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Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

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Alexandre Dowell

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Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 15 dimanche 25 mars 2018, 21:17:57

Terria était douée de son corps, indéniablement. Alexandre ignorait tout du passé de la jeune femme. Il avait compris qu’elle était une ancienne esclave affranchie, et, à la voir agir ainsi, quelque chose lui disait qu’elle n’avait pas été affranchie uniquement pour ses connaissances littéraires. Le sexe n’était pas une inconnue pour elle, et elle encerclait son membre tendu dans sa généreuse poitrine. Ses lourds seins masturbaient sa queue, l’étranglant dans un cocon de chaleur et de douceur, et elle donna sur sa queue une série de baisers, appuyant dessus, insistant longuement, léchant ensuite son membre. Alexandre soupira encore, longuement. Il parlait peu, et serrait d’une main les longs cheveux de la femme, maintenant ainsi sa tête en position. Le vampire n’était pas du genre à se retenir, car, comme Terria allait le voir, il contrôlait ses érections grâce à la maîtrise de son sang. Autant dire que cela faisait de lui un amant redoutable, comme bien des vampires.

« Terria, hmmm... Continue, ma belle... »

Au point où ils en étaient, le tutoiement était de rigueur. Qu’allait-il faire d’elle, à terme ? Il ne pouvait pas l’asservir facilement, vu qu’elle avait été affranchie. Elle devait donc disposer de la citoyenneté impériale, mais il savait aussi qu’elle n’agissait pas de manière purement désintéressée. Autrement, elle n’aurait pas été au Café du Triomphe, lieu connu pour le mécénat. C’est là que les gens en quête de soutiens venaient, essayant de flatter l’orgueil des aristocrates et des bourgeois. Le sexe était un puissant moyen de négociation, et Alexandre se laissait donc bercer. Les Dowell soutenaient plusieurs artistes, après tout, et il se voyait bien réserver à cette charmante jeune femme un traitement très spécial.

Pour l’heure, Terria lui prodiguait le plus grand bien, et, naturellement, ce qui devait arriver finit par arriver. Son sexe durcit encore, et Terria l’enfourna dans sa bouche, recueillant ainsi son jus. Les ongles d’Alexandre en griffèrent très légèrement Terria, et il se mit à jouir, se relâchant en elle. Son jus intime éclata dans sa bouche, sa queue se relâcha en elle, et Dowell soupira longuement, fermant les yeux pendant quelques secondes, crachant sa semence en elle. C’est ensuite avec grand plaisir qu’il vit Terria avaler son sperme, tout en se redressant, et en venant l’embrasser.

Alexandre lui répondit alors, et la serra dans ses bras, puis s’allongea sur elle, au milieu du lit. Sa langue s’enfonça dans la bouche de la femme, et, avec ses mains, il continua à la déshabiller. Des nœuds supplémentaires sautèrent, des attaches se rompirent, et la robe de Terria finit par tomber au sol. Sous cette dernière, elle portait de ravissants sous-vêtements, un corset avec une culotte. Ses doigts griffus se saisirent de la culotte, et il la déchira, la coupant en deux, dévoilant l’intimité de la femme, contre laquelle son membre durci se pressa. Les rougeurs de la femme l’excitait, l’enflammait. Il mordilla son cou, sans encore boire son sang, lui-même finissant intégralement nu.

Terria pouvait sentir contre elle le corps musclé de son amant. Il n’était pas un noble qui se laissait aller, mais quelqu’un qui entraînait son corps. Alexandre retourna goûter à ses lèvres, se déplaça encore, et s’unit en elle. Sa queue pénétra la femme, et il commença à remuer dans son corps, claquant sa chair contre la sienne. Sa main se saisit du corset de la femme, et il tira dessus, arrachant les nœuds, déchirant le sous-vêtement, et le jeta à son tour au sol, puis commença à la pénétrer vraiment, amplifiant le rythme, accélérant les mouvements. Brutal, intense, le vampire laissait parler la bête qui sommeillait en lui, et, quand il embrassa de nouveau Terria, si celle-ci aventurait sa langue en lui, elle pourrait se couper sur ses canines.

« Terria, hmmm... Tu es si bonne, haaaa... »

Finies, les envolées littéraires ! Cette fois, il n’y avait plus que le langage des corps, le claquement de la chair contre la chair, le plaisir qui éclatait entre les deux amants, impérial et jouissif !
DC d’Alice Korvander.

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Terria

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    Née Ashnardienne, mais fille d'esclaves, Amara s'affranchit de son passé sous le nouveau nom de Terria. C'est une grande femme qui aspire au pouvoir par tous les moyens possibles sans se soucier d'un égo ou d'une conscience. Suivant son propre code, elle cherche à trouver de nouvelles proies ou partenaires d'affaires.

Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 16 mardi 27 mars 2018, 04:35:20

Au sol gisait tout obstacle au contact de la peau. Robe, chemise et pantalon étaient éparpillés, témoignant des ébats des deux amants. Compte tenu de la proximité des êtres et de leur intimité, Terria se permit d'avancer dans la prochaine étape de la relation et tâter le terrain d'une entente.

- « Alexandre » Dit-elle pour la première fois.

Quittant la politesse, elle s'était adroitement rapproché de façon à maintenant, après lui avoir démontré son intérêt, qu'elle voyait en lui un égal à ses aspiration pour le pouvoir. Son appelation était à la fois une forme d'attention destiné à son interlocuteur, mais aussi une réponse mêlée au plaisir que celui-ci lui offrait, car elle n'était pas sans être également bénéficiaire de cet ébat.

Alexandre état penché sur elle et mordillait son cou de façon taquine pour stimuler encore plus le désir. Terria sentait les canines du vampire la languir. Aussi pensa-t-elle qu'il était là son plaisir, de la faire attendre et de l'avoir sous sa merci. Ce comportement lui rappelait celui de son ancien maître. Bien que Terria détestait cet homme, elle ne pouvait nier que ses connaissances en la matière dépassaient largement celles de ces demoiselles sophistiquées. Côtoyait plaisir et cruauté, Terria avait, à son insu, apprit à mêler plaisir, sexe et violence. Telle une âme brisée par un syndrôme, un apprentissage mensongé du réel plaisir de la chair, Terria prenait plaisir à être torturée. C'est pourquoi c'était une situation qui l'excitait. Chaque passage d'Alexandre sur son cou laissait un frisson quant à la puissance de sa machoire. C'était là le destin comique des deux amants. Chacun voulant contenir leur nature.

- « Ouf! Quelle rigueur! »

Sachant que sa robe l'avait laissée et que son dos était mis à nue, Terria vit le vampire la regarder. Contrairement aux autres hommes, celui-ci était plutôt intéressé à son parcourt. Les nombreuses marques qui tissaient son dos vint, au contraire, plaire à cet homme. Cette réaction lui allait à ravir. Alexandre s'était glissé en elle et faisait taper son membre proéminent contre ses parois. Pour quelques rare fois, elle pouvait goûter au plaisir d'une stimulation complète.

