Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'Initiation [Keira Metz]

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Keira Metz

Humain(e)

Re : L'Initiation [Keira Metz]

Réponse 15 vendredi 11 mai 2018, 00:01:59

Debout sous le pommeau de douche, de l'eau ruisselant sur son corps, des mèches de cheveux plaqués contre sa peau, Lisbeth songeait à Alan. Elle repensait à son visage, crispé de plaisir, et à son sexe pulsant entre ses doigts, libérant sa semence sous le coup de l'orgasme. Mais par dessus tout, elle repensait au ton presque servile avec lequel il l'avait appelé maitresse, et l'exaltation qu'elle en avait ressenti. Ce n'était pas la première fois qu'elle lui offrait un handjob, c'était même relativement courant, parfois comme préliminaire ou comme petite gâterie surprise. Néanmoins, le faire dans un contexte de domination / soumission, comme plus tôt, était autrement plus excitant.

Pendant que son esprit vagabondait de pensées en pensées, après cette courte initiation au BDSM de la journée, elle se savonnait lentement le corps, se frottant avec son gant et laissant des volutes de mousse sur sa peau. Le robinet était fermée, mais de la vapeur d'eau emplissait encore la cabine, dans une ambiance chaude et sensuelle. C'est à ce moment là que, subitement, Alan entra dans la cabine et vint la rejoindre. Elle était surprise de le voir arriver, mais ne le resta pas bien longtemps, et continua à se savonner comme si de rien n'était, l'accueillant sur un ton taquin.

« Coucou, toi... je te manques déjà ? »

Bien sûr, elle se garda bien de lui dire qu'elle-même avait pensé à lui pendant ce temps. La jeune femme soupira doucement en sentant la proximité Alan, qui vint se blottir contre elle dans son dos, et soupira de plus belle sous les caresses pas si innocentes de son amant. Elle aurait bien aimé finir sa douche en paix, et aller se reposer après cette longue journée. Cependant, ses caresses se faisaient plus appuyés, plus sensuels, ses mains glissaient sur sa peau et venaient à l'assaut de ses zones les plus sensibles, les plus intimes. Elle aurait aimé, donc, rester seule sous la douche, mais pas autant qu'elle aimait sentir les mains d'Alan la caresser, s'emparer lascivement de son corps, l'une entre ses cuisses et l'autre sur son sein. Lisbeth gémissait doucement, à mesure que le désir montait en elle, ayant cessé de se savonner pour s'appuyer contre le carrelage au mur. Elle sourit en l'entendant parler de rôles inversés, et répliqua.

« Oh, je vois... Et que vas-tu faire ? ... Maitre ? »

Son ton était légèrement moqueur, sarcastique. Cela l'amusait de le voir sous un angle complétement différent de plus tôt, et la jeune femme se prêta au jeu, à sa manière. Elle se mit à se déhancher doucement, venant ainsi frotter ses fesses rondes et fermes contre la virilité d'Alan. En sentant alors son absence d’érection, elle eu un sourire coquin. Ce que Lisbeth préférait, bien qu'un beau phallus dur et fièrement tendu restait quand même sexy, c'était un membre encore mou et détendu, et elle adorait le sentir se tendre progressivement, gonfler et durcir de plaisir. Elle continua donc de s'y frotter sensuellement, en soupirant d'aise sous les caresses d'Alan.

