aide serait vain, je pouvais facilement deviner qu'il userait de l'arme caché dans son pantalon. Je recroisais mon regard avec celui de Dorian, poussant un soupir à peine audible avant de m'exécuter.

"Woaf..."

Éclats de rire dans le couloir.

" Et bien si avec ça vous ne gagnez pas le concours ! "

Maudits humains.  Je sursautais en sautant ma queue se faire tirer, tournant ma tête je vis une jeune fille blonde et particulièrement hautaine, se rapprochant de moi, mettant sa main devant  mes lèvres, passant l'autre dans sa chevelure dorée.

"Tu es un chien non ? Lèches alors..."

L'humilation extrème. N'ayant pas d'autres choix, je lui donnais deux-trois coups de langues, me gardant bien de planter mes crocs dans sa paume. Elle éclata de rire, passant une de ses mains sur le haut de mon crâne comme si on flattait un chien, partant par la suite dans son appartement. Je sourais intérieurement. Si elle était ici, elle allait peut être connaître le même sort. Pour une fois je me réjouissais du maleheur éventuel des autres.

Nous finîmes par descendre et sortir de l'immeuble pour nous diriger vers la Jaguar de Dorian, oh pardon, mon " maître". Je fus forcée à y entrée et nous partîmes vers un lieu qui m'étais inconnu. Je soupirais, regardant le paysage défilé d'un air morne.

Effectivement, Don sourit doucement en sachant que la blonde rejoindrais bientôt Shad, il n'hésiterais pas a la mettre dans la même cellule qu'elle une fois qu'il en aurait fini, il aimait voir les cafards commander aux termites, et ça donnerait l'illusion a Shad que son maître est fier d'elle et qu'il lui donne un moyen de se tirer de cette situation. En descendant les escaliers en silence avec un sourire arrogant aux lèvres il lança a Shad avec un ton mielleux

"Alors heureuse ?"

Il éclata de rire avant de la faire monter a l'arrière, là Don pris un minimum de précautions, il n'allait pas se permettre de lui donner une chance de le faire déraper pour qu'ils meurent tous les deux, il s'occupa de ligoter ses jambes puis ses poings, la saucisonnant comme on ligote du gibier dans un ranch : les mains aux pieds, ainsi elle ne pourrait pas donner de coups de pied dans son siège ou tenter de l'écraser sur la route. Don alluma le contact et ils partirent dans la nuit. En quelques minutes ils arrivèrent devant un grand batiment uniformisé dans lequel il la fit entrer avant d'allumer la lumière.

Lorsque la lumière s'alluma Shad put voir une cinquantaine de cages a droite comme a gauche, grande comme des niches de chiens dans lesquelles on pouvait voir a travers les portes transparentes une cinquantaines de femmes, parfois des terranides, parfois des humaines, et celles ci se mettaient immédiatement a gesticulier, semblant suplier Don de venir les voir. Il lança avec sarcasme

"Tu vois qu'est ce que je te disais ? Tu es loin d'être la seule."

Fit il alors qu'il ouvrait une cellule privée, il changea la laisse pour chaine en métal et l'accrocha fermement a un crochet a l'entrée.

La cellule faisait un mètre de haut pour 2m² de surface, ce qui obligeait la personne qui y entrait a évoluer a quatre pattes dans celle ci se trouvait une assiette contenant de l'eau et une gamelle qui étaient tous les deux ancrées au sol, impossible donc de porter l'assiète a ses lèvres, il fallait la boire a quatres pattes, ça empechait également la personne de se suicider avec ces objets. A droite comme a gauche, deux cellules où Shad pouvait observer d'autres femmes qui vivaient a deux voire a trois dans celles ci et qui jouaient entre elles.

"Je reviens m'occuper de toi très bientôt..."

Fit il alors qu'il arrachait le dernier vetement de Shad : Son Tshirt et la poussait a l'interieur pour refermer la porte. La nourriture et la boisson, les deux sont drogués en permanence avec des excitant très puissant, de quoi rendre folle une femme qui n'aurait pas de quoi la soulager. Tous les jours, les filles étaient alimentées dans ces gamelles qui leur rappellait qu'elles n'étaient rien de plus que des chiennes au service de Don, et tous les jours elles étaient prises d'une envie de s'accoupler incontrolable.

Un mois passa...

