Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Luxe & Luxure [PV]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Luxe & Luxure [PV]

jeudi 06 septembre 2018, 22:44:21

Manoir Morimoto

Leona Morimoto était probablement l’une des filles les plus riches du Japon. Ses parents disposaient d’une fortune colossale, qu’ils avaient acquis grâce à de multiples investissements mobiliers. Des magnats de l’immobilier, qui possédaient la nue-propriété de moult maisons, immeubles, gratte-ciel, et même d’îles... Une fortune colossale faisant d’eux une famille très riche, mais qui n’avait jamais sombré dans la décadence et dans l’opulence que la richesse pouvait entraîner. La famille Morimoto était au contraire très stricte, très autoritaire, a fortiori avec leur fille. C’était une famille ultracatholique, et, depuis son enfance, Leona avait été versée dans le catholicisme.

Loin d’être effacée, Leona était une superbe adolescente, très pulpeuse, qui étudiait dans une école privée extrêmement onéreuse, où elle avait son lot de courtisans. Après tout, la richesse des Morimoto était légendaire, et l’école, d’ailleurs, avait été construite sur un terrain qui leur appartenait. Ils avaient eux-mêmes fondé cette école, de sorte que Leona était une véritable star locale. La jeune fille était toutefois frustrée, sexuellement parlant, sans même forcément le réaliser. Le sexe était quelque chose de tabou dans sa famille, et Leona se devait de vivre avec ça, ce qui n’était clairement pas facile au quotidien. Il était impensable pour elle d’avoir un petit-ami, et, de fait, elle était une femme très sèche, très autoritaire, méprisante au possible, surtout avec le personnel de maison. Ses parents avaient toujours négligé son occupation, et Leona s’était enfermée dans une sorte de colère à l’égard des autres pour masquer sa détresse psychologique, ce qui faisait que ses serviteurs avaient du mal à la supporter. Sa coiffeur personnelle, son cuisinier, ses domestiques... Même le jardinier, que Leona considérait comme un vieil alcoolique, était un individu qu’elle ne supportait pas, et avait déjà envisagé de le virer.

Cependant, il y avait, depuis quelques semaines, quelque chose qui perçait la carapace de Leona. Un élève du lycée, un camarade de classe, qui venait discrètement chez elle... Ses parents auraient été furieux de l’apprendre, car les parents de ce jeune homme travaillaient pour ses parents, et leur maison était louée par eux. Ils avaient donc potentiellement les moyens de détruire sa famille, mais Leona appréciait ce jeune homme timide, assez efféminé, et qui avait une très belle queue. Elle le savait très bien, car elle disposait de caméras dissimulées dans les vestiaires des garçons et dans la cabine de douche, ce qui lui avait permis de voir leurs sexes. Elle avait décidé de s’initier au sexe, à son rythme, et, pour ça, elle avait imposé le jeune homme à venir la voir chez elle, le menaçant de l’expulser, lui et sa famille, s’il n’obéissait pas. Un pieux mensonge, en réalité, mais, au sein du lycée, personne n’osait défier Leona.

« Hmmm... Hmmmm...
 -  Haaaa... !! »

Takeshi, le jeune homme, était tout nu dans la grande et vaste chambre de Leona. Agenouillée devant lui, la femme suçait son sexe longuement. Toujours vierge, elle refusait encore de passer à autre chose, et pratiquait sur lui plusieurs fellations par jour. En fait... Leona adorait le goût du sperme dans sa bouche.

« Hooo... !! »

Leona continuait à pomper son dard, s’absorbant pleinement dans son œuvre. À sa manière, elle s’initiait au sexe, et Takeshi, même si elle détestait cordialement Leona, devait bien admettre que... Et bien, cette garce était tout de même terriblement jolie ! Et toute cette richesse affichée ne manquait pas de l’exciter. Entretenir une relation secrète avec cette femme avait de quoi exciter n’importe qui, surtout un jeune homme timide comme lui.

Ce faisant, il se mit encore à jouir dans sa bouche, se relâchant généreusement en gémissant le nom de Leona... Et même plus que ça.

« Maî-Maîtresse... ! »

Leona le laissa juter dans sa bouche, et avala copieusement le contenu, déglutissant bruyamment, avant de se relever, et s’assit sur son fauteuil, croisant ses magnifiques jambes.

« Toujours aussi bon, Takeshi-chan, hmm... Tu sais, je crois bien que je vais mettre mon plan à exécution te concernant. Avec ton physique de petite fiotte, il ne sera pas difficile de te faire passer pour une fille. Tu seras l’une de mes maids. »

Et, comme ça, elle pourrait le sucer encore plus fréquemment... Ce qui ne manquait pas de l’exciter fortement !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 1 vendredi 07 septembre 2018, 19:43:01

Daiki Tokugawa était le jardinier chargé par la famille Morimoto, depuis déjà quelques années, d'entretenir le jardin de leur résidence principale, qui était un gigantesque manoir, doté d'un parc de taille également conséquente. Daiki était donc embauché à temps plein sur ce lieu, et louait même une petite bicoque sur le terrain du manoir, lui permettant ainsi d'être disponible tout le temps et présent sur place. Même si les Morimoto étaient riches à l'excès, Daiki s'entendait...plutôt bien avec ce vieux couple de riches, ils étaient des employeurs très stricts et exigeants, mais qui le payaient plutôt correctement donc bon...disons que Daiki supportait leurs lubies parce qu'il était assez payé pour ça.
Par contre leur fille...cette petite pute, Daiki n'arrivait pas à la supporter. Ses parents étaient stricts, mais reconnaissaient la valeur du travail que l'homme accomplissait sur leur domaine, mais Leona était juste une gamine pourrie et gâtée depuis sa plus tendre enfance, et qui était tout bonnement insupportable. Régulièrement, cette salope venait l'insulter, le rabaisser, parfaitement consciente que Daiki ne pouvait rien dire sous peine de perdre son emploi, et c'était clairement elle qui lui rendait la vie difficile. L'homme la détestait franchement, mais ne pouvait rien faire contre elle.
Mais malgré ça, il ne pouvait pas nier que cette lycéenne était...une putain de bombe sexuelle. Avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus, elle avait tout d'une poupée, mais surtout c'était son corps qui était une merveille, et il arrivait souvent à Daiki de bander lorsqu'il l'observait subtilement du coin de l'oeil. Se la taper ? Oh oui, il fantasmait volontiers sur ça, de planter sa bite dans sa bouche pour qu'elle arrête de l'humilier, mais bon ça...ça demeurait du domaine du fantasme.
Du moins...jusqu'à récemment.

