Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

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Cara Teixeira

Humain(e)

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Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 15 mardi 07 août 2018, 18:23:20

Sous ses doigts de brute, sous ses attentions tantôt douces, tantôt rudes, le corps de la sorcière réagissait. Elle s'épanouissait presque sous ses coups de reins, sous ses caresses, elle gémissait, lascive, alors que la douleur qu'il faisait naître en elle se mariait au plaisir, au désir, et la propulsait dans un monde embrumé, où sa réflexion n'était que secondaire.

Quand il l'embrassa, elle répondit avec une passion non feinte. Elle se cambrait sous ses assauts, ses seins s'écrasant contre le matelas. Ses gémissements s'étouffèrent un instant contre les lèvres de Vaas, avant de reprendre avec plus d'intensité, ponctués par un petit cri étonné quand il la griffa. Pas parce qu'il y eut une pointe de douleur, non. Mais parce que ça a provoqué un petit pic de plaisir. Elle a sentit ses reins se serrer, ses muscles se contracter, alors que la flambée de désir redoublait d'ardeur.

« Oh oui, Vaas, ouiii, souffla-t-elle en griffant les draps, rejetant la tête en arrière. »

La musique les accompagnait, et la belle se surprit à apprécier le rythme. A balancer ses hanches pour coïncider avec les différents accords. Elle criait parfois, de plus en plus souvent, et poussaient ses reins vers l'arrière, entrechoquant leurs bassins avec un air d'extase peint sur ses traits. La vapeur hallucinogène emplissait à présent la chambre, et elle se livrait toute entière à son amant. A son petit-ami. N'était-ce qu'un jeu, vraiment ? Elle ne savait plus trop. La déclaration du mâle la prit de court, chamboulant ses idées déjà confuses, aussi fut-elle heureuse de répondre au baiser, soupirant contre ses lèvres, relevant une main vers lui pour agripper sa nuque, pour approfondir encore cette étreinte buccale, avant que les lèvres ne glissent contre son cou, contre sa poitrine aux pointes fièrement dressées.

« Oui... Oh oui, mon amour, hurla-t-elle presque en avançant son bassin contre le sien, griffant également sa chair alors que la passion emplissait son esprit, son corps. »

Et sourit, joyeusement, ses prunelles pétillant d'un plaisir intense, ses pupilles largement dilatées, encourageant son amant à se montrer fougueux, puissant. L'encourageant à la mouler à sa taille, à ses caprices. Ce n'était plus seulement un psychopathe à ses yeux. C'était son psychopathe, son guerrier, pourfendeur de pureté, son chevalier puissant, son amant ardent. Elle se prenait à son jeu, se fondait dans son rôle.

« Je t'aime aussi, cria-t-elle alors que ses reins se contractaient violemment, que son cœur s'emballait, que son corps semblait prendre feu vu la chaleur qu'elle ressentait. »
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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 16 mercredi 08 août 2018, 03:01:44

Entre eux, c’était désormais une alliance sacrée, une saine et profonde union. Vaas avait trouvé son égale, sa moitié, celle qui allait la tirer vers le haut, faire de lui un meilleur homme.... Sa raison de vivre. Son Ange de lumière, qui brillait devant elle. Les vapeurs la recouvraient, donnant à cette scène surréaliste une ambiance psychédélique. Il sentit les mains de la femme griffer sa chair, ramonant son dos comme pour creuser dans sa chair afin d’y faire pousser une multitude de fleurs. La musique rugissait dans sa tête, rugissait en lui. Il était le Roi Lion butinant sa Cheetah, copulant sauvagement avec elle. La sueur glissait le long de son corps, ses yeux s’écarquillaient régulièrement. Tout nu, Vaas était aux anges, et l’embrassa encore, fourrant sa langue dans sa bouche, sentant la femme se serrer contre lui.

« Oh, bébé, bébé, bébé... ! » répéta-t-il entre ses lèvres closes.

Il ferma les yeux, se cambra doucement, et s’unit pour de bon avec elle. Vaas accéléra le rythme, plus fortement encore, et, quand la musique atteignit le point d’orgue, tous ses sens s’enflammèrent. Le lit brûla, les murs explosèrent, les fenêtres se fracassèrent, une gigantesque explosion qui se concentra ensuite entre ses cuisses, au bout de ses testicules, dans sa lance. Un jet blanchâtre jaillit pendant un temps éternellement suspendu en l’air. L’Ange hurla également, brisant tout sur son passage, comme une vague se transformant en un torrent déchaîné balayant toute la flotte partie à l’assaut de son port.

Vaas s’abandonna donc en elle, et se relâcha progressivement. Ses muscles se détendirent, et il ferma les yeux en s’abandonnant, soupirant gravement, jouissant en elle. Toutefois, si Cara avait cru que cet orgasme mettrait fin aux pulsions de l’homme, elle n’avait qu’à sentir sa tension quand il cessa de remuer. Il avait assez longuement joui, mais sa verge restait encore bien rigide. Ses yeux se rouvrirent alors lentement, et il lui sourit. Sa main remonta, et caressa doucement la joue de la femme, de son bel Ange de luxure.

« T’es magnifique, poupée... Mais il faut t’aider à planer, tu sais, ou tu ne pourras jamais prendre ton envol. »

Le mercenaire se redressa alors, délaissant le corps de la femme, puis tendit sa main vers ses affaires, et récupéra son pantalon. Il fouilla rapidement dans une poche, et en sortit une boîte spéciale, comprenant des gélules très spéciales. Il regarda encore la femme en souriant, puis lui en tendit une.

« Ça... Ça, ma beauté, c’est le Saint-Graal de tout ce qui est le Graal ! » s’exclama-t-il, sans véritablement prendre conscience que sa phrase ne voulait rien dire.

