Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Daily Work [PV]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Daily Work [PV]

4238 20

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Daily Work [PV]

vendredi 20 avril 2018, 00:20:20

Hitomi Nasegawa était la jeune PDG motivée et ambitieuse d’une start-up japonaise en plein essor, Savitch 2000. Hitomi avait créé cette société en la nommant en référence à la nouvelle « L’Homme Le Plus Doué Du Monde », d’Edward Page Mitchell. Dans cette nouvelle, le Savitch était un individu déficient de naissance, un débile profond qui, grâce à une mécanique horlogère remplaçant son cerveau, devenait intelligent. C’était là le cœur des recherches de Savitch 2000, le développement des capacités intellectuelles par le biais d’horlogeries modernes, des nanopuces et des micro implants destinés à stimuler les activités cérébrales. La petite société d’Hitomi était financée par des fonds privés et par des investisseurs très intéressés par ses recherches. Hitomi était en effet une femme très intelligente, qui avait sorti major de sa promotion à la Tōdai, l’université de Tokyo. Elle avait soutenu une brillante thèse sur l’usage de nanopuces pour développer les capacités cérébrales, et, plutôt que de rejoindre un laboratoire préexistant, avait créé sa propre boîte.

Hitomi s’en sortait plutôt bien, et, à titre personnel, elle était mariée avec Takeshi Nasegawa, qu’elle avait rencontré à l’université. Un homme d’affaires qui passait généralement son temps à l’international. Il lui avait offert deux enfants, Obito, qui avait six ans, et une jeune fille, Asuka, qui n’avait que quelques semaines. Hitomi devait toutefois passer beaucoup de temps au bureau, et disposait de nourrices à domicile pour veiller sur ses deux enfants.

La jeune femme dirigeait une équipe d’une quinzaine de salariés, mais, au-delà du travail et de sa petite vie de famille bien rangée, Hitomi... Hitomi était très frustrée. Tellement frustrée qu’elle avait pris l’habitude, depuis son grand bureau, d’utiliser son ordinateur pour surfer sur des sites peu osés. Elle n’y allait pas chez elle car elle préférait passer son temps avec ses enfants, surtout Asuka, qui aimait beaucoup boire son lait, Hitomi continuant à allaiter beaucoup. Hitomi avait une passion inavouée pour la zoophilie, et son historique Internet, qui était privé, comprenait des photographies et même des films érotiques de zoophilie, ainsi que de fréquents gangs-bangs. Du sexe intense, énergique, et elle suivait notamment régulièrement un streaming où des gens s’envoyaient en l’air sous les regards des internautes. Hitomi en était au stade qu’elle avait dans un placard plusieurs séries de vibromasseurs, et prenait désormais l’habitude de s’enfermer dans son bureau pour se masturber à l’aide de ses sex toys.

« Hnnn... »

C’est d’ailleurs ce qu’elle faisait en ce moment, enfonçant un vibromasseur violet dans sa chatte finement épilée, et poussa un nouveau cri, s’affalant contre son fauteuil en jouissant. Sa mouille fila sur le sol, et elle resta enfoncée contre le dossier pendant plusieurs secondes, avant de nettoyer le vibromasseur, puis remit sa culotte. Fort heureusement, ses jarretelles n’avaient pas été salies, et elle remit sa tenue légère, observant encore une fois ses gros seins. Elle avait de base une poitrine impressionnante pour une Japonaise, ce qui était sans doute liée à ses origines semis-occidentales, mais, avec son allaitement, ses seins avaient continué à gonfler.

Aujourd’hui, une partie de son équipe avait organisé une réunion importante. Hitomi ne savait pas trop de quoi il s’agissait, si ce n’est que ses salariés avaient fortement tenu à ce que la réunion ait lieu. Hitomi s’y rendit donc, et fut la dernière à entrer, en retard de plusieurs minutes.

« Désolée pour le retard... »

Son équipe comprenait une majorité d’hommes, mais il y avait aussi quelques femmes.

Elle était bien loin de se douter de l’objet réel de cette réunion...
« Modifié: vendredi 20 avril 2018, 09:03:23 par Princesse Alice Korvander »

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 1 vendredi 20 avril 2018, 13:08:04

Atsuro Tanaka , Juzo Maeda et Rinji Watanabe étaient les trois employés qu'Hitomi, leur patronne, était censée rencontrer pour une réunion à huit clos de la "plus haute importance". Les trois jeunes hommes étaient employé depuis un peu moins d'un an dans cette start-up, qui était une réussite, et dirigée par une femme qui faisait invariablement fantasmer tous ses employés. Tout juste sortis de leur école d'ingénieur, où ils avaient fait partie de la même promo, ils avaient eu la chance de tomber sur ces offres d'emploi assez vite une fois leur diplômes en poche, et les trois amis travaillaient depuis dans la même boîte. Plutôt bons employés, encore qu'il leur manquait de l'expérience, Atsuro, Juzo et Rinji étaient malgré tout très souvent les cibles de remarques et de reproches de la part de leur patronne. Non plus qu'ils soient incapables d'accepter la moindre critique, mais c'était généralement sur des points de détail fort peu importants, ce qui avait fini par exaspérer les jeunes hommes, au point qu'ils avaient convenu d'une potentielle vengeance.
Tous les trois étaient des experts en informatique, autant dire qu'en combinant leurs expertises, disposer d'un accès complet à distance au PC personnel de leur boss n'avait pas été une tâche très difficile. Initialement, ils avaient juste voulu un peu fouiller dans ses dossiers, et lui faire un peu peur en lui envoyant des mails étranges et anonymes, ce qui était finalement digne d'une mauvaise blague, sans plus. Mais ça...c'était avant que les trois jeunes gens n'aient effectivement accès aux historiques des logs de leur boss, ainsi qu'à la webcam qui trônait sur le sommet de l'écran de son PC. Là, ils étaient littéralement tombés  sur une mine d'or. Des accès multiples et réguliers à des sites de cam-shows, à des sites pornos, dont beaucoup de zoophilie, et plusieurs enregistrements crapuleux, à l'insu d'Hitomi, où on voyait cette dernière se masturber à l'aide de vibromasseurs dans son bureau, le tout en regardant des vidéos de femmes copulant avec des animaux.

Il avait fallu plusieurs jours aux trois hommes pour déterminer ce qu'ils allaient faire de tout ça. Honnêtement, c'était si gros que l'idée de juste faire comme si de rien n'était avait été tentante. Hitomi était mariée, et avait deux gosses...si ce genre d'informations venait à être rendues publiques, la vie professionnelle comme personnelle de la femme pouvait en pâtir sérieusement. Ils n'en avaient pas envie bien sûr, leur patronne n'avait pas été odieuse avec eux à ce point mais...mais par contre, elle était tellement bonne, que l'idée de la faire chanter germa dans l'esprit des trois jeunes hommes. Ainsi, après s'être assurés, les jours suivant, d'avoir couvert leurs traces...ils prétextèrent un besoin urgent de réunion en comité restreint dans une salle à l'extrémité des locaux de Savitch 2000.
Les hommes avaient avec eux un pc portable, qui était relié en permanence à celui d'Hitomi. Et pendant que cette dernière était en train de se goder la chatte, la webcam était en train de tout diffuser en live sur le pc que regardaient les jeunes hommes, qui avaient tous les trois une sacrée érection en regardant ce spectacle.

Elle est tellement bonne putain...vous êtes sûrs qu'elle va accepter ?

Si j'étais à sa place, je n'aurais pas d'autre choix. Rien que le dossier vidéo qu'on a constitué sur elle fait des dizaines de GO, imagine qu'on relâche ça sur le net avec quelques infos persos...

Et si elle porte plainte ?

Ce sera sa parole contre la nôtre, et c'est d'ailleurs pour ça qu'on a bien fait gaffe à ce qu'il n'y aie aucune trace quelconque qui puisse remonter jusqu'à nous.

C'est hasardeux quand même...

Vrai, mais regarde là, t'a envie de te la taper oui ou non ?

Un silence se fit quand, dans les hauts-parleurs, un léger cri résonna alors que leur patronne était en train de jouir, avant de commencer à se remettre en ordre pour venir les voir. Les trois hommes étaient aussi nerveux qu'excités, après tout il s'apprêtaient à faire chanter leur patronne pour qu'elle devienne...et bien qu'elle soit leur esclave sexuelle. Hitomi était littéralement une MILF, et elle portait tout le temps au bureau des tailleurs un peu courts et moulants, qui ne manquaient jamais de les exciter. Difficile de na pas faire alors l'hypothèse que cette femme, mariée à un homme d'affaire qui était très souvent en voyage, se sentait négligée et était frustrée...du pain béni pour les trois hommes, qui rêvaient de se taper leur patronne depuis qu'ils avaient été embauchés ici.
Quelques minutes plus tard, Hitomi entra dans la salle, en s'excusant du retard.

Il n'y a pas de mal Hitomi-san, vous deviez sans doute avoir une urgence.

Vous feriez sans doute mieux de fermer la porte à clef et de vous asseoir, ce qu'on a à vous dire est...délicat.

