Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

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SoeurAlix

Humain(e)

Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

samedi 30 juin 2018, 08:46:02

Ce dimanche matin, messe, non pas à la chapelle du couvent, mais à l'Eglise Saint Martin, surprenante autorisation de construire un tel édifice dans ce pays, autorisation spécifique du fait de la présence de nombreuses confréries chrétiennes. Il semble que cela soit lié à l'histoire de Seikusu qui, pendant des années, aurait été lieu de repli méditatif pour nombre de croyants.

Mais, pour moi, c'est aussi l'occasion de sortir de cette prison qu'est le couvent, en plein jour et de manière officielle. Il faut que je voie le prêtre en aparté, que je lui explique que je suis retenue contre ma volonté, qu'il doit organiser mon retour en France, que je suis majeure et qu'on n'a pas le droit de me faire ça. C'est quand même fou que personne ne puisse m'aider.

Les rues qui nous mènent au saint lieu sont parfois très petites, et font écho au silence obligatoire de notre petite troupe, juste brisé par nos moches chaussures basses qui martèlent le sol. Pire qu'à l'armée ! Qu'ai-je fait pour mériter ça ? Moi, je veux juste vivre, m'éclater, découvrir. Et j'espère que je ne suis pas la seule à penser ainsi, dans ce troupeau de brebis soumises.

En fait d'église, c'est un bâtiment très anodin, dont l'entrée donne sur le parc mais du côté opposé au couvent, et avec un truc discret qui fait office de clocher. Il ne doit pas carillonner souvent, celui-là ! Nous entrons silencieuses, répartition disciplinée sur les bancs de bois. Ça fait mal au cul, ces trucs ! Pourtant, j'ai mis une jolie culotte de soie, l'une des rares sauvées du massacre de ma garde-robe ; ce sera utile, s'il faut argumenter auprès du curé.
Justement, il arrive, et... ben, c'est la désillusion. Vieux à ne pas avoir d'âge ! Il doit être incapable de faire quoi que ce soit pour m'aider, et je ne suis même pas sure que la vue de ma petite culotte lui fera le moindre effet. En plus, il est triste à mourir, ses chants sont nuls, l'ambiance est sinistre. Je ne sais pas si la foi apporte de la joie, mais, là, c'est raté.

Pour me remonter le moral, je repense à Léa, même si c'est fini. Un jour, dans une petite église de Limoges, où nous nous étions abritées de la pluie, elle m'avait entraînée dans le confessionnal et avait ordonné que je lui fasse un cunnilingus. Sur l'instant, ça m'avait choquée, mais c'était un ordre, et je risquais bien pire à refuser. Alors, je m'étais appliquée, je lui avais bouffé la chatte comme jamais, j'avais mis son petit abricot dans un état incroyable, je m'étais délectée de son nectar, et j'ai gagné lorsque je l'ai vue mordre le rideau pour ne pas troubler le silence ambiant par sa jouissance. Pour me remercier, elle m'a troussée sur le premier banc venu, et mes fesses ont rosi de ses claques répétées, résonnant comme autant de délices dans l'édifice.

Rien que d'y repenser, ça me met dans un de ces états d'excitation. Il faut vraiment que je trouve de quoi me soulager. Pas avec celle qui est à côté sur le banc, c'est une grenouille de bénitier 100% pur jus constipé. Pas un joli mec dans l'assistance non plus. Bon allez, le prêtre, vieux et moche, si c'est tout ce que j'ai à me mettre sous la langue. Pourtant, j'accepterais tout autre chose, tiens même une vieille rombière, ou la gothique qu'il m'a semblé apercevoir tout à l'heure. En fait, celle-là, c'est sa tenue noire qui a attiré mon regard, et surtout ses yeux, perçants comme jamais je n'ai vu. En fait, c'est comme si elle avait ainsi traversé mon stupide habit de nonne.

A ainsi laisser mes pensées divaguer, je n'ai pas vu le temps passer ; ça rendait presque la messe supportable. La Mère sup a annoncé la fin de la récré, sortie sans désordre, rassemblement sur le parvis. Je laisse se mettre en rang les ouailles obéissantes. Dernière de la file, au moment de sortir, je me glisse derrière une statue, j'espère que c'est un saint protecteur. La vieille peau n'a pas compté les rangs, et j'entends « en route, mesdemoiselles, le labeur dominical nous attend ».

Ouais, c'est ça, allez prier, allez biner, allez méditer, moi je vais aussi aller le faire, mais à ma manière. En attendant que cette troupe soit hors de vue, et que je puisse sortir, je vais faire un tour dans l'église. Si je croise le curé, je négocierai peut-être une pipe contre de l'entraide ; mais je n'y crois pas trop. Alors, je vais me fier au destin, et voie ce qu'il m'apporte...

Leona

Humain(e)

Re : Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

Réponse 1 dimanche 01 juillet 2018, 16:20:36

Une nouvelle cigarette s'écrase cruellement sous l'une de mes bottes à talons, presque vulgaires. Assez longues pour l'être un peu plus que des bottes classiques mais pas assez pour franchir la limite de cuissardes. Ce look provoquant était suivit d'une paire de collant tout aussi sombre que mon maquillage et que ma jupe, courte à en dévoiler ma culotte blanche d'un penchement de crâne. Le haut n'est autre qu'un corset gothique noué de divers lacets, que je prenais un malin plaisir à serrer plus que de coutume au passage. Non pas pour me couper à demi la respiration déjà difficile par cette chaleur, mais être sure que ma poitrine en ressorte généreusement. Cette satisfaction d'être belle et provocante se définissait bien dans ce sourire d'un rouge démoniaque, c'était le rouge à lèvre parfait pour s'accoupler aux notes sombres de mes vêtements et cils assombrit.

Pourtant, cette façade provocante n'est qu'une pièce du grand puzzle que je préparais aujourd'hui. J'avais une idée bien plus abjecte en tête, bien plus provocante et osée ! Une idée qui tenait dans la hanse du sac que je tenais d'une main, gantée d'une belle mitaines en cuir. A l'intérieur de celui-ci, une tenue de nonne. Loin de celle des petite fille sages et proches de dieu, à l'abricot encore sec et préservé de toute perversité du démon. Je l'avais acheté sur internet, pour un prix pas donner. Le latex, ça coute cher après tout, et c'était bien dans cette matière moulante vouée aux fétichismes les plus tabous que j'avais acheté cette imitation. Sauf que... je comptais l'utiliser en publique moi ! Me fondre dans l'église, voir combien de temps je prendrais avant de me faire repérer, avant qu'une petite pucelle de bonne soeur ne crie au scandale et n'alerte tous les saints de l'église. Juste un délire sans conséquence quoi ! Bon, ok... sur le tableau de chasses de mes conneries, j'avais aussi l'intention de faire jouir une ou deux nonne, de les faire se sentir honteuses et impures si j'en, avait le temps... mais c'était si drôle de s'imaginer une sainte, si prude, si pure... se faire masturber par mes gants en latex jusqu'à jouir dessus. l'autre main, scellant ses cris... Oui, ça avait quelque chose de très excitant ...

Oh mais tiens voila la cargaison... Mon dieu, la moitié ont des cernes abominables.... Ca leur ferait pas de mal de se décoincer un peu... Oh, et celle là en fin de rang, encore pire... Je suis sure qu'elle ne sait même pas à quoi ressemble un phallus vu sa gueule...

Celle qui se retourne par contre... A quel chose de spécial. Elle semble m'avoir vu là ou personne ne détourne le regard sur l'hérétique de dieu que je suis. La gothique,l'adolescente rongée par Satan, voilà ce que ces idiotes doivent penser. Mais ce n'est pas ce que je vois dans le regard lumineux de cette bonne soeur. Elle doit avoir un age qui se rapproche du mien qui plus est, alors... j'ai choisit ma cible !