Ces dernières semaines, les attaques de Leona à son encontre se faisaient plus régulières, et plus acerbes encore, au point qu'il manquait parfois de perdre son calme. Alors...alors il avait trouvé un moyen de se venger. Comme il était le jardinier, Daiki avait aussi la charge des plantes à l'intérieur de la maison, et donc de celles qui se trouvaient aussi dans la chambre de Leona Morimoto.
Ainsi, quelques jours auparavant, le brave jardinier avait décidé de prendre un très gros risque, en plaçant plusieurs minuscules webcams dans les plantes, offrant ainsi au jardinier, sur son PC portable, de quoi enregistrer les faits et gestes de cette petite salope. Il avait stressé pendant un temps, mais ayant fait de l'excellent boulot de dissimulation, Leona n'avait même pas remarquée le moindre élément suspect.
Initialement, Daiki avait prévu de l'enregistrer pendant qu'elle se changeait, afin d'avoir un peu d'images et de vidéos de Leona sur lesquelles il pourrait se branler. Mais ce qu'il parvint à chopper par ce biais, dépassa et de loin ses attentes les plus folles. Leona Morimoto étant encore sous le « joug » de ses parents qui étaient très stricts, il était hors de question pour elle d'avoir un petit ami, ou une quelconque aventure. Quelle ne fut donc pas la surprise de Daiki lorsque, au cours d'une après-midi où il prenait une pause, il avait pu voir en direct Leona inviter un garçon dans sa chambre...et cette espèce de pute hypocrite l'avait sucé !
Elle l'avait sucé !

*Quelle salope quand j'y repense...*

Daiki enregistrait donc ses ébats depuis plusieurs jours, et il s'avérait bel et bien que la frigide et arrogante Leona Morimoto était en réalité une grosse chaudasse qui adorait la bite, mais plus il la regardait...plus Daiki avait vu une idée germer dans sa tête. Une idée potentiellement très dangereuse, mais qui ne le quittait plus. Il s'imaginait désormais de plus en plus ce fantasme de coucher avec cette salope, mais maintenant, aussi, de la faire chanter, vu qu'il avait clairement de quoi montrer à ses parents que leur fille était une dépravée. Oh certes, si il devait en arriver là, nul doute qu'il serait viré et poursuivi en justice...mais Leona, oh cette petite pute serait déshéritée, et n'aurait plus accès à toutes ces richesses auxquelles elle était habituée depuis toute petite. Non, en vérité, Daiki comptait surtout sur le fait que la jeune femme aie trop peur qu'il mette sa menace à exécution, et qu'elle accepterait ses conditions pour qu'il tienne sa langue.

Et ce chantage, il comptait le commencer dès aujourd'hui, maintenant qu'il avait plusieurs vidéos de Léona en train de sucer son camarade et d'avaler son sperme. Daiki avait envie de passer à la vitesse supérieure, car il commençait à se lasser de juste se branler sur ça, et voulait...plus, beaucoup plus. Oh putain, le simple fait de bientôt se trouver dans une position de supériorité vis à vis de cette petite salope lui donnait une trique de tous les diables. Là, présentement, il était en train de travailler à tailler les haies du parc, mais il savait que dans quelques temps la jeune femme viendrait faire son petit tour. Elle ne manquait, ces derniers temps, jamais de venir le rabaisser au moins une fois par jour.
Mais cette fois...cette fois putain, elle allait finir par s'étouffer sur sa queue !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 2 samedi 08 septembre 2018, 02:53:18

Leona savait tous les risques qu’elle prenait en invitant chez elle Takeshi. Si ses parents l’apprenaient... Leona savait ce qu’elle risquait. Ils étaient de fervents catholiques, qui avaient renvoyé chaque employé quand ils venaient habiller trop courts... Et le lycée avait une morale religieuse très stricte aussi, où les simples baisers entre lycéens étaient susceptibles du conseil de discipline. Alors, s’ils apprenaient que leur propre fille était une nymphomane en puissance... Chaque Dimanche, Leona assistait à la messe, qui était faite en latin. Chaque soir, elle priait, elle connaissait chaque verset de la Bible par cœur, et il y avait, dans sa chambre, un crucifix, un exemplaire de la Bible... Régulièrement, son père s’amusait à tester ses connaissances en matière religieuse. Tout ça avait paradoxalement eu pour conséquence d’amener Leona à détester la religion. Elle espérait chaque jour pouvoir se débarrasser de ses parents, atteindre la majorité, et s’en sortir. Oh, comme elle attendait ce jour béni où elle mettrait la main sur la fortune familiale !

Avec Takeshi, elle n’avait pas pu se retenir, et le jeune homme s’amusait à lui lécher les pieds. Comme à son habitude, Leona le jaugeait de toute sa hauteur, en profitant pour l’insulter, comme elle aimait le faire. Leona était une femme très moqueuse, qui crachait volontiers sur les pauvres, les gros, les homosexuels... Bref, sur tout le monde ! Et Takeshi avait rejoint l’école grâce à une bourse d’études, car il était très intelligent, mais venait d’une famille très pauvre.