La tension semblait pour le moins en effet palpable, et Rinji prit alors la parole.

Nous avons effectué il y a de ça quelques jours un diagnostic complet de notre réseau voyez vous, Hitomi-San. Vu le secret qui entoure tout ce que nous faisons, c'est une nécessité pour nous assurer qu'il n'y aie eu aucune faille, et prévenir leur apparition.

Hors nous sommes tombés sur quelque chose de très...très perturbant.

Ils tournèrent alors le PC de façon à ce que l'écran soit présenté à Hitomi. Dessus, une vidéo tournait, et ils mirent un peu de son. On pouvait très clairement voir, de face, Hitomi assise sur sa chaise de bureau, les jambes bien écartées, en train de s'enfoncer un gode dans la chatte...le tout en regardant une vidéo porno zoophile, où une femme suçait goulument la gigantesque bite d'un étalon. Ils laissèrent la vidéo tourner quelques secondes, avant de la couper.

Avouez...qu'il y a de quoi être perturbé, Hitomi-san, surtout que ce n'est pas la seule dans le genre.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 2 vendredi 20 avril 2018, 13:54:38

Atsuro, Juzo et Rinji formaient l’équipe informatique de la boîte. Une condition essentielle, car, effectivement, Savitch 2000 traitait de données très sensibles. Hitomi avait donc recruté ces trois-là, et il lui arrivait souvent de leur reprocher certains comportements peu compatibles, selon elle, avec le travail. Les canettes qu’ils laissaient près de circuits électriques, par exemple, ou, de manière générale, un certain relâchement. Hitomi s’excusait toutefois fréquemment, et son équipe savait qu’elle était sous tension. Elle gérait une boîte importante, et avait des investisseurs à rassurer sur l’étendue de ses recherches. Et toute l’équipe savait très bien que, sans elle, ils retourneraient sur le marché du chômage. Et, bien que le chômage soit très faible au Japon, le marché du travail était terriblement souple, de sorte qu’ils pouvaient se retrouver n’importe où. Et puis, Hitomi leur offrait des conditions de travail agréables, et les trois avaient la chance de travailler ensemble.

Elle s’attendait donc à une conversation sur le système de sécurité. Ils avaient récemment dû revoir tout le système de sécurité de la boîte pour repérer d’éventuelles failles, et elle s’attendait donc à leur rapport. Elle ferma donc la porte sans inquiétude, consciente du caractère sensible de cette discussion. Dehors, un beau soleil tapait, et la climatisation aidait à supporter la chaleur. Elle observa ses trois informaticiens, puis s’assit sur son fauteuil.

La jeune femme hocha la tête en entendant les premières explications de Rinjin, nerveuse à l’idée qu’ils aient pu repérer un virus, ou un problème informatique majeur.

« Oui, je sais, nos investisseurs veulent s’assurer que le système de sécurité informatique soit optimal... »

Elle fronça ensuite les sourcils quand Juzo signala avoir trouvé quelque chose de « très perturbant ». Fronçant les sourcils, Hitomi les observa sans rien dire, et finit ensuite par dire, s’attendant au pire :

« Dites-moi... »

Hitomi s’attendait à tout... Sauf à ça. Disposant d’un ordinateur portable, ils le tournèrent, et elle blêmit en constatant qu’ils avaient visiblement mis une caméra cachée chez elle. Hitomi disposait certes d’une caméra de sécurité, mais orientée de façon à ce qu’on ne puisse pas la voir, ce qu’elle vérifiait régulièrement. Elle s’entendit gémir, reconnaissant la scène. C’était une vidéo tournée dans la grange d’une ferme, où un chien besognait copieusement une belle femme. Hitomi se pinça les lèvres en rougissant. Elle aurait pu s’énerver, taper du poing sur la table, mais les trois hommes savaient qu’elle était du genre à intérioriser tout ça. Elle parvint à rester stoïque, de marbre à l’extérieur, mais, à l’intérieur, son cœur venait d’imploser.

Elle déglutit ensuite, et reprit finalement, au bout de plusieurs autres longues secondes :

« Quand je vous ai embauché, tous les trois, j’avais appelé votre ancienne école. On m’a dit que vous étiez des fouineurs, des gens doués, mais peu respectueux de la hiérarchie. Je n’aurais toutefois jamais cru que vous auriez été jusqu’à m’espionner. »

Hitomi ferma les yeux, tentant de garder son calme. Si elle paniquait, ils feraient d’elle ce qu’ils voudraient.

« J’imagine que vous voulez de l’argent... Mais je suppose que vous savez aussi ce qui se passera si vous révélez ça publiquement ? Mes investisseurs lâcheront la boîte, je serais obligée de mettre la clef sous la porte, de licencier tout le monde... Et le prêt que j’ai emprunté pour financer la fondation de ma compagnie ne pourra plus être remboursée, sachant que j’ai dû hypothéquer ma maison pour garantir le remboursement du prêt. »

Ils devaient ignorer ça, eux qui avaient tendance à la prendre pour une grosse friquée.

« Alors... Dites-moi combien vous voulez, et... Je verrais ce que je peux faire. »

Elle était toutefois loin de se douter qu’ils n’avaient pas envie d’argent. Pour l’heure, elle était toutefois au bord de la rupture, et, en conséquence, ses mains tremblaient nerveusement, signe de la nervosité intense qui la traversait.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 3 samedi 21 avril 2018, 12:13:08

Ce qu'ils étaient en train de tenter était vraiment un gros coup de poker, qui pouvait avoir de lourdes conséquences. Honnêtement, en temps normal, aucun des trois jeunes hommes n'aurait pris le risque de vouloir faire chanter leur patronne...mais elle était tellement bonne que leurs bites avaient pris la place de leurs cerveaux. Enfin, pas tout à fait, il avaient quand même été à des lieues de se lancer précipitament dans cette entreprise risquée, et ils avaient bien couverts leurs traces. Bien sûr, ça n'empêcherait pas Hitomi de porter plainte si cette dernière le voulait vraiment, mais au moins, elle n'aurait aucune preuve tangible pour appuyer ses accusations, qu'Atsuro, Juzo et Rinji pourraient nier en bloc, et du coup bénéficier au moins de la présomption d'innocence. Alors que leur patronne était là, assimilant les informations qu'elle recevait, les jeunes hommes ne pouvaient s'empêcher de déjà s'imaginer en train de la baiser. Invariablement, tous les trois, fantasmaient sur leur patronne aux formes si généreuses. De belles jambes avec des cuisses bien potelées, un cul rebondi et ferme, et ses seins...depuis qu'elle allaitait, Hitomi-san les avait si gros qu'il était impossible de ne pas loucher dessus, même quand elle ne portait pas de décolletés. C'était bien simple, elle les rendait fous, et était très régulièrement la source de leurs sessions de branlettes solitaires.
La femme, toutefois, ne sembla vraiment pas du tout envisager l'option que ses employés voulaient "juste" baiser avec elle. Du fric ? Sur le moment ils ne dirent rien, mais le fric n'était clairement pas la raison pour laquelle ils faisaient ça. Contrairement à ce qu'Hitomi pouvait penser, les trois jeunes hommes savaient que leur patronne ne roulait pas sur l'or. Sans être "pauvre", elle avait du faire des emprunts importants pour monter son entreprise, dont la réussite ou non déterminerait une bonne partie de son avenir financier personnel. Rini reprit alors la parole.

Non non, Hitomi-san, je crois que vous vous méprenez complètement sur nos intentions, ce n'est pas de fric dont il est question là.

Absolument pas, d'autant que les trois hommes se sentaient comme pousser des ailes. Hitomi-san aurait pu dores et déjà les envoyer se faire foutre, refuser leur chantage...mais non, et c'était là une donnée essentielle, elle était prête à négocier. L'une des craintes des trois compères avait été qu'elle refuse catégoriquement, par fierté, et veuille porter plainte peu importe les conséquences...mais ce n'était pas le cas. Elle avait trop, beaucoup trop à perdre, et en réalité bien plus que les trois jeunes gens. La partie n'était pas encore gagnée, mais une étape cruciale avait été franchie avec succès...

Savitch 2000 représente beaucoup pour vous, Hitomi-san, et nous n'avons pas envie de saboter ça. Je dirais même que vous pouvez vous estimer heureuse que ce soit nous qui soyons tombés sur ce dossier compromettant au final, sinon, si des intrus extérieurs avaient utilisé la faille qu'on a emrpunté, et qui est maintenant corrigée...la moitié du japon serait déjà en train de se branler sur vous.

Se faire passer pour les gentils ? C'était gros, et ça ne passerait sans doute pas comme ça, mais la réalité était que, fort heureusement pour Hitomi, ses employés semblaient être prêts à garder jalousement le secret...en échange d'une petite compensation, mais qui n'était visiblement pas pécuniaire...alors...

Nous n'allons pas y aller par quatre chemins Hitomi-san...on a envie de coucher avec vous. Depuis que vous nous avez recruté, il ne se passe pas une soirée sans qu'on fantasme sur vous, parce que vous êtes juste trop bonne. On s'en fout de votre fric, on veut pas vous mettre dans la merde financièrement.

