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Vente d'esclave

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Vente d'esclave

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Pandora

Terranide

Vente d'esclave

vendredi 13 novembre 2009, 20:35:51

C'est l'après midi, le soleil est encore haut dans le ciel, et commence à décliner. Les nobles font leur derniers achats de la journée, puis se baladent tranquillement en flemmardant.
Pour moi ce fut une journée comme les autres, rester debout des heures durant, même quand le soleil tapait fort.

Certaines personnes s'étaient montrées intéressées mais après avoir  regarder mon regard, qui restait dans le vide, malgré la possibilité qui s'offrait à moi, elles partirent toutes en dévisageant le marchand d'un œil bizarre, elles devaient se demander pourquoi ce marchand gardait une esclave comme ça.
Le marchand vit enfin une personne intéressée par une autre de ses esclaves et se changea de place pour aller discutailler avec le couple qui s'avançait à l'autre bout du stand.
Mourant de faim, ne pouvant retenir ses passions, et voyant son violon près d'elle. Je profitai du fait que le marchand soit parti pour le prendre et entamer un joli morceau que je connaissais très bien, de  Tchaikovsky un concerto pour violon, l'Allegro moderato. Certains passants s'arrêtèrent pour écouter cette musique, et d'autres se demandaient pourquoi je jouais du violon, moi une esclave...

Entendant cette musique, le marchand revint en courant près de moi avec une canne et me frappa avec, évitant le violon, objet trop cher pour être abimé et réparé ensuite ; d'ailleurs il ne touchait jamais les objets avec sa canne, seulement les esclaves, puisque ceux-ci peuvent guérir de leur blessures avec le temps.
Frappée à l'épaule, je m'écroulais par terre en me tenant l'épaule gauche (celle dont je ne prenais pas appui avec le violon). Je mis le violon de coté et restais à terre, supportant les coups que le marchand me donnait, déchainé.


"C'est la troisième fois aujourd'hui ! Je t'avais prévenue !"

Il me mit dans une cage et ferma la porte à clé.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Vente d'esclave

Réponse 1 vendredi 13 novembre 2009, 20:52:48

Une main se posa sur l'épaule de l'homme une fois qu'il eut vérouillé la cage. Un de ses subalternes était venu le voir pour lui murmurrer, avec assez de puissance pour être entendu néanmoins par Pandora

-Y'a quelqu'un pour vous patron, il a l'air interessé pour acheter un grand groupe d'esclaves. Il vous attend dans son bureau.

L'homme acquiesca et se mit en route vers le bureau en question, lorsqu'il entra dans celui ci un homme l'attendait de pied ferme. Un homme qui, lorsqu'il était assis, faisait la taille d'un homme debout. Il portait une large cape marron de voyage et un chapeau vissé sur la tête dans lequel se trouvait une large plume d'aigle. Il était grand, incroyablement grand, près de 2 mètres, ce qui pour une époque médiévale était collossale, la petite chaise luxueuse ployait sous son poids et ses mains gantées de cuir tapaient nerveusement contre le bureau tandis que seule sa bouche demeurait visible, montrant un teint bronzé alors que ses lèvres se déformaient dans un rictus. L'homme reconnut le grand balèze et poussa un cri, mais alors qu'il s'appretait a partir deux hommes fermèrent la porte derrière lui, ils portaient de lourds morceaux de bois cloutés.

Le géant se leva et avança vers le marchand d'esclave avant de le saisir a la gorge.


"Martino, tu essaye de doubler le Don ?"

-Ghhh, noon...at...Attend."

Sans autre forme de procès il lui assena un enorme coup de poing dans le ventre qui lui fit cracher du sang

"Le Don a horreur des taupes. Les esclaves que tu vends sont sa propriété, comment ose tu en temps que chasseur a son nom de te mettre a ton compte?"

Le grand balèze le balança alors sur le bureau où il s'écrasa tandis qu'il lançait sans se retourner

"Faites le écrire un papelard qui nous donnera le droit sur ses esclaves."

Et il n'eut pas besoin d'ajouter "et après tuez le" après tout ils étaient venus pour ça et cette ordure serait réticente. Le don n'aimait pas qu'on braconne ses esclaves. Et il le savait parce que le Don c'était lui. Tout le monde le prenait pour un de ses chasseurs. Et c'était pour ça qu'il était aussi génial. L'homme finit par sortir quelques heures plus tard et Pandora put voir le bas de sa cape arriver jusqu'a sa cage, sans se tourner vers elle il cria a ses hommes

"Allez les gars on embarque tout ça !"

Le bas de la cape était maculé de sang.
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

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Pandora

Terranide

Re : Vente d'esclave

Réponse 2 vendredi 13 novembre 2009, 22:06:43

J'entendis un des associés du marchand venir, l'air pressé. Il s'approcha du marchand et lui murmura quelque chose. Le bruit de la place couvrit ce murmure, mais j'avais au moins réussi à comprendre que d'après la voix et l'air paniqué du partenaire du marchand, c'était quelqu'un d'important, et en colère.
Avec appréhension, je vit ce dernier partir d'un air curieux.