-Hj-A toi de voir ce que tu fais pendant ce temps ou comment je retrouve Shad dans un mois ^^-Hj-

Je devais certainement rêver, oui c'était un mauvais rêve ou alors un très horrible cauchemard. Je saisi la chaîne entre mes mains et tira dessus, non pas dans le but de la briser, chose que je ne pourrais pas faire mais sans aucune raison. Mon ventre émit un grognement, il était vrai que je commençait à avoir faim et froid habillée dans le plus simple appareil. Je regardais la gamelle, tentant de l'atteindre avec les mains, mes doigts effleurèrent l'écuelle.  Je n'avais pas d'autres choix que d'y aller à quatres-pattes. Quelle misère.  Tandis que je saisissais l'un des éléments entre mes lèvres, j'entendis des gémissements provenant de la cellule d'à côté. Gardant le morceau sans l'avaler, je regardais vers la source de ces bruits et le teint de mes joues vira au rouge. Deux terranides étaient en train littéralement de se donner du plaisir mutuellement. Mais comment ? Personne ne fairait ça dans une prison ! Je recrachais le morceau de viande. La nourriture et la boisson devaient en être la cause. Dégoûtée et affamée, je me mis dans un coin, me couchant sur le sol, repliant la queue, tentant de trouver le sommeil pour oublier la faim qui me tiraillait les entrailles.

Un jour passa, mise à part me retourner dans la cellule je ne fis pas grand chose, le deuxième jour suivit avec toujours cette douce " mélopée " de gémissements et de cris d'extase, vint le troisième jour.  La gorge sèche, l'estomac dans les talons, je regardais ces écuelles avec avidité et envie. On dit qu'un homm epeut tenir trois semaines sans manger, une terranides peut sans doute tenir plus de temps mais boire est indispensable pour les deux espèces. Je me relevais à quatre pattes, bougeant mes membres pour les étirer. Je fini par prendre quelques lampés d'eaux et me retira immédiatement.

Erreur fatale. A peine quelques minutes après que le liquide soit ingérés, je fus prise d'envie charnelle, oubliant qui j'étais et me m'étant dans un état de transe et de débauche. Je passa toute la journée à gémir tout comme mes voisines des autres cellules. Je repris mes esprits et me stoppa net. Retirant mes doigts englués. Trois jours que j'avais résisté pour...ça   ? Par chance l'envie de se fit plus ressentir du moins pour combien de temps ? Je me recouchais sur le sol, le dos aux gamelles. Combien de temps allait-ce durer ? Je ne pourrais tenir éternllement sans boire  ni manger. Je résistais aussi longtemps que je pouvais, mais quîte à avoir des envies charnelles, je préférais cela que de mourir.  Ainsi, tous les trois à quatre jours, mon esprit partait. L'excitation sexuelle étant à son comble, chose provoqué par la drogue.

Un mois passa, un long mois, tellement long qu'il me semblait qu'un an s'était écoulé. La tête sur le sol, je tapeais de la queue d'un air nonchalant, soufflant sur les quelques brins de poussières qui s'y trouvaient. Aujourd'hui serait un jour à attendre patiemment le lendemain jusqu'au jour fatidique où le besoin de s'hydrater se fairait sentir. Un bruit de porte fit relevé mes oreilles sur le haut de mon crâne. Quelqu'un venait. Sans doute Dorian avec une nouvelle esclave. La pauvre je la plains. S'il croyait m'apprivoiser en me droguant il avait eu tord, bien que je ne pouvais nier que ces drogues avaient une efficacité remarquable comme aphrodisiaque  Il arriva vers ma cellule. Je levais ma tête vers la silouhette et leva mes yeux vides de toutes expressions.

Hj - J'espère que ça te convient ^^' - HJ"

Cette technique de destruction par l'usure avait ses avantages, l'avantage ici était que même si elle ne se nourissait pas, Shad allait s'affaiblir et lorsqu'il allait revenir la chercher elle ne serait pas vraiment en état de lui faire du mal, elle aura surement a peine la force de marcher. Don mit dans sa prison l'esclave qu'il venait d'achever de dresser, a peine celle ci entra t'elle dans la cellule que deux autres esclaves se jetèrent sur elle et commencèrent a la caresser et a l'embrasser ce qu'elle fut loin de vouloir empecher, au contraire. Don regarda sa liste, il ne lui restait qu'une esclave a reprendre, une qu'il avait laissé après l'avoir consommée: Shad Hoshisora, ou ce qu'il en restait. La nourriture avait très peu été touchée, il le savait parce que c'était lui qui la réaprovisionnait, a présent elle était mure, et il allait s'occuper d'elle un minimum pour un deuxième rendez vous.