Attendant que tout le monde rentre, je me met dans un coin bien à l'abri des regards pour me retrouver nue. J'enfile la tenue classique de nonne ressemblant fortement à celle de la jeune sainte m'ayant remarquée. Sauf que le petit col blanc lui aussi en latex offre mes épaules et le haut de mon buste dénudés, si on le retire. La robe est aussi plus courte, finissant en jupe qui laisse transparaitre visiblement mes cuisses, et mes longues bottes à haut talon. Plus que les longs gants sur les bras, que la petite coiffe de Nonne encadrant ma chevelure longue et noires ainsi que mes deux larges boucles d'oreilles en anneau et je suis prête.

Comme je passe bien après, je ne me fais pas remarquer tout de suite si ce n'est le claquement percutant de mes talons qui résonnent. Je me permet même d'allumer la dernière clope de mon paquet, la portant sensuellement à mes lèvres pour en souffler l'amère fumée. Bien sure, comme le hasard fait bien les choses, la nonne que je convoitais s'était elle même écartée du groupe et je peux la prendre à part, contre un pilier de l'église. Nous sommes seules, je la toise avec froideur de mon regard bleu profond, en lui soufflant copieusement la fumée de ma cigarette en plein visage.

Ben alors on s'écarte du groupe ? C'est mal vu de se soustraire à son devoir... surtout dans la maison du seigneur. Il va falloir te purifier.

Un petit sourire moqueur dessine mes lèvres rouges, comme pour désigner à quel point je m'en fichais de cette église, tandis qu'une de mes mains gantée caresse presque affectueusement son visage.

Mais dieu n'est-il pas amour ? Je dois me montrer clémente envers les pécheresses. Je me colle bien à elle, ma poitrine se blottissant dans celle de la nonne, sans pudeur. Et puis de toute façon je cherche juste ou sont les anciennes geôles de l'église... tu connais le chemin toi ?

Il y avait un tas d'histoires au sujet de cette vielle église, ou les rituels de purification étaient autrefois beaucoup plus... sectaires ! Rien que par curiosité, je voulais au moins voir ça. Et aussi, me balader dans l'église avec cette tenue avec l'excitant risque de me faire démasquer...

SoeurAlix

Humain(e)

Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

Réponse 2 dimanche 01 juillet 2018, 22:07:09

Bon, ça y est, première étape accomplie. Je suis seule ici ! Mais, pas de chance, le curé semble avoir disparu, puisque aucune lumière ne filtre sous la porte de la sacristie. Où il s'est volatilisé vu son grand âge, ou il est planqué à m'espionner pour me trahir. Ce n'est pas aujourd'hui que je vais avoir mon billet retour pour Limoges. A tout bien y réfléchir, ce vieux machin ne m'aurait peut-être pas été très utile. Tout à l'heure, c'était déjà sinistre ici. Mais, maintenant qu'il n'y a plus personne, tout résonne, tout fait écho, je suis seule.

Une sensation qui disparaît lorsque je prends un épais nuage de fumée dans le visage, toussant à qui mieux mieux. J'en ferme les yeux, essayant de faire couler quelques larmes salvatrices, car ça me pique là aussi.
« Ben alors on s'écarte du groupe ? (...) Il va falloir te purifier. »
Soeur Madeleine, l'adjointe de la Mère sup ! Elle m'a piégée, elle m'a découverte, elle va le dire. Et un seul mot, dans sa bouche, retient toute mon attention et toute ma peur : « purifier ». Ca fait peu de temps que je suis là, mais j'ai déjà vu les yeux d'une coloc qu'elle avait voulu "purifier" comme elle dit; c'est comme s'il valait mieux voir le diable lui-même. D
ans la fumée, je distingue une silhouette longiligne,et grande, une silhouette sombre, et surtout je ne parviens pas à me détacher de cette voix terriblement glaçante. Je ne suis pas venue ici pour être livrée aux délires de Soeur Madeleine. Il faut que je désamorce la situation!
« Oh non, ne dites rien ; je vous obéirai, comme vous voudrez ! »
J'ai une telle peur de la Mère sup, car je suis sure qu'elle cache un passé très lourd, et je soupçonne tellement Soeur Madeleine d'être une perverse et une tordue, que je suis prête à tout pour éviter les cachots cachés sous le couvent.

Pourtant, quelque chose cloche ! Ça sent le tabac, c'est bizarre ; je croyais que c'était interdit, en plus dans une église. Si Soeur Madeleine croit que je ne vais pas la dénoncer, sous prétexte que j'ai fait une bêtise, elle se trompe. J'ai ma monnaie d'échange, maintenant.
Peu à peu, la fumée s'estompe, et je distingue deux yeux bleus surlignés, et des lèvres d'un rouge étincelant. Ça ne colle pas avec Soeur Madeleine, mais je distingue bel et bien une religieuse dans la fumée persistante. Pourtant, ça ne colle toujours pas ! Elle fume, elle se maquille, et sa bure la moule trop par rapport à ce qu'on m'a appris, sans compter que le truc blanc sur ses épaules est bizarre. C'est quoi, cette confrérie ? Sortir comme ça, ce serait mieux que le sac qui me couvre.
« Oh pardon, mais vous êtes de quelle... »

Même pas le temps de finir ma phrase, qu'elle pose sa main sur moi, une main pas nue, comme gantée. Je me saisis, je me recule, mais pas assez pour empêcher ses seins de venir écraser ma poitrine. Je dois rêver, je dois être mise à l'épreuve, c'est un truc de Dieu ou du Diable, je ne sais pas. Je sens à la fois la pierre glaciale dans mon dos coincé contre le mur, et une chaleur troublante qui irradie mes seins. Non, pas ici, pas ça ! Ça ne se fait pas. J'essaie de me dégager, mais je n'y parviens pas ; elle est plus grande que moi, et, surtout, elle m'impressionne. Oh, pas parce que lui ai dit par erreur que je lui obéirai comme elle voudra, mais parce qu'il émane d'elle une autorité qui ébranle sérieusement ma résistance.

« (...) de toute façon je cherche juste ou sont les anciennes geôles de l'église... tu connais le chemin toi ? »

Des geôles ? Dans une église ? Jamais vu ça, moi. Mais bon, la situation m'échappe, mieux vaut que je lui indique, même si je ne sais rien, et que je prenne de la distance. Il y a en elle quelque chose qui m'attire, et quelque chose qui m'inquiète.
« Euh non, je ne sais pas ; il n'y a pas longtemps que je viens ici. Et puis, des geôles ici, ce serait bizarre, non? »
Je vois à son regard, dont le bleu s'assombrit, que ce n'est pas vraiment la réponse qu'elle attendait. Elle m'inquiète vraiment. Sa main gantée, sur mon visage, ne m'inspire pas confiance. Cette main semble si douce, mais ses yeux trahissent tout autre chose, comme si le bouillonnement de l'Enfer grondait derrière ce bleu.
« Enfin, je sais où est la sacristie, mais je ne me suis pas occupée des autres portes. Je peux vous aider à chercher, si vous voulez. »

La phrase stupide, par excellence ! Je voulais me tirer d'une situation qui me gêne, mais je m'y enfonce davantage. Reste à espérer qu'elle trouve vite ce qu'elle cherche, comme ça je la laisserai à sa visite. Les souterrains qui mènent aux geôles, où il a dû y avoir mille tortures, pas pour moi. Et, rien que de songer à ces victimes dont nul n'entendait les cris, alors qu'ils étaient juste là en pleine ville, ça me glace plus encore.

