Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Kidnapping policier [PV]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Kidnapping policier [PV]

dimanche 25 mars 2018, 22:29:01

Layla Kavannagh était une jeune officière de police. Elle avait brillamment obtenu son diplôme à l’école de police de Tekhos, et avait été affectée à la capitale. Comme toute jeune recrue, Layla avait été affectée à un service pue important, le temps de pouvoir se faire la main, et, ensuite, avoir des postes plus importants. En l’occurrence, elle avait été affectée à une unité de patrouille individuelle. Un poste peu difficile, qui consistait à circuler dans les quartiers huppés de Tekhos, et vérifier avec sons canner portable les véhicules. Mine de rien, la technologie tekhane était très évoluée, et sa principale tâche était surtout de lutter contre les stationnements illégaux, c’est-à-dire les usagers n’ayant pas payé leur place de stationnement. Pour ça, elle disposait, dans son véhicule, d’une sorte de radar émettant des ondes, scannant ainsi les véhicules. Chaque utilisateur, pour payer sa place, pouvait, soit utiliser un ordinateur de bord intégré à la voiture, soit un parcmètre, disposant alors d’une carte magnétique abritant une puce qu’il posait bien en évidence dans la voiture. Le scanner la repérait alors, et, quand il ne la repérait pas, Layla s’arrêtait, et vérifiait le véhicule.

C’était une activité routinière, assez harassante, mais que Layla menait avec fierté. C’était un moyen pour elle de se faire à la ville, de commencer à rédiger des procès-verbaux, à procéder à des vérifications techniques et à se familiariser avec la technologie policière. Layla, du reste, était une experte du contrôle au faciès. Chaque fois qu’elle voyait des mâles, elle s’arrêtait pour leur faire une fouille intégrale, les insultait, et n’hésitait pas à les électrifier avec son taser. Layla était une Tekhane pure souche, une femme lesbienne qui méprisait les hommes au plus haut point. Elle était toujours ulcérée quand elle voyait des masculinistes se battre pour les droits des hommes, n’hésitant pas à les enfermer pour trouble à l’ordre public.

*Je ne comprends pas ce que ces salopes hétérosexuelles ont dans le crâne...*

Layla avait obtenu son poste en couchant avec sa formatrice. Celle-ci l’avait prise en levrette dans son bureau, et Layla avait adoré ça. La seule idée de coucher avec un mâle avait de quoi lui donner envie de vomir ! Tout en continuant à circuler, elle s’arrêta brusquement quand son scanner tiqua en approchant d’une belle voiture de sport. Ce n’était pas une place de stationnement impayé, mais un signalement différent. La femme arrêta sa voiture de patrouille, et consulta son fichier. Il y a quelques jours, on avait signalé le vol d’une voiture de sport correspondant à celle qui se trouvait là. Le voleur avait changé la couleur de la voiture et les places d’immatriculation, mais, contrairement à ce que les voleurs pensaient, il y avait bien d’autres moyens d’identifier une voiture, comme le numéro de série du moteur, l’identifiant de la carrosserie... Ce qui était d’autant plus vrai pour une voiture de luxe comme celle-ci.

*Hum... Layla, c’est la première grosse affaire de ta vie !*

Toute emballée, elle sortit de sa voiture, et s’approcha de la voiture de sport. Difficile de savoir à qui celle-ci appartenait, mais elle tenait avec elle une sorte de tableur électronique, qu’elle comptait utiliser pour signaler la véhicule au central, et obtenir que celle-ci soit mise sous scellés, et qu’on puisse retrouver le voleur. Portant un uniforme bleu très léger, avec une minijupe mettant en valeur ses longues jambes,    Layla tourna autour de la voiture, sans savoir que son véritable propriétaire n’était pas très éloigné d’elle...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 1 dimanche 25 mars 2018, 23:24:41

Tekhos était une véritable fabrique à extrémistes, quels que puissent être leurs bords. Vladimir était l'un d'entre eux, l'un de ces parias mis au ban de la société après avoir pourtant tenté de la servir. Une vie tragique en somme, il avait grandi dans les ghettos masculins de Tekhos, sans jamais vraiment connaître autre chose que la violence durant toute son enfance et son adolescence. Arrêté pour de multiples crimes, principalement des vols, Vlad avait fini par écoper de tellement de peines et de faits d'accusation que la seule option pour lui, afin d'éviter la peine de mort, avait été de s'engager dans les corps de Marines pour aller poutrer la gueule à des Formiens.
Trois ans de service qu'il devait, ses chances de survie étaient quasi inexistantes...mais pourtant il s'était montré tenace, et surtout plus intelligent que la plupart des autres pauvres âmes envoyées comme lui à l'abattoir. Il avait fini même par se faire un nom, en quelque sorte, autant que ce qu'un fantassin en armure assistée pouvait espérer obtenir comme reconnaissance dans une société ultra matriarcale. Mais sa chance n'avait pas durée, et il avait fini par prendre un vilain coup lors d'un énième affrontement avec les Formiens. Une saloperie qui était parvenue à l'approcher au corps à corps, et dont les griffes et les crocs avaient percé son armure, le dévisageant et le blessant profondément. Seule l'intervention de plusieurs de ses camarades de tranchées lui avait permis de survivre, en étant emmené à une infirmerie, où il avait reçu des soins...sommaires. Vlad avait survécu, mais il ne pouvait prétendre à de la chirurgie esthétique en tant qu'homme, il n'en avait de toutes façons pas les moyens.

C'est donc défiguré et portant des prothèses que l'homme était revenu à la vie civile, et loin de le dissuader de reprendre ses activités criminelles, il n'en était ressorti que plus haineux encore à l'encontre de ces poufiasses de sénatrices, et toutes les putes qui pérénisaient ce système. Son service au sein des Marines n'avait toutefois pas été complètement en vain, car en revenant ainsi, couvert de cicatrices face aux Formiens, Vlad avait dès son retour commencé à en imposer face aux autres petites loques qui tenaient son quartier de naissance...surtout qu'il n'était pas revenu seul.
Dans les tranchées, il s'était fait un certain nombre d'amis, des pourritures comme lui bien entendu, mais des pourritures dont il avait gardé le cul en vie, et ils en avaient fait de même pour lui. Quand eux aussi avaient épongés leur dette envers la société, Vlad leur avait alors proposé de s'associer, en prenant le rôle de leader, d'un gang pour se faire plein de fric et contrôler une partie du marché du crime de Tekhos. La prise de pouvoir fût aussi violente qu'expéditive, Vlad et ses camarades étaient ressortis de ces années dans les tranchées comme de vrais soldats, dotés d'une relative immunité à la peur après avoir affronté tant d'horreurs. Il avait pris le contrôle de son quartier de naissance, et depuis là, d'autres avaient suivi.

En l'espace d'une poignée de mois, Vladimir avait réussi à se doter d'une place confortable dans le milieu underground de Tekhos. Drogues, prostitution, armes, vols, les opportunités étaient nombreuses et Vlad trempait dans un peu de tout, secondé par une belle bande de mercenaires, qui se faisaient eux aussi un paquet de fric à chaque mois, en plus de pouvoir baiser autant de putes qu'ils le souhaitaient. La prostitution, ça, c'était en effet le domaine de prédiléction de Vladimir, qui possédait un bon nombre de bordels miteux, où des jeunes femmes, le plus souvent enlevées, se faisaient tringler et droguer. Vlad disait souvent, de façon très cynique, qu'il luttait ainsi contre la détresse sexuelle de ses semblables, et c'était aussi une bonne façon pour lui de se défouler sur ces putains qu'il haissait tant.
Mais aujourd'hui, Vlad ne se serait décidément pas attendu à toucher le jackpot des salopes, et pour pas un rond.