La porte s'ouvrit et la lumière aveugla la louve alors que Don defaisait l'attache et tirait sur la laisse pour trainer Shad devant lui, il lança a la louve en souriant

"Allez Fido, suis moi."

Fit il en l'appellant a nouveau par ce surnom dégradant, il l'entraina vers la sortie de la prison, la forçant a marcher a quatres pattes devant lui pour qu'il puisse voir où étaient ses mains tandis qu'il l'emmenait a travers son complexe, il ouvrit une porte et devant Shad se trouvait un chevalet sur lequel il la tira et l'accrocha, celui ci était fait pour qu'une fille puisse être accrochée, les bras en avant, les jambes écartées, suspendue dans les airs.

"Je lis ici que tu as été une méchante fille ? Tu sais que je ne suis pas une personne approximative, si tu n'accepte pas de te nourrir de la manière douce, je peux toujours t'attraper et te faire avaler tout ça a l'entonnoir, ça sera simplement moins agréable pour toi comme pour moi. Aujourd'hui je te rend présentable, demain qui sait, je te vend ?"

Fit il alors qu'il commençait le travail. D'abord il lui coupa les ongles après celà il lui ouvrit les machoires a l'aide de lanières de cuir et s'occupa de limer ses crocs, procédé pas franchement douloureux, mais très agaçant.

Une fois les crocs limés il assena une claque sonnore sur la fesse droite de Shad et lui lança

"Alors, tu ne te sens pas plus belle ?"

Je suivais Dorian tel un gentil petit chien obéissant à son maître. Mais avais-je réellement le choix ? Voilà plusieurs jours que je n'avais mangé et la faim tiraillait mes entrailles et je ne me sentais pas la force de résister. Me laissant m'accrocher à ce chevalet dans une posture bien plus qu'inconfortable. Quelle plaie. Je le regardais me couper les ongles. Souci de sécurité je suppose. J'émis un léger grognement en sentant les lanières de cuir ouvrir ma cavité bucale et la lime rendre innofensifs mes crocs. Tandis qu'il avait fini, mon corps trembla de tout son long sur la claque qu'il venait de m'apposer sur ma fesse droite. Frappe qui allait sans doute donner une petite marque rouge.

""Alors, tu ne te sens pas plus belle ?"

J'ouvris ma bouche pour répondre, la refermant immédiatement. Ne pas parler, juste aboyer, je soupirais intérieurement et lui répondit en levant les yeux aux ciels par un jappement.

"....Woaaf..."

 Je tirais légérement sur mes liens. Bon dieu ! Quelle position inconfortable ! Un éclair de lucidité traversa mon esprit. Certes il m'avait coupé les ongles et limé les crocs, mais sous ma forme animale je possédais encore ces atouts. Il me suffira juste de l'utiliser au bon moment après mon achat. L'utiliser ici ne servirait à rien, étant enchaînée. Encore fallait il que le moment opportun se présente et cela, je pense, qu'il ne viendra pas assez vite. Je suivais de regard Dorian, laissant ma queue balacer doucement de gauche à droite, fouettant l'air, non pas d'une manière  qui supposerait la joie, non plutôt d'une manière qui  indique la colère, la haine que j'épprouvais. Qu'allait il se passer maintenant ?

Bien, le sujet réagissait bien ou faisait semblant de réagir bien, au moins pour le moment celà montrait qu'il avait réussi a reconnaître qui était le maître. Pour le moment elle n'était pas encore dépendante et il avait une furieuse envie de continuer son "apprentissage" et de la traumatiser un peu, ce qui allait s'empresser de faire, naturellement, Don décida de mettre fin a la comédie en commençant a la mettre devant le fait accompli, il allait très vite voir ce que pensait réellement shad avec la suite des opérations, il sortit du feu le fer porté au rouge, marque de fabrique de ses esclaves et profita que Shad était bien fixée pour lui murmurrer

"Voilà un petit souvenir qui te rappellera pour le restant de tes jours qui est ton maître."

Et sans autre forme de procès il appliqua le fer brulant sur la fesse droite de Shad, lui laissant une marque brulante qui serait le signe de son appartenance, alors qu'il faisait ça par dessus les cris de la Terranide il demanda

"Alors ?!Pourquoi tu te nourris pas ? Tu veux vraiment que je me mette en colère ?"

