Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Des cours particuliers pour une élève particulière... [PV Adrian]

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Yokona

Créature

Il y a tout d'abord les élèves qui arrivent par vagues, chacun descendant des bus qui les emmènent au lycée Mishima. C'est assez intéressant de voir qu'ils sont tous différents les uns des autres, ils ne s'habillent pas du tout pareil. Je dirais même qu'ils s'habillent très différemment, entre les jeans et les joggings, les robes et les blousons. Chacun a son propre style, sa propre façon de se fringuer, et cela donne une vague de couleurs intéressante. Un artiste peintre aurait pu s'amuser à peindre chaque personne en un seul point coloré, qui correspond souvent à leur t-shirt, cela aurait donné un tableau formidable. Et formidablement migraineux, je vous l'accorde. C'était un peu un méli-mélo de couleur, une symphonie dans laquelle le vert se mêlait au jaune et au violet sans distinction. Et moi, du haut de la fenêtre, je trouvais ça assez formidable. J'étais ici depuis plus longtemps, j'étais arrivée en avance pour travailler sur un cours dont j'allais avoir, prochainement, un contrôle. Je voulais le réussir, et même si je n'avais aucun doute sur ma mémoire, je voulais vraiment mettre toutes les chances de mon côté. Alors j'avais mon livre dans les mains, je relisais les cours, tout en observant de temps en temps la masse grouillante des élèves qui entraient dans le lycée après avoir fumé leur clope. cela laissait un beau nuage de fumée, je ne comprenais pas comment on pouvait aimer ça. Mais je ne jugeais pas, s'ils voulaient se ruiner la santé, c'était bien leur problème. Moi, je ne fumais pas, et je m'en portais très bien. Bref, je rabaissais mes yeux sur mon livre au moment où la sonnerie retentit dans les couloirs. J'allais commencer ma journée, avec un cours que je ne maîtrisais pas vraiment. Mais bon, je m'accrocherais et j'irai voir le professeur à la fin du cours. Je rangeais mes affaires et allait devant ma salle.

Le professeur, Mr Taylor, nous fit entrer. Je lui adressais un petit sourire en entrant, allant rapidement m'asseoir à ma table sans rien dire. Comme souvent, mon visage se tordait en grimaces quand je ne comprenais pas, mais je prenais malgré tout en note, avec mon stylo violet pour savoir ce que je ne maîtrisais pas. Je n'aurais qu'à aller lui poser mes questions après le cours, s'il n'avait personne après. Le temps passa assez rapidement, et quand la sonnerie fit de nouveau entendre sa douce mélodie - en vrai, elle me vrillait tellement les tympans que je posais mes mains sur mes oreilles pour ne pas l'entendre - je pris mon temps pour ranger mes affaires. Mr Taylor n'était pas un prof comme les autres. Il portait toujours un costume noir, une cravate assortie, et avait un tatouage dont on ne voyait qu'un bout, dans le cou. Mais en plus de ça, je le trouvais plutôt mignon, et apparemment certaines élèves semblaient proches de lui. Je n'en disais rien, je n'avais pas mon mot à dire là-dessus. Bref, j'enfournais mes livres dans mon sac en prenant le temps, rangeant aussi ma trousse. Le "zip" de la fermeture résonna alors que les derniers élèves sortaient de la classe. Pour ma part, je m'approchais doucement de son bureau. J'avais toujours été une personne assez discrète, je participais peu dans ce cours parce que je ne comprenais pas trop, donc je me doutais que le fait que je vienne m'adresser à lui pourrait le surprendre. Cependant, c'est la tête haute et le sourire aux lèvres que je m'approchais, posant une main doucement sur son bureau, l'autre tenant une anse de mon sac pour le maintenir sur mon dos. Un grand calme régnait dans la salle, et alors je pris la parole :

Excusez-moi... Je ne comprends pas tout au cours... Je voulais savoir si vous pouviez répondre à mes questions...

Je sortais alors mes feuilles de tout ce que je ne comprenais pas. Et je me rendis compte qu'il n'aurait jamais le temps de m'expliquer ce que je n'avais pas compris... En plus, je commençais à avoir une sale envie de luxure, il me fallait aller aux toilettes le plus vite possible. Je sentais bien qu'en y pensant, mon intimité commençait à se faire moite. Je secouais alors doucement la tête :

Peut-être pourriez-vous plutôt me donner des cours du soir ? Cela nous laisserait le temps d'approfondir le sujet...