- « Tu te plonges complètement,... hmmm,... je dois avouer qu-,... hmmm,... que tu est divin. » fit-elle un peu à la blague de sa nature parente du diable

L'extase du moment lui parvenait et Terria ne pouvait s'empêcher d'apprécier encore plus sa rencontre avec ce noble. Celui-ci était réceptif au sexe, tout comme les autres nobles. Mais, Alexandre avait un penchant plus intense, possiblement à cause de ses attribut d'immortel, ce besoin sanglant.

- « Alexandre,... j'adore cette aventure. Je ne sais pas où elle mène, mais je sais qu'il,... hmmm! Qu'il y a un bon partit à tirer pour chacun d'entre nous! » Terria terminait abruptement sa phrase, soubresaut de la montée vers le premier plateau. Son entrejambe s'humidifiait davantage. De petites coulisses tombaient le long de ses cuisses. Le vampire allat, encore un fois, goûter à ses lèvres, ce qu'elle lui rendit, bien heureuse.

- « Je suis une femme d'affaire et je sais adroidement négocier. C'est l'accomplissement de mon affranchissement. » Fit-elle plus calmement

Terria regardait Alexandre dans les yeux, voulant lui permettre de bien lui faire saisir la profondeur de sa détermination. Et suivant son idée, elle se retourna pour lui faire dos. Elle saisit de chaque main une épine qui retenait encore quelques mèches de sa coiffure. Se crispant déjà du moment à venir, elle plongeant dans son passé. Venant s'écorcher la chair sous les omoplates de façon à faire ouvrir certaines de ses plaies, le sang se mit à couler. On aurait dit deux ailes rouges se dessiner dans le dos de la femme. Le regard sadique, fière et sure d'elle, Terria regardait Alexandre en attente de sa réponse, yeux mi-clos et bouche ouverte.


Alexandre Dowell

Créature

Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 17 mardi 03 avril 2018, 01:10:07

Alexandre avait juste appris, en réalité, à accepter ce qu’il était. Un individu plein de passion, empreint d’énergie, d’une fougue incroyable et d’une vitalité renforcées. Terria en avait fait les frais, et elle allait continuer à le subir davantage dans les prochaines heures. Le vampire allait en effet lui montrer qu’il pouvait être un amant des plus énergiques. Et la jeune femme n’était pas en reste. Malicieuse, elle n’hésita en effet pas à le provoquer, en allant jusqu’à se faire elle-même saigner. Surpris, le vampire sentit sa tête lui tourner en percevant l’odeur du sang, et poussa un léger grognement. Ses muscles se bandèrent sur place, et il cessa même, pendant quelques secondes, ses coups de reins, observant le visage de la femme.

« Tu joues avec le feu, ma chérie... »

Jadis, il aurait sans doute cherché à lutter contre ça, contre cette pulsion, contre cette soif qui l’élançait douloureusement... Mais pas là. Pas maintenant. Pas contre le corps nu et délicieux envoûtant de cette femme. Cette beauté l’appelait à revenir en arrière, à faire se régresser l’Homme vivant en lui au profit d’une bête assoiffée de sexe, une créature pleine d’envie et de désir. Il grogna encore, puis se rua alors sur elle, s’affalant de nouveau sur son torse. Les seins d’Terria s’enfoncèrent en lui, et, juste avant de la mordre, il glissa un simple mot, un ordre irrésistible.

« Griffez-moi. »

Loin d’être un repoussoir, la douleur avait souvent tendance à exciter les vampires. Alexandre planta ainsi ses crocs dans le cou de la femme, et commença à pomper son délicieux sang. Rapidement, le contact de ce délicieux nectar, inestimable, lui arracha un long soupir, et même sa queue sembla en gonfler. Il reprit en tout cas ses coups de reins, lourdement, furieusement, son gros membre défonçant l’intimité de la jeune femme. Soupirant encore, Dowell poursuivit son effort, abaissant et soulevant le corps de la femme, crispant son corps au sein, chair claquant contre la chair.

Un frisson supplémentaire traversa son corps, et il poursuivit ses coups de reins, buvant avec appétit son sang, mais non sans excès. Terria avait un sang très agréable, qui fondait dans la bouche, le genre de liqueur qui en redemandait. Le vampire y était très réceptif, et continuait à le boire avec envie, salivant sous ce contact. Son membre tendu était niché en elle, tout comme le reste de son corps, écrasant Terria sous sa masse. Ses mains se déplacèrent alors, griffant le corps de la femme, à hauteur de ses hanches, des côtes, des cuisses, tandis qu’il continuait à la baiser sèchement.

Finalement, au bout d’un moment, la bouche de Dowell se retira de la plaie, et, encore pleine de sang, il embrassa énergiquement la femme, fourrant sa langue dans sa bouche, serrant son corps musclé contre le sien, tout excité par son sang, enfiévré et emballé.

« Haaaa... Terria, hmmm... !! »

De fait, sous l’effet de cet afflux sanguin, sa verge avait effectivement gonflé, un peu comme celle de certains animaux, formant ainsi, à la base des lèvres intimes de son amante, un « nœud ».

Impossible pour lui de se retirer d’elle sans jouir, ce qui, fort heureusement, au vu de son emballement, ne saurait tarder !
DC d’Alice Korvander.

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Terria

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Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 18 samedi 07 avril 2018, 16:32:47

Les négociations allaient de bon train, vitesse des reins d'Alexandre. De sa plaie ouverte à nouveau, le sang ruisselait doucement sur son dos et parfumait légèrement l'atmosphère. Tel un champ de bataille d'Ashnard où la vie s'était écoulé des victimes du combat, c'était l'odeur préféré des vampires et ce qui avait valu une pause dans la dance corporelle de son amant. Ce dernier lui avait renvoyé une remarque qui avait flatté son égo, mentionnant sa témérité. Ceci lui valu un sourire en coin bien mérité, car l'activité reprit de plus belle. Revigorée, le vampire claquait les fesses de Terria de son bassin avec une nouvelle énergie.

Pressée contre son corps, Terria sentit, dans un souffle court, une demande qui lui était faite. L'instant suivant, les crocs de la bête se nichèrent dans sa nuque et elle sentie une faiblesse momentanée alors qu'une autre partie de son sang la quittait. Les yeux fermés, Terria sentait le plaisir mélangé à la douleur. Son corps y retrouvait une familiarité coutume, comme si la vue se sa mortalité lui était irrésistiblement séduisant. Seulement, le baiser de l'immortel était loin de ce qu'elle avait imaginé. Comme un venin qui avait pénétré son être, une paralysie l'immobilisa. Elle se contemplait d'être savourée et de l'animal qui venait peu à peu, remplacer l'esprit raisonnable d'Alexandre. Cette pente vers la passion, vers l'abandon, de se retrouver à nu avec l'instinct, Terria l'anticipait.