Son influence commençait à s'étendre dans des quartiers un peu plus uppés de la Mégalopole, aussi était-il en visite pour l'achat d'un nouveau bâtiment pour commencer à investir dans des bordels un peu plus classes que les endroits miteux qu'il avait, mais qui tournaient pourtant très bien. Un vrai homme d'affaires, qui cherchait à étendre ses activités. Il était pour ça accompagné de Daren, un de ses fidèles lieutenants, et tandis que Vlad achevait de visiter l'endroit...Daren lui, avait vu la jeune flic tourner autour de la voiture de son boss.

Vlad, je crois qu'on a un problème.

Vladimir fronça les sourcils en grommelant, avant de s'approcher à son tour de la fenêtre pour voir...cette salope de compétition tourner autour de sa toute nouvelle caisse. Une voiture volée bien sûr, qui avait été maquillée, sauf qu'à voir cette représentante des forces de l'ordre agir ainsi, il était évident que le travail n'avait pas été fait correctement.

Le numéro de série...putain je suis sûr que ces connards ont cru qu'ils allaient me la faire à l'envers.

Ben ça a l'air d'être le cas, c'est la merde, cette conne va remonter jusqu'à nous si on la laisse prévenir ses collègues.

Vlad acquiessa...avant de sourire. Cette petite tourterelle était tellement absorbée par sa tâche qu'elle n'était même pas attentive à ce qui l'entourait, ce qui lui donna une idée.

Viens...

L'homme ressortit accompagné de son lieutenant. Marchant de façon casuelle, ils regardèrent aux alentours. Vladimir n'avait pas choisi cet endroit au hasard, car cette ruelle, les plusieurs adjacentes, n'étaient pas pourvues de systèmes de surveillance élaborés, au contraire d'autres quartiers, plus loin...l'homme après tout évitait encore les zones trop "riches" où il risquait d'attirer l'attention. Personne, pas de témoins...Daren commença à comprendre ce que son boss avait derrière la tête, quand il le vit fourrer la main dans sa poche pour se saisir...d'un taser.
Vladimir parvint à surprendre la jeune femme en se faufilant dans son dos, et en n'entrant jamais dans son champ de vision, tant elle était absorbée par sa tâche...et il posa le bout de son taser sur la nuque de sa victime, avant de rapidement lui administrer une forte décharge. L'effet fût immédiat, la jeune femme perdit connaissance, mais surtout, en visant cette zone, il avait également grillé la puce épidermique que cette fliquette devait avoir, pour permettre une géolocalisation en temps réel. Elle tomba donc dans les bras de Vladimir, et pendant que Daren récupérait sa tablette et son arme de service, l'homme fourra sans ménagement le corps inerte de la femme dans le coffre de sa caisse.

Putain on a eu chaud, j'ai pu arrêter l'envoi de données au commissariat.

Parfait. Assure toi que la boîte noire de sa voiture ne donne rien, je me charge d'amener notre nouvelle recrue dans son nouveau chez-elle...

Plusieurs heures plus tard, quand Layla se réveillerait...se serait pour se trouver dans une cave miteuse, avec de faibles lumières. Elle serait solidement attachée à une chaise, les poignets dans le dos, les chevilles attachées aux pieds de la chaise afin de garder ses cuisses légèrement écartées. Vlad lui se trouverait devant elle, torse nu, en train de fumer un cigare.

Salut petite pute.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 2 lundi 26 mars 2018, 00:22:37

Toute concentrée, Layla était encore une bleue, inexpérimentée, fraîchement sortie de l’école. Elle ne réalisa donc pas à temps qu’elle n’était pas passée inaperçue, et, quand elle entendit des bruits dans son dos, elle se retourna bien trop lentement. En fait, elle eut à peine le temps de se relever qu’elle sentit quelque chose frapper sa nuque.

« Hu, qu... »

Puis elle tomba dans les pommes, un voile noir s’abattant presque instantanément sur ses yeux.



« Hmmm... »

Layla émergea progressivement du sommeil violent dans lequel on l’avait plongé. Elle cligna des yeux en voyant le noir, et constata rapidement qu’elle était attachée. Ses bras étaient ligotés dans son dos, serrés au dossier d’une chaise, et, tandis qu’elle réalisait ça, elle observa aussi qu’elle portait toujours son léger uniforme, sans sa ceinture de sécurité, et qu’on avait attaché ses jambes aux pieds de la chaise. Layla ne pouvait pas trop le réaliser, mais la position de ses jambes était telle que sa minijupe était relevée, permettant de voir la fine culotte qu’elle portait dessous. Papillonnant des yeux, elle revint progressivement à elle, tout en prenant conscience de ce qui l’entourait.

Le cœur de la jeune policière manqua plusieurs battements en voyant un escogriffe devant elle, un homme torse nu au visage affreux, dans une pièce sombre et puante.

« Je... Qui êtes-vous ? Je suis officier de police, libérez-moi ou vous aurez des ennuis, sale mâle ! » s’exclama-t-elle brusquement.

Comment avait-il osé l’appeler ? Layla s’empourpra devant ce terme, ne pouvant imaginer qu’un mâle puisse la traiter ainsi. Elle était une femme tekhane, une policière ! Furieuse, elle commença à se débattre, mais constata rapidement que les liens étaient solides, bien trop solides pour qu’on puisse les retirer si facilement.

« Ce... C’est de l’insubordination ! Lâchez-moi tout de suite, vaurien, ou vous finirez à Eternum ! De quel droit osez-vous ? Des renforts sont en route ! »

Est-ce qu’elle commençait à paniquer ? Oui, bien sûr, mais il en faudrait plus pour lutter contre des années de conditionnement. Pour elle, il y avait un mâle qui l’avait pris en traître, et il allait payer ! Les policières disposaient en effet de puces de géolocalisation, et, si Layla ne donnait pas de nouvelles au bout d’un certain délai, des protocoles de recherche étaient mis en place, traçant le signal de sa puce. Elle estimait donc n’avoir rien à craindre. Layla ignorait alors que son ravisseur avait désactivé cette puce...

Nul doute qu’elle risquait de paniquer pour de bon en apprenant cela !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 3 lundi 26 mars 2018, 12:52:57

Capturer des donzelles pour les transformer en putes, c'était une des spécialités du gang de Vladimir. Tout le monde dans les quartiers environnants le savait, mais personne n'avait jusque là encore osé dénoncer quoi que ce soit à la police. Outre le fait que Vladimir et son gang inspiraient une sainte terreur qui évitait ce genre de désagréments, ces ghettos à forte majorité masculine n'avaient aussi pas envie de secourir ces jeunes femmes, qui étaient la plupart du temps des exemples mêmes de ces femmes qui haïssaient les hommes...il était donc tout naturel que cette haine soit réciproque. Il était toutefois rare que Vladimir et ses hommes parviennent à mettre la main sur du bon gibier, car ces dernières étaient forcément plus difficiles à capturer. Dès qu'on touchait à autre chose que des sans-abris ou des junkies, les femmes de Tekhos tendaient à se protéger de toute tentative de kidnapping par des moyens élaborés. Bien entendu, il existait toujours des moyens de passer par les mailles du filet, et Vladimir avait déjà pu grossir les rangs de ses prostituées avec des étudiantes ou des femmes seules.
Mais une flic...ça, c'était vraiment un poisson très rare, et que Vladimir aie pu mettre la main dessus tenait presque du miracle, tant les circonstances avaient été propices au bon moment. C'était dangereux bien entendu, mais une telle opportunité, il le savait, ne se présenterait pas deux fois, et il ne regrettait absolument pas son choix. Ses hommes s'étaient assurés que cette délicieuse trainée ne serait pas traçable par ses collègues, et dans une ville aussi gigantesque que Tekhos, sans géolocalisation, les chances pour la police de retrouver leur jeune recrue étaient quasi inexistantes.