Quand il accepta, je laissais mon adresse notée sur un morceau de papier sur son bureau, m'éclipsant rapidement en espérant qu'il n'ait pas remarqué l'excitation qui avait commencé à me gagner.
« Modifié: mardi 30 mars 2021, 22:28:03 par Le Grand Jeu »

Adrian Taylor

Humain(e)

Adrian bailla longuement sur sa chaise de bureau alors que les élèves n’allaient pas tarder à arriver devant la salle de classe. Il n’avait pas très bien dormi et n’attendait qu’une seule chose, voir comment serait habillée la jeune Émilie ce matin. Il observait cette fille depuis un moment, voulant faire d’elle sa nouvelle conquête. C’était une adolescente timide, sans histoires et apparemment sans amis. Réussir à la baiser ne serait pas facile, mais ça serait très excitant ! En entendant la cloche sonner le début des cours, le jeune homme se leva et s’étira avant de réajuster sa cravate. Il était toujours extrêmement minutieux et voulait être impeccable, sachant que ça serait plus simple pour lui de séduire des lycéennes s’il se montrait sous son meilleur jour. Il alla ouvrir la porte et fit rentrer les élèves avant de s’installer à son bureau. Il fit tranquillement l’appel, notant l’absence de sa future proie, ce qui lui tira un léger soupire. Il y avait d’autres filles dans cette salle de classe qu’il n’avait pas encore mises dans son lit, mais il n’aimait pas être sur plusieurs coups en même temps.

Le professeur Taylor fit son cours tranquillement, expliquant à plusieurs reprises certaines choses qui étaient plus complexes que d’autres. C’était un professeur de sciences et de mathématiques, et ce matin, c’était un corps sur le système immunitaire, avec de nombreux mots pompeux qui étaient tous plus compliqués à écrire les uns que les autres. Il termina le cours sur les muqueuses qui en plus de contenir de nombreuses bactéries étaient des portes ouvertes à de potentielles maladies. Il donna ensuite quelques exercices à faire pour la prochaine fois, puis il regarda les élèves partir un à un. Yokona était à la traine et il comprit rapidement qu’elle voulait lui parler quand elle s’avança vers son bureau. Elle n’avait pas tout assimilé et apparemment elle avait de nombreuses questions. Il regarda le bout de papier, voyant une liste plutôt imposante puis il l’entendit lui proposer de lui donner des cours du soir. Il ne refusait jamais d’aider une élève, surtout quand elle était aussi jolie. Il était frustré et ne s’était même pas masturbé pendant cette heure de cours, alors il se dit qu’il pourrait très bien changer ses plans et voir s’il pouvait se taper cette petite. Après tout, elle était également très belle, et sa chevelure le fascinait particulièrement.


— Hum c’est vrai que tu as l’air d’avoir de nombreuses lacunes, et je ne suis pas sûr de pouvoir les gommer en cinq petites minutes. Je veux bien te donner des cours, déclara Adrian avec un sourire plein de malice tout en récupérant le papier.


Il n’avait pas eu le temps de lui parler de ses tarifs que la petite s’éclipsa. Il haussa les épaules, se disant que si elle demandait des cours, c’est qu’elle avait largement les moyens de payer. Dans le pire des cas, il pourrait lui proposer une alternative plutôt alléchante… Les yeux du jeune homme avaient louché sur la poitrine de l’adolescente et sur ses jolies jambes qu’il se voyait bien écarter pour voir ce qui se trouvait entre. Et voilà qu’il fantasmait déjà en se demandant à quoi ressemblait son intimité. Est-ce qu’elle s’épilait ou se rasait l’entre jambe ? Ses petites lèvres humides ressortaient-elles entre ses grandes lèvres ? Étaient-elles parfaitement symétriques ? D’ailleurs, est-ce qu’elle était vierge ? Il continua de se poser de nombreuses questions quand soudainement il se dit que l’adolescente ne l’avait pas du tout informé sur l’heure idéale pour venir lui donner son premier cours du soir. Oh et puis tant pis, il irait quand il voudrait !

Le reste de la journée passa incroyablement lentement car tout ce qui intéressait le professeur, c’était de se taper cette mystérieuse élève. C’est avec ce but bien ancré dans sa tête qu’il se rendit à l’adresse notée sur le bout de papier à vingt heures pile. Il sonna et attendit tranquillement sur le palier de la porte toujours vêtu de son costume alors qu’il murmura doucement :


— Allez… Viens m’ouvrir la porte et tes cuisses par la même occasion.