- « Hmmmph! »

Un frisson parcouru son échine, faisant lever son duvet et picota sa peau. Les secondes parurent comme des minutes. Terria avait goûté à toutes les sensations les plus douloureuses et les plus intenses. Elle sentit son âme flotter au pas léger au dessus de son corps, imaginant la situation un peu comme un observateur extérieur. Voyant le bel être qu'était Alexandre, homme puissant et pleins de ressources, se pendre à son coup pour aspirer, doucement et sans mauvaise intention, son essence. C'était paradoxalement l'essence même du vampirisme.

Un écho vint la réveiller de son état; la demande du vampire.

Terria ouvrit à nouveau les yeux. Soeur de la douleur, elle comprenait très bien ce que désirait son amant plus que tout. Un connaissant en la matière aurait pu vous informer de la source de ce désir dans les échanges. Vous dévoiler que la zone du plaisir est voisine de celle de la douleur et c'est ce qui porte un individu, dans certaines circonstances, à mélanger les deux pour arriver au coït. Seulement, pour les deux participants à ces ébats, la chose dépassait la théorie puisqu'elle avait une signification autre. Pour le corps de Terria, la douleur était un silex qui venait déclencher l'étincelle en elle. L'une des seules chose qu'elle femme abusée sévèrement pouvait encore ressentir.

Après un petit rire amusé de complicité et crispant ses doigts, un râteau d'ongles déferlaient sur le dos d'Alexandre, labourant sa peau comme une terre promise où l'on viendrait y cultiver le fruit défendu. Le vampire avait lui aussi ses ailes.

Puis il vint déposer le goût ferreux dans sa bouche, partageant l'expérience de la drogue des immortels. Terria ne pouvait dire qu'elle affectionnait autant que son partenaire la palette qu'avait à lui offrir son sang. Pour elle, l'expérience était tout autre, s'était comme embrasser la mort.

Ce fut après l'échange de leurs lèvres que Terria sentie au bas de son corps un nœud familier se former. Sans qu'elle n'ait à bouger, elle se concentra à refermer en elle ses parois afin qu'Alexandre soulage sa retenue et se libère en elle. L'effet de suction et la pression fut suffisante afin qu'elle sente ce fluide chaud exploser à la manière d'un volcan, libérant la semence en elle.

- « Ohhh ! » Fit-elle de plaisir

Terria pouvait sentir l'énergie du vampire à son comble dans cette nouvelle envolée. Elle le savait bien, car elle en avait fait l'expérience quelques temps plus tôt. Sa langue pouvait encore se rappeler du goût particulier de celui-ci. Et elle s'excitait à se remémorer le bouquet alors que la sensation de chaleur remplissait ses parois intimes.

- « Et alors, tu aimes aussi ce feu n'est-ce pas? Même s'il vient à te brûler un peu, il en vaut le coup. »

La femme prit un pas en arrière, faisant sortir le sexe de son partenaire et la coulée blanchâtre qui la suivait. Celle-ci faisait son chemin sur ses jambes. Terria aimait cet abus, mais se demandait si Alexandre ou plutôt si la nature vampirique de celui-ci pouvait être stimulée à nouveau et où en était ses limites. Se disant que ces derniers tiraient leur force du sang, il était juste de deviner que le noble était capable de demeurer fidèle au rendez-vous tant qu'il pouvait s'abreuver. Seulement, ce n'était pas le désir de Terria que de mourir dans l'extase aussitôt. Toutefois, elle devait avouer que tout ceci lui plaisait bien, d'avoir trouvé un homme capable de se renouveler.

Revenant se coller à son amant, elle entreprit de lécher certaines parties de son corps. Au début, les zones érogènes du haut de son corps, puis, elle traça un chemin vers son sexe afin de nettoyer, mais avant tout, partager cette agréable sensation encore une fois dans les soubresauts naturels du corps après l'atteinte de l'orgasme. Elle resta ainsi près de lui et se releva en position assise. Elle pouvait maintenant sentir une fraîcheur sur sa nuque où le sang avait perlé au niveau des deux nouvelles entailles de sa peau.

- « Alors Alexandre, il est vrai que toute bonne opportunité ne se présente pas à notre porte pour rien. Que souhaites-tu plus que tout ? Quel est ton désir le plus refoulé ? »

Alexandre Dowell

Créature

Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 19 lundi 16 avril 2018, 00:58:27

Alexandre était en train de passer un excellent moment avec cette femme. Une rencontre inattendue, une femme exceptionnelle... Il aimait la prendre, s’unir à elle, et son sang, délicieux et onctueux, remuait délicieusement dans sa bouche. Le goût délicieux de ce nectar fondait dans sa bouche, l’enivrant, et, quand les ongles de Terria se glissèrent sur son dos, meurtrissant sa chair, Alexandre en frémit davantage, poussant de profonds grondements. Ses canines se mirent à pointer, et le vampire continua à la bourrer, sèchement, durement, sa queue s’enfonçant énergiquement en elle, remontant sans relâche, son corps en sueur glissant sur elle.

« Oh... Amara, hmmm... »

Le vampire continuait à la bourrer, jusqu’à sentir sa queue se durcir encore. Il grogna une nouvelle fois, et se relâcha alors, jouissant copieusement en elle, se relâchant dans son délicieux corps. Il se trémoussa sur elle, répandant sa semence pendant une bonne minute. Comme toujours, Alexandre prenait son temps, et se montrait très généreux dans son plaisir. Il se relâcha ensuite progressivement, et finit par retirer son sexe du corps de la femme. Amara reprenait ses esprits, et se grimpa ensuite sur lui, se mettant finalement à califourchon, en sueur, mais indéniablement heureuse... Et très clairement magnifique.

Alexandre l’observa sans rien dire, couché sur le ventre, reprenant ses esprits. Même s’il venait de jouir, et même de bien jouir, sa queue était toujours là, témoignant de sa vigueur, et elle tapa contre l’ourlet de ses fesses. Alexandre l’observa alors. Amara s’offrait à lui, sans hésitation, et il caressa ses poignets, doucement, tendrement, avant de lui sourire.

« Parce que tu penses être en mesure de satisfaire mes plus profonds désirs, Terria ? »

Il remonta sa main, et caressa la joue de la femme. Son pouce glissa contre ses lèvres, et il l’enfonça sur sa langue, avant de déplacer encore sa main.

« Mais je dois bien admettre que je n’ai... Aucun fantasme en particulier qui n’ait pas été satisfait. »

Ses deux mains se déplacèrent alors, et il les posa sur les fesses de la femme.

« Il y a toutefois une partie de l’anatomie féminine que j’ai toujours aimé explorer... »

Et, après avoir dit cela, Alexandre serra ses doigts sur les fesses de Terria, les pinçant légèrement, crispant ses doigts dessus. Sa queue glissait contre la croupe de la femme, et, à cette idée, elle roidissait et se durcissait. Le vampire sourit une nouvelle fois, plus malicieusement, et continua à malaxer le cul de Terria.