J'essaie de prendre un peu d'espace, de me dégager de son emprise, mais en vain. Rien qu'avec ses seins, comprimant les miens, c'est comme si elle me gardait plaquée au mur. Mais, plus je sens cette oppression, plus mon entrejambes m'envoie des signaux. Il faut que je me dégage! Mes bras essaient d'appuyer au mur, mais ils n'en font pas décoller mon corps. Pire même, c'est comme si ça accentuait la pression de sa main sur mon visage. D'ailleurs, cette main gantée, ce tissu spécifique, je suis sure que c'est celui que Léa avait mis, la nuit où elle n'a pas cessé de me prendre avec ce beau et long gode ceinture. Du latex! Une religieuse habillée en latex?

Le souvenir de Léa me trouble, mais ce sont surtout les questions qui m'assaillent. Surtout que, en baissant les yeux pour ne pas soutenir son regard, j'aperçois comme une transparence de sa tenue, comme une sorte de jupe, et surtout des bottes, interminables et hautes, avec des talons. Le martèlement que j'avais cru entendre, c'était donc ça. Des talons hauts et pointus, que je confirme bien, malgré le tissu, malgré la pénombre. Ca colle de moins en moins. Je ne sais pas qui elle est, j'apprécie modérément son goût pour les geôles locales, et bien moins encore cette façon qu'elle a de me coincer. Il faut juste que je fasse taire le trouble malsain qui monte en moi. Mais est-ce pour ça que je n'arrive même pas à lui dire d'ôter sa main de mon visage, et de prendre une certaine distance?
« Modifié: lundi 02 juillet 2018, 07:26:30 par SoeurAlix »

Leona

Humain(e)

Re : Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

Réponse 3 mercredi 04 juillet 2018, 12:14:55

Etrange, oui c'est bien le mot, c'est une étrange bonne soeur qui se tient dans le creux de mon gant en latex. Troublée, peut-être même excitée ? Je ne la sent pas réticente malgré son désirs de se défaire... Je ne la sent pas assez sereine pour se défaire toute seule de cette situation qui sera bientôt hors de contrôle pour elle. A t-elle toujours été une nonne ? Est-elle aussi chaste que sa bure pourrait le laisser croire ? Compliqué à dire, ce qui paraissait être une évidence il y a encore quelques secondes devient de plus en plus brouillon. Puis :

Oh ! Mais que !!

Tiens, voila une autre nonne égarée, un peu plus âgée cette fois-ci, peut être la vingtaine ? Elle porte la même bure que cette proie bien pressée contre ma poitrine, mais semble plus plus choquée et expérimentée qu'elle dans le genre : grosse coincée du cul. Ses petites chaussures rudimentaires s'arrêtent net sur le sol et une de ses mains couvre sa bouche ouverte, visiblement offusquée par ma tenue et ce qu'elle peut y voir. Quoi, c'est mes longues cuissardes en latex qui lui fait cette effet ? ma belle poitrine ? Mes épaules dénudées ? Ou de voir deux filles l'une contre l'autre ? Bien, on va lui faire mouiller sa bure, que le liquide sacré se répande entre ses cuisses !

Cette idée de choquer la nonne d'avantage me fait vraiment rire et la main sur le visage de la soeur glisse doucement, jusqu'à saisir un de ses seins avec fougue. Mon regard aussi froid et paralysant que ceux d'une vipère prête à dévorer sa proie plonge dans le visage de ma captive... Lentement, mes pupilles se rapprochent même des siennes avant de lui offrir un baiser des plus... obscène ? J'y mêle directement ma langue à la sienne et la bouge dans tous les sens en massant fermement son seins, exagérant mes gémissements et le sons produit par ma langue gourmandse. La pauvre Nonne est aplatit contre le mur, piégé dans un baiser à en faire bander un curé, et la poitrine pétrit comme une patte à brioche. Autant dire que l'initié qui observe la scène, toujours une main contre sa bouche, en pâlit et lâche un cri en courant dans l'autre sens, balbutiant des conneries biblique... Ben dis donc, y avait pas de quoi courir si vite ! J'avais même pas encore commencer à la doigter avec mes gant en latex... Elle est partie beaucoup trop vite.

Pêcheresse, je vais devoir purifier le démon qui s'est initier en toi. Il faut vitre trouver les geôles et procéder... Dis-je d'une voix douce alors qu'il ne restait de notre baiser qu'un mince filet de salive reliant nos deux langues, qui lui aussi s'étala bien vite pour disparaitre.

Bon et maintenant il allait vite falloir déguerpir et pas trainer. De une parce que l'autre cafteuse allait surement tout rapporter comme un bon toutou à la mère supérieure ! Mais aussi parce que... ben... courir avec des hauts talons dans un lieu aussi raisonnant qu'une église, c'est vraiment pas discret pour échapper à ses poursuivant, si on commençait par être prise en filature. Je pris donc la main de celle que j'avais embrassé de force, souillant sa pureté de nonne et en témoins devant toutes ces status de saint, haut perchés sur les murs. Me suivrait-elle jusqu'au bout ? Je l'ignorait, mais je serrais fort ma main gantée dans la sienne en commençant à courir, cherchant la salle de mes convoitises.

Aide moi et n'essaye pas de t'enfuir, on est dans le même pétrin maintenant que l'autre puritaine t'as vu avec moi.

On devait plus être très loin... les escaliers descendant dans des couloirs plus vieux faisaient presque penser au bon chemin !

SoeurAlix

Humain(e)

Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

Réponse 4 mercredi 04 juillet 2018, 16:39:37

C’est en même temps que mon agresseuse, en fait je ne sais pas si c’est le bon terme, car je ne donne pas l’impression de me débattre très fort, et pas davantage de souffrir de ce corps serré très fort contre le mien, que j’aperçois Sœur Odile de la Croix Sacrée, juste dans l'allée. Oui, ce doit être elle, avec son look de vieille religieuse, alors qu’elle est à peine plus âgée que moi. Qu’est-ce qu’elle fait là ? C’est l’espionne de la Mère sup ; je suis sure qu’elle est venue voir où j’étais. J’espère qu’elle ne m’a pas reconnue, dans la pénombre ; pour une fois, je suis heureuse de n’être pas très grande, qui plus est cachée par une sœur bien plus grande que moi. Elle a vu qu'il se passe quelque chose, c'est sûr, à se demander si elle ne va pas mourir sur place, ce qui serait une bénédiction en un lieu saint. Deux religieuses très proches, c'est un choc, surtout pour elle qui doit avoir la moule vierge!

Je pourrais crier au secours, quand celle qui me taisait la bouche, écarte sa main. Mais là, c’est sûr, Sœur Odile de la Croix Sacrée me reconnaîtra à ma voix, et ne viendra même pas à mon secours. Bigote et lâche, elle n'a que des défauts! Et puis, que cette main s’écarte pour s’emparer d’un sein, quel délice. J’adore ça, elle le malaxe, elle est ferme, elle insiste ; je sens la chair gonfler, et elle doit percevoir mon téton qui se dresse. C’est si bon que j’en ai les yeux mi-clos, que je m’y abandonne, et que ses lèvres surprennent les miennes. Oh putain, ce que c’est bon ! Ca m’a trop manqué ; en plus, elle embrasse divinement, tiens c’est drôle de dire ça ici. Elle me roule un de ces patins, encore plus obscène que ceux de Léa. Léa, qui torturait aussi mes seins comme ça, mais pas avec autant de doigté. Waouh, je viens de trouver ma maîtresse. Elle me fait mal, elle viole ma bouche et elle meurtrit mon sein, mais j’aime ça, j'aime comme ça, et je sens de violentes décharges annoncer que le trouble s’est aussi insinué dans mon entrejambe. C’est si fort que, si elle avait un truc à y faire aller et venir, ça rentrerait tout seul ! Il faut que je retienne le moindre gémissement, même si ma respiration s'est accélérée.