Yokona

Créature

Hum c’est vrai que tu as l’air d’avoir de nombreuses lacunes, et je ne suis pas sûr de pouvoir les gommer en cinq petites minutes. Je veux bien te donner des cours.

Super ! Je m'éclipsais directement, avant même d'avoir entendu quel prix je devrais payer, ou même de lui avoir donné l'heure  à laquelle venir taper. Tant pis. Je me dépêchais d'aller dans les toilettes les plus proches, qui heureusement étaient vides. Je sortis rapidement un jouet de mon sac, avant de me l'enfoncer. Cela me détendit aussitôt, me permettant d'assouvir une partie de mes envies sexuelles. Il restait encore à régler l'envie de me faire remplir de foutre, mais ça ce serait un problème que je réglerais plus tard. Pour l'heure, je me faisais plaisir et laissais à mon god l'occasion de recevoir un nouvel orgasme de ma part. Suite à ça, je le nettoyais bien, je le rangeais dans un sac en plastique qui regagna le fin fond de mon sac, avant que je ne prenne la direction de mes autres cours. La journée passa assez rapidement, notamment parce que j'assimilais rapidement les cours que je voyais. De ce fait, j'arrivais à mémoriser les informations importantes, et je pouvais les ressortir dans le cours suivant, pour le plus grand plaisir de mes professeurs. Quand la cloche sonna pour la dernière fois, je fus on ne peut plus soulagée de regagner mon chez-moi. Mes affaires furent abandonnées dans ma chambre, le long d'un mur, je ferais mes leçons plus tard. Je pris un rapide goûter, il était déjà plus de 19h, et j'allais rapidement prendre une douche. Cela me ferait du bien, sentir l'eau bien chaude couler le long de mon corps, effacer les traces d'impuretés qu'avait laissé mon orgasme journalier, et surtout me permettre de ne pas penser à ce professeur qui allait venir chez moi d'ici quelques heures. Pourquoi je ne voulais pas y penser ? Pour ne pas que ma cyprine se mélange à l'eau, et me salisse de nouveau, pardi ! Je sortis de l'eau, avant de m'essuyer et d'entendre la sonnerie.

Déjà ?! J'attrapais mon téléphone, voyant qu'en effet, il était déjà 20h. J'avais un peu trop trainé sous l'eau, et voilà que j'étais en retard. Je dénouais mes cheveux qui étaient dans ma serviette, enroulais mon corps entier dans une nouvelle serviette sèche, couvrant la totalité de mon corps. Je filais en courant dans ma chambre, attrapais une robe soigneusement posée sur mon lit. Elle n'avait pas de bretelles, c'était une belle robe en bustier. Verte, simple, avec un laçage doré dans le dos. Je n'enfilais pas de sous-vêtements, je n'avais pas le temps. Mes pieds gagnèrent mes chaussons, en pilou-pilou, avant que je ne me dirige vers la porte. J'ouvrais rapidement, tout en continuant de lacer ma robe dans mon dos. Je devins rouge en me rendant compte que j'accueillais chez moi un professeur, dans une tenue qui ne me donnais pas l'air d'une élève sérieuse. Mais bon, tant pis, je l'avais déjà invité à passer le pas de ma porte. Le conduisant au salon en me battant avec le laçage, je demandais :

Peut-être voudriez-vous boire quelque chose ? J'ai du thé, du café, et sûrement des bières au frigo...

Je me tournais, tout sourire, vers lui en attendant une réponse. Et en me bagarrant avec ma tenue.

Adrian Taylor

Humain(e)

Sacrée tenue ! C’est la première pensée qui lui vint à l’esprit quand son élève arriva pour lui ouvrir. Il n’avait qu’une envie, c’était de poser ses mains sur le bord de la robe pour la baisser doucement et dévoiler les seins de la lycéenne. Il était persuadé qu’ils étaient à croquer. D’après ce qu’il voyait, elle ne portait pas de soutien-gorge et vu ses cheveux humides, elle sortait de la douche. Est-ce qu’elle avait eu le temps d’enfiler une culotte ou non ? Il la suivit tranquillement dans le salon, laissant ses yeux se balader un peu partout pour voir la décoration des lieux. Il reporta son attention sur la lycéenne quand elle le questionna :


— Peut-être voudriez-vous boire quelque chose ? J'ai du thé, du café, et sûrement des bières au frigo...