« Tu es vraiment une petite fiotte, Takeshi-chan... Un délicieux chien. Espérais-tu vraiment pouvoir être à ma hauteur en rejoignant le même lycée que moi, hm ?
 -  Hmmm... »

Takeshi rougissait sur place. Il continuait à lécher ses collants, remontant doucement, tandis que Leona buvait un peu de thé, et fronça soudain les sourcils, avant de gifler l’homme quand sa langue se posa sur sa peau.

« Haaa... !
 -  Pour qui te prends-tu, hm? Ta langue de petit chien ne mérite pas de toucher ma parfaite peau !
 -  Pa-Pardon, Maîtresse... »

Leona fronça lentement les sourcils, et se redressa brusquement, puis lui ordonna de s’agenouiller devant elle, avant d’écarter sa culotte. Takeshi put ainsi voir une vue sur son intimité parfaitement épilée, et approcha ses lèvres. Il les maintint prudemment à quelques centimètres, car, la seule fois où il avait failli déposer ses lèvres sur les lèvres intimes de sa Maîtresse, elle l’avait violemment battu avec un fouet. Mine de rien, Leona pouvait se montrer d’une incroyable cruauté, mais elle aimait surtout humilier les autres. Et Takeshi était tellement soumis... La jeune femme aurait sans doute pu avoir pitié de lui, mais...

« Ouvre bien la bouche ! »

Takeshi obtempéra, et Leona, un sourire malicieux sur les lèvres, banda ses muscles, contracta son sphincter... Et urina alors en soupirant. Un jet doré fusa dans la bouche de Takeshi, qui rougit furieusement, sachant très bien qu’il devait tout boire, car, encore une fois, Leona n’hésitait pas à le punir. Et il suffisait de voir son visage pour y lire le profond plaisir qu’elle ressentait en ce moment...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 3 samedi 08 septembre 2018, 12:32:48

Daiki avait entretemps fini de tailler les portions de haies qu'il devait faire pour cette journée, et quand il eut fini, il grogna en regardant sa montre. Bordel de merde, à cette heure, Leona Morimoto aurait déjà du venir le voir au moins une fois. En temps normal, jamais il ne s'en serait plaint, mais là il fallait que cette conne se radine ici pour qu'il puisse commencer à la faire chanter ! Dans son programme journalier, il n'était absolument pas question pour lui de rentrer s'occuper des plantes intérieures du manoir, il n'avait donc concrètement rien à y faire, et y rentrer tout de même c'était prendre le risque que d'autres des serviteurs de la maison se posent des questions. Il voulait se taper cette salope, mais le faire discrètement, sans que personne ne le sache.

*Merde mais qu'est-ce qu'elle fout cette salope ?*

Daiki avait en permanence sur lui un téléphone portable, qu'il avait lui aussi relié au système de webcams qu'il avait placé dans la chambre de Leona, ce qui lui permettait de temps à autres de regarder en vitesse ce que la jeune femme faisait. Il tomba donc sur cette scène pour le moins insolite...où elle était en train de pisser dans la bouche de son camarade qu'elle se tapait régulièrement depuis quelques temps.

Woooo...merde alors !

Heureusement pour lui, il n'y avait que lui dans ce coin du parc, il pu donc se permettre de regarder son téléphone pendant une bonne minute. Bordel, ce que cette chienne était bonne, mais surtout...surtout, qu'est-ce qu'elle était éloignée de l'image de sainte nitouche que ses parents se faisaient d'elle ! Rien que cette scène là, qui était enregistrée sur le disque dur de son ordinateur en direct, était en soit suffisante pour la faire chanter, mais il possédait déjà plusieurs autres vidéos en prime. La voir comme ça lui donna une belle trique, mais renforça aussi son envie de la faire venir maintenant !
Mais allerla chercher dans le manoir ? Impossible ! Par contre...Daiki se frotta son menton mal rasé en réfléchissant à une solution possible pour l'attirer ici.

*Attends ma belle...je te connais, je sais comment te faire venir.*

Il rangea son matériel destiné à la taille des haies dans l'entrepôt destiné à cet effet, et en sortit cette fois une tondeuse. Le hasard faisait bien les choses, la surface du parc était telle qu'il fallait régulièrement que la pelouse soit tondue, surtout qu'avec les pluies récentes, la pousse en était stimulée. Daiki la fit donc rouler sans le moteur allumé, jusqu'à ce qu'il arrive aux portions de pelouse qui se trouvaient son loin des fenêtres de la chambre de Leona. Il alluma donc la tondeuse, qui fit bien évidemment du bruit, surtout quand il commença à tondre. Dans l'absolu, Daiki faisait là juste son boulot, mais il savait pertinemment que ce bruit allait la déranger...et qu'avec de la chance, elle viendrait se venger en descendant pour l'insulter gratuitement.
Oh qu'elle vienne, cette fois qu'elle vienne...il n'attendait vraiment que ça !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 4 samedi 08 septembre 2018, 13:35:07

Leona montrait avec Takeshi son visage le plus « sympathique ». Ses amies, soit étaient totalement écrasées par elle, soit la détestaient, mais personne ne considérait Leona comme une femme loyale, à qui on pouvait se confier. Ses propres professeurs la craignaient, et Leona passait le plus clair de son temps à humilier les autres. Ceci dit, elle n’était pas non plus une fille bête, elle était même plutôt intelligente, et très cultivée. La belle femme sourit donc devant Takeshi, qui avala lentement toute sa pisse, avant de rougir. Leona rabaissa ensuite sa minijupe en remettant sa culotte.

« Tu t’es bien rincé l’œil, sale pervers, hein ?
 -  Mais je... Maîtresse, je... »

Le pied de Leona frappa soudain Takeshi entre les jambes, et il couina en tombant à terre. Leona avait retiré ses chaussures, et son pied recouvert de collants se posa sur son sexe, très tendu à travers son pantalon. Elle serra sa queue contre son talon, un sourire moqueur sur les lèvres.