Par contre, ce qu'on veut, pour que tout ça reste secret entre nous, c'est que vos petits plaisirs intimes dans votre bureau, vous nous y invitiez.

Et voilà, la bombe était lâchée, restait à voir quelle allait être la réaction d'Hitomi-san, car ses trois employés venaient clairement d'avouer qu'ils la trouvaient "bonne".

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 4 samedi 21 avril 2018, 12:59:50

Hitomi était très intelligente. Elle avait toujours réussi ses études avec succès, et, d’ailleurs, le simple fait que les investisseurs la soutiennent, c’était une preuve de ses talents. Le sexisme était en effet quelque chose d’encore très marqué au Japon, et, pour accepter qu’une femme dirige une entreprise, il avait fallu qu’elle ait un CV en béton. Hitomi avait appris à se calmer, et à ré »agir sur le vif. Lycéenne, et même au début de ses années d’étude à l’université, elle s’énervait souvent, s’enflammant sur place. Elle avait donc appris à se calmer, et, ce faisant, à réagir au quart-de-tour. Lors des Oraux, elle avait pris l’habitude que ses interlocuteurs ou ses examinateurs ne cherchent à la déstabiliser. Pour autant, elle n’avait jamais été dans un état nerveux, son esprit imaginant déjà toutes les conséquences de ses propres erreurs.

*Pourquoi il a fallu que je fasse ça dans mon bureau ? Comment pouvais-je croire qu’ils ne le verraient pas ? Ce sont des fouille-merdes !*

Ce n’était pas en soi un reproche, car elle savait qu’ils étaient motivés, mais elle n’aurait jamais cru qu’ils iraient l’espionner, et la filmer. Elle ne savait pas ce qu’ils voulaient, et avait soupçonné qu’il s’agissait d’argent... Ce qui amena les trois hommes à préciser leurs intentions. En soi, Hitomi ne pouvait pas être surprise. Elle savait qu’elle était belle, et elle avait déjà surpris les regards de ses employés vers ses seins, même pour sa secrétaire. D’autant plus que, avec la chaleur qu’il faisait actuellement, Hitomi venait souvent avec des vêtements légers, mettant davantage en valeur sa poitrine. Et, outre sa beauté, elle savait aussi qu’Atsuro, Juzo et Rinji n’étaient pas tant intéressés que ça par l’argent.

Elle écarquilla les yeux quand ils indiquèrent clairement qu’elle était « bonne », et qu’ils voulaient lui faire l’amour. La surprise fut donc de taille, même si Hitomi savait qu’elle suscitait des fantasmes. Elle les observa tour à tour, chacun venant confirmer leur souhait, et cligna des yeux, avant de se racler la gorge.

« Vous... C’est une plaisanterie, non ? »

Mais non. Ils étaient au contraire extrêmement sérieux, et très excités. Hitomi les observa l’un après l’autre.

« Je... Mais enfin... Vous savez que je suis mariée, non... ? »

Ils s’étaient toutefois bien renseignés, car ils savaient qu’elle était sexuellement frustrée, et qu’elle voyait rarement son mari. Hitomi avait pris l’habitude de dormir au bureau, et elle avait une vie sociale presque inexistante. C’était d’ailleurs à cause de ça qu’elle avait commencé à regarder au bureau des films pornographiques. Le fait est qu’Hitomi avait passé sa vie à étudier, à travailler, manquant ainsi de soulager son corps. Après avoir eu son premier fils, le désir avait fini par s’imprégner en elle, et elle avait donc pris l’habitude, ici, de se soulager sexuellement.

Elle déglutit donc, et se pinça les lèvres, tremblant nerveusement, puis se releva brusquement.

« Non, vous n’êtes pas sérieux, je... Je suis mariée ! »

Hitomi s’écarta, cherchant à partir. Il ne faisait aucun doute que les trois allaient devoir la forcer un peu pour la faire basculer...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 5 dimanche 22 avril 2018, 15:19:45

Évidemment qu'ils savaient qu'elle était mariée, et évidemment, ils étaient très, très sérieux. Pouvait-on encore vraiment parler de mariage à ce niveau là ? Certes, Hitomi-san avait eu deux enfants avec son mari, dont une fille très récemment, mais ils s'étaient aussi renseignés en fouillant un peu plus dans l'intimité de la femme. Mari et épouse se voyaient très rarement, et il suffisait de constater le nombre de fois par jour qu'Hitomi-san se masturbait dans son bureau pour comprendre qu'elle était sexuellement une grosse frustrée. Il fallait toutefois s'attendre à une résistance, céder à un chantage financier avait finalement moins de conséquences "morales" pour la victime, que de céder à un chantage où son corps était la monnaie d'échange. Malgré sa frustration, Hitomi-san n'était jamais allée jusqu'à se trouver un ou plusieurs amants, mais les jeunes hommes pensaient que c'était plus par peur qu'autre chose...peur entre autres que le dit amant finisse par vendre la mèche.
Elle se releva alors soudainement, manifestant son refus, et sembla même sur le point de s'en aller...sauf que ses trois jeunes employés ne l'entendaient pas de cette oreille. Atsuro, qui était assis presque aux côtés de sa patronne, la prit alors vivement par l'un de ses poignets pour l'arrêter net dans sa course.

Je ne ferais pas un pas de plus si j'étais vous, Hitomi-san, car vous allez foutre votre vie en l'air si vous faites ça.

Le ton était cette fois menaçant. Ils avaient beau ne pas avoir vraiment envie d'en arriver à de telles extrémités, mais il ne faisait aucun doute qu'il mettraient leurs menaces à éxecution. Atsuro se releva alors, tout en continuant de maintenir sa poigne ferme sur le bras d'Hitomi-san. Conscient qu'elle allait sans doute chercher à se rebiffer encore, il entreprit de la maintenir. Il bloqua son bras dans son dos, tout en venant se plaquer contre elle, en prenant entre autres bien soin de coller son bassin contre le délicieux fessier de la femme, et posa son autre main sur la bouche de sa patronne, pour l'empêcher de crier ou d'appeler à l'aide. Juzo et Rini s'étaient levés à leur tour. Juzo avait prit le portable, pour présenter encore une fois la vidéo, mise en pause, d'Hitomi-san en train de prendre son pied devant une vidéo zoophile.

Si vous croyez que nous n'aurons pas l'audace de poster ça sur le net, vous vous trompez Hitomi-san. Tout est déjà prêt à être téléchargé sur plusieurs sites pornos très connus, et envoyé par mail à plusieurs personnes de votre entourage...comme vos parents, ou encore votre mari.

Et en plus...je ne vois vraiment pas le problème que vous pourriez avoir à accepter nos conditions. Vous voyez votre mari rarement, quand il daigne rentrer de ses voyages...vous trouvez toujours que ça ressemble à un mariage ? Vous en êtes au point de vous masturber sur des vidéos zoophiles et du gangbang plusieurs fois par jour, Hitomi-san. Même nous, en étant célibataires, on se branle pas aussi souvent.

Hitomi pouvait clairement sentir une imposante érection se frotter contre elle, contre la raie de ses fesses, et concrètement les trois jeunes hommes avaient leurs pantalons bien déformés par des bosses qui laissaient suggérer qu'ils étaient bien membrés.
Rinji se rapprocha alors en face d'elle, et il n'hésita pas un instant à glisser une de ses mains sous la jupe de la femme, pour caresser l'intérieur de ses cuisses, en remontant peu à peu...

La vérité, que vous refusez d'admette, Hitomi-san, c'est que vous avez soif de bites. Et nous, on est jeunes, fougeux, et tout à fait prêts à combler les désirs d'une femme négligée comme vous. Honnêtement, si vous étiez pas aussi coincée de prime abord, on aurait même pas eu besoin de tout ça pour tenter de vous approcher. Tout ce qu'on veut, c'est vous baiser Hitomi-san. Rien de plus, rien de moins, et personne n'en saura jamais rien.

Il avait maintenant remonté sa main jusqu'à commencer à la caresser au travers de sa culotte, en titillant très précisément le clitoris de la femme. Juzo, de son côté, avait déposé le portable sur la table pour s'approcher à son tour, sur le flanc de la femme, afin d'aller lui s'occuper de l'opulente poitrine de sa patronne. Ils étaient tous les trois autour d'elle, à la pelotter, à la caresser, à se frotter contre son corps. Atsuro retira même sa main de la bouche de la femme, pour lui laisser l'occasion de gémir.