— Je veux bien un peu de thé, merci.

Il s’assit sur le canapé, regardant l’élève se débattre avec les lacets de sa robe. Ça ne devait pas être évident du tout à fixer, surtout sans voir dans son dos ce qu’elle faisait. Il restait confortablement installé en la regardant faire un petit moment, puis il se leva et passa dans son dos. Il n’allait pas la regarder galérer indéfiniment.

— Laisse, je m’en occupe. Tu n’as pas l’air de t’en sortir, déclara-t-il en souriant. Sinon dis-moi ce que tu n’as pas compris dans mon cours de ce matin. Ce n’est pourtant pas si compliqué que ça le corps humain. Ne t’en fait pas, on prendra le temps de bien étudier toutes les muqueuses que ça soit chez l’homme et chez la femme. Tiens d’ailleurs, cite-moi toutes les muqueuses que tu connais et leurs spécificités.

Allait-elle oser parler de son vagin ? De son anus ? Il rit intérieurement et commença à nouer les lacets, ses doigts caressant par moment le dos de Yokona. Elle avait la peau très douce et il était pressé de pouvoir la toucher ailleurs. Il aurait bien aimé la toucher ailleurs et en voyant les plis de sa robe au niveau des fesses, il eut une petite idée. Il termina de nouer les lacets du haut de la robe, puis il posa doucement ses mains sur le fessier, attrapant le bord de la robe pour tirer légèrement dessus pour retirer les plis et bien la placer. Il bandait légèrement après lui avoir toucher le derrière par-dessus la robe. Elle avait décidément de très belles formes.

— Voilà, ta robe n’était pas très bien mise. C’est un peu mieux ! En tout cas elle te va parfaitement, avoua le jeune homme d’une voix mielleuse avant de retourner s’asseoir sur le canapé.

Il était confortablement installé et une légère bosse était visible entre ses jambes, même si la couleur noire de son pantalon l’atténuait un petit peu. Heureusement qu’il ne portait pas un jeans bleu ou blanc car sinon ça aurait été vraiment beaucoup trop flagrant pour que la lycéenne ne le remarque pas. Les parents de Yoko n’étaient pas là et il espérait bien qu’il ne rentrerait pas avant un moment, sinon il serait difficile de se taper leur fille, même s’il n’était pas certain de pouvoir la prendre dès ce soir. Elle s’était habillée sexy pour l’accueillir alors c’était déjà un bon point. Il la dévisagea avec un grand sourire avant de lui demander :

— Tes parents rentrent à quelle heure ? On devrait peut-être travailler les cours dans ta chambre, non ?


Yokona

Créature

Je veux bien un peu de thé, merci.

Sur sa demande, je vins doucement sourire et continuais de me bagarrer. Ses pas allèrent vers le canapé, et son corps s'y enfonça. Je fis mine de rien, mais j'étais en train de me dire que j'allais finir par enlever cette robe de malheur. Je gardais un doux sourire, digne d'une vraie petite elfe bien élevée, ce que j'étais. Finalement, je dus lui avoir fait pitié avec ma foutue robe, parce qu'il vint se relever pour se mettre dans mon dos. L'espace d'un instant, j'eus envie qu'il me débarrasse de cette foutue robe et qu'il s'occupe de ma poitrine. Une nouvelle fois, mon intimité devint un peu plus humide, et je priais pour qu'il ne remarque pas qu'une goutte solitaire de cyprine venait de glisser le long de ma cuisse. Finalement, ses doigts attrapèrent les fils, et il m'intima de le laisser faire. J'obéis docilement, un petit sourire aux lèvres. En même temps, alors que je sentais ses mains dans mon dos, il me demanda de lui dire ce que je n'avais pas compris dans son cours de la mâtinée, en affirmant que le corps humain n'était pas si compliqué. Je haussais les épaules, je n'étais pas de cet avis. Lorsqu'il m'affirma qu'on allait prendre le temps d'étudier toutes les muqueuses, masculine ou féminine, je ne pus m'empêcher de rougir profondément. Allait-il juste me faire un cours comme un bon professeur, ou bien allait-il venir découvrir mes muqueuses ? Je l'ignorais, mais rien que la seconde idée fit légèrement pointer mes tétons. Il me demanda de citer toutes les muqueuses que je connaissais, ainsi que leurs spécificités. Je commençais à avoir légèrement plus chaud, mes mains devenaient un peu moites. Bien entendu, dans l'état d'esprit dans lequel j'étais, je ne pensais qu'à celles qui concernaient mon vagin et mon anus. Mais devais-je le dire ? Je n'en savais rien... Finalement, je pris la parole :

Les muqueuses sont présentes au niveau des parois. Je dirais qu'il y a une muqueuse dans le nez, la gorge probablement, et puis... Et puis il y a les muqueuses uro-génitales. Mais je ne connais pas leurs spécificités.