« C’est bien ce que je pensais... Sale pervers, tu oses bander à nouveau ! Tu me prends pour quoi ? Une truie que tu peux fourrer allégrement ?!
 -  Maî-Maîtresse, nooon... !! »

Takeshi se dandina sur place, bien incapable de lutter contre la femme. Leona écrasa encore son sexe contre son pied, rougissant de plaisir, ses yeux brillant de malice. Oui, elle aimait ça, humilier les gens, les provoquer, les faire souffrir... Elle ne pouvait pas encore perdre sa virginité, alors elle se vengeait comme elle le pouvait. Et, alors que Takeshi continuait à hurler, Leona entendit soudain des bruits de tondeuse. Elle fronça les sourcils en grognant, tournant la tête vers sa porte-fenêtres menant à sa terrasse, et serra furieusement le poing.

C’était encore ce foutu alcoolo bridé... Daiki-machin-chose. Leona était incapable de se rappeler le nom de ce type, un alcoolique notoire. Elle avait souvent demandé à ses parents de le virer, mais, pour l’heure, ceux-ci ne s’étaient pas encore exécutés. C’était un homme mal rasé, que Leona détestait, tout comme elle détestait presque tout el personnel de maison. Et Daiki semblait prendre un malin plaisir à la faire tourner en bourrique.

« Putain, y va m’entendre, ce sale con ! » rouspéta-t-elle en entendant la tondeuse, pile sous sa fenêtre.

Elle ouvrit précipitamment sa porte-fenêtres, laissant Takeshi empoigner son sexe avec sa main en retenant ses larmes, et posa ses mains sur la balustrade, avant de se pencher en avant.

« HEY ! HEY !! CASSE-TOI, CONNARD !! »

Daiki n’en fit rien. Soit il ne l’entendait pas, soit il feignait de ne pas l’entendre. Leona grogna encore, furieuse, et rentra dans sa chambre, retrouvant ses sandales.

« Maî-Maîtresse...
 -  Toi, ta gueule, casse-toi ! »

Leona ne jouait plus. En pétard, elle remit ses sandales, puis laissa Takeshi repartir. Le manoir Morimoto était très ancien, avec son lot de passages secrets, et la chambre de Leona disposait, justement, d’un puits secret dissimulé derrière la bibliothèque, permettant de rejoindre un tunnel d’évacuation. Takeshi entrait et sortait par là. Sans demander son reste, le jeune homme obtempéra, tandis que Leona sortait dans le couloir, marchant rapidement. Elle croisa quelques domestiques qui détournèrent précipitamment la tête, et, en quelques minutes, se retrouva dehors.

*Cette fois, j’en ai rien à foutre, je le vire, ce merdeux !*

Leona marcha rapidement vers la tondeuse.

« HEY ! HEY !! »

Elle se planta devant l’homme, et attendit que Daiki, avec son air de débile profond, ne coupe la machine pour lui balancer :

« T’ES VIRÉ, CONNARD ! Tu fous le camp TOUT DE SUITE ! »

Autant dire qu’avec Leona, les entretiens préalables avant licenciement étaient très courts... Surtout quand on l’interrompait alors qu’elle était en pleine séance de punition !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 5 dimanche 16 septembre 2018, 18:59:11

Daiki savait pertinemment que démarrer la tondeuse non loin de la chambre de Leona Morimoto était presque l'équivalent d'une déclaration de guerre, surtout, surtout lorsque cette dernière était occupée. Là, il n'y avait aucun doute quand au fait que cette jeune pute serait furieuse, et qu'elle allait descendre pour venir l'insulter. Le jardinier l'entendait pourtant lui crier dessus depuis sa fenêtre, mais il faisait mine de ne rien entendre.

*Ouais ouais, crie donc salope, viens me voir...*

Putain qu'est-ce qu'il pouvait bander en ce moment même ! Ce n'était pas simplement le fait de savoir qu'il allait probablement pouvoir profiter de faveurs sexuelles de la part de cette salope qui lui donnait une telle trique, mais aussi le fait de la faire chanter, de lui faire fermer son clapet de sale bourgeoise méprisante. Il ne fallu pas longtemps avant que la jeune héritière ne vienne à lui, en se posant juste en face de lui avec son visage déformé par une sérieuse colère. Daiki, bien évidemment, coupa alors la machine.

Oh, bonjour Morimoto Sama...

Il avait même le sourire aux lèvres, ce qui dut sans aucun doute énerver encore plus la jeune femme, qui lui déclara sans détour qu'elle le virait. Comme c'était surprenant tien donc ! Une raison de plus pour que Daiki se voie "obligé" d'utiliser son joker, car il n'avait nullement l'intention de partir de ce job qui, même si il était dur, payait quand même pas mal.

Non...je ne crois pas petite conne.

Ouais, il venait tout juste de l'insulter en face à face, et qu'est-ce que ça lui faisait du bien ! Mais surtout, il profita qu'elle soit estomaquée pendant quelques brefs instants pour sortir son portable de sa poche, et tourner l'écran en direction de la jeune femme. Là, Leona pourrait voir un très beau plan d'elle même en train de sucer son camarade Takeshi, et de gémir de plaisir en le faisant.

Je sais parfaitement ce que tu fais quand tes parents ne sont pas là jeune femme, tu suce la bite de ton camarade qui viens en secret dans le manoir. Je me demande ce que tes parents penseraient de tout ça, si ils avaient sous les yeux que leur fille adorée se comporte comme une pute...

Il se dépécha toutefois de ranger son portable, ne souhaitant pas que quelqu'un d'autre puisse le surprendre en train de le montrer à Leona.