Ruminant tout ce que j'avais entendu et vu, j'essayai de lécher mes blessures. J'avais encore mal à l'épaule, et les coups m'avaient étourdies. Mais pour moi tout allait bien, si mon violon allait bien, ce qui était le cas.

Quelques heures plus tard, j'entendis des pas sûrs marteler le sol d'un son dur. Ce n'était les bruits de pas du marchand, ceux là étaient plus durs, plus réguliers, quasiment militaires. Et trente secondes après, je vis un homme, pour moi c'était un géant, haut, de plus de  deux mètres, ce qui attira mon attention fut tout d'abord ses mains. De grosses mains gantées de cuir. Cet homme me faisait peur. Et cette appréhension ne fit qu'augmenter quand je vit le bas de sa cape marron, le bas avait dû trainer dans du sang !
Puis vint un ordre.



"Allez les gars on embarque tout ça !"

Je me recroquevillai dans ma cage en attendant la suite, tout en faisant attention à mes blessures.



Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Vente d'esclave

Réponse 3 vendredi 13 novembre 2009, 22:42:26

C'était le sang d'esclavagistes, Pandora aurait du être contente. Don était un marchand d'esclave plutôt bon comparé a tous les autres marchands de Nexus, et c'était parce qu'il était si bon qu'il était le meilleur d'entre eux. En effet don pronait une utilisation ponctuelle de la violence en cas de dernier recours ou pour les actes qu'il jugeait vraiment intollérable, il était impensable de devoir frapper un esclave pour un oui ou pour un non et ce qui était sur c'était que ses esclaves n'avaient pas a se plaindre des coups de fouets, il n'en donnait pratiquement jamais. Lorsque celles ci outrepassaient leur limites et a ce moment là il devenait méchant. Son traitement était de toute manière assez cruel pour transformer toutes les esclaves en poupées de chiffon, ce qui était profitable puisque ses principaux clients, des nobles dont la dernière envie était que leurs esclaves se mettent a les mordre au pire moment. La plupart des esclaves de ce lot n'étaient pas terribles, il allait surement s'occuper d'elles très rapidement et une fois qu'elles seraient bien soumises, eh bien il les revendrait au gros. Sans plus. Il réservait un destin plus exceptionnel a des esclaves exceptionnelles. Le marchand d'esclave monta a l'avant de la charette et regarda ses hommes charger les cages alors qu'il lançait

"Et allez y doucement, si vous me les abimez c'est moi qui vous abime. Pigé ?"

Tremblants de peur, les associés de Don obeirent bien malgré eux a la demande de leur patron, il était capable de les étaler d'une mandale si il voulait, en plus de ça il payait relativement bien. Autant faire ce qu'il leur avait dit, Pandora put remarquer que les esclaves qui n'étaient pas dans des cages ne furent pas tripotées par les hommes de main, comme c'était souvent le cas. Ils avaient également des instruction de la part de Don.

C'était peut être un gentil monsieur après tout, peut être allait il les délivrer ?

C'était ce a quoi ça ressemblait pour le moment.

Les esclaves furent emmenés devant un grand batiment aux lourdes portes en fer, on les fit entrer et on les posa dans une prison tous ensemble, les séparant des mâles. Régulièrement un homme venait pour appeller une des esclaves a venir. Et celles ci ne revenaient pas. Tous les jours, 5 esclaves partaient sans revenir. Après quoi on distribuait a chacunes d'entre elles de quoi manger et boire a leur faim, sans pour autant être une pitance dégueulasse d'esclave, c'était déjà mieux, puis le lendemain, ça recommençait.

Au bout du quatrième jour il ne restait plus que quelques esclaves dans la prison a l'origine surpeuplée. Les hommes de main finirent par pointer du doigt Pandora


-Allez ma jolie ! Tu viens avec moi !

Fit il alors qu'il la poussait vers la sortie de la prison, pas de chaines, pas de colliers, pas de coup de fouets. C'était peut être la meilleure prison qu'elle ait jamais eu et maintenant elle allait apprendre pourquoi ses camarades ne revenaient pas.

On la fit monter au dessus des cachots où se trouvait une luxueuse maison, l'homme lui ordonna de monter le long d'escaliers et frappa a une magnifique porte en bois où une voix puissante lui ordonna de rentrer. Lorsque Pandora entra dans le bureau elle put voir deux bibilothèques sur les murs adjacent encadrant une grande fenètre, au bureau le grand costaud était assis, et elle pouvait a présent le voir sans son couvre chef, ses cheveux noirs et crépus tombant sur ses yeux de jais alors qu'il levait son regard vers Pandora et la fixait une seconde. L'homme de main referma la porte derrière lui.