Allez...vous en avez autant envie que nous Hitomi-san, vous en avez même besoin, alors foutez au placard votre fierté mal placée. Si vous refusez, votre gosse ira plus tard au collège en devant supporter que sa mère aie été vue sur des sites pornos par tous ses camarades de classe. Vous voudriez pas ça quand même ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 6 dimanche 22 avril 2018, 16:06:49

Elle était perdue, confuse, face à une situation totalement inattendue. Dans la vie, Hitomi s’en était toujours sortie en ayant la tête haute, en usant de son intellect. Elle avait toujours évité de se retrouver dans ce genre de situations. Aucun scandale, aucune fioriture, aucune indécence, elle était l’enfant-modèle que tout parent rêverait d’avoir. Et, finalement, sa seule « faille » avait été découverte, et était maintenant utilisée pour la forcer à agir contre son gré. Elle tenta donc de partir, mais, rapidement, Atsuro se précipita vers elle. Elle tenta effectivement de le repousser, et même d’hurler, mais rougit quand il posa sa main sur sa bouche. Elle aurait pu mordre, mais elle se contenta de gesticuler, en gémissant, se tortillant sur place, ce qui, concrètement, n’eut que pour effet d’amener ses fesses à frotter davantage l’érection qu’elle sentait contre elle. Et, au contact de ce sexe tendu, de ce chibre assoiffé, le regard d’Hitomi glissa vers les deux autres. Ils étaient aussi excités que leur comparse, et elle couina encore, sentant des idées inattendues l’envahir, clairement perverses... Idées qu’elle chercha à refouler, mais sans y arriver. Qu’est-ce qui dominait le plus en elle ? La peur d’être dénoncée ? Ou l’envie perverse d’être avec ces trois-là, et d’être leur amante ? Hitomi ferma les yeux en les entendant parler, secouant la tête.

*Non, non, c’est faux, je ne suis pas comme ça ! Ce sont juste des crises, ce n’est pas ce que je veux !*

Étaient-ils sincères en la menaçant ainsi ? Hitomi n’osait y croire, mais le risque était là... Et, sous l’effet de la frustration, ils pouvaient certainement le faire. Ils finiraient au chômage, mais leur situation serait bien moins pire que la sienne. Hitomi soupira encore, sentant alors les hommes se rapprocher, et leurs mains se mettre à la tripoter. Hitomi gémit encore, sentant la main de Rinji, le tombeur des trois, se glisser sous sa minijupe, caressant son intimité. Elle rougit furieusement, et se mit à trembler sur place, frémissant, avant de sentir la douleur pointer le long de ses seins.

Au cours de leur visionnage, les trois avaient peut-être pu réaliser que, chez Hitomi, son corps réagissait bizarrement au désir sexuel. En fait, quand elle était sexuellement excitée, elle avait tendance à  allaiter beaucoup. Ses seins gonflaient alors sous l’effet du lait en elle, ses glandes mammaires se remplissant de lait. Et là, tandis qu’ils la tripotaient, et murmuraient des propos pervers, en disant qu’ils voulaient « juste » la baiser, Hitomi déglutit, sentant le plaisir la trahir, naître en elle.

« Hnnnn... »

Bien sûr, elle avait envie de les repousser, d’arrêter tout ça, mais... Elle n’avait pas envie que de ça. Juzo rejoignit rapidement le duo, et, quand il s’attaqua aux seins de la femme, Hitomi couina encore, et, finalement, sentit la main d’Atsuro lui rendre la parole, avant de rejoindre les mains des autres, glissant sur ses hanches, ou pinçant ses seins.

« N-Nooon... Ne... Haaaa... Ne mêlez pas mes enfants à ça... ! »

Elle soupira encore, remuant sur place, ses seins continuant à l’élancer douloureusement, puisqu’ils étaient remplis de lait. Elle aurait dû dire qu’elle avait envie qu’on l’allaite, mais... Eh bien, elle était encore un peu trop gênée pour oser le dire ouvertement ! Toutefois, elle ne les repoussait pas, et elle avait envie qu’ils le fassent, mais... Tout était confusion ! Hitomi ne savait plus rien, si ce n’est qu’elle avait chaud, que ses seins lui faisaient mal...

...Et qu’elle mouillait !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 7 lundi 23 avril 2018, 12:39:10

Elle ne cherchait même plus à lutter. Oh certes, elle tentait un peu de se débattre pour garder le peu de contenance qui lui restait, mais les trois jeunes hommes pouvaient clairement le voir et le sentir...leur patronne était sur le point de complètement craquer. Rinji fut clairement le premier des trois à s'en rendre compte, du fait de la position privilégiée de sa main entre les cuisses de la femme, car il sentit très rapidement une tâche humide se former sur la culotte d'Hitomi-san.

Elle mouille les gars...

Invariablement, Atsuro et Juzo se mirent à sourire comme leur comparse, et redoublèrent d'ardeur dans leurs caresses. Atsuro la maintenait par les hanches dans son dos, et surtout frottait sa bite bien tendue dans son pantalon contre la jupe de sa patronne, glissant contre ses fesses.

C'était pas difficile à deviner ça, Hitomi-san. On s'en est doutés dès le moment où vous avez commencé à nous réprimander pour des broutilles, c'était clairement le signe que vous étiez frustrée. On aurait pas imaginé à ce point toutefois mais...on va pas se plaindre...

Juzo lui de son côté ne pouvait plus tenir. Il avait fourré son visage sur le côté d'un des seins de la femme, et les malaxait les deux depuis tout à l'heure au travers de ses vêtements. Il avait donc été en première ligne pour constater, et sentir, ce qu'ils avaient tous les trois pu remarquer en "analysant" les vidéos qu'ils avaient d'elle. Hitomi-san, sous le coup de l'excitation, était en train d'avoir une montée de lait dans ses seins. Et ça, c'était l'un des très nombreux fantasmes du jeune homme à lunettes. Sans plus de cérémonie, il agrippa les rebords du petit veston de la femme pour le lui ôter...et il releva son débardeur jusqu'au dessus de ses seins, puis dégrafa le soutien-gorge d'Hitomi, sans pour autant le lui retirer, le laissant ainsi pendre.

Oh putain ces seins...si vous saviez le nombre de fois que je me suis branlé en m'imaginant vous téter...

Et il n'en fallu pas plus pour que Juzo décide de tout de suite réaliser son fantasme. Il alla fourrer sa bouche grande ouverte conte l'un des tétons de la jeune femme, tout en saisissant le reste de son gros sein entre ses deux mains pour le presser. Naturellement, le lait maternel d'Hitomi-san déferla dans la bouche de Juzo, qui sentit sa trique le tirailler encore d'avantage, il se frotta même contre l'une des cuisses de sa patronne.
Rinji, de son côté, décida de passer à la vitesse supérieure, et remonta alors sa main pour la glisser directement dans la culotte de sa patronne. Elle était toute humide, aussi glissa-t-il directement deux doigts dans sa chatte, qu'il se mit à remuer fermement.

Vous en faites pas, Hitomi-san...quelque chose me dit qu'on aura pas besoin de rendre tout ça public finalement.

Il acheva en allant à son tour téter son sein, avalant allègrement le lait qui en sortait, et qui était gustativement...addictif, c'était le moins qu'on puisse dire. Face à tous ses stimulis, Hitomi pourrait en plus entendre, juste derrière elle, le bruit d'une ceinture dégraffée, ainsi que d'une fermeture écalir. Atsuro venait de faire glisser son pantalon et son boxer le long de ses jambes, et redressa la jupe de la femme pour libérer l'accès à ses fesses. Le jeune homme fourra donc son sexe tendu le long de la croupe de sa patronne, bien entre ses deux fesses, qu'il serra avec ses mains pour les resserer contre sa bite.

Oh putain...Hitomi-san...vous êtes tellement bonne...

Atsuro lui lécha le cou, ainsi que l'oreille, tout en se masturbant de plus en plus fort contre le cul de sa patronne, soufflant comme un buffle contre elle...avant qu'il ne finisse par jouir assez rapidement. A sa décharge, toute cette affaire l'avait tellement chauffé, et Hitomi-san était tellement bonne, qu'il était difficile de se contenir. Il cracha d'épais filaments de sperme chaud dans le dos de la femme, et surtout il en macula ses fesses rebondies. Rinji et Juzo cessèrent alors leurs caresses, probablement en ayant avant fait jouir une première fois Hitomi. Rinji d'ailleurs ne manquerait pas de sucer ses propres doigts pour avaler la cyprine de sa patronne, juste sous ses yeux, tandis que Juzo presserait sur les épaules de la jeune femme, pour qu'elle se mette à genoux. Juzo et Rini immiteraient alors Atsuro, en se débarassant de leurs pantalons et de leurs sous vêtements. Les trois jeunes hommes se trouveraient donc à entourer Hitomi-san, formant un cercle autour d'elle tandis qu'elle serait à genoux...avec ces trois sexes tendus en direction de son visage.

Allez...sucez nous...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 8 lundi 23 avril 2018, 13:19:33

Hitomi était vraiment confuse. La situation lui échappait totalement, et ce depuis qu’elle était arrivée ici. Elle était prisonnière de la perversion de ses trois informaticiens, qui se frottèrent contre elle. La jeune patronne gémit en sentant des mains soulever son débardeur, après avoir fait tomber sa veste sur le sol. Elle se pinça les lèvres et secoua la tête de droite à gauche en fermant les yeux, comme pour refuser ce qu’on lui faisait, s’accrochant encore à des apparences de moralité à laquelle plus personne ne croyait autour d’elle.