Alexandre reprit ensuite :

« Mets-toi à quatre pattes, ma belle... Continue comme ça. Qui sait ? Peut-être même pourrais-je faire de toi l’une de mes concubines. Est-ce que ça te plairait, Terria ? »

En tout cas, il y pensait de plus en plus sérieusement...
DC d’Alice Korvander.

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Terria

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Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 20 mardi 17 avril 2018, 18:25:59

De par leurs ébats, les amants avaient fait avancer les aiguilles de l'horloge et poussé le soleil hors du ciel. Froide de sa dernière pluie, la nuit s'installait et chassait les bonnes âmes des rues pour y laisser les plus fins renards. Dehors, les pavés se targuaient d'une présence féminine en quête d'abondance et de prospérité. D'autres coins plus nobles profitaient de la garde de nuit, des yeux vigilants dans l'obscurité.

- « Ouf, ouf! » Soufflait légèrement Terria

Alexandre était un immortel, ainsi, il avait veillé bon nombre de nuits et goûté à tout ce que son coeur avait désiré. Seulement, qu'est-ce qui le gardait encore amusé et vivant? Terria ne pouvait imaginer comment un être accomplit pouvait encore chercher à continuer ses jours et ne pas choisir le repos éternel. Elle qui avait tout à prouver, traçait un long chemin vers son Graal.

- « Ngh! » Retenait-elle de plaisir

Le vampire semblait avoir prit intérêt pour sa personne. Elle remarqua que ce dernier dansait proche du pouvoir et d'une suprématie. Était-ce propre à tous les enfants de la nuit ou seulement un trait singulier? Aussi, à quel moment avait-il comprit le passé de Terria? La jeune femme se demandait si elle n'avait pas croisé celui-ci dans son ancienne vie. Chose certaine, Dowell ne lui disait rien, c'était pour elle une nouvelle aventure, un départ.

- « Encore! » Fit-elle de joie.

C'est cependant ce qu'elle aimait des hommes, leur force et leur fortune. Alexandre s'était montré des plus distingué et déterminés. Il possédait également la qualité de l'or en grande quantité selon Terria. De son oeil analytique, son esprit calculateur avait su remarquer des objets précieux et babioles anciennes qui décoraient la pièce, témoignant ses liens avec la noblesse Ashnardienne et de son âge avancé.

- « hmmm! » répondit-elle à la brutalité des mouvements de l'étalon

Ce qui nous ramenait à l'interrogation principale, ce que désirait Alexandre Dowell. Heureusement pour elle, celui-ci n'était aucunement à la recherche futile d'une épouse ou compagne de coeur, ce qui l'arrangeait bien. Celui-ci avait plutôt glissé une offre pour s'offrir une concubine. C'est probablement par cette relation et cette consommation de la chair sans contrat que les riches s'offraient la servitude de femmes aspirantes de leur protection.

- « C'est bon, tu est bon! » encourageait-elle.

Pour sa part, Terria n'avait pas envie d'être protégée de la sorte. Ayant servit également à l'un des plus grands avar en son domaine, Terria avait toutefois su récolter le savoir les secrets professionnels les mieux gardés. Ironiquement, c'est elle maintenait qui souhait faire fortune en usant des tactiques, parfois sur la limite déloyales, qu'elle avait soutiré. Comme quoi l’apprentie avait surpassé le maitre, se dit-elle.

- « Concubine? » répéta-t-elle en faisant mine d'être intéressé brièvement

La jeune entrepreneure profita d'un moment de répit entre l'un de leurs moments d'extases pour répondre à l'offre.

- « Je te propose plutôt un service différent, mais qui a tout à ton avantage; conseillère financière.Tu verras que j'offre un service particulier, une valeur ajouté. Car qui n'aime pas le sexe et le pouvoir que peux nous apporter l'argent? »

Voulant que son prochain client considère fortement sa proposition, Terria n'attendit pas pour reprendre avec force la stimulation. Alexandre se tenait prêt à tout, son membre était encore dressé et le corps abusé de Terria adorait le châtiment.

Alexandre Dowell

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Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 21 lundi 23 avril 2018, 01:23:18

Réalisait-elle seulement à quel point elle était privilégiée ? Alexandre lui proposait d’être sa concubine, une récompense qu’il n’offrait qu’aux personnes réussissant sincèrement à l’impressionner, ce qui n’arrivait pas tous les jours. Mais Terria avait tout pour lui plaire. Elle était belle, voluptueuse, mais également cultivée, avec un esprit vif qui ne pouvait que plaire au vampire. Il aimait être avec elle, il aimait sa compagnie, et il savait que cette première impression ne pourrait que se confirmer. Il ne comptait tout simplement pas la laisser partir. Alexandre aimait s’entourer de femmes comme ça. Belles, fortes, talentueuses, indépendantes et raffinées. À terme, il n’était même pas impossible qu’il envisage de conserver à jamais cet esprit et sa beauté, en lui offrant le rang suprême : celui de membre de son clan. Toutes les possibilités pouvaient s’envisager, et, du moins pour le moment, il trouvait qu’elle avait vraiment le bon profil. Mais ça, c’était peut-être aussi parce qu’il était sous l’état d’une excitation sexuelle prenante, qui l’empêchait de réfléchir calmement, et avait rempli son esprit d’images perverses et érotiques. Impossible de penser à autre chose, tout simplement.

Alexandre avait donc fait sa proposition, et se retira d’elle. Elle lui annonça vouloir être sa « conseillère financière », proposition qui ne manqua pas de le surprendre. Il avait vu ses connaissances littéraires, pas ses capacités économiques... Le vampire s’assit sur un fauteuil à côté, sa trique toujours dressée, recouverte de mouille. Ses mains se posèrent sur les accoudoirs, sa respiration étant lourde et profonde. De multiples gouttes de sueur décoraient son torse glabre et musclé.

« Empale-toi sur moi, ma chérie, et sache que je ne fais pas cette offre à la légère. En étant ma concubine, tu accèderas à diverses fonctions au sein de mon clan. Je ne te propose pas d’être l’une de mes prostituées, que ce soit clair, Terria, mais... De travailler étroitement avec moi. »

C’était une offre qu’il ne fallait pas refuser hâtivement. Mais, en attendant, Terria se redressa. Est-ce qu’elle réaliserait que son corps était insidieusement sous le contrôle du vampire ? Sa voix de velours, chaleureuse, était charismatique, autoritaire, l’empêchant de faire autre chose que lui obéir... Physiquement parlant, du moins. C’était comme si Dowell amplifiait le désir que la femme ressentait. Quoi de moins étonnant ? Ne disait-on pas que les vampires pouvaient embrigader des foules entières ? Qu’ils dégageaient un incroyable charisme contre lequel on ne pouvait que suivre ?