Don était assis a son bureau et posa son stylo, objet completement anachronique qu'il préférait de loin aux plumes, tant que nul ne le verrait, nul ne poserait de question sur son origine. Il fit signe a Pandore d'approcher dans la lumière où elle put observer le luxe de la piece.

L'esclavagiste lança


"Tu va me donner ton nom, et me parler de toi plus en détail."

Fit il avec un ton neutre.

-Hj-Est ce que tu peux décrire en détail ton perso au moment où elle passe la porte dans ta rep? Surtout ce qu'elle porte.-Hj-
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Pandora

Terranide

Re : Vente d'esclave

Réponse 4 samedi 14 novembre 2009, 15:05:14

Je fût surprise par la douceur de notre nouveau Maître, j'étais encore toute ankylosée par le voyage, et par la punition que j'avais reçue auparavant. On amena tous les esclaves sur une charrette, puis après un court voyage pendant lequel il n'y eu ni tripotage, ni violence ou autre, on arriva devant un grand bâtiment, les lourds battants de la porte s'ouvrirent et laissèrent voir la grande bâtisse. Mais rapidement moi et mes "compagnons" avons été amenés dans une prison, séparée en deux : un coin pour les mâles et un coin pour les femelles.

Régulièrement, un homme passait et emportait un esclave, après 1 minute de réflexion. Quels en était les critères ? Je l'ignorais et ne les saurait sûrement jamais ...
Quand le nombre d'esclave partis atteignit le chiffre cinq, les hommes de main du nouveau Maître apportèrent quelques victuailles, les esclaves ne mourraient ni de faim, ni de soif.

Quelques jours plus tard, déjà vingt esclaves étaient partis, et sans retour.
Ce fût enfin mon tour. On me fit sortir de cette prison, mais sans chaine, ni collier, ni coups de fouet. Si quelqu'un me voyait juste à cet instant, cette personne aurait pu me croire libre.

Quelques minutes après ma sortie, j'entrai dans l'immense maison, pour moi c'était un palais, du moins, je n'en avais jamais vu d'aussi grande. Impressionnée par tant de luxe, mon regard s'arrêtait sur les dizaines de détails que je voyait.
Puis on m'amena devant une pièce. J'y entrais doucement, en faisant un examen de mon état.

Mes cheveux longs étaient coupés de façon désordonnée, et leur couleur oscillait entre le bleu et le violet. Cette couleur est aussi celle de ma queue queue et de mes oreilles, bien qu'ayant traîné par terre... De grands yeux sombres brillaient sous ma frange, et n’exprimaient rien, aucune émotion. Mes dents étaient un peu pointues vers le bout, et étaient visibles quelques fois, le blanc contrastant avec ses lèvres bien roses. Ma peau était vraiment pâle, on pourrait même dire que je n’avais jamais été exposée au soleil de sa vie, ce qui bien évidemment était faux. Je portais une robe noire, à bretelles, et qui m'arrive un peu au dessus des genoux. Le bustier était décoré de dentelle et de rubans blancs, et se fermait par derrière. À partir de la taille, la jupe devenait bouffante, et des coutures blanches l’ornaient. Sinon, je marchais pieds nus, ceux ci étaient recouverts de coupures mal cicatrisées et de poussière. Mes ongles étaient blancs et pointus. Mes bras étaient entourés d’un fin ruban rouge. Il était souvent autour de ses bras, mais montait parfois jusqu'à ma bouche, et m'empêchait de m'exprimer correctement. Mais mes doigts restaient toujours impressionnants, longs, fins, voir squelettiques et pourtant si musclés.

On me fit avancer dans la lumière. Une fois de plus je m'extasiais devant le luxe de la pièce.
L'esclavagiste lança d'un ton neutre :


"Tu vas me donner ton nom, et me parler de toi plus en détail."

Hésitant un peu par quoi commencer, je dis simplement

"On m'a nommé Pandora, je suis une esclave. Ma passion est le violon, et je sais faire toutes les tâches ménagères ainsi que la cuisine."

Tout cela sonnait comme une phrase apprise par cœur.


Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Vente d'esclave

Réponse 5 dimanche 15 novembre 2009, 22:52:14

La douceur n'était rien de plus qu'une belle apparence, parfois l'enfer, c'était aussi savoir espacer les moments de douleurs par de grands passages de blanc. C'était ainsi que la situation était le plus profitable pour tout le monde. La cheminée brulait sur le coté, montrant les braises qu'un tisonnier venait de retourner a l'instant, on ne manquait de rien dans cette maison, si jamais il embauchait Pandora comme domestique elle aurait surement facilement de quoi vivre de manière convenable jusqu'a la fin de sa vie. C'était néanmoins ce que pourrait penser la chatte en entrant ici a cet instant. Don dévisagea un peu la terranide et soupira. Cet abruti de Martino n'avait aucune idée de comment traiter un esclave, régulièrement, ses cachots étaient lavés, récurés et nétoyés, quand a ses esclaves avant de les vendre elles passaient par des periodes de soin intensif, il faisait bien attention a ne laisser rien entamer leur peau ou se glisser dans leur cheveux. là c'était tout simplement...Répugnant en fait. Un peu comme toutes les autres filles qui étaient passées avant Pandora. Et comme d'habitude, celle ci allait suivre le même chemin que ses camarades. Naturellement, quand il prenait au gros, il ne faisait que rarement d'exception.