Là, ça ferait tomber en catalepsie Sœur Odile de la Sainte Croix. Heureusement, elle s’enfuit, effrayée ; je suis quasiment sure qu’elle ne m’a pas reconnue, masquée par ma délicieuse tortionnaire. « Pêcheresse, je vais devoir purifier le démon qui s'est initié en toi. Il faut vitre trouver les geôles et procéder... », me murmure-t-elle, avec une voix à faire bander les saints du lieu. J’ai plutôt envie de lui répondre « Oh non, fais plutôt progresser le démon en moi, même dans l’église ! »

, mais je me demande quand même procéder à quoi.
D’ailleurs, je serais presque déçue qu’elle me lâche ainsi. Alors, je serre sa main comme malgré moi, juste un peu pour ne pas être trahie. Impossible de m’enfuir tant elle serre ma main, elle aussi, mais que veux-je vraiment ? C’est comme si elle avait anéanti une partie de ma volonté. Elle m’inquiète, par son audace, par sa tenue, par sa folie, par son irrespect. Une petite voix essaye de me diriger vers la sortie, cette porte où à disparu Sœur Odile de la Croix Sacrée, et par où elle va revenir avec les forces du Bien, me délivrer.

Mais l’étrange nonne m’entraîne, se met même à courir. Je trébuche, manque tomber, me raccroche à elle comme je peux, ne parviens pas à me défaire de sa poigne. « Mais où m’emmenez-vous ? ». Ma voix tremble un peu ; l’emballement de la situation a surpassé mon trouble récent.
« Aide moi et n'essaye pas de t'enfuir, on est dans le même pétrin maintenant que l'autre puritaine t'as vu avec moi. »
Je m’en fous de la puritaine, mais c’est vrai : je ne peux pas exclure que Sœur Odile de la Croix Sacrée ne m’ait pas reconnue. Si ça se trouve, je suis dans la panade ; étrange remake, elle est peut-être allée tout raconter à la Mère sup. Je me serais encore faite attraper avec une femme ! Pourtant, là, j’étais plutôt sage, presque victime. Mais inutile d’espérer plaider ma cause.

Les talons de l’autre martèlent le sol dallé de l’église, et ce rythme effréné s’entrechoque avec le rythme de mon cœur. Je la suis, sans le vouloir, sans le refuser. Je n’avais jamais fait le tour de cette église aussi rapidement. D’ailleurs, je n’avais même pas remarqué ce corridor, juste après la porte de la sacristie, et aussi ces escaliers mal aplanis, à peine éclairés, presque poussiéreux.
Pas le temps d’admirer, elle m’y entraîne ; sa poigne est ferme, autoritaire. J’espère que ce ne sont pas les geôles, pas vraiment envie de visiter ça avec une inconnue. Les escaliers débouchent sur un couloir souterrain étroit, comme éclairé par des puits de lumière, que je n’avais jamais remarqués de l’extérieur.
Elle m'avait demandé si je connaissais les geôles, mais, en fait, elle n'a pas besoin de mon aide pour parcourir ces lieux inquiétants. Je me demande depuis combien de temps nul ne s'y est aventuré, et même si quelqu'un aurait l'idée de me chercher ici, au cas où cette étrange religieuse m'y enfermerait.
« Modifié: mercredi 04 juillet 2018, 22:12:44 par SoeurAlix »

Leona

Humain(e)

Re : Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

Réponse 5 jeudi 05 juillet 2018, 15:57:31

A son interrogation rien de plus qu'un sourire est capable de lui répondre. Ou je l'emmène ? Mais voyons, je le lui avais déjà dit non ? Dans un endroit calme et tordu. D'ailleurs elle en se débattait pas beaucoup pour une religieuse après ce que je lui avait fait, elle n'appelait même pas à l'aide, comme si la situation lui convenait pas si mal après tout... Peut-être était-ce le cas ? Si seulement j'avais pu mettre mes doigts sous sa culotte tout à l'heure, pour vérifier, mais là il était trop tard, il fallait se concentrer sur la fuite. A force de courir d'ailleurs, nous finissions enfin par tomber sur une salle aux éclairages plus rudimentaires, aux clignotements presque effrayants. Je poussais un petit sifflement d'admiration en lâchant doucement la main de ma captive, enfin l'était-elle vraiment après tout ?

T'as vu tout ça la puritaine ? Ton église n'est pas si blanche... Bordel, rien que d'imaginer tout les rituels tordues qui aurait pu y avoir ici, j'en mouillerait ma culotte. Dis-je sur un ton amusé en écrasant enfin le mégot de cigarette sous ma semelle, comme une dominatrice pourrait piétiner sa petite soumise sous le poids de ses mauvaises manigances.

Partout ou je tournais la tête il y avait des instruments de tortures, parfois d'un autre âge. Des tables en bois anciens, rectangulaires sur lesquels des sangles en cuirs subsistaient encore, laissant facilement imaginé les pècheresses qui y étaient fixées lors de rituels de purification. Les diverses cravaches et autres battoirs en cuir me permirent même d'aisément visualiser la scène comme si elle se tenait devant moi. Quel endroit délicieusement malsain... Et encore là ce n'était qu'une des nombreuses reliques de l'église, partout, sur tout les murs, des chaines, des accessoires d'entraves... Mais la soeur elle, ne semblait pas très à l'aise ici. Je décidais donc de remettre mon observation à plus tard, de laisser mes fantasmes de côté, et de briser le silence, en parlant toutefois à voix basse pour ne pas faire raisonner mes mots et trahir notre présence.

T'as l'air différentes des autres coincés, pourquoi t'as décidé d'une vie aussi ennuyeuse ?

Non franchement, je ne comprenais pas ce choix de vie alors qu'ont pouvait gouter à tant de délices. Notre baisers échangés plus tôt par exemple, d'une intensité et d'un délice à n'en pas douter. Je suis sure qu'elle était vraiment belle sous cette foutue robe de nonne d'ailleurs, ce n'était pas pour la mettre en valeur. Comme pour m'en persuader moi même, je passe de nouveau ma main gantée et froide sur son visage, avant de la glisser lentement vers cette espèce de coiffe ridicule dont je ne connaissais même pas le nom, tant mes rapports avec l'église et les saints étaient creux. Je la lui retire et je ne suis pas déçue du détour, c'est une ravissante chevelure or qui apparait à mes prunelles bleu et froide de toute émotions. En réalité même si je ne le montre pas, je suis admirative d'une telle beauté, il était si dommage de gâcher un visage comme le siens derrière cette chose. Et il devait en être pareil pour son corps, car sa poitrine était quand même loin d'être plate, ma main en témoignait encore en ressentant la douceur dans son creux, même plusieurs minutes après.

L'église c'est franchement emmerdant, tu veux pas aller t'amuser ailleurs plutôt ? Y a toujours des petits passages secrets avec des vieux tunnel, dans ce genre de truc délabrés. Si on s'y met à deux on trouveras vite et on pourras facilement faire le mur.

A moins qu'elle préférait rester ici ? Je lui proposait ça comme un ultime test car après tout, il n'était pas exclus que je l'avais mal jugée à cause de son appartenance à l'église. Son cas n'était peut-être pas perdu... qui sait !

Même si l'envie de m'occuper de son cas ici sans plus attendre était une délicieuse idée avec tout ces instruments à dispositions, et qu'il s'agissait de mon idée de départ : à savoir m'occuper de rendre une nonne la plus impur possible, en la faisant jouir toute la cyprine de son corps jusqu'au dernier petit centilitre ! La nouvelle hypothèse qui s'ouvrait paraissait tout aussi amusante : S'échapper de ce couvant, lui arracher ces stupides vêtements pour lui refaire une vraie garde de robe, puis faire assez d'obscénités ensemble pour lui promettre l'enfer éternel selon ses préceptes... Je lui laissait le choix, comme je ne savais me décider seule.