Ce qu’il lui offrait était l’une des drogues spéciales conçues sur Rook Island, du rakyat. Une drogue rare, qui boosterait les capacités de Cara, surtout en matière sexuelle. De quoi offrir à ces deux amants endiablés un rodéo phénoménal.

Nul doute que Vaas aurait besoin d’aide pour satisfaire son Ange, qui allait sous peu devenir une Archange !

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Cara Teixeira

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Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 17 vendredi 10 août 2018, 01:13:09

Oh, ce plaisir, cette chaleur ! La musique et les vapeurs embrumaient Cara, mais le plaisir achevait de la rendre incapable de réfléchir clairement. Le corps de son amant pressé contre elle, en elle, la faisait bouillonner. Et l'orgasme dévastateur qui la ravageait lui faisait perdre la tête. Elle se sentait alanguie, entre ses bras, repue, satisfaite. Mais c'était loin d'être fini. Son inexpérience n'était pas un soucis, son instinct prenant la relève, mais son endurance n'était pas encore au top. Pas comme celle de son compagnon, toujours aussi rigide en elle malgré la jouissance généreuse dont il venait de l'abreuver.

Haletante, elle pencha légèrement la tête, savourant la caresse de Vaas contre sa joue. Elle lui sourit en retour, féline, câline. Qu'il était attentionné envers elle, quand même ! Un vrai prince charmant. Un petit soupir déçu s'échappa alors que sa chaleur s'écartait, qu'il allait récupérer des pilules. Se redressant sur un coude, la sorcière observa le barbare avec curiosité. Ses pupilles étaient toujours dilatées, offrant à son regard une aura étrange. Elle acquiesça, ne prenant pas non plus conscience que la phrase n'avait pas vraiment de sens, et se redressa.

Assise sur le lit, elle serra les cuisses, comme pour empêcher que ne coule ce qui restait de la présence du psychopathe en elle. Elle frissonna, un pic d'électricité partant de ses chairs sensibles pour irradier son corps, et accepta la gélule qu'il lui tendait. Elle tendit la main vers le verre d'eau posé sur sa table de chevet, et un soupçon de magie instinctive, incontrôlable de façon consciente, l'attira à elle. En totale confiance face à celui qui venait d'investir sa demeure en défonçant la porte principale, elle avala la gélule avec une grande gorgée d'eau.

Si les premières secondes, la Sang-Pur ne constata aucun effet, ses pupilles ne tardèrent pas à se dilater un peu plus, mangeant presque totalement la délicate teinte noisette des iris. Prenant une inspiration tremblante, alors qu'elle sentait son corps fourmiller soudain d'énergie, qu'elle ressentait le manque de la présence de Vaas en elle, Cara cligna des yeux. Elle leva le regard vers son amant, son petit-ami, et sourit en découvrant l'aura qui l'entourait. Il respirait le danger, le sexe, la folie. Mais elle trouvait ça charmant. En fait, il ressemblait vraiment à un prince, à ses yeux. Grand. Nu. Glorieux.

Avec un petit soupir, elle se laissa glisser à bas du lit, ses genoux venant cogner le tapis qui recouvrait le plancher. Ses cuisses luisaient, de son plaisir à elle, et à lui. Elle l'attira contre son corps tremblant, ses mains s'accrochant à ses hanches. Puis la droite glissa, venant encercler la base de son sexe tendu, souillé de leurs fluides mêlés. La brune leva un regard de pure adoration vers Vaas, appréciant sa vigueur mâle, son attitude virile.

« Oh, mon amour... Tu es si fort... Tu es si... Aah... chaud ! »

Elle ponctuait ses mots de coups de langues, de baisers, contre l'érection, le nettoyant, le lubrifiant de plus belle. Elle se cambrait, offrant sa croupe à son regard, alors que ses cuisses serrées retenaient (bien mal) le sperme et la cyprine qui s'écoulaient de sa fleur rougie.

« Dis-moi ce qui te ferais plaisir, mon chéri... Je te comblerais au mieux. Tout ce que tu voudras... Souffla-t-elle d'une voix basse, rauque, affamée. Dévouée. »
« Modifié: dimanche 12 août 2018, 14:17:59 par Catalina Taylor »
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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 18 dimanche 12 août 2018, 11:52:46

Il existait différentes manières d’administrer du rakyat, certaines plus intenses, plus pures, que d’autres. La seringue restait le meilleur moyen de s’envoler durablement au Paradis, mais Vaas n’en avait pas en stock, et, avec son érection, il ne se sentait pas en état de piquer sa douce Ange. La gélule restait la meilleure solution, mais n’offrait qu’une dose de rakyat concentrée, qui partait rapidement. Toutefois, l’adrénaline avait pour effet de prolonger les effets. Et le sexe était toujours un bon moyen de déclencher ce neurotransmetteur. Le rakyat permettait d’ailleurs de libérer l’adrénaline, qui battait en ce moment dans les veines de la femme. Elle frémit sur place, avant de se déplacer, tombant au sol. Vaas la suivit, restant toutefois debout, face à elle.