Lança t'il alors qu'il relachait la pression et observait la marque qu'il venait de faire, sans plus attendre Shad sentit un objet oblong et froid entrer dans le bas de ses reins alors que Don pénétrait son intimitée avec son propre sexe.

"Tu ne veux pas être obeissante ? Rappelle moi ce que tu es ? Rappelle moi qui est ton maître ?!"

Fit il avant d'activer le vibromasseur, ses mains se posaient sur ses fesses, appuyant sur la brulure qu'il venait juste de lui faire et augmentant la douleur il la fessa a nouveau pour la faire crier.

Le fer rouge près de mes fesses était chaud mais il fut brûlant quand il fut appliqué sur ma fesse droite. J'hurlais de douleur, marquer quelqu'un au fer rouge était un geste inhumain ! Je bougeais négativement la tête, répondant ainsi à sa question portant le sujet de se " nourrir".
J'eus à peine le temps de reprendre mes esprits, qu'un autre cri sorti de mes lèvres, provoqué par un objet qui était insérer en moi tandis que Dorian s'occuper de mon intimité. Des larmes perlèrent sur mes joues. C'était vraiment inconfortable et douloureux. Le pire fut quand il activa le vibromasseur, me faisant faire des mouvement involontaires. Je bougeais, tenter de me cambrer, mais rien à faire, j'étais solidement attaché. Je porta mon regard sur Dorian tandis qu'il me posait encore cette question de maître-esclave. Pour toute réponse, il reçu un soupir exaspéré. Je tirais sur mes liens tandis que la douleur provoqué par la marque était encore bien présente surtout par le fait que Dorian appuyer fortement dessus. Un mois pour subir cela ! Un mois à pourrir dans un cachot pour être marquée tel un vulgaire animal au fer ! Tant pis pour la règle de l'aboyement ! Je soufflais entre deux cri un :

"Connard..."

Peu m'importais ce qui allait m'arriver, que pouvait-il m'arriver de pire aussi en ce moment ? Les mouvements de bassin de Dorian commencèrent, m'arrachant d'autres cri de douleurs. Un long hurlement sorti de ma gorge, un hurlement ressemblant à un cri de loup un soir de pleine lune. Quand je rouvris mes yeux, mes pupilles étaient dilatées et ne semblait plus contenir une once d'humanité. Je ne parlais plus, je grognais ou jappais tel un animal.

"Rwrr.."

Un simple grognement aguicheur. Je battais de la queue, frolant de mon extrémité le membre dur de Dorian. Il voulait un animal, il en avait un devant lui.

"Grr, waf waf...rwwrrr "

Don continua ses mouvements de bassins et finit par se dégager quand il entendit Shad réagir enfin comme il l'entendait. Souriant il laissa son objet là où il était et passa a l'avant de la jeune femme. Bien. Très bien, il aurait fallu moins de temps qu'il ne le pensait finalement. Il restait encore une chose qu'il ne lui avait pas encore fait pour le moment, et cette chose allait arriver très vite car il pinça le nez de la jeune terranide et lança avec candeur.

"Fais aaaah..."

Fit il alors qu'il pointait son sexe vers le visage de la jeune louve. L'ultime épreuve allait être là, il lança avec sarcasme et méchanceté...

"Regarde ce que papa t'a apporté. occupe t'en bien d'accord ?"

Fit il avant de saisir sur la table un maillet, si elle osait mordre...Elle le regreterais.

Je penchais légérement la tête tel un chien qui essayait de comprendre un ordre. Le fait d'avoir eu le nez bouché me fit ouvrir la bouche sous le manque d'air. Je laissais échappais un grognement quand le membre de Dorian s'immiscait dans ma bouche. Horrible, dégeulasse, répugnant, ces termes étaient bien trop faibles pour décrire ce que je ressentais. Je ferma les yeux et laissa ma langue courir sur le long de la hampe pendant que ma bouche faisait des vas et viens allant creshendo. Titillant de temps à autre l'extrémité avec ma langue agile, à croire que j'avais fais cela toute ma vie ! J'ouvris doucement les yeux, les laissant à moitié fermé et regarda vers Dorian avant d'afficher un sourire au coin et de planter mes dents dans sa chair, bien qu'elle n'était plus pointues elles faisaient toujours mal, avant de recommencer mes coups de langues comme si de rien ne s'était passé.