SoeurAlix

Humain(e)

Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

Réponse 6 jeudi 05 juillet 2018, 23:20:25

Quand la course folle s'arrête, j'écarquille les yeux. C'est quoi ce lieu ? Ca existe vraiment ? Il ne fait pas très clair, mais assez pour voir ce que je n'aurais jamais imaginé. Je reste bouche bée, je ne bouge pas, j'écarquille les yeux, et ça amuse mon accompagnatrice :
"T'as vu tout ça la puritaine ? Ton église n'est pas si blanche... Bordel, rien que d'imaginer tout les rituels tordues qui aurait pu y avoir ici, j'en mouillerait ma culotte. »
Sa culotte ? Hum j'aimerais bien voir ça. Déjà, je ne suis même pas sure qu'elle en ait une, vu l'étrange tenue de religieuse qu'elle porte.

Je ne sais pas où donner de la tête, et, quand je jette un œil à l'autre, je vois son visage rayonner. Oui, il n'y a pas d'autre terme ; elle adore, et ça se voit. Je dirai même qu'il y a une forme de lubricité qui se dessine sur son visage, une forme de perversité qui se lit dans ses yeux. C'est étrange comme, parfois, elle me rappelle Léa ; je sais qu'elle aurait été folle de découvrir un tel endroit, et que je me serais déjà retrouvée attachée sur une de ces tables en bois, avec des lanières en cuir bien serrées aux poignets et aux chevilles, et que j'aurais soit déjà pris un coup de battoir sur chaque sein vite dénudé, soit qu'une de ces pinces métalliques m'aurait déjà enserré un téton. Je devrais fuir, mais le souvenir de Léa me hante, et se confond parfois avec la réalité de celle qui m'accompagne.

« T'as l'air différente des autres coincés, pourquoi t'as décidé d'une vie aussi ennuyeuse ?"

Elle vient de me tirer de mon rêve, de mon souvenir, de mon fantasme peut-être aussi.
« Je n'ai rien décidé, on m'a forcé », me contente-je de lui répondre, sèchement, tout en regardant encore ce lieu, qui me fascine de plus en plus, au point qu'une étrange, et presque malsaine, chaleur commence à irradier mon bas-ventre. Je ne pense pas aux cris de celles qui sont passées ici, mais des miens si j'étais avec une personne de confiance.

Comme si elle avait perçu mon trouble, mon accompagnatrice pose sa main sur mon visage, avec une douceur que je ne lui aurais pas imaginé, et je la laisse retirer ma coiffe, sans résistance. Elle est vraiment impossible à cerner, passant de la plus indécente provocation à la plus délicate attention.
Je tourne alors mon visage vers elle : « tu es la première à oser faire ça ». J'espère qu'elle mesure la teneur de mes propos !
« L'église c'est franchement emmerdant, tu veux pas aller t'amuser ailleurs plutôt ? Y a toujours des petits passages secrets avec des vieux tunnel, dans ce genre de truc délabrés. Si on s'y met à deux on trouveras vite et on pourras facilement faire le mur. »

Alors, mes yeux fixant ses beaux yeux bleus, froids mais envoûtants, je commence à défaire les boutons du haut de ma robe de bure, laissant apparaître le début d'un soutien-gorge noir sauvé du massacre.
« Depuis que je t'ai vue, tu n'as pas cessé de provoquer, de me bousculer, de t'imposer. »
Je continue à défaire les boutons, et mon nombril apparaît désormais.
« Mais, au fond, n'es-tu pas qu'une provocatrice, qui fantasme, mais n'assure pas ? »
Je poursuis l'ouverture des boutons, et, désormais, apparaissent ma culotte noire sexy et sauvegardée, ainsi que le haut de mes cuisses.
« Qu'est-ce qui me prouve que tu ne fais pas juste ça pour t'amuser, et que tu t'enfuiras si ça avance trop ? »

J'achève de défaire les derniers boutons au dessous des genoux, ouvrant ma robe de bure par le devant..
« Prouve-moi, maintenant, que tu n'es pas que des mots. Une preuve, juste une preuve, une seule preuve ! »
Et j'enlève ma robe de bure, la laissant tomber à terre, ne gardant que mes dessous noirs, après avoir expédié mes stupides chaussures plates.
« Si tu me convaincs, nous partirons ensemble d'ici; je te suivrai où tu voudras, je ferai ce que tu diras, je franchirai toutes les limites avec toi. »
Je la fixe toujours, les yeux dans les yeux, guettant sa réaction, et ajoutant, provocatrice à mon tour:
"Et je serai alors prête à te suivre même jusqu'en Enfer"
« Modifié: vendredi 06 juillet 2018, 06:37:49 par SoeurAlix »

Leona

Humain(e)

Re : Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

Réponse 7 samedi 07 juillet 2018, 13:37:34

Ben c'est le comble, voilà que je suis sexuellement provoquée par une soeur moi maintenant ! Une bien douce ironie quand on sait qu'à la base, je devais être la prédatrice. Cela ne faisait qu'accentuer mon idée que la nonne était un peu spéciale, surtout lorsqu'elle retira la totalité de sa longue robe cérémoniale devant mes yeux, qui ne rataient rien du spectacle. Ce n'est pas tout les jours que l'ont peut voir une religieuse se dévêtir ainsi, surtout qu'elle est plutôt bien roulée de la poitrine au final. Puis, le noir lui va tellement mieux lorsqu'il s'agit de sous vêtements... Je vais la dévorer toute crue. Mon regard du moins, semblait envoyer ce message bien prometteur.

Tiens, intéressant... Serais-je qu'une vulgaire rêveuse incapable de franchir le pas ?

Mon regarde toujours aussi froid ne laisse transparaitre aucune émotion ni ce que je peux bien avoir en tête et c'est de là que vient tout le danger. Car sous la couverture impassible que réfléchissait mon regard, impossible d'imaginer ce qui allait suivre. Une gifle ? Un rire ? Rien du tout ? Finalement, c'est une de mes mains gantés qui s'écrase fermement contre ses lèvres pour sceller ses mots, en la fixant droit dans les yeux.
Comme tout à l'heure, mon autre main gantée palpe sa poitrine avec insistance, mais cette fois en passant directement sous le soutien-gorge. Je lui torture le sein qui se malaxe et se tort dans tous les sens sous mes droits froid et avides. Ils sont si moelleux, si délicieux... Et ses petits tétons que je triturais entre mes doigts pour essayer de les faire gonfler... Mais bon, elle m'avait provoqué, voulait du concret... alors il lui fallait bien plus que ça !
Comme ma main froide par exemple, qui glissa hors de ses lèvres pour prendre en main son joli cou. Oh non, qu'elle se rassure, je n'allais pas l'étrangler bien que la poigne sévère la désignait clairement comme une bonne soumise m'appartenant ! Pour le moment, je me servais de cette poigne seulement pour la guider contre un des murs, contre lequel une petite table y était posée. Je me saisis alors de la sangle en cuirs en la provoquant d'un regard instaurant le respect, celui qui ne laisse aucun doute sur une intention : laisse toi faire. Elle m'avait provoquée après tout ? A elle d'en subir les conséquence, qui pour le moment se résumaient à une simple sangle en cuir liant ses deux poignets ensemble, rien de bien vilain pour commencer.

Quand tu léchera tes doigts pour y gouter ton propre jus, tu verra si je ne suis qu'une belle parleuse...

Ma main se referme de nouveau implacablement sur ses lèvres alors que celle qui s'occupait de sa poitrine glisse sous sa culotte. Le contact du latex froid contre son sexe féminin doit lui faire un choc au premier abord, bien que je ne lui laisse pas le temps d'en profiter. Aussitôt, toujours sous mon regard implacable, ma main se frotte à plat dans sa culotte, pour la préparer tendrement à ce qui va suivre : un index droit dans sa fente. Caressant d'abord méthodiquement le contours de ses lèvres intimes plusieurs fois, en formant un petit cercle, le doigts de latex glisse avec une facilité si déconcertante que ça en est ridicule. La matière déjà glissante, s'enfonce remarquablement bien avec la cyprine de la none, qui suinte jusque dans le creux de ma main. Ben dis donc, elle est si excitée que ça ? Et dire que j'étais encore gentille pour le moment !