Le contrebandier prenait très souvent du rakyat, et profita d’ailleurs du fait d’offrir une gélule à Cara pour en prendre lui-même deux. Il prenait cette drogue depuis bien plus longtemps qu’elle, et son corps avait eu le temps de s’y adapter, de sorte qu’il devait régulièrement augmenter le dosage. Il ferma brièvement les yeux en avalant le rakyat, sentant rapidement sa gorge en feu. Pendant quelques instants, sa vision devint floue, tous ses sens se dilatant, ses mains parcourues par des tremblements nerveux. Vaas secoua doucement la tête, se calmant petit à petit, son rythme cardiaque s’emballant démesurément pour revenir à un rythme normal, tandis que, sous les yeux de Cara, ses délicieuses attentions sur le sexe de Vaas se concrétisèrent. La queue de l’homme, tout de même légèrement rabougrie après sa jouissance, se durcit brusquement, et fortement, sa queue enflant même sur place, se redressant devant l’Ange. Elle était là, devant lui, délicieuses créature qui dardait sa lance pieuse d’exquises offrandes. Ses coups de langue étaient divins, ses baisers remontaient sur la surface de son sexe, et faisait trembler tout son corps. Comme électrisé, Vaas l’observa silencieusement, la voyant se dandiner sur place. Elle avait beau faire tout son possible en serrant les cuisses, son sperme coulait tout de même lentement, ornant les cuisses de la femme, qui lui demanda ce dont il avait envie avec elle.

Son bel Ange de lumière qui flamboyait devant lui, telle une flamme incandescente, un feu d’artifice de couleurs et de sensations qui se concentrait à hauteur de ses lèvres.

« Tout ce que je veux, mi Princeza… Mais c’est tout que je veux avec toi. Tout. Je prends le ticket pour la version longue avec toi, bébé. La version longue, avec le supplément et tous les bonus post-générique qui vont avec. »

Elle était un sacré rodéo. Une montagne russe XXL où Vaas grimpait sur le ménage, faisant un tour dans le bolide jusqu’à atteindre la stratosphère, pour filer ensuite dans des virages et des rapides qui semblaient percer le mur du son. Que faire avec elle ? Ce n’était pas ça, la question ! Non, la vraie question, c’était de savoir par où commencer. Vaas était un affamé face à un buffet royal, un buffet de chair, de formes, de courbes, de sexe et de stupre. Par où poursuivre ? Il avait déjà planté sa marque en elle, il avait déjà fait d’elle son Ange, son cadeau, son bouquet. Maintenant, il fallait la consommer pleinement.

« Tu as l’air bien parti comme ça, mon Ange… Et, puisque tu veux garder ma semence, prends ma queue en bouche, et suce-moi bien, comme tu sais le faire. Tu n’auras qu’à conserver ma semence entre tes belles lèvres d’Ange pendant que je te ramonerai la dunette arrière. »

Son insolente croupe allait y passer. Ça, c’était autant une certitude que le soleil qui se lève à chaque matin !

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Cara Teixeira

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Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 19 dimanche 12 août 2018, 14:46:45

Sous ses doigts, entre ses lèvres serrées, la verge enflait. Redevenait aussi dure que précédemment. La sorcière soupira de plaisir en l'avalant encore plus loin entre ses lèvres, en la nichant contre sa gorge délicate, en y forçant le passage jusqu'à pouvoir embrasser son aine, jusqu'à pouvoir caresser les bourses encore pleines de ses lippes affamées. En le voyant arriver, elle n'avait pas pensé à apprécier autant  la soirée. Elle n'avait pas songé à quel point il serait délicieux de s'abandonner. A quel point elle voudrait s'avilir, s'enfoncer dans le stupre, dans la folie. Les vapeurs hallucinogènes avaient déjà commencées à lui faire voir des licornes roses et autres conneries psychédéliques. A considérer le psychopathe comme son chevalier de luxure. Mais la drogue qui courait dans ses veines, à cet instant, magnifiait le tout. Elle se sentait importante, encore plus qu'en tant que fière Teixeira, garce sang-pur de la haute société magique. Encore plus qu'en tant que femme d'affaire de génie qui a su se créer une petite fortune à elle, sans piocher dans l'héritage familial, juste avec son petit cerveau malin et sa puissance magique considérable.

Un gémissement s'étouffe contre l'épée de débauche de Vaas, et elle suce, elle aspire, elle cajole. Elle se fait féline, gourmande, affamée. Elle le nettoie, elle le déguste. Son propre goût, mélangé à celui de l'homme, se mélange dans sa bouche, sous sa langue audacieuse. Cara est fière de le sentir aussi rigide en elle, fière qu'il bande aussi fort pour elle. Son beau chevalier, son amour, son amant. Et elle le pompe, alternant les rythmes, se fiant à ses réactions pour trouver ce qui lui plaît le plus. Ses mains caressent avec ferveur sa peau brûlante, la chair tendre de ses bijoux mâles, avant de remplacer ses lèvres qui, elles, se relayent contre le corps du psychopathe. Qui viennent aspirer, laper, les bourses sollicitées.

« Oui, mon chéri, mon trésor... Souffla-t-elle en pressant la chair roide entre sa poitrine arrogante. Remplis-moi, je n'attends que ça... »

Et elle vint reprendre sa queue en bouche, accélérant le rythme, s'empalant sur la rigide virilité, cherchant à en extraire tout le suc, tout ce qu'il voudrait lui offrir. Eeeet... Sans les mains ! La brunette ne garda que ses lèvres et sa langue en action sur le corps du mercenaire, ses mains venant flatter son propre corps, se glissant entre ses cuisses luisantes. Ses doigts s'insérèrent dans sa fleur souillée, s'y frayèrent un passage aisément, avant de revenir caresser son bourgeon avec doigté. Elle remonta, étalant un peu plus le sperme et la cyprine mêlée, caressant sa peau enflammée par un désir ardent, venant presser les rondeurs de son buste. Ses reins ondulaient, avides de se sentir possédés à nouveau. Une lueur concupiscente enflammait le regard brûlant de la sang-pur. Son beau chevalier, sauvage, était si doux à goûter. Si délicieux à aspirer, à humer. Elle gémit sans retenue, maltraitant sa poitrine alors qu'elle était impatiente de le sentir se répandre à nouveau entre ses lèvres. Et elle s'empala, plus vite, plus fort, sur sa queue lubrifiée, nettoyée. Plus loin, y restant parfois de longues secondes, à en faire couler des larmes de joie au coin de ses yeux.