Pourtant quand Pandora entra elle sembla au dessus du lot, sa beautée, encore sauvage a cause de la couche de crasse qu'elle portait, était supérieure a celle des autres esclaves qu'il avait reçu dernièrement. Néanmoins un détail l'empecha d'aller observer celà de plus près car si il ne le reglait pas il risquait de d'avoir un gros problème. C'était comme ça avec les chats sauvages, il fallait les amadouer, et lorsqu'il ne s'y attendraient plus, les dresser. Don, a moitié plongé dans sa paperasse lui lança avec un ton distrait.


"Interessant, peu de Terranides ont la chance d'apprendre a jouer d'un instrument aussi raffiné, vous me ferez une démonstration d'ici quelques minutes. pour le moment vous allez vous laver et enfiler de nouveaux vetements, vous me retrouverez après quoi dans le bureau."

Il agita une cloche et une Terranide lapine aux généreux arguments vétue comme une soubrette entra, elle pria Pandora de la suivre. Elle la dirigea dans un long couloir pendant un temps où elles furent toutes les deux seules avant de la faire entrer dans la salle de bain, c'était le moment ou jamais d'ouvrir le dialogue d'esclave a esclave, la lapine semblant contente de son sort pour le moment. Arrivée a la salle de bain, elle assistera Pandora a sa toilette, s'occupant de lui laver les cheveux, de lui frotter la peau, de limer ses ongles et de lui fournir des vetements de soubrette similaires aux siens : noirs et blanc avec une juppe très courte (Je laisse le reste a ton imagination)

Une fois tout celà fini, elle fournit le violon a Pandora et l'enjoignit de rejoindre le bureau où Don l'attendait


"Allez y, je vous écoute."
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Pandora

Terranide

Re : Vente d'esclave

Réponse 6 lundi 16 novembre 2009, 22:43:54

"Allez y, je vous écoute."

Je mit le violon à l'épaule, l'archer en place et commença à jouer.

Un son aigu, comme un cri d’oiseau tira Don de sa passivité. Cette musique d'autre part devenait bizarre, comme si elle déformait la vue. L’espèce de cri d’oiseau se transforma lentement en mélodie. Restant tétanisé sur son siège Don ne pouvais faire grand choses , je jouais du violon, mais le son était étrange, comme sortant d’un micro trop faible, ou d’un combiné de téléphone dans un coin éloigné d’une pièce. Mon son, au lieu de s’envoler, semblait planer sur place, engluant les oreilles, les couvrant d’une fine membrane sonore. L’archer avançait doucement sur les cordes, et le son qui en sortait s’insinuait par tous les pores à l’intérieur de l’auditeur, secouant les circuits oubliés de sa mémoire. Pour lui, le monde perdait tout à coup ses couleurs, ses odeurs, sa température, et la musique déclenchait des visions les plus inattendues. Il ne savait plus où on était, ni ce que l’on faisait.
Un air pesant collait au corps, l’entraînait au fond d’une marée visqueuse. Il fût comme emporté par la vision d’un cheval noir traversant la pièce dorée au galop, dans le crépuscule, une vision nette et précise comme un tableau à l’intérieur duquel ils se sentaient attirés. Le hennissement du cheval noir, galopant à une effrayante vitesse entre les arbres, dans un contre-jour orange, se mua en une pétarade de moteur, la crinière luisant dans le soleil couchant devint une plaque de métal, l’animal se transforma en machine volante, entre deux rangées de vitres argentées, son regard, avançant à la même vitesse folle que la machine suivait le mouvement comme s'il avait l’œil collé à une caméra suspendue à des câbles au-dessus d’une plate-forme glissant derrière la machine à deux cents à l’heure. Soudain une angoisse le saisit. Qu’est-ce qui se déplaçait à une vitesse aussi folle ? Était-ce la, la caméra, la machine, ou encore les bâtiments, les rues, les lumières qui défilaient ?

Puis soudain, une note s’échappait, et un papillon apparaissait. Quelques secondes d’horreur, mais une autre note, plus aiguë cette fois vint ensoleiller  toute la pièce. Il y avait de plus en plus d’échappées tantôt joyeuses ou enjouées, tantôt douces et caressantes.
La musique changeait doucement, de l’horreur et du cauchemar, on passait vers un paysage fleurit. Et une grande et vaste pleine apparaissait. L’herbe y était verte, des oiseaux chantaient, des cerisiers fleurissaient. Le calme était revenu.