Car une petite seconde plus tard, le rythme devient bien plus frénétique. Mon pouce s'appuie contre le clitoris de la religieuse et le presse, tourbillonnant dessus en taisant toujours de l'autre main tout gémissements. Je sens la chaleur de son souffle chaud s'écraser sur cette main, faisant barrages à son expiration et aux cris qui pourraient alerter de notre présence. Ce n'est pourtant encore que le début... Même sis je me répète cela sans cesse, ce ne sera toujours que le début ! ma marge de perversion sans limite trouvera toujours le moyen d'aller plus loin dans le plaisir, c'est ainsi que je suis , et c'est ainsi qu'elle aura l'occasion de me découvrir lorsque cette mise à l'épreuve sera terminée, et qu'elle laissera la none tremblante dans son propre nectar.

Je vais me montrer douce pour commencer... Mais quand j'en aurais fini, je te conseille de vite t'enfuir... il ne sera pas trop tard pour m'échapper...

A mon tours de la provoquer ! Mais sous ces mots, c'est un deuxième doigts qui rejoint cette pénétration bordée par le latex, et qui augmente le rythme des vas et viens dans sa petite fente. Même si cela aurait surement suffit à la faire jouir à la longue, au vu de son éducation sexuelle rude qui devait clairement la laisser en manque, je comptais bien faire les choses. Ainsi, mon corps se colla au sien contre un aimant, rapprochant encore mon visage mais surtout... mes seins, droit dans les siennes, gigotant de droit à gauches pour s'exciter dans ceux de la belle nonne. Ce contact moelleux était déjà délicieux mais repensant à la provocation il me fallait quelque chose d'autre... une apothéose plus audacieuse... Et quoi de plus tabou dans les moeurs, que ce petit trou entre les deux fesses...

C'est frustrant les mains liées, hein ? Tu ne peux que te laisser faire...

La main qui bâillonnait ses mots la quitte, aussitôt remplacée par mes lèvres pour un nouveau baiser fougueux et langoureux. Cela eu pour effet d'écraser encore plus délicieusement mes seins dans ceux de ma nouvelle soumise, provoquant ua passage le couinement de mon corset en latex. L'autre délice cependant, fut au bout des doigts de cette nouvelle main libre, qui se logea sans cérémonie, d'un index... juste entre ses deux fesses pour stimuler l'entrée de son anus.

Un doigts derrière, sa poitrine écrasée et frottée sous mes ondulation corporelle, ce baiser encore une fois obscène puis... Cette vigoureuse pénétration... il lui faudrait des nerfs d'acier pour ne pas jouir, comme je l'avais promis, dans mon gant en latex. Et je ne la laisserait pas s'y soustraire ni même dire quoi que ce soit, tant qu'elle ne se serait pas écroulée sous le plaisir. Plaisir qui déteignait sur moi comme en témoignait ce filet liquide qui coulait le long de ma longue botte...

SoeurAlix

Humain(e)

Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

Réponse 8 samedi 07 juillet 2018, 18:09:57

Aurais-je fait mouche à ce point, pour que celle qui a décidément une drôle de tenue religieuse, me lance :
« Tiens, intéressant... Serais-je qu'une vulgaire rêveuse incapable de franchir le pas ? »
Je continue à la défier du regard, songeant « on va voir... ».

Je sais que je prends des risques, seule dans un endroit inconnu et peu accessible, avec une inconnue dont le regard n'est pas des plus chaleureux. Mais c'est bien plus excitant que de se promener dans les jardins du Couvent, en récitant des psaumes en latin, que je ne comprends pas, et dont je me fous aussi.
Je guette le moindre de ses mouvements. Je l'ai touchée, c'est sûr. Mais je réalise de plus en plus combien d'instruments, tous plus meurtrissants les uns que les autres, sont à portée de ses mains. Elle me domine aussi par sa taille, et, si elle s'emparait d'une de ces pinces métalliques, je ne donne pas cher de ma survie.

Je n'ai pas le temps de lui lancer le moindre mot, défiant ou prudent, que sa main s'abat, avec une vitesse inouïe, sur ma bouche, clouant mes lèvres dans un silence absolu. Instinctivement, je respire un grand volume d'air, tandis que mes bras battent comme en vain, et que j'offre sans le vouloir ma poitrine à peine voilée.
« Oh putain, cette main », sont les premiers mots qui me viennent, lorsqu'elle passe sans se gêner sous mon soutien-gorge. Mes yeux roulent, ma poitrine se tend comme incontrôlée, j'ai envie de mordre son autre main mais je n'y arrive pas. Elle me fait un bien si fort que je me sens me liquéfier, craignant qu'elle s'en rende compte très vite.
« Oh oui, ne t'arrête pas ! », ma raison s'est effacée devant mon désir. Elle m'écrase presque les seins, elle tire mes tétons sans douceur, mais ça m'excite. Je les sens durcir, j'ai envie qu'elle vire mon soutien-gorge et qu'elle les mette à l'air.

Alors que son autre main libère enfin ma bouche, je lui avoue « oh oui, fais... », mais ma phrase se perd dans ma gorge, tandis que la pression de sa main manque de me faire déglutir, et que je me retrouve dos plaqué au mur froid, certainement pas assez froid pour calmer le feu en moi. Serrée contre le mur, presque étouffant, mes bras battent encore l'air, mais je me retrouve poignets liés par une sangle en cuir.
C'est vrai que j'aurais pu, dans son geste, la bousculer, et m'enfuir. Je ne l'ai pas fait. Je n'en ai même pas eu l'idée. C'est donc que ça me plaît !

« Quand tu lécheras tes doigts pour y goûter ton propre jus, tu verras si je ne suis qu'une belle parleuse... »

J'ai donc vraiment fait mouche, par mes mots, mais elle ne me laisse même pas le temps de fanfaronner. Elle a décidé que je ne parlerai pas !
« Hmmmm... Hmmmmm », ce sont les seuls sons qui parviennent à sortir, quand son doigt toujours ganté me viole. Oui, me viole, c'est le terme ! Elle sait y faire, elle est encore plus douée que Léa, elle a dû réaliser que je suis trempée, ouverte. Je gémis, d'un « Ooohhhhh » étouffé par sa main gantée, tandis que son doigt, après avoir frôlé ma féminité, entre enfin.

« Oui, continue, n'arrête pas ! », mes mots, j'ai envie de lui hurler. Elle va me rendre folle ; heureusement qu'elle bâillonne ma bouche, finalement, car, sinon, mes cris résonneraient dans toute l'église. Mon petit bouton est en fusion, ma taille s'agite, je vais perdre tout contrôle, je veux à la fois qu'elle continue à le titiller, mis aussi qu'elle fasse aller et venir son doigt.

« Je vais me montrer douce pour commencer... Mais quand j'en aurais fini, je te conseille de vite t'enfuir... il ne sera pas trop tard pour m'échapper... »
« Oh, continue comme ça, et je ne m'enfuirai pas », lui répondrais-je si je pouvais parler. Surtout qu'elle me laboure la chatte à deux doigts, désormais, et que je tends ma taille en avant, pour mieux les sentir encore. Elle me baise, oui elle me baise !
Son corps désormais collé au mien,  je sens ses seins, j'ai envie de lui malaxer, lui pétrir, comme elle m'a fait
« C'est frustrant les mains liées, hein ? Tu ne peux que te laisser faire... »
« Ne t'en fais pas, ton tour viendra », pense-je, alors qu'elle me roule un patin dont même Léa amoureuse ne m'a jamais gratifiée.