Son corps souple tremblait presque d'impatience, luisant de sueur, mais aussi de leurs fluides mêlés qu'elle étalait avec ses doigts en cherchant à soulager la tension croissante, encore, qui naissait en elle. Qui la rendait fébrile. Enflammée. Très, très enthousiaste. Indécente et impudique. Dépravée. Oh oui, cette nuit était magnifique. Les couleurs dansaient devant son regard quand elle levait les yeux vers Vaas, quand elle le lâchait un instant, l'écrasant contre sa poitrine brûlante. Le feu courait dans ses veines, chevauchant l'implacable désir qui s'y était ancré.
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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 20 lundi 13 août 2018, 00:54:25

Ensemble, ils ne faisaient plus qu’un. Deux cœurs battant pour former le même atome. Vaas était depuis le début conquis par cette femme, par son Ange, par cette Reine qui vivait seule dans son grand manoir, à attendre désespérément la venue de son amant pour la saillir, pour ne faire plus qu’un avec elle. C’était une symphonie magnifique, et Vaas s’y enfonçait. Cara dansait sur son chibre, le prenant entre ses lèvres, l’enfermant dans un cocon de chaleur et de salive. Lui, brave mercenaire, ne voyait qu’une onde de couleur et de saveurs, le visage blanchâtre de Cara semblant s’illuminer à chaque mouvement buccal. Il déglutit lentement, crispant ses mains sur ses cheveux, et un profond soupir le traversa une nouvelle fois. Vaas la laissa venir, il la laissa jouer avec lui, accompagnant ses mouvements, de profonds soupirs remontant le long de sa poitrine. Cette femme était tout simplement merveilleuse, et il ne voyait pas comment le dire, il ne voyait pas quels mots rendraient justice à sa beauté. Son Ange, sa perfection. Elle se concentrait, et retira sa bouche. Une salive lumineuse en jaillit, semblable à une cascade de perles brillantes, et il la vit se redresser, écrasant ses seins contre son sexe, enfermant sa lance de missionnaire dans des dunes de chaleur, de douceur et de tendresse.

« Ah, mon Ange, haa... »

Vaas avait parfois les yeux écarquillés sous les vagues de désir, son visage ressemblant alors, très brièvement, à celui d’un dément. Puis ses mains revenaient se serrer sur les cheveux de la femme. Il lui faisait confiance et la laissait faire, la laissait s’approprier son sexe, sa masculinité, sans jamais craindre quoi que ce soit. Qu’aurait-il à craindre d’elle, après tout, si ce n’est une overdose de bonheur ? Elle malmenait son sexe, et les minutes s’écoulaient, le rakyat le rendant assez résistant, très endurant.

Puis Vaas en eut assez, et se pencha vers elle. Il avait encore en tête la vision de son insolente croupe, de son fessier, un spectacle alléchant, irrésistible, qui hantait son esprit, et lui revenait régulièrement en tête. Ces deux boules remuant tendrement, accolées l’une à l’autre, moulées dans un écrin de blancheur.

« Mets-toi à quatre pattes, mon Ange, montre-moi ton derrière, il est temps que ton fondement devienne le Mont Pompée en éruption. »

Il la laissa se mettre en position, ondulant des hanches, succube magnifique. Vaas en aurait volontiers versé sa larme, troublé devant tant de beauté, tant de grâce, tant de... Tant de perfection ! Il se pencha vers elle, et ses mains se posèrent sur chacune des fesses de la femme. Là, ses doigts pincèrent la chair, la compressant entre ses ongles, en sentant la douceur, mais aussi la fermeté, la tendresse... Une texture qu’il éprouva en la giflant, avant de glisser ses pouces sur la croupe, écartant les plis de chair pour révéler la zone défendue, un léger trou, une petite porte discrète, timide.

Un sourire sur les lèvres, Vaas se rapprocha lentement.

« Coucou, toi... Viens voir Papa. »

C’était comme si ce fondement lui parlait, comme si des filaments magiques en sortaient pour l’appeler, pour l’attirer. Sa langue sortit de ses lèvres, et il attaqua cette partie, la léchant tendrement, enfonçant le bout de sa langue, forçant le passage. Le corps de garde s’écarta lentement, la porte se soulevant de quelques millimètres, juste assez pour qu’il puisse continuer son office. Il la prépara donc, puis se redressa alors. Son bassin tapa contre le sien, sa lance heurta sa chair, glissant sur cette peau lumineuse. Là, devant lui, il la voyait, dos déployé, des ailes lumineuses, blanches et dorées, sortant de ses omoplates, avec des pointes de rose.

Son Ange prêt à l’envol, attendant le signal pour que le feu jaillisse de ses entrailles.

« VOLE AVEC MOI, BÉÉBÉÉ !!!!! »

Et sa queue se planta d’un coup en elle. Une onde de douleur fulgurante le traversa, et Vaas éclata de rire tandis que la douleur explosait en eux.

« HAHAHAHAHAHAHAHAAA !! DROIT AU PARADIS !!!! »

Et, tout aussi instinctivement, l’une de ses mains vint violemment gifler la croupe de sa partenaire, de son Ange qui décollait avec lui vers les cieux infinis !

DC d’Alice Korvander.

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Cara Teixeira

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Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 21 dimanche 11 novembre 2018, 19:51:39

L'esprit troublé par la drogue, les sens enfiévrés par leurs étreintes, la brunette était affamée, docile, épanouie. Elle relâcha doucement sa prise sur l'organe mâle toujours aussi vigoureux, adressant un long regard enflammé à son amant. Son prince, son chevalier. Elle souriait, largement, en se mettant en position. Ses paumes à plat sur le tapis moelleux qui la préservait du plancher, ses genoux également posés, souplement, contre les fils de laine douce, Cara releva ses reins, présentant avec joie sa croupe à Vaas. Elle tourna la tête vers lui, attentive, impatiente. Ses prunelles brillaient d'une flamme aussi lubrique que celle qui hantait le regard du psychopathe.