Je relevai la tête et regarda Don dans les yeux, pour la première fois.


"Voilà mon œuvre, êtes vous content ?"

On entendait une trace de défi dans ma voix.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Vente d'esclave

Réponse 7 lundi 16 novembre 2009, 22:49:06

Don n'était pas une "lopette". La musique il savait l'apprecier bien sur mais de là a être transporté comme ça il n'avait jamais été dans des visions des plus fantasmagoriques qui le fit tomber dans une conclusion bien plus terre a terre : Elle était en train de le manipuler mentalement grâce a un pouvoir magique. Don se maudit de ne pas avoir été plus prudent, il avait pensé que le confinement social et le manque de gardes aurait forcé les espers potentiels a se montrer, qui plus est dans la liste des esclaves de Martino il n'y avait rien sur la présence d'Espers dans le tas. La paranoïa de Don se mit en branle : c'était sur, la petite allait profiter de son inaction pour le tuer. Il tomba a la renverse de son siège et se mit a reculer vers la fenètre, il aurait de quoi lui exploser le crâne si elle s'approchait de trop près mais pour le moment il ne pouvait voir que ces trucs étranges qui se pavanaient sous ses yeux. Pris d'un doute il se mit a crier.

"Ca suffit. CA SUFFIT J'AI DIT !"

Hurla t'il, perdant son sang froid avec une certaine hargne et une colère que la Terranide n'avait pu entendre avant, s'appuyant sur le rebord de la vitre il se releva et ferma les yeux, mais les visions étaient produites par le son, et tant qu'il ne se bouchait pas les oreilles il verrait surement rien. La représentation se termina et Don se leva d'un bond avant d'avancer vers Pandora d'un air furibond, son visage amical avait totalement disparu, affichant seulement une colère sourde...Devait il lui faire payer son audace maintenant?

Il lui arracha le violon des mains et le posa sur la table. Il pris une inspiration et son visage calme revint avant de se tourner vers Pandora


"Vous avez...Une capacité fort interessante. néanmoins j'eut aimé que la prochaine fois vous m'en teniez informé."

Don la toisa de toute sa taille, la dépassant de quatres bonnes têtes, il était temps de passer aux affaires serieuses. L'esclavagiste lança d'un ton froid

"C'est un oubli que vous pouviez difficilement faire Pandora, dois je comprendre que vous vous moquez de moi ? Vous êtes consciente que je ne tolérerais pas un comportement pareil dans cette maison et que vous serez punie pour celà. Est ce clair?"
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Pandora

Terranide

Re : Vente d'esclave

Réponse 8 mardi 17 novembre 2009, 16:44:46

Don hurla.


"Ca suffit. CA SUFFIT J'AI DIT !"

La colère qu'il émit me submergea et je baissais les yeux et eu peur de les lever à nouveau. Je me maudissais d'être aller trop loin. Comme d'habitude dés qu'il s'agissait de musique et plus précisément de violon, je n'arrivais plus à m'arrêter.
Tremblante de peur, j'attendais.
Je sentais que l'air était d'un coup devenu lourd dans la pièce, il devait se demander ce que j'avais fait...
J'entendis des pas sur le plancher marcher en ma direction, et je maintint le violon contre ma poitrine, en me faisant la plus petite possible. Don me l'arracha des mains et le posa sur la table.
L'air s'était sensiblement adouci, mais un voile de colère planait encore.
Je jetais un rapide coup d'œil vers Don, et son visage auparavant défiguré par la colère avait reprit un semblant de paix.


"Vous avez...Une capacité fort intéressante. néanmoins j'eut aimé que la prochaine fois vous m'en teniez informé."

Puis le ton se fit froid, l'air devient glacial, et je sentais que j'allais me faire punir.


"C'est un oubli que vous pouviez difficilement faire Pandora, dois je comprendre que vous vous moquez de moi ? Vous êtes consciente que je ne tolérerais pas un comportement pareil dans cette maison et que vous serez punie pour cela. Est ce clair?"

La menace était claire. J'essayai de me rattraper en expliquant ce que j'avais fait.

"Ma...  Maître... "
Ce mot était sortit très difficilement de ma bouche. "En aucun cas il ne s'agit d'une capacité ou autre. Tout le monde peut y arriver avec de l'entraînement. Je me suis entraînée un peu tous les jours. Avec les passants, quand mon ancien... maître... n'était pas là ou occupé ailleurs..."
Manifestement, ces mots étaient vraiment durs à sortir.
"Je me suis aperçu que l'important pour cette oeuvre n'était pas le ton ou la mélodie en elle-même, mais ce qui se passait dans l'intervalle, autrement dit l'intensité et la longueur des silences... Ce sont ces silences qui remuent les souvenirs enfouis. J'ai basé cette longueur sur les râles amoureux des animaux qui passaient sur la place... les humains, les terranides, les autres créatures, mâles ou femelles, chacun a sa longueur de silence personnelle, et il m'a suffit de la stimuler..."