« Mmmhh... »

Il était venu prétendre faire le maître, et elle se demandait bien ce qu'il comptait faire. Toutefois, ce dont elle était certaine, c'était que ça l'excitait beaucoup.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Initiation [Keira Metz]

Réponse 16 vendredi 11 mai 2018, 22:42:16

Alan n’en avait effectivement pas encore totalement fini avec Lisbeth. Ils auraient pu s’arrêter là, et, en temps normal, il y aurait sûrement eu une longue pause avant qu’ils ne fassent l’amour le soir. Il était assez facile de comprendre qu’il existait entre eux deux une véritable osmose sexuelle. Oh, ils arrivaient encore à se tenir en soirée, mais Lisbeth avait rapidement eu l’occasion de comprendre qu’Alan n’aurait pas avec elle une relation platonique, loin s’en faut. En moyenne, ils faisaient l’amour une fois par jour, très souvent le voir. Et Alan se plaisait à se dire qu’il avait quelque peu contaminé sa copine, accru la perversion qui existait déjà à l’état larvé chez elle. Quoi qu’il en soit, il la rejoignit dans la douche, et déglutit lentement en l’observant de dos. Avec son corps trempé, légèrement recouvert de mousse, elle était, comme d’habitude, tout simplement magnifique. Il se pressa donc dans son dos, caressant tendrement ses épaules, frissonnant au contact de la peau de Liz’ contre ses doigts. Ensemble, ils avaient entamé un nouveau chapitre de leur relation. Un chapitre inattendu, mais source de bien des promesses et de bien des espérances. Du moins, c’est ce qu’Alan souhaitait, même s’il savait aussi qu’il ne devait pas s’emballer inutilement.

Le jeune homme se pressa donc dans le dos de la femme, et sourit en la sentant se presser contre lui. Joueuse, mutine, comme il l’aimait tant... Sa main se posa sur son menton, et il serra cette partie de son corps entre ses doigts, un léger sourire en coin sur les lèvres.

« Hmmm... Je crois que... Tu n’as pas l’air assez... Intimidé, Lisbeth. »

Il parlait d’une voix grave, mais également empreint d’une certaine forme de sensualité. Après tout, Lisbeth n’avait pas son pareil pour l’exciter, comme elle le faisait doucement en se frottant à lui. Avec sa peau trempée, la chose était d’autant plus facile. Souriant alors, il l’embrassa tendrement sur les lèvres, et continua à la retourner. Le dos de Lisbeth se retrouva ensuite contre le mur, et Alan déplaça sa main, caressant son épaule, puis le haut de son torse. Tout en continuant le baiser, ses doigts se posèrent alors sur le téton de la femme, qu’il pinça tendrement, tout en mordillant sa lèvre inférieure. Il tira dessus, « avalant » sa lèvre, arrachant plusieurs couinements à la femme.

Joueur, Alan comptait bien voir, en titillant Lisbeth, jusqu’où elle était capable d’aller. Il rompit donc le baiser, et lui sourit à nouveau, avant de caresser doucement la joue de la femme.

« Tourne-toi encore, Lisbeth, appuie-toi contre le mur... Et bombe ton insolent fessier. »

Les ordres lui venaient naturellement, et il se pinça les lèvres, en la voyant se tendre. Magnifique, comme toujours. Sa respiration s’emballa, et il la regarda en soupirant doucement... Puis réagit de la seule façon qui convenait. Sa main se souleva, et il l’abaissa brusquement sur le fessier de Lisbeth, venant la gifler une fois, faisant claquer sa main contre son délicieux cul, et continua ensuite à la titiller, bien décidé de voir ce qu’elle était actuellement capable d’endurer :

« Tu as vraiment un cul de délicieuse catin, ma chérie... »

Il se glissa à nouveau contre elle, et pinça l’une de ses fesses d’une main, avant de mordiller le creux de son cou. Alan se déplaça ensuite, et son sexe remonta le long de la croupe de la femme, enflant lentement, grossissant et se durcissant contre elle.