Quelques gémissements lui échappèrent en le sentant s'approprier sa chair. Ses mains chaudes qui englobaient ses fesses, qui les maltraitaient, cette légère, si légère, douleur quand elles claquaient contre sa peau pâle, autant de sensations qui achevaient de la rendre à nouveau prête, trempée et soumise. Elle pencha la tête, ses longs cheveux bruns masquant temporairement ses traits, alors qu'elle agrippait le tapis. La langue de Vaas la chamboulait, lubrifiant, préparant son corps pour cette chevauchée qu'elle attendait tant. Ses lèvres entrouvertes laissaient passer un souffle court, lourd, impatient. Un petit cri jaillit de sa gorge alors qu'elle le sentit qui se pressait soudain contre elle. Elle était aussi détendue que possible, avec le Rakyat. Les yeux fermés, elle voyait quand même les couleurs qui tourbillonnaient derrière ses paupières closes. Elle avait l'impression de voir la scène, comme si elle était détachée de son corps. Comme si elle observait avec un appareil moldu qui permettait de voir les signes de chaleurs dans le noir.

Et ils étaient chauds, bouillants, tous les deux.

Un grand cri s'étouffa contre ses lèvres pincées, mordues, quand il s'implanta en elle. Un geste brusque, brutal, qui écartait rudement les parois souples de sa croupe, qui s'appropriait cette entrée comme un chevalier conquérant. Douloureusement. Magnifiquement. Elle n'avait pas les idées claires, et la douleur la fit se cabrer. Mais elle aimait ça. Oh oui ! Et à nouveau, elle cria. Un mélange de joie, de souffrance. De folie.

« Mon Prince, haleta la sorcière, quelques instants plus tard. Conquiers-moi, souilles-moi, défonces-moi, laissa-t-elle échapper avec un petit cri tandis qu'elle creusait les reins. »

Son prince, son petit-ami, si doux, si dur ! Elle ondula doucement, son corps s'habituant progressivement à cette bestiale intrusion. Elle en voulait plus. Qu'il fasse encore claquer sa chair, avec son bassin, avec ses mains. Qu'il prenne pleinement possession de son corps, qu'il le modèle à grand coup de queue rageurs. Et elle prenait les devants, poussant sur ses genoux, amenant leurs corps à se joindre intimement, avant de s'avancer, creusant l'écart entre leurs chairs brûlantes, ne laissant que l'extrémité de la hampe masculine en elle. Et à nouveau, plus fort, plus vite, elle s'empalait. Elle tremblait, entre plaisir et souffrance, dissociée de son corps, et pourtant plus présente que jamais.
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Vaas Montenegro

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Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 22 mardi 13 novembre 2018, 22:18:44

C’était une conséquence naturelle, physiologique, du rakyat. Cette drogue si particulière boostait considérablement le corps humain, et l’adrénaline battait furieusement dans les veines de Vaas. Outre le côté psychédélique de la chose, il était aussi bien plus énergique, bien plus vigoureux. En temps normal, cela le rendait plus dangereux au corps-à-corps, plus résistant à la douleur... Mais, en matière sexuelle, cette situation le rendait bien plus intense, et bien plus... Violent. Son Ange dut le sentir rapidement, car Vaas se mit à la prendre vigoureusement. Sa trique était bien dure, et, tandis qu’il sentait sur son sexe le délicieux nectar lumineux de la femme, il continuait à la besogner, s’enfonçant en elle, la prenant jusqu’à la garde. Vaas retirait ensuite sa queue aussi loin que possible, et clignait des yeux devant cette rivière d’étoiles.

La cyprine de la femme luisait, comme des vers lumineux, des fils argentés qui s’entortillaient autour de son chibre. Un spectacle magnifique, qu’il observa pendant plusieurs secondes, et qui l’aurait presque ému. Quelle magnificence, quelle... Quelle beauté !

« Tu es magnifique, poupée... Magnifique... »

Elle luisait comme un soleil, son étoile, un phare de brillance. Il retourna la pénétrer, plus fortement encore, donnant de solides coups de reins. Vaas s’en serrait les dents, pinçant ses lèvres, et soupira encore. Il avait un bon rythme, soutenu, prodiguant à sa délicieuse partenaire une levrette magnifique et endiablée. Vaas lui démontrait toute son énergie, ressentant également pour Cara un attrait supplémentaire, une excitation forte et sauvage. Cara était magnifique, une créature de pure beauté, un Ange de lumière.

Les minutes défilaient tandis que Vaas, sans relâche, continuait à la prendre. Ensemble, ils ne faisaient plus qu’un, un même corps dansant à l’unisson, un même battement de cœur. Vaas continuait à la caresser, et sa main remonta jusqu’à se saisir de ses cheveux. Des cheveux qui brillaient, ses cheveux noirs s’entrecoupant de mèches dorées et radieuses. Il tira alors dessus, relevant le corps de la femme. Bien sûr, il ne forçait pas trop, car il ne tenait pas à arracher ses cheveux, mais il comptait bien la faire planer. Et, le pire, c’est que la douleur ne ferait qu’exciter davantage la sorcière, comme une conséquence du rakyat qui palpitait dans ses veines.

« Hmmm... Mon Ange, hnnnn... »

Il relâcha ses cheveux, et gifla ses fesses, poursuivant ensuite son étreinte. Son membre s’enfonçait longuement en elle, et il poussa en avant, renversant la femme, et s’allongea sur elle. Elle se coucha sur le dos, et il l’embrassa à pleine bouche, enfonçant de nouveau son dard en elle, s’unissant avec elle dans un cocktail explosif et kaléidoscopique de couleurs dorées.