Je me cambre au maximum pour savourer ses lèvres délicieuses et ses deux doigts qui me liment la chatte, mais j'offre ainsi une dangereuse opportunité, ce que je réalise lorsque son index s'enfonce dans mon cul, sans que je m'y attende vraiment. Je me cambre plus encore, mais c'est pour me coller plus encore à elle, sentir ses doigts plus loin dans ma chatte, sentir son baiser plus prenant encore, sentir ses seins plus oppressants encore.

Je suis en transe, je suis possédée par le Diable, dirait la Mère sup. J'ai une de ces putains d'envies de jouir. Mais ce serait trop rapidement baisser les armes. Dans un difficile sursaut, contre mon envie de jouir elle-même, je me ressaisis.
« Oui, ma chère, un jour, je te dirai que Léa m'a déjà limé la chatte à me rendre folle, et que Maxime m'a déjà défoncé le cul à me laisser épuisée. Alors, sache que, même si tu me crois à bout de souffle, prête à jouir, tu te trompes. Je vais faire durer, je maîtrise, et tu es loin d'avoir fini de me prouver quoi que ce soit. »
J'ai envie de jouir, oh oui j'en ai envie, tant il y a longtemps que ça ne m'est pas arrivé, et surtout avec une partenaire aussi douée, qui, sans me connaître, sait déjà mes points sensibles. Mais je vais faire durer, par défi et par envie.

Et je relève les yeux, pour croiser son regard, sans me démonter. Oh, son regard...
« Modifié: samedi 07 juillet 2018, 19:11:46 par SoeurAlix »

Leona

Humain(e)

Re : Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

Réponse 9 dimanche 08 juillet 2018, 12:26:51

Ben voyons, mademoiselle ne veut pas jouir ? Elle fait la forte tête maintenant ? C'est qu'elle est beaucoup plus joueuse qu'il n'y parait cette petite nonne. Une lueur de satisfaction s'étire sur mes lèvres pendant que je rompt le baiser, mes doigts toujours ancrés mais cette fois immobiles au fond de son intimité. Finalement, j'allais bien m'amuser avec elle, je l'avais sous-estimé... Il était temps de passer à la vitesse supérieure maintenant, qu'elle découvre elle aussi mon vrai visage.
Je commence par libérer son anus, bien travaillé par le doigt qui y avait tournoyé dans ses chaires si secrète et taboues, suivit de près par mes seins qui se décollaient de sa propre poitrine. Avec le latex, de la transpiration s'était accumulée dut à l'intense chaleur et à l'excitation, laissant de belles traces humides sur mon haut en latex. Et c'est donc pour terminer que je me retire de son antre humide, léchant le bout de mes deux doigts avec provocation et envie, maintenant le même regard froid pendant que je suce le nectar sur mon gant.

Tu crois avoir de l'endurance la religieuse ? Passons à quelque chose de plus consistant.

Je ne l'avais pas libérer pour en finir non, à chaque fois qu'ont me provoquait j'allais toujours plus loin, et je comptais bien faire avec ce que j'avais sous la main ici, même si je manquais d'instruments que je connaissais bien.

Maintenant c'est moi qui vais t'empêcher de jouir... Lui dis-je en bombant le torse contre elle, ses mains encore liées par la sangle en cuir, tandis que je la poussais contre une des tables en bois, prévus pour accueillir les pécheresses comme elle.

Immédiatement, d'un doigt, je saisis sa culotte pour la baisser le long de ses cuisses. Celle-ci est trempée, et j'ai alors l'idée d'aller au bout de ce que j'entreprenais, en la lui retirant complètement. Elle ferait un parfais bâillon. Bâillon qui se glissa dans sa bouche, sous forme d'une boule de tissus bien humide, empreint du gout de sa propre cyprine. Comme pour lui mimer que sa culotte était là pour la faire taire, je porte l'index à mes propres lèvres et lui siffle un petit " chuuut ", du bout de la langue.
C'est ensuite au tours de sa poitrine de subir la douce délivrance, puisque je jette son soutien-gorge dans un coin de la pièce comme si rien n'était. Oh oui, cette poitrine nue et douce... aux tétons bien durs que je m'amusais à pincer du bout de mes doigts. Mais, mes cruelles mains de latex avaient un autre projet, je ne pouvais pas m'éterniser ainsi sur sa poitrine, du moins pas de cette manière.
Non loin, sur une autre table, je me saisis d'une cravache, en lèche le bout en cuir, puis l'abat sèchement contre son sexe humide. Si seulement l'église possédait des godes et autres jouets sexuelles, nul doute qu'elle aurait prit plutôt chère. Oui, je l'imaginais à quatre pattes, le cou relié à une laisse dont l'autre extrémité tiendrait dans le creux de ma main. J'aurais pris sans ménagement ses fesses accueillantes pendant des heures...

Mais là il fallait faire avec les moyens du bord, et je continuais de cravacher ses lèvres humides, en éclaboussant la cyprine à chaque coup étalés. Enfin, j'avais bien parlé de mes deux mains cruelles, et la deuxième fit surement quelque chose à laquelle la petite nonne ne pouvait s'attendre. Se plaquant contre ses lèvres, mais cette fois-ci en couvrant bien plus de terrain, j'empêchais cette petite soumise de respirer, en obstruant à la fois son nez et sa bouche bâillonnée par la culotte. Ca ne dura pas bien longtemps, 10 petites secondes pour commencer, avant de reprendre périodiquement.

Ne t'avais-je pas dit de partir ?

Ce fut mes seuls mots avant que ma main ne l'étouffe de nouveau. Mais qu'elle se rassure, c'était pour lui offrir un orgasme comme elle n'en avait jamais connu, et elle le découvrirait petit à petit. Car à chaque fois que ma main se décollait pour la laisser respirer, elle retournait l'étouffer ensuit un peu plus longtemps, augmentant le danger et son supplice. Je comptais lui faire découvrir à quel point on pouvait y prendre son pied, même sans forcément le vouloir au début. Car avec la sensation d'étourderie dut au manque de souffle et le danger, le corps secrétait de l'adrénaline qui augmentait l'excitation et la puissance de l'orgasme. Et plus elle en manquerait, plus l'orgasme pouvait potentiellement être puissant.

Etouffer cette pauvre nonne en cravachant le bout de son intimité cependant n'était pas satisfaisant pour moi, surtout avec cette belle poitrine juste devant le visage, prête à être dévorée comme un buffet à volonté.
Avant de m'inviter à ce festin, je retire ma main qui commence à être chaude et toute humide à cause de son souffle chaud dans lequel elle s'étouffe peu à peu, qui ne trouve aucun voie pour sortir.

Une soumise appartient entièrement à sa dominatrice, tout doit lui appartenir... même son souffle.

C'était surement mes derniers mots avant que ma main ne recommence son petit manège contre ses voix respiratoires, simultanément avec ma langue qui lapait le bout de ses tétons bien durs. Qu'ils étaient excitant, pointant ainsi vers le ciel, bondissant sous ma petite langue, je ne pouvais même plus me concentrer assez pour continuer à cravacher son intimité. Du coups, j'eus l'idée de m'en servir comme un gode de fortune, en enfonçant entre ses lèvres intimes cet instrument de torture, par le manche en cuir. Vu qu'il était fin, il rentra facilement en le tortillant un peu dans tous les sens, pendant que l'air revenait et repartait. Respirer était devenu un privilège offert par ma bonne grâce, et je lui en privait de plus en plus, contrairement à ses seins qui eux, étaient de plus en plus récompensés.
De la langue, j'étais passés à mes dents, qui pinçaient le bout d'un de ses tétons, comme si du jus pouvait en sortir. C'était si bon de le mordiller, de le sentir rouler sous mes dents, si dur, si gonflé, pendant que l'autre main malaxait son jumeau, pour être sure qu'il ne soit pas jaloux.

Ce n'était qu'une question de temps avant que la cravache vissée en elle comme un sex toy et que la punition connue sous le nom d'asphyxie érotique, n'enveloppe son corps dans un délice profond.... Un délice si profond qu'elle ne pourrait se retenir indéfiniment... j'en étais persuadée.