Mes yeux toujours baissés, étaient en larmes.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Vente d'esclave

Réponse 9 mardi 17 novembre 2009, 17:44:19

Don soupira et se massa l'arrête du nez d'un air affligé. C'était bien trop tôt pour qu'elle craque selon ses prévisions, mais même quelqu'un d'aussi méticuleux que Don devait admettre que rien ne se passait comme il l'avait prévu pour une fois. Il n'aimait pas les situations imprévisibles comme celles ci, elles lui faisaient perdre son sang froid et l'obligeait a agir avec un comportement précipité, ce qui emmenait a ce genre de situation où il brisait sa couverture et faisait pleurer Pandora rien que par la laideur de son âme. Un gentlemen serait allé vers Pandora, l'aurait serrée dans ses bras et l'aurait rassurée, lui aurait dit qu'il ne voulait pas l'effrayer et lui aurait montré qu'il ne lui voulait aucun mal. Mais ce genre de personne, Don le savait très bien, se retrouvaient rapidement six pieds sous terre avant d'avoir pu dégainer leurs belles épées parce qu'il les aurait préalablement planté avec un poignard avant qu'il ne fasse quoi que ce soit. Et si il montrait un signe de faiblesse ses esclaves les moins soumis l'étrangleraient dans leur lit. Ca couplé au fait qu'il était naturellement dénué de pitié tant que celà ne concernait pas sa propre survie. Don se tourna vers Pandora et lança avec un ton cassant

"Je m'en fous."

Fit il avec distance alors qu'il s'appuyait sur son bureau. Si il avait eu un peu de tact il aurait pris des gants, mais là il n'était plus a ça prêt. Ce qui disait Pandora ressemblait a un don d'Esper qui se serait developpé parallèlement a son instrument. Il n'y avait pas d'autres explications a propos de ça, ou sinon Pandora recréait la réalité et là il avait un autre problème sur le dos.

"Je ne veux pas savoir comment ça marche."

Don avait repris un peu de son contenu et continua sur sa lancée

"Dorénavant je vous aménagerait des moments pour pratiquer avec votre instrument, et lorsque je vous l'ordonnerait, vous jouerez pour moi."

Don avait idée qu'un pouvoir d'hypnose aussi puissant lui serait particulièrement utile une fois qu'il se serait assuré que Pandora obeisse. Don s'approcha de Pandora et lui lança, reprenant son sourire rassurant en posant ses mains sur ses épaules

"J'ai de grands projets pour vous."

Et sans autre forme de procès il lui arracha sa robe de maid.

-Hj-A toi de dire ce qu'il lui reste-Hj-
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Pandora

Terranide

Re : Vente d'esclave

Réponse 10 mardi 17 novembre 2009, 21:46:29

"J'ai de grands projets pour vous."

Et sans autre forme de procès il m'arracha ma robe de maid.

Un instant, je restais pétrifiée, puis le souffle venant de la cheminer et la chaleur du feu me firent reprendre mes esprits.
Puis d'un coup une terreur sans nom monta en moi. J'étais nue... Je me couvrais fébrilement de ma queue et de mes mains, tout en me recroquevillant tremblante de peur. Mes oreilles aussi plaquées contre ma tête, les yeux fermés, j'attendais, mais en même temps un petit espoir faisait surface.
Je regardais le géant et envisageais trois solutions, la première, la moins probable était de me ruer sur lui et essayer de l'aveugler avec mes griffes. Il faisait 4 têtes de plus que moi et même sur la pointe des pieds et en levant les bras, je n'arriverai jamais à l'atteindre convenablement.
La deuxième solution était de m'enfuir mais la seul sortie possible était ... la grande porte fermée.
La dernière était d'essayer de reprendre le violon en lui échappant tout de suite.
Si j'y arrivais il se pourrait que je puisse créer un mur et tant que je jouerai ce mur existera, pour lui du moins...
Et si ça ne fonctionnait pas ....
En un éclair des souvenirs resurgirent.