« N-Non, haaa... A-Arrêtez, ça, hmmm... Noon... »

Mais ses cris de protestation semblaient bien faibles face à l’insistance de ses amants. Hitomi frémit encore en sentant sa minijupe se relever, et couina quand une belle verge caressa ses fesses, se logeant contre sa croupe, se heurtant à sa culotte. Elle gémit donc, et la situation ne manqua pas de s’aggraver. L’un la masturbait, et l’autre, en ayant accès à ses seins, se mit à la téter. Et là... Là... Hitomi se mordilla les lèvres jusqu’à pouvoir les faire saigner, rougissant furieusement en sentant le plaisir exploser en elle. Le lait se mit à fuser, et c’était là quelque chose qu’elle adorait vraiment. Peut-être était-ce lié au fait qu’elle avait déjà, de base, une poitrine assez volumineuse, mais sentir ses seins « dégonfler » sous le lait qui filait lui procurait une délicieuse sensation névralgique de plaisir. Elle se laissait aller, frissonnant sur place, le plaisir déferlant dans tout son corps, des pieds à la tête, formant comme une profonde vague de soulagement.

Et cette verge qui tapait contre ses fesses, ces doigts inquisiteurs et curieux qui exploraient son intimité, toute cette boule de frustration qui était en train de se fissurer de partout... Hitomi ne pouvait tout simplement pas lutter. Elle sentit encore son corps flancher, et se relâcha soudain dans un cri de plaisir, sentant l’orgasme la traverser, en même temps qu’elle sentit son cul se recouvrir de sperme. L’homme dans son dos, Atsuro, venait de se relâcher en lui léchant le cou, grognant contre elle, une exquise sensation qui la fit frissonner de partout.

« Haaaaa... »

Quand Hitomi commença à reprendre le contrôle de sn corps, elle réalisa qu’elle avait fini à genoux, et que trois verges se dressaient devant elle. Curieusement, son orgasme n’avait nullement apaisé sa situation, et n’avait nullement atténué les sensations de désir qu’elle ressentait en elle... Bien au contraire ! Elle se pinça les lèvres, ferma les yeux, puis caressa d’une main l’un des sexes tendus, sursautant en sentant cette bite bien dure.

« Vous... Vous trois... »

Réfléchir ? Impossible ! Un mur bloquait ses synapses, ses connexions neuronales, les terminaisons nerveuses qui assuraient le fonctionnement de ses pensées cérébrales. Agissant par instinct, Hitomi se pencha brusquement en avant, et attrapa un sexe,  venant ensuite le fourrer dans sa bouche, et commença à le pomper intensivement. Coup du sort, il s’agissait de la queue d’Atsuro, recouverte du sperme du jeune homme, qu’elle avala donc avec des bruits de mastication conséquents. Yeux clos, joues rouges, Hitomi était en train de sombrer, sentant une boule de plaisir se diluer avec plaisir dans son bas-ventre, la rendant chaude, frétillante, impatiente... Excitée, tout simplement.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 9 mardi 24 avril 2018, 13:07:48

Atsuro vit avec surprise sa patronne se jeter littéralement sur sa bite, et la prendre en bouche. Le jeune homme se tendit quelques instants comme une corde de violon du fait de la surprise, et surtout car il ne s'était pas attendu à ce qu'Hitomi-san ne se mette à le sucer avec autant d'entrain ! Clairement, le jeune homme était en train de prendre son pied.

Oh putain...Oh ouaiiiis...

Merde alors, vous avez vraiment soif de bites Hitomi-san.

Juzo et Rinji regardaient la scène, en étant proches, et en se branlant doucement. Le spectacle était très, très excitant à voir. Ils s'étaient doutés pourtant que leur patronne était une grosse frustrée, et ils avaient même tablé sur ça pour leur chantage, en se disant qu'elle allait finir par aimer ça. Mais la vitesse à laquelle Hitomi avait cédée à ses pulsions était quand même impressionnante, elle était en train de sucer la queue d'Atsuro comme si elle était une junkie en manque de sa dose, en manque de sperme chaud dans sa bouche. Les bruits de succion qui s'échappaient de la bouche d'Hitomi-san, qui pompait le dard d'Atsuro avec une envie qui faisait plaisir à voir, étaient aussi excitants que la scène en elle même. Profitant du fait que la femme fermait les yeux, et était complètement concentrée sur sa fellation, Juzo fouilla rapidement dans l'une des poches de son pantalon qui était posé sur une chaise, afin de prendre son smartphone, et il commença à filmer tout ce qui se déroulait. Maintenant qu'Hitomi n'était plus au stade de vouloir "arrêter" ce qu'ils étaient en train de faire, filmer leurs ébats prenait désormais tout son sens, car ils allaient pouvoir ajouter ça à leur dossier pour continuer de la faire chanter. Pourrait-elle vraiment faire croire à quiconque, là, qu'elle n'était pas en train de prendre son pied à sucer goulument cette queue ?

Atsuro de son côté...était en train de "subir" ce qui était probablement une des meilleures pipes de sa vie. Cette femme le pompait fort, et voulait son sperme, au point qu'il n'avait même pas besoin de remuer son bassin, ou de faire quoi que ce soit hormis bander bien dur. Il venait pourtant de très récemment se relâcher sur le cul d'Hitomi...mais cette pipe, cette bouche de suceuse l'avait fait rebander presque instantanément. Au bout de plusieurs minutes, il sentit d'ailleurs la sauce remonter le long de son sexe, et il crispa alors ses mains à l'arrière de la tête de sa patronne, afin de bien s'enfoncer dans sa bouche, avant de se lâcher une nouvelle fois.

Oh ! Aaaaaaah p-putain ouaiiiiiis !!!! Haaaaaaa...Haaaaaaa...

Atsuro relâcha plusieurs filaments de sperme depuis son sexe pulsant, se déchargeant bien dans la bouche de la femme, qu'il somma d'avaler jusqu'à la dernière petite goutte de sa semence, avant de se retirer d'elle. Juzo de son côté, qui avait bien tout filmé, rangea son portable.

Oh putain les gars, allez, à votre tour...c'est vraiment une très bonne suceuse.

Atsuro, qui venait de jouir deux fois en peu de temps, avait lui besoin de récupérer un peu, sans compter le fait que ses deux comparses eux n'avaient pas encore eu vraiment l'occasion de faire autre chose que profiter des seins de leur patronne. Mais si Juzo lui avait l'intention d'aussi se faire sucer, Rinji lui semblait clairement vouloir autre chose, vu qu'il s'approcha en ayant dans la main un préservatif, encore dans son emballage.

On a de trop grosses queues pour que vous puissiez nous sucer efficacement en même temps Hitomi-san, alors...foutez vous à quatre pattes je vous prie.

Le petit sourire en coin qu'il avait ne laissait aucun doute là dessus, il avait l'intention de la fourrer. Il attendit qu'elle se mette en position, avant de s'agenouiller derrière elle. Il déchira l'emballage du préservatif, et recouvrit son sexe de ce bout de plastique, avant de remonter la jupe de sa patronne au dessus de ses fesses, et de faire glisser sa culotte jusqu'au niveau de ses genoux.

Une bonne petite chatte bien humide, comme je les aime...

Il posa une main sur une hanche de la jeune femme, et de l'autre, il saisit son propre sexe à la base pour le guider vers l'entrée de ce vagin acceuillant, dans lequel il s'enfonça d'un coup sec. Dans le même temps, Hitomi vit Juzo s'agenouiller juste en face d'elle, lui présentant sa bite contre son visage. Le jeune homme lui tapota d'ailleurs le bout de son gland, sécrétant du liquide séminal, sur son nez et ses joues, avant de présenter son sexe face à la bouche d'Hitomi, et des'y enfoncer, à aussi, sans vérogne. La femme était prise par les deux extrémités, et comme Atsuro n'avait pour le moment rien à faire, il avait sorti son propre portable pour filmer la scène et l'immortaliser.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 10 mardi 24 avril 2018, 13:46:29

Hitomi avait cédé, en effet. Plutôt rapidement, sans doute, mais elle était comme une funambule se livrant à un dangereux jeu d’équilibriste sur son fil. Un seul mouvement brusque, et elle tombait dans le gouffre... Ce qui venait d’arriver. Et là, les trois hommes autour d’elle étaient en train de se régaler, et de se gaver. Hitomi avait un corps magnifique, en plus du plaisir inné qu’il y avait à coucher avec leur patronne, le sentiment sacré de franchir les interdits. Devant eux, Hitomi s’attaqua donc à une verge, et frémit à ce contact. Une boule sembla se fondre dans son corps, faisant frémir tout son corps, puis elle se relâcha ensuite, au contact de cette verge. Difficile de dire pourquoi elle aimait tant ça... Les fantasmes pouvaient-ils s’expliquer ? Toujours est-il que sa bouche filait d’avant en arrière, glissant sur cette hampe de chair, prenant ce vit en bouche, le savourant longuement. Elle relevait parfois les yeux vers Atsuro, observant le visage transi de bonheur de son amant, y trouvant une sorte de joie primitive. Le démon avait pris possession du corps d’Hitomi, tirant les fils comme un marionnettiste invisible et joueur. Il n’y avait rien à faire contre ça, si ce n’est se laisser bercer, et savourer le plaisir immense qu’elle recevait en ce moment.