Alexandre en jouait, bien sûr, mais il n’influençait que le corps de la femme, que son désir, pas ses capacités intellectuelles. Et, d’ailleurs, il ne le faisait même pas totalement consciemment, c’était une conséquence de sa condition vampirique. Tandis que la femme se rapprochait, et lui grimpait dessus, Alexandre posa ses mains sur ses hanches, et approcha ses lèvres de ses seins, venant les suçoter, titillant un téton avec sa langue et ses dents.

« Pourquoi... Hmmm... Pourquoi vouloir la finance, ma belle ? Serais-tu une ancienne comptable ? »
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Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 22 jeudi 26 avril 2018, 16:32:43

Le sang de Terria bouillonnait à l'intérieur d'elle-même. Elle se sentait émoustillé de se frotter et de s'entretenir avec ce qu'elle comprenait de plus en plus, être un homme de grande puissance. Était-ce le fait qu'il la tenait, malgré elle, à sa merci. Mais elle savait qu'en tant que fin négociatrice, l'on se devait de refuser la première proposition. Aussi, savait-elle qu'Alexandre n'était pas une âme charitable, elle avait sentit en lui aussi, la force d'un esprit redoutable.

Elle comprenait que ce dernier prenait plaisir à l'échange et qu'il reconnaissait également le talent de son amante. Aussi, Terria se sentait-elle flattée de la proposition, mais elle avait en tête quelque chose qui pouvait leur faire profiter à plus qu'une entente sur les plaisirs des passions.

- « Une question des plus adroite mon cher. Je te rassure, les colonnes de chiffre ne m'intéresse pas et l'idée de pouvoir céder à ton corps et aux plaisirs ne peut se refuser. Disons plutôt que c'est la négociation qui est mon point fort. La richesse colle à la peau de certains hommes qui sont également ivres de la chair, lié à leurs passions les plus primales. Dans le bon contexte, ceux-ci ouvrirons leurs coeurs et donnerons accès à leurs secrets. »

Terria ne souhaitait en aucun point déplaire et arrêter le bon moment qu'elle passait en sa compagnie. L'immortel était aussi un idéal du sexe, bien au dessus de ce qu'elle avait expérimenté. Ses atomes crochus pour le plaisir sadique et la violence l'avait attiré. Quelque chose en elle ne pouvait lui refuser, car au plus profond d'elle avait-elle réellement envie de sa proposition pour le désir de continuer de façon volontaire leurs échanges.

Le membre dressé du vampire était hypnotisant, c'était comme si l'habitude du sexe avait reprit tout un autre sens avec Alexandre. Bien que ce dernier lui rappelait les désirs sombres des gens qui avaient abusés d'elle dans son passé, il était le fruit du perfectionnement physique et relationnel de plusieurs vie. Il n'était pas à douter que celui-ci incarnait tout à fait le dogme d'un esprit saint dans un corps saint. Encore fallait-il aviser que la sainteté n'avait aucun lien avec ce que l'église vouait aux plus valeureux. Non, la sainteté en son sens était la force divine de l'âme.

Fixant Alexandre dans les yeux, elle s’avança à quatre pattes vers l'éléphant. Le paradoxe de l'esclave affranchit, Terria appréciait s'offrir à son amant. Agenouillée à ses pieds, elle débuta par licher les orteils, livrés à l'acte de la bête. Sachant que le vampire devait apprécier tout comme elle l'idée de cette scène, elle sentit la main de celui-ci dans ses cheveux. À l'intérieur d'elle-même, elle espérait qu'Alexandre les tires comme en laisse.

Puis elle remonta ses jambes pour s'attarder au clou du spectacle. De sa langue furtive, elle alla englober la paire pendante. Caressant encore et encore les parties intimes de ses lèvres.

- « Alexandre, tu dégages quelque chose qui ne se reproduit pas ailleurs. Tu fais découvrir à ce corps qui a été mené jusqu'au paroxysme de la soumission, un plaisir inégalable. Tu m'a très bien fait comprendre que tu étais loin d'être une vulgaire brebis, mais bien tout l'âme d'un prédateur. »

Terria se targuait maintenant de la verge devant elle. De ses mains, elle griffait encore son partenaire en lui apportant plaisir au membre. Les sensations contradictoires étaient une façon d'aller cherche le maximum de stimuler et d'occuper l'esprit tout autant que l'attention. L'idée de pouvoir se livre encore et encore à cet homme la charmait, car jusqu'ici, elle n'avait jamais connu quelqu'un qui pouvait soutenir l'activité autant que lui. Pour l'égaler, Terria estimait qu'il fallait bien une légion et ça, elle en avait connu déjà des parties de débauches, plaisir des maîtres saugrenus.

- « Le fait de pouvoir te revoir si ce n'est que purement pour me mêler à ta sueur m'est déjà bien alléchant. Oui, je veux travailler avec toi Alexandre et déranger le monde de la finance. Comme tu le vois, je n'ai pas l'éthique des bons travailleurs, je suis plutôt du genre à penser que la fin justifie les moyens. Pense à moi comme un bras droit, une ressource te permettant d'aller chercher sous notre contrôle ceux qui s'enivrent de ce que jusqu'à présent, ton corps seul ne peux offrir, j'offrirai le mien. »

Les joues roses, elle remonta vis-à-vis Alexandre. Lui montra sa dévotion, elle s'empala, comme demandé, sur ce dernier. Ce geste lui fit également comprendre qu'elle n'avait aucun problème à exécuter tout type de travail avec son corps. Sa conscience avait déjà chassé il y a longtemps les remords du chantage sexuel pour arriver à ses fins. Ainsi c'est ce qu'elle voulait offrir à l'immortel. Pouvoir profiter d'elle comme une reine sur un échiquier, une pièce de choix et clef qu'il pourrait jouer afin de faire tomber tout adversaire qu'il désignerait.

Alexandre Dowell

Créature

Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 23 lundi 30 avril 2018, 00:53:12

Qu’allait-il faire de cette femme ? Oh, pour ça, il trouverait bien quelques idées ! Amara était une créature fascinante, qui dansait sur ses cuisses. Après avoir léché ses jambes, et son sexe, elle avait obéi. Libre, indépendante, mais toujours une simple humaine. Était-ce le charme magnétique du vampire qui jouait sur elle ? Alexandre savait que certains de ses ancêtres, très puissants, pouvaient user de leur magie vampirique pour influer sur les battements sanguins des humains, et parvenir ainsi à les hypnotiser. Les vampires pouvaient se montrer vraiment très puissants, et Alexandre s’était souvent demandé si, outre son charisme naturel et sa fortune, le succès qu’il rencontrait auprès de certaines femmes ne venait pas aussi, inconsciemment, de sa magie vampirique. Peut-être s’en servait-il sans même le réaliser ? Quoi qu’il en soit, Terria se trouvait sur lui, dansant sur son sexe, qui disparaissait dans les profondeurs de son corps.

