Pardon professeur pv Joumu Mishiro

Encore une journée d’école ennuyeuse. Il était arrivé en retards comme d’habitude. Il avait écouté a moitié en classe. Pour tout dire il ne voyait pas vraiment l’intérêt d’étudier, la vie lui semblait un peu trop tracée trop ennuyeuse. A midi il avait mangé avec ces amis, il avait discuté sur les filles. Celle qui passait devant lui, celle qui trônait sur leur magazine.

D’ailleurs se soir il pourrait voir le dernier clip d’une de ces idoles préférée. Une jeune fille un peu plus ronde que les autres, avec un peu plus de forme. En fait en général il trouvait les filles de ses âges un peu trop minces, un peu trop place. Il aimait pouvoir poigner dans la chair lui.

Tiens  d’ailleurs le cours l’ennuyait et il sort le plus discrètement possible  il tire le magasin, son regard se posant sur la photo de la dite petite idole. Bon dieu qu’elle était adorable presque… Autant que la prof. Doucement le jeune homme releva le visage pour observer  le professeur. Bon dieu qu’elle poitrine. Elle est magnifique.

Le jeune homme observa doucement le balancement de la poitrine. Hum ce soir il avait le choix entre se masturber entre  sur la photo de l’idole. Ou ? Le jeune homme tira discrètement son téléphone de  son sac pour prendre une photo de la prof. Si seulement il pouvait la voir en sous-vêtement.


( Nom du jeune homme Mashiro Tanaka )

Depuis que j'étais devenue professeure au lycée Mishima, ma vie prit une tournure... disons, intéressante. D'un coté, j'étais exaspérée par l'immaturité permanente dont les lycéens faisaient preuve, qui imprégnait l'atmosphère, des couloirs aux salles de classe. D'un autre coté, cela m'a donné l'occasion de nouer des relations très particulières avec certains de mes élèves, leur apprenant rigueur et discipline, sur fond de sexe passionné.

Aujourd'hui était un jour à classer parmi les exaspérantes. La raison : Mashiro Tanaka. L'insolence dont il fit preuve en arrivant en retard à mon cours, sans montrer le moindre signe de remords, était déjà inacceptable en soi. Cela lui avait d'ailleurs valu une remarque fort acerbe de ma part, mais ce n'était apparemment pas suffisant pour qu'il comprenne qu'il devait se tenir à carreau. L'élève ne faisait en effet aucune effort pour suivre mon cours, ignorant ce que je disais et rêvassant à travers la fenêtre. Je n'allais certainement pas continuer à laisser passer ça.

- A force de regarder la rue, c'est là où vous finirez par vivre plus tard, monsieur Tanaka. En attendant, c'est par ici que ça se passe.

Quelques élèves gloussèrent, mais le silence revint rapidement dans la salle. Je ne tolérais aucune distraction, et je m'étais assurée que ce point soit clair pour tout le monde. Je repris ensuite mon cours.

- Where was I... oh, right. Phrasal verbs. For instance, if you take "look after" and "look for", the dif... Are you kidding me!?

Cette dernière partie ne faisait pas exactement partie de mon cours. Non content de ne pas m'écouter, le jeune insolent regardait des magazines féminins ! Et puis quoi encore ? Je marchais d'un pas rapide dans sa direction, faisant claquer mes talons contre le sol. Il semblait s'affairer à son bureau, surement pour faire mine de travailler, mais ça ne lui serait d'aucun secours.

- Donnez-moi ça.

C'était une injonction rhétorique, je ne m'étais pas gênée pour lui confisquer son magasine.

- Vous êtes au lycée, ici, pas dans un centre de loisir pour enfant. Au prochain incident, ce sera la porte, et j'en notifierais la directrice. Il n'y aura pas d'autre avertissement.

Mon ton était sec et intransigeant, mon message était clair. Enfin, pas tout à fait, je n'ai pas précisé quand est-ce qu'il pourra récupérer ses affaires. En attendant, je repris ma leçon sur l'importance des particules pouvant suivre un verbe. Son magazine à la main, que je ne pris pas la peine de regarder, je retournais à mon bureau pour l'y ranger, tout en continuant de parler, comme si le cours n'avait pas été interrompu.

Un soupire s'échappe de la bouche du jeune homme. Bon dieu elle ne pouvait pas la laisser tranquille ? Quand a vivre dans la rue.... Pourquoi pas mais bon il savait que ses parents l'aiderais. D'ailleurs a la remarque du professeur il haussa simplement les épaules. Bon … Cette dame est un peu casse couille, qu'elle perde espoir en tout les élèves et puis cela serais bon. De toute façon il pourrait devenir escorte boy il parait que cela rapporte bien et il a le physique pour. C'est qu'il l'entretiens son corps le jeune homme, il cours très souvent et nage deux fois par semaine. Il aimait le sport bien plus que l’anglais.

Et la voilà encore qui viens l'enquiquiner. Le jeune homme franco doucement les sourcils mais il remit les magasine au professeur. Serrant fortement les lèvres. Mais bon son regard ne put s’empêcher de glisser sur le fessier généreux de la prof. Bon dieu qu'elle cul ça devait être merveilleux de s'enfoncer entre. Ça devait être soyeux et puis il avait envie d'essayer la sodomie mais aucune de ces quelques conquêtes ne voulait essayer.