« Hmmm... Hmmmmm... »

Elle sentit finalement Atsuro se relâcher en elle, l’homme se mettant à jouir joyeusement. Hitomi sursauta en sentant ce sperme chaud éclater en elle, lui rappelant les fois où elle avait fait l’amour avec son mari. En fait, Hitomi avait toujours aimé le sucer, et c’était une habitude qu’ils avaient conservé. Quand ils faisaient l’amour, elle prenait toujours, tôt ou tard, son sexe en bouche. D’aucuns trouvaient ça dégradant, avilissant pour l’image de la femme, mais... Eh bien, Hitomi aimait ça, tout simplement. Il n’y avait aucune explication logique, et elle était donc ravie de voir Atsuro se relâcher en elle.

Le cercle vicieux de la luxure s’emparait d’elle, et elle se tourna ensuite vers les deux autres, presque sans réfléchir. Rinji, toutefois, préféra opter pour autre chose, et Hitomi fronça les sourcils, avant de finir à quatre pattes, sa jupe relevée.

« Ri-Rinji-san, qu’est-ce que tu... ? »

Elle ne put achever, car la queue de l’homme s’enfonça alors brusquement en elle. Un cri traversa ses lèvres, qu’elle étouffa toutefois bien rapidement, afin de ne pas attirer le reste du personnel, en relevant une main. Elle saisit avec la queue de Juzo, et la guida dans sa bouche, venant la pomper, tout en soupirant, son corps s’électrisant au contact du vit de Rinji en elle. Son corps remuait d’avant en arrière, guidé et rythmé par les coups de reins qu’elle recevait.

« Hmmmmmmmmmm... Hnnnnnnnnnnnn... !! »

Tout ça était si inattendu, si troublant, si perturbant... Hitomi ne savait plus quoi penser, alors elle préférait s’abandonner à la seule chose sûre qui dominait en elle en ce moment : le plaisir. Fort, intense, total... Jouissif !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 11 mercredi 25 avril 2018, 12:36:13

Rinji poussa un léger grognement de plaisir au moment de glisser sa queue dans la chatte de sa patronne. Il bandait au moins depuis le début de la journée, quand ils avaient décidé d'un commun accord de tenter leur chance, à l'idée de se trouver dans cette position. Là avec sa patronne à quatre pattes devant lui, comme une chienne soumise, qu'il prenait en levrette. Les mains du jeune homme se pressèrent naturellement sur son cul, serrant les fesses d'Hitomi-san sans ménagement, il se permettait même à l'occasion quelques claques sonores sur cette chair ferme. Mais surtout, il donnait d'intenses coups de rein, sa chair claquant à répétition contre celle d'Hitomi.
Juzo de son côté se faisait à son tout sucer, une nécessité par ailleurs, car cela permettait, d'une façon très perverse, de baillonner Hitomi pour éviter qu'elle ne gémisse trop fort. Le jeune homme crispa ses deux mains dans les cheveux de sa patronne, s'assurant ainsi d'une bonne prise pour qu'elle ne se retire surtout pas, et lui aussi donnait des coups de rein, plus léger que ceux de Rinji, mais il baisait indéniablement la bouche de cette femme.
Atsuro lui n'était pas en reste. Même si il ne participait pas directement aux ébats, ayant besoin d'un peu de temps pour se reposer, il avait toutefois pris son portable pour entreprendre de filmer la scène. Il entendait la conserver, et l'ajouter à l'important dossier qu'ils possédaient déjà sur Hitomi, afin d'achever de le rendre en béton. Car des vidéos d'elle se masturbant sur du porno zoophile c'était une chose...mais des vidéos d'elle baisant de façon consentante avec ses trois employés en était complètement une autre. Ce qu'il faisait avait un double emploi. Solidifier leur chantage pour l'amener à faire "tout" ce qu'ils voulaient, mais aussi se préserver de toute accusation de viol, en filmant sciemment des scènes où il était évident qu'elle était consentante, comme actuellement.

Ah bordel...oh ouais putain...quelle chienne ! Vous êtes une vraie salope assoifée de bite, Hitomi-san !

Rinji accélérait de plus en plus le rythme de ses pénétrations, la prenant et la bourrant sans ménagement. Des trois, il était celui qui s'était le plus rebiffé contre les remontrances régulières d'Hitomi-san à leur encontre. Combien de fois, dans un mélange de fantasme sexuel et de vengeance, il s'était imaginé à lui faire payer ça en l'ayant à ses pieds, et à en faire son esclave ? Une bonne partie de ces envies se réalisaient là, et tout ça n'était qu'un prélude, car les employés d'Hitomi allaient vite prouver qu'ils avaient bien des plans à accomplir avec elle. D'ailleurs, à se trouver ainsi juste à proximité du cul de sa patronne...il se demandait sincèrement si son gros gland de mari avait seulement déjà eu l'idée de lui foutre sa bite dedans, et de la sodomiser. Pour en avoir le coeur net, alors qu'il continuait de la baiser, il glissa subitement la première phalange d'un de ses pouces dans le fondement de la femme, qu'il sentit et vit se crisper soudainement, ce qui ne lui fit pas pour autant retirer son doigt, qu'ils commença à remuer.

Putain je m'en doutais. Non seulement votre mari est incapable de vous satisfaire, mais en plus il n'a jamais exploré votre cul hein ? Vous êtes encore vierge là...

Une information qui ne manquerait pas de les exciter tous les trois, et qui d'ailleurs, amena Juzo au bord du point de rupture. Il serra ses mains, et avança son bassin de façon à enfoncer complètement son sexe dans la bouche de la femme, en lui coupant toute possibilité de se retirer. Le nez d'Hitomi de trouva profondément enfoui dans les poils pubiens du jeune homme, tandis qu'elle devrait sentir une belle grosse vague de foutre déferler directement dans sa gorge.

Ouais...Oh ouaiiiiis...wow...je crois que plus jamais je vais me branler après ça.

Alors qu'on a un vide couilles aussi bandant ? Tu m'étonnes, ce serait dommage de gâcher.

Juzo se retira en rigolant légèrement, alors que Rinji de son côté n'en avait pas tout à fait fini. Continuant de doigter l'anus d'Hitomi d'une main, l'autre alla se saisir des cheveux de sa patronne pour les tirer vers l'arrière.

Sale chienne...grosse pute bordel ! Han merde ouais ! P-PUTAIN !!!!

Sur le point de jouir, Rinji se retira au dernier moment, tout en retirant précipitament le préservatif qu'il portait sur son sexe. Il força Hitomi-san à s'allonger dos sur le sol, et présenta son sexe face au visage de la femme en se branlant frénétiquement pendant quelques secondes, avant qu'il ne commence à jouir. Rinji ne visait pas spécifiquement sa bouche, optant plutôt pour une belle éjac' faciale, toujours dans son fantasme de soumettre sa patronne et de l'humilier.
La respiration lourde, il secoua sa bite pour s'assurer que les dernières gouttes se sperme tombent bien sur le beau visage d'Hitomi, avant qu'il ne se redresse à son tour, tout en regardant sa montre.

Il va être l'heure de la fin de réunion.

On ferait mieux de se rhabiller...

Ouais...dommage, j'aurais bien voulu continuer à la baiser moi.

Oh mais t'en fait pas, ce n'est qu'une question de temps. On va faire des heures supplémentaires ce soir avec vous, n'est-ce pas, Hitomi-san ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 12 mercredi 25 avril 2018, 13:39:02

Le point de non-retour était franchi. Indéniablement. Hitomi n’allait pas pouvoir oublier ce qui s’était passé, car elle savait que le trio le lui rappellerait. Elle s’était toujours doutée de leur attirance pour elle, précisément parce que certains regards étaient difficiles à ne pas voir. Ils avaient toujours été discrets, bien sûr, mais elle avait souvent vu ces derniers mater discrètement sa poitrine, surtout lors des réunions en pleine période caniculaire. C’était d’ailleurs pour ça qu’elle était parfois sévère avec eux, précisément parce qu’elle se doutait bien que, entre eux, ils devaient s’échanger quantité de plaisanteries grivoises ou de remarques déplacées. Ceci dit, elle n’aurait jamais cru qu’ils auraient été jusqu’à la prendre tous ensemble. Ce qui se passait ici défiait la logique la plus élémentaire, Hitomi se transformait en une véritable bête de sexe, une chienne se faisant copieusement baiser par ses amants.

Elle frémit alors quand Rinji glissa un doigt dans son fondement, et manqua de mordre la queue de Juzo sous la surprise. Ses dents raclèrent très brièvement son sexe, et elle gémit en se tortillant, les joues rouges. Impossible pour elle de dire quelque chose, car les mains de Juzo se serrèrent sur ses cheveux, et elle couina encore quand sa queue s’enfonça plus profondément en elle. Son nez s’enfonça contre les poils pubiens de l’homme, et elle frémit, fermant les yeux.