« Ma délicieuse Lisbeth... Un collier t’irait si bien, tu sais... »

Keira Metz

Humain(e)

Re : L'Initiation [Keira Metz]

Réponse 17 samedi 25 août 2018, 22:40:57

« Ooohh, pardon chéri, c'est que j'ai du mal à être intimidée lorsque je suis aussi excitée, huhu... »

Lisbeth ne pouvait s'empêcher de le narguer, répondant sur un ton sensuel et provocateur. Toutefois, elle n’exagérait pas, l'arrivée d'Alan avait été l'étincelle ravivant la flamme de son excitation. Sa présence lui donnait très envie, au détriment de sa résolution à être responsable ce soir. Elle ne pouvait pas dire non. *Oh, well...* La jeune femme suivit l'impulsion d'Alan, et le laissa gentiment faire, jusqu'à se retrouver dos au mur, qu'elle quitta pour se blottir contre Alan. Leurs corps humides et luisants se pressaient l'un contre l'autre, d'autant plus lorsqu'elle leva la jambe sur le coté, calant sa cuisse contre la hanche de son homme et ramenant son mollet contre son fessier pour le coller contre elle. La blonde soupirait d'aise, et savourait ses caresses, répondant avec passion à son baiser, pendant que ses tétons durcissait lentement sous les douces pressions.

« Mmh, avec plaisir... »

Elle savait bien à quel point il aimait son cul, aux belles rondeurs fermes, dont elle prenait soin, et ce n'était pas pour lui déplaire, elle-même adorait ça et le laissait volontiers s'amuser avec. Prête à obtempérer, elle quitta avec réticence le réconfort du corps d'Alan, et fit un demi-tour accompagné d'un lent déhanché, qu'elle termina en se cambrant à l'excès. Les fesses ainsi tendues en sa direction, offertes à lui, elle se mit à les remuer brièvement, avec une pointe d'insolence, jusqu'à ce qu'une fessée ne vienne les faire rougir. Lisbeth fut prise d'un doux frisson, des gouttes d'eau frétillant sur sa peau, et lâcha un couinement audible qui précéda sa réponse.

« Oh, oui... une vilaine catin qui adore les fessées... »

Lisbeth remua son cul de plus belle, le frottant délicieusement contre son membre, dont l'érection l'excitait énormément. Elle se tremoussait de haut en bas, son barreau de chair calé entre ses deux rondeurs, tout en fantasmant déjà à l'idée de se faire sodomiser sous la douche. C'était difficile de résister à la tentation, l'avocate dû se mordiller la lèvre et faire de gros effort pour ne pas s'empaler d'elle-même sur son sexe. Elle adorait ça, et n'hésitait pas à l'admettre volontiers, mais Lisbeth ne souhaitait pas craquer la première, pas tout de suite.

Sa chevelure dorée plaquée contre son dos cambré, la jeune femme tourna la tête et vint fougueusement embrasser Alan, en poursuivant ses sensuels déhanchés. Sa langue caressa la sienne, s'enroula passionnément autour d'elle, savourant autant que possible ce baiser.

« Ma foi... si tu le penses sincèrement, je serais ravie d'essayer, mon cœur... »

Lisbeth pouvait paraitre très têtue parfois, peu conciliante, en raison de son fort caractère. Néanmoins, au fond, elle aimait passionnément Alan, et quand bien même elle s'aventurait en terres inconnues dans son univers, elle était prête à beaucoup de chose, à ses côtés. Elle avait pourtant de quoi douter, collier allait de pair avec soumission, ce qui n'était pas dans ses habitudes, mais cela paraissait être une expérience intéressante.

« Mais là... mmh... je dois t'avouer que... j'ai tellement envie que tu me défonces le cul... que j'ai du mal à penser à autre chose... »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Initiation [Keira Metz]