Le soleil tombait. Pour une raison que lui seul connaît, à condition de porter des chaînes aux pieds (lui seul possédait la clé) notre ancien maître nous laissa aller dehors.
Toute contente je pris mon violon discrètement et allais me balader dans la ville. Je jouais tout en marchant, enfin marcher, je dansais plus qu'autre chose... J'attirai l'attention, mais je n'y pris pas garde... Cela a faillit m'être fatal. Trois hommes s'approchèrent de moi et me jetèrent dans une rue où il n'y avait âme qui vive.
Étonnée de cette réaction que je rencontrais pour la première fois, je ne réagis pas immédiatement et un des hommes commença à m'enlever un vêtement. Je protestais vivement et me dégagea de son  emprise. Apparemment, une esclave comme moi n'avait qu'à se soumettre, d'après eux, j'aurai même du être honorée de me faire violer.
Je restais abasourdie de ce que j'entendais, et me laissais faire, jusqu'à ce que je reprenne mes esprits, juste avant de me faire violet. Je fit un grand saut en arrière et tenant mon violon en main, je me mit en place, et commençais à jouer.
Cela les fit tout d'abord rire. Je réfléchis à toute allure et essayai divers choses, essoufflée, je faisais de plus en plus de pause, et je vis que cela un effet plutôt étrange sur ces hommes. Deux s'étaient mis à sangloter, agenouillés. Le troisième ressemblait plus à un zombie et fixait le vide, ils étaient enchaînés à des souvenirs d'une époque où leurs cerveaux n'étaient pas encore complètement formés. Le premier  s'était relevé pour mieux retomber à genoux à terre, tout tremblant, se griffant la poitrine, murmurant des mots sans suite. "Maman, ne fais pas cette tête là, tu me fais peur, je n'aime pas cette ombre sinistre au fond de tes yeux, je ne serai plus jamais vilain, maman, je te promets, mais arrête de taper sur le chat avec ces yeux-là." Je m'arrêtais de jouer et m'enfuie en courant. Voila ce dont je me rappelais...
Plus tard, les jours qui suivirent, je ne réussis pas à manger, je savais que j'étais passé tout près du viol, et à ce moment là ma vie aurait été fichue, déjà qu'une vie d'esclave n'est guère réjouissante, mais là, j'aurai été promise à un bordel.
Je décidai donc de m'entraîner et un mois après je réussi à produire les souvenirs que je voulais faire apparaître.

Ainsi, c'est comme ça que je devrai manœuvrer. Cachant toujours mes parties comme je le pouvais, je décidai d'agir dés qu'il me toucherai : Quand il se penchera vers moi, je ferai un saut en arrière et courrai alors vers l'objet sur lequel reposait désormais la survie de mon état...

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Vente d'esclave

Réponse 11 mercredi 18 novembre 2009, 16:20:25

Don regarda la réaction de l'esclave qui ne s'attendais pas a un revirement aussi soudain et qui en fut surprise. Jusque là ça allait. Don avait prévu de nombreuses choses. Nottament si Pandora avait du mal a s'en souvenir il lui avait fait faire limer les griffes. Elle ne lui ferait donc aucun mal avec celles ci même si elle le voulait. Et ce des ongles, et des pieds. Il n'était pas stupide, il se trouvait en Terra, tout était possible et maintenant qu'il connaissait le don de Pandora il ne risquait pas de le laisser le surprendre d'avantage.

Question :pourquoi Don alors qu'il était aussi humain que le plus humain d'entre nous malgré la possession d'un pouvoir lui permettant l'annulation des pouvoirs et qui rendait donc ses adversaires aussi humains que lui, était encore vivant aujourd'hui après s'être frotté a des anges, des démones, et des créatures aux pouvoirs incommensurables ? Parce qu'il utilisait sa tête, parce qu'il prevoyait tout a l'avance et qu'il ne laissait aucune place au hasard. Pour toutes ces raisons Don était encore vivant alors qu'une bonne boule fe feu des familles lui aurait déjà réglé son compte il y a longtemps. Malgré qu'il soit costaud, Don n'était qu'un homme.

La nature humaine permettait aux personnes les plus abjectes de survivre si elle savait s'appuyer sur la société, ça et une bonne dose de chance crasse pour l'homme le plus haï de tout Terra par les Terranides, et le plus aimé par la noblesse.

Alors qu'il tendait la main pour saisir Pandora elle lui glissa entre les doigts et fila vers le violon, Don se précipita vers elle mais elle fut déjà arrivée avant lui sur le bureau, inutile de dire qu'elle avait surement déjà attrapé le violon entre ses mains.

Silence.

Don leva l'Archet entre ses mains


"C'est ça que tu cherche ?"

Fit il en le brisant en deux. Ce n'était pas tout d'avoir le violon, encore fallait il pouvoir froter les cordes. Il attrapa Pandora par le bras et la plaqua contre lui

"Tu es une esclave, je suis ton maître, tu es encore revèche mais ne t'inquiète donc pas. Je vais te dresser !"

Fit il alors qu'il l'embrassait sans criait gare
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

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Pandora

Terranide

Re : Vente d'esclave

Réponse 12 mercredi 18 novembre 2009, 22:18:47

Me tenant à ma dernière proposition, je lui filais entre les doigts dés qu'il me touchait et filait vers mon précieux violon.
Je sentis sa main glisser le long de mon corps sans parvenir pour autant à m'attraper. Je poussais un soupir de soulagement et continuais ma course.
Enfin, j'attrapais le violon, frénétiquement je le mit à l'épaule, me préparais à jouer...
Pétrifiée, je compris, enfin, que l'archer n'était pas là. Regardant autour de moi d'un air horrifié, je vis Don qui le tenait dans ses mains en souriant d'un air sadique.