« Hnnnnnnnnnnnnn... !! »

Il l’étouffait presque, et, effectivement, Rinji avait raison. Son mari ne l’avait jamais sodomisé, et c’était quelque chose qui la tentait beaucoup, même si elle n’avait jamais osé aller jusqu’au bout. Elle avait acheté un plug anal, ce que les trois savaient sûrement. En effet, pour éviter que son mari ne découvre en faisant les comptes les achats très curieux d’Hitomi, celle-ci avait utilisé les fonds de son entreprise, tout en remboursant cette dernière par des virements équivalents sous la forme de placements et de versements. Rien d’illégal ou d’obscur, juste que le détail des factures faites ne correspondait pas à la réalité. Ainsi, elle commandait sous l’appellation d’un ensemble de fournitures de bureau ses sex toys. Un petit truchement qui aurait sans doute valu un contrôle fiscal, mais qui n’avait pas lésé l’entreprise. Mais elle ne doutait pas que, dans leur enquête, les trois compères avaient dû le voir.

Or, la sodomie avait toujours secrètement tenté la femme, ce qui fit que, quand elle sentit ce doigt en elle, une énorme voix hurla dans son esprit. Sis a bouche n’était pas prise, elle aurait supplié les trois de la baiser par là, de l’enculer à sec et de la faire hurler comme une folle. De quoi en perdre toute contenance, car il ne faisait alors aucun doute que le reste de l’entreprise aurait appris ce qui se tramait ici. Hitomi sentit alors Juzo jouir en elle, et soupira en sentant le foutre éclater dans sa gorge, puis dans sa bouche, avant qu’il ne se retire.

Rinji se détacha alors d’elle, et Hitomi resta agenouillée, avant de gémir quand une main tira sur ses cheveux. Elle s’était attendue à le sentir jouir en elle, mais il se retint, et la renversa.

« Haaaa... N-Nooon... »

Toute confuse, Hitomi avait à peine pris conscience qu’elle avait joui en sentant le doigt s’enfoncer dans son cul. Elle était toutefois toujours aussi chaude, et, couchée sur le dos, vit l’homme se masturber devant elle, sa queue grosse. Elle entrouvrit les lèvres, aspira l’air, mais, avant de pouvoir dire quoi que ce soit, sentit brusquement Rinji se relâcher sur elle. Elel ferma les yeux, en sentant le foutre maculer son visage, débordant sur le haut de son torse, l’homme jouissant généreusement, ses couilles remuant de haut en bas, tandis que le sperme tombait sur le visage de la femme.

Rinji se releva ensuite, la queue ayant bien dégrossi, et annonça la fin de la réunion. À terre, Hitomi aventura ses doigts sur ses joues, frissonnant en sentant les marques de sperme. Elle observa silencieusement ses doigts, et, sans savoir si on les observait, les lécha.

*Il m’a joui dessus, il m’a insulté comme si je n’étais rien...*

Elle aurait dû s’en sentir offusquée, mais, au contraire, elle se sentait surtout trembler, avec une démangeaison à hauteur de ses cuisses, et, plus particulièrement, de ses fesses. Qu’était-elle supposée dire ? Elle tourna la tête quand ils annoncèrent qu’ils la verraient ce soir, et ne dit rien sur le coup. Elle se releva au contraire, laissant des gouttes de sperme sur le sol.

« Ce soir, oui, il va falloir qu’on parle, dit-elle en leur tournant le dos. Je veux vous voir tous les trois à 18 heures. Maintenant, sortez, je vais ranger. »


Plus tard
18h00


La secrétaire d’Hitomi avait quitté son poste à 17h55, ne laissant plus personne d’autre dans la boîte qu’Hitomi ou les trois informaticiens. Il n’y avait là pas de quoi la surprendre, ils finissaient souvent un quart d’heure après, le temps de finir une dernière maintenance. Mais, cette fois, il n’y avait aucune maintenance. La journée s’était poursuivie sans qu’Hitomi ne leur envoie quoi que ce soit, et sans que personne ne lui fasse la moindre remarque. Autrement dit, presque une journée normale.

Hitomi était sortie de la salle de réunion dix minutes après le trio, et avait passé quelques minutes aux toilettes. Elle s’était rincée la bouche, les doigts, le visage... En chemin, personne n’avait rien remarqué, puisqu’elle avait passé dix minutes à nettoyer son visage avec ses doigts, et à lécher le sperme présent dessus. Pouvaient-ils savoir que c’était là l’un des autres fantasmes d’Hitomi ? Elle adorait qu’on jouisse sur elle, et avalait souvent du sperme. Elle avait même parfois espéré que son mari se montre plus pervers, et n’aille à lui uriner dessus... Elle s’était donc rendue aux toilettes, et, après avoir nettoyé son visage, s’était masturbée frénétiquement.

Elle avait passé le reste de la journée dans un état second, commençant par chercher d’éventuelles caméras, et s’était ensuite changée.

Maintenant que l’heure était venue, elle entendit rapidement le trio entrer dans sa salle d’attente, et se déplaça alors. Même sa secrétaire ne l’avait pas vu en sortant, sa porte étant fermée, et, quand elle l’ouvrit, le trio allait pouvoir constater quelque chose d’inattendu. Comme quoi, leur séance crapuleuse avait sans doute brisé quelque chose chez Hitomi, car, plutôt que de nier ce qu’elle ressentait, elle avait enfilé une paire de collants noirs brillants et moulants en latex, et, surtout, un superbe harnais noir en latex, moulant ses formes à la perfection.

« Vous êtes enfin là, les garçons... »

Ils avaient sans doute déjà pu la voir dans cette tenue, car il lui était arrivé de l’enfiler les week-ends, et elle n’hésitait alors pas à se masturber avec un énorme vibromasseur...

« Vous reconnaissez cette tenue ? J’étais sûre que vous me demanderiez de la mettre, alors... »

Elle le dit tout en rougissant furieusement.

*Je ne comprends pas ce qui m’arrive, mais... Ce qui est sûr, c’est qu’ils m’excitent énormément.*

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 13 jeudi 26 avril 2018, 13:03:58

Les heures qui suivirent leur départ de la salle de réunion furent un calvaire pour les trois jeunes hommes. Si il n'avaient pas été pressés par le temps, et par la nécessité de ne pas se faire voir, nul doute qu'ils auraient volontiers continués à faire l'amour avec leur patronne. Mais ils étaient aussi naturellement un peu inquiets, surtout Juzo, Natsuro un peu moins, tandis que Rinji lui demeurait le plus confiant de tous. Il y avait toujours le doute qu'Hitomi-san décide malgré tout de porter plainte contre eux, et de les virer. Une action qui lui vaudrait de foutre sa vie en l'air, mais on ne pouvait être sûr de rien, surtout qu'elle avait dit, avant qu'ils ne quittent la salle, qu'ils allaient parler.
Ils étaient de toutes façons allés trop loin pour faire machine arrière, mais surtout ils avaient désormais une vidéo toute récente de leurs ébats avec Hitomi...ils avaient donc, au cas où, encore un certain nombre de cartes à jouer. Les minutes furent semblables à des heures durant le reste de cet après-midi, ce n'était pourtant pas le travail qui manquait, mais aucun d'entre eux ne pouvait s'empêcher de penser à ce soir, où à ce qu'ils venaient de faire dans la salle de réunion. Mais finalement, l'heure arriva où la secrétaire d'Hitomi quitta les bureaux, en leur souhaitant une bonne soirée. Quand elle fut sortie, les trois jeunes hommes filèrent alors en direction du bureau d'Hitomi-san...qui les acceuillit en ouvrant la porter et...

Wow !

Juzo s'était exprimé verbalement, mais Atsuro et Rinji se trouvèrent estomaqués...si ils s'étaient attendus à ça ! Leur patronne les acceuillait dans une tenue terriblement sexy, en latex...une tenue qu'ils avaient déjà eu l'occasion de voir, en visionnant certaines des vidéos qu'ils avaient pu obtenir sur elle. Là, c'était la tenue qu'elle portait quand elle décidait de rester une partie du week-end au bureau, mais pas pour travailler non...pour avoir une totale intimité, être seule, afin de pouvoir s'enfoncer de gros godes vibrants dans la chatte, et pouvoir gémir devant un porno avec le son à fond sans risque de se faire surprendre. Effectivement, ses trois employés auraient fini tôt ou tard par lui demander de mettre cette tenue, car elle était une vraie bombe sexuelle dedans...mais clairement, jamais ils ne se seraient attendus à ce qu'elle le fasse d'elle même, aussi rapidement.
Rinji laissa bien vite la surprise retomber pour afficher un large sourire, très satisfait.

Ouaip...c'est ce que j'appellerais une très bonne initiative, Hitomi-san.

