se que l'on peu trouver dans un lycée (PV Alana)

Les cours étaient bientôt finit, j'attendis que les élèves sortes de leurs salle de classe pour rentrer dans l'école sans que les gens me voient. Je voulais savoir je que l'on peu se procurer dans un lycée et si sa aurai un peu de valeur. La cloche sonne et très peu de temps après les élève sortent du bâtiment, perché dans mon arbres caché parmi ses feuillages, je les observent s'en aller chacun de leur coté, rigolant, chahutant, tous étaient content de finir cet journée d'études. Après quelque minutes d'attente, je me décide d'en descendre et d'entrer dans cet établissement. C'est en passant par une fenêtre que j'ai pu accéder à l'intérieur en cassant sa vitre. Dedans, il y avait un silence de mort, les murs étais froid et sinistre et de long couloirs éclairé par des fenêtres pareil que celle que j'ai utilisé pour y rentrer. Dans mon exploration, je faisait le moins de bruit possible, il avait l'aire vide mais il y devait encore avoir du mondes dedans. Je passe par différente salle de cours, de laboratoire et encore d'infirmerie. Il n'y avait rien qui avait de la valeur, je pourrais vandaliser les lieu ? Pourquoi ? Parce que je m'ennuyais fermement. Il reste les étages à regarder. Je grimpe les escaliers tout en évitant un concierge insouciant, il ne savait pas et ne s'en doutait surement pas que j'étais pas loin de lui. Je commence à fouiller les classes, toujours rien de bien passionnant. Les unes après les autres les repasse en revu, rien de rien, que des gommes crayons cahier ou encore des règles. Alors que je fouiller une armoire, une personne étais apparu dans la classe sans que je m'en rende compte, elle s'adressa à moi en me demandant la raison de ma présence ici. En me retournant je la vit, c'était une jolie fille d'une vingtaine d'année pourtant l'uniforme du lycée, elle l'avait légèrement déboutonné laissant apparaitre son nombril et son décolleté ainsi qu'une min-jupe, ses cheveux étais d'une couleur violacé et laissé libre d'une manière lui allant à merveille, son corps était tous simplement parfait. Pour éviter qu'elle prévienne ceux qui pourrait être encore présent, je fond sur elle et je me place derrière elle pour l'attraper et lui mettre ma main sur sa bouche pour pas qu'elle fasse du bruit. Je parvient à fermer la porte et à l'attirer au fond de la classe. Mon but premier étais de l'empêcher de me faire remarquer, mais l'avoir comme sa, sans défense, réveilla en moi un autre désire, un désire un peu plus satisfaisant. Elle étais la, elle se débattais et cette odeur de vanille étais agréable. La main qui la retenait, commença à se balader sur son ventre découvert l'autre étais encore plaqué sur sa bouche.

Aujourd'hui c'était la fête! Après quelques jours passés sur Terra, Alana avait décidé qu'une petite visite sur la terre ne lui ferait pas de mal. Et pour une fois, elle avait décidé de jouer le jeu de la parfaite petite étudiante, avec l'uniforme et tout et tout. Mais c'était trop classique pour elle, trop... Formel. Et un peu tue l'amour, ces jupes sur le genou avec ces chemises fermées jusqu'au col. Raison pour laquelle avait sensiblement raccourci la jupe, la laissant juste assez longue (ou courte) pour qu'on ne voit pas ses fesses lorsqu'elle marchait, et avait ouvert les premiers boutons, en haut et en bas, pour que ces messieurs aient une vue plongeante sur son décolleté et un apperçut de son ventre ferme et de sa taille fine. Elle su dès son arrivée au lycée que l'effect escompté avait été produit. A son passage, plusieurs jeunes hommes étaient tombés ou s'étaient pris un mur. Valable.
Mais ça ne s'arrêtait pas là. Se faisant passer pour une élève, elle alla en cours toute la journée, passant les heures en tentant de faire craquer les garçons de sa classe, un à un. Certains sortaient en courant de cours, sans prévenir et tous rouges. D'autres se jetaient sur elle en la violentant limite (enfin ça, ça n'était arrivé qu'une fois), ou bien d'autres l'avaient attendue, tout seul évidemment pour ne pas partager, au détour d'un couloir et avaient tenté d'abuser d'elle en la plaquant contre un mur. Mais Alana n'était pas n'importe qui, et loin de vouloir se terminer son jeu, elle avait esquivé toutes les demandes de la journée. Elle finirait bien par craquer cela dit. Avec tout ça, elle ne vit pas le temps passer. Quand la cloche de fin des cours sonna, elle se mit à la recherche de nouveaux garçons à titiller mais elle avait beau fouiller partout, tout le monde semblait être parti, sauf le concierge. Mais très peu pour elle...
Sans grand espoir, elle avait poussé la porte de la salle où Onishiru était entré et fut surprise de trouver quelqu'un finalement.