Vlad était donc très satisfait. Oh bien sûr, le garagiste qui avait mal fait son boulot en maquillant sa voiture allait recevoir une petite visite de ses gros bras, car la situation avait bien failli être catastrophique, mais au final, Vlad récupérait là une femme qui était, justement, montée comme une voiture de course, et qui ne tarda finalement pas à se réveiller.
Le chef de gang ne pu s'empêcher de sourire quand la policière l'insulta de "sâle mâle". Si il avait du recevoir un crédit à chaque fois dans sa vie où il avait entendu cette insulte, Vlad n'aurait même jamais eu besoin de voler et de devenir un criminel. Loin toutefois de se sentir rabaissé, Vlad exultait même intérieurement, et il commençait à bander. Une flic, très sexy, à sa merci, c'était un fantasme partagé par un très grand nombre d'hommes dans les ghettos, où les contrôles policiers n'étaient généralement que des prétextes pour qu'elles puissent tabasser des hommes.
Autant dire que quand cette pute serait mise sur le marché, elle allait lui rapporter un paquet de fric...

Elle essaya de se débattre, commençant peu à peu à comprendre la situation dans laquelle elle se trouvait...sans toutefois encore vraiment comprendre à quel point elle se trouvait dans la merde. La flic semblait persuadée qu'elle allait s'en sortir, car ses collègues allaient la retrouver, et lui faire payer ce qu'il avait fait. Après tout, elle avait en théorie raison, la puce qu'elle possédait sous la peau lui avait été implantée justement pour contrer ce genre de situations, sauf que Vladimir n'était pas né de la dernière pluie.

Ha ! Des renforts ? Je ne crois pas non.

Vladimir s'approcha d'un pas lourd, métallique, trahissant le poids des implants qu'il avait du se faire greffer dans le corps pour guérir les lourdes blessures qu'il avait subi contre les Formiens. Il se présenta alors dans le dos de la femme, et lui prit sèchement les cheveux dans l'une de ses mains pour la forcer à baisser la tête, et de l'autre...il appuya contre sa nuque son taser.

Tu sais ce que c'est ça sale pute ? Un taser, du même genre que ceux que vous utilisez contre nous lors de vos contrôles d'identité. Assez puissant pour mettre KO n'importe qui, et même, si on sait où appuyer...griller des implants situés sous la peau.

Il laisserait alors quelques secondes à la jeune femme pour qu'elle fasse le lien avec le fait que Vlad l'avait tasée juste à ce niveau, juste à l'emplacement de sa puce.

Ton petit jouet est grillé, et ne t'inquiètes pas, on a fait en sorte, moi et mes gars, que la boite noire de ton véhicule soit inutilisable. Pas de vidéos, pas de témoins occulaires...personne ne viendra ici connasse, parce que personne ne sait où tu te trouve.

Et où se trouvait-elle ? Celà, Layla aurait bien du mal à pouvoir le deviner. La cave dans laquelle elle était prisonnière était sombre, dépourvue de fenêtres sur l'extérieur, etle seul accès était une solide porte en acier qui était pour le moment fermée. Hormis la chaise sur laquelle la flic était assise, il n'y avait d'autre qu'un très vieux matelas posé à même le sol...ce qui donnerait peut-être bien une idée du sort qui attendait la jeune femme. Si elle en doutait encore, Vladimir, après avoir remis son taser dans la poche de son pantalon, déboutonna rapidement le petit haut qu'elle portait, et se montra bien moins précautionneux avec son soutien-gorge, qu'il arracha vivement, avant de se repositionner face à elle, mais en maintenant quand même une distance de sécurité.

Tu essaye de jouer les dures, mais la vérité c'est que t'es rien de plus qu'une bleusaille qui a cru qu'elle pourrait grimper les échelons aussi facilement hein ? Tu aurais du savoir qu'il y a des choses dans lesquelles il ne vaut mieux pas fourrer son nez, espèce de conne. Mais t'en fait pas, je t'ai déjà trouvé une excellente opportunité de réorientation. Tu fais une piètre flic, mais tu fera une excellente pute.

Vladimir, tout en parlant, avait commencé à déboutonner son pantalon, et l'abaissa pour se retrouver à poil devant la jeune femme. Un corps marqué de cicatrices et de tatouages partout, mais surtout, la jeune femme se verrait face à une belle grosse verge. Vladimir, même en ayant finit par en avoir les moyens, avait toujours refusé de se faire refaire le visage, ou d'ôter ses cicatrices, en revanche il avait volontiers suivi des thérapies géniques pour booster sa virilité, qui était un instrument nécessaire lorsqu'il mattait les putes lui appartenant.

Tu peux oublier ton ancienne vie, désormais, tu ne sera rien de plus que mon vide-couilles, et une pute qui couchera avec tous ceux qui payeront pour te passer dessus.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 4 lundi 26 mars 2018, 13:30:26

Layla poussa un couinement quand le monstrueux mâle tira douloureusement sur ses cheveux, et lui présenta son taser, lui expliquant qu’il avait grillé sa puce de géolocalisation. À cette idée, les yeux de Layla s’écarquillèrent sous la frayeur pendant quelques secondes, et elle secoua ensuite la tête, refusant d’admettre cette situation :

« Tu... Tu mens, sale porc !! »

Mais est-ce que ça pouvait être vrai ? C’était théoriquement possible. Les puces de géolocalisation étaient assez fragiles, et les chocs électriques pouvaient faire griller les processeurs. Les scientifiques tekhanes travaillaient justement sur l’amélioration de ces modèles, mais, en l’état actuel des choses, il était en réalité fort possible que ce mâle ait pu désactiver sa puce. Cette hypothèse était horrifiante, et Layla se pinça les lèvres, essayant de se dire que les renforts arriveraient. S’en prendre à une policière, c’était très grave ! Pleine d’illusions, la jeune policière était convaincue que sa hiérarchie viendrait la sauver ! Mais, pour l’heure, elle était entre les mains de ce sale mâle, et, quand il commença à la déboutonner, elle grogna.

Layla se tortilla sur place, et sentit ensuite ses mains attraper son soutien-gorge noir. Des doigts crasseux, sales, puants, et elle grogna.

« Hey ! BAS-LES-PATTES ! Lâche-moi, sale porc dégoûtant ! »

Autant dire qu’il n’en fit rien, et Layla couina en se retrouvant seins nus, furieuse, comme si sa colère occultait la peur croissante qu’elle était en train de ressentir devant les attouchements multiples que l’homme faisait sur elle. L’escogriffe continua à se moquer, et se déplaça ensuite, et elle le vit se déshabiller intégralement. Layla organisa les yeux, tout en l’écoutant dire qu’il comptait... La prostituer. Son cœur manqua encore plusieurs battements, tandis qu’elle observait son corps. Il portait des implants ici et là. Elle en avait déjà vu lors de fouilles corporelles à l’occasion de stages dans les centres pénitentiaires. Les geôlières déshabillaient les prisonniers pour procéder à des fouilles intégrales, et exploraient leurs implants. Beaucoup de mâles se dotaient d’implants augmentant leur taux d’adrénaline, et avaient des conséquences sur leur virilité.