D’une main, il tenait ses cheveux, les caressait, les griffant même, et, de l’autre, caressait le bas de son dos, s’appuyant sans vergogne sur ses fesses. Il les pinçait sans ménagement, frissonnant au contact de ce corps, aux soupirs de Terria, à sa peau tendre et chaude qui se pressait contre la sienne.

« Oui, hmmm... Un bras droit, hein... »

Elle l’amusait. Cette femme ne manquait pas de toupet, et, preuve de son expérience en la matière, arrivait tout à fait à tenir avec lui une conversation cohérente, tout en dansant sur sa verge. Peut-être aurait-il dû s’en sentir un peu frustré, mais il savait qu’il n’avait pas à rougir de la taille de son sexe, ou de ses performances en la matière. Il sentait l’excitation de ses partenaires à travers leur sang, et s’était souvent amusé à en jouer. À travers le sexe, à travers la pratique, on apprenait étrangement à contrôler bien plus facilement son rythme sanguin, et les conséquences à en tirer.

Alexandre cligna des yeux, et se redressa brusquement, s’extirpant du fauteuil. Debout, l’homme alla plaquer Terria contre le plus proche mur, écrasant son corps contre le sien, sa verge retournant s’enfoncer en elle, jusqu’à la garde. Il soupira en sentant les mains de la femme se crisper à son cou, afin d’y trouver un appui, et commença à la bourrer, s’enfonçant en elle, se retirant pour s’y glisser de nouveau. Son sexe l’élançait douloureusement, cette douleur jouissive et bienvenue, annonciatrice du plaisir suprême. Elle agissait comme un fouet sur lui, le stimulant, le dynamitant, occupant toutes ses pensées, remplissant son esprit, l’empêchant de penser à quoi que ce soit d’autre. Le vampire se laissait absorber par cette vague, bien incapable de la repousser. Ses canines pointèrent quand il retourna embrasser la femme, fourrant sa langue dans sa bouche, jouant avec elle, avant de grogner contre son cou, léchant sa peau... Pour finir par y planter ses dents, par y déposer sa marque. Mais pas d’absorption sanguine, car il en avait déjà bu, il se contentait juste de lui rappeler qui il était. Ses yeux se froncèrent légèrement, et ses dents s’imbibèrent quand même d’un liquide pourpre. Quand il retira ses dents, deux lignes de sang coulèrent délicatement de l’épaule de la femme, tandis que Dowell reprenait ses coups de reins, avec une intensité renouvelée.

« Tu seras ma concubine, répéta-t-il alors. Tu ouvriras tes cuisses et ton cerveau pour moi, ma belle. Ta beauté, tes charmes, ton talent... Ne crois pas que je laisse mes concubines dans un placard doré. Tu participeras au rayonnement de mon clan, tu me conseilleras, tu séduiras... »

Il la prenait encore, ne faisant plus qu’un avec elle. Lui, le puissant vampire ashnardien, noble héritier d’une lignée millénaire. Elle, la jeune esclave qui, le long de ses doigts, pouvait sentir l’occasion de se hisser dans l’échelle sociale. Non pas redevenir une esclave, mais une femme influente, qui userait de tous ses charmes au service d’une cause qui les dépassait tous deux. Dowell continua à la prendre, imperturbable, témoignant de la vigueur exceptionnelle des vampires en la matière. Il se délectait de ses gémissements, de ses couinements, et s’assurait de la faire hurler, que ce soit en la mordant, ou en la pinçant, n’hésitant pas à tirer sur ses tétons, ou à donner volontairement d’épais coups de reins, sa queue se retirant presque intégralement, avant de s’enfoncer brutalement, faisant rebondir le corps de la femme contre le mur.

« Comme une véritable Ashnardienne... Voilà ce que je te propose, Terria, ma belle... »

Pour paraphraser les Terriens, c’était là une offre qu’on ne pouvait pas refuser.
DC d’Alice Korvander.

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Terria

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    Née Ashnardienne, mais fille d'esclaves, Amara s'affranchit de son passé sous le nouveau nom de Terria. C'est une grande femme qui aspire au pouvoir par tous les moyens possibles sans se soucier d'un égo ou d'une conscience. Suivant son propre code, elle cherche à trouver de nouvelles proies ou partenaires d'affaires.

Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 24 vendredi 11 mai 2018, 04:54:21

En son passé, le corps de la femme avait goûté aux pires supplices. N'étant pas conçu pour autant de sensibilité, Terria avait, avec le temps, perdu la joie de la douceur et de la tendresse. Ironiquement, la douleur était devenue pour elle sa source de plaisir et le destin avait fait en sorte de répondre à la fois à son désir pour le pouvoir et à des désirs plus primaires. Ce que le vampire ignorait était la profondeur de l'intérêt de Terria pour sa violence et sa richesse.

Aussi, se trouvait-elle attirée à un autre niveau envers cet homme. Une sorte d’emballement instinctif, comme un parfum voilé qui faisait réagir ses hormones. La créature qu'était Alexandre avait tout à apprendre à la jeune affranchie au sujet des vampires. Celui-ci prit l'opportunité qui s'offrait à lui et la plaqua au mur, question de lui faire goûter de quoi ses dons de la nuit lui permettaient d'accomplir. La pénétrant sans relâche, il s'offrait les plaisirs de la chair délectant aussi l'odeur du sang en plantant ses canines sur le cou de la belle.

Toutefois Terria était avant tout une femme d'honneur en ce qui touchait le domaine des affaires. Certes vicieuse, charmante et prête à tout, mais trouver des alliés forts était de se mettre un joueur de plus dans son camp; ce que la défaite de son ancien maître lui avait apprit.

En réalité, se livrer à Alexandre pour ces ébats ne limitait en rien ses ambitions, elle avait bien compris que toute personne avait un prix et c'était celui d'Alexandre. Seulement, cet échange du sexe pour l'accès au pouvoir se faisait entre adultes consentants plutôt que par la force. Si Terria se donnait des airs de soumise, c'était car elle sentait bien que son amant appréciait sa dévotion pour la chose. Elle n'était pas dupe de penser que les immortels trouvaient réconfort dans la reconnaissance que pouvaient éprouver les mortels de leur propre sort, elle aurait fait de même.

- « Tu as bien compris Alexandre, ma possession la plus intime; mon corps ... »

Continuant de faire aller ses lèvres, Alexandre se lança plutôt dans un autre sujet à la recherche de la langue de celle qui sellerait cette entente. Même ce baiser avait tout pour lui rappeler sa nature et son appartenance pour une famille qui partageait la vie avec la mort. Terria ne pouvait, devant la force et l'emportement de son partenaire, s'empêcher d'émettre des signes flagrants de son appréciation. L'attention que portait Dowell l’amenait à verbaliser haut et fort sa jouissance alors qu'elle s'encrait dans son dos comme l'arbre qui s'enracine au sol pour contrer la tempête. Le tout n'était pas sans laisser de marques, ce qu'Alexandre semblait apprécier également.