Je ne mentais presque pas, mais je n'allais pas tout lui dire tout de même. Il laçait ma robe, ses doigts frôlant ma peau. Cela me fit frissonner, je retenais mon souffle. Les lacets du haut furent bientôt attachés, et alors il fit quelque chose qui me surprit un peu. Ses mains venaient de se poser sur mon derrière, avant qu'il n'attrape le bas de ma robe pour le descendre légèrement. J'avoue que je n'avais pas bougé, comme si il n'avait rien fait de mal. En soi, c'était bien vrai, il n'avait rien fait de mal, au contraire. Cela n'avait fait que conforter mon idée que j'aimais qu'on me touche. Mais, après ça, il m'affirma que ma robe était mal mise. Un fin sourire amusé se figea sur mon visage, pendant qu'il me complimentait sur le fait que ma robe m'allait bien. Il rejoignit le canapé, et alors je me dirigeais dans la cuisine. Je sortis deux tasses, avant de mettre de l'eau à bouillir pour notre thé. J'attrapais ma boite à thé, dans laquelle figuraient quelques parfums. Fruits rouges, menthe, citron et thé noir. Je revins dans le salon, avant de déposer la boite sur la table en me penchant légèrement. Est-ce-que je savais que ça lui donnait une vue presque parfaite sur mon intimité humide ? Oui. Est-ce-que je l'avais fait exprès ? Oui. Je retournais dans la cuisine en entendant la bouilloire siffler. L'eau était à la bonne température. J'allais alors remplir les deux tasses, avant de les ramener dans le salon, ainsi que du sucre. J'avais toujours eu une meilleure dextérité que les humains, donc cela me permettait de ne faire qu'un voyage. Finalement, j'entendis mon professeur qui me demandait à quelle heure revenaient mes parents, et suggéra qu'on aille travailler dans ma chambre. Je posais les tasses, sentant les larmes monter légèrement à mes yeux. Puis, avec douceur mais une grosse émotion dans la voix, je répondis :

Mes parents... Ne rentreront jamais. Ils sont morts... Je vis seule ici, c'est plutôt calme. Tu veux un thé à quoi ?

Je changeais de sujet pour ne pas devoir me justifier, ni sur ma présence ici, ni sur comment je payais mon loyer et tout ce qui y touchait. J'avais suffisamment de sous pour ça, même si certains mois, je devais me priver d'eau chaude. Je saisis un thé noir, venant l'abandonner dans l'eau chaude avec du sucre. Et zut, les cuillères... Je fis rouler une graine, que j'avais toujours à portée de main, jusqu'à la cuisine. Puis une liane se développa, allant attraper des cuillères et me les donnant. Je me tournais vers mon professeur, réalisant alors que j'avais usé de ma magie devant un humain. Je tournais la tête, avant de parler :

Euh... Euh... Tu n'a rien vu, d'accord ?

Dans ma précipitation, je venais de faire tomber une autre graine. Je me penchais alors pour la ramasser...

Adrian Taylor

Humain(e)

Le professeur Taylor regarda son élève se concentrer alors qu’elle cherchait à formuler la meilleure réponse possible à sa question. Il lui sourit pour l’encourager puis l’écoute calmement :

— Les muqueuses sont présentes au niveau des parois. Je dirais qu'il y a une muqueuse dans le nez, la gorge probablement, et puis... Et puis il y a les muqueuses uro-génitales. Mais je ne connais pas leurs spécificités.