"Oh! Qu'est-ce que tu fais là?"

Ca lui avait échapé sous le coup de la surprise. Sans répondre, le jeune homme se précipita dans son dos avec vivacité et lui imposa le silence en mettant sa main sur sa bouche. De surprise en surprise, Alana ne comprenait pas tout ce qu'il se passait. Il l'attira au fond de la classe, sans qu'elle sâche trop pourquoi. Et la lumière se fit lorsqu'il commena à palper son ventre. Ainsi c'était ça qu'il voulait? Très bien. Mais pas trop facilement quand même. Alana commença à se débattre, comme l'aurait fait une jeune vierge effrayée. Si elle avait voulu, elle aurait facilement échapé à Onishiru, mais elle voulait seulement jouer. Seulement, son partenaire ne pouvait pas le savoir. Sans y mettre toute sa force, mais crédiblement tout de même, Alana essaya de prendre les mains d'Onishiru et de les ôter de son corps, en se dandinant pour tenter de lui faire lâcher prise.

Sa faisait longtemps que je n'avais pas eu de proie comme celle-ci, elle étais entièrement sous mon contrôle et ne pouvais rien faire, de plus, je n'ai vu personne d'autre et le concierge doit être loin de nous à présent. Elle s'agitait sous les caresses qu'elle subissait au niveaux de son ventre. Puis cette même main se dirigea ensuite vers son chemisier et se mis de finir de le déboutonner, elle se débattait de plus en plus. Derrière elle, je commençais à lui baiser son cou, cela  lui fit sortir des petits gémissement, elle avait la peau douce. Le chemisier finit ouvert dévoilant ainsi un soutien-gorge de couleur blanchâtre, je tira langue et je m'amusa à voir son visage étonné quand ce dernier s'allongea pour glisser long de sa poitrine afin d'aller s'enrouler autour de un de ses seins. Au moment ou je voulut mettre ma main dessus dans l'intention de le défaire, elle se débâti fortement à un point que j'ai faillit lâcher prise. J'ai du lui laisser la bouche libres le temps d'agripper et d'immobiliser ses poignées. Maintenant elle étais face à moi et chercher à partir, je ne sais pas si elle avait voulut crier ou seulement parler, mais je ne lui laissa pas le temps et pour éviter qu'elle crie je la rapproche de moi et je l'embrasse, voilà une expérience intéressante car fut agréable pas comme d'habitude, non la il n'y avait un refus. Tous en l'embrassant je la plaque contre le mur et je la regarde dans les yeux.

-nous sommes seules toi et moi, personne n'entendra tes cries.

Bien qu'elle agissait comme quelqu'un d'effrayer, on pouvais lire dans son regard qu'elle avait deviné de se qui allait s'ensuivre à partir de maintenant. Avec une des mes mains je parvint à lui bloquer ses poignées et je pus ensuite la descendre vers sa mini-jupe, je glisse ma main dessous et je commence à  la caresser par dessus sa culotte. Avec un grand sourire, j'observai ses réactions.

-je sens que l'on va bien s'amuser.