Habituée à ce rythme effréné, elle avait prit le moment de savourer pleinement les joies que lui offrait cette passion brute. Reprenant son souffle, elle envoya son regard rencontrer celui de son nouveau partenaire d'affaire.

- « Prendre la poussière ne m'a jamais intéressé. Alexandre, si ton offre et tes ambitions sont à la hauteur de ce que tu laisses entrevoir, alors j'oeuvrerai pour faire de toi l'immortel le plus puissant si tu me laisses aussi ma part évidemment. »

De manière sensuelle, elle passa sa langue sur ses lèvres puis se pencha sur la poitrine de Dowell. Léchant la sueur qui perlait sur le corps de ce dernier, Terria goûtait à sa manière le corps d'un immortel. Était-ce là la façon de sceller un pacte ou d'en redemander de façon galante ?


Alexandre Dowell

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Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 25 dimanche 13 mai 2018, 21:06:36

Alexandre prenait goût à cette femme. Il ne s’en cachait pas, bien au contraire. Elle était délicieuse, pimpante, pleine d’énergie et de séduction contenue. Le vampire la prenait donc énergiquement, son sexe s’enfonçant en elle, remuant dans son corps. Ils ne faisaient plus qu’un tandis qu’il lui avait fait une offre qu’elle ne pouvait pas refuser. Devenir sa concubine... Elle ne servirait pas que comme meuble. Alexandre sélectionnait avec soin les femmes proches de lui. Elles étaient belles, bien entendu, mais aussi intelligentes, douées, cultivées. Elles l’aidaient dans ses tâches, et il ne les prenait pas à la légère. Terria était en réalité une sorte d’exception, vu comment Alexandre avait rapidement proposé à elle de le suivre. Il avait senti en elle son potentiel, son énergie, et il ne comptait évidemment pas passer à côté. Mais, cette fois, plus de palabres, ni de discussions. Le vampire était élancé dans cette danse frénétique, dans l’appel des corps, dans le frottement et le claquement de la chair contre la chair.

Soupirant doucement, il retourna sur le lit, emmenant avec lui Terria, et la mit à quatre pattes. Dowell agissait rapidement, de manière autoritaire, la dominant. Le mâle vampirique en action qui s’empressa ensuite de pénétrer encore Terria, son sexe retournant s’enfoncer en elle, se mêlant au sien, fusionnant pour son plus grand bonheur.

« Hmmm... »

Ses mains serrèrent ses fesses, griffant parfois sa peau, et il n’hésita pas à la gifler, abaissant sur elle sa main à plusieurs reprises. De belles claques, qui résonnaient dans l’air, pendant que le vampire continuait ses coups de reins. Imperturbable, Alexandre savait y faire. Il maîtrisait son rythme cardiaque, afin de faire durer le plaisir, de le prolonger tout en continuant à coucher avec elle, à la baiser sèchement.

« Ma douce Terria, hmmm... »

Les pulsions profondes du vampire revenaient en lui, et il continua donc à la prendre, tout en grognant sur place, continuant à suer, et à la gifler.

« Là, voilà... Hurle, ma chérie, allez... »

La violence était indissociable du sexe, a fortiori quand on couchait avec un vampire.

« Allez... HURLE, ma salope !! » intima-t-il, d’une voix grave et profonde.
DC d’Alice Korvander.

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Terria

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Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 26 dimanche 10 juin 2018, 00:38:09

Terria voyait en son partenaire, une facade qui tombait peu à peu, comme une fissure sur un visage parfait. Alexandre était avant tout une créature de la nuit, cette cohabitation avec la mort ne pouvait laisser aucun homme inchangé.

Cela dit, ce dernier prenait une teinte de plus en plus sombre, de par son comportement et son vocabulaire. Régressant de la passion à l'impulsion, le raisonnement s'effritait. Cependant, malgré cette approche aggressive qu'il avait, il était important de se demander quels étaient les impacts chez elle.

Toute la brutalité que déversait Alexandre sur son corps avait un effet probablement inverse à ce qu'une personne saine pouvait penser. Le plaisir que lui conférait la performance de son nouvel arrangement la ravissait. Voilà que celui-ci voulait la faire hurler, mais hurler de plaisir. Cette touche si romantique, vous l'aurez convenu, valu un sourire qui se transformait en rire. C'était, là aussi, une forme de plaisir. Terria se sentait comblée, pour le moment, tant sur le plan physique que ses émotions. C'est cette étrange concoction qui lui fit entrer en transe.

-Hehe...hehe...hehehe....ahhhhAHHHHHH!!!....hehe

Pour hurler, elle hurlait, saccadé de petit gémissements. Le visage de la bête retentissait devant elle, perché et entêté à la pénétrer sans relâche. Elle vint lécher son visage où découlait et perlait la sueur de dure labeur.

Sans en être consciente, Terria sentait une pression, comme quelque chose venant de l'au-delà, mais qui venait la chercher par une chaleur et un mysticisme.

-A...a...AHHHHHHHH!

Une sensation nouvelle, une intonation à sa voix qui semblait ne par venir d'elle même; Terria se demandait bien si elle n'engendrait pas une voix inexplorée avec Alexandre. Faute d'expérience, elle n'avait jamais fait l'amour avec un vampire autrement.

Combien de temps s'était-il écoulé depuis leur rencontre? Terria n'en avait pas la moindre idée. Quoi qu'il en soit, sa mortalité la rattrapait peu à peu. Perte de sang et activités de haute intensité commencement à l'épuiser. Elle doutait pouvoir être à la hauteur d'Alexandre, mais se consolait de tout le bonheur qu'elle avait su en tirer.

-J'aimerais bien vous entendre hurler également mon cher.

Se fiant sur la façon dont le corps d'Alexandre avait réagit, Terria ouvrit ses mains à la manière d'un animal qui déploie ses griffes. Ses nouvelles armes du plaisir allèrent se planter dans la chair, cherchant à travailler les sensations de son partenaire. Dans un autre effort sadique, Terria mordu l'intérieur de sa lèvre et sa langue pris, pour une fois, l'initiative d'aller chercher sa semblable.

Alexandre Dowell

Créature

Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 27 lundi 11 juin 2018, 00:44:33

Tant de contenance et de maîtrise chez Alexandre... Il était comme une digue face à une mer qui, continuellement, remontait. Un barrage qui risquait à tout moment de se rompre. Les êtres humains étaient par nature violents, car ils étaient à l’image de la Nature. Et la Nature était violente, dure, cruelle, sauvage... Il n’y avait aucune raison que l’Homme soit différent. Malgré tous ses efforts, Alexandre ne pouvait lutter contre ce cocon de violence, cette pulsion de colère, qui résidait en lui. Il était civilisé, il était éduqué, expérimenté, cultivé, mais il y avait cette bête en lui, ce totem de violence, qui ne demandait qu’à sortir, qu’à s’exprimer. Alexandre la prenait énergiquement, et se délectait de ses cris, de ses hurlements. Sa violence, il l’exprimait ainsi, et elle était d’autant plus forte qu’il était un prédateur, un chasseur, un vampire !