Au Paradis, voilà où il se trouvait !

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Cara Teixeira

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Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 23 samedi 17 novembre 2018, 20:13:55

Oh, elle était étroite, la petite sorcière. Elle était encore novice, dans tout ça. Son corps était encore ferme et serré. Et Vaas la pourfendait avec vigueur, avec brutalité. Et elle avait mal, mais elle aimait ça. C'était son Prince, qui l'honorait, qui marquait son corps de sa présence. Qui lui faisait tant de bien, tant de mal ! Elle ne songeait plus à sa baguette, gardée par cette petite pétasse moldue. Le Rakyat la subjuguait. Les couleurs, devant ses paupières closes, l'enchantait. Et la queue de son amant, si dure, si bonne, la renversait.

Poussant sur ses bras, alors qu'une prise dans sa crinière la forçait à se redresser, Cara enroula une main autour de la nuque du psychopathe, un peu à l'aveugle, pour s'y retenir, pour que ses formes se calent contre sa silhouette parfaite. Sa peau brûlante contre la sienne, les battements de leurs coeurs qui s'emballaient, c'était si bon. Elle ne savait plus vraiment si elle avait mal, ou si elle prenait du plaisir. C'était à la fois les deux, et rien de tout ça. La souffrance semblait booster la chaleur entre ses reins. Elle ne s'imaginait pas appréciant cette pratique, et pourtant... Pourtant, il semblerait que plus son Prince la malmenait, plus elle adorait.

Le poids de l'homme contre son dos la fit sourire. Gémir. Elle se crispa, se resserrant autour du membre qui la dévastait, et un petit cri quitta ses lèvres, alors que son corps s'écrasait sur le tapis. Brusquement. Elle cria à nouveau. Relâchant la nuque de Vaas, elle profita de ce qu'il quittait la chaleur intime de son corps pour rouler souplement, ressentant dans son dos les fils de laine du tapis qui la chatouillaient légèrement. Elle releva les cuisses, et enroula ses jambes autour de sa taille, pour mieux le retenir. Pour mieux profiter de ses muscles qui roulaient sous sa peau, de son sexe qui revenait en elle, qui repoussait sa chair qui voulait déjà se refermer, se resserrer.

Son cri s'étouffa dans sa gorge, contre les lèvres de son Prince qui venait l'embrasser. Elle s'agrippa à lui, répondant avec ardeur au baiser, sa langue cherchant la sienne, jouant contre et avec. Ses reins malmenés bougeaient d'eux-mêmes, son bassin rencontrait celui de l'hidalgo, sa rondelle se serraient autour du membre lubrifié qui glissait presque avec facilité en elle à présent. Elle n'avait pas regardé, mais sans doute que quelques gouttes de sang se mêlaient à la cyprine et au sperme qui maculaient ses cuisses. Qui facilitaient la progression de Vaas en elle. C'est qu'il n'y avait pas été de main morte. Sans la drogue, elle aurait sûrement chanté un autre refrain.

Une de ses mains glissa le long du corps mâle, caressante, curieuse, joueuse. Elle s'inséra entre eux, un doigt venant frotter légèrement sa perle avant de s'aventurer plus bas, dédaignant son intimité pour glisser plus bas encore, suivis du reste de la main. Entreprenante, même si elle n'était pas certaine que cela plaise à Vaas, elle caressa ce sexe veiné qui s'enfonçait en elle, qui poussait, qui écartait sans ménagement ses chairs sensibles. Elle étala un peu plus encore leurs sécrétions, et sa main finit par se refermer doucement sur les bourses, caressante, affectueuse, alors qu'elle mordait doucement la langue ou les lèvres de son Prince, qu'elle se cabrait sous lui pour en avoir encore, pour accompagner, amplifier, ses coups de reins.

« Oh, Vaas... Soupira-t-elle contre ses lèvres, léchant d'une façon presque obscène ses lèvres. Oh mon Prince, j'aime tant quand tu me possèdes ainsi ! »

Elle serrait parfois un peu plus fort contre les testicules, massant cependant ces organes avec dévotion. Elle avait chaud, trop chaud. Tout était si coloré, si... Irréel ! Et son corps qui tremblait de plaisir.... Ses muscles qui se crispaient, annonciateurs d'une vague de sensations dévastatrice... Était-il possible, pour la sorcière, de se laisser avilir de la sorte par un moldu ? Apparemment, oui. Mais pas n'importe quel moldu. Son moldu. Son Prince.
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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 24 mardi 20 novembre 2018, 08:19:55

L’Ange et le Prince... Les deux ressemblaient à une sorte de conte de fées lumineux et psychédélique. Vaas flottait en-dehors de son propre corps, chaque coup de reins, chaque coup planté dans la chatte de son Ange, agissant comme un coup de fouet qui le ramenait sur Terre. Il était dans son propre univers, un monde jouissif et exquis où rien d’autre ne comptait que le sexe. Vaas adorait cela, tout simplement, et il ne se lassait tout simplement pas du corps onctueux de la femme. Le rakyat ne faisait qu’amplifier sa beauté surnaturelle, le sexe le plongeant dans un moment guilleret. Là, allongé contre elle, il la pénétrait, ne faisant plus qu’un avec elle. Et son Ange la surprit encore, déplaçant sa main, profitant du très faible espace entre leurs corps respectifs pour caresser ses testicules. Il frémit à ce contact, qui amena une vibration supplémentaire dans son corps, qui se traduisit autour de son sexe, et donna un coup de reins supplémentaire, arrachant à la femme un nouveau soupir, et un coup de griffe de son dos. Vaas l’embrassa alors, à nouveau, plaquant son corps en sueur contre le sien. La drogue circulant dans ses veines le rendait particulièrement endurant, permettant à cette séance de durer, et ce pour leur plus grand plaisir mutuel.