Réponse 18 dimanche 26 août 2018, 17:23:27

Cette soirée avait mal commencé, et se terminait finalement de la meilleure des façons. Alan ne pouvait encore une fois s’en vouloir qu’à lui-même. Il avait sous-estimé Lisbeth, mésestimé son attrait naturel pour la perversion... Ou peut-être avait-il sous-estimé sa propre aptitude à corrompre les autres, notamment cette magnifique étudiante appelée à devenir une brillante avocate. Et l’idée qu’une femme comme ça, respectable en tout point, socialement insérée, puisse être secrètement une amatrice de sadomasochisme, voilà qui ne manquait pas de l’exciter. Là, dans la douche, il sentait les délicieuses femmes mouillées de Lisbeth s’appuyer sur sa verge. Son membre en devenait douloureux, un sexe dressé et assoiffé. Il soupira encore, fermant les yeux, et la femme tourna la tête vers lui. Il l’embrassa tendrement, posant une main sur l’un de ses seins, pinçant son téton, tout en déplaçant l’autre, venant l’utiliser pour caresser délicieusement son intimité. Ses doigts filaient dessus, caressant sa magnifique peau, et se glissèrent même en elle. Il l’explorait, la titillait, lui faisant du bien, conscient, néanmoins, qu’elle ne désirait, comme lui, qu’une chose en ce moment. Au diable le collier, au diable tout le reste, Alan ne pensait qu’au corps de sa moitié en ce moment, à ses soupirs, à ses longs cheveux se frottant contre sa barbe, et à ses fesses remuant contre son sexe.

Lisbeth s’était exagérément cambrée en s’appuyant contre le mur de la cabine, creusant ses reins, bombant ses fesses, se frottant contre Alan. En ce moment, la calme et sérieuse avocate se transformait en une diablesse, une succube passionnée et envoûtante, au corps enivrant. Difficile de ne pas succomber, et, quand elle lui annonça clairement qu’elle avait envie de se faire « défoncer le cul », le brave homme sourit alors.

« Dans ce cas... Il est temps de te faire hurler ! »

Sa main se leva alors, et gifla la croupe de la femme, arrachant à Lisbeth un hurlement. Un délicieux cri, comme un coup de fouet qui sortit Alan de sa torpeur. Il se décolla de son corps, et, avant de passer aux choses sérieuses, s’agenouilla derrière elle. Les fesses de Lisbeth se tenaient devant lui, et il posa chacune de ses mains dessus. Encore une fois, il contemplait ce corps, ce fessier divin, ses fermes moelleuses et tendres, un cul délicieusement rebondi...

« Écarte bien tes jambes, Liz’... »

Lentement, il malaxait son cul, et ses pouces se glissèrent dans l’ouverture, le long de sa croupe. Ses doigts se crispèrent, et il écarta les fesses de la femme, doucement, presque avec tendresse, comme le calme avant la tempête. Son visage s’approcha ensuite, et il aventura sa langue, venant la glisser le long du trou arrière de la femme, de son étroite porte. Un délicat trou rosâtre qu’il se mit à titiller. L’eau ruisselant sur le corps de Lisbeth l’aidait, mais il ne pouvait prendre le risque de lui faire trop mal. Former Lisbeth à la sodomie avait été un art de persuasion, et il ne prenait aucun risque.

Sa langue se glissa donc, et il crispa ses doigts, forçant le passage, son visage disparaissant contre le derrière de la femme. Il sentait l’étroitesse de sa peau, la raideur, et insista donc, avec la pointe de sa langue, ce qui nécessitait tout de même un peu de doigté. Puis il sentit finalement la pointe se glisser, s’enfoncer. Alan y allait patiemment, faisant fi de la douleur lancinante et persistante qui remontait entre ses cuisses. Son sexe était bien dressé, impatient, désireux de se perdre en elle, mais le jeune homme prenait son temps. Il en profitait aussi pour frustrer davantage Lisbeth, pour l’impatienter. Il la sentait se tortiller sur place, le désir montant lentement... Jusqu’à ce qu’il ne se redresse à son tour.

Ses lèvres glissèrent sur le dos de la femme. Alan l’embrassa à plusieurs reprises, jusqu’à retourner à nouveau se plaquer contre son corps, la coinçant pendant quelques secondes contre le mur.