Adrian hocha la tête, plutôt satisfait de sa réponse même si bien évidemment il manquait de nombreux détails et tout un tas de choses à dire sur les muqueuses. Peut-être allait-il lui donner un cours pratique en lui demandant de lui montrer son vagin. Il était pressé de lui montrer comment ce genre de muqueuses peuvent s’humidifier après quelques coups de langue bien placés. Il était perdu dans ses pensées alors que la fille était partie à la cuisine pour chercher de quoi faire le thé. Elle retourna rapidement au salon pour y déposer la boîte contenant les sachets de thé, se penchant pour la placer sur la table basse, dévoilant son intimité qui avait l’air légèrement humide. Était-ce à cause de la douche ou une conséquence des caresses de l’homme sur son dos et sur ses superbes fesses ? En tout cas, cela l’excita énormément, faisant gonfler sa verge qui cette fois déformait clairement son pantalon, dévoilant une imposante bosse. Purée mais quelle cochonne ! Elle voulait qu’il la baise sur le champ ou quoi ? Il ne faudrait pas beaucoup plus pour qu’il passe à l’acte, mais au début, il voulait toujours se montrer subtile et protéger ses arrières. S’il allait trop vite avec une fille et qu’elle portait plainte, il risquait gros ! Pendant qu’il réfléchissait sur la marche à suivre, Yokona avait déjà fait un autre aller-retour pour récupérer des tasses, l’eau chaude et du sucre. Il était un peu gêné qu’elle puisse voir l’énorme bosse entre ses jambes.

— Mes parents... Ne rentreront jamais. Ils sont morts... Je vis seule ici, c'est plutôt calme. Tu veux un thé à quoi ?

— Je suis désolé. Je veux bien goûter celui au citron, déclara le jeune homme alors qu’il se refusait de poser des questions sur ses parents pour le moment.

Il voulait chercher un sujet de conversation pour réchauffer un peu l’atmosphère suite à cette triste révélation quand une liane quitta la cuisine pour rejoindre le salon et donner des cuillères à Yokona. Il regarda la scène avec de grands yeux surpris, ne sachant pas quoi dire sur le moment. Il… Il avait rêvé ? Ce n’était pas possible, ça ne pouvait pas être réel.

— Euh... Euh... Tu n'as rien vu, d'accord ?

— Hum, si j’ai vu quelque-chose, mais je ne suis pas trop sûr. Tu… Tu peux quand même m’expliquer ? demanda le jeune professeur sans trop savoir quoi dire. J’ai forcément du halluciner.

Il la regarda se pencher, ayant à nouveau sa petite chatte trempée sous les yeux, achevant de le faire bander. S’il n’était pas choqué par ce qu’il avait vu juste avant, il se serait approché pour la toucher. Au lieu de ça, il restait affalé sur le canapé, la bite bien gonflée. Il était tiraillé entre son envie de baiser cette lycéenne et sa curiosité après ce qui venait de se passer.

Yokona

Créature

Je suis désolé. Je veux bien goûter celui au citron.

Au moins, il avait eu la délicatesse de ne pas insister. C'était gentil, sympathique, et cela me permit de rapidement revenir à un état d'esprit normal. C'est donc avec un naturel habituel quand je me trouvais chez moi que j'avais utilisé une plante pour récupérer les cuillères. Et, apparemment, cela surprit notre cher professeur. Il tirait une de ces tronches, je vous jure ! Alors je lui avais affirmé qu'il n'avait rien vu, mais apparemment si. En même temps, quand une belle liane pousse dans une baraque comme si de rien n'était, ça surprenait. Alors j'attrapais un sachet de thé au citron, venant le plonger dans sa tasse en espérant qu'il ne dise rien. Mais si, voyons, Yoko, il va forcément dire quelque chose... Alors du coup, bah j'ai ramassé la graine qui venait de tomber. En lui montrant, une fois de plus, ma jolie intimité mouillée et imberbe. Il voulait une explication, et alors je tournais légèrement la tête vers lui. Mon dieu ! Je venais de voir, car je n'y avais pas vraiment prêté attention jusqu'alors, qu'il avait une belle bosse sous son pantalon. Faisant mine de ne rien avoir vu, je penchais un peu la tête. Mes yeux, indéchiffrables, ne pouvaient pas trahir ce que je pensais. Excitation, mais aussi envie de lui expliquer. Il pensait avoir halluciné, et je commençais à me dire que je n'aurais jamais dû l'inviter à me donner des cours particuliers. Oui, mais si je ne l'avais pas fait, il n'aurait jamais eu cette belle bosse dans son pantalon, et moi je n'aurais jamais eu une telle envie de me faire violemment - ou non - attraper par cette même bosse. Alors je me tournais légèrement vers lui, avant de me relever. Je lui faisais face, dans ma jolie tenue assez sensuelle. Il avait droit à des explications, tout de même ! Alors je dégageais mes cheveux, dévoilant une oreille un peu plus pointue que celles des humains :

Je ne suis pas humaine. Je suis une elfe, et j'ai décidé de venir sur Terre pour devenir professeur au lycée Mishima. Du fait de ma connexion avec la nature, je peux la contrôler...