Alors...à combien estimez vous mon silence, Morimoto Sama ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 6 lundi 17 septembre 2018, 00:48:41

Qu-QUOI ?! Leona resta interdite, comme statufiée sur place, quand ce sale clodo alcoolique osa la traiter de... De... Leona n’en croyait pas ses oreilles ! Elle ressemblait alors à un volcan en éruption ! Oh, pour sûr, elle allait se le faire, ce jardinier de malheur ! Elle se débrouillerait pour qu’il soit licencié pour faute grave, sans aucune indemnité, sans rien d’autre qu’un coup de pied au cul, et elle irait même encore plus loin ! Les Morimoto étaient influents, ils avaient des relations partout, elle pourrait obtenir qu’aucune agence d’intérim ne le prenne. Elle allait lui briser la vie, à ce merdeux ! Ce sale connard qui osait l’insulter. Elle ! Leona Morimoto ! Le simple fait qu’il ait la chance de la voir était, en soi, un immense honneur. Cette simple situation devrait le remplir de gratitude et de satisfaction, mais, au lieu de ça, ce sale cloporte la narguait, la tançait, se moquait ouvertement d’elle...

Mais ça, franchement, c’était... Inacceptable ! Elle cherchait encore quoi lui dire quand l’homme lui brandit alors sous le nez son téléphone portable... Où elle était en train de sucer Takeshi.

Les yeux de Leona s’écarquillèrent, et elle se mit à pâlir sur place, son cœur se mettant à bondir dans sa poitrine, rebondissant nerveusement dans sa cage thoracique lorsqu’elle comprit que ce sale rat avait mis des caméras dans sa chambre. Elle ne dit rien, resta silencieuse, tandis que le jardinier, avec une insupportable lueur de satisfaction dans les yeux, lui demanda son avis sur cette photographie. Elle le regarda alors, lèvres entrouvertes pendant quelques secondes.

« Tu... »

Un ricanement nerveux traversa alors ses lèvres. Elle le regarda à nouveau, inspirant profondément, cherchant à conserver son calme, afin que son interlocuteur ne constate pas son désarroi. Évidemment, si jamais ses parents voyaient ça... Leona choisit toutefois de ne pas se démonter, et préféra opter pour le bluff, laissant sa panique se dissimuler derrière sa colère, en l’invectivant de nouveau :

« Mais tu te crois où, là ? Je vais aller porter plainte, connard ! JE VAIS TE FOUTRE EN TAULE, SALE MERDEUX ! Mensonges, diffamation, harcèlement, je vais tout te balancer à la gueule ! Tu te prends pour qui, hein ?! JE VAIS TE POURRIR TA VIE DE MERDE !! »

La priorité était toutefois de récupérer son téléphone portable, et de faire disparaître au plus vite les preuves compromettantes ! Leona commençait à sentir la panique remonter dans son cerveau, en imaginant ce que ses parents diraient si jamais ils apprenaient la nouvelle...

*Non, non, ne pense pas à ça ! Tu ne vas tout de même pas laisser cette sous-merde te faire chanter, hein ?*

Ça NON, hors-de-question ! Leona n’était pas du genre à se laisser faire, et, tout ce qu’elle pouvait espérer, c’est que son coup de bluff allait fonctionner... Car, en réalité, elle était paniquée !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 7 lundi 17 septembre 2018, 12:32:53

Daiki avait un avantage de taille par rapport à Leona, car si cette dernière était prise complètement au dépourvu, le jardinier avait lui eu bien le temps de réfléchir à ce qui allait se passer. Honnêtement, qu'elle se "soumette" immédiatement l'aurait autant surpris que quelque peu déçu, aussi, ce ne fut pas une surprise pour lui quand Leona se rebiffa, et menaça de porter plainte. Mais sous ses airs colérique, il était évident que la jeune femme était en train de flipper, et à juste titre, car elle avait beaucoup à perdre, et c'était la raison pour laquelle son bluff ne prit absolument pas. Le pour et le contre, Daiki avait passé des nuits blanches à le peser, car il savait que ce qu'il faisait, il pouvait le payer très cher.
Toutefois, Daiki ne sembla pas vraiment effrayé par les menaces que proféra Leona Morimoto à son encontre.

Oh mais je t'en prie salope, fait donc, rends donc toi même public ce que tu fais depuis des semaines dans ta chambre.

Et oui, porter plainte c'était bien beau, mais encore fallait-il avoir le motif. Certes, poser des caméras dans sa chambre était en soit un motif suffisant mais...

Ben ouais, tu crois quoi ? Que je vais te laisser faire sans au préalable moi même relâcher toute la merde que j'ai sur toi ? Cela fait des semaines que je te filme jeune fille...des semaines où tu te tape régulièrement cette fiotte qui accepte que tu lui pisse dessus, et que tu suce jusqu'à boire son foutre jusqu'à la dernière goutte. Tu peux peut-être ruiner ma vie connasse, mais si je tombe, je t'entraîne dans ma chute. J'ai fait des dizaines de copies de tes exploits, alors crois moi, je peux tout à fait rendre ça public, et je n'hésiterait pas une seule seconde à te pourrir la vie.

Oh ouais, car outre le regard pervers qu'il lui lançait, on pouvait aussi lire dans les yeux du jardinier une haine sincère à l'encontre de cette salope qui lui avait tant rendu la vie difficile. Honnêtement, même si il avait un problème avec la boisson, Daiki n'était pas un si mauvais bougre, et restait poli avec les autres membres du personnel du manoir. Il supportait même l'air hautain des parents de Leona, qui au moins ne l'insultaient pas directement et publiquement comme leur fille. Si cette dernière avait été moins insupportable, jamais il ne serait venu à l'idée de Daiki de poser ces caméras dans sa chambre, ou même de la faire chanter, il se serait contenté de rester spectateur et de se branler sur ces vidéos qu'il garderait pour lui. Mais là...non, la vengeance était bien trop délicieuse.