« Ah, Liz’... »

Le jeune homme se colla donc contre elle, et posa sa main sur son sexe, avant de l’orienter, tout en se décollant un peu, la laissant ainsi remuer à son tour, se cambrant à nouveau. Il se concentra donc, et sa queue glissa contre la croupe de la jeune femme. Une forte tension le traversait, et son membre, très dur, devenait douloureux à manier, chaque contact lui arrachant quelques frissons. Finalement, le bout de son sexe heurta l’arrière de la femme, et il remua encore un peu, jusqu’à forcer le passage... Et grogna lentement.

Même s’il avait préparé le terrain avec sa langue, le fessier de Lisbeth restait toujours très étroit, et il s’enfonça donc doucement, grognant sur place. L’une de ses mains s’appuyait sur les hanches de la femme, et il serra les dents, forçant encore le passage, commençant sa sodomie.

« Hmmm... !! Bo-Bordel, ce... Ce que t’as le cul étroit, bon Dieu... ! »

Keira Metz

Humain(e)

Re : L'Initiation [Keira Metz]

Réponse 19 mercredi 05 septembre 2018, 17:19:17

Depuis qu'elle fréquentait Alan, Lisbeth s'était découverte une nouvelle facette qu'elle ne soupçonnait pas. Chaque nuit passée en sa compagnie était une opportunité d'explorer un peu plus profondément ses envies, ses désirs, sa perversité. Oh, bien sûr, elle n'avait pas découvert du jour au lendemain qu'elle aimait le sexe, mais, clairement, c'était la première personne avec qui elle partageait une telle complicité. Leur relation était assez spécial, en ce sens, et c'était l'une des raisons pour lesquelles elle l'aimait tant, cette alchimie mêlant amour et confiance.

L'avocate n'avait ainsi aucune gêne à se montrer très coquine. Elle soupirait et gémissait doucement, enivrée par ses caresses, par ses mains glissant contre son corps, effleurant ses zones les plus sensibles. Son fessier offert remuait contre Alan, stimulant la verge de ce dernier, comme pour réclamer son attention. Son insolence fût rapidement corrigée, lorsqu'une fessée vint s'abattre contre son affriolant postérieure. La jeune femme se raidit subitement, couinant de douleur, une délicieuse douleur qu'elle avait bien cherché. Elle ne demandait que ça, en réalité, qu'il la fasse hurler de plaisir, et elle savait que ce moment arriverait, inéluctablement, ce qui la faisait trépigner d'impatience.

Toujours cambrée sur le mur, ses mains et ses seins pressés contre le carrelage, elle gémit de plus belle lorsque Alan concentra ses caresses sur ses fesses. Son corps était parcouru de frissons perceptibles, se renouvelant à chaque pression de sa langue contre son orifice, qui s'ouvrait progressivement, délicatement, comme une fleur. Lisbeth était délicieusement torturée, entre le plaisir de sentir la langue d'Alan titiller son anus, ses mains tripoter son cul, et entre la frustration de vouloir sentir sa queue entre ses fesses, ses furieux coup de bassins. Elle apaisa donc ses tensions comme elle pouvait, et tendit la main en arrière, plongeant ses doigts dans la chevelure d'Alan, tendrement. Ce faisait, elle plaquait également fermement son cul contre son visage, y pressant ses fesses rondes, en gémissant de plaisir, les lèvres entrouverte.

« Oh oui... mmh... »

Lisbeth adorait ça. Elle se sentait prête à l'accueillir, et arbora un sourire satisfait lorsqu'il se releva, embrassant son dos et prenant position derrière elle. Impatiente, elle se trémoussait légèrement, le corps bloqué contre son amant, pendant que celui-ci s'enfonçait délicatement en elle. Elle pouvait sentir son gland forcer l'entrée de son orifice, lui arrachant un gémissement non retenu. C'était long et difficile, Alan poussait des grognement en se frayant progressivement un passage entre ses fesses, mais cela n'en rendait la sodomie que meilleur. Il fallait dire aussi que Lisbeth ne lui facilitait pas la tâche, se contractant volontairement pour sentir son sexe s'enfoncer en elle, et l'inciter à employer la manière forte. Elle ménageait cependant ses efforts, se faire défoncer le cul était une chose, mais elle ne souhaitait pas non plus sombrer dans la sodomie brutale et douloureuse. Pour l'heure, elle se contentait de savourer cette excitante sensation, ses chairs s'écartant au passage du sexe dur et épais d'Alan. La jeune femme ne rata pas l'occasion d'y aller de son petit commentaire salace, entre deux gémissements.