Alana se retenait de soupirer. C'était tellement usuel. Un homme qui se prenait pour Dieu parce qu'il soumettait une pauvre femme. Autant lui en donner pour son argent. Enfin si on pouvait appeler ça comme ça.
Elle tenta de se libérer, toujours un peu plus fort, tout en restant dans des limites de force d'une jeune humaine, et songea à quel point il aurait été facile de lui mettre un coup de tête, et de ce fait, l'assomer, avant de lui donner un coup de coude dans l'estomac, et pour finir une béquille entre les jambes... Mais la prêtresse était d'humeur magnanime. Elle conserva donc l'appareil génital d'Onishiru intact.
Nouvelle salve de tentatives de fuite donc, tandis qu'Onishiru déboutonne expertement son chemisier, et embrassait son cou. Crédible dans son rôle, elle poussa des cris de protestation.
Vue sur son soutient gorge. Yeux étonnés! Il avait une langue télescopique! La classe! Elle pensa alors à cette langue au plus profond d'elle-même, chatouillant ses plus intimes recoins. Elle commençait à avoir envie finalement. Mais restons dans le rôle de la pauvre pucelle face à un violeur.
Quand il chercha à dégraffer son soutient gorge donc, elle vit de violentes ruades, manquant de faire tomber Onishiru, et réprima une envie de rire. Mais ça n'était pas très correcte de se moquer d'un homme ainsi en position de faiblesse, aussi sérieux.
Après cette petite presque réussite, il lui entrava les poignets. Intéressant. Elle allait lui crier des injures lorsqu'il posa sa bouche sur la sienne.
Alana ne se fit pas prier. Elle lui mordit violemment la lèvres, avant de retourner chercher sa langue pour lui apprendre! Mais ne se fit pas trop violente avec la langue, pour qu'il puisse s'en resservir plus tard.
Owi, la prêtresse aimait bien être plaquée au mur. Elle ne lui répondit rien à sa petite tentative de peur, ne voulant pas lui faire le plaisir de lui faire entendre sa voix. Par contre elle lui cracha à la figure.

La prêtresse adopta des mimiques effrayées et suppliantes lorsqu'elle vit et senti la mains d'Onishiru sur son intimité. Allez, go dans le mélodrame! Elle se fit monter des larmes aux yeux.

"Pitié..."

Plus crédible, tu meures...

Elle se tordait sous les agissement de ma main, cela m'excitait au plus au point de la voir dans cette état, elle se montrait de moins en moins récalcitrante. Puis, elle commençais à me supplier. Je ne l'écoutait pas et continuai à la caresser avec plus de pression. Maintenant, elle gémissait et bougea du mieux qu'elle pouvait mais rien n'y faisait je la tenais bien.

 Ma langue se déploya et se dirigea vers sa poitrine et si glissa dans son sous-vêtement. Il se dirigea ensuite le long de son corps pour aller derrière elle et, d'un geste rapide, dégrafa sons soutien-gorge. Elle poussa un petit crie à la suite de cette action, ma main arrêta ses mouvements et alla agripper le sous-vêtement et avec l'aide  de ma langue je réussi à la lui ôter avec son chemisier. Alana réessaya de partir mais j'arrivai à la retenir et tous contre le mur je me plaqua sur elle pour pas qu'elle tente de nouveau de s'en aller. Je sentait sa respiration et je l'embrassa de nouveau tous en lui caressant le long d'une de ses jambes. Ce coup ci, il n'y avait qu'une main immobilisé et elle tentais avec l'autre de retenir les caresses faites sur elle. Bien que ces tentative furent nombreux, Alana ne pu empêcher ma main de retourner vers le lieu de ses plaisirs et de se mettre dans la culotte et de la lui baisser pour la faire tomber le long de ses jambes, je caressait, tripotais, elle subissait sans rien pouvoir faire. C'était plus fort que moi, j'avais été créé ainsi et je m'en plaignais pas. Maintenant je lui lèche ses magnifiques seins et joue avec le bout de ses tétons. Elle pouvait crier si elle le voulait, car maintenant cela n'avait d'importance. J'arrêtai de la caresser et je laissa ma langue s'en charger, je pouvais avec toucher certain endroit avec précision.

 La langue descendit de sa poitrine pour passer par le ventre et finir sa  course sur ses partis intimes, et avec une certaine précision pénétra en elle pour chercher son bouton du plaisir. Elle criait et me disait des truc, je n'écoutais rien j'étais plus concentré sur se que ma langue lui faisait. Ma main avait attrapé un sein et le masser avec une certaine délicatesse, appuyant de temps en temps sur le téton. Elle se tordait et gémissait, je suis bien parti il faut que je continu comme cela.