Layla sentit perdre ses couleurs, devenant plus pâle en voyant la verge monstrueuse de l’homme. Elle devinait les thérapies géniques qu’il avait suivi, les implants pour augmenter le taux sanguin et accroître la taille de son sexe. La policière déglutit lentement en entendant son programme, et secoua la tête :

« Non, je... JAMAIS ! Tu te prends pour qui, sale porc ? Va-t-en avec ta queue dégoûtante, ou je te ferais CASTRER avant de te tuer ! Tu t’en prends à une policière de Tekhos, sale chien ! »

Elle tenta encore de se débattre, refusant de voir ce mandrin monstrueux, ce corps massif et musclé.

*Ce n’est pas possible, c’est un cauchemar !*

Paniquée de plus en plus, elle refusait néanmoins de se laisser aller à la panique devant lui. Il était hors-de-question qu’il la voie comme ça !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 5 mardi 27 mars 2018, 12:30:25

Que cette pute l'insulte autant qu'elle le voulait, celà ne changerait rien à sa situation, ni à son nouvel avenir...encore que, Vladimir allait sans nul doute prendre un plaisir encore plus particulier non seulement à la baiser, mais aussi à la soumettre aux situations les plus humiliantes possibles. Si il y avait bien un truc qui le faisait bander au delà du raisonnable, c'était ça, dresser et briser ces petites salopes de Tekhannes suprémacistes, et les foutre dans les maisons closes qu'il possédait afin de les rabaisser au statut de chiennes et de sacs à foutre. La jeune femme était encore dans le déni, encore dans l'espoir que son statut de flic allait la sauver, et que ses collègues allaient venir en force...mais la réalité était toute autre.
Layla se trouvait dans une cave, située en plein milieu du ghetto masculin qui était considéré, et à juste titre, comme l'un des plus dangereux. Aucune femme n'osait y aller, et même les flics évitaient ce coin à moins de venir véritablement en force, mais les patrouilles isolées n'étaient jamais organisées dans cette partie de la ville, tant les risques étaient grands. Dans cette zone, la haine des policières était à son paroxysme et le crime organisé contrôllait presque tout...alors autant dire que quand Vladimir ferait passer le mot qu'une policière venait de grossir les rangs de ses putes...

*Mais pour l'instant, ce sera toi et moi ma jolie...*

Ouais, car clairement, aussi méprisable que cette salope puisse être, Vladimir reconnaissait volontiers qu'elle avait un corps bien charpenté, et d'autant plus mis en avant avec son uniforme, qui ressemblait d'avantage à une tenue de strip-teaseuse...une autre fonction que cette femme aurait sans doute à adopter sous l'égide de Vladimir. Commençant petit à petit à comprendre "pourquoi" elle était là, la femme commença aussi à essayer de se débattre plus fermement. C'était sans succès bien sûr, mais le fait qu'elle se mette à parler plus fort agaça l'homme. Ce qui était amusant au début devenait irritant.

Mais tu va FERMER TA GUEULE ?!?!

La main de Vladimir fusa, et heurta de plein fouet l'une des joues de la femme, dans une claque dont le bruit résonna légèrement dans la pièce sombre. Le coup fut fort, au point de faire basculer Layla sur le côté, avec sa chaise, et tomber à même le sol. Elle ne resta pas ainsi très longtemps, toutefois, car Vlad la prit rapidement par les cheveux pour la relever...avant de commencer à l'étrangler. L'un de ses bras était bourré d'implants cybernétiques, qui lui conféraient une force quasi herculéenne, et ses gros doigts se serrèrent sur la gorge de la jeune femme tandis qu'il approchait son visage du sien, avec un air terriblement mauvais.

Tu crois me faire peur ? Tu crois m'intimider ? J'ai combattu les Formiens pendant trois putain d'années salope, j'ai vu et vécu des choses que tu pourrais même pas imaginer dans les tranchées, à protéger ton petit cul et ceux de toutes les putains qui habitent cette ville. Je m'en branle que tu sois flic, tu pourrais même être une putain de sénatrice que ça ne changerait rien...tu es une pute, et tu es à moi...

Ce faisant, Vladimir relâcha son emprise sur sa gorge, juste pour lui donner une claque sur son autre joue. Moins forte que la précédente, elle avait juste pour but d'être humiliante. Il s'écarta alors un peu, allant chercher quelque chose que Layla ne pourrait pas distinguer dans le noir, avant de revenir. Dans l'une de ses mains, il portait un un écarteur buccal.

Allez, ouvre la bouche...

Naturellement, la policière n'obtempéra pas, mais ce n'était même pas un problème. Vladimir posa alors sa main cybernétisée  sur la mâchoire de la jeune femme, et usa de sa force augmentée pour la forcer à ouvrir quand même la bouche, et parvenir à passer l'écarteur entre ses jolies lèvres de suceuse. Une fois l'engin mis en place, il ne lui resta plus qu'à serrer les lanières en cuir à l'arrière de son crâne, puis il régla l'ouverture, afin de forcer la femme à ouvrir bien grand la bouche.

Là...c'est bien mieux. Allez espèce de chienne, tu as un lourd programme qui t'attends, alors on va commencer tout de suite.

Maintenant que la policière ne risquait plus de le mordre, Vladimir s'approcha d'elle. Il écarta ses jambes de façon à pouvoir se glisser entre la chaise où était assise la jeune femme, et surtout approcher sa trique phénoménale de son visage. Une fine goutte de liquide séminal perlait déjà au bout de sa queue, qu'il saisit d'une main, tout en saisissant la femme par les cheveux de l'autre. Il frotta le bout de son sexe contre le nez et les joues de la femme, répandant ainsi un peu de pré-sperme sur sa délicate peau, qui était très douce.

Oh ouais ma belle...tu va goûter à ma queue, tu va même t'étouffer dessus, je t'en donne ma parole. Un conseil, tâche de gérer ta respiration, parce qu'on est parti.

Et sans plus de cérémonie, Vladimir fourra sa grosse queue dans la bouche de la jeune femme. Il s'enfonça directement jusqu'à la garde, en posant ses deux mains sur le crâne de la policière pour la forcer à rester en place.

Oh putain...Hum ouais...mes gars vont adorer te baiser salope !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 6 mardi 27 mars 2018, 13:33:00

Layla était furieuse, et avait encore du mal, beaucoup de mal, à se dire qu’elle allait être la victime d’un mâle. Pour elle, ils étaient très clairement des êtres inférieurs, des faibles. Le simple fait qu’ils puissent observer les corps magnifiques et somptueux des Tekhanes était déjà, en soi, un grand exploit, un immense miracle ! Ils devraient se sentir ravis de pouvoir les admirer seulement ! Mais lui, là, ce gros monstre... Layla comptait le tuer, et lui faire subir de terribles traitements ! Les mâles comme ça, on les castrait, avant de les enfermer dans la Prison Eternum ! Layla se tut en l’entendant s’énerver, puis il se rapprocha rapidement, et lui administra une magistrale gifle.