Il n’aurait jamais cru rencontrer une telle femme en venant ici, un tel Ange. Elle rayonnait encore de pureté tandis qu’il l’embrassait, étoile vivante et bouillonnante, cocon de chaleur et de douceur sous son corps. Vaas lui sourit encore, et alla embrasser son cou, mordillant le creux de sa peau, léchant sa chair, s’imbibant de son odeur, de ses cheveux, de la douceur de sa peau, de la tendresse de son corps.

« Oh, ma belle, hmmm... Oui, oui, mon Ange, mi amor ! »

Vaas n’allait nullement se formaliser qu’elle joue ainsi avec ses testicules, mais cette surcharge de plaisir complémentaire commençait doucement à l’approcher du point de chute. Il sentait le point de rupture, tandis que tout devenait blanc autour de lui, plus lumineux. L’excitation sexuelle entraînait un accroissement de l’adrénaline, et le rakyat réagissait en conséquence. C’était comme le point d’orgue de son trip. Il flottait dans le cœur en fusion d’une étoile en train d’entrer en supernovae, ne contrôlant plus rien, et ne cherchant plus à rien contrôler. Le contrebandier se laissait porter par elle, baignant dans la mouille de la femme... Et se pinça les lèvres, puis banda les muscles, en sentant le soleil exploser.

Son membre se tendit au maximum, et se relâcha ensuite. Une secousse spongieuse, s’accompagnant de son sperme, son foutre chaud qui jaillit dans le corps de la femme. Il jouit en elle, jouissance de plaisir suprême, un orgasme qui le traversa de part en part. Son corps se plaqua contre le sien, l’écrasant sur place, tandis que sa semence chaude se répandait en elle, venant la marquer, venant la saillir, venant faire d’elle sien et de lui sienne. L’orgasme le traversa donc, et il jouit pendant une bonne dizaine de secondes, crachant des filaments de sperme en elle.

« Là... Voilà, ouii... »

Vaas soupira doucement, commençant à retrouver une vision plus normale, et embrassa la femme à nouveau. Il venait de la marquer, de la posséder, et laissait l’adrénaline redescendre dans ses veines. Sage et apaisé, il était en ce moment heureux, ce qui se voyait dans la manière dont son corps était détendu, et observa la magnifique femme devant elle, la voyant sans tous les artifices lumineux... Et elle restait ce qu’elle était à ses yeux : une sorte d’ange rayonnant, une femme très belle.

L’homme la regarda encore, et sa main caressa doucement le visage de la belle femme, tandis qu’il repensait aux récents évènements, mais choisit de dire la seule chose qui lui venait à l’esprit :

« Tu es... Bonne. Je n’aurai jamais cru que ce manoir a priori vide habiterait une beauté comme toi. »

Croire qu’il en avait fini avec elle, sexuellement parlant, serait une erreur.

Mais il arrivait même à Vaas d’avoir parfois quelques brefs moments de lucidité.
« Modifié: samedi 24 novembre 2018, 17:45:29 par Princesse Alice Korvander »

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Cara Teixeira

Humain(e)

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Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 25 mercredi 21 novembre 2018, 12:34:46

La musique du rez-de-chaussée ne semblait pas atteindre l'esprit de la sang-pur. Elle était entièrement consacrée au plaisir qui faisait vrombir son corps, qui faisait s'emballer son cœur. Il n'y avait que Vaas qui comptait. Que son corps chaud pressé contre le sien. Que sa queue raidie qui labourait ses entrailles. Que ses bourses pleines que la brunette caressait, massait, serrait entre ses doigts aventureux. Il n'y avait que cette souffrance qui irradiait dans chacune de ses cellules, qui se métamorphosait en plaisir intense.

Les dents du psychopathe dans son cou, ses lèvres, sa langue... C'était presque trop. Elle s'arqua brusquement contre lui, provoquant sans le vouloir un changement d'orifice. Mais c'était tout aussi bon de le retrouver à défoncer furieusement sa matrice. Et à le sentir s'y relâcher une nouvelle fois. Entre ses muscles intimes fermement serrés, la queue toujours aussi rigide tremblait, inondait ses chairs féminines.

« Va-aas ! Couina-t-elle, a bout de souffle, avant de s'abandonner aussi à l'orgasme. Aaah, mon Prince ! »

Ses bras s'enroulaient autour de sa taille, de la même manière que ses jambes, ses ongles griffaient passionnément la peau masculine alors que ses reins se contractaient, accueillant tout autant l'offrande qu'il lui faisait que le pic de jouissance qui étreignait son corps. A bout de souffle, sa voix se brisa dans ses cris, et -enfin- ses muscles se relâchèrent.

Elle resta un instant perdue, l'intensité de son plaisir ayant été inédite, et elle papillonna rapidement des paupières, cherchant à retrouver une vision normale, claire. Sans grand succès. Sa cage thoracique, et sa poitrine orgueilleuse, se soulevaient de façon vive, erratique, alors qu'elle haletait toujours. Un petit gémissement langoureux accueillit les paroles de l'homme qui parvenaient à percer le brouillard de son esprit. Et elle se tourna à demi, revenant se lover contre lui. Ses doigts légers vinrent caresser son corps, s'attardant sur ses biceps, ses hanches, chatouillant le bas de son dos.

« Je... Je n'aurais pas cru non plus, au départ, que tu pouvais être si... Mh... Que ça pourrait être aussi bon, mon Prince, souffle-t-elle, incertaine de réussir à s'être exprimée comme elle le désirait. »

Son esprit était toujours embrumé par la drogue. Elle était toujours sous l'emprise de cette langueur, de ce plaisir qui s'attardait dans chacune de ses cellules.