Si tes parents tombent là dessus, tu sera déshéritée et virée de ce manoir à grands coups de pied au cul, voilà la vérité. Tu devra alors vivre comme les "cloportes" que tu méprise tant. Fini les écoles de luxe, les bagnoles, les fringues, tu finira caissière dans un supermarché, ou peut-être même que tu fera la pute au quartier de la Toussaint. T'a beaucoup, beaucoup plus à perdre que moi, et qui sait, peut-être même que tes parents seraient capables de me payer pour que je garde le secret ?

Daiki n'allait pas se laisser déstabiliser, oh que non, cette fois il tenait le destin de cette exécrable pute entre ses mains. Et bordel, qu'est-ce que c'était grisant !

Je te laisse donc le choix Leona, je vais aller ranger mon matos et rejoindre ma cabine. Tu as dix minutes pour m'y rejoindre et être une gentille fille, sinon, considère que passé ce délai, j'enverrais toutes les vidéos à tes parents. A tout à l'heure...

Il s'éloigna alors, non sans donner un clin d'oeil amusé à la jeune femme, le tout en marchant d'une démarche un peu bancale, car il bandait fortement dans son pantalon. Il rangea alors la tondeuse dans le hangar, puis se dirigea vers sa petite cabane qui lui servait d'habitat sur le terrain du manoir. En attendant la jeune femme, il se sortit une bière de son frigo, et retira son T-shirt.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 8 lundi 17 septembre 2018, 13:38:19

Elle apprit que son dossier s’alourdissait. Ce sale rat la filmait depuis plusieurs semaines !

*Bordel, il doit avoir toutes les données de moi avec l’autre fiotte !*

Qu’est-ce qui avait bien pu lui prendre de ramener Takeshi chez elle ?! Mais elle ne pouvait plus lutter. Ce maudit jardinier était plus malin que le blaireau de base standard, et ne se laissa pas démonter par les menaces de Leona. Certes, il pouvait couler, mais elle coulerait aussi. Ses parents étoufferaient le scandale, mais risquaient fortement de lui en vouloir. Finir à la rue était improbable, mais elle savait très bien qu’ils l’enverraient dans une maison de redressement, dans l’un de ces affreux couvents, tout en se débrouillant ensuite pour la déshériter autant que possible.

Autrement dit, Leona allait devoir négocier, car elle avait tout simplement plus à perdre dans cette histoire que Daiki. Elle resta donc silencieuse quand il partit, le fusillant du regard, et brandit tout de même un doigt d’honneur bien senti vers lui. La jeune fille retourna ensuite dans le manoir, où elle s’enferma dans un petit salon, et réfléchit pensivement aux suites à donner.

*Il veut du fric, c’est évident... Et moi, j’ai besoin de temps pour me débarrasser de lui.*

Les Morimoto n’étaient pas une famille parfaitement exemplaire. Leona savait que ses parents n’hésitaient pas à faire appel à des détectives privés très spéciaux pour s’occuper d’enquiquineurs. Toute la difficulté, c’est que Leona allait devoir agir sans que ses parents ne le sachent... Ou en inventant un faux motif. Mais il faudrait s’assurer que les nettoyeurs ne récupèrent pas les éléments compromettants. Leona comprit ainsi assez rapidement que se démêler de cette situation n’allait pas être si facile, d’autant qu’elle était paniquée.

Finalement, le délai se termina, et elle s’approcha de la cabane du jardinier. C’était une dépendance située à l’extérieur, avec un établi abritant tout le matériel de jardinage. La tondeuse motorisée était là, à côté de la cabane, et elle toqua à la porte. Et, quand Daiki fut face à elle, Leona lui parla rapidement, sans faux-détours et sans faux-semblants :

« Bon... Combien tu demandes pour ton silence ? »

Devoir négocier avec elle... Rien que ça était une humiliation ! Mais elle devrait se débrouiller pour lui filer suffisamment d’argent afin qu’il se taise. Ensuite, le jour où elle sera indépendante de ses parents, elle pourrait enfin lui briser les genoux !

Pour l’heure, elle allait donc devoir souffrir en silence...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 9 lundi 01 octobre 2018, 12:00:07

Est-ce qu'elle serait suffisamment conne et obtue pour refuser de céder à son chantage ? Honnêtement, Daiki envisageait cette éventualité, vu à quel point Leona était habituée à avoir tout sous contrôle, le fait de se retrouver pour la première fois à la merci de quelqu'un pouvait probablement lui faire faire des conneries. Mais d'un autre côté...oserait-elle le faire ? Daiki avait été clair quand au fait qu'il n'hésiterait pas à tout balancer à ses parents, preuves à l'appui, et ça n'avait pas été des menaces en l'air, même si la perspective de le faire l'effrayait quand même. Il avait passé un point de non-retour, il en était conscient, mais cette petite salope lui avait tellement mené la vie dure que la perspective de se venger, quelle que puisse être la décision qu'elle prenne, était plus tentante que tout.
Après avoir rangé la tondeuse, et être entré dans sa petite cabane qui lui servait de lieu de vie, il s'était pris une bière avant de se poser sur le rebord de son lit, regardant en permanence l'heure avancer. Autant dire que lorsque la porte s'ouvrit, avec Leona, et que cette dernière lui demanda sans détour combien il demandait pour son silence...et bien Daiki sentit une vague de soulagement le traverser. L'étape la plus difficile n'était pas forcément encore passée,mais ça confirmait que Leona était prête à faire beaucoup, beaucoup pour que ces vidéos ne parviennent jamais à ses parents. Il se redressa alors, tenant toujours sa canette de bière dans une mains, et dont il prit une rasade avant de roter sans même chercher à se retenir.

Du fric ? Je m'en fous de ton fric ma jolie, c'est pas ça que je veux...

Mais c'était aussi dangereux ça. Du fric ? Que pouvait-il de toutes façons en faire ? Pour conserver les apparences, il ne pourrait de toutes façons pas foutre de grandes quantités à sa banque, ou trop dépenser, car ça pouvait attirer les soupçons sur lui.