« HAAAA !! »

Elle se retrouva à terre, et cligna des yeux, avant de se tortiller sur place.

« SALE PORC, TU VAS ME LE PAYER !! »

Sa poigne était terrible, mais le pire était encore à venir. Le sale chien la fit taire en l’étranglant, et Layla se mit à couiner sur place. Elle se tortilla lentement, et ouvrit grand la bouche, cherchant à aspirer de l’air. Des points noirs dansèrent devant ses yeux, et elle continua à se battre, tentant encore de tirer sur ses liens. La jeune femme sentit soudain la pression de l’homme se retirer, et aspira de grandes goulées d’air, avant de se recevoir une nouvelle gifle. Les joues rouges, elle serrait les dents, et sentit ensuite l’homme se rapprocher encore, tenant entre les mains un sinistre objet.

En voyant l’écarteur buccal, les yeux de Layla s’écarquillèrent sous la terreur.

« N-Nooon, haaaa... Dé... Dégage... !! »

Son ton était déjà moins fort qu’auparavant, après l’étranglement. Elle se tortilla encore vainement sur place. Son ravisseur était bien décidé, et appliqua sur ses lèvres l’objet redoutable, puis l’attacha à sa nuque. Layla couina sur place en se débattant, et papillonna des yeux.

« Mmmmmhhhhhmmm... !! Mmmmmmmmmmmmmhh... !! » couina-t-elle.

Malgré la fatigue, elle sentit la peur revenir en elle quand la queue massive de l’homme s’approcha de ses lèvres. Un membre tendu, répugnant, qui l’amena encore à couiner. Elle secoua la tête de droite à gauche, faisant cliqueter l’infernale machine que ce sale porc lui avait mis sur le visage... Mais Layla était malheureusement totalement impuissante, et elle couina en sentant la verge du mâle filer en elle. Et autant dire qu’il n’y alla pas par quatre chemins, puisqu’il enfonça sa queue d’un coup sec en elle.

« Gnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnhhh... !! »

Layla se tortilla sur place, et papillonna des yeux à plusieurs reprises. Même malgré tout l’effort du monde, la panique éclata en elle, surtout quand il parla de l’offrir à d’autres porcs répugnants. Gémissant et couinant, elle sentit ainsi des larmes couler le long de ses yeux, et tenta de mordre. Malheureusement, ses dents se heurtèrent au mors enfoncé dans ses lèvres, et elle ne put que continuer à gémir, tirant faiblement sur ses liens, essayant de le taper avec ses pieds.

« Hnnnnnnnnnnnnnnn... !! » gémissait-elle.

D’une manière ou d’une autre, elle trouverait un moyen de le lui faire payer.

*Je te ferais bouffer ta queue, sale porc !* se jura-t-elle intérieurement.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 7 mardi 27 mars 2018, 23:27:15

Peu à peu, Vladimir allait mater cette sale peste. Elle jouait encore aux dures pour le moment, car elle avait toujours été élevée comme la plupart des Tekhannes, à se croire invariablement supérieures, mais les semaines à venir allaient lui montrer à quel point elle avait tort...à quel point même une petite précieuse comme elle pouvait tomber bas. La première étape, ça allait être de la violer. Oh Vladimir aurait presque pu la droguer, mais en réalité, l'homme adorait l'entendre couiner, et elle se mettait même à pleurer alors qu'il commençait à enfoncer sa verge, bien dure, dans sa bouche de salope. Si Layla ne parvint pas à fermer la bouche pour le mordre, Vladimir sentit toutefois cette tentative d'exercer une pression. Ainsi, tandis qu'il la maintenait sèchement par les cheveux, les empoignant et les tirant avec ses gros doigts, il utilisa l'autre pour lui mettre une autre petite claque. Clairement, elle n'était pas destinée à lui faire trop mal, mais d'avantage à continuer à l'humilier.

T'essayes de mordre salope ? Te fatigue pas, rien maintenant ne va m'empêcher de baiser ta belle petite bouche de suceuse...

Et, joignant les paroles aux actes, Vladimir poussa la tête de la jeune femme dans sa direction d'un mouvement sec. Il sentit son sexe glisser le long de la gorge de la jeune femme, et il l'enfonça jusqu'à la garde.

Oooooh ouaiiiis...là c'est bien hum...avec une grosse bite dans la bouche, tu deviens tout de suite plus supportable.

Vladimir allait rester ainsi un moment sans bouger, à la faire littéralement suffoquer sur sa bite qui bloquait toute entrée d'air pour elle. Il en profitait aussi pour se frotter un peu contre elle, surtout afin de fourrer son épaisse touffe de poils pubiens contre le nez de la jeune femme, et de sentir ses couilles frotter contre son menton. Dans sa tentative instinctive et désespérée de trouver de l'air en voulant à tout prix en aspirer, la gorge de la jeune femme massait ainsi d'une certaine façon le sexe de l'homme qui était planté en elle, et il profita de la sensation pendant de longues secondes, avant d'enfin se décider à se retirer pour la laisser respirer.
Bien sûr, ce n'était qu'un bref répit, car Vlad retourna rapidement à l'assaut, et entreprit de lui baiser la bouche comme il lui baiserait, un peu plus tard, sa chatte. Il se déléctait de l'entendre s'étouffer, couiner et gémir, car nul doute que subir une telle queue devait être une expérience très intense. Mais au delà du plaisir évident qu'avait Vladimir à la pénétrer ainsi, il montrait également à cette pute prétentieuse que son statut de flic ne signifiait plus rien ici, et que ça ne l'empêcherait certainement pas de se faire violer.

Grmmmm...t'es bonne salope, je dois bien le reconnaître. T'inquiètes pas va, toi et moi...on va baiser comme des bêtes. Il faut bien que je te forme à être une pute, surtout que tu va avoir un grand succès...t'imagines pas le nombre de gars ici qui seraient prêts à payer pour se taper une flic, surtout une aussi bonne. Imagine, je suis certain qu'il y aura des files d'attentes de dizaines de mecs en rut, qui s'enchaîneront pour te fourrer. Hummmm...Oh ouais salope...allez prépare toi, tu va goûter à mon foutre !

En effet, mine de rien, Vlad approchait de l'orgasme. Il baisait la bouche de cette pute depuis une bonne poignée de minutes, et de façon assez frénétique, jusqu'à ce qu'il sente la sauce monter. Une dernière fois, il s'enfonça jusqu'à la garde dans la bouche de la flic, et se déchargea en elle.

Aaaaah...Hmmmm ouaiiiiiiis...avale tout salope...

Avait-elle seulement le choix ? Vlad jouissait directement dans sa gorge de belles quantités d'un foutre épais, et se vida allègrement en elle avant d'enfin se retirer, sa bite couverte de la salive de la jeune femme. Il se décala alors un peu en arrière, avant d'exercer une pression sur le corps de la femme, pour la faire tomber à la renverse. Toujours liée à la chaise, elle se trouvait ainsi dans une position particulièrement gênante, car sa mini-jupe remontait ainsi pleinement, et on pouvait sans aucune difficultés voir sa culotte, qui ne fit d'ailleurs pas long feu. Comme son soutien-gorge, Vladimir l'arracha de sa poigne ferme, révélant ainsi une chatte proprement épilée, tandis qu'il se positionnait au dessus d'elle.
Sans même attendre quoi que ce soit d'autre, Vladimir fourra alors deux de ses gros doigts dans la chatte de la jeune femme, et commença à la doigter. Il s'y prenait comme une brute, et n'avait même pas pris la peine de lubrifier un peu ses doigts, mais il se foutait pour le moment que la femme prenne du plaisir. De son autre main, il saisit son sexe pour l'orienter en direction du visage de la femme...et entreprit de lui pisser dessus.