Bon! Onishiru ne semblait pas avoir de pitié. Alana se tâtait. Où bien elle cessait de jouer les victimes et voyait le désir d'Onishiru se casser la figure ou bien elle continuait de jouer les martyrs violées et n'avait rien à faire si ce n'était profiter des coups de langue ravageurs du jeune homme. Hum... Attitude de la jeune pucelle conservée donc.
En voyant sa langue partir à l'assaut de sa poitrine, Alana s'étonna encore une fois de sa longueur. C'était comme une main en fait. Elle n'osait imaginer le nombre de pauvres jeunes filles qui avaient dû en subir l'habilité.
Bientôt, elle se retrouva seins nus. Il voulait donc se faire plaisir aux yeux, grand bien lui fasse, la prêtresse savait qu'elle avait une poitrine généreuse et ferme, laiteuse, parfaite, créée par Aphrodite elle-même. T'peux pas test.
Plaquée au mur, ça l'arrangeait. Comme ça il la conçait véritablement et elle n'aurait vraiment aucune chance de s'échaper. Parce que sinon... Lorsqu'il l'embrassa de nouveau, Alana le mordit de nouveau. Et elle le mordrait comme une sauvage chaque fois qu'il voudrait l'embrasser.
Elle sentit de nouveau la main de la drôle de créature à la langue si habile sur sa cuisse, et possédant une main de libre, Elle tenta de l'en empêcher, mais ne se montra pas très motivée, sentant sa peau s'éveiller suite à ce contact.
Nouvelles pirouettes de la langue du beau brun! Incroyable! C'était bon en plus! Alana ferma les yeux et bascula la tête en arrière, serrant les dents. Dans la situation actuelle, on aurait pu croire que c'était de dégout. Puisqu'elle en avait l'expression, mais en réalité, c'était juste qu'elle se concentrait pour ne pas hurler comme une nympho qu'elle était.
Finalement, c'en fût trop.

"Arrête ça je t'en prie, arrête!"

Ton suppliant et tout... Il menaçait de faire éclater sa couverture!

elle me suppliait d'arrêter, mais en réalité elle en redemandait encore, elles sont toutes comme sa, une fois qu'on les chatouilles au bon endroit. Je commençais à sentir que s'était le bon moment pour lui faire ce plaisir que sont corps réclame mais qu'elle refuse d'avouer. J'attendais de la faire pousser plus de gémissements pour passer à la suite alors j'insistai encore un peu. Malgré ses crient et ses tentative de fuite, je parvint à la plaquer sur un bureau de travaille, les vêtements ouvert et son bras toujours prisonnier de l'étreinte de ma main. De l'autre main je lui caressais sa chatte pour continuer de lui procurer se plaisir, tantôt je frottais dessus et tantôt j'y rentrait deux de mes doigts. Je continuais cette action aussi longtemps que sont corps en avait besoin pour être prêt. J'écarte ses lèvres intimes et je continuais de chercher se plaisir avec l'aide de ma langue. Je parvint à déboutonner mon pantalon et à sortir mon membre. Elle gigotais de plus en plus quand je lui écarte ses douces jambes afin de mieux me rapprocher d'elle. Je me plaque contre elle et en me penchant dessus et avec ma bouche je lui lèches ses seins de rêve et mordillant alors un de ses tétons. Et avec l'autre main je tenta alors de la pénétrer en douceur.

Bon, finit de jouer... Lorsqu'Alana vit Onishiru sortir son membre, elle fit tomber les masques et, se contorsionnant, lui donna un violent coup de pied dans le pectoral pour le repousser. Une fois qu'il eu reculé de quelques pas, elle se redressa et commença à se recoiffer, parfaitement calme et sereine.

"C'est intéressant ce que tu fais avec ta langue. Ca fait beaucoup de bien, vraiment. Mais si tu veux me prendre, il va te falloir un peu plus que ce que tu m'as donné. Je suis pas contre evidemment, mais il faut qu'on joue un peu avant ça."

Elle lui sourit et se leva, pour venir près de lui et lui plaça ses bras autour du cou, allant cueillir un baiser.

"Allez, un peu de courage!"

Cela dit, elle lui caressa le membre en souriant, avant de filer par la porte. La rouquine était du genre vive et rapide, très différente de ce qu'Onishiru avait pu voir jusque là.