Par contre... Prévenir la proviseur est assez ennuyeux, surtout que sa mère vas encore le faire chier. C'est en soupirant qu'il fait semblant d'écouter le professeur, son regard glissa doucement sur sa poitrine . Bien puisqu'il n'avait rien d'autre il pouvait observer la prof, pour tout avouer les mouvements de sa poitrine quand elle bougeait était des plus hypnotique. Il s'imaginait bien les presser entre ces doigts. La peau devait être tellement douce. Ça ferait qu'elle effet d'enfoncer sa queue entre cette sublime poitrine ?  Les filles de la classe n'en avait pas d'aussi beau.  Il serais tellement cool de faire supplier cette prof de la soumettre...  Un instant le jeune homme sentit comme une envie monter en lui, un frisonne au creux de ces reins, et sans le vouloir il sentit son boxer se faire plus étroit. Bon voilà qu'il bande.

Un soupire lui échappe alors que le cours fini. Rangeant ces affaires il prit le temps de tout ranger pour laisser partir les autres élevés, avant de se lever pour aller vers le bureau de la prof, cherchant a parait plus grand plus fort. Il n’étais pas petit du haut de son mètre septante mais pas très grand non plus. Mais surtout il était fin malgré quelque muscles.

« Vous pourriez me rentre le magasine maintenant ? »

Peu être qu'il aurait put dire sil vous plaît mais a quoi bon ?  Son regard doré se posa sur le professeur lâchant pour le moment son décolleter.

Fort heureusement, le reste du cours se déroula sans interruption. Le jeune homme semblait avoir compris la leçon. Pour aujourd'hui en tout cas, car je ne doutais pas qu'il recommencerait ses bêtises à la première occasion. Tous les garçons de son âge fonctionnaient de la même manière, d'ailleurs j'en eu la preuve flagrante tout à l'heure. Pendant que je marchais entre les tables, en donnant ma leçon, j'avais clairement remarqué les regards qu'il me lançait. Ce n'était pas des regards de colère, comme s'il m'en voulait d'avoir été sévère avec lui, mais plutôt des regards envieux, comme s'il me dévorait des yeux. J'étais habituée à attirer les regards, mon tailleur sexy faisait souvent cet effet, et ce n'était pas pour me déplaire... Il était plutôt mignon, en plus, et prenait manifestement soin de son apparence. Peut-être que j'aurais une carte à jouer, là...

Après avoir indiqué les devoirs à faire pour la prochaine fois, je pris place à mon bureau. Les élèves les plus pressés quittèrent rapidement la salle, tandis que les autre suivaient progressivement. Quant à moi, assise sur ma chaise, les jambes croisées, je pris le magazine confisqué plus tôt et le feuilleta un peu. Tiens donc, des idoles ? C'était donc ça qui le fascinait tant pendant mon cours ? Je reconnaissais bien évidemment l'idole principale, qui avait droit à la moitié du magasine pour elle. Du reste, la plupart m'échappaient, tandis que d'autre avaient été personnellement sous mon management. Le bon vieux temps...

Le propriétaire du magazine apparut devant moi, me tirant de mes pensées, et me demanda froidement de lui rendre son bien. Après l'avoir silencieusement jaugé du regard, je repris ma lecture, en répondant sur le même ton.

- Mmh... non.

Je continuais de feuilleter les pages, et de faire mine de l'ignorer. Je poussai même jusqu'à décroiser lentement les jambes, et les croiser dans l'autre sens, remuant également ma poitrine et son décolleté plongeant par la même occasion, en sachant pertinemment qu'il me regardait.

- Mais tu peux continuer de me reluquer, si tu veux.

Nous étions seuls dans la classe, je me permettais donc d'être directe, et je m'amusais un peu avec lui, même si mon air sérieux pouvait laisser penser le contraire. En tournant la page sur l'idole mise en avant dans ce numéro, je la lui présentais.

- Oh, mais c'est Naomi ! Enfin, plus connue sous son nom de scène Ritsuko Akizuki. Nous étions très proche toutes les deux, à l'époque où je travaillais dans le milieu. Je me demande d'ailleurs comment elle va, je devrais peut-être penser à lui passer un coup de fil...

Très proche était un euphémisme. Notre relation était à la fois professionnelle, j'étais son manager, et personnelle, nous étions très intime toutes les deux. Pas vraiment un couple, mais... nous nous amusions beaucoup toutes les deux. Je refermais le magazine, et dirigea mon regard vers lui, un petit sourire en coin.

- Tu es un de ses fans ? Je pourrais lui dire bonjour de ta part, peut-être...

Une innocente suggestion, en soi. Mais plus j'y pensais, et plus j'avais envie de faire de lui mon gentil toutou. Je l'imaginais déjà déshabillé et attaché à mon lit... Ho oui, il serait parfait ! Il était mignon, un peu pervers, et aurait bien besoin d'un peu de discipline. Une dernière question me chiffonait, cela dit, était-il assez influençable pour être soumis ? J'espérais bien avoir l'occasion de le découvrir bientôt.