Nan nan nan, j'ai autre chose en tête, et de bien moins risqué pour nous deux qu'une grosse mallette de billets. Des semaines, des semaines que je te vois sucer cette petite frappe. Tu sais combien de fois je me suis branlé en te voyant ainsi, à genoux, en train de lui pomper la bite et d'avaler son sperme ? Tu va me faire la même chose, tout simplement.

Oh que oui, tout l'or du monde ne vaudrait rien, aux yeux de Daiki, en comparaison du fait de se faire sucer par cette petite salope prétentieuse, arrogante, insupportable !

Tu va commencer par fermer la porte, et tu va te foutre à poil...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 10 lundi 01 octobre 2018, 13:15:20

L’argent ne serait jamais un souci pour Leona. Elle ne savait pas quoi faire de tout son argent. Les Morimoto étaient une famille très riche, et Leona était donc prête à payer à ce sale saoulard un pot-de-vin, en espérant qu’il s’étouffe avec toutes ses bouteilles de saké. Elle se tenait face à lui, et Daiki ne tarda pas à la surprendre en rejetant clairement l’idée d’avoir de l’argent. Leona écarquilla les yeux à cette idée, mais la surprise était encore de taille... Quand le jardinier proposa de... De...

*QUOI ?!*

Leona sentit son sang-froid la quitter, tandis qu’une onde glaciale traversa son corps. Était-il sérieux ? Leona n’arrivait pas à y croire. Abasourdie, elle l’observa sans rien dire, jusqu’à ce qu’il lui demande de fermer la porte et de se « foutre à poil ». La jeune femme continua à l’observer, incrédule, n’arrivant à croire que ce sale pervers puisse vouloir faire d’elle... Ça. La jeune femme continua donc à le regarder, et les secondes passèrent, avant qu’elle ne commence à reprendre ses esprits.

Elle ferma effectivement la porte, car elle ne voulait surtout pas que d’autres domestiques les surprennent, puis le regarda encore, fronçant les sourcils. Elle le fusillait littéralement du regard.

« Tu dois sûrement plaisanter, là, non ? Un type vieux et moche comme toi, avec ton affreuse barbichette, ton haleine qui pue de vieux saoulard clodo... Je refuse que tu me touches. Le simple fait de me regarder est déjà un exploit en soi ! »

Chassez le naturel... Leona refusait catégoriquement cette idée, qui la révulsait totalement. Elle revint donc à son idée initiale en s’exclamant sur un ton sec :

« Je vais te filer ton putain de fric, et tu iras t’étouffer à un bar avec en te tapant toutes les putes que tu veux. »

Autant dire qu’il allait falloir la convaincre un peu pour s’adonner à ce genre de séance odieuse et insoutenable...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 11 lundi 01 octobre 2018, 18:59:19

Dans un sens, Daiki s'était attendu à ce que la jeune femme s'oppose à ce deal...mais la façon dont elle le fit n'était clairement pas la plus intelligente, car le jardinier était sur une corde raide, stressé, et donc très facilement prompt à s'énerver. D'ordinaire, il parvenait à ravaler sa fierté, et à encaisser les insultes et les brimades que Leona Morimoto ne manquait jamais de lui lancer, mais là...là ce fût la fois de trop, et la goutte qui fit déborder le vase.
Sans un mot, Daiki arma son bras où il tenait sa bouteille de bière maintenant vide...et la lança en direction de la jeune femme. Il n'avait décidé qu'au tout dernier instant, juste avant de lâcher la bouteille, de ne finalement pas viser directement Leona, mais juste dans sa direction approximative. De fait, la bouteille s'éclata en des centaines de morceaux contre l'un des murs, mais clairement, il en avait fallu peu pour que Leona ne se la prenne en pleine tête. Et c'est alors que Daiki, profitant  de l'état de choc dans lequel la jeune femme devait se trouver, se saisit d'un couteau de cuisine. Il s'élança alors à l'encontre de la jeune femme, qu'il prit par les cheveux de sa main libre pour la plaquer contre le mur en bois, juste avant de glisser la lame aiguisée de son couteau contre sa belle gorge.

Si tu fais mine d'hurler, je t'égorge, c'est clair ça ?

Oh bordel de merde...Daiki avait le coeur qui battait la chamade. Là, ça allait clairement plus loin que ce qu'il aurait pensé initialement...mais cette sale pute venait de le faire sortir de ses gonds. Des mois et des mois qu'il était obligé de supporter sans broncher les insultes, humiliations quotidiennes, c'en était au point où Daiki haïssait réellement Leona, mais potentiellement au point où il pouvait parfois hésiter à aller chercher du matériel de jardinage pour refaire la gueule de cette jeune salope. A bout, il était à bout, et clairement il avait l'expression d'un tueur avec son rictus déformant son visage, et sa respiration lourde et saccadée.

Des mois que je prends sans broncher tes insultes...mais là j'en peux plus. Tu comprends ça salope ? J'en ai plus qu'assez d'avoir à te supporter, toi et ton air de sale gamine de riche qui se crois supérieure à tout le monde ! Et là ? Ton fric il va te sauver peut-être ? Ils sont où papa et maman hein ? Nulle part connasse ! Y'a que toi, moi, et mon putain de couteau, et je me demande si je vais pas juste t'égorger comme une truie, et te laisser te vider de ton sang ! Tu pige ça salope ? Hein ? TU PIGE CE QUE JE TE DIS SALE PUTE ?!?!

Il avait un air de fou, clairement sur le point de faire una cte irréparable, alors qu'il pressait fermement la lame de son couteau contre la gorge de Leona. Il n'avait qu'à mettre un peu plus de pression, et faire glisser la lame, ce serait si facile...mais Daiki n'avait au fond pas envie de la tuer. C'était une sale pute, mais il n'était au fond pas un meurtrier. Mais Leona, elle, le savait-elle seulement ? Daiki en tout cas se pressait de tout son poids contre le corps de la jeune femme, qui ne pourrait faire autrement que de sentir la belle bosse déformant le pantalon du jardinier.