"C'est ça que tu cherche ?"

Fit il en le brisant en deux.

Tout mon espoir s'était brisé en même temps que l'archer... Ma stupide résistance avait été vite démontée. Mes souvenirs étaient repartis. Et bêtement je restais figée.
Je laissais mes mains se tendre le long de mon corps et le violon tomba à terre. Je le sentis glisser de mes doigts puis plus rien du tout jusqu'au bruit fatidique. Ce bruit résonna dans ma tête. Je baissais la tête et le vis, par terre, pour moi tout cela avait duré une éternité, mais en réalité, seulement deux secondes s'étaient écoulées.
Don m'attrapa par le bras et m'écrasa contre lui.



"Tu es une esclave, je suis ton maître, tu es encore revêche mais ne t'inquiète donc pas. Je vais te dresser !"

J'allais répliquer quand il m'embrassa brutalement. Au départ je n'ouvrais pas la bouche, mais l'air se fit rapidement rare, et ne pouvant respirer par le nez, je l'ouvris.
Il en profita pour continuer son oeuvre plus en profondeur. Toujours choquée, je ne réagissais pas, et mes yeux, tremblants d'horreur fixaient ceux du Maître. Des larmes coulaient doucement sur mon visage, et donnait à ce premier "baiser" un gout salé.
Il était le plus fort, il m'avait battue.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : Vente d'esclave

Réponse 13 mercredi 18 novembre 2009, 22:52:08

Don déchirait les robes, brisait des archets, mais n'y avait il nulle limite a la stupidité de cette homme qui détruisait ses propres possessions ? En vérité, il avait tellement d'argent maintenant que ce genre de choses il en achetait par paquet de dix...Serieusement, le commerce d'esclave vendait particulièrement bien en réalité. Il se fichait donc bien de dépenser des clopinettes tant qu'il se faisait lui même plaisir. Et là c'était le cas, le désespoir dans les yeux lui faisait plus plaisir que tout au monde. Pour Pandora la vie s'arrêtait, pour Don elle ne faisait que commencer. Son nouvel esclave était encore tout frais, il allait être dressé, matté et placé, bientôt il n'aurait rien de plus a lui dire, elle ferait tout d'elle même, alors qu'il la tenait nue contre lui sa main droite se mit a descendre de sa hanche a sa fesse, massant celle ci alors qu'elle pleurait. Don eut un sourire délicieux.

"Oh, des larmes de joie pour moi?"

Fit il en léchant les dites larmes en souriant, se délectant de la peur et de la faiblesse de Pandora sa langue rapeuse glissant sur ses joues alors qu'il pelottait ses fesses sans vergogne, sa main tirant parfois sur sa queue, zone érogène chez les terranides.

"Eh bien, tu es bien sage tout d'un coup mmh ?"

Fit il alors qu'il la plaquait contre le mur et écartait ses jambes

"Voyons voir combien de temps tu pourra le rester."

Fit il alors qu'il appuyait sa tête contre son entrejambe et se mettait a lécher celle ci avec insistance
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

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Pandora

Terranide

Re : Vente d'esclave

Réponse 14 jeudi 19 novembre 2009, 21:21:38

Je sentis sa main descendre le long de mon corps pendant qu'il m'écrasait avec son autre patte de géant. Frissonnante je réfléchissais encore à tout allure, malgré mon apparente passivité. Mais tout cela allait trop vite ! Sa main continuait le long des hanches et commençait à masser ma fesse...
Mes larmes ne s'arrêtaient pas, je ne savais pas quoi faire. Tout était trop rapide ...Vainement, je tentais de le repousser de mes mains avec toute la force qui me restais, mais en vain.
Je ne réussi qu'à le faire rire tandis que je pleurais toutes les larmes de mon corps. Larmes qui d'ailleurs finirent dans son gosier quand sa grosse langue m'arracha la moitié de la joue, du moins c'est ce que je pensais ...


"Oh, des larmes de joie pour moi?"
"Ordure"

Si ma résistance lui faisais tant plaisir, dorénavant il pouvait faire ce qu'il voudrai, je ne réagira plus, je serai comme une morte entre ses bras. On va voir si tu va toujours sentir ton plaisir.
Ceci dit ceci fait, bien que ses gestes se fassent de plus en plus précis, je me détendais complètement, et je relâchais tous mes muscles. Ce qui me fit devenir un poids inutile et lourd à la longue entre ses mains. Peut-être qu'une morte ne l'intéresserai pas, je l'espérais...


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