SoeurAlix

Humain(e)

Montée au (7ème) ciel (PV Leona)

Réponse 10 dimanche 08 juillet 2018, 15:45:24

Ouf, heureusement quand même qu'elle abandonne mes lèvres. Bon, c'est un peu à regret, mais je commençais à perdre mon souffle, ce qui renforçait le feu qui brûlait dans mon bas-ventre. Je crois qu'il aurait suffit de quelques secondes de plus, pour que ma résistance vacille dangereusement ! Alors, quand elle me libère enfin vraiment, à commencer par mon cul que je n'ose imaginer combien son index avait dû bien dilater les chairs, je souffre un peu.

Bon, je sais qu'elle n'est pas dupe. Mon cul doit être béant sous ma culotte, et je repense encore à la vidéo où (presque) tout le monde a vu Maxime m'enculer. Avec le son, il n'y avait aucun doute sur ma bonne volonté. Zut, voilà que ça m'excite, et que je sens encore mon sexe monter en chaleur. Vu le doigt qu'elle sort enfin de ma chatte, ça ruisselle déjà beaucoup. J'ignorais que le latex pouvait me faire un tel effet.

Je reprends mon souffle. Je reprends mes esprits. Mes poignets sont toujours liés, mais mon corps ne subit plus ni caresse, ni pression, ni introduction Cette petite pause est salutaire, pour ne pas lui donner satisfaction de céder trop vite. L'excitation ne descend pas vraiment, mais, au moins, elle se stabilise, en plateau comme on dit.
« Tu crois avoir de l'endurance la religieuse ? Passons à quelque chose de plus consistant. »
Je la regarde, avec des yeux qui en disent long sur le défi que je lui lance.
« Oui, parce que là, c'était... »
Elle me coupe aussitôt la parole, sèchement :
« Maintenant c'est moi qui vais t'empêcher de jouir... »

Pas le temps de répondre, qu'elle me bouscule presque, avant de me mettre la chatte à l'air, sensation délicieuse de fraîcheur du lieu pour essayer de calmer le feu en moi, et que je me retrouve avec ma propre culotte enfoncée dans la bouche.
« Hmmmppff ! » parviens-je à articuler, sous son regard étrangement froid, poursuivant par un « je t'aurai, salope ! » qui reste entre mes dents.
Alors, pas la peine de me faire chut ! « Tiens, comme ça, tu ne m'entendras même pas jouir. Bien fait pour toi ! Je vais prendre mon pied, mais en silence. », marmonne-je.

Ma culotte pue la cyprine. Putain, j'avais vraiment la chatte en feu. C'est odorant. C'est chaud. C'est trempé. Ca me fait quand même un peu peur. J'ai les poignets bien attachés. Je ne peux pas crier au secours. Et l'autre bonne sœur en face a l'air complètement givrée. J'ai certes envie de m'amuser loin du couvent, et, vu comme c'est chaud dans mon bas-ventre, il faut vraiment éteindre l'incendie. Mais de là à être à la merci d'une folle dans une église...
D'ailleurs, elle continue ; mon soutien-gorge est balancé au loin (il faudra que je me rappelle où!), et elle recommence à me triturer les seins. « Putain, ce que c'est bon ; j'adore ça ! », prononce-je à voix inaudible. Hélas, elle doit avoir autre chose en tête, car ça ne dure pas.

Je n'ai même pas vu son geste tant il fut rapide, et je n'ai même pas le temps de me recroqueviller, pour éviter la cravache sur mes seins tendus d'excitation, que la dite cravache s'abat en fait sur mon sexe. J'en hurle dans mon bâillon, mais c'est inutile. Je me crispe, me cambre, mais le coup a atteint mes lèvres intimes de plein fouet. Jamais Léa n'avait osé cela, et, là, je reste comme inerte, à simplement tordre mes jambes, de surprise plutôt que de douleur. J'en perds presque mon souffle, essayant de me tordre, pour éviter une nouvelle attaque ou pour minimiser la brûlure je ne sais.

Penchée en avant, je ne reprends même pas mon souffle, que ma tortionnaire, oui car c'en est une, m'obstrue les narines. Je suffoque aussitôt, ma culotte bâillon m'empêche de déglutir, mon corps se tord en sens incontrôlés. Qu'est-ce qui lui prend ? Je ne peux rien faire. Elle va me tuer !
« Ne t'avais-je pas dit de partir ? »
« Je ne peux pas répondre ; tu le sais, salope ! » bougonne-je en vain contre ce maudit bâillon, sur lequel ma salive fait un étrange mélange avec ma cyprine. Et elle recommence ! J'essaye de reporter ma respiration sur ma bouche mais le bâillon va à mon encontre, et je suis sure qu'elle doit aussi boucher ma bouche, en plus de mon nez.
Je ne peux même pas battre de l'air avec mes bras, je sens même moins de force en moi.
 
J'essaie de minimiser l'excitation au creux de mes jambes, malgré la cravache qui meurtrit de plus en plus mon sexe, pour me concentrer sur ma respiration, la survie. J'ai les joues gonflées, je dois avoir le visage écarlate, mes poignets essaient de briser le cuir, un vieux cuir raidi qui doit s'encastrer dans ma chair. Mais c'est comme l'inverse qui se produit ! J'ai comme l'impression que je suis plus excitée encore, et que, loin de se calmer, ça monte toujours plus haut.

Je dois même avoir la chatte béante lorsqu'elle m'enfonce ce qui doit être le manche de cravache. J'ai l'impression que ça rentre tout seul, même sans voir. Elle semble triturer le manche à l'intérieur, en faisant des mouvements bizarres. Je dois être complètement ouverte, car ce truc me semble finalement tout petit. Elle en aurait mis deux que ça serait passé ! J'essaie de résister, mais c'est de plus en plus dur. Je suffoque, je voudrais tousser, je voudrais reprendre mon souffle, ce souffle qui est de plus en plus désordonné, par ce manche qui m'écartèle comme un sexe, et par les dents de ma tortionnaire sur mes tétons.
« Putain, ce que c'est bon » pense-je, me souvenant de Léa lorsqu'elle leur mettait des pinces, souvenir qui ajoute encore à mon excitation, avant que le manque d'oxygène me ramène brutalement à la réalité.

Je ne vais pas tenir, c'est sûr. Je ne sais pas encore si je vais mourir faute de respirer, ou si mon entrejambe va se liquéfier de jouissance. Cette bonne sœur attaque tout à la fois, le visage, les seins, le sexe. Elle sait y faire, a fortiori pour une bonne sœur.
Pourtant, il faut que je tienne ! J'essaie de reprendre conscience, mais elle bouche encore mon nez, et je sens s'échapper aussi bien mon idée de sauvegarde, que son mode de mise en œuvre. Mes joues se gonflent ou se creusent, je ne sais plus, tant le bâillon trempé, de cyprine et de salive, occupe une place inquiétante.
Mon corps s'agite plus encore, tel un pantin désarticulé. Moi même, je ne sais plus ce qui provoque cela, la respiration, l'excitation. Je vais mourir, petite mort ou mort définitive. Je monte je ne sais où, au septième ciel ou aux cieux, mais je suis sur le chemin, c'est certain.
Il faut que je ralentisse le rythme qu'elle insuffle. Mais même mon esprit s'embrouille. Le manque d'oxygène s'ajoute à l'intensité du feu dans tout mon corps; il n'y a pas de place pour tout! Pourtant, la peur et le plaisir cohabitent, et c'est en train de faire un dangereux cocktail. J'essaie de reporter l'effort sur mes mains; elle ne peut pas voir que je les crispe, les serre, comme pour dévier toute autre pensée, toute autre sensation.
« Modifié: lundi 09 juillet 2018, 08:06:41 par SoeurAlix »


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