Tu m'a traité de chien tout à l'heure...alors je suppose que ça fait de toi ma chienne, et y'a qu'une seule façon dans ce cas, pour te marquer comme m'appartenant, petite conne...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 8 mercredi 28 mars 2018, 07:04:58

Layla n’en menait vraiment pas large, et c’était là peu dire. Les liens étaient solides, et, si elle pleurait, c’était surtout de rage et de frustration. En ce moment, elle haïssait tout simplement ce type, ce sale porc au visage affreux qui lui bourrait la gueule sans ménagement. Elle sentait sa queue s’enfoncer dans sa bouche, longuement, lourdement, et surtout énergiquement. Vladimir lui arrachait les cheveux en se crispant à elle, et sa queue la pilonnait, faisant remuer sa tête d’avant en arrière, et arrachant à Layla des couinements et de longs gémissements. Rien à faire, elle était totalement prisonnière des lubies et des fantasmes de ce monstre, ce sale chien qui lui bourrait méchamment la gueule. Les joues de Layla viraient au rouge, tandis que, yeux clos, elle sentait la panique l’envahir. Comment s’en sortir ? L’homme avait-il vraiment grillé sa puce ? Tôt ou tard, ses collègues sauraient qu’elle avait disparu, mais comment la retrouveraient-elle ? Layla commençait clairement à paniquer en comprenant qu’elle ne sortirait pas si facilement que ça de cet enfer. Et elle savait très bien le sort réservé aux femmes qui s’aventuraient seules dans les ghettos masculins. Elle n’aurait jamais dû tomber sur un tel type dans le quartier où elle patrouillait.

*Ce n’est pas possible, je vais me libérer de là, je vais sortir de cet enfer... !!*

Mais, plus les minutes passaient, et rien ne se passait. La porte ne s’ouvrait pas sur des renforts, il y avait juste cet homme qui la baisait sèchement et furieusement, le tout en faisant preuve d’une redoutable endurance. Et sa queue était vraiment terrible, étouffant parfois Layla. La policière ne pouvait rien faire que subir, et sentit finalement l’homme jouir. Un contact écœurant... Du moins, c’est ce qu’elle aurait voulu. La réalité est que l’éducation sexuelle de Layla commençait à la trahir. Elle était après tout une parfaite Tekhane, de sorte que, à l’académie, et même avant au lycée, elle avait déjà longuement sucé ses formatrices ou ses camarades. Le sexe faisait partie intégrante de la vie des Tekhanes, et ce n’était pas Layla qui avait dérogé à la règle. Ainsi, même si elle était sincèrement dégoûtée par ce que l’homme lui faisait, la quantité de foutre en elle, l’intensité des coups de reins, sa tête qui partait régulièrement en arrière... Tout cela déclenchait chez elle d’affreux réflexes, d’affreux sentiments de plaisir, que la jeune femme s’efforçait autant que possible de refouler.

Layla papillonna des yeux en le sentant se vider longuement en elle, et ne put même pas recracher, l’écarteur buccal immobilisant toujours ses lèvres.

« Hnnnnn... !! » couina-t-elle quand il se retira.

Elle éternua quand même un peu, la quantité de sperme l’ayant après tout presque étouffé. Layla n’eut que peu de temps pour souffler, puisqu’elle se retrouva ensuite à terre, son kidnappeur la renversant sur le sol.

« Gnnnnnnnnnn... !! » gémit-e-elle en sentant ses mains arracher ses vêtements.

Elle crispa ses doigts sur les accoudoirs. Il arracha sa culotte, puis son soutien-gorge, et s’empressa de fourrer deux de ses doigts osseux en elle. Layla se tortilla sur place en secouant la tête, remuant frénétiquement. Il ne fallait pas oublier que ses poignets étaient attachés dans le dos. Ils étaient donc écrasés sur le sol, douloureusement, et, alors que Layla aurait pu croire que la situation ne pouvait être pire... Son violeur lui pissa dessus !

Layla gémit encore, et secoua vigoureusement la tête en sentant le liquide doré filer sur elle. La situation était horrible, et ce d’autant que le corps de Layla continuait à la trahir. Malheureusement pour elle, Layla avait toujours eu des fantasmes assez poussés. À l’académie, il lui arrivait parfois de passer toute une journée sous le bureau de sa directrice, une Tekhane dotée d’un solide chibre, et qui aimait lui pisser dans la bouche. Layla en avait gardé une sorte d’étonnant attrait pour ce liquide doré, qui acheva de la perturber. Ses joues rougirent, et elle gémit à nouveau, autant de peur que... Que d’un désir refoulé, lancinant, qui la trahissait de l’intérieur, et l’horrifiait d’autant plus.

*Non, non, je ne peux pas ressentir ça avec ce sale porc ! Non !!*

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 9 mercredi 28 mars 2018, 12:42:54

La douche dorée, c'était toujours un moyen très efficace d'humilier ces pétasses en petites tenues, qui se prenaient pour des princesses. Sûr, ce n'était pas ce qu'il y avait de plus "propre", mais dans les ghettos masculins, l'hygiène était bien plus...compliquée à obtenir que dans les quartiers uppés de Tekhos. Mais surtout, symboliquement, Vladimir en lui pissant dessus la "marquait" dans un sens, et continuait à vouloir la rabaisser au rang de chienne. Agenouillé à côté de la femme, il guidait avec l'une de ses mains son sexe en direction du visage de la femme, pour orienter le flot d'urine directement sur sa tête, tandis qu'il usait de l'autre pour lui doigter la chatte. Vladimir y allait sans aucune précautions ou douceur particulière, il avait juste fourré deux doigts dans sa chatte et les remuait de haut en bas, juste pour donner à cette pute un petit avant-goût de ce qui allait suivre.
Mais tandis que Vladimir s'exécutait, il se produisit quelque chose qui allait clairement le surprendre. Il n'y avait pas fait attention tout de suite en la doigtant, mais plus il remuait, et moins il devenait possible de l'ignorer. Surpris, l'homme s'arrêta subitement de la doigter, et les conserva enfoncés dans sa chatte pendant quelques secondes, et il les remua un peu afin d'être sûr qu'il sentait bien ce qu'il sentait...ce qui lui arracha un large sourire.

Putain j'y crois pas...t'es sérieuse ?

Il venait juste de finir de lui uriner à la gueule, et tout en restant agenouillé à côté d'elle, Vladimir retira ses doigts de la chatte de la jeune femme...qui étaient couverts d'une petite couche de cyprine. Elle mouillait ! Cette espèce de traînée mouillait ! Oh putain, Vladimir ne s'était clairement pas attendu à ça, mais il n'allait sûrement pas s'en plaindre, car c'était pour lui un véritable jackpot. Il approcha ses doigts couverts de mouille du visage de la jeune femme, afin qu'elle les "voie".

Alors en fait, tout ce jeu que tu me sortais, celui de la flic droite dans ses bottes qui ne cèdera jamais, c'était du flan ? Mais tu te rends compte de ça espèce de grosse chienne ? Je t'ai baisé la bouche avant de te pisser dessus, je vais te violer avant de te jeter en pâture à des dizaines de mecs en rut...et toi ça te fait mouiller. Regarde connasse je n'invente rien, tu te fais violer, et tu mouilles comme une fontaine !