Le stress qu'ils pouvaient avoir retomba d'un coup, et les trois jeunes hommes se pressèrent de rentrer dans le bureau de leur patronne et de se presser contre elle. Deux sur ses flancs, un de face, ils se collèrent contre son corps moulé dans cette tenue de latex, et posèrent leurs mains dessus pour la palper, et la caresser. Rinji était celui qui avait prit place sur le devant d'Hitomi-san, et le jeune homme était allé goulument l'embrasser sur les lèvres, tout en frottant son bassin contre celui de la femme. Natsuro et Juzo, étaient quand à eux respectivement à la droite et à la gauche de leur patronne. Chacun avait posé une main sur l'une des fesses d'Hitomi, l'autre caressait un peu plus généralement son corps.

Vous êtes encore plus bonne que sur les vidéos qu'on a pu voir Hitomi-san, de quoi faire bander même un mort.

Ouais...et cette fois on a tout notre temps. On a eu un mal de chien à travailler cet après-midi, rien qu'à repenser à la façon dont vous nous avez laissé vous baiser.

Rinji cessa alors de partager un long baiser légèrement baveux avec sa patronne.

Ce soir, on va vous baiser par tous les trous Hitomi-san...

Les trois jeunes hommes s'écartèrent alors légèrement, et entreprirent de concert de se foutre complètement à poil, en jetant négligement leurs vêtements sur le sol. En l'espace de moins d'une minute, ce fut fait. Juzo fut le premier, et il commença à se placer dans le dos de la femme.

Bombez un peu votre cul boss, qu'on le voie moulé comme il le faut dans cette tenue.

De fait, ce fut quelque chose qui intéressa de près les deux autres comparses, qui ne manquèrent pas de venir rejoindre leur camarade pour profiter de la vue.

Ouais c'est ça, remuez bien votre boule, votre beau cul encore vierge...et je vous assure, ça sera plus le cas à l'issue de cette soirée.

Oh que oui, c'était une certitude, Hitomi-san allait de faire prendre par le cul. Pas seulement, car ils avaient apportés plusieurs boites pleines de préservatifs, mais le fait qu'elle n'aie aucune expérience de sodomie, forcément, ça allait diriger les jeunes hommes vers ce cul à conquérir. Pendant qu'Hitomi-san le dandinait sous leurs yeux, les trois comparses ne restèrent pas sans rien faire, et y allaient tous avec une mains pour caresser cette zone hautement érogène chez la femme. Rinji entre autres, qui avait un doigté très expérimenté, filait aussi vers l'intimité de la femme, moulée elle aussi par cette tenue en latex.

Ce cul...comment votre tanche de mari n'a jamais pu vouloir vous enculer ?

Bah ! Moi ça m'étonne même pas, vu comment vous êtes assoiffée de bites, il doit tout simplement pas arriver à vous satisfaire même quand il est là hein ?

P'tain un tel corps mal baisé, c'est du gâchis, c'est un crime même !

Ils rigolaient grassement, très excités de voir leur délicieuse patronne s'offrir à eux comme ça, en bombant et en dandinant son cul devant eux, sans aucune gêne. De fait il y avait une raison pour laquelle ils n'utilisaient qu'une de leurs mains à chaque fois pour caresser le corps d'Hitomi, ils utilisaient l'autre pour se branler frénétiquement, et quand ils se sentirent tous les trois au bord de la rupture, car il tentaient de se sychroniser au maximum...

A genoux, vite !

Hitomi se retrouva vite face à son visage avec les trois jeunes hommes qui se branlaient comme des fous face à elle. Rinji resta fidèle à lui même, en lui jouissant directement sur le visage, et Natsuro opta pour la même technique. De fait, ils se partagèrent chacun une moitié du visage de cette grosse chienne. Juzo de son côté, visa directement dans le décolleté plongeant de sa poitrine, jouissant sur ses seins. Mais surtout, Hitomi allait vite se rendre compte que cette fois, ils n'avaient pas débandé.

On a prit quelques petits stimulants pour ce soir...on s'est dit que comme vous alliez avoir une grosse faim, il fallait qu'on assure.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 14 jeudi 26 avril 2018, 13:57:51

Ils savaient ce que cette tenue signifiait. Chaque fois qu’Hitomi l’enfilait, elle regardait des vidéos pornos pendant plusieurs heures, généralement le Samedi matin. C’était une sorte de rituel pour évacuer sa frustration, et là, le bouchon de normalité qu’elle s’imposait habituellement avait sauté. La créature dormant sous la couche de superficialité, sous le vernis, venait d’exploser au grand jour. Face à elle, rien à faire, si ce n’est se laisser aller, et c’est précisément ce que les trois compères comptaient faire. Hitomi resta silencieuse en les laissant entrer, et répondit au baiser de Rinji, tandis que les deux autres se pressèrent sur ses flancs, recommençant à la peloter, faisant doucement et sensuellement crisser la combinaison de latex, arrachant à Hitomi moult frissons et soupirs. Ses mains se relevèrent lentement, et s’appuyèrent sur le torse de Rinji. Le beau rouquin était indéniablement le tombeur de la bande, et il embrassait plutôt bien. Elle pouvait surtout sentir contre elle leurs belles érections, et avait même le sentiment que leurs queues semblaient... Encore plus grosses, encore plus épaisses, que tout à l’heure. Mais peut-être se trompait-elle ? Peut-être était-ce juste une fausse impression ? En tout cas, Rinji prolongea le baiser, mordillant ses lèvres, la faisant sursauter.

« Hmmm... »

Ses mains se déplacèrent lentement, redescendant le long du torse de l’homme, se crispant sur sa chemise, tandis qu’elle se mit à remuer en sentant des mains explorer ses fesses. Elle sentait les mains serrer son cul, les autres remontant le long de son ventre, pour caresser encore ses seins, les pinçant, ou la griffant juste, faisant couiner la combinaison. Hitomi en rougissait furieusement, et sentit la chaleur revenir avec intensité entre ses cuisses. Encore une fois, son corps explosait sur place, venant la trahir sans aucune pitié. Que pouvait-elle faire contre ça ? Elle soupirait de plaisir, rougissant aux propos indécents des hommes. Loin de s’être assagis, ils avaient au contraire envie de jouer avec elle, lui empêchant d’en placer une... Ce qui était d’autant plus difficile qu’elle se ressentit rapidement dans la même situation que tout à l’heure, avec son corps en chaleur, ses membres qui tremblaient, et tout son être qui en demandait plus. Une boule se mit à croître dans son ventre, descendant progressivement vers le bas-ventre.

Rinji rompit alors son baiser, et ils donnèrent leurs ordres. Hitomi, tout en les regardant, se racla alors la gorge, et se retourna. Elle s’appuya sur le rebord de son bureau, écarta les jambes, et creusa son corps vers l’avant.  En s’appuyant sur le bureau, elle n’avait aucune difficulté à se pencher, et tourna légèrement la tête sur le côté, comme pour apercevoir ses amants ensorcelés. Là encore, elle aurait dû se sentir offusquée qu’on la voie comme une sorte de morceau de viande, mais, en réalité, elle se sentait surtout... Excitée. Elle aimait l’idée de les ensorceler, que son corps leur fasse tourner la tête. Pour elle qui avait dépassé la frontière de la trentième année, voir que son corps séduisait encore de jeunes gens, c’était tout à fait agréable.

Souriant donc, elle les alluma en remuant indécemment son postérieur, et reprit, d’une petite voix se voulant mutine :

« Vous aimez ça, hein, petits pervers ? Que votre patronne remue son cul sous votre nez ? »

Les paroles semblaient venir presque naturellement. Les digues ayant sauté, plus rien ne retenait la jeune femme, qui était toutefois un peu gênée qu’on parle de son mari... Mais elle garda ça pour elle-même, et les observa se rapprocher. Les trois étaient nus, exhibant de superbes érections, et Hitomi gémit en se mordillant les lèvres, sentant encore leurs mains se poser sur son corps, plus particulièrement son bassin, la faisant frémir.

« Hmmm... Haaaaa... »

Obtempérant, elle finit à quatre pattes, ou, plutôt, agenouillée sur le sol, en position de soumise, les jambes repliées sous son corps relevé. Elle les sentit alors jouir sur son corps, et soupira en sentant son visage, et ses seins, se recouvrir ensuite de ce délicieux sperme. Mais, cette fois, plus question de se nettoyer. En revanche, sous leurs yeux, Hitomi s’amusa à promener deux doigts sur ses joues, et suça ces derniers, avalant ce sperme dans des bruits spongieux, tout en constatant qu’ils avaient juté particulièrement fort... Ce qu’ils expliquèrent par l’usage de drogues.

Hitomi sourit. Elle avait entendu parler de ce genre de pilules à Seikusu, et sentit encore l’excitation croître en elle. Elle reprit donc, bien décidée à les narguer :

« Puisque vous voulez mettre la barre haut... Je n’ai toujours pas apprécié ce que vous m’avez fait, les garçons. Votre chantage, menacer ma famille... »

Que préparait-elle ? Ils en eurent très rapidement la réponse :

« Vous avez intérêt à assurer, les garçons. Je veux que vous me baisiez jusqu’à l’aube, et, dans ces conditions, non seulement je vous conserverai dans le personnel, mais... »

Elle se pinça les lèvres, ferma les yeux, et rajouta finalement :

« ...Je ferais de vous trois mes amants réguliers. »


Répondre
Tags :