L’homme se régalait du corps de Terria, de sa douceur, de ses formes généreuses, de ses courbes langoureuses... Tout en elle aspirait à la volupté, au luxe et à la sensualité. Elle était belle, délicieuse, et l’homme se plaisait à la prendre, à la faire sienne. Ses oreilles se régalaient de ses hurlements, et il continuait à la labourer, la pénétrant, fusionnant avec elle. Leurs lèvres se mélangèrent encore, partageant un nouveau baiser, et Terria, retrouvant visiblement un peu de contrôle sur elle-même, assura qu’elle voulait aussi entendre Dowell hurler.

La phrase lui arracha un léger sourire, et il caressa son visage, ralentissant légèrement le rythme, tout en restant planté en elle. Pour le séparer du corps de la femme, il allait falloir s’accrocher. Alexandre ne faisait plus qu’un avec elle, et reprit ses coups de reins quand elle le griffa, arrachant sur son corps plusieurs frissons.

« Haaa, ma belle Terria... Me faire hurler, h-hein ? Hmmm... »

Elle n’avait peur de rien ! Alexandre continua donc ses coups de reins, motivé comme jamais, sentant la douleur perler le long des ongles pointus de la femme.

« Griffe-moi bien, Terria, hmmm... La douleur, haaaa... Si exquise, hmmm... »

Alexandre ne pouvait que profiter du corps onctueux de la femme, savourant pleinement cette dernière, et il avait bien hâte de voir de quoi Terria allait être capable. L’homme continuait en tout cas à la prendre, et finit par inverser les rôles. Il donna un coup de bassin, et se retrouva sous elle, bien décidé à la voir agir, à lui montrer de quoi elle était capable.

« Danse, ma chérie... Danse sur moi ! »
DC d’Alice Korvander.

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Terria

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Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 28 dimanche 01 juillet 2018, 16:41:52

Le vice de la luxure, c'était ce pas qu’emboîtaient les coups d'Alexandre et que Terria appréciait autant. Ceux-ci s'y étaient mouillés, ayant trempés leurs lèvres et autres parties intimes dans la passion torride. Ce qui liait ces deux amant n'était aucunement de l'amour, car pour qu'il y ait amour, une certaine amitié devant s'être formé. Ici, bien que les principaux intéressés s'étaient engagés à se revoir encore et encore, ce n'était que pour participer à nouveau à cet échange ou encore pour des matières commerciales.

Le voile de la nuit avait recouvert la ville de son manteau noir à paillettes où scintillait les plus belles pierres. D'autres lueurs avaient commencées à apparaître dans le paysage de la ville. Terria reconnaissait l'heure, car c'était son moment de prédilection pour sortir et guetter.

« Ahh,... mghhh... »

La droiture d'Alexandre suggérait une bonne forme physique liée à l'escrime ou encore à l'équitation. Les mains de Terria s'amusaient à accentuer le plaisir en allant caresser ses courbes et le petit bouton de chair au dessus de ses lèvres. Le sexe de son partenaire se frottait jovialement contre ses parois intimes usant de la friction et de ces accolades internes. D'un coup de bassin, Alexandre renversa la situation et Terria pu aisément libérer ses mains pour s'emparer du sort de son amant.

« Te griffer? »

Un petit sourire naquit sur son visage amusé. Terria débuta par glisser, sans opposition, ses doigts élancées sur le visage d'Alexandre. La douceur qui était empreint de ce geste était pour ne pas abîmer la beauté de celui-ci. Elle se présentait aussi comme étant l'antithèse de la suite.

« Avec joie! »

Dès que ses ongles atteignirent le cou de la bête, ceux-ci tentèrent d'agripper la chair de l'homme. Accrochant sur leur passage, la poitrine, les côtes et ses reins, Terria s'assurait que tout endroit susceptible de le faire réagir soit dérangé. Par la même occasion, elle avait entrepris de dégourdir ses hanches, faisant onduler son ventre pour créer une douce suction à l'intérieur.

Le contraste s'accentua lorsque les mains de Terria, coulant et déchira sur leur passage le corps d'Alexandre, arrivèrent aux cuisses de ce dernier. Les ongles se raidirent et se plantèrent dans la chair. Avec cette prise, son corps se souleva, comme par légèreté. Le vampire reconnaissait ici la valse qu'il avait demandé. D'un coup de tête, la jeune femme fit aller ses cheveux trempés de sueur. L'ascension stoppa et une descente comparable à la voluptuosité de l'élévation suivit pendant que s'enlisaient dans l'épiderme de l'amant, la délicieuse souffrance désirée.

Alexandre Dowell

Créature

Re : Café du Triomphe [PV Alexandre Dowell]

Réponse 29 lundi 09 juillet 2018, 00:45:50

Alexandre prenait singulièrement son pied avec elle. Terria était une amante... Exceptionnelle. Il l’avait maintes fois pensé, il l’avait laissé entendre, et tout cela ne cessait de se confirmer au fur et à mesure que lui et elle continuaient à faire l’amour. Elle dansait désormais sur lui, en position dominante, une posture d’amazone, qui lui plaisait. Une posture marquant sa supériorité, mais Alexandre n’était pas non plus rétrograde au point de s’insurger de la position dessus de la femme. Et quelle beauté ! Là, avec cette vue en contre-plongée, Alexandre pouvait observer ses magnifiques formes langoureuses, son corps parfait, ample, sa grosse et agréable poitrine... Elle dansait sur lui, et, lui obéissant, ne tarda pas à faire parler ses ongles, arrachant au vampire des frissons et des soupirs. En, retour, lui crispa ses mains sur le postérieur de la femme, soupirant longuement, un sourire rêveur sur le coin des lèvres :

« Là, vas-y, Terria, n’aie pas peur... Les vampires apprécient la douleur. »

Bien plus que les humains, en réalité ! Terria continuait à s’empaler sur lui, accélérant le rythme, et il l’amena en avant, venant lui voler un baiser, le corps de Terria se courbant souplement vers le sien. Une main sur ses cheveux, il conservait l’autre bien en appui sur son cul, malaxant sa douce chair, sentant sa verge enfler et grossir au fur et à mesure que le temps passait. Elle recommença ensuite à danser sur lui, et le vampire la laissa faire, avant de remonter ses mains, palpant les seins de la femme. Il pinça ses tétons, tirant dessus, la faisant couiner à son tour, un sourire joueur sur les lèvres.

« Là, ma belle, danse-toi bien... Ensuite, je recommencerai à te baiser comme tu l’aimes ! »

Mais, avant ça, il voulait lui montrer qu’il était résistant... Et donc, tenir jusqu’à l’orgasme, jusqu’à ce que la jeune femme ne jouisse contre ses cuisses. C’était là son objectif, et il comptait bien le réaliser !
DC d’Alice Korvander.

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