« Ce n'est pas ma faute si... mmh... si tu as une aussi grosse queue... »


Le ton était taquin, mais pas sarcastique. Et, aussi grosse fusse-t-elle, le cul de la blonde finira bien par s'y habituer rapidement. Celle-ci avait d'ailleurs commencé à remuer de concert avec son homme, reculant progressivement son bassin pendant que celui-ci avançait, s'empalant lentement sur son sexe et décuplant les sensations que lui procuraient ces lents va-et-vient.

« Han, ce que c'est bon... »

Au fur et à mesure, le rythme de ses pénétrations s'accéléra. Les coups de bassin d'Alan gagnaient en intensité, au même titre que ses pénétrations. Lisbeth en gémissait de plaisir, sans ménagement, plus fort encore que le bruit de ses fesses claquant contre le bassin de son homme. L'eau continuait de couler, chaude, au clapotis aussi irrégulier que leurs ébats, et générant une atmosphère vaporeuse. La mousse avait presque disparu de son corps, quelques reliquats subsistant sur les épaules et la poitrine de la jeune femme. Cette dernière, bien que solidement maintenu par les hanches entre les mains d'Alan, avait du mal à rester en place, glissant à moitié sous ses assauts. Peut-être aussi était-ce dû au fait qu'elle ne se tenait qu'à une main, l'autre s'étant dirigé vers son intimité, qui y frottait sensuellement son petit bourgeon de plaisir.

« Mmmhh... tu aimes ça, mh ? ... Me p-mmh-prendre le cul comme ça ... mmh... me baiser par derrière... comme une catin... »

Elle, en tout cas, oui, elle prenait son pied. L'avocate ne l'avouait peut-être pas explicitement, mais la manière dont elle gémissait de plaisir, et se déhanchait contre Alan, son sexe enfoncé en elle, cela ne faisait pas de doute. Elle savourait cette sodomie, dont la douleur diffuse était largement surpassée par l'excitation. Accompagnant sa tirade, Lisbeth s'était tournée vers lui, et vint fougueusement l'embrasser.

« Mmmh ! ♥ »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Initiation [Keira Metz]

Réponse 20 vendredi 07 septembre 2018, 08:27:59

Elle en profitait, évidemment. Alan le sentait, le percevait dans la manière dont elle se crispait. Liz’ ne cherchait pas à lui simplifier la tâche, et l’homme se pinça les lèvres, grognant doucement en se tortillant dans le dos de la femme, se serrant contre elle, venant la coincer régulièrement entre son torse et le mur carrelé. Il reniflait son cou, venait l’embrasser là, l’eau continuant à leur tomber dessus, le stimulant, l’électrisant. Cette douleur... Ah, cette douleur ! Elle était vive, forte, elle vous réveillait, elle agissait comme un coup de fouet régulier. C’est dans ce genre de situation que le sexe était à sa plus haute valeur. Douleur et plaisir n’appartenaient plus qu’à un même registre, car, même si Lisbeth devait souffrir en sentant le vit de son homme se planter en elle, lui aussi peinait. Sa queue glissait dans un espace bien trop étroit, et le frottement de la chair contre la chair provoquait aussi de la souffrance pour Alan. Grognant doucement, l’homme serrait ses mains quand il revenait en avant. Il donnait de grands coups de pilons, envoyant régulièrement le corps de Lisbeth s’écraser contre le mur, reprenant son souffle, et continuant ses coups de reins, cherchant à percer ce mur, à s’y enfoncer. Progressivement, il gagnait des millimètres, et cette sensation, ce sentiment de s’enfoncer en elle, de croître dans son corps... Tout ça avait de quoi le rendre fou.