Je vins me pencher face à lui, pas pour lui donner une belle vue sur moi décolleté - quoique - mais pour laisser mes mains se glisser sur ses cuisses. J'y prenais appui, laissant mes yeux si particuliers se plonger dans les siens. Mon visage était près du sien, et pourtant je ne tentais rien pour l'embrasser. Mes mains ne cherchaient même pas à venir soulager sa bosse. Je me contentais de l'observer, droit dans les yeux, pendant quelques secondes. Puis je murmurais :

Et donc, ces muqueuses ?

Finalement, la jeune femme que j'étais vint se redresser lentement, avant d'attraper ma tasse. Devais-je continuer de jouer, ou bien me mettre à sérieusement étudier ? Je mordillais tranquillement ma lèvre, réfléchissant à la meilleure possibilité.

Adrian Taylor

Humain(e)

Ce que le professeur avait vu était la seule chose qui avait freiné son envie de baiser cette lycéenne dans son salon. Il savait décoder les signes les plus subtiles des femmes qui voulaient coucher avec lui, mais Yokona lui avait montré sa petite chatte deux fois, ce qui était bien évidemment on ne peut plus explicite. D’ailleurs le regard de l’adolescente était tombé un bref instant sur l’énorme bosse de son pantalon, sans que son visage ne trahisse le moindre sentiment. N’importe qui aurait réagi en voyant une bite aussi gonflée, même si cachée par des vêtements. Cette absence de réaction voulait simplement dire qu’elle essayait de cacher son jeu, même s’il était clair qu’elle n’attendait qu’une seule chose, se faire prendre. Il redressa les yeux vers le visage de cette mystérieuse fille avant qu’elle ne lui dévoile son secret :

— Je ne suis pas humaine. Je suis une elfe, et j'ai décidé de venir sur Terre pour devenir professeur au lycée Mishima. Du fait de ma connexion avec la nature, je peux la contrôler...

Avant qu’il ne puisse réagir à ce qu’elle lui avait dit, elle se pencha en avant, posant les mains sur ses cuisses. Bon sang, pourquoi est-ce qu’elle n’attrapait pas sa queue ? Il n’allait pas s’en formaliser, loin de là. Ce n’était plus qu’une question de secondes avant que le professeur ne craque et ne s’amuse avec le corps de cette… elfe. Il s’en moquait au final. Certes il était toujours choqué par ce qu’il avait vu et entendu, mais son excitation était bien trop forte, refoulant la raison au second plan.

— Et donc, ces muqueuses ?

Il la regarda se lever et prendre sa tasse. Trop impatient, il se leva également et se colla à elle, plaquant soudainement les mains sur ses fesses, juste avant de les glisser sous la robe pour bien palper son fessier. Il le malaxa fermement tout en la fixant dans ses yeux.

— Pour les muqueuses ça attendra. J’ai l’impression que ta robe est mal mise alors il est normal que je t’aide à la remettre correctement, n’est-ce pas ? questionna Adrian avec un clin d’œil malicieux.

Le jeune homme continua de tripoter les fesses de l’elfe, en ayant une dans chaque main, s’amusant même à les écarter et les coller entre elles. Il s’amusa ainsi pendant de longues secondes avant de glisser son index le long de la raie de Yokona, s’arrêtant sur son anus pour le titiller. Il resta ainsi, la main droite entre les fesses de la fille alors que de la gauche il ouvrit sa braguette puis le bouton de son pantalon, la bosse de son boxer se dévoilant avant que son pénis avait un peu plus d’espace maintenant.

—   J’ai comme l’impression que je suis en train de toucher l’une de tes muqueuses. Comme tu as des lacunes sur ce sujet, je t’invite à venir découvrir celle qui se trouve entre mes jambes et qui attend ça avec impatience, déclara-t-il en attrapant la main droite de l’élève pour la plaquer sur son boxer. Allez, je suis sûr que tu n’es pas timide. Il faut que ma bite n’aie plus le moindre secret pour toi après ce cours, c’est compris ?