Bien sûr la jeune femme allait essayer de détourner la tête, mais Vladimir ne la laisserait pas faire, et la forcerait à regarder.

En temps normal, c'est après avoir été dressées que mes putes deviennent des nymphos accroc à la bite...mais toi tu l'es déjà, tu nies juste ta vraie nature. Quand je te disais que tu serais une meilleure pute que flic, j'avais complètement raison. Je pourrais même m'arranger pour que tu devienne l'urinoir public du quartier, vu que tu kiffe ça, hein salope ? Oh t'en fait donc pas ma belle, tu t'es trompée de vocation, mais ça arrive à tout le monde ça...on va bien s'occuper de ton cas. Pute et urinoir, voilà ton avenir, et je suis sûr que tu t'en sortira bien mieux qu'en tant que flic.

Après tout, jamais auparavant Vladimir n'était parvenu à capturer une flic. Il aurait certainement pu, mais les risques étaient trop grands par rapport aux gains potentiels. Mais là, ça avait été tellement facile qu'il ne se retenait pas pour le cracher au visage de cette prétentieuse, qui était en train de se révéler au grand jour, et ce pour son plus grand plaisir. Puis finalement, il se redressa, et releva dans le même temps la chaise sur laquelle était ligotée la flic.

Allez, il est temps qu'on passe aux choses sérieuses, surtout que ta chatte a l'air impatiente de recevoir ma grosse queue...et en tant que gentleman, je peux pas refuser une telle invitation.

Vladimir s'éloigna quelques secondes, le temps pour lui d'aller récupérer un couteau, dont il se servit pour défaire les liens qui retenaient la jeune femme à la chaise, tout en conservant ainsi ses mains liées dans son dos. Comme à son habitude, il la prit alors par les cheveux, et la balança sans vérogne sur le vieux matelas qui se trouvait au sol. Il l'allongea sur le dos, façon à ce qu'elle lui fasse face, tout en la rejoignant rapidement, et en la menaçant en plaquant la lame du couteau contre sa belle petite gorge.

T'a intérêt à te tenir tranquille salope, sinon j'entaille cette belle gueule d'ange que t'a...

Il lui écarta alors fermement les cuisses...et commença à fourrer sa queue sans sa petite chatte.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 10 mercredi 28 mars 2018, 13:22:48

Non, ce n’était pas vrai... C’était un mensonge ! Ce sale type l’avait drogué, il l’avait forcément piégé ! Elle ne voyait aucune autre explication justifiant son état que cela ! Une drogue subrepticement glissée en elle pendant qu’elle comatait ! Layla se dandina encore sur place, refusant d’admettre la vérité, et trembla quand il annonça qu’elle allait, non seulement être la pute du quartier, mais aussi un urinoir.

« Hmmmm-hnnnn... !! » protesta-elle inutilement.

Son ravisseur était sûr de son coup. Ce n’était pas de la faute de Layla si elle avait toujours aimé le sexe.... À la base, elle avait rejoint la police par sens du devoir, mais aussi pour se discipliner, et trouver un moyen de refréner ses pulsions. Le succès avait été plus que modéré, et il suffisait de voir son uniforme pour le réaliser. C’était l’uniforme qu’on donnait à certaines policières particulières, celles qui étaient considérées comme des femmes sexuellement gourmandes. En fait, c’était le capitaine de sa brigade qui le lui avait donné, car Layla était plus facile à baiser avec une minijupe qu’avec un pantalon. Les séances de sexe crapuleuses dans le bureau de son chef étaient multiples, mais Layla préférait clairement sa Futanari de capitaine à ce sale porc puant ! Du moins, c’est encore ce qu’elle essayait de se convaincre, car elle savait, pour avoir lu des études, que la vigueur sexuelle masculine égalait, et même surclassait, celle des hermaphrodites, surtout quand ils recevaient des implants et des injections.

L’homme libéra alors ses jambes. Layla fut évidemment tentée de s’enfuir, mais c’était, encore une fois, sous-estimée son ravisseur. Lui tirant sèchement les cheveux, il la balança sur le lit, où elle s’affala en gémissant. Se retournant ensuite, elle vit l’homme se rapprocher rapidement, et secoua la tête quand il grimpa sur le lit. Déplaçant les jambes, elle tenta de le repousser avec les pieds, encore mue par son instinct de survie, mais sans rien faire de productif... Si ce n’est d’amener l’homme à lui mettre le couteau sous la gorge. Les yeux de Layla s’écarquillèrent alors, consciente que l’homme n’aurait aucune hésitation à la tuer. La peur continua à se diluer en elle, et elle soupira longuement, en pleurant encore. Avec l’écarteur buccal qui déformait ses lèvres, le spectacle devait être assez ridicule à voir.

*Je le hais !!*

Sentant sa proie se calmer, le massif mâle s’approcha ensuite de son intimité, et elle couina encore. Même avec la menace du couteau, elle remua sur place, cherchant, vainement, à fermer les cuisses, et essaya de se plonger dans des souvenirs agréables, comme la scène de ce matin. Avant de commencer sa patrouille, la capitaine l’avait convoqué dans son bureau, et l’avait baisé contre le mur. C’était une scène bien meilleure que ce qui allait se passer maintenant...

Puis sa grosse queue s’enfonça en elle. Layla serra alors fortement le mors en se crispant sur place.

« HNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN... !!! »

Quelle horreur, quelle horreur ! C’était très sincèrement ce qu’elle pensait... Mais le fait est que son corps mouillait, tellement habitué au contact d’une queue en lui qu’il réagissait comme à chaque fois. Après tout, Layla était habituée au sexe surprise, notamment dans les vestiaires, quand sa capitaine, ou ses anciennes formatrices, n’hésitaient pas à la serrer contre la porte du casier, et à la bourrer furieusement sans lui demander son avis.

Layla pleurait donc, furieuse autant contre son violeur que contre elle-même, elle-même et les faiblesses de son propre organisme...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 11 mardi 26 juin 2018, 13:08:18

Vladimir grogna comme un ours en rut au moment de s'enfoncer dans la petite chatte étroite de cette salope de flic. Il avait une très grosse queue, un vrai pieu de chair qui avait bénéficié des compétences médicales de Tekhos en la matière. Néanmoins, s'enfoncer dans ce vagin ne fut pas si difficile que ça, puisque cette truie mouillait.

Ah ! P-Putain mais quelle chatte ! Et tu mouille espèce de salope !

Vladimir entamma alors des séries de va et viens tout en étant au dessus de la jeune femme. Les poignets solidements attachés dans son dos, et avec un écarteur buccal dans la bouche, la jeune femme ne pouvait vraiment plus faire grand chose pour résister à ce viol...ou en étais-ce vraiment un ? Vladimir était honnêtement surpris que cette flic mouille, il n'était pas rare que même au cours d'un viol une femme génère de la cyprine, ce qui était un mécanisme automatique...mais pas au point d'autant lubrifier sa chatte, non, là clairement cette salope prenait son pied.

A-Arrête de chialer putain ! Tu...Hum ! Tu aimes ça, cherche pas à...à prétendre le contraire putain ! Oh putain ! SALOPE !!!