Bien sûr, il était aussi motivé par els soupirs de Liz’, par ses provocations. Alan grogna quand elle ironisa sur « sa grosse queue », et répondit à sa manière, en l’embrassant dans le creux du cou... Et en la mordillant même.

« Ça le devient... Hm... Quand tu me compliques la tâche... »

Il soupirait encore, sa sueur se mélangeant à l’eau qui coulait, et continua à la pénétrer. Sa main se déplaça à un moment du corps de Liz’, s’appuyant contre le mur, y trouvant là un appui, tandis que, peu à peu, les parois anales de Lisbeth se dilataient, et que sa verge arrivait à se trouver une place. Les minutes ne comptaient plus, et il revoyait en Liz’ cette femme qu’il aimait tant. Oh, Lisbeth avait plein de qualités, mais, sexuellement, elle pouvait se transformer en une véritable furie, énergique, endurante... Et elle ne manquait pas de le provoquer, le faisant doucement sourire.

Alan n’eut aucune difficulté à rentrer dans son jeu, car cela faisait partie de leur rituel. Les injures, dans ce genre de cas, dans une sodomie, formaient un moyen d’extérioriser la douleur, de laisser parler ce volcan qui bouillonnait en vous.

« Pu-Putain, ouais, hmmm... Ton cul... Hmmm... Il est toujours aussi étroit, bordel... Hm ! »

Les deux amants continuaient à s’envoyer en l’air, Alan s’efforçait de la prendre sans répit, car il savait que c’était ce que Lisbeth aimait. Il l’avait initié à la sodomie, et il comptait poursuivre cela. De son point de vue, c’était une composante essentielle de leur relation, et il devait bien admettre que l’idée de corrompre, sexuellement parlant, une magnifique femme appelée à devenir avocate, à exercer un métier socialement réputé, tout en étant en parallèle une perverse aimait se faire prendre le cul et le sadomasochisme, l’excitait furieusement, et le faisait douloureusement bander. Alan vit d’ailleurs Liz’ se déstabiliser un peu, car elle se caressait intimement d’une main, ne s’appuyant plus que sur une seule.

Alan ne tarda pas à venir l’aider, approchant sa main de la sienne, et glissa ses doigts en elle, venant la masturber. Force est d’admettre qu’Alan n’avait jamais été un élève très doué, mais qu’il s’y connaissait plutôt bien dans ce domaine. Faire plaisir aux femmes, s’occuper de leur corps... Et celui de Lisbeth était un véritable régal, un bonheur assuré. Il adorait embrasser ce corps, la caresser. Chaque parcelle de la peau de Liz’ le faisait fantasmer, chaque millimètre de son corps parfait... L’homme grognait donc encore, et remonta sa main sur le ventre de la femme, caressant sa peau, la griffant même, pour pincer ensuite son sein. Il s’y cramponna, coinçant le téton de Liz’ entre deux doigts.

« Là, Liz’, hmmm... Tu aimes ça, h-hein ? Les orgasmes... Les orgasmes anaux, hmm... Que je te prenne comme une chienne... ! »

Ses paroles étaient entrecoupées de soupirs. Plus le temps passait, et plus Alan maîtrisait la situation, dans le sens où il s’enfonçait en elle, prenant son rythme, même si, paradoxalement, sa queue lui faisait de plus en plus mal. Il retardait ce moment, celui où il se relâcherait dans le cul de son amante. L’orgasme viendrait, c’était inévitable, toute la difficulté était de retarder ça le plus possible... Afin que Liz’ prenne son pied, et jouisse contre les carreaux de la douche.

Du point de vue d’Alan, c’était une merveilleuse façon de jouir !


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