Un sursaut de lucidité traversa ses pensées cotonneuses. Sa baguette ! Cette traînée l'avait toujours, en bas. Elle leva la tête, embrassant la mâchoire de l'homme, et ronronne contre son oreille.

« Est-ce que... Est-ce que je pourrais récupérer ma baguette ? Demanda-t-elle d'une voix douce. C'est que... C'est un objet assez intime... Ça fait presque parti de moi... Et... Je ne suis ni lesbienne, ni bi, alors savoir qu'elle est entre les mains- Non, entre les seins de... De ton amie... »

Elle frissonna, mais pas de manière agréable. Il n'y avait rien de feint, dans ses paroles. Une baguette était en effet un objet très cher à son sorcier. Et penser qu'une femme, une traînée -Pire ! Une moldue !-, l'avait entre les seins, ça la révulsait presque.

« Je ferais tout ce que tu voudras, mon Prince, je me plierais à tous tes désirs... Mais je t'en prie... Je... J'aimerais vraiment la récupérer, continua-t-elle, mordillant le lobe de son oreille avec tendresse. J'ai été prise de court, quand vous êtes arrivés... Ça ne se reproduira plus, je te le jure ! Promit la sang-pur avec ferveur. »
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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psycho-Moldu [Cara Teixeira]

Réponse 26 lundi 26 novembre 2018, 00:46:47

Vaas était davantage habitué que Cara à l’usage du rakyat, et l’orgasme agissait comme une sorte de dégel. L’adrénaline était parti, et le rakyat circulait moins dans ses veines, ce qui permettait au mercenaire de retrouver un semblant de lucidité, de calme, et de maîtrise de lui-même. Vaas était, pour ainsi dire, sevré. Apaisé, il restait proche de la femme, lui souriant presque amoureusement, quand celle-ci lui demanda alors de récupérer sa baguette. Le mercenaire hocha alors la tête, tandis que la jeune et belle femme se pressait contre lui.

« Tu es une sorcière, hein ? »

Une bruja... C’était une question purement rhétorique. Vaas savait que la magie existait, il avait eu l’occasion de le réaliser à Seikusu, avec ces gens dotés de super-pouvoirs, les cristaux magiques, et tout ce genre de délires. Et cette femme, pour vivre seule dans un si grand manoir, était nécessairement une sorcière. Et, même s’ils venaient de baiser intensivement tous les deux, Vaas ignorait s’il pouvait vraiment lui faire confiance. Après tout, il avait envahi sa maison, et avait dû la droguer pour la rendre plus conciliante. Mais cette femme tenait à sa baguette, ce qui offrait à l’homme un moyen de pression. Il récupéra sont éléphone portable, et appela Sakura.

Pendant que le téléphone sonnait, il observa la sorcière, un sourire moqueur sur les lèvres.

« Inspire-moi la bonne étoile, ma chérie, suce ma queue... »

Difficile pour la sorcière de faire le contraire si elle voulait récupérer sa baguette ! Le sexe de Vaas avait perdu de sa superbe sous son orgasme, et sa queue était trempée, recouverte d’un mélange de mouille et de sperme. Pour autant, la jeune femme n’eu tpas d’autre choix que de s’exécuter. Vaas soupira doucement en sentant les doigts de la sorcière. Cette fois, elle ne brillait plus de mille feux comme un soleil.

« Sakura ?
 -  Oui, Maître ? »

Vaas appuya sur le bouton du haut-parleur, et posa son téléphone à côté de lui, caressant d’une main les cheveux de la femme.

« Tu as toujours la baguette de cette femme ?
 -  Oui !
 -  Parfait...
 -  Que voulez-vous que j’en fasse ? »

Le mercenaire hésita pendant quelques secondes. Il savait que la sorcière avait besoin de cet instrument, et qu’elle n’était pas totalement fiable... Et il prit donc sa décision.

« Confie-là à Puma, et dis-lui de venir avec les gars. »

Vaas raccrocha ensuite, puis reporta son attention sur la bruja. Elle suçait divinement bien, et la queue de Vaas commençait à retrouver de sa superbe. Il empoigna ses cheveux d’une main, la laissant encore agir. Au moins, sa baguette n’était pas brisée, mais le mercenaire n’avait pas encore dit ce qu’il comptait faire. Quelques minutes après, des bruits de pas se firent entendre, et Brad entra, en compagnie de plusieurs hommes. Ils portaient des masques d’animaux, et Puma, portant logiquement un masque de puma, tenait dans sa main la baguette. L’un d’eux était un homme obèse arborant un masque de cochon.

« Les gars ! Je vous présente notre hôte ! Admirez cette Ange de beauté ! »

Vaas retira son sexe de sa bouche, et les hommes se rapprochèrent, formant un arc de cercle autour du lit, et autour de la sorcière, qui était agenouillée sur le sol, Vaas assis sur le rebord du lit.

« Saluez notre hôte comme il se doit ! » s’exclama Vaas, railleur.

Ils déboutonnèrent alors leurs pantalons, et chacun des hommes libéra sa verge, des chibres tendus, formant une rangée de queues devant la femme.

« Je vais voir à quel point tu tiens à cette baguette, mon Ange... Cette Sakura que tu méprises tant, elle se tape tous ces hommes. Tu penses pouvoir faire au moins aussi bien qu’elle ? »

Il la laissa ensuite agir, désignant les hommes masqués de la main.

« Tu es douée pour sucer... Montre-leur ! »

Six hommes masqués se tenaient devant elle, soit sept hommes en tout. Autant dire que Cara allait passer une sacrée nuit en compagnie de tous ces mâles en rut !

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