Vladimir la gifla un bon coup, puis posa sa main sur sa gorge afin de serrer. Le but était autant de la dresser que de faire en sorte que son corps se crispe, et par extension, les parois internes de son vagin, le tout afin d'augmenter encore les sensations de plaisir que ressentait l'homme en la pilonnant. Impossible de nier, les va et viens que le criminel faisait dans sa chatte provoquaient d'intenses bruits spongieux, et la mouille le la jeune femme glissait le long de son aine, coulant en petites gouttes entre la raie de ses fesses pour glisser le long de son anus, afin d'aller souiller les draps déjà miteux de ce lit.

HRMPFFF ! PUTE !!! T'ES QU'UNE GROSSE PUTE !!! AAAAAARGH !!!

Sur les derniers instants, Vladimir qui avait serré sa main tout en la désserrant, pour laisser à la femme l'occasion de respirer, avait augmenté la fréquence de ces étouffements tout en la baisant plus rapidement. L'homme finit alors par se vider en elle, avec la satisfaction de souiller une salope de flic Tekhanne avec son sperme de mâle. L'excitation était telle qu'il cracha une belle quantité de sperme dans sa chatte mouillée, qui commença à couler de son intimité quand Vlad se retira...sauf que l'homme avait la queue qui n'avait absolument pas débandée, sans doute au grand dam de la jeune femme.

Quoi ? Tu pensais quand même pas que tu t'en tirerais aussi facilement espèce de conne ?

L'homme la prit alors par les hanches, et la retourna comme un sac de pommes de terres, avant de lui redresser le bassin. Si elle tentait de se débattre, alors l'homme Vladimir n'hésiterais pas une seule seconde à lui donner des coups pour la dresser, avant de fourrer à nouveau sa queue dans sa chatte dont il était en train de devenir accroc. Comme la fliquette avait les mains attachées dans le dos, il lui était impossible de se tenir à quatre pattes, mais Vladimir régla ça à sa façon...en la prenant par les cheveux et en tirant dessus pour la forcer à se redresser, et à la maintenir ainsi.
Vladimir ne pouvait toutefois pas s'empêcher de se dire qu'elle chialait beaucoup, même si avec l'écarteur buccal, ses complaintes étaient incompréhensibles...la position dans laquelle ils étaient toutefois lui donna une idée.

DAREN !

Le second de Vladimir, qui gardait les environs, entra donc dans la chambre pendant que son boss était en train de prendre la flic en levrette.

Regarde comme cette salope couine, elle veut de la bite, viens m'aider !

Il ne fallait pas le lui dire deux fois. Daren qui était déjà torse nu se débarassa vite fait de son pantalon, et l'homme en net surpoids vint prendre place face à Layla. En se dressant sur ses genoux, il était juste à la bonne hauteur pour présenter sa bite face au visage de la flic. Il prit le relai de son boss en saisissant la jeune femme par les cheveux, et glissa alors sa belle queue dans sa bouche, en lui imposant d'emblée des gorges profondes. Le front de la jeune femme heurtait le gros ventre de l'homme, tandis que son nez était fourré dans ses poils pubiens, et que son menton heurtait les testicule chargées de foutre de l'homme...le tout alors que Vladimir, derrière, la prenait en levrette, et avait les coudées franches pour malaxer son cul avec ses mains, et même lui doigter son petit trou du cul qui, à n'en pas douter, gouterait aussi à sa bite.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Kidnapping policier [PV]

Réponse 12 mercredi 27 juin 2018, 08:50:01

Layla vivait un véritable cauchemar éveillé, peinant à croire ce qui lui arrivait. Comment pouvait-on avoir si peu de chance que cela ? Elle était prisonnière de cet homme violent et cruel, ce barbare préhistorique qui, sans vergogne, l’avait capturé, et était en train, avec sa bande de macaques, de la violer ! Layla n’avait jamais été attirée par les hommes, elle avait toujours été une pure Tekhane. Oh, elle ne s’amusait pas à se moquer d’eux, mais elle n’avait jamais été attirée par les mâles. Elle savait pourtant qu’il existait, chez certaines Tekhanes, des pratiques dégradantes consistant à copuler avec des esclaves masculins, mais Layla avait toujours trouvé ça... Répugnant. Ils étaient... Ils étaient sales, laids, sans formes, avec une peau dure et sèche. Rien à voir avec la douceur et la courbe du corps féminin. Comment pouvait-on trouver un quelconque intérêt à ces singes poilus, rustres et brutaux ? Layla ne comprenait donc pas pourquoi son corps en venait à la trahir, pourquoi elle ressentait... Du plaisir ! C’était... C’était impensable ! Une véritable horreur ! Mais, pourtant, c’était bien ce que Layla éprouvait en ce moment. Une dose de plaisir s’insinuait en elle, se distillait dans son corps, au fur et à mesure que l’homme, très violent, la brutalisait.

« Hnnnn... !! »

Avec les pinces buccales, elle ne pouvait pas parler, mais gémissait, surtout quand il se mit à l’étrangler. Sa queue monstrueuse la besognait, en lui arrachant des hurlements, et elle se dandinait sur place, remuant le cou, cherchant à récupérer de l’air, tirant vainement sur ses menottes, se débattant, mais ne faisant surtout, dans les faits, que frotter ses seins sur le torse musclé de l’homme. Elle aimait le sexe sauvage, qu’elle pratiquait avec ses partenaires, mais elle devait bien admettre que coucher avec un homme était... Bien différent. Il l’écrasait, il la pressait, et elle devait bien admettre qu’il y avait, là-dedans, quelque chose d’excitant... Mais, pour autant, il n’en restait pas moins un sale mâle ! Un mâle qui s’amusait à la torturer, à tel point que Layla vit parfois des points noirs se former devant ses yeux, avant qu’il ne relâche la pression, lui permettant dès lors de pouvoir respirer.

Sans relâche, il la prenait, jusqu’à finir par jouir en elle. Layla couina encore, tournant la tête sur le côté. Elle s’attendait à un moment de paix, un moment de grâce pour trouver une solution à ce cauchemar... Mais son ravisseur n’en avait pas fini avec elle, et la retourna brusquement. Layla couina encore, et se retrouva retourné, avant de sentir l’homme la pénétrer de nouveau, la prenant en levrette, et empoigna fermement ses cheveux. En effet, avec ses menottes, Layla ne pouvait pas s’appuyer sur le sol, et, plutôt que de frotter sur le sol, elle sentit une main soulever douloureusement ses cheveux, lui arrachant des soupirs de douleur.

« Hmmm... !! »

Elle se dandina sur place, sentant l’homme la fourrer encore... Mais il n’en avait pas fini avec elle, et elle écarquilla les yeux quand il appela un certain Daren. Autour d’elle, Layla vit alors un obèse se rapprocher. L’homme était assez gros, et se déshabilla, présentant une belle verge, qui remonta le long de son ventre flasque. Un sourire cruel déformait les grosses joues de ce colosse, qui se rapprocha d’elle. Layla secoua la tête, avant de sentir les mains de l’homme se saisir de sa tête.

« HNNNNNNN... GNNNNNNNNNNNNNNN !! »

Layla sentit son gros ventre s’abattre sur son visage, et crut bien défaillir, avant que sa grosse queue ne se plonge dans sa bouche. Elle sentit les poils pubiens de l’homme sur son nez, ses testicules venant claquer contre son visage, avant qu’il ne se recule. Son sexe puait atrocement, et cette odeur la rebutait fortement. Néanmoins, elle ne pouvait rien y faire, et subissait encore, tout en continuant à mouiller...

...Et à pleurer devant son impuissance.


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