Yokona

Créature

Calme, détendue, ce n'était qu'une façade. C'est sûr que si on s'y arrêtait, à mon sublime visage angélique qui ne reflétait rien de plus qu'un désir d'apprentissage, on était pas arrivé. Mais en y regardant bien, en observant de plus près mon corps entier, on remarquait. On voyait une goutte de cyprine, solitaire, qui glissait le long de ma jambe ne pour venir s'écraser au sol. Rien de bien méchant, non, mais c'était bien une preuve que je n'étais pas un petit ange innocent. Au contraire, j'avais envie de me faire prendre par ce professeur. Et pourtant, je n'avais même pas effleuré sa bite à travers son pantalon, me contentant de prendre appui sur ses cuisses. Je savais me faire désirer, j'étais assez maline pour le faire craquer. Et justement, alors que je prenais ma tasse de thé pour en boire une gorgée, je sentis un mouvement dans min dos. Rapide, vif, et assez peu surprenant. Au contraire, s'il était resté assis sur mon canapé, là j'aurais été surprise. Ses mains agrippèrent mes fesses, les palpant avec une force assez amusante. Ses yeux posés dans les miens, il pensait vraiment avoir l'avantage sur moi. Mais non, jusqu'à maintenant, c'était moi qui avais fait toutes les premières démarches. L'inviter chez moi, dans une tenue indécente, me pencher d'une façon interdite pour lui montrer mon intimité trempée par sa faute, tout ça je l'avais fait pour en arriver là. Donc c'était moi qui avait l'avantage, parce que si j'avais joué la gentille élève toute délicate, on serait encore en train de parler de muqueuses ennuyantes. Donc bon, faut bien se l'avouer, j'avais fait preuve de moins de décence que lui mais en attendant, c'était quand même grâce à moi qu'il pouvait profiter de mon fessier. Et ça me plaisait bien, qu'il soit aussi impulsif, et qu'il soit aussi proche de moi.

Pour les muqueuses ça attendra. J’ai l’impression que ta robe est mal mise alors il est normal que je t’aide à la remettre correctement, n’est-ce pas ?

Il continua son petit manège, sous couvert de ne rien faire de plus que remettre ma robe correctement. J'hésitais quelques secondes à répliquer, ce que je fis en venant glisser mes lèvres près de son oreille :

J'ai l'impression que ce n'est pas vraiment la robe que tu veuille remettre correctement... N'est-ce-pas ?

Il s'amusait avec mes fesses, les écartant puis les collant entre elles. Je souriais, mon point faible ne résidait pas dans cette partie de mon corps. Mais ça, comment le savoir sans essayer de découvrir ? Il glissa alors son doigt entre mes fesses, s'arrêtant sur mon anus pour l'embêter. J'entendis alors, puisque mes yeux étaient toujours plantés dans les siens en signe de défi, la braguette de son pantalon descendre, et rapidement ce fut au tour de son bouton de sauter. Je ne baissais pas les yeux, je restais droite et fière. Il ne pouvait pas me faire céder en tripotant mon anus, alors c'était facile de soutenir son regard.

J’ai comme l’impression que je suis en train de toucher l’une de tes muqueuses. Comme tu as des lacunes sur ce sujet, je t’invite à venir découvrir celle qui se trouve entre mes jambes et qui attend ça avec impatience. Allez, je suis sûr que tu n’es pas timide. Il faut que ma bite n’aie plus le moindre secret pour toi après ce cours, c’est compris ?

Ma main droite avait été plaquée contre l'énorme bosse de son boxer. J'esquissais un sourire amusé, avant de commencer à tout doucement le caresser. J'aurais bien voulu lui en donner plus, sortir cette de chair de sa prison de tissu et l'enfoncer avec vigueur dans mon fourreau humide. Mais non, ma main se contentait d'aller de bas en haut, et de haut en bas, inlassablement, en lui offrant une caresse assez calme. Mon autre main vint attraper son poignet droit pour l'éloigner de mon anus, alors que je rétorquais simplement :

Fout la paix à cette muqueuse, j'aime pas qu'on y touche.

Je relâchais sa main, toujours en ayant cette lueur de défi dans le regard. Puis je le poussais sur le canapé, venant m'installer à cheval sur lui pour reprendre mes caresses sur son boxer. Et, suite à ça, je murmurais :

Donc vous voulez que je découvre votre queue et qu'elle n'ait plus aucun secret pour moi, c'est ça ?

Je jouais encore l'insolente, pour le faire patienter encore et qu'il finisse par craquer. Combien de temps tiendrait-il ?


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