Va falloir te mettre ça dans le crâne et maintenant...ton numéro de sale gamine, c'est terminé avec moi. T'a pas idée de ce que je serais capable de te faire quand je sors de mes gonds. Je pourrais t'égorger, ou peut-être glisser ce couteau dans ta bouche, et te couper ta langue de vipère ? Ou tout simplement...ouais...je pourrais juste me contenter de diffuser tes vidéos pas qu'à tes parents, mais à tout internet ! T'en dirais quoi hein, d'être la star du porno mondial ?

Si il y avait un point positif à sortir de ça, c'était que l'excitation sexuelle de Daiki commençait à reprendre le pas sur ses autres pulsions, et il alla d'ailleurs donner un long coup de langue sur la joue de Leona, faisant fi de ses éventuelles protestations, lui faisant alors goûter à cette haleine alcoolisée qu'elle "adorait" tant. Pendant ce temps, l'homme frottait son érection grandissante contre le ventre de la jeune femme...

Allez...tu sais ce qu'il te reste à faire pour que tout se passe bien pour toi, et que ton secret reste un secret. Fous toi à poil, et ne me force pas à encore me répéter, sinon je vais très mal le prendre...

Il se décolla alors d'elle, tenant toujours son couteau dans la main.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Luxe & Luxure [PV]

Réponse 12 lundi 01 octobre 2018, 22:21:43

Ce jardinier avait trouvé un os à ronger, et elle devait maintenant faire attention )à ce que ce vieux poivrot ne lui dévore pas tout le bras. Mais ça, sérieusement... Coucher avec lui ! Ce type devait être cinglé ! Comment croire qu’une femme comme Leona pourrait un jour s’abaisser à... À ce genre de pratiques avec lui ? Il était sale, puant, moche, avait une tête qui ne ressemblait à rien, et passait son temps à picoler ! En plus, il était sournois, fourbe, avait mis des caméras dans sa chambre... Et il voulait qu’elle se le tape ? Ça, jamais, jamais, JAMAIS !

Et, pile au moment où Leona pensait cela, elle hurla en voyant une bouteille voler vers elle. Celle-ci se fracassa violemment contre la porte, manquant de quelques centimètres son visage, des bris de verre tombant sur son épaule.

« MAIS T’ES CINGLÉ, ESPÈCE DE... ! »

La jeune femme ne put achever, car, au même moment, Daiki bondit vers elle, sortant un couteau à cran d’arrêt, et la plaqua contre la gorge. En sentant le contact froid de la lame, Leona écarquilla les yeux. L’haleine de l’homme lui remonta à la figure, ce qui était d’autant plus notable que Leona vivait dans un environnement très aseptisé, très parfumé. Son haleine lui ressortait donc à la figure, mais, ce qu’elle nota surtout, c’est que...

*Ce type est totalement cramé !!*

Il se mit à lui hurler dessus, la menaçant, menaçant de la tuer, ce qui était totalement absurde. Même avec ce qu’elle avait fait, Leona savait que ses parents l’adoraient. Si Daiki s’amusait à la menacer, ou même à la violenter, ils le verraient, et Leona n’aurait alors aucune difficulté à retourner la situation, à dire que cette vidéo était un trucage, et que Daiki était une sale fouine qui la harcelait. Elle faisait ensuite confiance à ses parents pour envoyer ce cinglé en prison, même si cela impliquait qu’elle ne pouvait plus sucer son petit chien. En attendant, elle était effectivement la proie de ce sale con machiste, et... Surtout bien incapable de raisonner calmement. Malgré son insolence, Leona n’en restait pas moins une jeune fille, fragile, une adolescente dans la fleur de l’âge, qui se mit effectivement à craindre que l’homme ne la tue.

Vaguement, elle prit conscience qu’il bandait, mais elle n’osait pas parler, et à peine respirer, sentant encore le tranchant de la lame. C’était une lente et froide pression, qui la faisait trembler, jusqu’à ce qu’il retire enfin sa lame. Là, Leona s’autorisa enfin à respirer, et resta silencieuse, observant l’homme lentement.

*Toi, d’une manière ou d’une autre, je te tuerai, se promit-elle. Peut-être pas demain, peut-être même pas dans un mois, mais je te tuerai, et je prendrais mon temps, crois-moi bien.*

Arrogante, Leona pouvait aussi se montrer très cruelle, et elle était très rancunière. Il lui avait parfois fallu attendre des années pour se venger de telle ou telle domestique, mais, d’une manière ou d’une autre, Leona obtenait toujours ce qu’elle voulait. Daiki avait clairement l’avantage, non seulement par sa stature, mais aussi par le fait qu’il détenait un as dans sa manche. Elle allait donc devoir ruser. Elle le regarda silencieusement... Puis déboutonna son chemisier, sans un mot. Un silence pesant, tandis que les boutons sautaient les uns après les autres, puis la femme jeta son chemisier au sol, ainsi que sa cravate, et finit torse nue, exhibant un soutien-gorge blanc abritant une lourde et moelleuse poitrine.

La respiration lourde, elle retira encore sa minijupe, puis, dans la foulée, retira ses sous-vêtements. Elle agissait méthodiquement, sans donner la moindre sensualité dans ses gestes. Parfaitement épilée, elle se positionna ensuite devant lui, jambes écartées, mains écartées, le laissant profiter, mémorisant chaque seconde de son visage de psychopathe ravi.

*Profite-en bien, car je te castrerai, salaud. Je te broierai tes couilles et je te les ferai bouffer.*

Elle attendit ensuite qu’il lui donne ses instructions, lèvres serrées, une colère glaciale dominant tout son être...


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